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L'été des rediff..! Tranches de vie

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Suite et fin de ce témoignage.

NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode III
Thierry s'installe...
L’amant de ma femme est passé à midi.
Le but : prendre un peu plus possession des lieux. J’ai ainsi perdu l’un des deux lavabos de la salle de bain, je ferai désormais ma toilette au lavabo du garage. Symbole de ce changement, sa brosse a dent a remplacé la mienne, mon rasoir a évacué les lieux, la salle de bain m’est désormais interdite.
Nadine ne m’a pas caché la raison de cette mesure : elle souhaite en effet ranger dans la salle d’eau leurs affaires et leurs jouets intimes qu’il ne peut pas emmener chez lui à cause de sa femme ; de plus, ils aiment visiblement prendre le bain ou la douche ensemble et ils ont des souvenirs très forts dans cette pièce .
Des changements notables ont aussi lieu dans la chambre. Une commode m’y est réservée et l’armoire a été vidée de mes affaires pour accueillir quelques unes des fringues de Thierry. Bien sur, ces nouveaux lieux réservés au couple adultère sont fermés à clé et me sont inaccessibles.
Cette situation me trouble énormément. Je pense que Nadine laisse volontairement des indices destinés à maintenir mon excitation en permanence. Ce matin par exemple elle m’a demandé de faire les comptes. Dans les tickets de caisse, il y en avait un d’un sex- shop de la ville qui mentionnait l’achat d’ «accessoires»pour un montant de 189 euros. Je lui en ai parlé à midi et j’ai eu droit à un bisou très tendre sur la joue pour me remercier de lui offrir une vie sexuelle épanouie. Mais je n’ai pas eu le droit de savoir quel type d’achat le ticket concernait.
Thierry a déposé ses pantoufles dans l’entrée. Lorsqu’il vient dormir la nuit, ce qui est assez rare, je dois cirer ses chaussures. Il est chez lui à la maison.
Vacances
Plusieurs d’entre vous m’ont reproché de ne pas être assez régulier dans mes messages ; il faut vous dire que j’ai traversé une période de doutes voire de déprime au début de l’été ; maintenant cela va mieux. Je crois que je me sentais délaissé par ma femme qui est folle amoureuse de Thierry et ne prenait plus assez de temps pour s’occuper de moi ; elle était même assez agressive quand elle ne le voyait pas de 48 heures.
Heureusement, le couple m’a permis de les accompagner en vacances. Nous avons fréquenté les plages naturistes du Cap d’Agde. Ma serviette, à quelques mètres de leur parasol m’a permis de partager leur intimité et de redécouvrir celle de Nadine ; je ne l’avais plus vu nue depuis longtemps.
Plusieurs moments forts ont ponctué notre séjour et je vais vous en parler dans les jours qui viennent.
Une confirmation toutefois, Thierry ne semble pas devoir quitter sa femme ce qui me laisse pas mal d’espoir de conserver la mienne et de ne pas me faire jeter de la maison si je suis assez obéissant pour la satisfaire.
Vacances au Cap(1)
Une semaine, cela passe très vite. J’étais très heureux lorsque Nadine m’a annoncé ce séjour en me disant que je faisais partie du voyage. Mon épouse n’étant pas naturiste au quotidien (en dehors des moments sur la plage), elle a choisi une location en dehors de la zone réservée.
Vendredi soir avant le départ, je lisais au garage comme souvent lorsque Thierry est là. Ils m’ont appelé pour me dire quels étaient leurs projets :
Mon rôle sera de leur permettre de profiter pleinement du séjour : je me lèverai avant eux pour leur amener le petit déjeuner au lit, je me chargerai des courses, de faire les repas, la vaisselle, le repassage et les machines. L’après- midi, je serai libre de les rejoindre à la plage mais ma serviette sera au moins à 10 mètres d’eux. Nous logerons dans une pièce unique ce qui me permettra de profiter de leur intimité mais je devrai faire en sorte de ne pas les déranger. Le programme me plaisait, j’ai accepté immédiatement.
Comme je montrais de la bonne volonté, j’ai eu droit à une récompense. Le sexe fraîchement rasé de Nadine avait besoin d’un nettoyage et j’ai eu le droit de nettoyer le sperme qui en sortait.
Puis Thierry m’a fait mettre à genoux, il a pris mon sexe et l’a branlé jusqu'à l’éjaculation. Après avoir léché le sol, j’ai été renvoyé dans mon garage.
Plus tard, Nadine est passé me voir et a déposé un baiser furtif sur mes lèvres ; j’étais comblé … .
Départ le lendemain matin.
Journée à la plage.
Dès la première journée, la plage est la principale activité. Je suis très étonné de constater qu’il y a vraiment du monde sur cette plage naturiste et que chacun y est à l’aise, ma femme la première. Je ne connaissais pas cet aspect exhib de son tempérament.
Dès l’accès à la plage, je laisse comme prévu 10 mètres entre le couple et moi, Thierry s’amusant de cela en posant une main sur la fesse de ma femme pour affirmer un peu plus sa domination que je ne conteste pas de toute façon. J’installe ma serviette à dix mètres sur leur droite, Thierry prend soin de se mettre de mon côté pour gâcher ma vue sur Nadine ; en revanche, j’ai une vue superbe sur son sexe, décidément plus gros que le mien même au repos. Très excité, je me couche sur le ventre pour dissimuler une érection impossible à calmer.
Dimanche et Lundi sont ainsi consacrés à la bronzette, les deux amants allant peu à l’eau. Le lundi, un jeune surfeur que nous avions déjà vu la veille est venu poser sa serviette à quelques mètres sur leur gauche. Allongé en parallèle à Nadine, il a une vue privilégiée sur ses jolies formes. J’ai l’impression que cela amuse Nadine et surtout Thierry qui, comme moi, voit depuis un moment les regards appuyés du jeune brun vers cette femme nue. Le couple décide d’aller plus loin ; Nadine s’asseoit, faisant admirer ses beaux seins puis se lève, met sa serviette à la perpendiculaire de Thierry et s’allonge sur le ventre en appuyant sa tête sur le dos de son homme. Ses yeux coquins me regardent maintenant et elle offre une vue imprenable sur son entrecuisse au jeune surfeur, tellement troublé qu’il n’ose presque plus regarder. L’invitation est claire, osera- t’il ? Quelques minutes passent, le jeune mate de plus en plus mais ne bouge pas. C’est Nadine qui prend l’initiative et va se tremper dans l’eau. Thierry, habillement, ne bouge pas. Sans surprise, le surfeur file se baigner, sans sa planche, et peu à peu, se rapproche d’elle jusqu’à engager la discussion.
Peu de temps après, Nadine revient à sa serviette, glisse quelques mots dans l’oreille de Thierry. Celui- ci satisfait lui prend la main, me fait signe de ne pas bouger et l’emmène dans les dunes, suivi, comme par hasard par le beau brun. Je sais que c’est le début des réjouissances ; imaginer ce qui se passe dans les dunes m’excite au plus haut point, je reste sur le ventre. Le surfeur à un très joli physique, elle doit prendre plaisir à embrasser son torse musclé et imberbe ; son sexe n’a pas l’air exceptionnellement gros. La ballade dans les dunes dure bien 20 minutes, cela me semble très long ; puis je vois tout ce petit monde revenir, visiblement hilares. Pendant que le surfeur installe sa serviette juste à côté de ma femme, Nadine me rejoint rapidement, officiellement pour faire un bisou à son mari adoré, en réalité pour me faire constater que du sperme coule de son sexe et qu’elle en a aussi sur ses seins. Elle se couche alors sur moi pour me déposer sur le dos la semence de ses amants. Puis elle part se baigner, avec son nouvel amant ; ils passeront pas mal de temps dans l’eau enlacés.
Je comprends vite que nos vacances à trois vont sans doute devenir des vacances à quatre, de quoi combler Nadine.
Soirée avec Marc
En effet, le soir même, le jeune prénommé Marc nous rejoint à l’appartement avec une forêt noire pour le dessert. Puis ils partent marcher pour digérer pendant que je fais la vaisselle.
A leur retour, je suis convoqué à la table du trio pour recevoir les nouvelles consignes. Dorénavant, à la maison, je serai nu en permanence tandis qu’eux seront habillés. Je laisserai la banquette à Marc pour la nuit et dormirai par terre sur une couverture. Pour montrer à ce dernier que cela ne pose pas problème et qu’il est le bienvenu, je dois immédiatement lui faire une fellation complète.
Marc s’approche, je me mets à genoux devant lui et nous voilà partis. Cette fellation m’a été très désagréable ; je ne sais pas comment Marc se comporte avec ses copines mais visiblement, son plaisir est d’enfoncer le sexe le plus loin possible dans la bouche ; j’ai cru qu’il allait me rendre malade ; il me tient la tête et me pilonne sans ménagement ; je me fais la réflexion que c’est une chance qu’il n’aie pas un sexe de vingt centimètres.
Les quelques fois où j’ai sucé Thierry, c’était beaucoup plus agréable mais après tout … on n’est pas là pour mon plaisir à moi. Le sexe n’est pas très gros mais les couilles sont bien pleines et lorsqu’il éjacule en me tenant la tête pour maintenir son sexe bien au fond, c’est comme une explosion ; je m’étouffe, du sperme est expulsé de ma bouche, et j’ai tout le mal du monde à avaler tout ce que j’ai dans la bouche tandis que Marc se retire dans un râle de satisfaction. Fier de moi d’avoir tout avalé, je me retourne vers Nadine qui, au lieu de me féliciter, me tourne une gifle en me disant que si elle a changé son mari en esclave, ce n’est pas pour que celui- ci dégueulasse la moquette. Il y avait du sperme un peu partout autour de moi et j’ai du le lécher jusqu’à laisser place propre avalant quantité de poils de moquette au passage.
Notre petit appartement comportant une seule pièce, ma présence devient une gêne pour leurs ébats. Ce n’est pas la première fois que je suis présent pour entendre mon épouse prendre du plaisir mais c’est en général sur de petits moments puis on me renvoie au garage.
Lorsque vers 23 heures ils décident de prendre du bon temps dans le lit, Thierry me met un bandeau sur les yeux et m’ordonne de me tenir debout dans un coin jusqu’à nouvel ordre. Cette situation, excitante au début, tourne vite au calvaire ; j’entends Marc et Thierry s’occuper de Nadine pendant plus de deux heures ; la fatigue et la douleur m’envahissent. J’ entends Nadine s’éclater, je ne saurai dire combien d’orgasmes elle a.
