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Histoire du net. Auteur: Erotipaul. La chute... Suite Attention: Chef d'oeuvre!

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Quand les barrières tombent les une après les autres.

La chute
Auteur :Erotipaul
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J'étais paralysé. Il en profita pour me lécher le visage. Son propre sperme, qui s'étalait partout sur ma figure, il le récupérait de large coups de langue pour le ramener vers ma bouche et me la remplir, consciencieusement... Une langue animale, comme celle d'un chien qui ferait la fête à son maître, mais en plus lent, et c'était lui le maître... Il faisait ainsi ma toilette pour mieux me souiller la bouche...
- N'avale pas... garde-le... fais tourner avec moi...
Il me galochait à nouveau comme une jeune fille et je me pâmais dans un contraste de sentiments entre dégout et volupté... Il m'attrapa le sexe à pleine main mais à l'envers, le pouce tourné vers mon ventre, et me branla en un geste lent et fort qui décalottait mon prépuce à l'excès. Il passa son bras derrière mes reins et m'approcha au bord du canapé. J'étais à nouveau jambes écartelées, bloquées par ses cuisses puissantes, le bassin tendu vers lui, offert...
- Bouge toute seule, branle-toi dans ma main, vas-y chienne, excite-toi...
Je n'avais aucune raison de lui obéir et pourtant je le fis... je m'humiliais à aller et venir dans ses doigts et me mis à mouiller abondamment à mon tour...
C'est alors qu'il fit ce truc dingue, totalement inattendu: se collant à mon sexe, gland contre gland, il recouvrit d'un geste habile mon sexe de son prépuce qu'il avait décidemment très long... Le bout de ma queue baignait dans sa mouille et il entreprit de nous branler ainsi, emmanchés l'un à l'autre, sa peau me prodiguant une caresse indicible.. Je baissai les yeux, fasciné, et la scène s'imprima sur ma rétine... L'odeur montait à mes narines, encore plus forte... du désir à l'état pur, une promesse de foutre à foison, l'écume maintenant débordante... Je me sentais partir dans les pommes...
- Vas-y, tu n'attends que ça... lâche-toi, petite pute...
Je jouis instantanément et perdis encore des milliers de neurones... je giclais dans son prépuce tandis qu'il maintenait le lien qui nous unissait... Il m'embrassait à pleine bouche et m'étalait son foutre et sa salive partout, m'aspirait la langue, me violait de la sienne, je criais au milieu de ses baisers et lui se badigeonnait la queue de mon sperme sans me lâcher, et m'assaillant à nouveau de mots...
- Hmm t'es une sacrée femelle tu sais ? Qui aurais cru que tu irais si loin en quelques heures, hein? Pas toi je suis sûr... Mais tu es bien là à te donner à ton mâle, celui que tu attendais depuis toujours, tous tes orifices à disposition... Hmmm j'aime comme tu jouis, mais tu peux encore faire mieux, gueuler ton plaisir encore plus fort, oh oui... Sens les frissons t'envahir, tu trembles comme une petite chose fragile, je vais te faire gueuler encore, tu vas voir...
Il s'était collé plus près et je sentais son gland frotter contre mon trou, il m'enlaçait d'un bras puissant pour me maintenir à sa merci, passait maintenant ses grosses lèvres dans mon cou, sur mes lobes, sa langue dans mes oreilles me faisant hérisser les cheveux le long de la nuque...
- Tu sens ma bite contre ton trou? tu sens comme tu me fais mouiller? Ton propre sperme qui s'étale sur ta chatte ? tu sens comme je suis brûlant ?... Laisse toi aller, respire, savoure, sens le plaisir finir de se répandre en toi... tu es une femme qui vient de prendre un pied sans nom... Et tu vas en reprendre!
Et il s'enfonça sans prévenir, profitant de mon total abandon...
Comme je voulais brusquement me défendre de cette intrusion, il m'attrapa les jambes et me souleva et grimpa à genoux sur le canapé pour mieux me plaquer sur le dossier. j'étais totalement écartelé et lui pesait de toute sa masse sur moi, me privant de toute mobilité. J'ouvrais la bouche de stupeur, sentant la douleur monter... Il s'enfonçait inexorablement, par à coups successifs... mon dieu qu'il était gros! Et pourtant il ne bandait pas totalement, pas encore...
- Tu comprends pourquoi j'ai joui et t'ai fait jouir? Je veux que ce moment, ta défloraison, dure longtemps.. Et puis je veux bander dans ta chatte, que tu me sentes durcir et gonfler à l'intérieur, te remplir, te posséder au meilleur sens du terme... Ohhh... il est bon ton cul! Tu as du te le travailler un peu mais il y a encore de la marge... T'inquiètes, je vais finir le boulot...
