N'oublions pas de mettre à l'honneur les militaires.
KOSOVO
Episode I
Je suis un militaire de l’armée de Terre, une quarantaine d’année très bien portée, 1,74 / 68kg, très sportif. Corps ferme et très musclé, entraîné par des années de sport et d’exercice, gueule virile et coiffée en brosse.
En dépit de ce cliché très actif, je suis plutôt passif, même si l’inverse ne me déplaît pas. J’ai un physique très harmonieux, un cul particulièrement sexy qui à reçu de nombreuses queues mais qui est toujours très demandeur voire insatiable et une queue très ferme de bon calibre.
J’ai toujours essayé de ne jamais mélanger mon métier et le sexe malgré les envies et les tentations de ces centaines de mecs plus sexy les uns que les autres qui m’entourent…
Pourtant, cette année là, c’est l’été et je suis en mission pour quatre mois au Kosovo. Il fait une chaleur à crever et voilà déjà bientôt deux mois que nous sommes sur place à remplir notre mission d’interposition entre les serbes et les albanais.
La situation est plutôt calme et cette absence de stress alliée à la chaleur ne fait qu’accentuer mon envie de sexe et de queue. Je n’arrive plus à me satisfaire de mes masturbations et de mes fantasmes et les soirées sont vraiment difficiles d’autant plus que les mecs qui m’entourent se baladent en permanence à moitié à poil…
Cet après-midi là, je suis de patrouille dans une enclave serbe, écrasée par le soleil, et je me prépare à rendre visite à un responsable reconnu de l’enclave. Je l’ai déjà rencontré précédemment.
Assez méfiant au départ, il est devenu franchement sympathique au cours de nos différentes entrevues, maintenant qu’il est convaincu de notre bonne volonté de les protéger.
Il m’ouvre la porte en short et débardeur et son visage s’éclaire d’un large sourire en me voyant. Il à entre 35 et 45 ans, difficile de lui donner un âge. Il est à peine plus petit que mois, costaud sans être massif et sans un poil de graisse.
Très musculeux, il à des épaules et des bras impressionnants. Probablement résultat de son activité de bûcheron qu’il à exercé de nombreuses années. Son short bien qu’assez large semble particulièrement bien rempli au regard de la bosse qui le déforme et que j’ai déjà de nombreuses fois imaginé en érection.
Mais jamais je n’aurai pu imaginer les moments que nous allions vivre au cours des deux mois qui allaient suivre…
Il est marié mais vit sans sa famille qui est retournée en Serbie depuis les événements et il reste là pour occuper sa terre et sa maison qu’il se refuse à abandonner, espérant toujours un possible retour au calme et retour de sa famille.
À aucun moment, je n’aurai pu soupçonner ses envies et rêver qu’il puisse arriver ce qui s’est produit cet après-midi là. Le savait-il lui même au moment où il m’accueille avec ce sourire illuminant son visage assez buriné par le climat continental.
Ses yeux sont très noirs et son regard particulièrement vif et perçant. Ses dents sont incroyablement blanches. Comment fait-il pour qu’elles soient aussi belles ? Une excellente hérédité probablement. En tout cas elles le rendent terriblement excitant et sa bouche virile est un appel au baiser…
Il m’invite à rentrer et je fais signe à mon conducteur de rester dans son véhicule à l’ombre, ce qu’il fait, trop heureux de pouvoir piquer une sieste en m’attendant.
Alexis, je connais son prénom mais l’appelle évidemment par un « sir » respectueux, me demande des nouvelles en anglais qu’il maîtrise de façon élémentaire mais suffisante pour pouvoir nous passer d’interprète.
Il me propose un café dans sa salle à manger qui, bien qu’à l’ombre, est étouffante. Nous échangeons quelques paroles pendant qu’il prépare le café et je l’observe discrètement.
Il se dégage de lui une très forte sensualité. Il à chaud mais transpire peu. Il se déplace sans bruit. Je perçois chez lui quelque chose d’inhabituel. Une certaine gêne est palpable entre nous.
Je ne l’avais jamais encore ressentie et pourtant je perçois aussi un plaisir certain de me voir. Il se sent probablement très seul et ma venue lui fait réellement très plaisir. Il me le dit de façon un peu maladroite :
- Thank you to come to see me.
Devant mon commentaire sur le temps et la chaleur, il me propose de sortir sur l’arrière de sa cour et de nous asseoir sur deux chaises à l’ombre d’un arbre.
Avant de s’asseoir, il retire son débardeur et je vois son torse pour la première fois. Il est un peu plus pâle que ses bras. Ses muscles sont très découpés, ses pectoraux sont carrés et recouvert sur le haut d’une rangée de poils qui se rejoignent sur le sternum et descendent en une ligne très harmonieuse jusqu’au nombril qu’ils dépassent et se perdent dans son short.
Ses abdominaux sont impressionnant et rendraient jaloux un gymnaste. Il se dégage de lui une grande force, un peu animale : une sorte de sensualité puissante et sauvage d’un homme en pleine force de l’âge en manque de sexe. Il s’assoit face à moi, un sourire un peu gêné et les deux mains pendantes, appuyées sur l’intérieur de ses cuisses, il ne sait visiblement pas quoi en faire.
Il à suivi mon regard applicateur sur son physique et un petit sourire toujours peu gêné s’installe sur son visage. Je rêve peut-être mais j’ai vraiment l’impression que la bosse de son short est plus grosse que tout à l’heure et que ses mains cherchent justement à la cacher maladroitement.
Je veux en avoir le cœur net et après l’avoir complimenté sur son physique – bien que je ne sois pas certain qu’il ait tout compris – je lui demande si je peux moi aussi retirer le haut de mon treillis car j’ai très chaud, ce qu’il empresse d’accepter.
Je procède avec beaucoup de lenteur et un très faux air de naturel et de décontraction. Je ne le regarde pas mais m’arrange pour lui présenter le meilleur angle.
Après avoir retiré ma veste de treillis, je retire mon tee-shirt Kaki en croisant les bras, saisissant le bas et remontant le long de mon torse jusqu’à la tête. Je fais volontairement semblant d’avoir des difficultés à le faire passer par la tête et me mettant de profil, je serre mes abdominaux très plats et bien dessinés, cambre les reins et fais ressortir mes fesses moulées dans mon pantalon que je garde toujours très ajusté.
Je le gratifie d’un large sourire en reposant mon tee-shirt et en lui disant que cela fait beaucoup de bien. Je n’ai pas de plan. Je suis juste complètement surexcité par la situation et le regard de ce mâle qui n’en peut visiblement plus de sa solitude mais qui n’ose pas braver un interdit avec un militaire étranger.
A- t-il déjà seulement fait l’amour avec un homme ? Probablement jamais, mais je n’en jurerai pas… Son envie est palpable et la tension monte sensiblement entre nous.
Cette fois j’en suis sûr, il bande de plus en plus, sa bosse est maintenant énorme et il ne sait comment la cacher. Il se lève soudain et se dirige vers le bas de son jardin. Je le suis, ne sachant que faire. Je suis très excité, mon sexe commence à réagir mais j’essaye de me raisonner car j’ai encore très peur de ce qu’il peut penser et je serai incapable de cacher mon érection dans mon treillis hyper moulant.
Arrivé au fond de son jardin, je sens qu’il à réussi à dominer son excitation et qu’il se sent plus détendu. Il me montre un bassin alimenté par de l’eau de pluie et qui lui sert à l’arrosage de son jardin mais aussi de piscine lorsque l’eau est propre.
Il à justement plu les deux jours précédents et le bassin est rempli et très attirant. Il est abrité par un rideau de feuillage et bien isolé. Je me mets exprès juste à coté de lui pour regarder le bassin et nos épaules se frôlent. Il s’écarte légèrement et me demande soudain comme pour briser l’excitation que je sens toujours chez lui, si je veux me baigner.
Avec plaisir je lui réponds, mais je n’ai pas de maillot de bain. Accepte-t-il que je me baigne nu ?
- C’est ce que je fais, me répond-il.
Le prenant au mot et sans attendre un instant, je commence à délacer mes rangers. Il s’écarte un peu plus et faisant semblant de faire le tour du bassin, je le vois me regarder à la dérobée.
Je suis éclairé par le soleil, sur le bord en ciment. Mes rangers retirées, je descends mon pantalon, gardant mon slip. Pendant quelques secondes, les mains sur les hanches, lui tournant presque le dos, je ferme les yeux et offre mon corps et mon visage au soleil.
J’y mets beaucoup de sensualité et je souris en l’imaginant me regarder. Je retire enfin mon slip lui offrant la vision de mes fesses totalement imberbes comme toute la surface de mon corps et que je sais particulièrement bandantes. Mon sexe est un peu gonflé mais il ne le voit pas là où il se trouve.
Les yeux de nouveaux fermés, je m’étire naturellement mais très langoureusement, faisant saillir mon cul de façon très candide mais terriblement intentionnel à son égard.
Je sais que son regard est totalement fixé sur moi à ce moment. Je le sens glisser sur mes hanches et mes cuisses et je sais que son désir est revenu encore plus fort que tout à l’heure.
Mince et souple, j’ai un corps à la fois viril et très excitant. Je le sais très harmonieux. Les courbes de mes fesses et de mon dos sont un véritable appel au sexe et je sais en jouer avec l’air de ne pas le savoir.
Mais je sens qu’à mon tour, je commence sérieusement à bander et il va m’être impossible de le lui cacher maintenant. Comment faire ?
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KOSOVO
Episode II
Tant pis, je le joue franco et m’accroupissant, je me retourne et m’assois sur la bordure rugueuse qui m’égratigne les fesses. Il à juste eu le temps de détourner son regard et fais semblant de ne pas me voir.
