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L'été des rediff..! Conte cruel de Noël.

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Un conte pour adulte.
D’une perversité exemplaire.
 Ne loupez surtout pas la fin demain.

Conte Cruel de Noël
Episode I
Chapitre 1
J’ai rêvé d’être cocu. Lorsque j’avais des relations sexuelles avec ma femme je fantasmais sans arrêt à l’idée qu’elle fasse l’amour avec un autre homme sa virilité pénétrant la chatte de ma femme. Évidemment j’étais forcé de regarder la chose puis après forcé encore de lécher sa chatte encore trempée du sperme de l’amant.
Mon moment favori c’était quand elle me forçait avec sa main sur ma nuque à nettoyer le sexe de son amant, puis lorsque j’avais fini que je devais la nettoyer jusqu’à ce que plus rien ne coule de sa chatte.
C’était toujours pour moi un excellent moyen de mettre le feu aux poudres. L’idée d’une queue d’homme dans ma bouche, suivie par une délicate mousse crémeuse était virtuellement le seul fantasme que j’avais, et comme j’aurais pu le prévoir il s’est développé jusqu’à l’obsession.
Je ne savais même pas que ma femme avait elle aussi commencé à partager le même fantasme, elle ne m’en avait jamais rien dit, comme je ne le lui en avais pas parlé.Ce qui brisa ce silence conjugal fut assez trivial comme souvent au début. C’est arrivé il y a un an et je ne l’ai jamais oublié.
J’y pense même sans arrêt me demandant si les choses seraient différentes aujourd’hui si ce n’était pas arrivé.
Comme beaucoup je surfais sur internet à la recherche de mon fantasme, j’ai trouvé un site qui offrait des milliers d’histoires, des photos, des vidéos, si je m’abonnais.
Le contenu me convenait admirablement, et c’est ce qui m’a incité à donner mon accord et en moins d’une minute j’étais membre.
C’était le mieux que j’ai vu jusqu’à ce moment, histoire après histoire, des hommes cocus racontaient, certains en avaient parlé à leur femme, d’autres avaient surpris leurs femmes avec des amants et aimaient regarder depuis une cachette. D’autres avaient accepté de devenir le cocu de leur femme.
Une histoire m’excitait tout particulièrement parce qu’elle rejoignait mon fantasme selon lequel Sandra – ma femme – me disait ne plus être satisfaite de mon petit pénis, et que soit je consentais à ce qu’elle ait des amants, soit elle me quitterait. Bien sûr j’acceptais avec dégoût,puis avec le même dégoût je faisais ce que je devais une fois que l’amant avait joui en elle.
Les photos et vidéos étaient « top », j’aimais celles qui montraient une femme étendue sur un lit où l’on voyait du sperme couler de sa chatte encore entrouverte, elle tenait la tête de son mari à deux mains le forçant à avaler la queue encore en érection de l’homme encore couverte elle aussi de foutre gluant.
J’ai au moins eu le bon sens de ne pas imprimer les photos, mais je n’ai pas pu m’empêcher de le faire avec certaines histoires. J’étais certain de pouvoir les cacher dans un coin de mon bureau, et je les avais sous la main lorsque c’était nécessaire, notamment lorsque ma femme utilisait l’ordinateur que nous partagions.
Vous vous doutez de la suite, Sandra est tombé dessus en cherchant une agrafeuse. L’histoire du dessus de la pile s’appelait « Sandra prend un amant », et ce nom avait attiré mon attention, et cela lui fit le même effet. Elle lut les premiers paragraphes, puis toute l’histoire.
99% des femmes auraient réagi de deux manières : certaines auraient été honteuses d’apprendre que leur mari avait de tels fantasmes et elles auraient fait de leur mieux pour passer sous silence leur découverte. Les autres auraient réagi avec colère, et fait face à leur mari. Sandra n’est pas comme ça. Sa réaction fut de chercher les autres histoires, et de les lire du début à la fin.
Elle m’a dit que c’est ce qu’elle a fait, et qu’elle était de plus en plus excitée à chaque nouvelle histoire. Elle comprenait que nous partagions le même fantasme mais que nous étions trop timides pour en parler. Elle résolut de mettre un terme à cette situation, et à sa façon, directement, c’est ce qu’elle fit.
Lorsque je suis rentré du boulot elle m’appela au salon, c’était surprenant, car d’habitude elle préparait le dîner à cette heure-ci.
En entrant dans la pièce je l’ai vu étendue sur le canapé et une pile de papier sur la table basse devant elle. Elle m’indiqua le coussin devant elle m’indiquant qu’elle voulait que je me mette là, ce que je fis.
J’ai jeté un œil sur les papiers, et mon cœur faillit cesser de battre, la page du dessus portait en titre “Sandra prend un amant”
Je devais être rouge comme une tomate, je me sentais comme un gamin pris la main dans le pot de confitures. Elle devait être en colère. Et elle commença simplement par me dire :
- j’ai trouvé ça dans ton bureau aujourd’hui, certaines sont excellentes, je pense que tu les aimes aussi sinon tu ne les aurais pas imprimées, celle du dessus est ta favorite ?