Et il entreprit de me besogner avec ardeur, ses lèvres collées aux miennes par le foutre, grognant comme un ours enragé... je sentais son sexe effectivement prendre possession de mon corps, m'écarteler l'anus et forer mes entrailles... Non seulement il était gros - et maintenant je prenais conscience à quel point - mais en plus il était grand! Son érection qui prenait toute sa mesure n'en finissait pas de m'explorer le fondement... Jusqu'où allait-il enfler ainsi? Ses poils drus frottaient les pourtours de mon trou et ses couilles tapaient mes fesses en un balancier sonore... Je râlais et criais quand sa bouche me le permettait... La douleur n'était pas montée comme je l'avais imaginé, parce qu'il avait franchi mes sphincters sous l'effet de surprise. Mais il me ramonait sans douceur et je me sentais me distendre comme si on m'avait gonflé un ballon à l'intérieur...
Tout plaisir m'avait quitté, seule la sensation d'être possédé persistait. Point sur lequel il ne manqua pas d'insister...
- Ouvre-toi, laisse-toi aller.. Tu as mal, hein? Tu vas voir tu vas aimer avoir mal avec moi, parce que tu vas jouir, fais moi confiance, jouir d'être prise comme la femelle que tu es et que tu vas être de plus en plus... Han, han! tu sens ma bite comme elle te ramone bien la chatte? Tu sens mes poils t'agacer le fion! Han, han! Oh c'est bon de t'enfiler comme ça, tu es toute serrée...
Il transpirait en me limant comme un forcené, et sa sueur coulait partout sur son torse, sous ses aisselles, saturant l'atmosphère de son parfum de mâle... Comme je ahanais plus que je criais maintenant, il ralentit un peu le rythme... En se redressant un peu il me pris la tête et l'approcha d'un de ses mamelons durcit, proéminent...
- Vas-y, suce le... C'est comme une petite bite pour toi, ma belle...
J'obtempérai avec un frisson de désarroi... J'en étais rendu là ? A téter un mâle dominant en train de me ravager le cul? Il fallait croire... Contre toute attente, la situation me troubla: le téton avait une texture élastique, une fraicheur moite et glissait sous mes lèvres comme un savon insaisissable... je le mordillais donc et m'accrochait à lui comme à une bouée...
- C'est ça petite pute, régale-toi, excite-toi avec...
Et le fait est que je me mis à bander à nouveau...
- L'autre, me dit-il en ralentissant encore, me travaillant plus doucement, oscillant même dans mon petit trou serré...
Je me jetais dessus et titillait le premier de mes doigts...
- C'est ça, bonne chienne, m'encourageait-il...
Ses va-et-vient s'amplifiaient, devenaient plus profonds... Il se colla à mes reins et je sentis la base de sa queue m'élargir encore... Il était effectivement plus gros à cet endroit et je gémis dans le mouvement. Il s'arrêta soudain et contracta son gland par à coups... je le sentais là, palpiter au fond de moi, mon anus tendu au maximum... J'ouvrais la bouche dans un cri silencieux et il en profita pour m'offrir son aisselle.. j'y plongeais sans réfléchir comme on se jette à l'eau...
- hummm vas-y lèche, lape ta gamelle... Nettoie-moi avec ta langue, oh ma salope je vais adorer te baiser et te baiser encore!
Je m'immergeais dans sa sueur chaude, la buvais littéralement, suçotant ses poils humides, reniflant comme un petit animal fouisseur, et je n'aurais voulu quitter cet endroit pour rien au monde...
Ma bite s'était raidie comme jamais et frottait contre son ventre bedonnant... C'était comme un fourreau, cette chair et ses poils et je sentis le plaisir monter de très loin, derrière mes couilles, irradiant de mon anus...
Il avait changé de tactique et me travaillait le cul avec expertise à présent. Son gland s'attardait au niveau de ma prostate et je commençais à sentir une forme de gêne... excitante. Il me lima comme ça un moment puis accéléra à nouveau le mouvement, claquant ses reins violemment contre les miens.
Je hurlais à nouveau mais cette fois de plaisir et de douleur mêlés.
- Prends cette bite, prends là bien... Je vais te faire grimper, tu vas voir, tu vas en redemander, encore et encore... T'inquiètes pas j'ai de l'énergie à revendre, et du foutre aussi! J'aime baiser pendant des heures, gicler et recommencer, je vais t'arracher le cul à force de te le défoncer et tu vas me dire des mots d'amour, chienne!
-Ah! Oh! Ah! Ah! ... C'était tout ce que je pouvais dire...
- Tu veux que je te baise vraiment ma salope? Tu aimes que je te défonce comme ça? Tu en veux? Tu en veux encore? Te faire déflorer la chatte ça te fait bander, hein ? Tu veux que ta première fois soit inoubliable?
- Ahhhh!... Oui... Oui... Encore... m'entendis-je lui répondre
- Alors on y va!