J’en profite pour me glisser dans le bassin et l’eau me recouvre jusqu’aux hanches. Le fond est un peu glissant mais l’eau est divinement agréable sans être trop froide.
Le bassin est parfaitement circulaire, pas très grand, environ 3 mètres de circonférence. L’eau étant un peu trouble, en m’accroupissant je peux cacher mon érection qui est maintenant totale.
En fait, j’ai intellectuellement totalement basculé et je suis prêt à tenter ma chance avec lui. Je ne réfléchi plus à aucune conséquence car j’ai maintenant senti, qu’il était lui aussi arrivé à un point d’excitation et d’envie où tout est possible…
- Tu viens avec moi ? Je lui demande.
Il hésite et je comprends pourquoi : il bande complètement et cache difficilement son érection en mettant ses deux poings dans ses poches. Il est complètement partagé entre son envie démesurée de sexe qui transparaît dans l’adrénaline qui lui bas les tempes et sa gêne de montrer son érection.
- Viens, c’est vraiment formidable !
Lui dis-je d’un ton très désinvolte et pour l’aider, je lui tourne le dos et m’appuie au bord, face au soleil. En me remettant debout, je lui montre mon dos et la naissance de mon cul qui j’en suis certain devrait finir de le décider.
Je ne crois pas si bien dire et en l’espace de quelques secondes très rapides, je l’entends se mettre à l’eau. Je me retourne et je le vois complètement accroupi. Seule sa tête sort de l’eau. Il se cache toujours mais il sourit. Ses épaules puissantes affleurent à la surface et ses bras sont vers l’avant, servant à l’équilibrer.
Cette fois-ci je n’en peux plus. Mon sexe est tendu à l’extrême. Je sens l’eau tiède onduler sur mon cul, sur mes couilles et entre mes jambes. Je rêve de ce mec qui bande comme un fou, qui à l’air d’être monté comme un âne et qui est en manque de sexe depuis des mois.
J’ai trop envie de lui et de lui donner ce que j’ai de meilleur : ma bouche et mon cul accueillant.
Je m’approche de lui en le fixant droit dans les yeux. Il me fixe en retour. Nos yeux sont plantés les uns dans les autres et nous rassurent l’un l’autre. Je suis maintenant à un mètre de lui. Je lui souris toujours, je lui dis par mon regard que j’ai moi aussi terriblement envie de lui. Que je veux lui donner le plaisir qu’il espère et qui le fait triquer.
Je suis maintenant à cinquante centimètres de lui, je m’avance entre ses deux bras qui flottent de part et d’autre. J’approche mon visage du sien de plus en plus près mais je sens instinctivement que si je cherche à l’embrasser je risque de le rebuter et de casser son envie qui m’a l’air plus bestiale que sensuelle.
Je m’arrête, mes yeux toujours dans les siens et je pose ma main sur sa cuisse. Il frissonne mais se laisse faire. Elle est puissante et tremble légèrement. Je le sens terriblement excité et très tendu à la fois.
Je glisse ma main sur sa jambe et descend vers son entrejambe. Il à un léger réflexe de recul mais il est pratiquement collé contre le bord du bassin et je touche enfin ce sexe que je n’ai pas encore réussi à entrevoir vraiment. Il est énorme.
Ma main à du mal à en faire le tour et sa longueur est supérieure à 20 cm. Il est dur comme de la pierre et aussi noueux que ses muscles. Je sens son relief noueux sous la peau fine qui le gaine. Son diamètre est impressionnant et j’ai l’impression de tenir un énorme bâton.
- Great, je lui murmure, Your dick is fantastic !
Cette phrase à l’air de le rassurer définitivement et il se détend soudainement. Il avance son bassin au devant de mes mains qui s’occupent maintenant complètement de son sexe.
Je le caresse de toute sa longueur, je le décalotte et lui caresse les couilles sans m’aventurer plus loin afin qu’il comprenne bien que je n’en veux pas à son cul. Il vibre d’envie retenue et je le sens rempli d’une vie et d’une tension qui traduit toute l’attente et la frustration de ce mec plein de vie qui n’a pas dû baiser depuis des mois.
Je commence à le branler doucement tout en lui caressant le corps avec mon autre main. Ses bras jusqu’à présents inactifs se rejoignent et enserrent ma taille. Je sens ses mains larges, assez calleuses mais très sensuelles descendent vers mes fesses qu’il caresse d’abord doucement puis de plus en plus rudement. Il m’enserre soudain les deux globes de mon cul et je sens ses doigts chercher mon anus.
Je lui offre immédiatement le passage en gémissant légèrement pour lui montrer que nous sommes bien sur la même longueur d’onde.
J’ai envie de coller mon corps contre le sien et de profiter de son excitation afin de faire monter ses sensations mais il à visiblement trop attendu et avec une force surprenante, il me retourne soudain et se met debout.
Il prend son sexe à la main et essaye de me l’enfoncer brutalement dans le cul avec une maladresse touchante mais une envie terriblement forte et trop longtemps contenue.
Sur le moment, moi même terriblement excité, je le laisse faire et ouvre mes fesses à sa queue magnifique qu’il pousse vers l’avant. Ca y est, son gland à trouvé mon anus et je me prépare à l’introduction quand il se met à pousser d’un coup violent.
Je suis tellement surpris par sa tentative que je n’ai pas eu le temps de me décontracter et la douleur est fulgurante!
Je pousse un cri de douleur que j’arrive heureusement à maîtriser pour ne pas alerter l’entourage. C’est terriblement douloureux et je suis complètement crispé maintenant. Il pousse toujours.
Son gland force et progresse un peu mais il ne passe pas. Il doit avoir terriblement mal lui aussi. Il faut dire que l’eau n’est pas un très bon lubrifiant et que j’ai perdu un peu l’habitude depuis deux mois de sevrage.
J’ai le sphincter en feu. Il pousse toujours. Rien à faire, j’ai vraiment trop mal.
Je me retire brusquement et avant qu’il n’ait eu le temps de réagir je lui prends la main et le conduit vers le bord opposé du bassin qui remonte légèrement. L’eau nous arrive maintenant à mi cuisse.
- Attends deux minutes, lui dis-je, laisse moi faire.
Je crache dans mes mains et m’enduit largement le cul de salive. J’en profite pour me glisser deux puis trois doigts dans l’anus pour me décontracter et faire le passage car je sens qu’il ne va pas attendre longtemps.
Puis je mouille encore mes mains et enduit le plus possible son chibre énorme de ma salive en insistant sur le gland qui doit tracer la voie. Ce geste accentue encore son envie, car il laisse échapper un soupir.
Je prends une grande respiration et je me retourne et lui offrant mon cul.
- Va y doucement, lui dis-je.
Je lui prend la queue par derrière et la guide vers mon cul. Je le veux en moi mais je suis partagé entre la douleur toujours présente et l’envie de se faire défoncer par une si belle queue.
Il faut que le passage se fasse. Je sais par expérience que le plus dur c’est le passage du gland et que ca ira mieux une fois qu’il sera complètement rentré en moi.
Je le positionne à l’entrée de mon cul et pousse très légèrement pour le sentir venir. Ca à l’air de pas mal coulisser pour le moment. Puis je le lâche et élargi au maximum les deux globes de mes fesses.
Pendant que je me penche en avant pour faciliter l’intromission, il me prend par surprise et pousse soudain d’un seul coup de rein. Il force avec une telle violence que son gland transperce brusquement mon trou et le franchit d’un seul coup.
Alors que je suis encore cambré et cul offert, attendant tranquillement, il m’encule instantanément de toute sa longueur. D’une seule poussée !
Le choc est terrible!
Je pousse un hurlement de douleur et me cambre pour échapper au mal qui me prend jusque dans les jambes. J’ai l’impression d’être transpercé par un pieu brûlant. Il à pris appui sur mes hanches qu’il à tiré vers lui en même temps qu’il poussait.
Je geins comme un gosse en cherchant à me dégager de cette bite monstrueuse qui me défonce. Mais il me tient solidement. Son corps est plaqué contre le mien. Il est brûlant. Il tremble d’excitation.
Il halète dans ma nuque et s’apprête à ressortir pour me défoncer de toute sa force. Je lui attrape violemment les hanches à deux mains et le tient plaqué contre moi en lui disant en haletant :
- Attend, attend, s’il te plaît attend.
Je reprends mes appuis en écartant les jambes. Même ce mouvement est douloureux. Je cherche à m’habituer à sa présence. J’ai rarement encaissé un si gros calibre.
Mon anus est tendu à l’extrême. Je glisse ma main pour sentir sa queue à l’entrée de mon cul. En temps normal, j’adore ce toucher. Là je veux d’abord m’assurer que je ne suis pas complètement déchiré car je ne sens plus mon cul.
C’est à hurler. Il est totalement planté en moi. Il m’a littéralement empalé !...
KOSOVO
Episode III
J’entoure la base de sa queue de mes deux doigts. Je m’imagine la vision de ce pieu de chair planté dans mes reins. Ce toucher m’aide à retrouver une partie de mon envie et mon désir de me faire défoncer longuement par ses hanches viriles malgré ma douleur.
Je passe mes doigts sur ses couilles qui sont plaquées contre mon cul. Elles sont lourdes, pleines et trapues. En me retournant légèrement j’ai la vision particulièrement excitante de ses hanches puissantes collées contre les miennes.
Nos deux bassins sont serrés l’un contre l’autre comme deux amants. Cette vision me refait bander car sous la douleur j’avais perdu de ma superbe.
Ses larges mains tiennent toujours solidement mes hanches. Je le sens impatient et fébrile mais j’ai encore besoin de gagner du temps. J’ai encore très mal. Je souffle très fort. Je lui prends les mains et les promènent sur mon corps.