Elle me regarda droit dans les yeux attendant ma réponse. J’essayais de trouver une réponse qui prouverait que mon intérêt était totalement innocent. J’ai même imaginé lui dire qu’il s’agissait d’un projet de recherche pour mon boulot. Mais comme je ne suis pas dans cette branche je n’ai pas trouvé ça crédible.
J’ai opté pour ce que je méritais et j’ai dit “oui”.
Elle a souri, en partie à cause de ma honte, mais aussi par satisfaction de me voir répondre honnêtement. Sachant que la conversation dépendait d’elle elle m’a dit :
- En voyant mon nom dans le titre ma curiosité a été piquée, puis quand j’ai lu ce que faisait cette femme, et ce que son mari faisait, ça m’a paru très intéressant. C’est quoi ta partie favorite ?
Je ne pouvais tout bonnement pas me faire à l’idée de tout déballer comme ça, j’avais caché ça si longtemps, j’avais du mal à faire face à brûle-pourpoint, mais j’ai compris au bout d’un moment qu’elle n’était pas en colère, et que cela semblait même lui plaire. J’ai bredouillé :
- Je ne sais pas, toute l’histoire m’intéresse
Elle ne voulait pas que je m’en sorte comme ça, et elle a dit sur le ton de la conversation :
- Mon moment préféré c’est quand elle force son mari à nettoyer la queue de l’amant. Je trouve ça excitant de voir un homme faire ça. Si c’était nous dans l’histoire j’aimerais aussi quand tu as ta part dans ma chatte, ça doit vraiment être bon tu ne crois pas ?
J’étais aux abois, et j’ai répondu :
- Oui je pense qu’elle aimerait ça
Elle tenait le poisson bien ferré, et elle a continué :
- Je ne parle pas d’un autre homme où d’une autre femme, je te demandais ce qui nous plairait le plus si nous le faisions, ça m’excite de penser à toi en train de sucer la queue d’un homme, puis te sentir avaler son foutre dans ma chatte, c’est cette partie qui t’excite le plus aussi ?
Sandra a toujours été celle qui de nous deux avait la parole facile. Il était courant pour elle d’utiliser des mots comme queueou chatte, mais les utiliser dans ce contexte c’était différent. Elle mit un bras sur mon épaule, et commença à doucement me caresser, elle me demanda doucement :
- Je me demande si le foutre d’un autre homme aurait le même goût que le tien. Penses-tu que tu aimerais ça ? »
Elle me demandait ça parce que j’aimais la lécher après nos relations sexuelles, et j’étais familier avec le goût de mon sperme. Elle m’avait tout de suite dit que ses orgasmes étaient aussi importants que les miens, et elle m’avait fait promettre que si je jouissais le premier je l’aiderais jusqu’à ce qu’elle jouisse elle aussi.
Il y a eu bien des fois ou mon pénis refusait de coopérer après avoir giclé une fois, et c’est pour cela qu’elle pouvait insister pour que je descende à la cave. Les premières fois n’avaient pas été facile pour moi mais j’avais développé un goût pour la chose, et c’était devenu agréable pour moi. En regardant en arrière je réalise que lécher mon propre sperme dans sa chatte pouvait être la source de mon fantasme ?
Sandra m’a dit récemment avoir toujours fantasmé à ce moment-là sur le fait que je léchais le foutre de son amant. On était sur la même longueur d’ondes bien avant que je le sache.
Lorsque j’ai essayé de répondre à sa question j’étais incapable d’être aussi honnête et ouvert qu’elle, et j’ai rusé en disant :
- Je ne sais pas, c’est dans beaucoup d’histoires de ce genre, les autres hommes doivent trouver ça bien.
Elle se rapprocha encore et me dit d’une voix douce :
- Tu veux essayer, ou c’est juste un fantasme ?
C’était droit au but, et de nouveau je ne suis pas arrivé à répondre honnêtement. J’ai dit
- Je ne sais pas, j’aime penser à ça depuis longtemps, tu veux essayer ?
Si je pensais la tromper en lui retournant sa question, j’avais tort, elle répondit sans hésitations :
- Il y a longtemps que j’y pense, je pense qu’on devrait essayer si tu es capable de gérer ça, tu peux vraiment et honnêtement t’asseoir là et regarder un autre homme me faire l’amour ?
Elle me caressait depuis quelques minutes, mon cerveau coulait à pic jusqu’à mes couilles, c’était trop bon, et je ne voulais pas qu’elle s’arrête, j’ai dit tout doucement
- Je crois qu’on peut essayer, ce doit être quelque chose que tu veux toi aussi, je ne voudrais pas que tu fasses ça à cause de moi.
Elle a ri avant de répondre :
- Si je ne voulais pas que ça arrive ça n’arriverait pas tu peux être sûr de ça.
Puis elle passa une vitesse supérieure en me disant :
- Dans toutes ces histoires c’est la femme qui décide, et elle fait faire à l’homme des choses, c’est comme cela que tu vois les choses pour nous ?
Dans ma tête c’était toujours Sandra qui avait le pouvoir et elle me faisait faire ces choses. Admettre ça maintenant devant elle m’était difficile, j’ai dit :
- Je veux que ce soit ta décision, je ne pourrais jamais te forcer à faire quelque chose comme ça.