Il sortit de moi brusquement et je me sentis abandonné. Mais je ne restai pas longtemps esseulé: il me releva, me retourna et me colla à genoux sur le canapé, m'écarta les cuisses et s'enfonça d'une poussée dans mon cul que j'avais instinctivement cambré.
Et là j'en pris pour mon grade. Il me défonça à coups de reins puissants, martelant mon cul de ses couilles, ses gros doigts plantés dans mes chairs, agrippés à mes hanches, me claquant les fesses à intervalles réguliers... Putain c'était comme dans ces films pornos que je matais en me branlant mais là j'étais la victime et la star, couinant comme une truie, toute honte bue, en redemandant dans des râles et des cris.. Cela durait et durait... J'en perdais le souffle et toute dignité... Et comme il me l'avait prédit, je prenais un pied insensé dans la douleur...
L'orgasme me saisit sans crier gare et j'explosais enfin dans un cri libérateur... Je jouissais du cul, et me sentais perdu.
Lui sortit de moi et me laissa reprendre mon souffle et mes esprits. Un sentiment de honte montait en moi, et je n'osais me retourner, l'affronter après... après... ça! Cet acte dégradant, ce déchainement de violence sans aucun respect pour mon corps, ces crudités débitées comme des chapelets, d'une vulgarité sans nom... Bien sûr, compte tenu de la taille de son engin et la nature étant ce qu'elle est, j'avais jouis... Mais je ne le voulais pas vraiment... Il m'avait violé... Depuis le début il m'avait violé...
Il fallait que je sorte de là, que je m'échappe de son emprise, il fallait que je rentre chez moi et que j'oublie. Il avait fait son affaire... Allez, je pouvais même lui accorder qu'il avait gagné son pari, dépuceler un hétéro, le faire gicler deux fois de suite, le faire bander malgré lui... mais maintenant c'était fini!
Je me retournai dans un élan décidé... et me figeait dans le mouvement.
Il s'était installé à califourchon sur le fauteuil qui faisait face au canapé son corps basculé en arrière sur le dossier, et se caressait les tétons entre deux doigts, lentement, sensuellement... Ses jambes écartelées sur les accoudoirs livraient à ma vue tout son bas ventre... son sexe à moitié bandé, si épais, aux veines encore gonflées de plaisir, ses couilles velues, gorgées de sperme, à la peau tendue de désir, et le sillon ruisselant de sueur conduisant à sa raie, bordé de poils sombres et odorants...
- Et si tu venais entre mes cuisses me finir avec ta bouche, ma chérie?
Je tombais malgré moi à quatre pattes, ce qui lui fit ajouter avec un air conquérant...
- C'est bien... Sois-donc la pire des chiennes maintenant...
Abattu de fatigue et d'humiliation, j'étais tombé à quatre pattes devant mon bourreau, qui me toisait avec délectation, du haut de sa position, m'offrant son cul, ses couilles et sa queue comme une offrande, tel un Dieu de la luxure...
Son regard noir me saisit et je m'avançais doucement, essayant de ne pas m'avouer vaincu mais me demandant comment j'allais pouvoir rompre le sortilège... Mes yeux ne pouvant plus soutenir cet éclat noir je baissais la tête pour me retrouver face à ses parties génitales, impressionnantes en tous points. Ses énormes couilles encore gonflées - avait-il des réserves inépuisables? couvertes de poils enchevêtrées, sa bite plongeant par dessus, mi-molle mais d'une épaisseur qui lui donnait un air de bandaison permanente, avec ses veines qui palpitaient sourdement, dont on imaginait la chaleur comme s'il s'agissait des résistances d'un appareil domestique, son gland à nouveau recouvert de son prépuce, enfermé, me disais-je, tendu sous la chair humide et souillée par ses récentes aventures dans mon fondement et des giclées de foutre, le mien, le sien, et qui savait? peut-être d'autres encore vu l'odeur générale...
Je voyais des mains caresser ses tétons avec une lenteur horripilante, mais n'avais d'yeux que pour... pour quoi vraiment ? Même sa raie m'attirait l'œil et captait mon odorat...
- Par quoi vas-tu commencer ? Allez, fais-toi plaisir...
Je finis d'approcher en essayant de réfléchir au plus vite, et choisis ses testicules pour éviter les zones les plus sales, les plus dégradantes... Je poussais ma langue et la passait délicatement sur la peau étonnamment rafraichie... Il me saisit la nuque, souleva ses couilles et me fourra le museau en dessous...
- Renifle, chienne, prends la mesure de ton mâle...