Il se laisse faire et me caresse. Après quelques instants, je commence à récupérer et je le sens s’impatienter. Je me décide à lever ma tête en arrière et lui dis:
- OK, tu peux y aller mais va doucement et surtout ne jouis pas, tu n’as pas de capote
Pris dans l’excitation, je viens de réaliser que j’ai pris un gros risque et je ne veux pas aller trop loin.
Ses premier aller et retour sont assez softs. Il sort et rentre assez doucement au début car je lui tiens les hanches par derrière mais il commence rapidement à s’exciter et entame un véritable pilonnage en règle.
Je perds mon équilibre sous ses premiers coups. Pour ne pas tomber, car je glisse, je suis obligé de m’appuyer des deux mains sur le bord du bassin devant moi, lui laissant toute la liberté pour se déchaîner.
Je suis partagé entre la jouissance de sentir sa queue me ramoner en profondeur, me procurer des sensations de plus en plus fortes qui gagnent tout mon bassin et la douleur qui me déchire toujours les entrailles à chaque fois qu’il me percute de ses coups de hanches.
Non seulement il me défonce de ses mouvements de cul, mais maintenant il fait bouger mon bassin qu’il éloigne et ramène contre ses couilles à chaque mouvement. Je suis complètement désarticulé et m’accroche pour ne pas m’étaler au fond du bassin. L’eau gicle autour de nous.
Je nous imagine vu de l’extérieur: deux mecs à poils en train de s’enculer comme des fous dans un bassin d’eau de pluie en plein Kosovo.
Nous poussons tous les deux des « han » dans l’effort, lui à chaque fois qu’il s’enfile en moi, et moi à chaque fois qu’il se plante dans mes reins. Je sens alors son gland gonflé me heurter le rectum. Il va me défoncer les intestins!
Il commence soudain à gémir et je sens qu’il ne peux plus se retenir. Il va me jouir dans le cul !
Dans un instant de lucidité que me permet la douleur lancinante de ses coups de bite, je profite d’un mouvement de recul pour donner un mouvement de bassin vers l’avant et sa queue me sort brutalement du cul dans un bruit mouillé.
J’ai l’anus en feu ! Je me retourne vers lui. Il à les yeux exorbités. Il n’en peut plus.
- S ‘il te plaît, encore, gémit-il.
- Non, tu vas jouir.
- S’il te plaît, continue-t-il…
- Viens, lui répondis-je.
Je lui prends alors la queue dans la main, je la lui nettoie dans l’eau car, n’ayant pas pu me préparer avant, elle est pleine de merde, ce qui n’a pas l’air de le déranger.
- Viens, lui dis-je encore. Et je le force à s’asseoir sur la bordure. Je suis face à lui.
Je me mets alors à genou devant lui et lui prend avec beaucoup de sensualité sa splendide queue dans la bouche. Elle est brûlante. Elle est violacée des efforts fournis mais elle est toujours aussi dure.
Je glisse mes lèvres le long de sa hampe de chair et sent son gland heurter le fond de ma gorge. C’est un vrai bonheur cette bite. J’entends un gémissement et levant mes yeux vers lui, je rencontre son regard écarquillé.
Ce n’est pas vrai, ce type n’a jamais été sucé ! Il n’en revient pas !
Je m’attache à lui donner le meilleur de ma bouche et je commence mes aller et venue sur son sexe toujours aussi chaud. Il gémit de plus en plus fort. Son bassin commence à onduler et il le projette vers ma bouche. Il veut me baiser la gorge.
Il à mis ses deux mains sur la bordure de part et d’autre de ses hanches et se laisse sucer tout en participant à la pipe. Mes lèvres entourent son gland. Il sent l’homme et je m’excite avec lui. Nous sommes parfaitement à l’unisson mais il heurte ma bouche de plus en plus fort. Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.
Et soudain, alors que je ne m’y attendais pas, il pousse un râlement de jouissance et explose dans ma bouche. Son sperme me remplit instantanément la bouche et la gorge.
Je me recule alors que sa queue continue à cracher des jets blanchâtres qui m’atterrissent sur le cou et le torse. J’en suis inondé. Je suis hypnotisé par son gland violet qui éjecte son sperme sur moi de façon continue.
Je passe ma langue sur mes lèvres. Son goût est âcre et très fort et j’aurais avalé avec plaisir son sperme lourd et épais si j’avais pu être sûr de lui mais je préfère me rincer la bouche pendant qu’il termine sa jouissance et que sa queue continue de frémir et de gicler les dernières gouttes, astiquée par ma main libre.
Je le regarde jouir, il est dans la même position, assis sur la bordure, appuyé sur ses mains et la tête totalement en arrière. Il gémit doucement. Il est débordant de sensualité.
Sa queue est toujours complètement bandée. Je la nettoie avec un peu d’eau et la reprend dans ma bouche. Elle est toujours aussi dure. Je recommence ma pipe pendant qu’il continue à gémir.
Je me branle de mon autre main. Je ferme les yeux et me laisse envahir la bouche par ce sexe si viril, presque vivant, qui glisse dans mes joues et se cale sur ma gorge.
Je pousse sa queue au fond de ma gorge, j’appuie de plus en plus fort pendant que je me branle de plus en plus fort. Je sens mon sperme monter et ma jouissance venir.
Sa bite s’enfonce ma gorge et m’empêche presque de respirer. Je la veux encore plus loin. Je sens cette colonne de chair plantée dans ma gorge. Ma jouissance monte d’un seul coup. J’ai quasiment le nez sur son pubis.
Alexis gémit encore plus fort. Sa queue est maintenant complètement enfoncée. Il est à l’entrée de mon œsophage. Je ne peux plus respirer. C’est à ce moment que j’explose!
Je me recule pour ne pas suffoquer et continue à sucer ardemment cette queue toute luisante de salive pendant que mon sperme tombe en gouttes cotonneuses dans le bassin.
Quelques secondes plus tard, je me redresse et regarde Alexis. Il est encore sous l’effet de sa jouissance et quand je lui souris il me répond d’un magnifique sourire dévoilant ses dents parfaites et ses lèvres si sensuelles.
C’est toute ma récompense…
Je m’assois alors à coté de lui. Son sexe est violacé et commence à débander doucement. Je lui demande :
- Tu as aimé ?
- On ne m’a jamais fait cela, c’était fantastique.
- Je sais faire des tas d’autres choses, tu sais.
- Tu aimes les hommes ?
- J’aime les hommes et le sexe, et tu as une queue extraordinaire. Mais j’aime aussi faire l’amour et pas seulement baiser.
Je ne suis pas certain qu’il comprenne la différence entre les deux choses car il ne répond pas. Je poursuis
- J’ai adoré moi aussi, même si tu m’as vraiment fait mal au cul, puis j’ajoute:
- Si on recommence un jour, tu me laisseras faire OK ?
Il me sourit de sa façon si craquante et si sensuelle. Je sens le regard d’un mâle qui vient de prendre son pied et dont l’esprit est déjà prêt à de nouveaux ébats très sexuel. La façon dont il regarde mes reins ne trompe pas.
Plusieurs minutes passent. Je m’allonge sur le dos. Je vois son dos et ses muscles noueux et sans graisses. Des deltoïdes magnifiques que je ne peux m’empêcher de caresser du bout des doigts. Il se retourne et me dit
- Peux-tu m’attendre un peu s’il te plaît ? Je reviens tout de suite
J’acquiesce et il se lève, enfile son short et disparaît dans la maison. Je l’entends sortir. Resté seul je passe quelques minutes au soleil et fini par renfiler mon bas de treillis et mes rangers.
Mon conducteur serait capable de venir voir ce qui se passe s’il à vu Alexis sortir. Je remets mon tee-shirt et jette un coup d’œil à l’extérieur. Il n’a pas bougé et dort comme un bienheureux. C’est vraiment un bon conducteur, je vais le garder pour les prochaines fois !
Je retourne près du bassin et m’allonge au soleil.
Alexis prend du temps. Un bon quart d’heure passe et je commence à somnoler quand je le vois revenir dans le jardin un large sourire de contentement éclairant son visage. En me voyant il semble déçu.
- Tu pars ?......
KOSOVO
Episode IV
- Non, je t’attendais.
Alors d’un air victorieux, il me sort une capote de sa poche !
- J’en ai trouvé une, si t’es toujours d’accord.
Je comprend que ce me mec est vraiment en manque. Il ne sait pas quand je reviendrai. Aujourd’hui il à un cul sous la main et il à l’air décidé à en profiter au maximum.
Je ne dis pas non. J’ai moi aussi très envie de lui. Même si mon cul est encore douloureux du traitement subi, je suis frustré de ne pas avoir joui de sa queue jusqu’au bout. Mais cette fois-ci, c’est moi qui vais poser mes conditions.
- C’est OK, mais tu me laisses faire.
Je recommence à me déshabiller. Il me regarde avec le même regard que tout à l’heure et toujours cet extraordinaire sourire. Je suis maintenant à poil et m’approche de lui.
Lentement je me rapproche. Face à lui je passe ma main sur sa nuque.
J’approche sa tête de la mienne et nos lèvres se touchent. Il est surpris mais se laisse faire. Je l’embrasse et cherche à ouvrir sa bouche. Il semble hésiter. Je plaque mon corps contre le sien. Il est brûlant.
Je pose ma main sur sa queue à travers son short. Il comprend et répond à mes sollicitations. Il m’offre sa langue et sa bouche. Elles sont fraîches et nos salives se mélangent. Je recommence instantanément à bander.
Ce premier baiser est d’abord un peu hésitant. Puis, il se prend au jeu.