Elle a rigolé et a pincé ma queue en érection désormais en disant :
- Tu as sacrément raison tu ne pourrais pas, s’il y a quelque chose de forcé à faire je suis celle qui en décide !
Puis elle donna une chiquenaude à ma queue et dit :
- je vais voir où en est le dîner, il sera prêt dans une demie heure ne sois pas en retard.
Et sans autre mot elle me laissa seul avec tout ce qu’elle venait de me dire.
Dès qu’elle fut partie j’ai regardé les histoires qu’elle avait trouvée, comme elle n’avait pas mentionné quelque chose qui était la partie la plus importante j’espérais qu’elle ne l’ait pas trouvé.
Il y avait dans ces histoires un élément supplémentaire dans le cocufiage. Cela donnait à peu près ça, après être devenu cocu, l’amant de la femme devient jaloux du mari, et commence à insister pour qu’il ne soit plus un rival.
Chaque histoire avait un chemin différent, mais en définitive le mari perdait toujours quelque chose, en général d’ailleurs il perdait sa queue.
A la pensée de ma femme lisant de telles histoires sachant qu’elles m’excitaient, me plongea dans une honte terrible. A mon grand soulagement ces histoires n’étaient pas dans la pile, ce qui voulait dire qu’elle n’avait pas regardé le tiroir d’en dessous.
Soulagé je me suis assis et j’ai réfléchi à ce dont nous avions parlé.
Une telle conversation me semblait incroyable. J’en suis arrivé à la conclusion qu’elle voulait prendre un amant baiser avec lui pendant que je regardais, et puis que je fasse ma part ensuite.Beaucoup plus que ce que je pouvais gérer d’un coup, et en allant à la salle de bains avant le dîner j’étais dans le brouillard.

Conte Cruel de Noël
Episode II
Chapitre 2.
Elle était prête à prendre le taureau par les cornes si j’ose dire, ce fut évident lorsque nous fîmes l’amour cette nuit-là. D’abord il était peu fréquent que nous fassions l’amour le vendredi soir, habituellement c’était le samedi, avec une autre nuit durant la semaine selon les circonstances, celle-ci avait eu lieu la veille !
Après nous être douchés, et mis au lit, Sandie ne perdit pas de temps pour remettre sur le tapis le sujet qui ne m’avait pas quitté l’esprit depuis notre conversation quelques heures avant. Elle me choqua en me disant sans préliminaires :
- Tu dormiras à poil, désormais ce sera plus facile pour moi de t’exciter quand je rentrerai à la maison avec du travail pour toi. Commence par enlever ton slip.
J’ai toujours dormi en slip. Ses ordres me semblaient faciles à suivre elle m’avait excité en me caressant le pénis depuis que nous étions au lit. J’ai senti un frisson lorsque je l’ai enlevé, et que je l’ai expédié de l’autre côté du lit.
Que l’on me dise de faire quelque chose a toujours été mon désir secret, et ce désir soudain réalisé s’est révélé très excitant pour moi. Aussitôt ma queue était en érection complète.
Sandie a mis sa main dessus, et a commencé à me caresser doucement, me rendant plus excité à chaque seconde qui passait. Au bout d’un moment elle a dit :
- J’ai pensé à qui pourrait être mon premier amant. Ce n’est pas quelque chose que l’on doit prendre à la légère. Plein de mecs aimeraient me mettre la main dans ma culotte, mais on revient à la sécurité. Si un homme doit me baiser à cru, je dois savoir que je suis en sécurité en le laissant faire, tu es d’accord ?
Ce sujet vient rarement dans les histoires que je lisais, et encore moins souvent dans mes fantasmes. Même excité comme je l’étais je pouvais comprendre que si l’homme portait un préservatif, le principal objet de mon fantasme en serait pas présent lorsque je lécherais la chatte de ma Femme. Qu’elle ait prévue une réponse prouvait qu’elle était déterminée à continuer,
- J’ai tourné ce problème dans ma tête, et j’en suis arrivée à Jack, que penses-tu de lui ? »
Jack est le voisin d’à côté, plus âgé que nous d’environ 15 ans, il était enseignant, et a pris une retraite anticipée pour prendre soin de sa femme gravement malade. Lorsque celle-ci dût être pris en charge par un établissement spécialisé Jack a continué à vivre ici en rendant quotidiennement visite à sa femme.
Cela semblait un choix tellement inhabituel que j’ai hésité avant de lui demander calmement :
- Pourquoi choisirais-tu Jack ? Je pensais que tu aimerais un homme plus jeune.
Elle a ri avant de me répondre :
- Jack est un excellent choix, il n’a pas fait l’amour depuis au moins deux ans, et seulement avec sa femme, c’est une bonne assurance sanitaire, il habite à côté, et ce sera pratique pour lui de venir dans notre lit, et il a une grosse queue.
Dans d’autres circonstances cela m’aurait fait rire, mais tout ce que je trouvais à dire fut :
- Comment tu sais ça ?
- Il tondait la pelouse au printemps dernier, et je lui ai demandé de m’étaler la lotion solaire sur le dos, je l’ai regardé du coin de l’œil pendant qu’il m’étalait la lotion et je voyais sous son short une très grosse bosse, bien plus grosse que la tienne.