Je suffoquais immédiatement mais me remis à bander. Le poids de la chair, cette moite lourdeur, et le parfum de chair macérée dans la sueur qui s'infiltrait jusque dans mon cerveau me retourna la tête et je commençai dans un réflexe pavlovien à lécher, lécher, sous les couilles puis dessus, dans les creux de l'aine et à nouveau sur les couilles, que je suçai sur son ordre, que je gobais à pleine bouche à son invitation, il m'encourageait et me guidait et mes oreilles bourdonnaient sous l'afflux de sang... Je lui dévorais le scrotum et bavais comme une chienne enfiévrée...
- Rahhh, quelle belle rencontre, hein ma chérie ? tu te sens virer femelle ? Tu sens de quel genre tu es maintenant ? et encore, tu n'as pas tout lâché, tu n'as pas tout donné, je vais t'emmener très loin, au delà de tes limites, de tes tabous de bourgeois... Tu vois comme tu l'honores, le prolo ? Le porc, as-tu pensé, hein? Le gros porc tu lui bouffes les couilles et tu en redemandes, hein ? Allez nettoie-moi la bite maintenant, viens cueillir sur ta langue ton jus de chatte et mes traces de foutre... Il y en a d'hier aussi, et d'avant hier je pense... c'est ça, glisse ta langue sous mon prépuce, viens fouiller, viens chercher ta récompense...
J'obéissais et lui gobais le gland, puis m'enfonçais dans sa chair tendre, recueillant au passage ses souillures, sa chaude humidité, l'âpreté même de mon fondement. Je le suçotais, aspirait son prépuce dans ma bouche, le léchouillais, bavais sur toute sa longueur, et le saisissant à pleine main - mon dieu qu'il était gros et lourd! le branlait rapidement...
- Prends ton temps ma chérie, fais plaisir à ton mâle, ne cherche pas à finir trop vite, sois à ce que tu fais, savoure, fais le par amour de ma queue, pas pour me finir...
Je ralentissais et profitai du moment comme il m'y invitait... Cette chair chaude et souple glissant contre mon palais, affleurant dans le creux de mes joues, son gland qui venait remplir si pleinement le fond de ma gorge, cette hampe qui m'écartait les mâchoires, son liquide séminal jaillissant en petits jets continus sur ma langue.... Comment pouvait-on mouiller comme ça ? Et son goût, puissant, qui remontait du fond de la gorge jusqu'à mes narines...
- Tiens, ajoute ça, me dit-il...
Présentant un flacon sous mes narines, je compris ce qu'il m'offrait... j'en avais entendu tellement parlé que la curiosité l'emporta sur l'appréhension.. et j'inspirai à pleins poumons...
La montée arriva quelques secondes plus tard alors que je reprenais sa queue distraitement en bouche... je gémis douloureusement tandis qu'il profitait de l'explosion de mon cerveau pour s'enfoncer profondément dans ma gorge et me limer... Je manquais de vomir mais me retins à temps et salivais de plus belle...
- Ohhh oui tu me fais du bien bébé, vas-y, prends moi en bouche comme dans ta chatte, profondément... Je vais te dépuceler la gorge, ahhh...
Et il engagea un va et vient lent et décidé, se redressant sur le fauteuil et m'emprisonnant la tête entre ses mains, l'une posée sur mon crâne, l'autre me tenant sous le menton, m'utilisant comme un objet pour assouvir ses envies... Il me baisa, oui, s'interrompant de temps en temps pour me redonner du Poppers et m'entraîner dans un vague de débauche incontrôlée... Je décollais carrément et le laissais me guider dans cette nouvelle aventure... Je crachais de plus belle, ma salive s'épaississait et des lianes de bave finirent par recouvrir sa queue et me dégouliner partout sur le visage... Au bout d'un moment il me décolla de sa queue, me retourna et me fit passer sous ses fesses... Sans attendre je m'y collais nez et bouche avec voracité... Et ses effluves me firent l'effet d'une bouffée de Poppers... je gémissais de plus belle...
- Tu l'aimes mon cul, hein ma chérie ! me dit-il en se penchant sur mes tétons et les triturant de ses doigts - ce qui me fit me tendre encore plus. Tu aimes le bouffer, te perdre dans mes poils et embrasser ma petite bouche de mâle... Oh oui, ton clito est tout tendu, tu bandes pour mon cul, vas-y, fourre-le de ta langue, ohhh ouiiii tu me fais bien durcir ma salope... vas y, suce le, regarde comme je l'ouvre pour toi, fourre ton nez à l'intérieur, fais-toi plaisir...
Je criais de bonheur et de honte, je me lâchais, n'étais plus moi-même, et m'adonnais à son fion magnifique dans une totale frénésie.. L'effet du Poppers, me disais-je, je n'étais pas comme ça, non!
Il en profita un bon moment puis me remis à quatre pattes devant lui pour me refourrer sa bite dans la bouche, reprenant un peu de souffle - mon empressement l'avait bien secoué lui aussi... Je le suçais longuement, avec attention et précaution, superposant dans mon esprit des images de porno où des bites somptueuses giclaient d'abondantes doses de foutre... je voulais provoquer cette chute, tout en me hurlant silencieusement de ne pas aller jusque là... Sans savoir que j'allais aller plus loin encore...
