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Bonne fête Maman..!

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A l'occasion  de la fête des mères:
 lisez les aventures de Sylvie.
Je vous le dit moi: 
Toutes des putes même ma mère lol...

Pensez à faire de gros gros bisous à vos chères Maman...

Un fils qui aurait mieux fait de s’occuper de ses oignons
A 50 ans, ma mère est ce que l’on appeler quelqu’un de provocatrice dans le sens où elle aime mettre en valeur ses charmes. Cela a posé des problèmes de couple avec mon père mais elle a toujours réussi à ne jamais aller trop loin et ne l’a jamais trompé.
Hélas, elle sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme car elle fréquentait des amies à elle, portées sur la bouteille et la fête à la différence qu’elles étaient toutes divorcées et donc libres. Chaque samedi soir, en fin de semaine, elle sortait avec ses amies pour se détendre soit disant après le travail (elle est caissière).
Mon père était blasé et la laissait faire à la fin, sans plus rien dire. Ses tenues raccourcissait au fur et à mesure et il arrivait que cela frise l’indécence. Puis, à force , ce qui devait arriver arriva et, sous l’effet de l’alcool, elle finit par coucher avec un mec de mon âge (28 ans). Ce n’est pas un canon mais Sylvie (son prénom) a des atouts qui font flasher les hommes.
Des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Une grosse paire de loches natures et des lèvres digne d’une suceuse. Comme elle mettait des minijupes et des talons aiguilles sans bas, on avait l’impression de deux jambons. Certes pas très beaux mais suffisamment vulgaires pour ne laisser aucun mâle indifférent.
Ses coucheries se surent mais ma mère nia et devant l’incertitude mon père ne voulut pas divorcer. Moi, ayant été viré de mon job et viré par ma copine, je dus retourner vivre dans le petit appart de mes parents.
C’est à ce moment que je découvris le véritable visage de Sylvie qui je savais être provocante mais jamais aussi salope. A ce moment là, je fréquentais une arabe non musulmane qui avait un frère avec qui je m’entendais plus ou moins bien. Je lui confiais les problèmes de chez moi et me dit qu’il l’avait déjà croisé en boite.
Nadir m’avoua qu’il avait pas voulu m’en parler de peur de me faire honte. Il confirma ses états d’ébriétés et le nombres incroyables de mecs qui tournaient autour d’elle à ces moments là. Je ne savais pas quoi faire et il me dit :
- Le mieux est de lui donner une leçon de savoir vivre!
- Mais comment ?
- En lui faisant peur !
- Tu veux que je lui fasse peur ?
- Pas toi, mais tu peux dire à des mecs de faire croire qu’ils veulent la violer !
- Pas question, Nadir ! Ça va la traumatiser.
- Dans ces cas là, elle sera toujours une salope et déjà sa réputation fait le tour du quartier. Je crois qu’il vaut mieux pour toi et surtout pour elle qu’elle arrête ses conneries.
- Tu as raison, mais on peut faire quoi ?
- J’ai des potes qui vont se faire une joie de la faire flipper mais en échange ils vont demander du fric, environ 60 €uros.
- J’ai pas trop de fric mais je leur donnerai.
- Alors c’est bon ! Je suppose qu’elle sort toujours au même endroit ?
- Oui
- Bon, je te garantis que c’est le dernier week-end où elle fera des conneries. Dés Lundi, elle redeviendra normale.
- Merci mon pote mais je veux être là pour le cas où
- Pas de soucis mais reste planqué, ok !
J’étais soulagé à l’idée que tout puisse rentrer dans l’ordre et de calmer ma mère. On mis au point un plan. Parmi les potes de Nadir, il y avait un mec beau gosse, 25 ans à peine et sa mission était de séduire ma mère et de l’entraîner au dehors. Là, les autres feraient mine de l’agresser pour la violer et au dernier moment la relâcherait en lui faisant la morale.
Mais ça s’est pas passée comme prévu. Le samedi suivant, j’accompagnais Nadir qui m’avait présenté les fameux mecs en question. Ils semblaient réglos. Sylvie se pointa une demi heure plus tard avec ses amies. Ma mère avait mis une minijupe en cuir les cuisses à l’air, des talons hauts et un top au large décolleté. Je me suis dit qu’elle avait pas honte de s’habiller ainsi et jubilais presque à l’idée de lui montrer que sa façon de se vêtir était honteuse.
Les potes en question entrèrent en scène et le gars chargeait de la séduire entra dans la boite. Il semblait connu vu qu’il rentra gratos. Ma mère était déjà saoule et désinhibée. Il fut facile de la draguer. Au bout de trois quart d’heure, le gars sortit avec elle et l’emmena dehors. Un peu plus loin, il y’avait un parc où la journée, les familles venaient se promener. Je me mis en retrait et tentais de les suivre en me cachant.
Ma mère était bien ivre et elle disait de belles bêtises en riant. Elle ne se rendait même pas compte que le jeune gars la trimballait afin de l’attirer dans un traquenard. Et voilà que la bande sort. Ma mère ne réalise pas sur le coup. Puis le beau gosse la poussa vers les autres qui la saisirent par les bras. Tout en l’insultant, ils lui administrèrent deux claques et lui arrachèrent son top en tirant sur l’échancrure comme des fous. C’est à ce moment que je sus que tout allait dégénérer. Lui arracher ses vêtements ne faisait pas parti du contrat. Je n’osais pas intervenir car j’avais encore plus honte que ma mère, bien que saoule , me reconnaisse et comprenne que je suis en partie responsable de ça.
