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Histoire du net. Auteur inconnu. L'explosion... des sens!

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Quand une nouvelle rencontre
nous met face à nos imperfections masculines.

Le beau voisin qui fit exploser notre couple
1 - Je finis par sucer notre nouveau voisin en espérant qu'il laissera ma copine tranquille.
Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir de très belles formes : ses hanches sont bien dessinées, elle a un joli petit cul rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle possède une énorme poitrine.
Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle.
Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de son ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...
Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement, situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les soirs vers 20h.
Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble.
Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour, vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! S’exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux. Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffi pour considérer Baakari comme un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun son truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer la bonne personne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.
Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour son retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à la tâche...
…………………………………
Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait sans être vu.
Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer, mais elle n'était pas seule ! La personne avec qui elle discutait en riant aux éclats n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon absence pour faire connaissance avec ma copine.
Je ne parvenais pas à discerner les mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire jusqu'aux oreilles. Elle passait son temps à se toucher les cheveux et à se trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent rôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur le canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
……………………
Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la sonnette de l'appartement.
C'était la première fois que je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête dans le frigo, mais je sentais son regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos mensonges ! J'aime Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit son portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches, puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans son jeu, mais la curiosité me poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine « Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements gênés.
Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes.
Il se vantait carrément d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait ainsi de 20h45 à 23h30 !
Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait d'avoir gagné son combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la parole, son ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escorte ? C'est comme tu veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les textos faisait de Baakari une sorte de surhomme à mes yeux, contre qui je ne pouvais absolument pas lutter. L'humiliation qu'il m'infligeait en séduisant ma femme quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser abuser par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de son entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et force m'était de constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclamât-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose...
Et ce uniquement pour garder Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raisonnable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et son imposante silhouette. Il ôta son t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de son paquet.
Visiblement, mon petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de son entrejambe. Je ne voyais pas encore son sexe, mais je me disais qu'il n'avait finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive, laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter...
Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber son pantalon et son caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant.
Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour ôter complètement son survêtement et son caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita pour y engouffrer violemment son chibre.
Surpris, je déglutis violemment et je crus un moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de son mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus son pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, son sexe en bouche et de la salive plein le cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander.
La vérité était que je souhaitais satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore, voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me visait avec son portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que son chibre ne quitte un seul instant ma bouche.
Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma besogne. Il avait toujours son téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce depuis au moins dix minutes !
- Ne réponds-pas, petite pute ! m'asséna-t-il. Tu préfères peut-être que ta copine et
toute ta famille reçoivent des photos de toi en train de me pomper ? Alors tu vas être bien sage et continuer à me sucer pendant que je donne rendez-vous à Charlotte... Et j'ai une petite idée pour que tu profites du spectacle sans qu'elle s'en aperçoive !
J'étais encore une fois pris au piège. Mais j'étais loin d'être aussi révolté que
quinze minutes auparavant, lorsque Baakari m'avait annoncé qu'il avait réussi à
séduire Charlotte.
Dorénavant, je me sentais la pute de ce beau noir, et après tout, il était normal qu'il ait également le droit de soumettre ma copine... D'ailleurs, j'avais machinalement recommencé à lécher la bite de Baakari, pendant qu'il me menaçait de publier les photos. Une vraie salope !
- Et puis tiens, j'ai une meilleure idée, s'exclama soudain Baakari. C'est toi qui vas
lui écrire le message que je te dicterai, pendant que tu me pompes !
Mon homme me tendit une nouvelle fois son portable, et me dicta le message suivant : « J'ai croisé ton copain impuissant qui partait faire des courses. Arrange-toi pour t'absenter du boulot, je t'attends à mon appart dans 20 minutes. Tu vas prendre la bite dont tu as rêvé toute la nuit... »
Baakari m'ordonna de garder son téléphone pour lui lire moi-même la réponse. Elle ne tarda pas à arriver. Le message de Charlotte disait : « Je pars tout de suite. J'ai hâte ».