Jusqu’alors inactif il me prend dans ses bras et accentue son baiser. Ses mains caressent mon dos et descendent déjà vers mes fesses. Je sens son sexe qui bande de plus en plus. Sa respiration s’accélère.
Je quitte sa bouche et descends le long de son torse. Cette fois ci c’est moi qui tremble. Ce baiser m’a surexcité. Je sens mon anus s’ouvrir et se dilater d’impatience. J’ai terriblement envie de lui. J’ai envie de sa queue, de son sperme, de sa virilité et de sa sensualité.
Je descends lentement son short sur ses jambes, dévoilant sa queue toujours aussi puissante. Je n’en reviens pas. C’est un véritable manche de pioche. Je le reprends dans ma bouche avide. Je crois que je pourrai la sucer des heures.
J’y mets mes mains et je monte et descend sur sa hampe de chair qui sent bon le sexe et vibre d’excitation. Je l’enduis de ma salive, je glisse ma langue dans son trou de bite. Il gémit.
Puis je remonte vers sa bouche et reprend mon baiser humide. Cette fois-ci il ne se fait plus prier. Il à l’air d’aimer ça. Je le sens de plus en plus chaud. Sa bouche est grande, comme la mienne et nous nous roulons une pelle fantastique. Je lui lèche le menton, embrasse son visage, revient sur sa langue et dans un bruit de succion aspire sa salive dans ma bouche.
Je tremble de plus en plus. J’ai trop envie de lui. Ce type me fait complètement flipper. J’ai soudainement envie qu’il me défonce le cul comme tout à l’heure et tant pis s’il m’explose l’anus.
Son sexe de plus en plus brûlant se frotte contre mon ventre. Il est tellement chaud que cela en est à peine supportable ! Il commence à faire des mouvements du bassin. Il est complètement surexcité !
Je m’écarte de lui et le fais asseoir. Il s’allonge. Il est superbe. Sa queue est dressée et plaquée contre son ventre. Elle paraît encore plus grosse vu d’ici. Il l’a prend dans sa main et le redresse vers le ciel.
Il m’attend en me regardant impatiemment.
C’est une colonne rose foncée, tellement tendue de désir que son trou de bite est largement ouvert prêt à gicler sa semence. J’y glisse une nouvelle fois le bout de ma langue. Il râle.
Puis je prend la capote et la déroule sur sa bite. Il gémit de plaisir. Puis je recommence ma succion. J’ai heureusement plein de salive et j’enduis largement la capote. Je fais de même avec mon cul. Je glisse mes doigts pour détendre mon trou. Il s’élargit plus facilement.
Il est déjà très chaud. Mon anus est encore douloureux mais je veux absolument ce mec au fond de moi une nouvelle fois.
À cheval sur lui je me positionne et sens son gland se poser à l’entrée de mon trou. Dans cette position c’est moi qui guide et décide de tout. Je sais que je peux l’avaler. Je me penche vers l’avant et reprend possession de sa bouche tout en appuyant légèrement vers l’arrière. Je suis tellement excité que je sens mon cul s’ouvrir immédiatement.
Mon anus se distend, son gland force doucement mes sphincters qui l’entourent et le recouvre peu à peu. La salive faire glisser sa hampe lentement au fond de mes reins.
La peau de mon cul recouvre peu à peu sa bite qui progresse. La sensation est fantastique. Rien à voir avec la violence de tout à l’heure. Je le sens me remplir peu à peu complètement le bassin. C’est un vrai bonheur. Je pousse un râle de plaisir en même temps qu’il me pénètre et il râle lui aussi. Je suis toujours à genou sur lui.
Cette énorme tige de chair, dont je sens la chaleur malgré la capote, me transperce en douceur. Il progresse centimètre par centimètre. Ca n’en finit plus. Je sens qu’il est presque à fond.
Je suis plein de sa chair dure qui se dresse dans mes intestins. J’en veux encore. Je veux sentir son gland me remplir le fond du ventre. Alors je me mets accroupi sur lui et m’enfonce encore plus profond sur sa queue.
Il gémit plus fort. Je suis à fond maintenant. Je commence à avoir mal mais c’est une douleur de plaisir. Je sens les poils de ses couilles contre mon cul. J’ai plus de 20 cm de chair calés au fond de mes reins et la sensation est démente.
Je l’attire vers moi. Il se redresse en position assise. Je l’embrasse avec passion. Il répond avec la même bestialité. Il souffle de plus en plus fort. Il à envie de baiser maintenant, je le sens.
Alors je commence avec lui ce qui est une de mes spécialités : j’ondule du bassin en prenant appui sur mes cuisses et en creusant le ventre ce qui à pour effet de resserrer mes intestins et de frotter sa queue et son gland dans mon ventre.
C’est une véritable succion intérieure. Je sais que mes amants ne résistent pas longtemps à ce traitement. J’ondule de plus en plus fort. Pour moi la sensation est indescriptible.
Par ce mouvement, je sens sa bite sur toute sa longueur dressée au fond de mon ventre lorsque je resserre mes abdominaux en avançant le bassin. Je sens ce barreau vivant planté dans mon cul qui me frappe le ventre.
Il râle de plus en plus fort. Il me dit des mots en serbe que je ne comprends pas mais qui doivent me traiter de tous les noms de salopes qu’il connaît. Je le chevauche pour lui donner le maximum de plaisir.
C’est tellement fort que je sens mon sperme commencer à me monter dans les couilles alors que je ne me touche même pas.
Je le ressens tellement présent en moi que j’ai l’impression de sentir les pulsations de son cœur se répercuter dans mon cul. Je le vois lui aussi au bord de l’explosion.
J’arrête d’onduler pour reprendre mon souffle et le calmer. Je veux faire durer le plaisir avant de jouir. J’ouvre les yeux que j’avais fermés. Il me fixe de son regard gourmand. Sa bouche est entrouverte. Nous sommes immobiles.
Il respire fort. Il en veut encore.
Je l’embrasse et en même temps bascule avec lui sur le coté, puis sur le dos. Dans le mouvement j’ai accroché mes jambes autour de sa taille et il est resté planté en moi.
Il est maintenant au dessus de moi. Ses bras prennent appui de part et d’autre de ma tête. Il à compris que j’avais envie de lui et de ses coups de reins. Je suis devenu un vrai chien en chaleur et j’ai envie qu’il me défonce de toute sa puissance virile.
Sa bite ressort d’abord doucement. Je relâche la pression de mes jambes et il peut sortir presque complètement. Il coulisse en moi, bien que ma salive ait été abondante, je sens sa bite dure comme de l’acier frotter et racler mon anus. La sensation est démente.
Puis il rentre d’une seule poussée puissante mais sans violence. C’est extraordinaire. Ce mec à un sens du sexe qui me rend fou : il à tout compris et recommence. Il ressort doucement et rentre de nouveau en soufflant plus fort.
- Oh yes, fuck me, fuck me hard, je lui souffle dans l’oreille. Viens jouir en moi.
Encouragé, il accélère ses mouvements avec la même amplitude. Il sort presque complètement à chaque fois et de toute la longueur de sa queue il me lime d’un seul coup en s’enfonçant dans mon cul maintenant complètement ouvert à lui.
Je le vois au dessus de moi. Ses bras sont tendues et bandés. Je tiens ses épaules et sent ses muscles bouger pendant qu’il me baise. En baissant les yeux je vois son ventre monter et descendre, ses abdos sont complètement serrés. Son corps superbe d’animalité et de virilité me fait bander encore plus fort. Il transpire abondamment maintenant. J’aperçois une partie de sa queue quand il ressort de mon cul. Je relève les jambes encore plus haut pour faciliter la pénétration.
Ses couilles viennent caresser mon cul à chaque fois qu’il s’encastre en moi. Il accélère. Je n’en peux plus et je me prends la queue. La chaleur qu’il dégage, les coups de reins qu’il me donne se répercute dans tout mon bassin et je perds le sens de la mesure. Je crie en français, incapable de traduire :
- Va y, défonce moi le cul, enfonce moi ta bite jusqu’au fond, encule moi plus fort !.....
KOSOVO
Episode V
Je m’astique en même temps. Il halète. Maintenant il me pilonne le bassin à coups réguliers. Je pousse des gémissements d’animal. Mon plaisir est fantastique. Sa queue entre et sort, labourant mon cul de mec en chaleur sans ménagement.
Nous sommes deux mecs virils qui baisons comme des bêtes. Je me fais défoncer par un bûcheron serbe en rut monté comme un âne avec un bonheur démentiel. Je voudrai que ça dure encore et encore. Je jouis littéralement du cul. Le plaisir m’inonde tout le bassin. Je sens mon sperme bouillonner et monter dans mes couilles. En même temps je resserre mon anus autour de sa queue.
Il à fermé les yeux alors qu’il me défonce le cul de plus en plus fort. Au moment où je n’en peux plus d’attendre, je l’entends rugir comme un fauve. Il se plaque contre mon cul et jouit longuement en haletant.
Je sens son sexe se contracter et projeter son sperme dans la capote par de longues éjaculations violentes. Il refait quelques mouvements qui continuent de faire monter ma jouissance mais je n’ai pas encore éjaculé et j’en veux encore !
Je lui crie :
- Don’t stop ! Again ! Fuck me again !
Ce qu’il fait en reprenant ses mouvements de va et vient et quelques coups de bite plus tard j’explose en criant. Je gicle un sperme liquide et tiède. Mon jus se répand en gouttelette sur mon ventre. J’ai giclé jusqu’au menton. Je suis en extase. J’ai le cul et les couilles en feu.
Les spasmes continuent de me secouer, je me vide lentement. J’ai rarement connu une telle jouissance. Depuis le temps que j’attends. Je m’arrête. Je suis rassasié.
