On peut passer de l'autre côté de la barrière à tout âge.
Soumis à ma tendre épouse
Il faut que je vous dise que ma femme est une maîtresse femme. Elle a du caractère et aime me dominer physiquement et sexuellement. Avec le temps et une complicité totale, nous sommes parvenus à un niveau de plaisir sexuel d'une intensité qui nous satisfait pleinement. Je suis soumis et j'aime me laisser guider, surtout que ma partenaire ne manque ni d'idées ni d'envies. Elle me connaît bien et sait combien j'apprécie la sodomie, puisque c'est elle qui me la fit découvrir d'une façon tout à fait inattendue.
Nous venions d'emménager et j'avais des travaux de réfection à entreprendre. C'était lors d'un été très chaud et j'étais donc en slip, à quatre pattes sous le lavabo. Elle m'observait. Je ne sais ce qui lui passa par la tête à cet instant, mais je sentis soudain quelque chose passer entre mes fesses. Cette caresse inédite (nous étions encore jeunes mariés) me plut et une partie de mon corps prit immédiatement une forme plus solide. Je voulus m'extraire de dessous ce lavabo pour répondre à ce qui semblait être une invitation, mais ma femme me poussa davantage vers le fond et je me cognai même le crâne aux tuyaux.
- Ne bouge pas, je te l'interdis !
Je sentis l'objet passer et repasser sur le tissu de mon slip, entre mes fesses.
- Tu bandes, mon cochon. Tu aimes ?
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Tais-toi ! Laisse-moi faire !
Ma femme baissa mon slip. Je bandais de plus en plus. L'objet passa entre mes fesses nues.
- Laisse-toi faire, j'ai envie !
Entre mes cuisses, j'aperçus qu'elle avait à la main mon marteau, dont le manche me procurait cette caresse délicieuse. Je sentis quelque chose couler entre mes fesses.
- Voilà, comme ça tu n'auras pas mal.
- Mais, que fais-tu ? Qu'est-ce qui te prend ?
Une nouvelle poussée me bloqua la tête contre le mur. Le bout du manche du marteau étala l'huile qu'elle venait de verser sur ma rondelle encore vierge.
- Allez, maintenant on y va. Laisse-toi aller, tu vas aimer.
Elle poussa lentement, mais sans hésiter. Pas moyen ! Mon corps faisait barrage à cette intrusion, mes sphincters refusant de céder à la pression !
- Tu ne veux pas me faire plaisir ?
- Si, mais… Ah !
Ma femme venait de plonger son majeur entre mes fesses.
- Voilà, je vais être bonne et t'accorder un échauffement.
Elle se mit à faire aller et venir son doigt entre mes fesses, doucement, jusqu'au bout. Petit à petit, je me relâchais et la douleur disparut.
- Tu aimes ?
- Putain, oui, j'aime !
Et c'était vrai. Son doigt se mit à tourner pour m'ouvrir. Je fermai les yeux et me laissai aller aux délices de cette sodomie digitale inédite.
- Je suis sûre que tu peux faire mieux ! Je vais t'en mettre un deuxième.
La détermination de mon épouse me surprenait autant que mes dispositions. Je laissai échapper un nouveau cri quand le deuxième doigt me pénétra.
- J'aime ça, souffla ma femme, je rêvais de t'enculer comme ça.
Sa voix était rauque et trahissait son excitation. Elle était agenouillée derrière moi et avait relevé sa jupe. Elle avait la main gauche entre ses cuisses tandis que la droite me sodomisait. Les deux doigts alliés me baisaient et je m'ouvrais devant eux. Elle les enfonçait au maximum et ses phalanges fouillaient mes intestins. Je ne pus retenir un gémissement quand elle toucha un point particulier. Un spasme me parcourut les entrailles et ma queue gonfla terriblement. Je me liquéfiais totalement et ma queue bavait ses filaments translucides.
- Je vais te violer ! Tu vas me subir ! gronda-t-elle.