Cela excita encore plus Baakari, qui me confia qu'il était sur le point de jouir. Il sortit sa verge de mon trou oral et se masturba frénétiquement à quelques millimètres de mon visage. Dans un râle puissant, il déversa ce qui me sembla être des litres de sperme sur « ma gueule de salope », comme il l'appelait. Au fond de moi, j'étais heureux : cela signifiait que je l'avais satisfait.
- Ooooouh ! C'est trop booooon, lâcha Baakari. Mais vu ton attitude, on dirait que toi aussi tu as aimé, ma petite Jeanne ?
En me disant cela, il me caressa tendrement le front avec sa bite. Elle commençait
déjà à débander, mais gardait une taille impressionnante. Moi, j'avais le visage
recouvert de sa semence, et je ne pouvais plus ouvrir mon œil droit, collé par le
sperme. Le jus de mon amant commençait à goutter sur le tapis du salon. J'avais tout d'une traînée, et pourtant, à cet instant précis, je me sentais incroyablement bien.
- Oui... J'avoue que j'ai aimé être ta petite femelle en chaleur...
Je n'en revenais pas de prononcer des paroles aussi indécentes. Mais c'était vrai :
Baakari m'avait rendu fou de sa bite en seulement 15 minutes.
- Tu n'as pas de chance, ta copine est tellement affamée qu'elle accourt pour se
prendre mon chibre ! Mais ne t'inquiète pas, ton petit cul ne m'échappera pas
longtemps...
Je fis le sourire le plus lubrique possible en regardant dans les yeux ce beau noir au corps puissant et musclé. Je me demandais ce qui allait se passer avec Charlotte, mais plus encore, je me demandais si j'allais un jour aller jusqu'au bout avec Baakari, qui venait de m'initier à un plaisir nouveau et intense. Plus rien ne comptait à part le sexe et la virilité de mon nouvel amant. Pas même le fait que manifestement, il était sur le point de dévergonder ma copine
……………………..
2 - Ma copine Charlotte s'offre sans retenue à notre voisin et à un de ses potes !
Le plan de Baakari pour que j'assiste à son rendez-vous avec ma copine
Charlotte était simple. Il m'expliqua qu'il me suffirait de me cacher dans sa chambre d'ami, et qu'il allait recevoir « son plan cul » dans le salon.
En gardant la porte entrouverte, je pourrais sans difficulté apercevoir ce qui allait se passer entre eux. Nous étions toujours dans mon salon, lui entièrement nu, moi recouvert de sa semence, et Charlotte devait arriver d'ici une petite demi-heure. Baakari se rhabilla puis m'ordonna de le suivre jusque chez lui, sans me laisser me changer ni me nettoyer. Je dus traverser le hall de l'immeuble en t-shirt et en caleçon, le visage badigeonné du foutre de mon amant.
J'eus une peur terrible en imaginant que nous risquions de croiser un voisin, mais heureusement nous ne fûmes pas dérangés : il était 10h30 du matin, à cette heure la plupart des habitants étaient déjà partis travailler.
L'appartement de Baakari faisait à peu près la même taille que le nôtre. Il était décoré « à l'africaine », avec des couleurs chaudes et des bibelots africanisants. Une boîte de préservatifs XXL était posée, en évidence, sur la table du salon. Peut-être allaient-ils servir après l'arrivée de Charlotte ?...
Mon hôte ouvrit la porte d'une petite chambre et m'enjoignit d'y pénétrer.
- Voilà ta planque ! Le canapé tourne le dos à la porte, tu vas pouvoir tout observer sans que Charlotte ne s'en rende compte ! Tu peux te branler ou chialer, mais t'as intérêt à rester discret, si ta copine s'aperçoit que tu es caché là, tu passeras pour la pire des lavettes !
Baakari me mit une petite claque sur les fesses pour me pousser à l'intérieur
de la pièce. Me branler ou chialer ? Peut-être allais-je faire les deux ! Avec le
recul, toute cette histoire commençait à me dépasser, et je ressentais à nouveau la
peur irrésistible de perdre Charlotte.