Lui, continue de me pilonner et je lui fais signe que c’est bon. Il s’arrête et s’effondre sur moi, toujours planté en moi. J’ai remis mes jambes autour de ses hanches et je laisse nos cœurs se calmer. Son visage est dans mon épaule. Il reprend ses esprits.
Je le prends dans mes bras. Je caresse son dos puissant, ose des caresses sur son cul légèrement poilu. Je lui prends ensuite la tête à deux mains. Je lui roule une pelle de reconnaissance. Puis je le pousse et nous roulons l’un sur l’autre. Je bascule sur lui.
Je reste empalé sur sa queue que je sens encore raide. Je profite de ce moment où il à les yeux mi-fermés, un sourire de plaisir sur les lèvres. Il à de la salive sur le menton et je me penche pour le lécher.
Mais je commence à avoir l’anus qui brûle et qui se resserre. Je ressors doucement sa bite et retire la capote pleine de merde à l’extérieur et de sperme à l’intérieur.
Je la retourne et la jette au loin. Des grandes traces de son jus blanc se répandent alors sur l’herbe tant il à éjaculé. Je remarque soudain qu’il à le ventre plein de mon sperme lorsqu’il s’est plaqué contre moi.
J’entreprends alors de lui nettoyer le torse de mon jus. Avec ma langue tiède, je lèche consciencieusement toutes les traces de sperme sur sa poitrine, courant autour de ses tétons, léchant ses poils, savourant ma semence que je connais bien.
C’est gluant et j’en ai rapidement plein la bouche car il y en à une bonne quantité. Je le goûte et je me régale. J’ai toujours été un amateur de sperme, frustré à cause du sida et là je me fais plaisir.
Je rêve que c’est le sperme d’Alexis et je l’avale avec délectation. J’arrive à sa queue. Elle commence à débander. Elle est luisante de son sperme. Une goutte blanchâtre pointe sur son gland.
Et là, je craque et je la prends en bouche pour la nettoyer. Je mélange nos deux saveurs. Je retrouve son goût particulier entrevue tout à l’heure. Son bassin à un mouvement de recul sous ma succion et je lui arrache un nouveau gémissement de plaisir.
Je le suce quelques minutes alors qu’il débande. Puis épuisé et reconnaissant, je pose ma tête sur sa hanche, ma joue contre sa queue et laisse passer un moment.
Alexis ne bouge plus. Je remonte vers lui. Il à les yeux ouverts et me regarde avec gourmandise.
- C’était super Alexis, je lui dis.
- Oh oui, c’était fantastique, me répond-il, j’en avais tellement envie.
Je lui rétorque qu’il peut m’appeler Bruno.
- OK, Bruno, répond-il avec un terrible accent.
Je l’embrasse une nouvelle fois. Il répond gentiment mais je sens qu’il reprend ses esprits et qu’il est un peu gêné maintenant. Il regarde autour de lui et semble réaliser que l’on vient de baiser dans son jardin et que n’importe qui aurait pu nous surprendre. Il semble pressé de se rhabiller.
Je réalise aussi que cela fait presque une heure que je suis chez Alexis et que mon conducteur est peut être réveillé. Je m’habille à mon tour. Je m’approche de lui et lui serre virilement la main.
- À bientôt Alexis.
- Tu reviens quand ? Me demande-t-il immédiatement.
Il n’a visiblement pas perdu le nord. J’ai envie de lui répondre
- Quand mon cul aura bien récupéré…,
Mais je lui dis :
- Dans 3 jours, exactement à la même heure, si tu veux.
- Avec plaisir me répond-il en souriant, et cette fois, j’aurais plein de capotes !
Je lui rend son sourire et sors de chez lui, ahuri de ce qui vient de se passer, la bouche encore imprégné de l’odeur de sperme, le cul douloureux mais complètement rassasié et impatient de revenir dans trois jours retrouver un mâle à la queue si active et si doué pour la baise.
Si j’avais su ce qui m’attendait la fois suivante, je serais probablement reparti moins gaillardement… Par rapport à cette future baise, ce qu’a vécu mon cul aujourd’hui, c’est vraiment une promenade de santé…
Mais cela, je vous le raconterai la prochaine fois si vous me le demandez
Trois jours plus tard, je reviens sur les lieux de ma dernière baise prêt pour une nouvelle partie de sexe et pleins de fantasmes en tête. Je n’ai évidemment pas arrêté de penser à ce qui s’est passé avec Alexis, mon serbe à la bite en feu… et les semaines qui m’attendent vont me paraître bien courtes maintenant.
J’ai continué à rêver de sa queue magnifique et mon cul aujourd’hui frémit de la sentir lui creuser les reins. Avec de bons lavements, j’ai passé un long moment à me préparer le cul pour qu’il soit nickel et que nous puissions baisers à couilles rabattues avec le maximum de plaisir…
J’ai aussi apporté des capotes au cas où les approvisionnements d’Alexis n’auraient pas pu être fait – ce dont je doute d’ailleurs.
Je me gare devant chez lui. Je suis venu seul, sans mon conducteur, bien que les consignes soient de toujours rester en binôme car aujourd’hui je veux prendre mon temps et baiser longuement avec Alexis.
Je frappe chez lui. J’ai le cœur qui bat plus fort d’excitation. Il m’apparaît. Toujours aussi excitant. Belle gueule virile. Dents blanches éclatantes. Cheveux très noirs, mâchoire carrée, pas rasé. Encore plus bandant que la dernière fois...
Et pourtant, son sourire est un peu crispé et je le sens immédiatement un peu distant, ou plutôt un peu tendu, voire gêné. Je lui serre la main sur le pas de sa porte en insistant longuement pour lui montrer mon impatience. Il répond mais n’insiste pas.
- Comment vas-tu Alexis ? Tu es en forme ?
- Tout est OK, me répond-il, entre.
Puis il disparaît très vite dans sa salle à manger. Je le suis et je comprends alors les raisons de sa gêne : il n’est pas seul.
Deux hommes sont assis sur deux chaises le long du mur. La table est à deux mètres devant eux. Ils attendent et me regardent fixement lorsque je rentre.
- Je te présente mon voisin et son fils, me dit-il, ils ne parlent pas anglais.
Je leur serre vigoureusement la main.
Le premier est impressionnant. C’est un vrai géant serbe. Grande gueule, crâne presque rasée, épaules de taureau. Massif. Il ne doit faire pas faire loin des deux mètres.
Ce n’est pas facile d’estimer sa taille car il est assis. Son regard n’est pas amical et je sens immédiatement une tension. Il porte un tee-shirt noir et un pantalon de treillis kaki. Ses cuisses sont impressionnantes. Il à bien une cinquantaine d’année mais une impression de force démesurée se dégage de lui. Il ne doit pas faire bon le mettre en colère !
Le second est beaucoup plus longiligne et paraît presque maigre à coté. Plus clair de peau, il doit avoir 25 ans. Son regard est un peu fuyant, il à l’air un peu gêné.
Je suis évidemment extrêmement déçu de constater que notre partie de baise est fichue. Je le dis à Alexis sachant les deux Serbes ne comprennent pas l’anglais :
- Pourquoi sont-ils là ? C’est vraiment dommage, on ne va pas pouvoir baiser aujourd’hui.
Alexis paraît encore plus embêté et me regarde ne sachant que répondre. À ce moment le géant s’adresse à lui en serbe d’une façon, me semble-t-il, un peu agressive. .....
KOSOVO
Episode VI
Alexis ne lui répond pas et s’adressant à moi :
- Bruno, je suis désolé mais il y à un problème… La dernière fois, Marko, le fils d’Ivan, nous à vus dans le jardin… Il en à parlé à son père et ils veulent te baiser à leur tour.
Il à dit la dernière phrase d’une traite. Sans me regarder. Les yeux baissés. Il ajoute :
- Ivan est assez violent et ne te laissera pas partir sans baiser. En plus, il est veuf, il n’a pas d’argent pour aller voir les putes et se contente de baiser sa vieille jument depuis des années. Il veut vraiment te baiser.
La situation à singulièrement changé en l’espace de quelques secondes. Je comprends soudain leurs attitudes respectives depuis le début. Je suis devenu le centre de leurs préoccupations sexuelles.
À tout dire, je trouve cela plutôt excitant. J’ai toujours rêvé d’être le centre d’un gang bang, même si ici l’idée de remplacer une vieille jument ne m’était jamais venue à l’esprit
Ce qui me gêne un peu, c’est l’attitude peu amicale des deux nouveaux, mais je la mets sur le compte de l’impatience et de l’envie et je réponds à Alexis
- OK, dis leur que je suis d’accord mais à condition qu’ils mettent des capotes et qu’ils y baisent sans violence. Mon cul n’est pas aussi large que celui d’une jument.
En disant cela, je réalise un peu tard que si Ivan, le géant serbe, à une queue en proportion de sa taille au regard de celle d’Alexis, je suis vraiment mal ! Je risque de passer un sale moment !
Mais il est maintenant trop tard pour reculer.
Alexis, qui semble soulagé de mon attitude, vient de traduire ma demande et après un bref échange entre eux s’approche de moi un léger sourire aux lèvres.
- Ils ont compris et sont d’accord, mais ils veulent d’abord voir comment tu me suces. Les femmes serbes ne font pas cela.
Et en disant ces mots, il défait sa braguette et sort son sexe qui pend à l’extérieur, complètement débandé. Visiblement, Alexis était inquiet de la situation et n’a pas eu le temps de s’exciter.
Je me mets à genoux devant lui et prends délicatement dans ma bouche la pine qui m’a si bien fait jouir il y à 3 jours. Je parviens à la prendre en entier dans ma bouche. Je vois du coin de l’œil les deux autres qui ne ratent rien du spectacle et nous fixent l’air ébahis.