- Hmmmm elle est bonne ta bouche, tu suces décidemment très bien pour une novice... C'est dire si la femelle en toi était proche... Prédisposée à faire jouir les hommes... hmmm... mais je crois que je n'arriverai pas à jouir... j'ai trop envie de pisser, ça me bloque...
Il marqua un silence subtil et poursuivit...
- Je suis trop bien dans ta bouche, l'idée d'interrompre ce moment pour aller aux toilettes me parait totalement incongrue... je suis sûr que toi aussi tu ne veux plus lâcher ma bite, hein ?
Je levais les yeux sur lui et pris conscience de sa grosseur dans ma bouche... Mes lèvres en O, les yeux écarquillés, j'acquiesçai du regard.. Bien sûr que je ne voulais plus le lâcher.. Mais où voulait-il en venir?
- Tu veux me faire jouir ma belle ? tu veux sentir mon foutre couler dans ta bouche ? Tu vas voir la deuxième giclée va être plus épaisse, elle aura plus de gout aussi, tu vas adorer...
je rougis et le pompais plus profondément...
- mais pour ça, il fait d'abord que je me soulage la vessie, tu comprends ? Cruel dilemme... Comment je peux résoudre cette équation, à ton avis ?
Je réfléchis naïvement à la question... et je compris soudain... Le salaud, il ne pouvait pas me demander ça quand même !
- Mais peut-être que tu peux m'aider, hein ? je suis sur que tu peux le faire... Tu vas voir, ce n'est pas comme tu l'imagines... Tu veux bien, hein ? me boire et me faire jouir...
Sans attendre il m'attrapa les cheveux et se décolla doucement de mes lèvres, pour me présenter son gland décalotté...
- Dis-moi que tu le veux, hein ? me boire...
Complètement hypnotisé par le lent mouvement de son prépuce sur sa turgescence, je hochais la tête...
- Dis-le...
- Je veux...
- Dis-le...
- je veux vous boire...
- Boire quoi ?
- Votre... vous... boire votre...
- Ppppssss...
- ... Pisse...
- Répète... ajouta-t-il tandis qu'une goutte apparaissait sur le gland, que je lapais par réflexe
- Je veux... boire ... votre... hmmm... pisse...
Il avait commencé avant même que je finisse ma phrase et j'attrapai les petits jets qu'il me donnait avec économie...
- doigte-moi le cul en même temps, fit-il en me guidant lui même la main...
J'enfonçais deux doigts dans la moiteur de son trou qui était brûlant... Contre toute attente ce geste me libéra et je le pris en bouche de plus belle, tandis qu'il libérait des jets de plus en plus forts.. je me mis à avaler comme si j'avais à vider au goulot une bouteille de grande contenance. Son cul me poissait les doigts et moi je me rinçais la gorge sans discontinuer... Il avait conservé une pression raisonnable et je pus, la mort dans l'âme malgré tout, le vider totalement...
Il sortit mes doigts de son cul et les mit à sa bouche, ce qui m'étonna.. A peine les avaient-ils léché qu'il m'embrassa à pleine bouche.. Je n'en pouvais plus de ces saveurs intenses...
- C'est bien ma belle, tu es prête pour le final...
Son sexe avait repris une proportion impressionnante et il me fit plonger dessus, pour à nouveau me limer la bouche...
- Vas-y, chienne, pompe moi-bien maintenant, mets-y de ta personne pour me faire gicler...
Il me guidait sur sa queue, verticalement, pressé sur son ventre, s'enfonçant à chaque fois un peu plus, poussant des râles profonds...
- Ahhh tu me plais, ma salope, c'est dingue comme tu aimes le cul et la bite, tu étais fait pour me rencontrer... Ohhh je suis en train de monter, ça va être un feu d'artifice... Du foutre bien épais pour t'adoucir la gorge, tu vas voir... salive, ouvre-toi... la prochaine fois je te jouirais directement dans le ventre, tu verras c'est un vrai pied, mais là je vais bien te tapisser la bouche... hmmm..
J'étouffais sous le mouvement mais éprouvais en même temps une joie indicible, à conduire cet homme si viril au bord du plaisir.. Je serrai mes lèvres pour mieux l'envelopper, laissait jouer ma langue avec son gland quand il me le permettait, frottait ma langue sur son frein.
- C'est ça, tu vas devenir une vraie pro, je te laisserai me tirer le jus toute seule comme une grande, après.. mais là... Oh ça monte... Là, je vais juste me soulager dans ta bouche... Ca vient... Te remplir... ahhh oui c'est là.. Te... là ahhhh !