Quand ils font une pose, Thierry explique la situation à Marc, celle d’une épouse insatisfaite, qui avait eu un orgasme en dix ans jusqu’à leur rencontre. Même si je sais que ce n’était pas vrai, je souffre d’entendre Nadine confirmer que j’avais plein de qualités mais surement pas celles qu’on attend d’un homme.
A partir de ce moment, Marc s’est montré insolent avec moi, disant que des gars comme moi devraient être castrés, ce serait dans l’ordre des choses, il commence lui aussi à m’appeler tite couille. Quoique j’apprécie de constater que cet inconnu met un préservatif pour s’occuper de ma femme, cela a un inconvénient de taille, c’est qu’il prend plaisir à venir le vider dans ma bouche en me traitant de bonne salope. Cela s’est produit 8 fois sans mentir. Je ne sais pas quelles sont ses habitudes sexuelles mais je suis surpris à chaque fois de la quantité de sperme dans le préservatif.
Ce Marc, je ne l’aime pas. Nadine a pourtant l’air de beaucoup l’apprécier, au point de lui offrir son cul, un cul magnifique auquel je n’ai jamais eu droit. Au cours de leurs ébats, ils ont pris une position plus difficile qui a fait jouir Nadine très fort, mais je n’ai pas réussi à savoir si elle avait une queue dans la chatte et une dans le cul ou les deux dans la chatte.
Deux heures de baise intensive, je le sais car j’ai entendu Marc dire qu’il était une heure du matin, puis des bruits de douche, un long moment de caresses et d’embrassades dans le lit, puis plus rien pendant un long moment.
M’auraient- ils oublié ? Je ne supporterai pas de passer une heure de plus debout, la nuit j’imagine même pas. Puis la délivrance, le bruit de la chasse d’eau, des pas qui s’approchent et la voix de Marc qui me chuchote à l’oreille :
- Ils se sont endormis, on a failli t’oublier salope, tu veux retourner à ta couverture ?
Je ne l’aime pas mais il me délivre et j’ai répondu
- Oh oui, s’il te plait ».
C’était une erreur, ce mec est un sadique :
- D’où tu me tutoies, chien ? ».
Il me prend alors les tétons entre deux doigts en prenant soin de me faire très mal et me met au sol. Il m’attrape les cheveux et me fait lécher ses pieds, puis ses aisselles, puis son cul et pour terminer il me fourre de nouveau son sexe dans la bouche et me prévient :
- Une goutte par terre et tu dors debout !
Je dois alors subir une nouvelle fellation brutale et angoissante : je suis à l’écoute de ses gémissements, de ses spasmes, pour ne pas me faire surprendre et sentir son éjaculation arriver. Par bonheur, il a envoyé la sauce avec le sexe un peu en retrait et non au fond de la gorge, ce qui m’a permis de bien refermer mes lèvres sur son sexe et de tout avaler, en laissant juste couler un peu sur mon menton que j’ai récupéré par la suite. Sans un mot, il m’a pris par les cheveux, m’a couché sur la couverture et m’a enlevé mon bandeau.
Nadine et Thierry s’étaient effectivement endormis, elle sur lui, son sexe en elle, ma femme était très belle.
Que faire?
Ce Marc, je ne l’aime pas.
J’y ai pensé une bonne partie de la nuit. Je ne suis pas homo. Il m’arrive de satisfaire Thierry pour le bonheur de ma femme et parce que j’accepte ma soumission à ce couple mais je sens bien qu’au fond ils ont de la sympathie pour moi (Nadine est parfois très tendre).
Mais Marc me méprise, il se défoule sur moi et je ne sais pas jusqu’où ça peut aller. Devrais- je en parler à ma femme ? Thierry et elle ont- ils fait exprès de le laisser s’occuper de moi hier soir ? Je ne sais pas quoi faire.
Comme tous les matins, le réveil de mon téléphone sonne à 6h30. Je dois être sur que tout soit prêt à leur réveil, petit déjeuner et la presse du matin. Je sors faire les courses.
A mon retour, tout le monde dort encore. J’en profite, chose interdite, pour aller me caresser dans les toilettes, une éjaculation, la première depuis notre arrivée, c’est toujours ça de pris, j’en avais très envie.
Marc se réveille en premier et les brimades se poursuivent. Les insultes viennent naturellement chez lui. Sa dernière lubie, c’est que je tienne son sexe pendant qu’il urine, il dit que ça convient bien à une lope comme moi. Et bien sur, sans surprise, j’ai dû nettoyer son sexe à la fin. Comme l’effet de ma langue sur son gland n’a pas tardé à se produire, nous voilà parti pour une nouvelle fellation, de bon matin, à jeun.
Cette nouvelle séance de pilonnage intensif réveille le couple qui vient assister et pense que j’y prends goût. Pour augmenter le plaisir de Marc, Nadine encore nue s’approche et se met à lui passer des coups de langue dans le cou, sur les oreilles, sur le torse. Marc roucoule de plaisir et éjacule avec cette expression savoureuse :
- Vas- y salope prend tout ce bon yop » ; En plus c’est un poète !
Les femmes sont décidément plus fines que nous. A plusieurs reprises pendant la fellation, mon regard a croisé celui de Nadine et elle a compris que les choses allaient trop loin pour moi. Elle en a parlé par la suite à Thierry et, comme par miracle, le beau Marc n’est plus réapparu.
Je veux voir dans sa démarche une preuve de l’affection qu’elle a pour moi. Le lendemain elle me confiera que j’étais très beau, soumis et obéissant de la sorte mais que j’avais raison, ce Marc est une brute.
Mes rapports avec ma femme me comblent en ce moment ; je sens qu’elle tient à moi, elle se confie parfois comme elle ferait avec une copine, me dit ce qu’elle aime chez Thierry, ce qu’elle aimerait voir changer. Elle me dit qu’elle est heureuse. Dimanche soir, ils sont sortis et elle a pris beaucoup de plaisir en se faisant caresser sur un parking.
Elle est étonnée de faire tout ça mais y prend un plaisir immense et elle est folle amoureuse de Thierry qui lui permet d’explorer ses fantasmes. Elle me dit aussi qu’elle aimerait qu’il quitte sa femme mais qu’elle n’y croit pas beaucoup. Ce rôle de confident me comble, m’excite, me fait souffrir, tout à la fois. Elle n’oublie pas son rôle de dominante et pendant cette semaine, elle s’est souvent confiée en me caressant la tête, pendant que je lui léchais les pieds.
Le monde est petit
Mardi, la plage du cap était encore plus fréquentée que la veille. Nous reprenons notre fonctionnement habituel, moi à dix mètres d’eux.
Alors que je m’étais assoupi, quelqu'un me tape sur l’épaule et, stupéfait, je vois face à moi Jean- Marc, un collègue de mon entreprise qui est venu dîner quelques fois à la maison.
- Ca alors, si je m’attendais, je n’aurais jamais cru ça de toi ! Nicolas naturiste ! Tu es venu sans Nadine ?
J’ai failli répondre que oui mais de peur qu’il ne la voie je n’ai pas osé.
- Non, elle est là, à côté, avec Thierry, un ami ».
Alors que je tends le doigt dans sa direction c’est la stupéfaction, Nadine est bien allongée à côté de Thierry mais elle a une main sur le sexe de Thierry qu’elle caresse tendrement et l’autre sur le sien qu’elle caresse avec la même douceur. Visiblement elle n’a pas vu Jean- Marc.
Ce dernier ne se démonte pas, appréciant peut- être cet élan libertin, il va vers elle, lui fait la bise, serre la main à Thierry avant de revenir vers moi. Il me fait un clin d’œil, me dit « à bientôt » et poursuit son chemin.
Je suis rouge de honte. Il ne peut pas imaginer que je suis soumis à un couple d’amants, il pensera juste à une aventure libertine.
En soirée, Nadine me dit qu’elle est désolée. Je lui réponds que c’est comme ça, que Jean- Marc me semble plutôt être un gars discret, en tout cas je l’espère. En fait je suis terrorisé qu’une rumeur ne se développe sur mon lieu de travail.
Fin de séjour
La suite du séjour s’est déroulée beaucoup plus calmement pour moi.
Se rendant compte que l’aventure avec Marc m’avait perturbée, Nadine et Thierry ont décidé de moins m’associer à leurs ébats.
A partir de mercredi jusqu’à notre départ samedi, je ne suis plus autorisé à aller à la plage naturiste avec eux, je dois me rendre sur une plage grand public en prenant garde de rentrer suffisamment tôt pour que tout soit prêt pour leur bien- être quand ils reviennent de la plage.
Curieusement, cette décision m’a touchée comme une punition. Les ais- je déçu en gâchant leur rencontre avec Marc ? Une autre forme d’excitation s’est emparée de moi, plus douloureuse, l’imagination de ce que mon épouse est en train de vivre en mon absence.
Les journées sont effectivement plus calmes ; c’est la première fois que je suis à la plage tout seul, sans famille ni copains, et je m’y sens perdu, au point de rentrer très tôt au studio les après- midi.
Le jeudi en soirée, Thierry m’informe que Nadine a tapé dans l’œil d’un jeune hollandais avec qui elle a passé beaucoup de temps cet après- midi et qu’il passera la nuit avec eux.
A l’inverse de la dernière fois, je devrai dégager et aller dormir dans la voiture après les avoir servi à table. Une fois de plus, être ainsi écarté me peine et je regrette ma position de porte- manteau les yeux bandés du début de semaine. Je décide d’en parler à Nadine dès le lendemain.
Le hollandais s’appelle Dennys, il parle étonnement bien le français, il est comme on imagine les hollandais, grand et blond, les yeux bleus et un sourire magnifique.
Connaissant bien Nadine, je sais qu’il est à peu près le type d’homme de ses rêves et qu’elle va se donner corps et âme à ce nouvel amant. Dennys n’a pas besoin d’explications compliquées sur la situation, Thierry me présente comme le domestique et je me contente donc de faire le service à table sans diner avec eux. Une fois la vaisselle accomplie, alors qu’ils sortent prendre un verre en ville, je prends une couverture et vais dormir dans la voiture.
Le lendemain matin, par chance, Nadine se réveille la première et nous avons le temps de discuter un peu. Elle commence par me dire que la soirée a été très intense et qu’elle a pris beaucoup de plaisir.
Je lui dis que je souhaite faire le point sur la situation. Elle me rappelle les règles avant toute discussion : Son homme est maintenant Thierry et nous ne discuterons pas d’égal à égal ; si j’ai une demande à formuler, je le ferai couché à ses pieds. Je ne me fais pas prier.