Là, celui qui lui avait arraché le top lui extirpa les seins du soutient gorge et se mit à les malaxer. On lui ôta ensuite sa minijupe en tirant dessus. Puis ce fut le tour de son string rouge. En un clin d’œil, elle fut nue en plein milieu du parc, au milieu d’un tas d’homme qu’elle ne connaissait pas. Mais elle ne semblait même pas réagir. Ses copines de leur coté avait vu Sylvie sortir de la boite en compagnie de ce jeune mec encore plus jeune que moi, son fils. Elles ne s’inquiétaient même pas pensant qu’ils prenaient du bon temps tous les deux. Rapidement, les hommes sortirent leur pines que ma mère engouffra tour à tour dans sa bouche. Je fus surpris qu’elle le fasse sans réagir comme si c’était une habitude. Elle les suça copieusement en léchant le gland de ces hommes. On aurait dit une sorte de film de cul tourné par un mauvais cinéaste du genre. Sa bouche pompait et pompait avec une incroyable dextérité. Les hommes prenaient leur pied et continuaient à l’insulter de plus belle. En fait (avec l’aide de l’alcool), elle avait accepté de baiser tout ces mecs. Une folie. Deux d’entre eux giclèrent dans sa bouche. Elle en avala une partie mais le reste avait été trop rapidement projeté et coula sur elle en collant ses cheveux et son visage. Elle sentit un doigt qui s’insinua dans son anus puis dans son vagin. Le doigt dans le vagin l’excita et elle se mit à mouiller. Ses deux orifices furent mis à contributions. L’un la souleva et la pénétra par l’anus tandis qu’un autre la pénétrait en même temps par la foune.
Les sexes limaient les deux orifices arrachant des gémissement de plaisir à Sylvie, à moitié consciente. Les mains du beaux gosses malaxaient la paire de loches gluante aux longs tétons. Un groupe de jeune qui sortait de la boite passèrent prés du parc et virent l’attroupement. Ils crurent que Sylvie était une pute ayant fait un prix de groupe.
La bande qui baisait Sylvie les firent payer et a leur tour, se mirent à la prendre par tous les orifices et à plusieurs dessus. Ma mère suintait le sperme de partout et sa peau luisait sous la pleine lune. Elle commença à hurler très fort attirant d’autres mecs qui payèrent à leur tour. Ils déversèrent une quantité de foutre extraordinaire entre les deux nibards. Elle se l’étala copieusement tout en suçant la moindre verges se présentant à porté de sa bouche.
Deux amies qui s’inquiétaient de ne pas la voir revenir sortir et le videur leur indiqua en souriant qu’elle se trouvait dans le parc. Là, elles virent le manège de Sylvie. Elles la virent en pleine action, prenant son plaisir à se faire baiser comme la dernière des putes. Pourtant, chaudes, elles furent choquées de la voir se comporter comme ça. Même elles n’auraient jamais eu l’audace de se faire prendre par autant de personne à la fois. Elles rentrèrent dans la boite un peu en colère.
Finalement, après s’être bien vidé, ils la laissèrent à même le gazon entièrement nue, épuisée et recouverte de sperme de la tête au pied. Le beau mec l’insulta et lui dit que dorénavant, elle devrait cesser de se comporter comme une pute sous peine d’avoir de gros ennuis.
Sylvie s’endormit, nue, ivre et fatiguée jusqu’à ce que ses copines viennent la chercher et la ramène chez elles en piteux état.
Deux jours après Nadir m’appelle apeuré et me dit :
- Putain, ils veulent à nouveau se taper ta mère ! On est dans la merde ! Je leur ai proposé du fric mais ils ont rigolé et on dit que ça vaut pas son cul ni ses nibards.
J’ai compris que j’avais fait une belle connerie en essayant de ne pas m’occuper de mes oignons. Au lieu de la rendre normale, j’en ai fait une pute. Et donc à ce jour, celle qui se fait le plus baiser dans l’affaire, c’est ma mère.
Depuis la dernière fois, mes parents sont toujours ensemble et les potes de Nadir ont lâché la grappe à ma mère. Je pensais que la leçon lui aurait suffit mais Sylvie sort toujours et en plus dans la même boite. De toute façon, elle rentre gratuitement car selon les rumeurs, ce serait une femme facile et cela attire les clients. Les patrons l’encouragent même à s’habiller de plus en plus court et lui offre ses consommations la plupart du temps. Cela ne l’a pas aidé à se détacher de la bouteille et cela la rend imprudente et naïve. Du coté de mon père, je crois qu’il ne veut pas le voir de même qu’il ferme les yeux sur le fait qu’elle boive un peu trop. Les tenues sexy de ma mère ne le dérange pas trop car elle s’habille comme ça depuis des années. Mais ce qu’il ignore, c’est que les tenues sexy qu’il voit non rien à voir avec celles qu’elle met pour sortir.
Enfin bref, l’été est arrivé et mes parents décident de partir en vacance en m’y invitant. Je n’avais rien à faire ce mois ci car toujours au chômage et ayant rompu avec la sœur de Nadir, je me disais que le camping serait une aubaine pour trouver des nanas. Mais là, pas de terrain de camping mais un de mes oncles nous prêtait sa caravane dans un petit terrain qui lui appartenait prés de la mer.