Je dois vous expliquer pourquoi ces circonstances ont été possibles. Je gagne très bien ma vie, Sandie n’a pas besoin de travailler, et pour éviter de s’ennuyer elle a pris des cours de cuisine, lorsque la femme de Jack est tombée malade Sandie a préparé les repas du couple, Jack nous a rendu le service en venant tondre la pelouse, et cet arrangement entre voisins a continué après le départ de sa femme. Nous sommes très proches y compris amicalement, et je suppose que c’est la raison pour laquelle Sandie n’a vu aucun inconvénient à ce qu’il lui passe la crème solaire sur le dos.
Au ton de sa voix je savais qu’elle avait fait son choix, je dis :
- On dirait que les jeux sont faits.
Elle répondit à brûle-pourpoint :
- Oui c’est exact. Depuis que je sais que je vais baiser je veux choisir avec qui. Je te ferais savoir quand ce sera à toi de faire ta partie.
Cela me permit de demander ce qui me trottait dans la tête depuis notre conversation, et j’ai demandé calmement :
- Et quand vas-tu faire ça ?
Elle m’a branlé plus fermement avant de me répondre :
- Lorsque je serais prête. Tu le sauras quand je te ferais goûter ta première tarte à la crème.
J’étais près de jouir, et sa référence à mon fantasme à fait fleurir l’idée dans ma tête, elle savait l’effet que cela avait sur moi, l’effet que ses mots crus avaient sur moi, et elle me donna le second ordre de la soirée :
- Je vais te montrer comment nous ferons à partir de maintenant, mets-toi sur le dos.
Sans réfléchir je me suis mis sur le dos, dans la lumière tamisée je la voyais accroupie sur le lit, presque nue, comme elle dormait habituellement en été, je l’ai vu guider ma queue dans sa chatte.
Etant donné l’excitation qu’elle m’avait procurée avec sa main, et le sujet de notre conversation, je savais que j’allais éjaculer très rapidement. C’est ce qu’elle voulait, elle me dit :
- Souviens-toi de ce que c’est, quand je commencerais à baiser avec Jack tu n’auras plus cette chance, si sa queue est aussi grosse que je l’ai vue je ne te sentirai plus, ce serait perdre notre temps, vas-y éjacules maintenant, et je te donnerais ta première leçon sur la bonne manière d’éjaculer hors de ma chatte.
Elle a accéléré le rythme et en moins d’une minute j’ai lâché mon sperme en elle, elle a continué à me monter jusqu’à ce que mes spasmes cessent, puis elle s’est soulevée, et a approché sa chatte de ma tête.
Cette façon de lui donner du plaisir avec ma bouche est la partie la plus excitante pour moi de mon fantasme, mais dans nos relations sexuelles normales je serais descendu entre ses jambes, elle était toujours sur le dos quand je léchais et suçais, et je n’aurais jamais pensé à lui demander de s’asseoir sur mon visage, alors que j’en avais tant envie.
Mais cette fois elle se mit en place comme si cela faisait des années, je commençais à lécher sa chatte, et elle me donna des instructions sur la bonne manière de lui donner du plaisir, à voix basse elle me dit :
- Ce sera plus facile pour toi de me bouffer la chatte, quand je suis sur le dos beaucoup de foutre se perd et tu ne l’as pas, de cette manière tu pourras avaler la moindre goutte... Je veux que tu fasse courir ta langue le long de ma fente, que tu prennes tout le foutre qu’il y a là, c’est la partie qui sort la première, tu dois le faire tout de suite, et vite. »
Puis elle ne dit plus rien jusqu’à ce que j’ai fini cette partie et que j’ai léché et avalé aussi vite que je le pouvais. Il n’y avait pas beaucoup de foutre dans cette partie de sa chatte, et en fait j’en récupérais moins dans cette position.
A un moment donné elle me dit :
- Arrêtes-toi là, tu sens ce point ? Oui c’est mon clitoris, rappelles-toi où il est, je vais juste bouger un peu pour mettre ma fente sur ta bouche, c’est là qu’il y a le plus de foutre, tu dois être capable de tout avaler. »
Elle s’est repositionnée doucement, je sentais son clitoris frotter contre mon nez, elle me donna des instructions :
- Vas-y je suis juste sur ta bouche, suces mon trou ».
Je fis comme elle l’ordonnait, et je fus surpris par la quantité de foutre dans ma bouche. Quand je bouffais sa chatte avant je n’avais jamais eu à traiter une aussi grosse quantité de foutre, et je voyais ce qu’elle voulait dire lorsqu’elle m’avait dit que j’en perdais une grosse quantité en route, au début ça a débordé de ma bouche, je l’ai fermée, et j’ai avalé, dès que la première livraison fut en route je me suis remis au travail, je n’avais jamais pensé qu’un homme de mon âge produisait autant de sperme.
Avec le temps ma queue était de nouveau en érection. Quand Sandie sentit que j’avais fini ma tâche, elle me dit :
- Maintenant je vais te montrer une autre façon que tu auras de me bouffer quelque fois.