Je lui caresse tendrement les pieds tout en lui parlant. Je lui explique que j’ai mal vécu d’être écarté ces derniers jours et que je suis désolé si je l’ai déçue lors de la rencontre avec Marc mais que je ne suis pas homosexuel. La réponse de Nadine est très claire :
- Je te comprends mon petit chéri mais il va falloir t’y habituer car il n’est pas question que tu aies une relation avec une femme, je ne le supporterais pas. De plus, j’ai pu constater pendant des années ton incapacité à me satisfaire. Ne le prends pas mal, ce n’est pas méchant, mais je peux te dire que comparé à ce que je vis actuellement, je n’ai pas l’impression d’avoir eu un homme dans ma vie avant ; je ne demanderai pas le divorce, tu le sais, mais uniquement si tu acceptes ta situation d’esclave qui convient bien à ton tempérament soumis. Nous en avons discuté avec Thierry ; si c’est vraiment ce que tu veux, nous ne t’imposerons pas de relation avec des hommes mais dis- toi bien que les femmes c’est fini pour toi et que refuser de satisfaire des hommes te conduira peu à peu à une abstinence totale.
Que répondre à cela ? Je sens de la déception dans les propos de Nadine, ce qui me conduit à lui dire que je ferai ce qui lui fait plaisir. Je me suis mis à lui lécher les pieds tendrement pour la détendre.
Elle m’a caressé la tête en me disant que les choses se feront progressivement et qu’elle n’a pas l’intention de me faire du mal. Reprenant son attitude dominante, elle me dit alors que Dennys passera la nuit de vendredi au studio, elle compte profiter de lui au maximum.
Puis c’est le coup de massue sur ma tête : Nadine m’apprend que le mercredi et le jeudi, Jean- Marc, mon collègue, a posé sa serviette près de la leur et qu’il est au courant de la situation. Nadine, pour me protéger, l’a rejoint dans les dunes pour lui demander d’être discret ; elle affirme qu’ils se sont un peu caressés mais que ce n’est pas allé plus loin, qu’il doit la rappeler à la rentrée. Elle espère qu’il n’osera pas poser des conditions à sa discrétion.
Je suis anéanti. Je me sens dépassé par la situation ; j’aime la nature de ma relation avec Nadine voire avec Thierry, mais tout ce qui se passe autour m’effraye.
Pensez- vous que je dois me laisser entraîner dans cette relation d’esclave sexuel acceptant tout ?
Certains d’entre vous ont- ils connu cela, comment le vit- on ?
Aurais- je du accepter de continuer à être le larbin de Marc ?
Comment dois- je me comporter avec Jean- Marc ?
Devant mes interrogations, Thierry et Nadine souhaitent que je trouve sur internet un modèle de contrat qui corresponde mieux à ma condition de soumis et qui encadre ma nouvelle condition par rapport à Nadine ; je cherche depuis quelques jours et j’ai du mal à trouver, j’appelle les lecteurs du blog à l’aide s’ils en connaissent.
Je suis un peu perdu et tous les conseils seront les bienvenus, merci à tous.
Soumis au quotidien
Je sais que je ne suis pas très régulier dans mes messages et vous avez raison de me le reprocher. En fait il ne sa passe pas grand- chose dans notre quotidien en ce moment et je ne sais pas trop quoi raconter.
Nadine voit Thierry une ou deux fois par semaine, parfois à la maison, parfois ailleurs, je ne suis pas présent sauf lorsque je les sers à table et ma femme ne me raconte pas ce qu’elle fait avec son amant. Lorsqu’ils se voient, je suis à la recherche du moindre indice (odeur de sa petite culotte dans la panière le lendemain, tickets de caisse pour savoir où ils sont allés…). Ma paye continue à alimenter leurs soirées, le plus souvent il s’agit de factures de restaurants et de boites, de magasins de lingerie, plus rarement de sex- shops.
Le plus souvent je dors au garage et lorsque Nadine n’a pas envie d’être seule, je suis accepté au pied du lit.
Je n’ai pas la force de me révolter, je pense que je n’en ai pas envie vraiment, j’ai décidé d’accepter ma situation dans l’espoir de satisfaire ma femme et de la garder. Elle me l’a dit l’autre jour : son côté soumise s’épanouit avec Thierry, son goût pour la domination s’exerce sur moi.
Je me rends compte qu’elle me protège de Thierry qui souhaiterait qu’elle soit beaucoup plus dure avec moi ; j’y vois une marque d’affection qui me fait du bien. Cela ne l’empêche pas d’être très exigeante avec moi par moment, notamment lorsque Thierry lui manque.
C’était le cas hier : il m’a fallu plus de trois heures pour la détendre, elle assise sur le canapé devant la télé, moi à genoux à ses pieds à lui caresser et masser les pieds ; dès que je faiblissais, elle me rappelait à l’ordre d’un coup de pied léger mais douloureux dans mes tites couilles.
Ces soirées où ma seule occupation est de m’occuper de ses pieds sont à la fois agréables et frustrantes car je peux la toucher mais je sais que je ne peux rien attendre de plus. Les jours où elle n’est pas bien, elle ne supporte pas que je croise son regard, alors je baisse les yeux.
En famille, elle laisse de plus en plus apparaître son autorité sur moi et nos proches ont compris que ce n’est pas moi qui commande à la maison. Personne ne m’en parle… .
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Septembre
Pour répondre à certains d’entre vous, il m’est difficile de tenir une sorte de journal quotidien, c’est une habitude que je n’ai pas, je travaille la journée et Nadine me laisse très rarement l’ordinateur qui est un peu son domaine réservé à la maison.
Je vais lui demander ce qu’elle en pense et essayer, comme le suggère Petit- soumis de laisser deux ou trois posts au moins pas semaine. Par contre je n’ai pas réussi à trouver comment on s’y prend pour référencer des personnes. Est- ce une option payante ?
La période actuelle est assez difficile pour moi. Alors que je connais et accepte la relation de ma femme avec son amant, ce dernier doit pour sa part être discret car son épouse n’est, semble- t’il au courant de rien. Alors qu’il avait pu trouver du temps libre cet été (elle devait travailler et pas lui), Thierry a du mal à se libérer depuis quelques semaines et cela rend Nadine nerveuse voire carrément agressive.
Elle m’en parle un peu mais en me laissant toujours à ma place. La seule caresse qu’elle accepte de moi est le massage ou le léchage des pieds ; je ne suis capable que de ça dit- elle. Dans ces périodes où elle est énervée, mon surnom de tite couille est pour elle un moyen de se défouler. Visiblement, elle n’a pas d’autre amant que Thierry quand il est absent et il lui manque vraiment. Je suis désolée pour elle.
Il me semble qu’une femme belle comme elle mérite plus d’efforts de la part de son amant. En ce qui me concerne, la regarder suffit à mon bonheur et elle le sait. C’est pourquoi elle a recommencé à me menotter au radiateur pendant qu’elle prend sa douche pour éviter que je l’observe nue.
Régulièrement elle me demande si je suis satisfait de ma situation. Pour le moment, je ne prends pas de risques et je lui dis que tout ce qui lui fait plaisir me convient. Elle est attentive à me garder à ses côtés je pense car je gagne beaucoup plus d’argent qu’elle et même que Thierry ; ma paye est consacrée au bien- être de ma femme.
Je sais cependant que si Thierry quittait sa femme, ma situation deviendrait beaucoup plus compliquée, c’est pourquoi je m’emploie à me rendre indispensable de toutes les manières possibles. Peu à peu, toutes les tâches ménagères me reviennent, je me suis même mis au repassage depuis quelques jours, ce qui permet à Nadine de se défouler en me faisant remarquer que je n’ai jamais su me servir de ma bite et que je suis aussi maladroit au fer à repasser.
Je sais qu’elle fait le nécessaire pour entretenir mon désir, c’est ce qui lui permet de me tenir à sa botte. Quand elle m’amène la panière à linge au garage pour que je fasse tourner le linge, elle sait que je vais passer du temps à sentir ses strings. Elle est devenue inaccessible pour moi, pouvoir sentir ses odeurs est déjà beaucoup et j’espère qu’elle ne me privera pas un jour de ce bonheur.

NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
Episode IV…........................
Automne
Nadine accepte l’idée de me laisser la machine quelques soirs par semaine pour vous tenir au courant de mon évolution de soumis. Comme elle me l’avait demandé pendant les vacances, elle me demande de lui fournir un contrat de soumission précisant mes engagements et mes devoirs.
Une fois encore, je vous demande de m’aider à trouver un modèle que je pourrais personnaliser, je cherche sur internet mais sans succès.
L’automne arrive, la grippe aussi et Thierry toujours pas.
Hier, Nadine a vu un reportage sur la SPA au journal, ça lui a donné l’idée d’adopter un chien pour avoir un peu de compagnie et elle m’en a parlé à midi. Bien entendu, je devrai m’occuper de ce chien pour qu’il soit heureux à la maison, je le sortirai matin et soir.
Je ne sais pas si c’est une idée de Thierry mais elle m’a dit que le chien dormirait dans la chambre, ce qui lui ferait de la compagnie puisque je dors dans le garage. Comment me montrer plus clairement que dans la hiérarchie de la maison, je passe après ma femme, son amant et son chien.
….................
Après le calme la tempête
Thierry a réussi à se libérer 24 heures pour passer du temps avec ma femme. Il est arrivé à la maison samedi à 18h et en est reparti hier soir. Dès son arrivée, le visage de Nadine s’est éclairé, son amant lui ayant beaucoup ces derniers jours. Pendant que je leur sers à boire, ils s’échangent un baiser torride pendant près de dix minutes.
Le programme du soir : restaurant puis boite. Curieusement, alors que je m’apprête à passer une soirée télé tout seul, Nadine me propose de les accompagner :
- Tu choisis ; tu nous accompagnes ou tu restes à la maison ; si tu viens, tu resteras dans la voiture pendant que nous serons au restaurant mais tu pourras venir danser un peu à condition de ne pas nous déranger
Le choix n’a pas été difficile, trop heureux qu’elle pense à m’associer à ce bon moment pour elle.
Souvent, dans vos commentaires, je lis que vous êtes inquiet d’une relation qui semble à sens unique. Cela ressemble à ça parfois mais pas systématiquement et je pense qu’elle a de l’affection pour moi.
Après l’apéritif, ils filent dans la chambre pour faire ce qu’ils attendent tous deux depuis trop longtemps puis ils se préparent pour la soirée.
Thierry est très élégant, comme à son habitude. Je comprends ce qui en lui peut plaire aux femmes, sa beauté, son assurance, son sourire.
Lorsque Nadine sort de la salle de bain après s’être préparée, je suis fasciné par sa beauté. Elle ne porte pas de soutien- gorge et son body de couleur vert d’eau, transparent, laisse voir nettement les auréoles sombres de ses seins ; une jupe cuir noire et des talons, des bas noirs. Elle enfile un chemisier blanc pour aller au restaurant.