A 28 ans, comme un gros Tanguy, je filais le train à mes parents tout ça pour essayer de me taper une nana à la plage alors que j’aurai pu rester à l’appart et en profiter. Mais ce qui me motiva, c’est sans doute la semaine avant le départ. Ma mère, en vacance pendant un mois, avait picolé un peu histoire de se détendre. Mon père travaillait toujours dans son entreprise (mais il est patron). Donc elle était dans le salons et moi, je regardais du tennis à la téle. Je l’ai vu se verser deux verres et les boire en vitesse. Elle sait que je sais mais comme je dis rien, elle ne se cache pas avec moi. Voilà qu’elle va à sa chambre et qui au bout de cinq minute m’appèle. Je suis intrigué et j’y vais. C’est là que je tombe sur le cul. Ma mère est en bikini et un bikini noir horriblement court avec une culotte de bain qui ressemble plus à un string.
- Alors tu en penses quoi ?
- C’est chouette mais un peu provoc non ?
Elle me regarde et secoue la tête.
- Tu es bien prude toi !
- Ben, je sais pas , les femmes de ton age évite de montrer leur charme
Je savais que ce que je disais était faux et que de plus en plus de femme proche de la cinquantaine n’hésite plus à se mettre en valeur.
- De mon age ? tu me trouves trop vieille ?
Je sens qu’elle le prend mal et en plus, il est clair que ma mère ne fait pas son age. Elle fait femme la petite quarantaine. Elle a quelques formes, pas très grande 1m57 mais de très gros seins. Le haut de bikini noir aux bretelles fines les met bien en valeur voire même de façon indécente.
Sylvie a des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Sans oublier ses lèvres pulpeuses et naturelles qui donne l’impression qu’elle aurait pu faire carrière dans le porno. Mais là, je commence à me sentir un peu chauffé à la voir comme ça car même si c’est ma mère, c’est une femme aussi. Ses seins débordent de partout et c’est affolant. Son bikini ressemble plus à des dessous de charme qu’autre chose.
- Non, pas vieille et d’ailleurs tu fais pas ton âge mais un peu délurée
- Bon ben , je vais mettre mon monokini si tu veux
- Non, non, m’an, il te va bien ce bikini même très bien , mais je n’ai pas l’habitude de te voir comme ça.
Elle sortit comme a de la chambre et se servit un autre verre puis se retourna vers moi. Je savais que l’alcool la rendait désinhibé et là, je la vois qui se prend les seins et me dit :
- Et mes seins, tu les trouves comment ?
- Euh, ils sont gros
- Je voudrais faire une opération de chirurgie esthétique tu sais. Je trouve qu’ils tombent.
C’est vrai qu’ils étaient si gros qu’ils ne pouvaient échapper à la loi de la pesanteur mais au moins ils étaient vrais.
- Surtout pas, m’an , ils sont très beaux et bien gros
- Merci, mon chéri, mais si je te demande ça , c’est parce que ça fait des années qu’on est pas allé à la plage et je ne suis plus sure de moi
- rassure toi, non seulement tu fais pas tes cinquante ans mais en plus, bien des jeunettes t’envieraient.
Elle me sourit rassurée et se rhabilla. Le soir même , je me branlais comme un fou en repensant à la scène qui venait de se produire. J’avais donc hâte de partir et de voir les réactions des hommes sur la plage, à la vue de ce bikini de fou. Mais avant de partir , coup de théâtre, mon père nous apprend qu’il doit rester jusque Mercredi pour son boulot et mieux encore, nous incite à partir tous les deux avant lui. Etonnant mais suspect (des fois qu’il aurait une maîtresse mais pourrait on le blâmer ?) , ceci dit, nous fîmes nos bagages et on n’y alla. On arriva donc après presque trois heures de route.
Il faisait super chaud et j’en pouvais plus. J’étais blasé mais ma mère à peine arrivée se bu deux verres de whisky coke qu’elle avait mis dans une glacière bien au frais et se mit en bikini. Chaussée de tongues, elle se mit à faire le ménage dans la caravane. Je trouvais son bikini encore plus hard que la première fois et franchement, cela cachait juste l’essentiel. On voyait ceci dit la déformation au niveau de l’entrejambe faites par les lèvres de la foufoune de Sylvie et en ce qui concerne les seins, on voyait un tout petit peu , le haut des auréoles de ses seins. Elle voulait vraiment se faire remarquer, y’a pas de doute mais même si j’appréciais, c’était trop, beaucoup trop. Puis on dîna. Elle n’avait pas trop bu, ça allait mais elle était contente. Le lendemain, le jour que j’appréhendais arriva : la plage.
Nous somme à a peine deux km à pied. Pour venir, elle avait mis sa grande serviette, des tongues et ses lunettes de soleil donc, elle passa plus où moins inaperçue mais lorsqu’elle alla se baigner, on sentit tout de suite qu’elle devenait le centre d’intérêt. Non seulement à cause de son bikini mais en plus par les atouts honteusement provocant qu’elle mettait en valeur. Ses seins bougeaient de haut en bas et le summum fut atteint lorsqu’en évitant une vague en sautillant, l’un des ses nichons saute trop haut et se retrouve à l’air. Elle le remis presque aussitôt faussement honteuse. Voilà qu’elle revient toute trempée.
- Pff, tu devrais aller te baigner ?
- Non, je préfère bronzer.
En fait j’avais un peu honte de son exhibition même si j’en éprouvé une certaine fierté. Puis elle fit quelque chose d’inattendu mais logique la connaissant. Elle se mit seins nus. Sa grosse poitrine au soleil , elle s’allongea avec ses lunettes de soleil et se mit à bronzer. Je sentais le regard des hommes la mater et surtout ses seins. Gêné, j’allais piquer une tête mais je ne pouvais pas détacher mon regard de ses gros seins. Vers 17h, on se rentre non sans passer par un supermarché pour se ravitailler en alcool. La journée avait passé très vite et ma mère était contente de son bronzage. Elle resta en bikini pour mon grand bonheur. Elle siffla quelques verres et se trouva pompette.