Elle remonta d’un cran, et retourna son corps jusqu’à ce qu’elle soit face à mon entrejambe, après s’être mise en position elle me dit :
- Cela met mon clitoris juste sur ton pubis, tu dois te rappeler d’être toujours épilé avant de te mettre au lit, je ne veux pas frotter mon clitoris sur ta toison. »
Pendant qu’elle me donnait cette leçon elle avait commencé à pousser son bouton contre mon pubis, et je peux dire au ton de sa voix que ça l’excitait, ce qui m’excitait c’était que mon nez était enfoncé dans ses fesses et dans mon état d’excitation l’arôme me transportait. Sa respiration s’accélérait, et quand elle parla de nouveau c’était presque un murmure, elle cria :
- Quand je te dis de pousser ta langue dedans tu le fais le plus possible sois prêt..
Cet ordre me surprit alors que ma langue était enfoncée dans sa chatte aussi loin que je le pouvais, tout ce qu’elle voulait je le faisais, alors j’ai essayé de me concentrer en attendant son ordre, plutôt que sur ma queue.
Il arriva plusieurs choses à la fois, la première a été un cri explosif de sa part, suivi par son ordre “Maintenant, fais-le!”. En même temps qu’elle faisait cela je sentais une de ses mains travailler dans sa chatte qui était maintenant projeté au-delà de mon nombril, son autre main agrippait mes testicules et semblait faire de son mieux pour me l’arracher.
C’était inattendu, elle se déplaça, son anus devant ma bouche, et quand elle m’ordonna d’enfoncer ma langue le plus loin possible celle-ci plongea dans l’anus.
Vous pensez que c’est plus dégoûtant qu’excitant, quand je suis dans mon état normal c’est ce que je dis, mais là je commençais à jouir et tout ce que nous faisions me mettait dans tous mes états, ma langue dans son cul avait ajouté une nouvelle dimension à une situation déjà extrêmement érotique.
Je ne vous ennuierais pas par une éprouvante description de nos sessions pendant les deux semaines suivantes, sinon vous dire qu’elles étaient toutes du même acabit, ce qui était étrange c’est que c’était toutes les nuits, à la fin de ces deux semaines Sandie me complimenta sur ce que j’avais appris sur les tartes à la crème comme elle les appelait. Elle me dit que j’étais prêt à le faire en vrai, mais elle voulait que je continue à le pratiquer jusqu’à ce qu’on le fasse vraiment.
C’est ce que je fis.
Conte Cruel de Noël
Episode III
Chapitre 3
La nuit ou Sandie me fit des compliments était un mardi, je m’en souviens. Elle m’avait fait des allusions voilées au fait qu’elle était presque prête à aller voir Jack. Elle ne m’a jamais dit qu’elle allait essayer de séduire le voisin, juste que c’était pour bientôt. Étant donné la manière dont elle avait augmenté mon anticipation chaque nuit, je savais que ce ne serait jamais assez tôt pour moi.
Le samedi suivant a semblé parfaitement normal. J’ai travaillé sur la haie entre notre maison et celle de Jack et quand il m’a vu il m’a rejoint. La conversation fut difficile pour moi alors que la seule pensée que j’avais était ma femme au lit avec lui. Je suis sûr qu’il m’a trouvé distrait mais il n’en a jamais rien dit.
Sandie cuisinait pendant que je travaillais dans le jardin, et un arôme délicieux vint me chatouiller les narines alors que je retournais à la maison. Il était 18h, et elle me dit de me laver les mains, en m’annonçant que le dîner serait servi à mon retour.
Nous avons dîné une heure après que je sois rentré, et je restais assis attendant le dessert qu’elle avait cuisiné, j’étais sûr que c’était une de ses fameuses tartes, mais je n’arrivais pas à identifier son genre à l’odeur.
A ma grande déception le dessert qu’elle servit fut une boule de glace, mais je me suis contrôlé en pensant avoir de la tarte plus tard suivi d’une autre merveilleuse session au lit. Dès que le dessert fut fini, Sandie se leva de table, elle me dit :
- Je vais aller prendre un bon bain maintenant, tu vas débarrasser la table.
Et elle sortit de la pièce, me laissant nettoyer la pièce. Rien d’extraordinaire je prenais en plus en plus souvent la charge de ces tâches ménagères. D’habitude elle prenait un bain juste avant que nous allions au lit, ce soir c’était différent.
Assis dans le canapé je lisais le journal, lorsqu’elle revint du bain. Sa vision me coupa le souffle, j’aurais voulu la supplier de me laisser lui donner du plaisir.
Elle portait un short ultra-court, à part ses sandales son seul autre vêtement était un haut qui lui couvrait ses seins, si mince que l’on voyait ses tétons, d’un seul coup d’œil on les voyait dressés, et j’ai trouvé cette vision très stimulante.
Elle portait une boîte en métal qu’elle utilisait pour transporter la nourriture à nos voisins, et en réponse à ma question non dite elle dit :
- J’ai cuisiné une tarte pour Jack, et je pense en ramener une ici, je me demande de quel genre.
J’étais si distrait par son apparence que je n’ai pu lui répondre, mais j’ai dit :
- Elle est à la noix de coco ? C’est ce que ça sent.
Elle sourit en disant
- Non chéri, mais pas loin, c’est une tarte à la crème à la banane, je pensais cela approprié, comme ça tous les deux vous aurez une tarte à la crème ce soir, mais la tienne ne sera pas à la banane.