Me voilà chauffeur du couple d’amants qui en 1 heure ont rattrapé deux semaines de baisers manqués. Je passe environ 3 heures dans la voiture devant un restaurant chinois dont ils ne ressortent que vers 23h30. Puis nous allons vers une discothèque pas très loin de Clermont- Ferrand. Pendant le trajet, je constate que Nadine a beaucoup bu et est très excitée.
Comme je le redoutais, Nadine pose son chemisier au vestiaire en entrant ; tout le monde va pouvoir profiter des superbes seins de mon épouse.
Pour moi la consigne est claire : je ne m’approche pas d’eux et je ne dois pas leur parler, je peux danser mais tout seul, je ne bois pas, je dois surveiller ce qu’ils font pour me tenir disponible dès qu’ils veulent partir.
Sans surprise, ma femme a beaucoup de succès, les regards des hommes sont insistants. La musique est forte, trop techno à mon goût. Nadine est en grande forme, elle ne quitte pas la piste de danse.
Thierry est là mais un peu en retrait, il semble d’humeur prêteuse et laisse Nadine constater comme elle plait aux jeunes hommes qui s’approchent de plus en plus d’elle.
Pendant une heure, je vois les corps se frôler, des mains se poser sur ses fesses qu’elle repousse gentiment, des bras frotter ses pointes de seins, les bassins se toucher. Visiblement elle adore, elle s’éclate, elle a souvent les yeux fermés et ne semble pas trop s’intéresser à ces attouchements déguisés, elle profite du moment.
En fait, je le saurai après, elle ne perd pas une miette de ce qui se passe autour d’elle, elle observe, elle laisse ses sens la guider, elle choisit. Lorsqu’une vague de slow arrive, plusieurs hommes viennent lui parler à l’oreille mais elle a fait son choix.
Thierry ne se rapproche toujours pas.
Nadine se met à danser avec un superbe blond d’une vingtaine d’années, tee- shirt blanc, bras musclés, visiblement bon danseur. Elle s’abandonne à lui, il la guide superbement, ils dansent très bien. La tête appuyée sur son torse, elle semble apprécier son assurance.
Je n’en perds pas une miette et je suis fou d’excitation. J’aime cette femme, même quand elle prend du plaisir dans les bras d’un autre. Ce que lui offre ce jeune danseur, je n’ai jamais pu lui offrir, je suis beaucoup moins beau, je danse très maladroitement, je n’ai aucune assurance.
Dès la fin du slow, ils rejoignent Thierry dans un coin équipé de canapés et ils boivent un verre tous les trois. Je suis très surpris de voir que Thierry se tient en face d’eux. C’est le jeune danseur qui passe le bras autour du cou de ma femme et qui laisse un doigt se promener sur sa poitrine pendant qu’ils discutent. Thierry est visiblement décidé à laisser Nadine prendre du bon temps avec un autre partenaire. Pour mon plus grand bonheur, Nadine pense à jeter un œil vers moi de temps en temps et me sourit pour me montrer qu’elle est heureuse.
Un peu plus tard dans la soirée, Thierry vient vers moi pour me dire de ne pas bouger et de les attendre. Ils sortent alors de la boite et n’y reviennent que 30 minutes plus tard. Je ne sais pas ce qu’ils ont fait pendant ce temps même si je m’en doute.
Ce sont toujours des moments d’émotion forte que ces longues minutes où l’on imagine sa femme s’abandonnant à deux hommes, découvrant le bonheur d’être prise par deux sexes vigoureux. Un danseur comme ce jeune blond doit divinement faire l’amour.
A leur retour, le blond s’éloigne d’eux et Nadine rejoint la piste de danse. Un long moment encore, elle accepte les caresses déguisées, les mains posées furtivement sur ses fesses, les genoux qu’elle laisse remonter entre ses cuisses, quelques baisers dans le cou… . Elle est clairement dans un état second et prête à trouver un nouveau partenaire.
Bien sur dans ces cas- là, tous les mâles se déchaînent et les commentaires vont bon train. Passant derrière quelques- uns, j’entends des réflexions criées de bouche à oreille pour passer par- dessus la musique.
- Tu as vu la chaudasse au milieu de la piste ?
- J’ai un pote qui y a mis la main, elle n’a rien sous la jupe
- Elle doit être sacrément bonne, on tente notre chance ? Te dégonfles pas, tu crains rien, là mon gars ya une salope de compétition .
Vers les deux heures du matin, Thierry vient me dire qu’on s’en va. Nadine a trouvé un homme à son goût et elle veut en profiter à la maison. Toujours un jeune, blond encore une fois mais beaucoup moins beau que le premier et pas très bien habillé, je suis presque étonné du choix de mon épouse.
Thierry passe à côté de moi dans la voiture, pendant que Nadine fait connaisance avec Simon, son nouvel ami.
Sitôt arrivés à la maison, Thierry me confie que Nadine a choisi Simon car elle a senti en dansant un sexe énorme dans son pantalon. Il me demande de regagner le garage et y enferme aussi Câline, le chien de Nadine.
J’ai essayé de dormir un peu mais je n’ai pas réussi. J’entendais des bruits, les cris de ma femme, parfois des bruits de chasse d’eau, de la porte du frigo.
Vers cinq heures, Thierry vient me chercher et le moment tant attendu arrive enfin, je vais faire la toilette intime de ma femme.
En fait non. Thierry me dit que Simon a un sexe vraiment anormal, que ma femme a adoré et qu’ils ont convaincu Simon de m’en faire profiter aussi!
Après une gifle en réponse à mes protestations, il me met un foulard sur les yeux et me conduit dans la chambre où il y a une odeur animale. Je suis mis à genoux et ma femme vient déposer une bise sur mes lèvres, de quoi me faire accepter n’importe quoi.
Puis elle m’ordonne de lui lécher les pieds pendant que Simon va me montrer comment on traite une chienne comme moi. En effet, je sens le gland appuyer sur mon anus. Pendant dix minutes, il essaye en vain de trouver une position pour me pénétrer, Thierry m’enduit de quelque chose de gras, puis je sens des mains qui travaillent à élargir mon trou. Dès que je me contracte trop, je prends un coup entre les cuisses.
J’ai très mal, je pleure et je me raccroche à ma branche de survie, le pied de ma femme dont j’aime l’odeur, que je ne cesse de lécher et embrasser. D’un coup il parvient à entrer et se met à me limer. J’imagine la forme curieuse de ce sexe qui n’a pas l’air long car je sens le ventre de Simon contre mes fesses mais qui est très large, j’ai l’impression qu’on m’a mis un bras dans l’anus. Je pense que c’est surtout son gland qui est énorme.
Simon s’amuse à sortir d’un coup puis entrer de nouveau, je sens mon anus qui se contracte au début puis plus du tout au bout d’un moment et j’imagine mon trou ouvert et offert à la vue de ma femme.
A- t- elle eu droit elle aussi à une sodomie comme celle- là ?
Simon accélère le rythme et, pauvre de moi, les frissons me prennent, je me mets à gémir, le plaisir arrive. Thierry en profite alors :
- Tu vois bien ma chérie que c’est une tapette, depuis le temps que je te le dis ! Tu veux que je te le prouve ?
Il prend alors mon sexe et en moins de dix secondes me fait éjaculer.
Simon est lui aussi sur le point de jouir, il sort de mon cul , me fait ouvrir la bouche, la pénètre non sans peine et m’envoie une quantité énorme de sperme que j’ai du mal à avaler. Je passe dix minutes a lécher le sol pour nettoyer mes saletés.
Avant de me renvoyer au garage, Thierry me demande de lui lécher l’anus ainsi que celui de Simon. Sans surprise, je n’ai pas le droit de plonger entre les cuisses de Nadine, les seules que j’espérais vraiment.
Pour terminer je dois leur lécher les pieds puis les remercier et quitter la chambre.
Je repars dépité, sale, l’anus en feu, des goûts désagréables dans la bouche et honteux d’avoir pris du plaisir. Malgré tout, j’ai été associé au plaisir de ma femme et je n’arrive pas à me sentir malheureux, je suis même impatient de recommencer.
Couché à 6 heures, le réveil a été difficile, à peine deux heures plus tard, pour être sur d’avoir le temps de me doucher puis préparer le petit déjeuner. Je passe la tête par la porte de la chambre et je vois sur ce lit qui était le mien il n’y a pas si longtemps, Nadine dormant entre ses deux amants, tous les trois nus. Même au repos, le sexe de Simon est très impressionnant.
A mon retour de la boulangerie, tout ce petit monde est réveillé et les ébats ont repris. Par la porte laissée entrouverte, je vois nettement ma femme et Simon dans un 69 fougueux. Même comme ça elle est très belle.
Thierry m’aperçoit, me rejoint et me dit alors
- Rêve pas tite- couille, elle n’est plus pour toi, il lui faut de vrais hommes ; allez, va bosser !
Ils passent la journée dans la chambre. C’est Thierry qui en sort le premier, en sueur, vers 17h. Il m’annonce qu’il va prendre une douche puis doit filer mais que Simon, qui est étudiant, dormira ici pendant quelques jours, Nadine en a envie pour être moins seule.
La soirée a été plus calme. A l’aise comme si je n’étais pas là, Nadine et Simon se sont mis sur le canapé pour regarder la télé. Ces deux- là ne s’embrassent pas (une demande de Thierry ?) mais ils se caressent énormément, c’est une soirée très câline à laquelle j’assiste tandis que je range la maison et que je fais un peu de repassage. Puis je retourne au garage.
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Simon s'installe
Depuis le retour de Thierry dans ses foyers, Simon est comme chez lui à la maison. Il passe son temps à donner des tapes aussi vigoureuses qu’affectueuses sur les fesses de Nadine .
Quant à moi il m’appelle le cocu. Il n’a que ce mot à la bouche et il le prononce avec jubilation. C’est une humiliation qui ne me perturbe pas trop car cocu c’est mieux que rien, il y a quelque chose d’officiel dans ce titre. Je me faisais hier la réflexion que ce terme n’est jamais employé par Nadine ni Thierry alors que Simon l’adore.
Comme beaucoup de jeunes, il est extrêmement vantard en ce qui concerne ses exploits au lit et j’ai droit à des remarques du style :
- Ta femme a plus pris son pied en trois nuits avec moi qu’en dix ans avec toi ».
Le pire c’est que Nadine répond en me caressant la joue:
- Tu es un bon mari mais il n’a pas tord, c’est très fort avec lui ».
Nadine m’a dit que Simon doit partir aujourd'hui. Elle a prévu de le revoir mais en dehors de la maison, Thierry préfère apparemment, il doit avoir peur de le voir s’installer un peu trop.