- si on sortait ?
- Moi je suis fatigué m’an !demain !
- Eh ben, dire que c’est censé moi la plus âgée et pourtant j’ ai plus la forme que toi.
- Tu n’as qu’à y aller, il y’a une boite à quatre ou cinq km d’ici prés de la plage.
- tu crois que je le savais pas.
Elle rigola. C’est vrai que j’aurai du me douter qu’elle aurait remarqué le truc. Elle fit sa toilette et s’habilla. Enfin s’habiller est un grand mot. Elle avait une mini jupe à ras les fesses et un tee-shirt blanc moulant et transparent où l’on voyait son soutient gorge noir. Elle se maquilla . On aurait dit une pute avec ses talons haut, ses cuisses à l’air et ses seins énormes moulés dans le tee-shirt. Elle s’avala un dernier verre et entrepris de prendre la voiture. Je lui pris les clés et malgré son début d’ivresse, compris qu’elle allait faire une bêtise.
- Je vais t’emmener !
- Merci , mon chéri
Elle m’embrassa. Sur le chemin, elle n’arrêta pas de parler et je fus content de la lâcher devant la porte de la boite. Ca semblait être une boite huppée du moins à l’extérieur. Attifée comme elle était, Ma mère entra gratuitement . Puis je me rentra. Je m’endormis rapidement bien que l’air soit chaud. Vers trois heures, ma mère appela au portable comme convenu pour que je vienne la chercher. J’entendais la musique derrière elle et elle était bien saoule et festive. Elle me dit qu’on allait la raccompagner un peu plus tard : une bande de jeune à peine plus vieux que moi.
Je compris immédiatement ce qui allait arriver. Ma mère comme à son habitude, allait se faire avoir. Au bout d’une bonne demi heure, je décidais d’aller voir ce qu’il en était. J’appelais son portable mais rien. Une fois, deux fois toujours rien. Je pris la voiture. Et à deux km , je remarqua deux voitures garées sur le coté mais sans plus faire cas, je continuais vers la boite. Elle était fermée et plus personne. L’instinct peut être me dis d’aller voir ce qui se passait du coté des véhicules. Je me gara a une bonne centaine de mètres.
Puis je décidais d’approcher à pas de loups. J’entendis des rires et un vocabulaire ordurier. En m’approchant des voitures, je vis prés d’un bosquet , un attroupement d’une bonne dizaine de mecs. Je vis autour des vêtements répandus de partout. Je reconnus la minijupe , le soutient gorge, le tee-shirt blanc déchiré et les talons haut de ma mère. Ils avaient déjà commencé à s’occuper d’elle. Je reconnus un cri que je ne pourrai décrire comme un cris de plaisir où d’appel à l’aide. Puis je la vis à poil , maintenue au sol par quatre gars, deux lui écartant les jambes pour offrir le sexe et deux autres les bras écartés. Un autre avait sorti sa bite et la secouait devant la bouche de ma mère. Ils riaient mais attendant leur tour.
- C’est elle , la bonne femme de la plage qui se dorait la pilule avec son fils ?
- Oui, je la reconnais et matez moi cette paire !
- Mais quelle pute !
Le gars qui secouait sa bite lui malaxa les seins devant tous le monde. Il le fit de façon bien lente et provocante. Ma mère ne disait rien et semblait même apprécier. Je ne savais pas si elle était consentante ou pas. Elle ne se débattait pas et paraissait calme. Puis elle gémit aux caresses de ses seins. L’homme les lui goba et lécha les tétons.
- Elle est complètement ronde ! on va bien en profiter les gars.
- De toute façon, elle a suffisamment allumer les mecs pour savoir qu’elle était en manque.
Ma mère tenta de dire quelque chose :
- Ramenez moi s’il vous plait mon fils va s’inquiét…
En guise de réponse, l’homme qui était sur elle lui enfourna son sexe dans la bouche. Elle le suça goulûment tout en étant maintenue à terre. Mais voyant cela , les deux qui lui maintenaient les bras la lâchèrent et sortirent leurs sexes en manques. Les deux qui lui tenaient les jambes aussi et tous se mirent autour d’elle et précisément son visage pour avoir leur plaisir. Avec 5 bites en érection, elle avait de quoi faire. Elle s’empara d’une chaque main et se mit à les branler. Sa bouche pompait, pompait , pompait dur et avec un bruit gluant. De là je pouvais entendre sa bouche qui y’allait sec.
D’un coup elle se mit à gémir, un des mecs s’était mis à lui lécher le minou. Le mot, c’était bouffer car à voir l’ardeur avec laquelle il s’acharnait, on avait l’impression qui lui dévorait le sexe. Ma mère gémissait de plus belle tout en pompant dur. Rapidement, elle se mit à mouiller et voyant ça, l’homme sortit sa bite et la pénétra. Les autres lui éjaculèrent dans la bouche et sur le visage. J’avais l’impression d’un film porno dans un bosquet. Ma mère en avait plein le visage et cela fit couler son maquillage. Je la vis s’étaler du sperme sur ses seins tout en gémissant.