Elle marcha vers la porte, me laissant sans réactions. Son mot final fut :
- Maintenant tu es un gentil garçon, au lit à 23h, salut.
Elle quitta la maison, et je me suis retrouvé avec le cerveau en ébullition. Je me suis répété ce qu’elle avait dit encore et encore, me demandant si cela voulait dire
qu’elle avait décidé que le moment était venu pour elle de séduire Jack. Quand elle reviendrait ramènerait-elle un petit supplément dans notre lit où elle me le livrerait ?
Je ne pensais à rien d’autre de toute la soirée, et je ne sais absolument pas ce que j’ai fait pendant ce temps, j’ai dû essayer de regarder la télé, mais aucun souvenir, j’ai dû essayer délire, mais je ne me souviens de rien, je me souviens juste m’être battu avec ma main pour ne pas me branler, l’urgence de me masturber me submergeait et me rendait dingue.
Vers 22h je n’en pouvais plus de curiosité à propos de ce qui se passait de l’autre côté. J’ai songé plusieurs fois à aller fureter du côté de la maison de Jack. La peur que Sandie me surprenne m’a arrêté, la voir en colère après moi était plus que je n’en pouvais supporter, et je l’ai attendu, bien que totalement anxieux.
J’ai passé la dernière heure et demie avant de me coucher dans la baignoire, même là je ne pensais à rien d’autre, j’avais même peur de toucher mes parties génitales, je n’aurais probablement pas pu me retenir, je voulais plus que tout sauver mon orgasme pour Sandie, sachant que si j’éjaculais maintenant je perdrais tout désir, et je ne voulais pas de ça.
Peu avant 23h je me mis au lit, nu comme ordonné, je me suis étendu sur le dos, mon érection ne frottant pas ainsi, et j’évitais la moindre stimulation avec le drap, je n’avais jamais vu l’horloge tourner si lentement et lorsqu’une heure après j’ai jeté un œil sur l’horloge, une minute seulement était passée.
Vers 23h30 j’ai entendu la porte de devant se fermer, mon cœur à commencé à battre fort, j’étais dans l’anticipation, et j’ai entendu la dernière marche produire son craquement, mon regard était fixé sur la porte, et quand j’ai vu dans l’obscurité sa forme apparaître c’en était presque trop.
En entrant dans la chambre elle mit ses mains derrière son dos, et défit son haut, j’espérais qu’elle allume la lumière que je vois ses merveilleux seins, elle n’avait pas cessé d’avancer vers le lit et avait atteint son côté, j’ai vu ses mains toucher son côté, puis je l’ai vu enlever son short.
Je n’ai pu me contenir plus longtemps, et j’ai chuchoté d’une voix rendue rugueuse par l’émotion :
- L’as-tu fait ?
Elle n’a pas dit un mot, mais a grimpé dans le lit sur ses genoux, elle a balancé une jambe au-dessus de ma tête, quelque chose de blanc entre ses jambes et elle chuchota d’une voix aussi âpre que la mienne :
- Vois par toi-même
Je n’ai même pas pu attendre qu’elle baisse sa fente jusqu’à ma bouche, j’ai mis mes mains sur ses cuisses et touché, j’ai su alors pourquoi elle m’avait entraîné pour lui rendre le service qu’elle attendait, sans ces instructions je n’aurais pas réussi à le faire proprement dans ma frénésie.
Mon premier coup de langue me donna la réponse, le goût explosa dans ma bouche salé, l’odeur musquée de sa chatte me dit qu’elle avait baisé, c’était un goût différent du mien, l’odeur aussi était différente.
Ce qui était vraiment différent c’était la chaleur dans sa chatte, et la douceur des lèvres de sa chatte, lorsque j’ai passé ma langue dessus, son clitoris aussi était bien plus gros, tout était la preuve de son excitation, aussi grande que la mienne, et qui me menait à un plus haut degré d’excitation.
J’essayais de contenir mon impatience débordante et de la servir ainsi que je l’avais appris. Mais elle devait être encore plus excitée que d’habitude parce que j’avais léché par deux fois lentement autour de sa chatte, et elle chuchota vivement :
- Plus vite, lèche plus vite bon Dieu !
Cela augmenta mon désir, et ma langue travaillait le plus vite possible. Je léchais aussi vite que possible ramenant les trésors que je trouvais dans ma bouche, les
avalant, j’ai avalé tout ce que j’ai trouvé, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien, elle avait dû réalisé qu’il n’y avait plus de foutre pour moi, alors elle bougea rapidement plaçant son clitoris sur mon nez et sa délicieuse chatte sur ma bouche.
- Bouffes-là, maintenant, vas-y !
Mes lèvres se collèrent à son ouverture, et je récoltais tous ses jus mêlés et divins.
Un cri naquit dans sa gorge, j’ai senti ses cuisses se refermer sur ma tête, elle pressait sa fente contre mon visage avec tant de force que je ne respirais qu’avec peine, mais c’était sans importance, elle me dit brutalement :
- Bouffe-le ce foutre, bouffe-le salope !