Il finit dans un cri et explosa dans ma bouche, une première salve épaisse, puis une autre encore plus dense, plusieurs autres giclées abondantes... mes joues se gonflaient comme celles d'un hamster tandis que j'essayais de me familiariser avec ce nouveau gout puissant, cette texture crémeuse...
- Avale, avale salope... prends mon jus...
j'obtempérai avec un haut le cœur, puis plus facilement, ça glissait dans ma gorge comme des coulées de lave brûlante , et je me nourrissais à même son gland... Ca n'en finissait plus, et je jouissais mentalement, ma propre queue en plein émoi, dégoulinante de mouille...
J'étais au plus bas, à sa merci, et vis dans ses yeux qu'il n'en avait pas fini avec moi...
J'étais encore en train de déglutir le foutre qu'il m'avait balancé dans la bouche, assis par terre entre le canapé et le fauteuil, et ça poissait au fond de ma gorge... Il ne m'avait pas menti, sa deuxième giclée était à la fois plus abondante et plus épaisse. Je reprenais également mon souffle, tant cette pipe avait été sauvage... Se mêlaient sur ma langue et mon palais des goûts très différents, aussi forts les uns que les autres... Son sperme, sa sueur, sa... son urine... et même sa, son... les profondeurs de son cul... Ma tête tournait d'émotion mais la honte reprenait le dessus. Je voulais fuir, maintenant... Tout de suite!
Il s'arracha du fauteuil et passa dans sa chambre... j'en profitai pour me trainer jusqu'à l'entrée, à la recherche de mes vêtements. Ils les avaient bien rangés quelque part, mais où ? J'avisais la porte de la salle de bain mais il en jaillit avant que je n'ai pu faire un geste. Elle devait donner sur la chambre également.
- Tu cherches de quoi t'habiller ? Mets-donc ça, ma petite pute, me dit-il en me tendant quelque chose...
C'était une culotte en dentelle dans les violets et roses, assez sophistiquée, une culotte de femme, un genre de tanga. Un dessous délicat comme j'aimais en voir sur ma femme, étonnant dans la garde-robe de cette brute... Etait-il marié ? l'avait-il été ?
- Enfile... répéta-t-il, menaçant et caressant à la fois
J'obéissais - au point où j'en étais - curieux de voir à quoi je pouvais bien ressembler ...
On sonna.
Il ouvrit la porte en se dissimulant à moitié derrière mais moi je me retrouvai nu, ou plutôt en petite culotte de dentelles exposé au beau milieu de l'entrée.
Sur le seuil il y avait un petit homme sec d'une cinquantaine d'années, maghrébin, avec une épaisse moustache et des cheveux très noirs, mi longs, pas très soignés, des touffes de poils jaillissant de ses narines et de ses oreilles, un paquet de lettres à la main. Il me regarda d'abord, puis mon hôte ensuite...
- Monsieur Victor, je... je vous ai remonté votre courrier...Excusez-moi de vous avoir dérangé...
Il parlait avec un fort accent arabe sans me quitter des yeux. Je rougissais des pieds à la tête en essayant de me cacher mais il avait du voir la culotte, et que je ne portais rien d'autre... Quant à... Victor - je découvrais son prénom - même dissimulé en partie par la porte on voyait bien qu'il ne devait pas être beaucoup plus habillé que moi... La honte!
- Merci Tareq, dit-il en prenant les enveloppes et retenant un sourire. Tu ne me déranges jamais...
Le gardien me jeta un regard lubrique - ou avais-je rêvé - et s'effaça vers l'ascenseur. La porte se referma et je me retrouvais à nouveau seul avec mon tortionnaire...
- Hmmm tu es mignonne comme ça... retourne au salon...
Et tandis que je me retournais il me flatta les fesses, qui débordaient nettement de la culotte. L'effleurement de ses doigts, la douce pression qu'il exerça par en dessous pour mieux sentir mes chairs me provoqua un long frisson dans les reins.
Je ne savais pas comment bouger ou me comporter, et ne pensais plus qu'à une chose: rentrer chez moi, me sortir de cet enfer où je ne maîtrisais plus rien, où je n'étais plus moi-même - quoi qu'il en dise.
Il s'installa à nouveau dans le fauteuil, cette fois assis confortablement au fond, et me détailla avec attention...
- Tu es belle comme ça... Toute cette virilité anéantie par ce petit bout de tissu.. regarde-toi comme tu es timide, tu te dandines d'un pied sur l'autre sans savoir quoi faire... Tu ne t'es pas encore libérée totalement, tu n'es pas encore tout à fait la femelle que je cherche... Tu crois que tu peux faire mieux?
Bon sang je faillis acquiescer, pris au défi, soucieux de me faire bien voir... Mais je me retins et le toisait en essayant d'y mettre le plus de fierté et de mépris possibles...
- je ne suis pas votre chose, pour qui vous prenez-vous à la fin! lui lançai-je avec courage...