Je sens sous mes lèvres qu’Alexis réagit immédiatement à l’action de ma langue qui se glisse partout et sa queue se tend et prend du volume à une vitesse sidérante.
En quelques secondes, elle à repris ses 20 et quelques centimètres et palpite d’envie dans mes joues. Je caresse ses couilles et profite de ce moment de calme avant la tempête.
Je veux leur donner un peu de spectacle. Je caresse les cuisses d’Alexis, remonte mes mains sur ses fesses et les glissent sous son tee-shirt, caressant ses abdominaux et remontant jusqu’à son torse musculeux. Son short tombe à ses pieds et il le retire.
Tout en continuant à engloutir son gland en creusant les joues pour lui donner un maximum de sensation, je défais ma veste de treillis et la retire. Je me mets torse nu et en profite pour me relever.
Je retire à Alexis son tee-shirt et prends sa bouche d’autorité. Il n’a pas l’air très d’accord. La présence de ses voisins encombrants semble lui donner des complexes et il m’appuie sur les épaules pour que je reprenne ma pipe.
Ivan, le géant, dit alors quelque chose d’une voix sourde.
- Il veut que tu le suces aussi, traduit Alexis
J’ai compris que le gang bang commençait et, plutôt excité, je me tourne vers Ivan qui est toujours assis. Je suis à genoux et fixe sa braguette pour la première fois.
Son treillis moule son bassin qui est assez étroit au regard de sa stature. Je constate qu’il bande déjà car son sexe est clairement visible, tendu sur l’intérieur de sa cuisse vers le bas.
Je suis relativement soulagé car il me paraît environ de la même taille que celui d’Alexis. Si ces deux queues doivent me labourer successivement le fion, je devrais m’en sortir sans trop de dommage et je vais même pouvoir prendre un super pied.
Je prends donc les choses en main et défait le bouton du pantalon du géant qui se laisse faire et avance son bassin vers l’avant pour faciliter mon action. Je défais les boutons de la braguette et il se lève pour laisser tomber son treillis à ses pieds. C’est alors que je réalise que quelque chose ne va plus !
Ce que je prenais pour une érection n’est est absolument pas une ! La bite de ce mec au repos pend vers le sol parfaitement molle et elle est bien de la taille de celle d’Alexis en pleine érection.
Je n’en reviens pas ! Putain, je suis mal, vraiment mal !
Ivan attend toujours, debout devant moi. Je me décide donc à prendre son énorme serpent de chair dans mes mains. Mon cœur s’est accéléré. Que va –t-il devenir quand je l’aurai sucé ? Peut-être ne bandera-t-il pas, me dis-je… Pour me rassurer… Sans y croire vraiment...
En effet, même si son érection se fait plus lente que celle d’Alexis, je sens très vite sa bite palpiter, gonfler et durcir dans ma bouche. Bientôt je ne peux plus la garder en bouche. Elle est devenue trop grosse.
Son gland surtout se gonfle de sang démesurément. Sa bite est tendue à l’horizontale maintenant. Et elle continue de grossir. Une odeur de sexe monte dans la pièce. J’ouvre la bouche en grand.
e parviens in extremis à enfourner son gland. Il est chaud et violet. Il progresse de quelque centimètre mais est très vite stoppé par son encombrement. Ivan à beau pousser, impossible d’aller plus loin. Je tiens sa tige avec mes deux mains. Je suis terrifié.
Elle me fait penser à … un gros concombre. J’ai quelquefois vu des bites de cette taille sur Internet, mais j’ai toujours pensé qu’il s’agissait de trucages. Aujourd’hui, j’ai la preuve que c’est possible et je suis aux premières loges !
Je sors son gland de ma bouche et suce sa tige jusqu’aux couilles. Elle doit faire 10 cm de plus que celle d’Alexis que j’ai déjà eu du mal à encaisser: facilement 30 cm !
Son gland est monstrueux. Sa bite se rétrécie juste derrière le gland et repars en grossissant comme un cône vers la base. À la base, ma main n’en fait pas le tour! Je comprends la raison de la jument. Il faut un cul comme un garage pour encaisser une teub pareille !
Ses couilles sont à l’image de sa queue, grosses comme la moitié de mon poing. Je les soupèse et les malaxe, ce qui à pour effet de tendre encore sa queue et de le faire soupirer.
Je continue de le sucer en espérant le faire jouir et éviter l’enculage que je n’ose imaginer. Il pourrait s’en satisfaire. Mais sa bite est si monstrueuse que je n’arrive pas à la prendre correctement en bouche et que je ne peux qu’essayer de le branler en le suçant au mieux.
Soudain il me repousse et parle à Alexis d’une voix rauque.
- Bruno, il veut baiser maintenant…
Je commence à paniquer. C’est impossible. Je dois gagner du temps.
- Alexis, dis-lui que c’est pas possible, il à une queue trop grosse. Il va me tuer s’il me baise !
- Je ne peux pas lui dire ça. De toute façon, il peut te frapper jusqu’à te tuer si tu refuses maintenant.
Un coup d’œil vers son regard sombre me fait vite comprendre que ce type est maintenant capable de tout et ne se contentera pas d’une branlette ni d’une pipe dont je suis au demeurant incapable. J’ai d’ailleurs déjà la mâchoire à moitié bloquée.
- Bon OK, mais dis-lui que c’est toi qui vas d’abord commencer pour m’habituer. Il est trop gros !
Après quelques secondes d’échange en serbe, Alexis me répond qu’il est d’accord.
- Met une capote, je lui réponds.
Ce qu’il fait.
Pendant ce temps, je m’enduis le cul de salive. J’ai du mal car je ne vois pas comment je vais me sortir de cette affaire et je commence à baliser sérieusement. Je vois le plus jeune qui est resté assis et qui à sorti sa bite à son tour.
Il se branle doucement. Sa bite est magnifique. Une colonne de chair rose et droite d’un très beau calibre. Rien à voir avec le monstrueux chibre d’Ivan et la bite noueuse d’Alexis. Mais je m’en détourne car Alexis s’approche et se positionne derrière moi, capote enfilée.
Je me retourne pour le sucer et enduire au maximum sa capote de lubrifiant naturel. J’ai un peu de mal. Il crache à son tour dans ses mains et m’aide dans cette préparation.
Je décide de m’allonger sur le dos, sur la table qui est à bonne hauteur et offre mon cul que j’avais pris le soin de raser de prêt à Alexis qui approche sa superbe queue de mon trou. Je cherche à me décontracter au maximum, comme la dernière fois et lui souffle :
- Doucement Alexis, doucement, OK ?...
KOSOVO
Episode VII
- OK, OK répond-il.
Et il commence à pousser. Putain j’ai déjà mal ! Je suis trop tendu ! Je le repousse et prends sa bite dans mes mains pour mieux la guider. Je souffle fort pour me décontracter et recommencer l’intromission.
Cette fois, elle force le passage et même si j’en chie encore, elle passe sans trop de mal mon sphincter et commence à s’enfiler dans mes reins. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir !
Cette bite est vraiment trop bonne ! Je retrouve les sensations de plaisir de la dernière fois et je le maintien plaqué contre moi en croisant mes jambes derrière ses reins.
- Alexis, j’adore ta bite ! Oh oui, baise-moi !
Et je le laisse commencer ses vas et viens. Il est trop beau face à moi. Je vois son pubis aller et venir, son buste est puissant et la vision de ce mec me fait bander encore plus fort. Il me baise maintenant régulièrement.
J’en ai complètement oublié les autres et ne pense qu’à cette queue qui coulisse en moi et me transporte de jouissance. Je ferme les yeux et ondule du cul pour aller au devant de lui.
- Baise-moi plus fort Alexis !
Mais soudain, il se retire brutalement!
J’ouvre les yeux et vois Ivan apparaître dans mon champ de vision. C’est une vraie bête de catch. Il est massif, il à toujours son tee-shirt noir et entre ses cuisses musclées et poilues son sexe oscille lourdement.
Une impression de force se dégage de cet homme pourtant d’un certain âge. Son sexe est tendu à l’horizontal. Il me paraît encore plus monstrueux de loin. C’est sûr, il va me couper en deux.
Jamais son gland ne percera mes sphincters, mêmes s’ils ont quelques expériences passées de bites de tailles respectables. Je ne suis pas un adepte du Fist et il faudrait avoir l’habitude ce genre de traitement pour pouvoir encaisser sa pine démentielle.
Et pourtant, quelque part, je suis terriblement excité par cette bite qui attend de faire jouir quelqu’un depuis si longtemps…
Je suis terrifié mais je bande dur comme du bois. Ma pine est tendue sur mon ventre et j’ai les jambes écartées maintenant repliées et posées sur la table. Ivan regarde le trou de mon cul qui vient d’être libéré et approche sa bite vers lui..
Il à mis une capote qui est tendue au maximum. Je ne la distingue que par le bourrelet qui entoure sa queue au deux-tiers car elle ne va pas jusqu’à la base. Elle brille car il à du l’enduire de salive comme nous avons fait. Je n’ai pas le temps de faire quoique ce soit et Ivan positionne son gland devant mon trou et commence à pousser.
Je sens immédiatement que ça ne passera jamais ! Il force et commence à me déchirer le cul. La douleur me prend les reins d’un seul coup mais le gland ne progresse pas. Ca ne glisse de toute façon pas assez. Je vois que le géant s’impatiente et ne comprend pas.
Il m’attrape les hanches et je le sens s’apprêter à forcer d’un seul coup. Il va me couper en deux ! !