Je n’avais besoin que de ça pour jouir, je n’ai même pas eu à toucher ma queue, à ses mots j’ai éjaculé. Rien à faire de savoir si j’étouffais, sa fente sur mon visage, tous ces jus aux senteurs et aux goûts mêlés ce devait être comme ça le paradis, plus la peine de mourir j’y étais !
Je ne sais pas si Sandie s’est soulevée ou si mon corps a réagi instinctivement, mais je me souviens avoir cherché de l’air en tournant la tête tout en essayant d’avaler ce que j’avais dans la bouche, le résultat fut que j’étais presque évanoui, cela me prit plusieurs secondes pour atteindre les deux buts, et Sandie était à mes côtés me tenant fermement. Sa respiration s’apaisait, elle me chuchota à l’oreille :
- Alors c’était aussi bon que tu le pensais ?
Le mot “bon” n’avait aucun sens dans ce contexte, et j’essayais de trouver les mots qui convenaient, finalement j’ai répondu :
- Je ne peux te dire combien ce fut merveilleux, j’ai lu depuis si longtemps là-dessus, mais ce que tu m’as fait ce soir n’a rien a voir avec ces histoires, aucune comparaison possible, c’est la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. »
Elle ajouta :
- On dirait que tu es prêt pour plus que ça
Elle rit doucement, et cela me prit un certain temps avant de réaliser qu’elle sentait mon érection en se pressant contre mon corps, jusque là je n’avais pas conscience de bander aussi dur, c’était déjà arrivé bien sûr mais lorsque j’étais plus jeune, ce qui se passait démontrait simplement combien cette soirée m’avait excitée. Elle me posa alors une question simple à laquelle je rêvais de répondre, mais sans que je puisse trouver de mots, elle me demanda tranquillement :
- Tu veux savoir ?
Je sus ce qu’elle voulait dire, et j’ai simplement répondu
- S’il te plaît
- J’ai amené la tarte à Jack, comme tu sais, quand il a vu ma tenue ses yeux lui ont sorti de la tête, il ne disait plus rien, je lui ai demandé si je pouvais entrer, il s’excusa de sa distraction et il m’ouvrit la porte. Il était juste derrière moi, j’essayais de remuer mon petit cul et ça a dû marcher parce que j’ai entendu clairement sa respiration s’accélérer, dans la cuisine je lui offert une part de ma tarte, et il était congestionné, il me sortit une assiette, me demandant si j’en voulais aussi, j’ai dit que non ; j’ai coupé la part et l’ai mis dans son assiette, il était assis à la table de la cuisine, et j’ai pris une position suggestive, je m’étais entraîné dans l’après-midi devant le miroir, je peux te dire qu’il faisait de son mieux pour ne pas mater ma chatte, après toutes ces années sans chatte le pauvre semblait désespéré, aucun moyen pour lui de louper ce que je lui offrais. Il a fini sa tarte, et j’ai suggéré qu’il range l’assiette dans le lave-vaisselle pour qu’il se lève, c’était si comique la manière dont il essayait de me cacher son érection, comme prévu il bandait, il avait un short, et la tente était énorme si tu vois ce que je veux dire, il essayait de tenir l’assiette devant et elle est tombée par terre, comme elle était en plastique elle ne s’est pas cassée, je me suis baissée pour la ramasser, ma tête était à quelques centimètres de la bosse, il était mort de honte il ne bougeait plus. En ramassant l’assiette j’ai caressé l’érection par inadvertance au passage, il a mis ses mains devant mais semblait si gêné, alors j’ai mis ma main sur la sienne et je lui ai demandé s’il était blessé là, il a eu une expression si comique ! Alors je l’ai embrassé, il a mis quelques petites secondes à réagir, mais quand il l’a fait, il était dedans, c’était très sérieux, il était enthousiaste. J’ai frotté mon corps contre le sien, et il a décollé. Et nous avons été dans la chambre, nous nous embrassions et nous caressions, et quand nous avons été au lit il a continué, il a dégrafé mon short, enlevé mon haut, et ses yeux étaient braqués sur mes seins, j’ai approché sa tête et il est devenu dingue, je n’ai jamais été aussi bien sucé sur mes tétons, c’était bon ! Il a passé un temps infini à les lécher, les sucer, et même les mordre et les pincer, puis ses yeux se sont rivés sur ma chatte, mon cul était en l’air à ce moment-là et j’ai dit mais ne t’arrêtes pas, j’ai ouvert mes cuisses, pris une de ses mains que j’ai posé entre elles, et il a semblé se souvenir de ce qu’il fallait faire, et il m’a doigté prodigieusement bien, j’ai remis sa tête sur mes tétons et je l’ai laissé faire, c’était génial. Je ne sais pas combien de temps il a fait ça mais j’ai décidé qu’il était temps de le voir nu, j’ai déboutonné sa chemise, lui ai enlevé, et après son short et son slip, et je dois te dire qu’en voyant la taille de la tâche humide dans son slip j’ai cru qu’il avait joui, sa queue était dure comme de la pierre, elle était encore plus grosse que je ne l’avais imaginé, le double de ce que j’avais vu dans le jardin, elle est deux fois plus grosse que la tienne. Je ne pouvais plus