- Ah ouais? répondit-il.
Et il esquissa ce geste dérangeant: il posa sa main à plat sur l'accoudoir du fauteuil, paume en l'air, et redressa lentement le majeur vers le plafond, jusqu'à former ce geste vulgaire...
- Viens-là... Approche.. Mets les mains derrière la nuque et approche, ma belle...
Il remuait le doigt avec obscénité, me faisant signe d'avancer, et le tenait dressé comme une invitation...
- Mais .. Je... A quoi jouez-vous... ?
Il me paralysa du regard, la menace y était omniprésente, la violence sourdait de tout son corps, et je pris peur...
- Je te dresse, me dit-il d'une voix blanche. Mains sur la tête, dépêche... Et viens donc te planter sur mon doigt, chienne!
J'obtempérai et les mains croisées derrière la nuque, vint jusqu'à lui. Devant le fauteuil, j'hésitai...
- Une jambe d'un côté de l'accoudoir, l'autre sur moi... A califourchon, et garde tes mains sur la tête.. Avance ton bassin, c'est ça, mets-toi à l'aplomb de mon doigt et descend, viens à sa rencontre...
J'étais rouge de confusion et d'humiliation... Quelle scène ridicule! j'étais en train d'essayer de m'empaler sur le doigt d'un homme que je ne connaissais que depuis ... quoi... deux à trois heures ? et qui me parlait comme à un animal...
je sentis son majeur à l'entrée de mon orifice, une fois qu'il eut écarté ma culotte. Il s'amusait à en caresser brusquement l'entrée, et me faisait presque mal. Je m'enfonçais dessus pour faire cesser cette agression, et me traitais de tous les noms dans la foulée: c'était exactement ce qu'il cherchait! Et moi je venais de lui démontrer, quoi... ?
- Bonne chienne, vas-y, branle-toi la chatte, tortille-toi du cul, ondule, tends tes petites tétines, c'est ça...
Et il m'attrapa un sein entre les lèvres, commença à le suçoter, le lécher... Je sentais à nouveau mon sexe répondre, en essayant de l'en empêcher... Il avait ajouté un deuxième doigt et me malaxait le trou sans vergogne... et moi je montais et descendais doucement, puis plus vite, sous ses ordres...
- Vas-y, baise-toi sur mes doigts, cambre-toi, offre-toi... encore... Tu aimes ça ? tu en veux, hein?...
J'ondulais du bassin et me surpris à gémir, cambré, le regard au plafond, la bouche entrouverte... Et lui qui ne me lâchait pas les seins, à me les aspirer l'un après l'autre, les mordiller, et me flatter les fesses d'une main pendant que les doigts s'ajoutaient les uns aux autres...
Il finit par tirer sur mes cuisses la culotte et positionner tous ses doigts en pyramide...
- Force la dessus, que tu sois prête, enfonce-toi bien sur ma main...
Tout en lui obéissant, non sans grimacer, j'osais demander...
- Prête à quoi ?
- Mais à te faire prendre, ma belle! A te faire baiser pleinement... Ce n'était rien tout à l'heure, c'est maintenant que les choses vont se jouer... Si tu te débrouilles bien, s'il s'avère que tu es un bon coup, alors je te baiserai un autre jour, je ferai de toi ma petite poupée sexuelle... Ca te dirait ça ? tu aimerais ?
J'eus une palpitation anale et m'enfonçait encore plus sur ses doigts... Il les fit jouer et m'écarta l'anus dans le mouvement...
- Oui ça te plait, tu t'ouvres pour m'accueillir... C'est bien... Viens sur moi maintenant, j'ai envie de toi...
Ces mots me firent fondre littéralement et j'enjambais les accoudoirs pour m'offrir à lui, toujours sans le regarder...
Il se plaça à l'aplomb et me souleva les cuisses: je m'empalais directement et sous la surprise avalait la moitié de son membre, soit une bonne dizaine de centimètres, gland inclus... Un gland qui ne passait pas inaperçu en se frayant le passage...
- Oh putain ce que tu es serrée ma belle, vas-y, prends-moi, baise moi comme tu en as envie...
Je ne savais pas trop comment bouger et essayais plutôt de réduire la douleur... Enorme, il était, et brulant... Je tentais de m'en accommoder le plus possible, oscillant pour trouver la meilleure position, me retirant pour souffler un peu et me relâchant sur lui, et puis pressant d'avant en arrière sans autre mouvement, lui pesant sur mes épaules pour m'enfoncer plus encore sur son membre... jusqu'à ce que je sente la partie la plus large, sa base, avec ses poils durs, m'écarteler le cul…
Mes mouvements, malgré-moi, m'avaient excités, je me serrai sur sa bite chaude et gonflée et outre la réduction de la douleur, ça me procurait un plaisir croissant... Il était tellement... en moi! Cette sensation nouvelle - je n'étais pas allé plus loin qu'accepter deux doigts de ma femme - finissait par m'occuper le cerveau comme une obsession...