- Stop! Hurles-je ! Ca ne glisse pas assez ! ! C’est impossible ! Alexis, est-ce que tu as quelque chose pour faire glisser ?
Alexis comprend immédiatement et sort une bouteille d’huile de consommation. Je la prends et en me redressant en verse sur mes mains pour m’enduire largement le cul.
Je sais que ce n’est pas recommandé pour une capote mais je n’ai pas le choix. J’en enduis toute la queue d’Ivan qui me paraît encore plus démesurée qu’avant. Je me dis que si le gland passe, je peux peut-être m’en sortir. Pas indemne mais le moins mal possible.
Je m’allonge à nouveau, jambes en l’air. Cette fois-ci, le géant serbe me prend les hanches d’autorité. Il se positionne et recommence à pousser. Je sens immédiatement que l’huile fait son effet et que son gland glisse et commence à s’enfoncer dans mon anus.
Mais très vite mes sphincters arrivent à la tension maximale et le gland reste coincé. Ivan donne un coup de rein. Je hurle! La douleur est atroce! Il va me défoncer!! Je cherche à me dégager!
Tout sauf cette douleur et cette queue qui me transperce ! Mais il me tient tellement fort que je ne peux pas bouger mes reins d’un centimètre. Il continue de pousser et son gland progresse en forçant le passage.
La douleur est indescriptible ! Je recommence à hurler, sans discontinuer cette fois. Je ne sens plus mon cul ! Mon bassin est complètement irradié ! Je gueule !
-Alexis, arrête ! Arrête-le ! Haaaa ! Arrête ! ! !
Je vois Alexis s’approcher. Il semble terrorisé ! De quoi ? De savoir que je peux me faire défoncer les intestins et crever chez lui d’une hémorragie ou de voir que son voisin n’arrive pas à m’enculer !
Il à les yeux fixé sur mon cul qui doit être distendu voire déjà en sang !
Mai Ivan recommence à pousser. Je hurle encore plus fort et me cambre de douleur. Je suis tendu comme un arc. Mais impossible même de bouger mes jambes qu’il à emprisonnées sous ses bras.
Mon cri est atroce et va alerter tout le village ! Soudain, je sens une main qui se pose sur ma bouche et étouffe mes cris. C’est Alexis ! Son visage est à deux doigts du mien.
- S’il te plaît, ne crie pas !
Mais Ivan pousse toujours et je sens le gland me déchirer les entrailles millimètre par millimètre. J’ai perdu tout sens commun sous la douleur. Je râle de douleur en essayant de me dégager. Rien n’y fait.
Je bouge la tête de droite à gauche en gémissant. Alexis à du mal à contenir mes cris. Et soudain, alors que je suis à deux doigts de tourner de l’œil, je sens la bite d’Ivan franchir d’un seul coup mon sphincter.
Mon cul s’est refermé sur sa hampe de chair enserrant la base de son gland.
- Oh putain, oh putain !
C’est tout ce que j’arrive à dire en haletant comme un chien !
Ivan, s’est arrêté. Il à compris que j’avais besoin d’une pause, ou peut-être Alexis lui à fait comprendre car visiblement il s’engueule maintenant. J’en profite pour récupérer.
Je vois le jeune Marko, les yeux écarquillés qui ne perd rien du spectacle et continue de s’astiquer. Il s’est mis debout pour mieux voir. Je sens le gland d’Ivan qui me remplit le ventre. J’ai terriblement mal partout ! Je ne bande plus du tout ! Je n’en peux plus ! J’attrape Alexis par le bras et lui dis en haletant :
- Aide moi… Embrasse moi…
Et je lui montre ma queue complètement ramollie.
Maintenant moins embarrassé que tout à l’heure, il me prend la bouche et comme pour me remercier de mon effort me roule un patin fantastique. Il enroule sa langue dans la mienne, ouvre sa bouche en grand et échange toute sa salive avec moi.
Je lui prends la tête dans mes mains comme j’aime le faire. Il en profite pour me prendre ma queue et chercher à me branler pour me redonner de la vigueur. C’est la première fois qu’il me touche la queue et son contact me permet d’encaisser une partie du traumatisme subi et me refait rebander peu à peu.
Le baiser se prolonge. Je prends Alexis dans mes bras. Il est allongé sur moi, légèrement de coté. Nos torses se touchent. Je rebande à fond maintenant même si je ne sens plus mon cul. Je me sens toujours aussi vidé mais une certaine envie remonte dans mes couilles.
C’est alors qu’Ivan commence à s’enfoncer en moi. Je sens mon cul s’élargir sous sa poussée et sa queue monstrueuse progresser. Mon anus s’agrandit encore et la douleur revient d’un seul coup. Puis au moment où je n’en peux de nouveau plus, je sens son gland buter sur ma prostate. Il est à fond en moi, il ne peut plus aller plus loin même si sa queue n’est pas complètement rentrée !
Alexis se relève et Ivan en profite pour commencer à me baiser. La sensation est indescriptible. Heureusement que je bande car je peux m’astiquer et entretenir un peu de plaisir dans la douleur qui me paralyse les reins. Quand il ressort, je sens son gland buter contre mon anus qui le retient prisonnier et quand il s’enfonce, je sens son gland buter violemment contre mes intestins.
Ses mouvements sont assez forts mais supportables. Je continue à me branler pendant qu’il m’encule de plus en plus vite. Il halète ! Je gémis ! Je continue à mes branler doucement pour entretenir le plaisir dans ma queue et empêcher la douleur de m’envahir le bassin et l’esprit.
Ivan le géant ne quitte pas sa queue des yeux qui entre et sort de mon cul distendu. Maintenant il me baise avec régularité et malgré son physique, avec une certaine lenteur voire douceur. Il à maintenant les yeux fermés et doit imaginer en train de pénétrer une femme lascive.
Il entre et sort de mon cul avec application alors que mon bassin est complètement irradié de douleur et de plaisir mélangé. À chaque coup de rein, je ne peux m’empêcher de pousser un cri rauque qui ponctue l’avancé de sa bite au fond de mes reins et le frappement de son gland dans mon ventre.
Jamais quelqu’un n’est allé aussi loin au fond de moi. La sensation est indescriptible. Son sexe vit en moi et occupe une place énorme. J’ai une impression d’être complètement ouvert et de ne plus avoir d’anus..
Je sens mon désir monter assez violemment pendant que je me branle mais je me retiens car je ne veux surtout pas jouir avant qu’il ait fini. Je ne pourrai jamais supporter un tel traitement après avoir éjaculé, quand mes sens s’apaiseront…
Ivan continue ses mouvements dans mes reins.
Sa toison pubienne ne parvient pas encore à toucher mes fesses tant son sexe est gros. Sa queue coulisse heureusement parfaitement. Ses mouvements m’aident à me relâcher complètement.
Cette action cumulée avec le relâchement total de mon cul qui n’en peut plus, fait peu à peu évoluer mes sensations. Je sens la douleur évoluer en une sorte de délire jouissif. Un mélange de mal irradiant et de jouissance brûlante. Cette sensation doit être proche de ce qu’éprouve les sado masochistes !
Je suis devenu une salope qui commence à en redemander. J’en veux encore !
Je gémis toujours mais le plaisir monte maintenant de plus en plus fort. Jamais je n’ai connu cela ! J’ai mal et je jouis de ce mal ! Oh oui baise-moi encore ! Et Ivan halète de plus en plus fort. Je me redresse légèrement et vois sa queue monstrueuse entrer et sortir.
Il la rentre presque à fond maintenant! ....
KOSOVO
Episode VIII
Je le sens accélérer et je me branle encore plus fort.
Je vais jouir ! Baise-moi encore !
Et soudain j’explose littéralement ! Mon sperme monte à la verticale à une hauteur démente et je jouis sans discontinuer de longues secondes ! Ivan pousse un râlement à son tour et déverse son sperme par grandes giclées !
À chaque éjaculation il redonne un coup vers l’avant. Je sens sa bite énorme se contracter convulsivement dans mon cul et propulser une quantité impressionnante de sperme dans la capote. Il se vide à grande giclée pendant de très longues secondes alors que je reprends doucement conscience de l’environnement, le ventre constellé de gouttes blanches.
Il s’arrête enfin. Il reste planté en moi. Il reprend son souffle et laisse passer un long moment. Puis il commence à se retirer. Je sens son sexe glisser lentement hors de moi comme un énorme alien quittant son lieu de naissance.
En ressortant son gland massif bute contre mon anus qui s’est resserré, mais après une traction heureusement supportable, mon cul le laisse passer et sa bite ressort avec un bruit particulièrement mouillé.
Il à déjà en partie débandé, ce qui à permis son retrait sans trop de difficulté. J’ai l’impression d’être libéré mais en même temps j’ai le cul tellement endolori que j’ai la sensation d’avoir toujours quelque chose en moi.
Je sens soudain quelques chose me couler entre les jambes. Un moment paniqué, je porte la main à mon cul et sens un liquide s’écouler. Je ramène ma main, persuadé de la trouver pleine de sang et je ne ramène que … du sperme !
Je me redresse d’un seul coup, je m’assoie et regarde la bite du géant. La capote à explosé et pend lamentablement en lambeau de latex. Elle n’a pas supporté l’huile et la dimension du morceau. Il à vidé toutes ses énormes couilles dans mon ventre.
Ceci explique la sensation de chaleur ressentie tout à l’heure. Je sais aussi pourquoi j’ai encore le sentiment d’être rempli… je le suis…
Alexis à suivi mon geste et mon regard paniqué. Il me redit :
- T’inquiète pas, je t’ai dis qu’on n’a pas d’argent pour aller voir les putes et qu’on n’a pas de maladie. Depuis qu’il est revenu de l’armée il y à 15 ans, Ivan n’a plus baisé que sa femme et sa jument.