Elle avait baissé sa culotte et j'apercevais son majeur qui tournait sur son clitoris. Le point qu'elle me massait avec assiduité m'envoyant toujours des ondes de plus en plus fortes, je ne pouvais retenir mon corps et m'enfilais sur les doigts de ma tendre épouse.
- C'est bon, baise-moi ! lui dis-je, cédant à une envie irrésistible.
- Je vais te les mettre tous.
Cette menace me fit frémir… de plaisir. Je ne sus ce qu'elle fit, sur le moment, mais soudain je sentis une vague se lever. Je sentis que j'allais venir. Je me tortillais pour que la fouille soit totale. Ses deux doigts en crochet, elle me massait jusqu'au creux des reins. Je sentis ma semence bouillir, mon anus se contracta, provoquant une douleur délicieuse et emprisonnant littéralement ses doigts. Au bout de mon gland apparut une grosse goutte blanche.
- Putain, je viens ! criai-je.
Elle se doigtait profondément et furieusement. Ma semence commença à s'écouler. J'avais la sensation de me dissoudre. Je n'éjaculais pas, je me liquéfiais sous l'action de cette caresse anale. Un sperme abondant et parfaitement crémeux s'écoula sur le sol, s'échappant de ma queue gonflée à bloc. J'étais à la limite de la douleur. Jamais je n'avais joui comme ça et ma femme m'avoua avoir ressenti la même chose. Elle me dit avoir joui davantage de la contrainte qu'elle m'avait imposée que de sa propre caresse. Elle m'avait dominé et nous avions tous deux aimé ça.
Depuis, nous avons bien progressé. Ses désirs ont gagné à la fois en intensité et en violence. Elle est devenue très exigeante en matière de sexe, n'hésitant pas à me faire part de ses envies sauvages. Et moi, je me soumets. Nous nous sommes équipés de godes, de plugs, qui servent à nos plaisirs les plus fous.
Je dis oui à tout parce que j'aime ça et qu'elle me fait vivre des sensations terribles. J'ai découvert combien mon corps et mon esprit pouvaient apprécier une vraie brutalité. En nous voyant, personne ne peut imaginer cela. Elle est blonde et plutôt menue, tandis que je suis du genre costaud et trapu. Elle aime me pousser à bout, me demander l'impossible. Elle prend plaisir à me téléguider, à m'infliger des gages et à me voir agir selon ses consignes.
OooOOOooo
Le jeu avait commencé par un paquet cadeau, déposé un soir sur la table du salon. En l'ouvrant, j'avais découvert un plug anal, long de dix centimètres, accompagné d'un message :
''Ça doit rentrer ! Je reviens à 19 heures. ''
Il était 18 heures.
Je me rendis dans la salle de bains et y trouvai le lubrifiant que j'utilisais d'habitude. Je me dévêtis entièrement. J'étais excité, bien sûr ! Le plug noir pesait lourd. J'enduisis copieusement l'objet puis m'introduisis un, puis deux doigts dans l'anus en guise de préliminaire. Oh ! J'étais bien prêt, car aussitôt ma rondelle s'élargit !
Je posai le plug sur le bord de la baignoire et m'assis dessus en descendant lentement. Il pénétra jusqu'à la moitié, puis se bloqua. J'avais un peu mal et hésitais à forcer, mais la tentation de pousser cet objet entre mes reins m'incita à persévérer. Je me détendis et descendis encore sur le plug, qui forçait littéralement son passage. Brusquement, ma gaine avala l'objet. Le passage du plus gros diamètre me fit gémir de douleur. Une délicieuse douleur. Il me remplissait totalement et la sensation était énorme. J'étais presque fier de ma performance, mais surtout heureux de satisfaire au désir de mon épouse dont je devais attendre fiévreusement le retour pendant encore une demi-heure.
Quand j'entendis le bruit de la serrure, j'étais assis dans le canapé. Ma femme jeta ses clés sur la table, posa son sac et se tourna vers moi.
- Fais-voir, ordonna-t-elle.