Ce matin, en faisant le lit et rangeant la chambre, j’ai trouvé sept préservatifs usagés. Pas si vantard que ça le bougre !
Commentaires
Vos commentaires dont le but était de me mettre en garde m’ont plutôt perturbé et je les ai fait lire à Nadine.
Elle a su être rassurante. Elle m’a dit qu’elle n’est pas du tout indifférente à l’avenir de notre couple, qu’elle envisage de poursuivre cette relation qui satisfait ma nature soumise et son goût pour l’aventure. Elle se dit incapable de vivre avec Thierry, ne l’envisage pas du tout et ma présence à ses côtés est importante pour elle.
Elle me confirme que si je suis prêt à poursuivre une relation affective quoique à son service, elle n’a pas de raison de rompre car ma présence lui fait du bien. Mon argent lui permet de satisfaire certaines envies mais elle dit pouvoir s’en passer ou se contenter de peu si je le souhaite.
Ces jours derniers, elle a fait des efforts, je passe du temps à lui caresser les pieds, elle m’a masturbé tendrement à deux reprises et nous parlons beaucoup ; la relation de couple est presque normale si ce n’est qu’elle s’arrête à la porte de la chambre et que je fais presque tout à la maison, au service de ma petite reine.
Thierry est passé en coup de vent à plusieurs reprises et il est vrai que dès qu’il est là je n’existe plus et qu’on me traite comme quantité négligeable mais j’en prends mon parti. Dimanche j’ai eu le droit de faire la toilette intime de Nadine après le passage de son amant. C’est avec beaucoup d’excitation et un plaisir immense que j’ai passé ma langue sur son sexe chaud ; j’ai adoré les goûts et les odeurs, j’étais bien entre ses cuisses ; je vois son sexe si peu souvent que pouvoir le regarder est pour moi un émerveillement et boire le sperme qui en coule comme le jus d’un fruit est un plaisir ; tant pis si ce sperme n’est pas le mien.
Je vous remercie de l’inquiétude que vous avez pour moi et de vos conseils, je ne crois pas vouloir quitter mon épouse même si je comprends vos arguments ; j’ai besoin de la voir, j’aime m’occuper d’elle, je sais qu’elle a de l’affection pour moi et je sens qu’elle est heureuse dans la vie que nous menons actuellement. Thierry lui fait découvrir beaucoup de choses que je n’aurais jamais su lui montrer, je sais que je ne peux pas rivaliser avec cet homme dont le physique, l’assurance, le charme, la font craquer.
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L'eau à la bouche
La bouche de ma femme est devenue un élément de fascination pour moi, je la trouve magnifique, sensuelle, toujours mise en valeur par un maquillage bien étudié. J’ai confié à Nadine combien je serais heureux si elle m’autorisait à reposer juste une fois mes lèvres dessus.
Comme vous le savez, cela fait de nombreux mois que je ne l’embrasse plus ; je crois que c’est ce qui me manque le plus, plus encore que ne plus faire l’amour. Parfois, elle fait preuve de tendresse et me dépose une bise sur la joue ; le simple contact de ses lèvres sur ma peau me procure une érection immédiate.
Elle est très belle quand elle embrasse et elle le fait très sensuellement. Même si je sais que certains lecteurs auront du mal à le comprendre, il m’arrive de la regarder accueillir son amant, l’embrasser fougueusement, je suis figé, admirant les mouvements de sa bouche contre celle de Thierry. Je la regarde quand elle mange, quand elle parle, tout le temps.
Nadine sait que je la regarde comme une déesse et elle se plait à me montrer qu’elle est inaccessible. Lorsque je lui ai demandé de m’accorder un simple baiser, elle l’a pris de haut tout naturellement : « N’y songe même pas, ou alors il faudra le mériter et être très patient ». Elle m’a ensuite redit que je suis bon à m’occuper de ses pieds, que je ne mérite pas plus que ça et que pour tout le reste, elle a ce qu’il faut. Craignant de perdre le peu que j’ai et auquel je tiens, je n’ai pas insisté et j’ai dit être content de mon sort.
Je vous remercie de vos commentaires. Depuis que Nadine les a lus, j’ai l’impression qu’elle fait plus attention à moi ; cela ne fait que deux jours, il faut voir par la suite.
Par contre elle continue à me maintenir excité en me laissant imaginer des choses. Hier soir, elle m’a demandé d’aller lui acheter quelques boites de préservatifs ; je ne sais pas si c’est pour entretenir mes fantasmes ou pour ses besoins ces jours- ci, peut- être les deux d’ailleurs.
Elle ne sort pas le soir en semaine mais elle porte tous les jours de la lingerie coquine (je continue à explorer le panier à linge) et elle met du vernis rouge vif sur ses ongles de pieds. A- t- elle des aventures en journée ? Je n’arrive pas à le savoir.
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Panier à linge
Je ne sais pas si Nadine est au courant qu’il ne passe pas une journée sans que j’aille explorer le grand panier en osier de la salle de bain ; en général j’y vais le soir, quand elle est dans la chambre.
La lingerie, c’est les seules lessives qu’elle fait elle- même, ce qui m’oblige à cette surveillance quotidienne. C’est très agréable et c’est en général le moment où je me masturbe, une culotte ou un soutien gorge à la main. Je retrouve les odeurs perdues de son intimité.
La culotte est le menu de choix, incontournable, c’est le vêtement qui est le plus marqué et qui me raconte la journée de ma femme. Je sais en portant sa culotte au visage si sa journée de travail a été fatigante, si des choses l’ont excitée, si elle a été obligée de se retenir longtemps, bloquée par une réunion, pour aller aux toilettes. Tout ce qu’elle ne me raconte pas, sa culotte le fait. Il m’arrive très souvent d’en prendre une pour dormir avec.
Le soutien- gorge c’est un peu la même chose mais de manière plus douce ; en fonction de la journée de Nadine, des touches de transpiration effacent parfois son parfum, c’est souvent une odeur nuancée, légère, agréable.
Les bas ou les collants c’est encore autre chose, c’est une odeur que je connais bien, je passe toujours beaucoup de temps à lui caresser les pieds, à les embrasser, à les lécher, parfois avant même sa douche du soir alors je ne découvre rien de plus avec ses bas.
Tous ses autres vêtements me permettent d’en savoir plus encore sur sa journée, la tâche de café sur la jupe, des boutons disparus (arrachés ?) sur son chemisier,… .
Sensation
Ceux qui suivent ce blog sont au courant de ma situation de couple.
Nadine, mon épouse, a un amant régulier, Thierry, et plusieurs amants occasionnels. Thierry a une emprise totale sur elle, il la domine et l’encourage à me dominer.
Ma vie est donc aux pieds de ma femme, à son service, et cela me comble.
Les commentaires de certains d’entre vous ont eu un effet positif sur notre relation. Elle prend plus soin de moi, m’accorde du temps. Je continue à faire la plupart des tâches ménagère, à veiller à son bien- être ; elle adore quand je lui lèche les pieds et cela peut durer de très longues minutes. Elle fait désormais attention à maintenir mon envie d’elle toujours intacte : elle me masturbe deux fois par semaine environ et la semaine dernière, en accord avec Thierry, elle m’a autorisé à lui faire l’amour.
Cela faisait dix- huit mois que je ne l’avais pas pénétrée. Elle s’est allongée sur la table du salon, j’ai mis un préservatif, j’ai approché mon sexe et je suis entré. C’était une sensation fabuleuse, des frissons ont parcouru tout mon corps. Bien sur cela n’a pas duré, j’ai éjaculé en moins de trente secondes.
Nadine s’en est un peu amusé :
- Je ne m’attendais pas à plus, ce n’est pas grave, je vois Thierry demain».
Assez souvent, elle me raconte qu’il met un point d’honneur à ne pas jouir avant elle et qu’il est capable de la prendre longtemps et plusieurs fois de suite. Si l’on ajoute à cela la taille de son sexe qui est bien plus gros que le mien (bien que je n’aie pas un tout petit sexe), il est clair que je ne suis pas à la hauteur. Mais je l’ai remerciée, je lui ai dit que c’était fabuleux pour moi.
Elle m’a promis que nous le referions si je le méritais.
Le lendemain soir, Thierry était en effet à la maison. Quand ils se sont mis au lit, je me suis approché de la porte de la chambre et j’ai pu vérifier les dires de Nadine quant aux performances de son amant.
Ces derniers temps ils ne m’associent pas à leurs ébats, je n’ai plus droit à la toilette intime de ma femme ; cela me manque un peu. Je me rattrape en m’imprégnant des odeurs lorsque je change les draps du lit.
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De la visite.
J’avais toujours pensé que l’histoire de l’épouse s’envoyant en l’air avec le plombier était un cliché tout droit sorti du fantasme des hommes ; mon épouse m’a prouvé le contraire samedi matin.
Comme chaque année au début de l’hiver, la société en charge de l’entretien des chaudières nous envoie quelqu’un ; cette année un grand gaillard de presque deux mètres s’est présenté à la maison pour effectuer cette tâche. Nadine l’a pris en charge, lui montrant les lieux, lui donnant une bassine, à aucun moment je n’ai pensé qu’elle pouvait être attirée par cet homme dont la combinaison n’était pas très propre.
Alors que je bricolais dans le garage, j’entends ma femme qui me demande de venir. Je m’exécute, pensant que l’ouvrier avait peut- être besoin d’un coup de main. Ce n’était pas le cas, tout allait très bien pour lui. Joli tableau dans la cuisine : Nadine à genoux devant l’ouvrier avait sorti son sexe de la combinaison et passait des grands coups de langue dessus. Ne me laissant pas le temps de réagir, elle prit un ton très gentil dont j’ai peu l’habitude :
- Mon chéri s’il te plaît, tu veux bien aller me chercher un préservatif, tu en trouveras dans mon sac à main.
Bien sur j’y suis allé sans rien dire.
Lorsque je suis revenu, elle était en train de lécher les bourses de l’homme, les prenant dans la bouche l’une après l’autre. Le brave ouvrier qui, au début, était aussi mal à l’aise que moi, commença à prendre de l’assurance en constatant ma soumission :
- Vas- y, enfile le sur ma queue, je vais faire du bien à ta femme ».
Pour finir de le mettre à l’aise, Nadine ouvrit ma braguette pour montrer que la situation me faisait bander.
- Tu vois, Nicolas adore être cocu, alors je suis à toi, prends moi bien ! »
Je fus invité à quitter la cuisine et j’ai suivi le reste du salon, Nadine se lâchant bruyamment pour me montrer qu’elle avait trouvé un homme à son goût.