Je commence à connaître le couplet et je n’ai de toute façon pas d’autres alternatives que de le croire, ce qui ne m’étonne d’ailleurs pas beaucoup. Les paysans du coin sont vraiment de pauvres hères qui se contentent de peu.
Et puis, il y à 15 ans c’était les tout début du SIDA en Europe...
Je m’en sors plutôt bien…
Pendant ce bref échange, Ivan s’est rhabillé sans un mot et à quitté la pièce me laissant le cul dégoulinant de son sperme et les deux autres mecs la bite à la main face à moi…
- Alexis, je ne peux pas baiser. Je n’en peux plus. J’ai trop mal. Désolé.
Je le regarde et son air frustré me fait vraiment pitié. Le jeune Marko est debout juste derrière lui, sa bite toujours fièrement dressée, attendant visiblement que quelque chose se passe.
Alors je m’agenouille et attire les deux hommes l’un à coté de l’autre. Je prends leurs deux sexes dans mes mains et commence à les branler tout en les portant successivement à ma bouche. Je veux leur donner un peu de plaisir avec ma langue, à défaut de le faire avec mon cul.
Marko à vraiment une queue splendide. Une perfection. Une colonne de chair d’un rose uniforme, au toucher très doux, surmonté d’un gland d’une parfaite taille par rapport à sa tige. Il est luisant, gonflé de désir retenu mais terriblement appétissant.
Elle doit mesurer 18 cm environ et son calibre est en proportion. Un vrai sucre d’orge. Je le prends en bouche et la laisse se glisser jusqu’au fond de ma gorge. Elle est de taille idéale et coulisse sans problème.
Elle est très douce et lorsque j’appuie un peu elle passe l’obstacle de ma gorge et s’engage sans difficulté plus au fond. Cette action fait vibrer Marko qui gémit doucement.
Celle d’Alexis est toujours aussi excitante. Plus grosse, plus chaude, plus puissante. Epaisse et noueuse, brûlante comme la dernière fois et elle me chauffe les joues alors que je passe de l’une à l’autre, débordant de salive.
Après quelques minutes, Marko s’éloigne et s’appuyant contre le mur reprend ses propres caresses en nous regardant. Il à l’air plutôt voyeur et semble se repaître du spectacle.
Il retire son tee shirt car il à visiblement très chaud. Son torse est un peu maigre mais très excitant. Il luit de sueur faisant ressortir ses muscles fins et sa peau douce. Il est longiligne et il à un cul musclé comme le mien, très attirant.
Alexis et moi sommes aussi entièrement nus. Je le pousse contre la table et il s’y adosse. Ses hanches sont très sensuelles. Elles sont des promesses de sexe et d’envie.
Elles sont puissantes et harmonieuses à la fois. Il sourit légèrement pendant que je le suce consciencieusement et il tient maintenant ma tête avec ses deux mains et une certaine douceur.
Il s’est complètement assit sur la table et je suis penché sur sa bite, le cul en arrière alors que je sens le sperme d’Ivan continuer à glisser à grosses coulées sur l’intérieur de mes cuisses ; il à du éjaculer des litres ! Ca n’en finit pas. L’odeur est très forte et recommence à m’exciter.
Je m’applique sur la bite d’Alexis. Je le branle en même temps que je le suce et je sens sa respiration s’accélérer. Maintenant, j’ai une terrible envie de le recevoir dans ma bouche.
J’ai vraiment envie de goutter à nouveau à sa semence d’homme, virile et forte. Je me suis libéré de ma crainte, maintenant convaincu de ne pas prendre de risque et veux sentir son méat laisser gicler sa semence à loisir dans ma bouche.
Tout à ma pipe, je n’ai pas entendu Marko bouger et je sens soudain des mains me saisir les hanches et sa pine pousser mon anus. Il me prend par surprise. Il à visiblement préparé son coup et veut lui aussi profiter du cul accueillant du militaire français.
Il ne me laisse pas le temps de réagir et pousse sa queue d’un seul coup. Il à été très vite. Heureusement, le passage est largement fait et il pénètre mon cul aussi facilement que ma bouche tout à l’heure.
Je ne pensais pas que je pourrais le supporter. Je suis effectivement très irrité et son premier coup de rein est d’abord très douloureux mais la quantité de sperme que j’ai dans le cul, lubrifie complètement sa queue et rend la chose supportable.
Rapidement elle devient même agréable. Je me retrouve dans une de mes positions préférées. Le cul rempli par une belle queue et la bouche de même. Je recommence déjà à bander sous l’action des deux bites qui vont et viennent en moi par les deux extrémités.
Alexis tient ma tête de plus en plus fermement à mesure qu’il s’excite. Il commence à haleter. Je tiens sa queue dans ma main et resserre son gland entre mon pouce et mes doigts à chaque fois qu’il ressort de mes lèvres. Il ne tient pas longtemps à ce rythme.
Je le sens se tendre. Il respire de plus en plus fort. Il enfile sa queue dans ma bouche par de longs mouvements de hanche ponctués de ses cris. Sa queue vibre. Je n’en peux plus d’attendre son sperme. J’avance ma langue à chaque mouvement pour le goûter.
Et soudain il s’immobilise et explose enfin. La première giclée vient heurter mon palais. Elle est très chaude et abondante. Je la prends sur la langue alors que je m’excite sur sa queue en le serrant encore plus fort dans mes mains.
Une deuxième giclée arrive très vite derrière et me remplit immédiatement la bouche. Soit j’ouvre la bouche, soit j’avale car sinon j’étouffe. Dans mon cul, je sens Marko qui accélère ses mouvements et me défonce de plus en plus fort. Je bande à fond maintenant et je n’en peux plus. J’avale une première gorgée de sperme avec un bonheur et une excitation extrême.
J’en veux encore. Alexis continue à jouir et se vider dans ma bouche. Une troisième et une quatrième giclée suivent. Je les avale très vite. Puis les jets de sperme se ralentissent.
Marko, lui, commence à son tour à haleter, je garde en bouche les derniers jets d’Alexis et les mélange dans ma langue sous mes lèvres. Je suis complètement ivre de son goût, de son odeur et de son sperme fort qui me remplit maintenant complètement. Je prends ma queue et me branle de toutes mes forces pendant que Marko continue ses allers et retours.
Je sens très vite mon sperme monter dans mes couilles douloureuses. J’ai rarement joui aussi vite une deuxième fois et je me branle de plus en plus fort. Marko pousse soudain un long feulement et se déverse en moi à son tour par longues giclées.
Son jus se mélange à celui de son père dans mes reins. Je sens ma jouissance monter pendant qu’il continue ses derniers coups de reins. Je me redresse, abandonnant la queue d’Alexis, pompée jusqu’à sa dernière goutte et au moment où j’éjacule j’avale les dernières gouttes de son jus en poussant un râlement de plaisir.
J’ai plaqué mon dos contre Marko et mes jambes flageolent. Je m’appuie en arrière contre lui et il recule jusqu’à toucher le mur. Là collé contre lui, la tête en arrière, le cul remplit de sa queue et de sa jouissance, j’attire Alexis par la main que j’ai juste attrapée en reculant et je le prends dans mes bras pour l’embrasser. Il est visiblement surpris du goût de son sperme qui imprègne ma langue.
Mais mon baiser est tellement chaud qu’il l’accepte et échange sa salive avec la mienne. Notre baiser se prolonge alors que nos sens retombent peu à peu. Je me penche sur le coté et attire la tête de Marko vers les nôtres. Je parviens à réunir nos trois bouches quelques secondes.
Nous haletons tous les trois en nous embrassant, puis je commence à lâcher prise, épuisé. Alexis me sent m’alourdir dans ses bras. J’en joue un peu et me laisse aller. Il recule et me tenant.
Le sexe de Marko glisse hors de moi. Je le sens à peine. Je n’en peux plus. Alexis me conduit dans sa chambre et m’allonge sur son matelas qui est à même le sol.
- Thank you Alexis, I need some rest…
Et je ferme les yeux quelques minutes.
Ma bouche est pleine de son odeur. Mon cul est rempli de sperme qui continue à couler. Trois mecs m’ont défoncé par tous les trous et je ne suis pas prêt d’oublier cette baise… Et pas prêt de recommencer aussitôt ma défonce avec Ivan…
J’ai bien cru y laisser mes intestins… Mais quel pied !
J’ai joui deux fois de suite avec une rare violence et je suis calmé pour un moment… Alexis revient et s’assoit sur le lit à coté de moi.
-Marko est parti, me dit-il.
Alors, les yeux à moitié ouverts, je l’attire vers moi, je l’allonge à mes coté et me colle contre lui. Je glisse ma tête sous son bras, me tourne vers lui et colle mon corps contre le sien.
- OK, reste avec moi quelques minutes s’il te plaît.
Ce qu’il fait avec, semble-t-il, un certain plaisir protecteur, ce qui n’est pas sans me déplaire. Je m’endors ensuite d’un seul coup.
Lorsque je me réveille, il n’a toujours pas bougé. J’ai l’impression d’avoir dormi un bon moment. Ma main est sur son sexe. Est-ce moi qui l’ai mise ? Il bande déjà à moitié…
Je sens qu’il à déjà repris des forces et n’attend qu’un signe pour recommencer… Je ne bouge pas savourant ce moment d’attente empreint d’une certaine tendresse…
Je vois son torse, sa queue et ses jambes d’où je suis. Il respire lentement. Sa poitrine se soulève régulièrement faisant jouer la lumière sur ses muscles sans graisse. Ce type est vraiment un mec fait pour le sexe…
Il se dégage de son corps une sensualité torride qui me met dans tous mes états…
L’histoire finit ainsi...