Mais voilà que les 5 autres décident d’entrer dans la danse. Celui qui la baisait a finit par jouir et , les couilles bien vides, se retira et laissa la place aux autres. Un à un , les hommes la prirent attendant chacun leur tour. Tout ça se passa rapidement, de la baise d’alcoolique car bien sûr, ces mecs étaient tout aussi ivre que Sylvie. Ma mère écartait les cuisses et jouissait pendant qu’on la besognait. On avait l’impression d’une succession de lapins en rut , la baisant rapidement mais avec fougue. Ce qui était sûr , c’est que les mecs s’étaient bien vidés et avait pris leur plaisir. Plaisir rapide mais bon, qu’attendre de plus de ce genre de soirée. Avant de partir, l’un des deux lui enfonça lentement une bouteille de bière vide :
- Voilà, un p’tit souvenir, toi qui aime la bibine !
Deux hommes lui écartèrent les cuisses tandis qu’on lui mettait la bouteille dans le con. Ma mère se laissa faire et l’homme put à loisir s’amuser à la goder devant ses amis dont certains retrouvaient leur vigueur. De temps en temps, Sylvie lâchait un petit cri car visiblement, il semblait s’y connaître dans l’art de masturber une femme avec ce genre d’objet. Puis comme si de rien était , ils la laissèrent là en riant nue, saoule et souillée avec cette bouteille enfoncée dans le sexe. Les voitures démarrèrent et le silence retomba sur le bosquet. Après une bonne demi heure, il me fallut me résoudre à intervenir. Ma mère s’était endormie du sommeil de l’ivrogne avec sa bouteille dans la chatte. Je rassemblais ses affaires en constatant qu’effectivement son teeshirt avait été furieusement arraché. Puis lui ôta la bouteille. Je la mis dans la voiture puis on rentra. En la sortant du véhicule, toujours nue, pour la coucher dans la caravane, mon regard s’arrêta sur ses seins qui dégoulinaient encore. Elle avait aussi encore du sperme sur le visage. Je l’essuyait et voilà que je fus pris d’une pulsion perverse. En lui essuyant les seins, je me dis que pourquoi pas tâter la marchandise . Après tout, j’y avais eu droit étant petit.
Je me mis donc à jouer avec les seins maternels en les triturant et en m’amusant avec les tétons. Qu’elle superbe poitrine bien grosse et naturelle. Je les empoigne, les malaxe, les soupèse. Ma mère dormait et je jouais avec ses deux nichons. J’avais le sexe bien dur maintenant. Je me mis à caresser son corps en entier : les cuisses , le ventre , le visage. Elle ne remuait toujours pas. Alors, je me dis pourquoi ne pas aller plus loin. Je sors mon sexe gonflé à bloc et entreprend de me masturber. Mais là, coup de théatre, ma mère émerge de son sommeil. Je me retrouve la bite à la main devant elle à poil. Elle était encore bien saoule et ne devait pas se rendre compte qu’elle n’était plus avec ses amants.
Elle empoigna mon sexe et commença à le masturber. Puis comme je m’avançais, elle le pris dans sa bouche et j’eu droit pour mon bonheur , à une pipe magistrale. Elle me décalotta et avec sa langue, me lécha le sexe. J’évitais de justesse de me lâcher dans sa bouche. Le plaisir était trop bon, je voulais faire durer. Bien que je la savais à moitié endormie, je m’étonnais de la vigueur avec laquelle elle me pipait. Le plaisir atteint son paroxysme et au dernier moment, je retire mon sexe de sa bouche assoiffée. Mais ma gaule est trop monstrueuse et je voulais aller au terme de cette histoire. Alors je la pris, sans ménagement, la bourrinant comme un sauvage. Elle écarta ses jambes et commença à me dire des insanités.
Elle voulait entre autre que je la prenne comme une pute ou que je la défonce comme si c’était une truie. Son vocabulaire m’étonna fortement mais avec de tels encouragements, je ne pouvais qu’en vouloir plus. Je la limais de plus en plus vite, encore et encore le tout sous les cris de plaisir de cette femme qui dés lors , n’était plus ma mère mais une femme comme les autres. La caravane devait tanguer tant j’étais excité et l’effet des coups de reins devait fortement faire bouger la caravane. Jamais je n’avais juté autant. Les couilles vidées, crevé , je dus me coucher. Ma mère se rendormit aussi sec, sur sa couchette, toujours à poil. Nous nous sommes réveillés tardivement, vers 13h00. Ma mère avait un terrible mal de crâne à cause de la quantité excessive d’alcool. Elle sortit de la caravane à poil avec seulement des lunettes de soleil, sans gène et devant moi. Je fis celui qui était outré.
- Maman, fais attention, si une voiture passe on va te voir !
- C’est vrai ! Cela pourrait choquer !
Elle s’approcha de moi.
- Mais tu sais mon chéri, maintenant, je n’ai plus besoin de me cacher de toi.
- Pardon, mais pourquoi ?
- Tu as oublié hier, moi pas !
Le ciel me tombait sur la tête. Je la croyais ivre, dans les vapes mais non. Elle était bien consciente. Pour justifier le tout, elle posa sa main sur mon maillot. Je me mis à bander comme un fou. Elle extirpa mon sexe et le mis en bouche. Elle me pipa si fort que je crut que mon sexe allait être dévoré. J’en eu limite mal. Je ne put m’empêcher d’éjaculer dans sa bouche. Elle avala tout. Elle alla ensuite dans la caravane et vida les restes de la bouteille. Chauffée a à peine 13h00 et malgré un horrible mal de crâne, elle me fait un beau sourire et enfile son maillot provoquant. Elle passe devant moi en roulant des fesses et en faisant rebondir ses seins.
-Allez, on va à la plage, maintenant.