Il se leva du fauteuil comme si je n'avais rien pesé... et pourtant je n'étais plus dans mon poids de jeunesse! Sans effort, il me porta et me prit, lentement, puis plus fort, dans ses bras... j'avais abandonné ma pause mains croisées derrière la nuque pour accrocher la sienne et m'y arquebouter... Et son sexe, comme un fer rouge, me taraudait le fondement plus encore... je le sentais m'envahir, prendre possession de moi, me porter quasiment à lui seul comme un pal, forer dans mon intérieur pour m'arracher je ne sais quel aveu... Il colla se lèvres aux miennes un bref instant et j'en perdis le souffle... Des mots se formaient dans ma tête, je voulais lui dire des choses mais n'osais pas, ne voulais pas... Je me concentrai donc sur les sensations, cette pénétration intense...
- Hmmm T'es bonne, j'en reviens pas... Laisse-toi aller, vas-y, prends ton pied.... me murmurait-il à l'oreille tout en la léchant...
Je frissonnai de plus belle et m'accrochait à lui comme à une bouée. je le sentais gonfler encore et coulisser dans mon cul comme un vérin hydraulique... Il devait cracher du liquide séminal à gros bouillons dans mes entrailles ou alors je m'étais mis à mouiller... Ou encore la sueur qui me coulait le long de la raie avait lubrifié le tout pour mieux le servir...
- Rahhh tu me fais du bien, tu sais? Sens comme je te remplis, c'est ça, serre ma bite avec ta chatte, contracte ton con... Ahhh qu'il est délicieusement étroit, ton fourreau...!
Et je sentais monter en lui toute l'énergie et la tension du plaisir, une vague de joie féroce, aussi, de m'avoir à sa botte, à sa bite, généreusement, car je me lâchais vraiment maintenant et accompagnais ses mouvements pour plus d'harmonie et de fluidité... et mieux sentir ses 20 cm de queue aller et venir dans mon trou, comme chez eux... Je poussais des râles de plus en plus convaincus...
Il me posa enfin et me retourna face au mur. Me manipulant à sa guise il me fis cambrer au maximum tandis que je m'appuyais des deux mains sur la cloison... Je me tendis pour le recevoir mais il voulait jouer un peu... Je sentais comme une caresse délicieuse sur mon anus, puis il s'enfonçait doucement et son gland semblait rouler à l'intérieur, comme une pierre chaude... Il ressortait et recommençais, encore et encore... je finis par comprendre qu'il frottait délicatement son prépuce sur mon orifice puis se décalottait en me pénétrant doucement... la sensation était terrible! Il poursuivit la manœuvre en me claquant les fesses juste avant la pénétration, ce qui provoquait une contraction de ma part: je sentais alors son gland forcer la porte , et vaincre ma résistance pour mon plus grand plaisir...
- Ohhhh, oui... encore... Comme ça... Oui, là... Là... c'est bon.... C'est si bon...!
C'était moi... mes digues avaient cédé et je lui manifestais mon plaisir... Moi qui quelques heures plus tôt était un pur hétéro... qui certes avait déjà fantasmé sur des hommes mais juste fantasmé! Tandis que là, je me donnais, j'avais envie de me donner, de lui plaire, à ce salaud...
- Ca y est, ça vient, vraiment cette fois... Laisse monter, tu vas voir ça va être puissant... tu crois que tu as jouis du cul tout à l'heure ? Ce n'était rien, un effet mécanique parce que je te bourrai le fion et qu'il n'en avait pas l'habitude... Mais là c'est ta chatte que je baise, ton con que j'enfile, tes lèvres que j'écartèle...
Il me caressait l'intérieur des cuisses de ses grosses mains velues, il frottait ses paumes sur mes tétons gorgés de désir, il me massait vigoureusement les épaules, ou saisissait mes hanches avec vigueur pour mieux me tarauder les reins... Et je criais mon plaisir, me cambrais plus encore, je tendais ma main entre mes jambes pour le saisir, sentir ses couilles me tamponner, sa hampe aller et venir en moi, quelle sensation, son braquemart de compétition allant et venant dans ma chatte, oui, ma chatte, qui s'ouvrait comme une fleur...
- Prenez-moi... Prenez-moi encore, possédez-moi... Je suis à vous, toute à vous...
Il attrapa à nouveau la bouteille de Poppers et me chargea... Je décollais dans un nuage noir et une explosion dans le crâne... Mon sexe se tendit au maximum et je m'ouvrais plus... Il me fit passer dans sa chambre et s'allongea sur le dos... je montais à califourchon sur lui et après une nouvelle inhalation m'empalais d'une traite...

A suivre

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