D'un autre côté, la fellation que j'avais faite à mon voisin m'avait vraiment excité, et je n'avais toujours pas joui, contrairement à lui ! C'était donc un mélange d'inquiétude et de tension sexuelle qui me traversait, quand Baakari referma presque entièrement la porte derrière moi.
- Maintenant, ferme ta gueule, et attends ici pendant que je me prépare ! La petite
cochonne ne devrait plus tarder...
Par l'entrebâillement de la porte, je pouvais effectivement observer le salon et le canapé. J'entendis Baakari siffloter et faire couler de l'eau dans sa salle de bain. Je décidai de m'asseoir sur le lit de la chambre en attendant l'arrivée de Charlotte. Je pus me contempler dans un grand miroir qui était accroché au mur d'en face : j'étais dans un état lamentable, mes cheveux étaient complètement décoiffés car
Baakari les avait tirés pour m'imposer son rythme pendant la pipe, et le sperme ur
mon corps commençait déjà à sécher. Je ressassais dans mon esprit les vénements
récents. Après tout, peut-être Charlotte n'allait-elle pas venir...
Peut-être allait-elle prendre conscience que j'étais son seul amour, et qu'un énorme sexe de black n'allait pas la rendre plus heureuse...
Je m'accrochais à ces faux espoirs en rêvassant quand la sonnette de l'appartement retentit. Raté ! Il était encore tôt, mais c'était certainement Charlotte ! Pour avoir accouru en si peu de temps, il fallait vraiment qu'elle soit en manque ! J'entendis les pas lourds de Baakari qui se dirigeait vers l'entrée. Il ouvrit la porte à son visiteur.
- Me voilà ! Je ne suis pas trop en retard ?
- Hey ! Pas du tout, elle n'est pas encore arrivée ! Entre, mec !
C'était une voix d'homme que j'avais entendue. Un autre homme venait d'arriver
à l'appartement ! Je ne comprenais plus rien, et je fus soudain pris de panique. Mais impossible de sortir dans le salon pour demander à Baakari des explications : j'étais pieds nus, en t-shirt et en caleçon, le visage recouvert de sperme ! Je me précipitai donc vers la porte pour tenter d'apercevoir le mystérieux visiteur.
- Rien que de lire ton texto, j'avais déjà la trique ! continua le nouvel arrivant. Cette histoire, c'est vraiment sérieux ? J'espère que je ne suis pas venu pour rien !
- T'inquiète, rétorqua Baakari. Je l'ai chauffée toute la soirée, et elle vient de
quitter son boulot juste pour ma bite ! On va se faire plaisir, tu peux me croire !
L'excitation initiale commençait à me quitter, à mesure que je comprenais ce qui se passait. Mon voisin avait manifestement l'intention d'offrir à Charlotte un plan à trois ! La situation dégénérait, je ne contrôlais plus rien ! Je finis par apercevoir l'ami de Baakari quand il vint s'installer dans le canapé.
Encore un monstre ! C'était un métis, un tout petit peu plus petit que mon voisin, mais encore plus costaud ! Ses épaules carrées lui donnaient l'air d'une armoire à glace. Lui aussi avait le crâne rasé, et il me sembla, avant qu'il s'assoie et me tourne le dos, apercevoir des grands yeux verts qui auraient fait craquer n'importe quelle femme...
Ils ressemblaient à deux joueurs de basket, grands et musclés, qui attendaient en
riant une groupie pour un plan cul. Les deux salauds se racontaient des anecdotes
sexuelles en buvant des bières que Baakari venait de sortir du frigo. Je n'eus pas le temps de me remettre de mes émotions, car la sonnette retentit à nouveau. Cette fois, je savais qui attendait derrière la porte...
- Regardez qui voilà ! Entre, ma belle, ça me fait plaisir que tu sois venue !
J'entendis un petit rire et des bruits de talons. Je ne pouvais pas encore apercevoir la femme en question, mais j'avais déjà reconnu le timbre de Charlotte...
- Waoh ! s'exclama Baakari, tu es magnifique ! Tu travailles vraiment dans cette
tenue ?
- Hihi, merci... Mais non, non, comme tu m'as dit que Jean était absent, je suis
passée en vitesse me changer ! J'espère que ça te...