Ce fut encore là une chaude et longue journée
.............................…
Les vacances à la plage sont terminées et la venue de mon père à incité ma mère à se calmer un peu. Je suis partis au bout de trois jours, incapable de supporter la promiscuité et surtout un peu gêné par ce qui c’était passé. J’ai trouvé un job de serveur dans un bar grâce au videur de la boite ou va régulièrement ma mère. En fait d’avoir trouvé, c’est Sylvie qui avait arrangé le coup et je suis même persuadé qu’elle a couché avec pour ça. J’en eu la preuve quelques jours plus tard où Jacques, le videur, venait prendre un café et se renseigné pour savoir si j’avais fait l’affaire.
Je sentais qu’il avait bu un peu mais cela le désinhibé. Je le questionnais sur la manière dont avait procédé ma mère pour le convaincre. Il esquissa un sourire en coin. Je lui proposais de lui payer un verre. Il accepta. Je lui fis un jolie cocktail pour le faire parler. Je sentais qu’il voulais m’en dire beaucoup à ce sujet de toute façon. A cet heure de l’après midi, il n’y a personne dans le bar et ça facilite les discussions.
- Tu te plais ici, alors ?
- Oui, merci de m’avoir dégoté ce boulot au fait !
- Tu remercieras ta « maman », plutôt.
- Elle est très persuasive, je sais !
- Je te le garantis mon bonhomme mais …
- Mais quoi ?
- Fais gaffe à elle ! un jour, avec ses écarts, elle risque d’avoir de gros soucis !
- Des soucis, mais de quel genre,
- Un jour, elle va tomber sur des gens pas nets. Elle risque de se faire violer, se trouver à faire le tapin voire pire encore, sur des psychopathes.
- Elle est grande quand même .
- Oui, mais ça ne l’empêche pas d’être trop confiante et surtout à cause de l’alcool. En plus, tu m’excuseras mais elle s’habille vraiment comme une prostituée des fois.
- Ça me dérange pas !
- Moi, non plus mais il y’a beaucoup de gens qui sont friands de femmes mûres comme elle. Il y’a des fois, quand je la vois, j’ai l’impression qu’elle fait tout pour attirer les ennuis.
Il finit son verre.
- Voilà, je t’aurai prévenu. Allez bosses bien, bye.
Il s’en alla. Il n’avait pas parlé de sa sauterie avec maman mais juste une mise en garde. Vers 19h00, j’eu la surprise de voir ma mère venir au bar pour voir comment j’allais.
- Alors mon chéri, ça va ? le travail te plaît.
- Oui, man et tu remercieras Jacques hein.
- Rassures toi, je l’ai remercié à ma façon.
Elle rit en me faisant un clin d’œil complice. Maintenant, cela n’était plus tabou de parler de ses adultères. Elle ôta sa veste qu’elle posa sur une chaise à coté d’elle et s’assit sur le tabouret de bar. Je vis alors qu’elle était une fois de plus habillée de façon très provocante. Elle avait des talons haut et mis une minijupe avec des bas résilles. Elle avait aussi un tee-shirt au décolleté monstrueux. Maquillée de façon abusive , elle donnait vraiment l’impression d’aller faire le tapin. Je regardais sa bouche avec laquelle elle m’avait sucé. Elle avait mis un rouge à lèvres brillant. Elle avait des lèvres charnues mais avec ce rouge à lèvre, ça accentuait encore plus le coté suceuse. Elle commanda un whisky coca. D’une certaine manière, je pouvais m’estimer heureux voire être fier d’avoir une mère aussi sexy et provocante. A 50 ans, elle était pas mal foutue. A part peut être ses cuisses un peu grosse à cause de l’âge et surtout enroulées dans des bas résilles comme des saucissons. Par contre elle avait de sacré nichons et de son décolleté, ça débordait sacrément bien. C’est tout ce déballage et cet étalage de chair qui attirait les hommes.
- Tu sors ?
- Oui, je vais à une fête organisée par un ami rencontré en boite. J’espère que ma tenue est assez sexy.
- T’inquiète pas pour ça , tu t’es une fois de plus bien mise en valeur. On dirait que tu vas à une partouze.
Elle rit à cette remarque.
- Tu sais, je sais comment ça va se terminer. Ils vont me faire boire et ils vont tous me baiser.
- Mais tu es la seule femme ?
- oui, je suis la seule qui est voulue y aller.
- tu devrais faire attention très sérieusement. Tu y vas toute seule, comme ça et papa ne dit rien ?
- Ton père et moi passons une mauvaise passe. Je pense que nous allons divorcer !
Je m’y attendais tôt ou tard, mais bon, c’est bizarre de voir ses parents se séparer au bout de tant d’années.
- Quand tu es partis, on a pas cessé de se disputer dans la caravane. Je n’ai pas osé mettre mon bikini et hors de question de faire les seins nus à la plage. Non, je veux pouvoir faire ce que j’ai envie. Ce soir, il n’y a pas eu de discussion au sujet de cette sortie. J’ai fait ce que j’ai voulu.
- C’est sur que vous n’êtes plus sur la même longueur d’onde tous les deux. Mais pour en revenir à notre sujet , fais attention , on rencontre des gens pas net.
Elle s’offusqua
- tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. A mon age, on sait ce qu’on doit faire. Que veux-tu qu’il m’arrive. Je suis entourée d’hommes dont je connais la plupart. Je ne risque rien.
De toute façon, que pouvais-je faire, elle semblait bien déterminée et savait parfaitement ce qui l’attendait. Elle savait pourquoi on l’avait invité et comment cela allait se terminer. Elle s’était habillée pour et était parfaitement consentante. A partir de là, je n’avais rien à dire. Elle avala son verre, m’embrassa et partit. Je fus un peu triste d’avoir voulu la sermonner . J’aurai du davantage la féliciter sur sa tenue, l’encourager à aller à cette soirée et de s’éclater surtout si elle divorce bientôt.