Une fois l’ouvrier parti, ce que j’osais à peine espérer est arrivé. Assise sur une chaise de la cuisine, Nadine m’a appelé à ses pieds.
- Tu viens me faire un peu de toilette tite- couille ? »
Je me suis précipité à ses pieds et je l’ai léchée longuement, avalant un sperme au goût fort et amer puis lui donnant un orgasme pendant qu’elle me caressait la tête.
Après un orgasme que j’étais fier d’avoir provoqué, elle m’a fait nettoyer le sol puis nous avons fait un moment de télévision, moi couché à ses pieds, la caressant tendrement.
Pour me récompenser, elle m’a fait mettre à quatre pattes et m’a masturbé vigoureusement, me faisant jouir en quelques secondes mais me soulageant de toute l’excitation accumulée.
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Résolution
Mon épouse, Nadine, me trompe de manière régulière depuis plusieurs mois. Son amant, Thierry, passe très régulièrement à la maison, il s’y sent chez lui et je m’efface en sa présence pour ne pas déranger le couple d’amants. Nadine me domine et ma vie est surtout consacrée à veiller à son bien- être et à la servir.
J’aime cette situation et mon bonheur est de la sentir détendue chaque soir lorsque je lui lèche les pieds. Mon surnom est titecouille mais elle l’emploie peu en ce moment.
Notre vie est de moins en moins compliquée car de plus en plus de personnes sont au courant de la situation et nous n’avons presque plus à la cacher (juste avec mes parents où Nadine accepte de donner le change d’autant que nous les voyons très peu).
J’ai parfois un peu souffert à des périodes où ma femme s’est éloignée et m’a délaissé. Vos remarques ont été salutaires pour moi car elle a pris conscience de la nécessité de m’accorder plus de temps et cela se confirme avec ses résolutions pour la nouvelle année :
Elle m’a dit ce matin qu’elle a décidé de s’occuper de moi de manière régulière. Sa vie libertine et la relation adultère avec Thierry la comblent, lui n’envisage pas de quitter sa femme et elle veut donc me consacrer du temps avec un planning bien défini :
• Deux fois par semaine, le lundi soir et le mardi soir, Nadine a décidé de me masturber et de me faire éjaculer.
• Deux fois par mois, le premier et le troisième mercredi, je serai autorisé à la pénétrer, avec un préservatif bien entendu mais elle sera habillée et aura juste enlevé sa culotte sous sa jupe. Aucune caresse ne me sera autorisée sauf demande de Nadine.
• Le léchage et le massage de ses pieds sera quotidien.
• Une fois de temps en temps, je serai autorisé à assister à ses ébats avec Thierry ou un autre de ses amants.
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Mise en pratique.
Mardi, j’ai eu droit à ma masturbation hebdomadaire. Ma femme n’avait pas pris le temps de le faire lundi soir, c’est pourquoi elle m’a dit :
- Ne t’inquiète pas, tu y auras droit deux fois aujourd’hui ».
Elle m’a fait mettre nu et à genoux. Elle s’est assise à côté de moi, a enlevé chaussures et chaussettes et a pris mon sexe dans sa main droite. Elle a fait un va et vient régulier pendant que je lui embrassais les pieds.
J’ai éjaculé en moins de deux minutes je pense.
Comme j’avais droit à une deuxième fois, elle m’a demandé de rester en position jusqu’à ce que je recommence à bander. Là non plus ça n’a pas été très long.
Dès que je me suis remis à bander, elle a de nouveau pris mon sexe en main, tout en s’amusant à me dire que celui de Thierry fait la même taille au repos que le mien en érection (ce qui n’est pas tout à fait vrai).
Cette fois, cela a duré plus longtemps. Elle s’est amusé avec mes testicules en claquant ses doigts dessus comme on fait quand on joue aux billes ; c’était assez douloureux et a stoppé mon érection. Plusieurs fois elle m’a demandé si je souhaitais qu’elle arrête. Je n’ai pas osé dire oui de peur de ne pas avoir droit à ma deuxième éjaculation.
Elle avait décidé de faire durer le plaisir. Un peu plus tard, alors que j’étais sur le point de jouir, elle a arrêté la masturbation, m’a bandé les yeux avec une serviette de table et a quitté la pièce. A son retour je n’ai pas été déçu : elle était sortie récupérer de la neige qu’elle m’a étalé entre les fesses et sur le sexe. Une minute après, elle se moquait de mon organe tout recroquevillé, devenu minuscule.
Puis elle a dit "on termine pour ce soir", elle s'est remise à me branler sans ménagement jusqu'à ce que je jouisse dans un cri de bonheur. Elle m'a alors demandé de nettoyer mes saletés par terre puis de venir lui masser les pieds tandis qu'elle regarderait la télé. Je l'ai fait pendant plus d'une heure pour mon plaisir.

NICOCULAS
Auteur :Nicolas, 39 ans, Vichy
FIN…......................
La séance du lundi.
Ma séance de lundi m’a de nouveau procuré beaucoup de sensations.
Ma relation avec Nadine est en train de changer ; ma femme a bien décidé de s’occuper de moi mais pas uniquement pour me soulager : encouragée par Thierry, elle fait des expériences destinées à m’humilier ou a accentuer mon côté soumis.
Certains d’entre vous me conseillent de laisser tomber cette vie. Je comprends ces conseils mais à aucun moment je ne l’envisage. Ma femme est si fascinante pour moi que je n’imagine pas de la voir loin de moi ; de plus, je suis bien obligé de reconnaître que j’aime ce qu’elle me fait subir. Du moment qu’elle passe un peu de temps à s’occuper de moi, je suis prêt à finir ma vie à ses côtés même si je dois me contenter de lui masser les pieds. Je sais qu’elle prend son plaisir avec Thierry, elle le dit assez ; je sais qu’elle se donne à plusieurs hommes de temps en temps et elle semble en tirer une vraie jouissance ; je sais aussi qu’elle a eu une relation avec un de mes collègues de boulot, rencontré cet été sur la plage, dans le seul but de faire courir des bruits dans mon entreprise. Elle n’hésite pas à afficher sa domination, j’ai de moins en moins peur de dévoiler ma soumission.
A aucun moment Nadine ne m’impose les choses et elle le dit clairement :
- Soit tu acceptes cette situation et tu n’as rien à dire, soit tu t’en vas, je le comprendrais, et c’est le divorce
Ce week- end, ma femme et son amant sont sortis ; je n’ai rien su de leur soirée mais j’ai eu droit à lui faire la toilette intime à deux heures du matin ; son sexe et son anus étaient très rouges et beaucoup d’odeurs s’en dégageaient. J’ai essayé d’apaiser toute cette zone qui visiblement venait de subir un traitement vigoureux. Elle m’a remercié puis est allée dormir avec Thierry.
Je pense que Thierry lui donne beaucoup de conseils ; il est lui- même dominateur et il l’encourage à me soumettre de plus en plus.
Lundi soir, Nadine m’a dit que j’aurais droit à mes deux masturbations hebdomadaires à la suite, comme la semaine dernière. Je connais le mode opératoire, je me suis déshabillé et je me suis mis à genoux par terre dans le salon. Je savais un peu ce qui m’attendait : un peu plus tôt, après le diner, Nadine m’avait demandé d’aller faire un lavement. Ma séance de ce soir serait assortie d’une sodomie.
A ma grande surprise, Nadine m’a immédiatement saisi le sexe et s’est mise à me branler, très rapidement, jusqu’à l’éjaculation. Puis elle m’a demandé de ne pas bouger et d’attendre sagement ma deuxième masturbation. Elle est allée s’asseoir dans le canapé et a allumé la télé. Heureusement que l’appartement est bien chauffé parce que j’ai passé 1 h30 nu sur le sol du salon.
Lorsque la sonnette de la porte d’entrée a retenti, j’ai eu un nœud au ventre, d’autant que ma femme m’a ordonné de ne pas bouger. Je vis entrer Simon, que nous n’avions pas vu depuis plusieurs semaines et j’ai compris qu’il était là pour moi.
Ce jeune, rencontré en boite, avait été choisi par Nadine pour la taille impressionnante de son sexe et son côté bi. A l’époque, il n’avait pas hésité à s’occuper de moi. Je compris tout à coup que j’allais sans doute subir une sodomie douloureuse.
Fidèle à ses habitudes, Simon ne m’appelle ni Nicolas ni tite couille ; son truc à lui c’est de me dire « le cocu » ; J’y ai droit toutes les trente secondes. Nadine l’a salué et, sans attendre plus, afin de s’assurer que son sexe atteigne une taille respectable, elle s’est agenouillée devant lui, a sorti son engin et s’est lancée dans une superbe fellation.
Ma femme est rarement aussi belle que quand elle suce un homme, elle dégage une sensualité fascinante et on n’a aucun doute sur son goût pour la pipe. Après une minute de ce spectacle excitant, ils se sont tournés vers moi et Nadine m’a fait remarquer qu’un homme c’est çà, en se caressant la joue avec ce sexe énorme.
Simon s’est approché de moi et j’ai commencé à me concentrer pour me détendre le plus possible au moment de l’introduction. J’ai été soulagé lorsque j’ai senti les doigts de Nadine m’appliquer de la vaseline sur l’anus ; j’ai pris cette attention pour une preuve d’amour.
- Tu vas voir comment un cocu prend son pied a dit Simon en présentant son gland entre mes fesses.
Délicat comme à son habitude, il a essayé de me pénétrer d’un coup et m’a fait très mal ; je l’ai repoussé d’une main et me suis couché par terre. Vexé, il m’a posé un pied sur le dos pour me maintenir au sol et a demandé à Nadine d’aller lui chercher la laisse de Câline.
Il m’a mis un collier au cou, y a attaché une laisse puis m’a fait remettre à genoux. Ma femme me caressait les cheveux, presque compatissante ayant sans doute elle- même quelques souvenirs de sodomies douloureuses. Simon a repris sa pénétration, plus doucement cette fois.
Pendant ce temps, ma femme a saisi mon sexe et a entamé une nouvelle masturbation. Le problème c’est que j’avais si mal que je n’ai pas eu d’érection. La douleur qui me tenait le ventre et les testicules se doublait de l’étranglement que me faisait subir Simon en tirant sur la laisse chaque fois que je bougeais un peu trop à son goût. Bien membré mais aussi endurant, le pilonnage en règle a bien duré dix minutes.
Nadine s’est agacée de voir mon sexe sans réaction ; elle s’est mise à le presser, un peu comme on trait une vache, me faisant assez mal à son tour. Les commentaires de Simon allaient bon train :
- Ton mari c’est une vrai lope …, comme vide- couilles il se débrouille plutôt bien…, s’il était castré on ne verrait pas la différence.