Charlotte interrompit sa phrase lorsqu'elle aperçut l'ami de Baakari, toujours
assis sur le canapé. Visiblement, cette présence l'étonna grandement, et elle parut
tout de suite très gênée. Comme elle s'était avancée dans l'appartement, je pouvais
enfin l'observer. « Petite salope ! » pensai-je en mon for intérieur.
Charlotte était
en effet passée se changer à l'appart', et avait enfilé sa robe-bustier la plus courte
et la plus sexy. Elle était rouge et offrait une vue plongeante sur son imposante
poitrine. En plus de cela, elle avait mis une paire de talons de 10cm : l'ensemble la rendait incroyablement désirable, mais aussi incroyablement vulgaire...
- Tu... tu ne m'avais pas dit que tu avais de la visite... repris timidement Charlotte, en fixant le beau métis du regard.
Elle commençait à rougir, et mit ses bras le long du corps pour tenter de cacher le fait que sa robe était excessivement courte.
- Ne t'en fais pas, Charlotte, répondit Baakari. C'est un ami de longue date à qui je
voulais te présenter ! Voici Denis, il est au courant de tout, alors reste naturelle,
tu ne crains rien...
Denis se leva et s'avança vers ma copine pour lui faire la bise. Elle semblait minuscule et très fragile à côté de ce monstre, qui fit exprès de se coller à elle et de lui passer la main dans le dos.
- Enchantée, mademoiselle, déclara mielleusement Denis. Baakari n'avait pas menti, vous êtes superbe !
- Mer... Merci... Mais vous n'êtes pas mal non plus, répliqua Charlotte, qui semblait aussi troublée qu'intéressée par cette nouvelle rencontre.
- Alors ! les interrompit Baakari, tu as pu quitter le travail en pleine matinée ?
Comment as-tu fait ?
- Eh bien... J'ai... J'ai dit que Jean avait eu un accident... Et que je devais le
rejoindre au plus vite aux Urgences... Ils m'ont laissée filer sans faire d'histoires !
Autant dire que cette phrase termina de m'achever. Elle était manifestement
prête à tout pour me faire cocu ! Cette perversité, que je ne soupçonnais pas chez
Charlotte jusque là, parvint tout de même à raviver une forme d'excitation en moi.
- Ha ha ! Tu es une vraie coquine, toi ! lui lança notre voisin. Te servir de ton
copain comme alibi pour mieux te jeter dans la gueule du loup... Je n'en reviens pas !
- Je n'y peux rien, j'ai toujours été attirée par les loups ! répondit ma copine, avec
un air aguicheur qui ne laissa aucun des deux bougres indifférents.
- Hmmm... On va passer un très bon moment, je le sens ! Et comme tu vois, je t'ai fait une petite surprise, annonça Baakari en se tournant vers Denis. Tu auras deux mâles pour le prix d'un ! Installe-toi dans le canapé, on va commencer par boire un petit coup...
Je vis notre voisin passer sa main autour de la taille de ma copine, et l'inviter à prendre place dans le sofa. Elle s'assit au milieu, bientôt entourée par Denis et Baakari, qui avait pris soin de sortir des verres et une bouteille de whisky.
- Du whisky ! s'exclama Charlotte. Vous êtes fous, ça me fait perdre tous mes moyens !
- C'est bien le but, ma belle, ironisa Denis.
Ils éclatèrent tous les trois de rire en trinquant pour une première tournée.
Les deux pervers étaient totalement à l'aise, ils passaient leur temps à omplimenter ma copine sur sa tenue et sa beauté, et à plaisanter sur « le pauvre Jean » qui faisait naïvement ses courses pendant qu'eux s'amusaient.
Charlotte était visiblement aux anges, elle riait énormément et devenait de plus en plus réceptive aux allusions grossières de ses prétendants. Il se servirent plusieurs verres, et bientôt ma chérie fut complètement saoule.
De mon côté, je ne perdais pas une miette de ce spectacle humiliant. Je voyais
tout : les mouvements de plus en plus indécents de Denis et Baakari, qui maintenant n'hésitaient plus à passer leurs mains sur le cou, les hanches et les cuisses de ma copine, et en retour les provocations de plus en plus marquées de Charlotte, qui ondulait son corps et allait parfois au-devant des caresses de ses prétendants.