résister, je me suis étendue sur le dos, et je l’ai guidé en moi, je l’ai laissé faire le reste, il était nerveux, mais il a pris son temps, s’il m’avait prise comme un bélier je serais morte, j’ai perdu ma virginité à 15 ans, et je ne m’en souviens plus vraiment sauf que ça avait été bon et que ça m’avait fait mal en même temps. Maintenant je sais ce que ça veut dire que de la perdre une deuxième fois. Ses premiers coups de boutoir l’ont enfoncé plus loin que tu n’es jamais allé, c’était un territoire inexploré, jusqu’à ce soir j’ai été vierge toute ma vie, maintenant je sais ce qu’être baisée par une vraie queue veut dire, super ! Tu sais que tu éjaculais juste quelques secondes après être entré en moi ? Et bien Jack ce n’est pas ça, il devait avoir perdu la tête d’excitation, mais il arrivait à se contrôler, il m’a baisé lentement très longtemps, et quand j’ai été sur le point de jouir il a accéléré le mouvement, Dieu que c’était bon ! Il semblait savoir quand mon orgasme approchait parce qu’il s’est enfoncé si loin, si profond en moi, j’avais le feu au cul, c’était si bon que je pensais pouvoir mourir, et là il a éjaculé, mais à la vérité je ne m’en suis pas aperçue j’étais trop occupée par mon orgasme, rien d’autre n’avait d’importance. Je suis revenue à moi, et j’ai pris conscience qu’il me baisait à nouveau, cet homme est d’une vigueur, je me sentais trempée, je me suis dit que je devais lui dire d’arrêter, mais c’était si bon, et je ne l’ai pas fait, je te jure sur ma mère que sa queue était encore plus grosse, lorsqu’il a giclé la deuxième fois j’ai cru faire une crise cardiaque. Je n’ai pas eu d’orgasme la deuxième fois mais c’était bien, je me sentais vraiment bien d’avoir cette grosse queue en moi, je n’avais plus besoin de jouir pour l’apprécier, c’est la meilleure baise que j’ai jamais eue, j’espère que la prochaine sera encore meilleure. Je sentais son foutre couler en moi quand j’ai bougé, je ne savais pas qu’un homme pouvait décharger autant, mais bien sûr tu sais ce qu’il en est non ? Je lui ai dit que je devais rentrer, on s’est embrassés, tu sais ce qu’il y avait de drôle ? Il m’a remercié, cela peut sembler drôle mais j’ai aimé ça. Je me suis dépêché pour rentrer je ne voulais pas que tu en perdes une goutte, tu connais la suite.
Je connaissais la suite et c’est revenu en flash dans ma mémoire seconde par seconde, pas moyen d’expliquer combien c’était excitant d’entendre Sandie me raconter comment elle avait séduit notre voisin, et comment elle avait couru pour que je la nettoie.
Aucune histoire ne peut se comparer avec ça. Je lui ai dit que je l’aimais, et qu’elle était si précieuse pour moi. Sa seule réponse fut de mettre une main sur mon épaule de me pousser sur le dos et de me dire :
- Prouves-le
Je savais ce qu’elle attendait de moi. Sa chatte était devant ma bouche, et j’ai enfoncé ma langue aussi loin que possible, puis elle a mis ses mains sont venus sur mon entrejambe et elle a commencé à faire ce qu’elle m’avait appris à apprécier ces derniers jours, une main tenait mes testicules, l’autre pinçait ma queue centimètre par centimètre, et elle a continué comme ça jusqu’à ce que sa respiration s’emballe.
Elle est descendue plus bas à ce moment-là, et a mis une main sur son clitoris et a commencé à le caresser furieusement, son mouvement avait placé son anus sur ma bouche et je fis mon travail en poussant ma langue profondément en elle.
Comme nous approchions de notre second orgasme elle s’est concentrée sur la punition de mon pénis avec la main qui lui restait, j’avais appris à aimer cette sorte d’attention et cela m’excitait encore plus, quand elle a gémi pour signaler son orgasme j’ai soulevé mon cul pour pousser de force ma queue contre sa main espérant que cela renforcerait ses efforts.
Et c’est ce qu’elle fit, elle pinça la peau tendre juste sous le gland, et la tira de toute sa force, en même temps elle dit d’une voix enragée
- Dieu j’aimerais que tu sois aussi grosse que celle de Jack
Et j’ai giclé, et j’ai poussé ma langue encore plus loin en elle. Après son second orgasme en moins d’une heure, elle en eut un troisième très rapidement,
Sandie était rassasiée, elle se laissa revenir à la réalité, en deux minutes elle se coucha près de moi sur le ventre, en me disant - bonne nuit ».
J’étais sûr qu’elle dormait, mais je lui ai répondu :
- Bonne nuit, je t’aime, merci pour ce que tu as fait aujourd’hui ».
Rien ne me laissa entendre qu’elle avait entendu, mais je me sentais mieux de l’avoir dit, j’avais noté mentalement d’être plus courtois envers elle à l’avenir après sa remarque sur les remerciements de Jack. Elle est la personne la plus importante du monde pour moi, et je devais le lui prouver par mes mots et mes actes. Avec cette résolution ancrée dans mon cerveau je l’ai rejoint dans son sommeil satisfait

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