Nadine en rajoutait:
- C’est un bon mari sauf au pieu…, que veux- tu qu’il fasse avec un outil comme çà…, il est fait pour obéir ».
Simon entrait et sortait de mon cul, provoquant des bruits assez désagréables. D’un coup, il a déchargé dans mon ventre en me traitant de petite chienne.
Il ne m’a pas demandé de lécher son sexe, ce que je redoutais un peu et a filé à la salle de bain.
On m’a dit de rester en position comme je n’avais pas été foutu d’éjaculer. Après une rapide douche, il est revenu dans le salon. Nadine m’a expliqué que pour la suite, elle allait se mettre nu donc je ne verrai rien ; elle m’a bandé les yeux et ordonné de ne pas bouger. Ils se sont déshabillés mutuellement en se servant de moi comme une table basse pour poser les vêtements (comme par hasard, le slip, la culotte et les chaussettes ont été mis sur ma tête). Ils se sont installés sur le canapé, à moins de deux mètres de moi et ont commencé à se faire du bien ; les bruits m’indiquaient clairement qu’ils faisaient un 69 et qu’ils aimaient çà.
J’ai immédiatement retrouvé mon érection ce qu’a remarqué Nadine qui m’a alors dit :
- Allez, branle toi sans rien faire tomber et prends ta deuxième éjaculation.
C’est allé très vite comme vous vous en doutez mais là encore, j’ai reçu l’ordre de ne pas bouger pour les laisser finir tranquillement. Ils sont d’ailleurs partis dans la chambre pour faire l’amour plus tranquillement.
J’ai trouvé çà très long, j’ai entendu Nadine jouis trois fois. Simon n’a pas dormi à la maison ; ils m’ont rejoint pour se rhabiller, toujours en se moquant de moi.
Quand nous nous sommes retrouvés à deux, Nadine m’a testé de nouveau :
- Franchement, as- tu aimé çà ?
Et là, oubliant la douleur et les humiliations, emporté par une soirée ou l’excitation a été bien plus grande que si je m’étais contenté d’une masturbation rapide et sans émotion, j’ai répondu « oui », acceptant ainsi mon statut d’homme soumis et autorisant ma femme à disposer de moi comme elle l’entend.
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Explications
J’ai enfin pu avoir une discussion sérieuse avec Nadine sur la nature de nos rapports ; pendant plusieurs jours je n’ai pas osé le lui demander puis enfin, samedi, je me suis lancé et cela s’est très bien passé.
Nadine est très satisfaite de la situation. De nos premières années de mariage, elle conserve un véritable amour pour moi et n’imagine pas que nous puissions divorcer.
Lorsqu’elle m’a dit l’autre jour qu’elle comprendrait que je souhaite divorcer, elle veut dire qu’elle est bien consciente de m’imposer sa relation adultère avec Thierry ainsi que ses aventures d’un soir et qu’elle respecterait que je ne veuille plus de cette vie là.
Mais elle est très claire sur ce qu’elle souhaite pour l’avenir. Elle dit avoir découvert le plaisir sexuel avec Thierry et ne pas pouvoir se passer de lui. Son côté sur de lui, dominateur même la comble, elle a besoin de se sentir toute petite dans les bras d’un homme et ma nature soumise ne m’a jamais permis de la satisfaire sur ce point. Elle a besoin de son amant.
En ce qui me concerne, elle sent que vivre à ses pieds me procure du plaisir et elle me dit qu’elle me préparera régulièrement des séances comme l’autre jour avec Simon pour que je puisse satisfaire mon goût pour la soumission.
Elle me dit qu’elle est fière des efforts que je fais, du sacrifice que j’accepte pour elle et qu’elle m’aime d’autant plus.
Je pense qu’elle est sincère car cette discussion a eu lieu samedi, que nous l’avons commencée à deux et que lorsque Thierry est arrivé pour l’emmener en soirée, nous avons poursuivi la discussion à trois et elle a tenu les mêmes propos devant lui.
L’arrivée de Thierry a été la parfaite illustration de ce que nous vivons : J’étais assis à la table du salon face à Nadine et il s’est mis à côté d’elle. Pendant que sur la table Nadine me tenait la main pour être rassurante, Thierry, sans aucune gêne, explorait sous le pull de ma femme et lui caressait les seins.
Nous avons discuté un bon moment, cela m’a fait du bien. Thierry a peu parlé. Je le sens sans pitié mais très respectueux ; nous nous entendons plutôt bien ; il est tout à fait dans le rôle du mâle dominant et tant que je reste à ma place nos rapports seront bons. Ils m’ont confirmé que je pourrai désormais pénétrer Nadine qu’une fois par mois, avec préservatif.
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Vite expédié
Comme chaque semaine j’ai eu droit à mes deux masturbations et comme chaque semaine j’ai eu les deux l’une à la suite de l’autre. Ce soir, Nadine m’a demandé de me mettre nu après le repas et m’a dit « ce soir on fait ça vite, je n’ai rien prévu de spécial ».
Elle m’a demandé d’entrer dans les WC. Elle s’est alors positionnée a côté de moi et a commencé à me masturber debout au dessus de la cuvette. Elle a effectué des va- et- vient pendant quelques minutes et j’ai éjaculé.
Si on peut appeler ça éjaculer : je ne sais pas si c’est la position debout ou le manque d’érotisme de la situation mais deux tout petits jets sont sortis, provoquant les moqueries de ma femme :
- Ah ben là c’est un record, un hamster ferait mieux.
Puis elle en a rajouté en me parlant des jets épais et puissants de Thierry qui sont très excitants pour elle.
Voulant gagner du temps pour me faire rebander, elle m’a autorisé à poser la main sur son sein (par- dessus le tee- shirt). Comme cela ne m’était pas arrivé depuis plusieurs mois, le contact de son téton dans le creux de ma main m’a remis en forme instantanément. Comme je ne l’ai pas vu se changer en rentrant, j’en ai conclu qu’elle avait passé la journée sans soutien- gorge.
Elle a saisi mon sexe et s’est remise à l’astiquer. Cette fois encore, quelques gouttes sont tombées dans la cuvette provoquant son irritation :
- Ce n’est pas possible, si tu avais attendu une semaine il y en aurait plus que ça ! Avoue que tu t’es masturbé tout seul ! ».
Effectivement, samedi soir, pendant sa sortie avec Thierry, je n’ai pas tenu et j’ai passé la soirée le sexe entre les mains à les imaginer faire je ne sais quoi.
Cela ne l’a pas trop fâché (elle devait s’en douter de toute façon) mais elle m’a rappelé que cela m’est interdit et qu’en l’occurrence, mon imagination a dû dépasser la réalité car sa soirée de samedi a été très classique, restaurant cinéma jusqu’au retour à la maison où elle a bien apprécié sa partie de jambes en l’air avec Thierry.
Elle a tout de même ajouté qu’elle ne se fatiguerait pas pour 3 gouttes à l’avenir et que j’ai intérêt à faire mieux que çà si je souhaite qu’elle continue à s’occuper de moi. La masturbation solitaire c’est fini !
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Anthony
Mon épouse m’a montré un de ses seins aujourd’hui. Bien sur, il y avait une raison à cela : m’exciter et m’humilier.
Ce matin, Thierry (son amant) lui a présenté Anthony, un jeune du quartier où il habite et lui a demandé de le dépuceler. Ce n’est pas encore fait, elle doit lui téléphoner demain je crois.
Au moment de leur rencontre, il faut croire que personne n’avait de papier car le jeune (Nadine ne m’a pas dit son âge) a écrit son numéro de téléphone sur son sein droit, bien au milieu puisque le O de Anthony entoure le téton de ma femme. J’imagine qu’écrire le prénom et le numéro de téléphone n’a pas été chose aisée et qu’il a dû maintenir le sein pour y arriver.
Comme c’est le jour de ma masturbation, Nadine a décidé de me montrer cette œuvre d’art, étant sure de me faire bander instantanément. Bien conseillée par Thierry, elle avait même préparé son discours :
- Je suis sure qu’un puceau saura mieux s’y prendre que toi, je suis toute excitée à l’idée d’être sa première expérience, j’ai envie de le sentir s’appliquer et s’activer entre mes cuisses, je vais profiter au maximum d’une vraie éjaculation... Toi tite couille tu ne t’améliores toujours pas, je n’ai rien senti mercredi
Il faut vous dire que Nadine m’autorise à la pénétrer une fois par mois. Ce n’est pas très érotique car elle ne se déshabille presque pas et m’impose le port du préservatif mais cela me fait quand même beaucoup de bien. Pour elle apparemment c’est différent.
Il faut dire que ses rapports avec Thierry sont très hard, un peu comme dans les films X si vous voyez ce que je veux dire et le peu de fois où j’ai pu y assister, à genoux au pied du lit ou les yeux bandés, j’ai bien compris que je n’étais pas à la hauteur de ce que son amant lui apporte.
Elle m’a donc montré son sein, assurée de me faire bander, afin de pouvoir s’occuper de ma masturbation hebdomadaire.
J’ai demandé l’autorisation d’embrasser ce sein qui est d’une beauté rare. Elle a refusé en me disant que ça se mérite et qu’on verra dans quelques temps. Elle m’a proposé de m’approcher tout près pour le regarder avec interdiction absolue de le toucher. Je me suis approché jusqu’à sentir son odeur, c’était bon.
Après, c’est le rituel habituel, je me dénude et me mets à genoux, Nadine me prend le sexe et me masturbe jusqu’à l’éjaculation. J’adore sentir sa main s’occuper de moi.
Ce soir, j’ai eu droit à un bonus. Après ma deuxième masturbation, Nadine m’a demandé si j’avais envie de la lécher un peu. Je croyais rêver et vous vous doutez que je n’ai pas mis longtemps à répondre. Elle m’a alors demandé de la suivre aux WC en restant à quatre pattes. Elle s’est assise sur la cuvette et a commencé à uriner. J’aurais dû me douter qu’il y avait un piège. En se relevant elle m’a dit :
- Allez tite couille, je veux une chatte toute propre
Obéissant sans un mot, je me suis mis à lécher, m’appliquant à faire disparaitre les dernières gouttes d’urine et les odeurs de toute une journée, urine, sueur, excitation de sa rencontre avec Anthony … . Cela sentait fort et m’enivrait mais je n’aurais pas laissé ma place pour tout l’or du monde.
Là encore, je pense qu’il s’agissait d’une idée de Thierry mais qu’importe. Je buvais à la fois son nectar intime et ses paroles :
- Bravo mon chéri, tu te débrouille très bien, une vraie lingette... ne cherche plus, tu as trouvé ta vocation, c’est comme çà que je t’aime.... Il faut absolument que Thierry essaye ça ! Tu le fais trop bien !