Cela faisait déjà une heure qu'ils passaient du bon temps, et que j'étais scotché contre la porte de la chambre d'amis. Mon sexe était complètement en érection, j'attendais maintenant que ma copine se donne entièrement à ces beaux gosses. J'avais compris depuis longtemps qu'elle ne m'appartenait plus.
Baakari finit par pousser du pied la table basse du salon, pour faire place nette sur le tapis. Il se tourna ensuite vers sa proie.
- Et si tu nous faisais un petit strip-tease, Charlotte ? Si tu veux qu'on s'occupe de
toi, il va falloir y mettre du tien pour nous exciter ! Il est temps de passer aux
choses sérieuses !
Charlotte pouffa et se redressa aussitôt. Elle dirigea lentement son visage vers celui de Baakari, et échangea avec lui un baiser langoureux. Puis, elle se rapprocha de Denis, qui accepta le même traitement. Elle passa ses mains sous leurs t-shirts pour caresser leurs tablettes de chocolat.
- O.K. les mecs, je vais vous montrer...
La petite cochonne entreprit de se lever, non sans mal puisque l'alcool la faisait tituber. Elle se tint droite sur le tapis du salon, en face de Denis et Baakari qui étaient toujours affalés dans le canapé. Sa nouvelle position la plaçait exactement en face de moi, je me retirai donc précipitamment de mon emplacement par peur qu'elle m'aperçoive.
Tiraillé par la curiosité, je revins toutefois quelques secondes après vers l'entrebâillement de la porte, en glissant prudemment un œil vers le salon. En réalité, il n'y avait aucun risque que Charlotte me voit, car elle était trop saoule et trop absorbée par la tâche qui l'occupait actuellement : tenter d'exciter au maximum Denis et Baakari. Elle était terriblement sexy. Ma copine était
en train d'onduler sur place, en se caressant d'une main les cheveux, de l'autre la
poitrine, qu'elle avait libérée en faisant tomber sa robe à sa taille.
Elle avait déjà abandonné ses talons. Elle jouait avec ses seins et passait régulièrement sa langue sur ses tétons. Parfois, prise d'un frisson, elle laissait tomber sa tête en arrière, comme transportée par le plaisir et la concupiscence. Je ne l'avais jamais vu comme ça : Charlotte était entrée dans une transe sexuelle qui la métamorphosait ! Soudain, elle lâcha ses cheveux et tourna le dos au canapé. Elle se pencha en avant et fit glisser la robe rouge jusqu'à ses pieds.
Elle offrait maintenant à l'assistance la vision de son petit cul rebondi, traversé au centre par un minuscule string noir. Lui aussi glissa rapidement jusqu'à terre. De sa main droite, elle se donna une fessée énergique, écarta une de ses fesses pour laisser entrevoir son anus et, plus bas, ses lèvres luisantes de mouille. De la main gauche, ma copine entreprit de flatter langoureusement son clitoris. Ce petit jeu dura plusieurs minutes.
Bruyants quelques instants plus tôt, Denis et Baakari étaient maintenant silencieux, absorbés par ce spectacle électrisant. D'où j'étais, je pouvais constater que des bosses impressionnantes s'étaient formées à l'entrejambe des deux lascars, qui se masturbaient déjà à travers leur pantalon.
Charlotte se redressa finalement et se retourna, pour retrouver sa position
initiale. Elle était désormais complètement nue. Sa main droite retrouva rapidement le chemin de son vagin, dans lequel elle pénétra deux doigts. Elle fixait Baakari du regard : l'alcool lui avait visiblement redonné toute son assurance !
- J'ai rarement vu une femme aussi chaude ! lança Denis à son voisin, tu es sûr que c'est la première fois qu'elle fait cocu son copain ?
- En tout cas, c'est ce qu'elle m'a dit, répondit Baakari. Mais c'est vrai qu'elle est
encore plus chaude que les salopes qu'on ramasse en boîte le week-end...

A suivre

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