Mais j’étais encore sous le choc des commentaires de Jacques. Déjà, j’imaginais ma mère entre les mains de psychopathes lui faisant subir les pires outrages et ça me rassurait pas. Aussi, je décide donc, après le boulot , d’appeler Jacques afin qu’il me renseigne sur cette fameuse soirée, à condition bien sur, qu’il soit au courant. Au téléphone, il me rassure car il est au courant de cette fête à laquelle il a été convié mais il n’avait pas pu aller pour son boulot de nuit. Il connaît le gars en question et il me donne même l’adresse de sa maison. Je suis un peu plus rassuré mais je me sentais l’obligation d’aller voir ce qui se passait . Jacques me dit pour terminer que cette fête était prévue depuis longtemps et que je n’avais pas à m’en faire.
Pourtant, ma mère avait bien dit que toute les filles avaient refusé. Il me dit que c’était à cause de la partouze prévue et que seule Sylvie avait accepté quitte a être partagée par les nombreux invités homme. Je remerciais Jacques et fonçais à la fameuse maison qui en fait était une belle villa. Je me garais en retrait et allais à pied. J’entendais la musique et des rires. J’escaladais le mur et j’essayais de me rapprocher le plus près possible de la piscine où il n’y avait que des hommes.
Près de la piscine , une pièce énorme avec une partie des invités à l’intérieur. J’essayais de chercher ma mère du regard mais rien. Mais j’entendis un rire. C’était elle. Je m’approchais un peu plus à l’abri en rampant prés du tronc d’arbre. L’attroupement d’hommes à la porte et passant devant la piscine masquait l’intérieur de la salle. Finalement au bout d’un moment, ils sortirent et je pus voir Sylvie, déjà bien entamée par l’alcool, sortir. Elle semblait tout à fait à l’aise pour une femme qui allait se faire baiser par une bonne vingtaine de mecs. Un homme d’une cinquantaine d’année sortit et hurla :
- Allez à poil, la putain !!
Ma mère sembla étonnée.
- Déjà, mais c’était prévu pour plus tard dans la nuit !
- Peut-être, mais bon, n’oublie pas qui te donne des euros !
- C’est vous qui voyez ! vous avez loué mes orifices et mes seins pour ce soir !
- Voilà comment il faut parler ! J’ai tout de suite vu que vous étiez une pute née !
Je suis stupéfait d’entendre ça. En fait, elle avait été payé, non, louée par ce porc. Je comprenais pourquoi maman voulais y’aller à tout pris. Je compris aussi pourquoi Jacques avait parlé de prostitution possible en parlant de Sylvie. C’était une allusion à cette soirée. Ma mère était une chaudasse mais de là à louer son corps.
Dans la salle, l’un des hommes monta le son et ma mère commença à faire un strip tease. Elle ôta son teeshirt lentement offrant à tous la vue de sa grosse poitrine pressée dans le soutif soir. Elle enleva sa minijupe aussi. Elle se retrouvait donc en string, soutient gorge, avec ses bas résilles et ses talons hauts. Elle ondulait son corps en essayant de suivre le rythme de la musique. Elle arbora un sourire de salope et se pressa ses seins énormes.
Elle s’avança vers les hommes qui se mirent à la ploter avidement. On lui tâtait ses seins en virant petit à petit son soutient, on enfonçait les doigts dans son anus et sa chatte après lui avoir enlevé ses bas résilles , ses chaussures et son string. On lui enfonçait aussi les doigts dans sa bouche. Sylvie se retrouva donc rapidement à poil, ses trois orifices explorés par des doigts avides. Ils étaient à 5 sur elle en train de la tripoter et de profaner ses trous. Ses seins étaient malaxés avec vigueur.
Déjà, le cinquantenaire tapait dans ses mains en demandant à tout ses invités de se mettre en cercle autour de Sylvie. Ils baissèrent et leur slip ou caleçon. Ils étaient 20 autour d’elle et tous bandaient tout comme moi d’ailleurs. Ma mère savait ce qu’elle avait à faire. Elle était complètement nue et, ses gros seins ballottant, se mis bien au centre et s’agenouilla. Le cercle se rapprocha d’elle , les bites des hommes en avant toutes dressées vers Sylvie qui s’empressa de les sucer. Ils se mirent à alors l’insulter afin qu’elle s’occupe de leur bites mais elle ne pouvait que d’un coté, sucer un gars et de l’autre branler de chaque main, un sexe.
L’alcool avait trop atteint certains qui ne purent se retenir d’éjaculer à cause des mains expertes de Sylvie. Elle les avait astiqué trop vite et bien sûr, les volontés affaiblies, les mecs n’avaient pu se retenir. Mais je pensais aussi que c’était une tactique utilisée par les prostituées pour enchaîner les passes. Bien branler vigoureusement les sexes afin que les mecs soient soulagés et passer à un d’autres clients. Je commençais à me poser de sérieuses questions car, en effet, j’avais l’impression que ma mère s’y prenait un peu trop bien et j’ajouterai même de façon professionnelle. J’avais l’impression aussi qu’elle devait avoir un passé douteux, qu’elle aurait caché. Avait-elle déjà fait le tapin avant de connaître mon père? Peut être même des films pornos où pourquoi pas les deux. A la voir s’activer, on pourrait jurer de voir une professionnelle du sexe capables d’enchaîner les passes à une vitesse folle. L’idée d’avoir une mère prostituée ou actrice porno , loin de me dégoûter, durcit encore plus mon sexe. Je luttais pour pas gicler. Du sperme avait donc jaillit et dégouliné sur son visage mais cela ne l’empêchait pas de sucer et de branler d’autres clients. Elle avait réussit à en avaler car l’un des gars avait sa bite dans la bouche de Sylvie lorsqu’il éjacula. Un quatrième larron parvient à glisser son sexe entre les gros nichons de ma mère. Elle se retrouva avec une bite dans chaque main, une dans la bouche et une autre entre les seins. La bouche de maman faisait un bruit de succion visqueux pendant sa fellation.