Je me levai et présentai mes fesses pour l'inspection. Elle eut un murmure de satisfaction.
- As-tu bien lubrifié ?
- Oui, j'ai tout mis.
- Tu as bien fait.
Elle s'approcha et écarta mes fesses, découvrant la partie du plug qui émergeait de mes reins. Elle s'en saisit et exerça une traction.
- Doucement, dis-je, en découvrant que la sortie présentait aussi quelques difficultés.
- Oui, mon chéri.
Elle était juste derrière moi et me mordillait doucement la nuque. Son autre main passa devant mon ventre et se saisit de ma queue bandée.
- Hum, tu aimes ça !
Elle manœuvrait le plug en moi, le rapprochant de la sortie. Je la laissais faire en commençant à trouver cela très bon.
- Allez, laisse-le sortir maintenant et montre-moi ton cul, tu sais que j'aime le voir béant !
Elle tira et le plug sortit, puis elle me poussa sur le canapé et contempla mes fesses.
- J'adore voir ton orifice dévasté. Il est prêt, maintenant. C'est bien, tu auras moins mal.
Je la vis s'agenouiller sur le sol et sa main caressa mes fesses.
- Tu vas être gentil avec moi ?
- Oui, ma chérie.
- Tu vas me laisser te faire ce que je veux ?
- Oui.
Elle glissa un doigt. Aucun problème.
- Tu sais ce que j'aime. Tu veux que je t'encule ?
- Oui, ma chérie.
- Supplie-moi.
- Je t'en prie ma chérie, baise-moi.
- Plus fort, mieux que ça. Gémis fort !
- Je t'en supplie, prends-moi le cul !
Sa langue passa dans ma raie. C'était divin !
- Je veux que tu me sodomises tout de suite ! Baise-moi !
Sa langue passa le cercle ouvert et s'enfonça entre mes sphincters. Je crus défaillir et jouir sous l'effet de cette langue gourmande. Deux doigts. Je me tournai vers elle et vis qu'elle avait ouvert son tailleur et son chemisier pour sortir ses beaux seins aux galbes généreux. Les tétons pointaient. Elle aimait la scène. Trois doigts.
- C'est bon, ronronna-t-elle. Allez, encore une supplique !
- Mets-moi tout ! Je veux ta main entière dans le cul !
Je commençais à perdre la raison tellement la scène prenait un tour porno. Je me mis à penser que quelqu'un nous regardait. Les trois doigts glissaient, nageaient dans le lubrifiant et entre mes muqueuses distendues.
- Lève-toi, je veux te voir ! Installe-toi sur la table !
Je me couchai, le dos sur la table basse du salon, puis relevai les jambes pour qu'elle reprenne sa pénétration. Je parvins à glisser une main entre ses cuisses et la remontai sous sa jupe. Divine surprise ! Elle ne portait rien et sa chatte était trempée.
Cet attouchement fouetta son désir et elle poussa quatre doigts, réunis en cône, qui me massèrent la prostate et me mirent en transe. Je tentai de lui baiser le ventre, car je voulais sentir sa mouille et la boire. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle avait un étrange sourire. Chaque avancée de sa main en moi provoquait un gémissement.
- Oui, vas-y, mets-moi tout ! Baise-moi ! Baise-moi !
Je sentis son pouce venir s'ajouter au reste des doigts.
- Je vais te baiser avec mon poing, je vais te fister !
De sa main libre, elle se caressait un sein. Elle en pinçait le téton et je la voyais se mordre parfois les lèvres.
- Tu veux voir ?
- Oui, je t'en prie.
Elle sortit un miroir du tiroir de la table basse et l'installa en face, sur le canapé. Je pus, enfin, découvrir mon cul transpercé par la main de ma femme, et prêt pour une visite complète ! Les cinq doigts poussaient. Je lançai ma main pour attraper son poignet et l'attirer encore plus profondément.
- Oh ! Gourmand, tu aimes jouir par le cul ! Ça va rentrer encore un peu, un tout petit peu.