Me voilà promu grand spécialiste du nettoyage de sexe promis à d’autres expériences de la sorte.
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Rebellion matée
Je n'ai pas été autorisé à assister au dépucelage d'Anthony.
Tout juste ai- je eu le droit d'en avoir un petit compte- rendu. Cela s'est passé samedi matin, à la maison, pendant que j'étais aux courses. Thierry, l'amant de ma femme était présent et guidait les ébats.
A mon retour de Cora, C'est Thierry qui est venu m'aider à décharger la voiture.
- Ca s'est bien passé" m'a- t- il dit; "Nadine est en train de se doucher".
Je n'ai pas vu Anthony qui était déjà reparti; Thierry, par contre, est resté manger à midi.
Pendant que je faisais le service à table, Nadine a abordé le sujet que j'attendais avec impatience:
- Pour une première fois je crois qu'il n'a pas à se plaindre!".
- C'est clair" enchaîna Thierry "moi pour ma première fois je n'ai pas eu droit aux trois trous"
- Tu as vu comme il était appliqué pour me faire du bien! Surtout au moment ou je te suçais, il me limait en rythme, c'était super, vous étiez synchro, j'ai pu me concentrer sur mon plaisir, c'était fort!"
Thierry profita de l'occasion:
- Tu entends ça tite couille? Ce puceau a su faire du bien à Nadine alors que toi qui la connais depuis longtemps, tu es incapable de l'amener au plaisir! Et quand il lui a envoyé la purée sur les fesses, c'était une vraie éjaculation, pas tes trois gouttes!".
- Et tu en sais quoi! " ai- je répondu dans ma barbe.
Nadine est alors intervenu fermement, peut- être pour éviter que Thierry ne se mette en colère:
- Tu as tort de la ramener mon chéri parce que sur ce sujet il a raison à 100%"
Elle m'a fait mettre à genoux devant Thierry et m'a ordonné de m'excuser.
- Pardonne moi Thierry, je sais que tu as raison, c'est que cela ne fait pas plaisir à entendre."
Thierry ne m'a pas donné l'occasion de me relever:
- Oui j'ai raison, et tu vas pouvoir le mesurer! Ouvre ma braguette"
J'ai descendu la braguette et j'ai sorti du pantalon son beau sexe (il ne porte pas de slip).
- Je n'ai pas pris de douche moi alors on va commencer par une petite toilette puis tu me branleras et me fera jouir; une fois que tu auras tout dans la bouche, tu verras ce que c'est une éjaculation".
C'est la première fois que Thierry me demandait cela, ma remarque l'avait énervé visiblement. Je me suis mis à sucer et j'ai senti son sexe grossir dans ma bouche, une sensation pas désagréable. Chaque fois qu'il sentait mes dents, il me tapait la joue.
- Avec la langue, applique toi!
Au bout d'un moment, il m'a repoussé la tête:
- Laisse tomber bon à rien, je vais le faire!
Il s'est alors masturbé très fort puis m'a dit d'ouvrir la bouche. J'ai senti plusieurs jets chauds et lorsque j'ai refermé la bouche j'ai pu constater qu'elle était pleine en effet. Thierry était visiblement content de lui.
- Reste là 5 minutes pour bien te rendre compte puis tu avaleras".
Après une intervention de Nadine, peut- être habituée à ce traitement et souhaitant mettre fin à cette humiliation, j'ai été autorisé à aller cracher aux WC.
Mais, pour Thierry, le principal était fait, la rebellion était matée.
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Surprise!
Vous n’avez pas de nouvelles de moi depuis quelques temps car je n’ai pas grand- chose à raconter. J’ai l’impression que nous trouvons notre équilibre, ma femme et moi, cela se passe plutôt bien.
Elle est très tendre avec moi du moment que je reste à ma place et que je la traite comme une reine. Ma masturbation hebdomadaire devient une sorte de rituel et j’arrive à y prendre du plaisir.
Nadine voit Thierry une à deux fois par semaine mais en ce moment, il a du mal à se libérer pour dormir à la maison. Curieusement, Nadine le supporte plutôt bien alors que ça la mettait à cran il y a quelques semaines encore.
Là où les choses évoluent c’est à mon travail.
Il y a deux semaines, un jeudi, j’ai vu ma femme arriver en voiture vers 11h50. J’ai pensé qu’elle avait envie de manger en ville plutôt qu’à la maison et qu’elle passait me prendre. Je l’ai rejointe dans le parking où elle attendait dans la voiture.
- C’est gentil de me faire une surprise
- Salut chéri. Oui c’est une surprise. En fait j’ai oublié de t’en parler hier, je déjeune avec Jean- Marc ce midi, on a réservé en ville
J’ai senti un frisson me traverser...
- Mais ne t’inquiète pas, je t’ai tout préparé sur la table de la cuisine, tu n’as qu’à mettre les barquettes au micro- ondes
Je vous ai déjà parlé de Jean- Marc je pense, un de mes collègues de boulot que nous avions rencontré sur une plage l’été dernier et qui avait rapidement compris la nature du couple à trois que nous formons, Nadine, Thierry et moi. Depuis un certain temps je me doutais qu’il se passait quelque chose avec ma femme.
Stupéfait, je n’osais plus bouger. Ma femme a levé le ton, sans aucune gêne, alors même que certains collègues étaient en train de sortir de l’entreprise.
- Tu fais quoi ? Je viens de te dire que ce n’est pas toi que j’attends ! Tu sauras retrouver ta voiture ? ».
La tête basse, je suis parti et je suis rentré à la maison. Je n’ai pas vu Jean- Marc sortir, je ne sais pas combien de personnes l’ont vu partir en compagnie de ma femme, se sont- il embrassés ?...
Vous imaginez dans quel état j’ai pu retourner au boulot l’après- midi. Angoissé au possible, j’ai marché tête basse jusqu’à mon bureau en essayant de ne croiser personne.
Je n’ai même pas osé en parler à Jean- Marc depuis. Personne ne me fait de remarque ; les collègues ont décidé, semble- t- il d’être discrets mais je ne me fais pas d’illusion, tout le monde sait.
J’en ai un peu parlé avec Nadine. Elle s’est excusée pour s’être emportée devant mon travail. Elle m’a dit que Jean- Marc est très doux, et que même si ils font l’amour de temps en temps (avec préservatif pour ne pas vexer Thierry) elle vit plutôt ça comme un flirt bien agréable.
Selon elle, il n’a pas du tout l’intention de m’humilier, il est plutôt compatissant et devrait pouvoir devenir un vrai ami. Nous aurons l’occasion d’en discuter, elle l’invite à l’apéro la semaine prochaine.
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Enceinte
Je reprends le blog après une longue période sans donner de nouvelles. En effet, le contexte de mon couple est en train de changer.
Ces dernières semaines, Nadine a été très douce avec moi, m’autorisant à la pénétrer une à deux fois par mois, en me demandant tous les soirs de m’asseoir à ses pieds devant la télé pour lui caresser tendrement les pieds, et me masturbant régulièrement. Elle est plus douce avec moi, me caressant souvent a tête, comme on fait avec un chien fidèle.
Pour ma part je me suis fait une raison, j’accepte ma condition, je suis aux petits soins et je me fais discret lorsque Thierry, son amant, vient passer du temps à la maison.
Coup de tonnerre hier : Nadine m’annonce qu’elle est enceinte. Elle a l’air satisfaite, ce qui me donne à penser qu’elle a délibérément arrêté de prendre la pilule bien qu’elle m’explique qu’il s’agit de deux ou trois oublis. Depuis que nous sommes ensemble, elle n’a jamais souhaité avoir un enfant.
Nous en avons parlé hier soir. Elle ne peut pas exclure totalement qu’il soit de moi parce que le mois dernier elle m’a laissé éjaculer sur ses fesses et le sperme a un peu coulé entre ses cuisses.
Le plus probable est qu’il soit de Thierry car ils font l’amour plusieurs fois par semaine mais elle n’est pas en mesure de l’affirmer catégoriquement car elle me parle d’une soirée où elle s’est un peu lâchée le mois dernier. Son plus grand soulagement est le suivant :
- Par bonheur, je ne me suis pas offerte de black depuis un bon bout de temps !».
Pour ce qui est du père, elle a des espoirs bien arrêtés :
- Je prie pour qu’il soit de Thierry.
Elle me dit qu’elle a lu que la virilité du géniteur a un impact sur la qualité du spermatozoïde.
Lorsque je l’interroge sur les intentions de Thierry, elle est très claire également.
- Je ne veux pas l’embêter avec ça, ce sera mon bébé et je compte sur toi pour assurer, tu voulais bien être papa il y a quelques temps !
Et de m’expliquer longuement que je dois comprendre, que c’est dans l’intérêt de cet enfant d’avoir des gênes performants…, que le père pour l’enfant c’est celui qui l’aime et lui accorde du temps ce que Thierry ne pourra pas faire, et puis que dans le fond il existe une infime possibilité que je sois le vrai père. Elle ne peut pas affirmer de toute façon que Thierry est le géniteur ; en effet, en réponse à une curiosité intéressée de ma part, elle répond avoir eu 7 ou 8 partenaires ces deux derniers mois.
Cela a été assez douloureux mais j’ai senti Nadine très proche de moi pendant son exposé. Bien que conscient des risques et incertain sur ma capacité à assumer sur la longueur, je lui ai dit qu’elle pouvait compter sur moi.
- Merci mon chéri, tu es un amour !
A- t- elle crié joyeuse avant de me déposer une bise sur la bouche, plaisir que je n’avais plus connu depuis très longtemps.
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Bonne nouvelle.
Bonne nouvelle aujourd’hui. Thierry a offert à Nadine des huiles de massage ils ont prévu de m’associer à leur projet de relaxation, je serai le masseur. C’est une bonne nouvelle car cela va me permettre de voir ma femme nue (ce qui ne m’est plus arrivé depuis bien longtemps) bien qu’elle m’ait dit qu’elle garderait une culotte ; la perspective de pouvoir la masser ma ravit.
Ils me laissent une semaine pour me renseigner sur les techniques de massage et être performant. Ils veulent un massage de la tête aux orteils.
C’est une nouvelle étape pour moi dans un asservissement volontaire. Moi le mari, je vais devoir contribuer au bien- être de mon épouse et de son amant.
Je vais avoir sous les yeux cette femme que je désire tant et cet homme au corps mieux dessiné que le mien qui depuis des mois lui procure un plaisir que j’ai été incapable de lui donner pendant des années.

Blog de Nicoculas
Pas de suite......

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