Le quatrième pressait les mamelles entre son membre et commença à se branler. Les autres sexes se faisaient pressant et exigeaient leurs gâteries. Mais déjà, elle eut droit à une double éjaculation : entre les seins et dans la bouche. Elle eut juste le temps d’avaler que déjà, un sexe s’engouffrait dans sa bouche. Elle dut à nouveau pomper. Un autre se mit derrière elle et s’allongea. Il la tira vers lui et elle s’emballa sur sa queue. Cela n’empêcha pas Sylvie d’avoir les sexes dans les mains et dans la bouche pendant que l’homme la baisait.
Celui-ci inspira ses collègues qui se mirent en tête de tous la sodomiser à la chaîne. Naturellement une queue se forma devant et derrière elle. Elle se mit à quatre patte et déjà sa rondelle était mise à mal quoique pas vraiment car cela faisait longtemps que des sexes avaient élargi le conduit culier. Le ballet commença.
Les hommes la ramonaient, jutaient et cédaient leur place. Cela pris une bonne heure et je me demande encore comment le ventre de ma mère avait pu contenir autant de sperme. Pris par son intense activité, elle n’avait pas picolé et elle avait presque dessaoulée. Le cinquantenaire s’était branlé devant le spectacle tout comme moi. On était deux misérables voyeurs. Ma mère s’allongea sur l’herbe pour récupérer un peu mais déjà, un cercle se forma au dessus de son corps.
Ceux qui avaient encore de l’énergie (et du sperme) , se masturbèrent au dessus d’elle et éjaculèrent presque tous en même temps. Elle fut recouverte de liquide blanc de la tête au pied. Une vraie douche de foutre. Elle ne réagit même pas tant elle était épuisée. On avait l’impression d’une loque recevant du sperme à foison. Ma mère eut quand même le réflexe de se malaxer les seins pour bien étaler ce précieux jus. Deux hommes la prirent et la lancèrent dans la piscine en riant. Cela redonna des forces à Sylvie qui nageait déjà vers le bord. Le cinquantenaire tendit alors une liasse bien remplit de billets.
- Tu l’as bien mérité salope ! Je comprends que ton mari ne puisse tenir la marée.
Elle se rhabilla et mis les billets entre ses nibards.
- Bon, je suis toute à votre disposition dorénavant.
- A mon avis, tu manqueras pas de travail dans le coin !
Ma mère se dirigea vers une voiture où l’attendait un chauffeur. Je décidais qu’il était temps pour moi de me barrer vite fait et de rentrer.
Le lendemain, elle se réveilla tardivement. Elle avait dormi dans la chambre d’ami à poil bien sûr. Mon père était barré au boulot. Il s’en fichait qu’elle soit rentrée tard ou pas. Sylvie se fichait que je la vois nue et donc , n’hésitait plus à se balader à poil dans la maison en ma présence. J’aimais voir ses gros seins bouger quand elle se déplaçait. Elle me parla de sa soirée car je la cuisinais bien sur. Elle me cacha par contre qu’on l’avait payé pour ça. J’aurai aimé pouvoir lui dire que j’avais tout vu mais il valait mieux pas. Le soir arriva et déjà , elle se préparait à sortir. Toujours fringuée comme une pute mais de toute façon, n’en était pas t’elle devenue une ?
Ainsi pendant quinze jour non stop , elle sortit le soir et rentrait vers trois quatre heure. Je savais pourquoi. Mon père ne lui parlait plus. Je savais qu’ils allaient pas tarder à divorcer. Mais le destin risquait hélas d’être plus glauque que prévu. Au bout de la quinzaine de jour, mon père et moi fûmes surpris de voir de ne pas la voir rentrée.
Au bout d’interminables quarante huit heures, toujours pas de nouvelles. Nous dûmes signaler la disparition de ma mère au flics. Mon père révéla aux flics leur difficultés de couple et ceux-ci lui dirent que probablement, elle avait désertée le foyer pour aller ailleurs. Mais on savait que non. Trois semaines s’écoulèrent pas de nouvelles et les flics se pressaient pas car ils apprirent lors de leur enquête les mœurs de ma mère. Pour eux, elle n’était qu’une pute de plus qui disparaissait sans laisser de trace.
Déjà, je me souvenait de ce qu’avait dit Jacques : qu’un jour , il lui arriverait malheur à force de jouer avec le feu. Des images horribles me venaient à l’esprit: j’imaginais ma pauvre mère, nue entre les mains de psychopathes pervers de la pire espèce.
Mais peut être qu’au fond, elle avait tout simplement déserté le foyer comme disait les flics. Elle avait tapiné puis cumulé assez de fric, trouvé un autre mec et était parti avec refaire sa vie. Mais la deuxième solution était difficilement plausible car elle aurait prévenu. Nous étions, mon père et moi dans l’incertitude.
En tous les cas, le mois s’écoula mais ma mère ne réapparaissait toujours pas…

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