- Oui, j'aime me faire baiser, Maîtresse !
- Un jour, je te ferai baiser par un homme.
- Fais ce que tu veux, je veux tout. Aaaaah !
Le poing était entré entièrement.
- Ah, putain, c'est bon !
Je jouissais de cette sodomie profonde, le corps agité par des spasmes si violents que je craignis de tomber de la table. Mon épouse resta immobile, contemplant son poignet fiché entre mes fesses. Lentement, elle ferma le poing. Ma bite coulait comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillaient mon ventre. Avec délicatesse, elle massait l'intérieur de mes reins. La pression s'exerçait sur ma prostate. J'étais aux anges, autant par plaisir physique que par la réalisation de ce fantasme.
Elle attrapa ma queue en semi-érection. J'étais au bord de l'orgasme. Elle approcha son visage et lécha mon membre par petites touches. Chaque effleurement me faisait tressaillir. Elle jouait avec moi, s'amusait de mes soupirs, jouissait de mon excitation.
- Je t'en supplie, achève-moi.
Le poing se mit à bouger doucement entre mes fesses. Elle mit la main entre ses cuisses et je compris qu'elle avait, elle aussi, atteint les limites. Je la regardai s'enfoncer trois doigts dans la chatte. J'entendais les bruits, je voyais ses doigts gluants aller et venir. Ses yeux étaient dans le vague, mais braqués sur mon cul. Plus son plaisir augmentait, plus le poing allait vite.
- Je te baise, rugit-elle, je t'encule comme une chienne !
- Oui, encule-moi plus fort.
Ma semence surgit au bout de ma queue raidie. Ma femme se pencha, sans cesser de se baiser, et trempa la langue dans ma semence en gémissant.
- Vas-y ! Allez, vas-y, gicle sur ma langue !
Je continuais à couler, doucement, sans arrêter. J'étais en train de fondre. Je vis qu'elle jouissait elle aussi, et qu'elle avalait tout mon sperme.
Je souffris durant quelques jours, mais nous fîmes le serment de bien vite recommencer ce genre de petit jeu.
La cohue…
Mon nom est Julien et je vais vous raconter l'histoire absolument véridique qu'il m'est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi, ça fait un an que l'on est ensemble. On s'est rencontré à l'université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent. Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s'est tout de suite entendu, j'étais son premier homme et elle est vite devenue accro au sexe.
Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde. Laura n'aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d'hommes stupides bourrés de testostérone qui supportent une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c'est vrai qu'à cette époque, nous n'avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.
Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu'à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d'un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d'un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu'elle était très sexy et que beaucoup d'hommes l'ont regardé.
Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l'enceinte, ce qui mit ma douce moitié d'une humeur plutôt mauvaise. C'est pour cela que quand nous sommes enfin entrés, elle a voulu directement aller s'acheter des cigarettes et s'acheter à boire. Évidemment qu'il y avait de nouveau la queue, c'est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout. Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés.
A côté de nous, il y avait un homme d'une cinquantaine d'année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L'homme semblait déjà avoir un peu bu vu l'enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre. Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en à peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment.
Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue. Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c'est à ce moment que je vis l'homme effleurer les fesses de Laura. Il n'a sûrement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu'elle pensait également qu'il n'avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.
Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l'homme effleurer les fesses de Laura comme si c'était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n'y avait plus de doute, ce n'était pas tout à fait involontaire. J'étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura me regarda et me dit :
- On peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses
Et c'est là que je ne sais pas pourquoi, l'excitation et l'alcool je suppose, mais je lui glissais à l'oreille :
- Non, reste ! Moi ça m'excite
Ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s'ils s'étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place.
Le match avait repris, toujours avec autant d'ambiance dans le public. Moi, de mon côté, j'avais de la peine à me concentrer sur le match car je n'arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m'imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n'aurais cru que de voir Laura se faire tripoter m'aurait excité et en plus à ce point.
Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraîna un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixais les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés. Sa main entière s'était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s'était alors légèrement déformée sous l'attouchement de cette main étrangère. L'homme qui avait une trentaine d'année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s'était passé et parlait même avec sa fille, qui n'avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d'ailleurs. Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés.
J'observais l'homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L'homme ne savait absolument pas que j'avais remarqué son petit jeu. Je n'en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi.
La première pause s'approchait, il ne restait que quelques minutes.
Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j'avais l'impression qu'ils étaient collés, ils n'étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s'approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu. Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l'a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match.
Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d'un léger mouvement pour lui signifier cette fois d'une manière certaine son accord. La cloche sonna la pause et l'homme enleva rapidement sa main.
Laura m'embrassa à nouveau et nous décidâmes d'aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s'était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants.
- Je bande comme un fou » lui ai-je avoué.
- Tu as vu comme il m'a touché le cul » me lança-t-elle d'un air excité.
Je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta
- Je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m'excite vraiment.
- Tu sais la situation m'excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c'est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t'aime » terminai-je.
Je la pris par la main et l'emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença.
Pendant les 10 premières minutes les mains de l'homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J'étais déçu et croyait que le petit jeu était finit. Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris qu'après, voulait dire « tu veux qu'on continue à jouer ? », je le lui rendis.
Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l'homme. Celui-ci a réagit tout de suite et, toujours discrètement, commença a caresser la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l'autre côté de l'homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moins de mon côté, je regardais du coin de l'œil pour ne pas me faire repérer. Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petits mouvements en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir. Les doigts du vieux appuyaient sur l'avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c'est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main.
A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d'excitation me prenait jusqu'au plus profond de mes nerfs. A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n'eus même pas le temps de me demander si ce qu'il se passa plus tard était réellement ce que je voulais.
L'homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvaient les toilettes…
J'avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder.
J'étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu'allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l'intérieur d'elle ? Est-ce qu'elle jouit ? J'étais bouleversé, mais d'imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu'elle me faisait bander au plus haut point.
Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n'étais plus très attentif au match. La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l'absence de son père.
Je vis Laura revenir, le vieux lui n'était pas encore là. Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu'il avait fait à ma copine. Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent.
Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu'à l'entrée du pantalon de Laura, avec l'autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon.
Arrivé à l'intérieur, première surprise, Laura n'a plus de string. J'entre alors 2 doigts dans sa petite fente mouillée afin de trouver d'éventuelles traces de pénétration, sa petite chatte est trempée mais il ne me semble pas qu'elle soit assez dilaté pour qu'elle ait été pénétrée. N'en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l'oreille : « tu l'as sucé ? ».
Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons. Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu'il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l'anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l'a été.
Mon doigt n'a aucune peine à entrer jusqu'au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu'au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli. Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s'écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainées blanches qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu'à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…
Laura me raconta plus tard que le vieux l'attendait devant les toilettes. Qu'ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l'avait traité de salope et l'avait sauvagement déshabillé. Il l'a ensuite peloté tellement fort qu'elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s'y pas attardé longtemps. « il n'y avait que mon cul qui l'intéressait, il voulait juste m'enculer » m'a-t-elle dit plus tard. Il l'a alors mise à 4 pattes et lui a léché l'anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L'homme l'insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait.
Il s'assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s'asseoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m'avoua que l'immense bite du vieux (comme elle l'appelle) eut de la peine à entrer, c'est pour cela qu'il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l'obliger à s'asseoir sur sa bite malgré la douleur qui la traversait.
Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l'alcool faisait toujours son effet et l'aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait remplie comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L'homme se contracta et Laura sentit son anus se remplir jusque tout au fond.
Jamais elle n'avait connu une telle dose de sperme l'envahir. Le pénis qui était au fond d'elle, lui propulsa une dizaine de jets qui allaient tapisser les parois de son rectum. Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot.
Voila notre histoire, elle s'est passé la semaine dernière. J'ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m'a dit que si l'occasion se représentait, peut être