Je ne sais pas pour vous?
Mais moi, j'adorerais vivre ce qu'il vit...
A vous de voir.... et de lire...
L'initiation de Christophe
L’initiation…
Paris, début de l’été. Je me promène dans les rues regardant les filles qui commencent à se vêtir de plus en plus légèrement…
Mais aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec Christine… C’est une femme de 45 ans, un corps de déesse avec des seins qui se tiennent superbement bien et des fesses légèrement cambrées… Mon rêve…
J’ai eu dernièrement avec elle, une conversation qui a dévié petit à petit vers le sexe… Nous étions dans un café avec divans et lumière tamisée. Je lui parlais de mon inexpérience et de mes envies, de mes penchants… Christine suivait mes explications sans rien dire… Quand j’eu terminé, elle me dit :
- Écoute moi bien : tu m’as excitée avec toutes tes histoires… Comme tu as besoin et envie de te faire initier, je vais m’en charger. Mais je te préviens : afin que tu puisses faire ton choix sur le chemin que tu vas suivre sexuellement, je vais te faire explorer TOUTES les situations. C’est cela ou rien. Quelle est ta réponse ? Je la veux maintenant ! »
Je baissai les yeux et après quelques secondes, je murmurai :
- Je suis d’accord. »
- Comment ? Je n’ai rien entendu ! »
Je lui dis alors :
- Oui Christine, je veux que tu m’éduques, que tu m’inities, que tu me fasses tout découvrir. Je ferai tout ce que tu me demanderas
Un sourire carnassier éclaira son visage :
- Très bien. Alors commençons tout de suite : tu me montres ta queue maintenant ».
Je regardai autour de nous. Personne ne semblait faire attention. J’ouvris lentement ma braguette et baissai mon caleçon. Ma bite à demi gonflée apparaît… Elle se penche avec toujours ce sourire…
- Bel engin… et je peux voir tes couilles ? »
Toujours plus gêné, j’extrais mes testicules de mon boxer…
- Bien… tu me raseras tout cela. Reste comme ça ».
Elle appelle la serveuse pour lui demander de renouveler nos verres. Paniqué, je veux me rhabiller. Son regard noir m’en dissuade. La serveuse s’approche et prend notre commande non sans regarder mes attributs exposés.
- Comment trouvez-vous ces attributs mademoiselle?"
- Très intéressants… "
Sous ce regard, ma queue commence à se durcir pour finir raide et gland sorti.
- Elle doit être très bonne à sucer…"
Elle passe sa langue sur ses lèvres et s’en va. Christine me dit :
- C’est un excellent début…. Et cette petite serveuse pourra me servir prochainement ».
Sa main se glisse sur ma queue et en éprouve la longueur et la dureté. Elle entreprend une lente masturbation. Je ne sais plus où me mettre. Une goutte de pré-sperme s'échappe de mon gland. Ma masturbatrice s'arrête et, passant son index sur mon gland, elle attrape la goutte et porte son doigt à sa bouche…
- Mmmhh très bon…"
Je suis au bord de l'éjaculation. Elle reprend ma bite en main puis se glisse sur mes couilles.
- Elles ont l'air bien pleines. Tu te masturbes souvent?"
Je rougis sans répondre.
- Répond!! Tu te branles souvent?"
D'une petite voix, je réponds:
- Oui".
- Bien… Rhabille-toi et vas payer."
Je me rends au comptoir où la jeune serveuse me reçoit avec un sourire. Je règle puis je retourne vers la table. Surprise, Christine n'est plus là!! Sur la table, un papier sur lequel est écrit: "T'appellerai cette semaine. T'as intérêt à te libérer lorsque je te le demande."
Je me retrouve tout seul dans ce café, la queue encore bandée, la tête pleine de fantasmes… Je gagne la porte du café. Je croise la serveuse qui me dit:
- Christine t'ordonne de venir avec moi à la cave. Si tu veux confirmation, ce que je te déconseille, appelle son portable. Sinon, suis moi et vite."
Suivant son conseil et pour ne pas indisposer Christine, je la suis dans les sous-sols. Nous arrivons devant une porte de bois qu'elle ouvre avec une clé.
- Entre et à genoux".
Je m'exécute. Elle ferme la porte à clé, remonte sa jupe et s'assied sur le bord de la table. Elle porte pas de culotte sur sa chatte rasée.
- Lèche-moi et appliques-toi car je dois faire mon rapport à Christine".
J'approche mes lèvres de sa chatte. Ma langue sort et s'attaque doucement à son clitoris. Celui-ci ne demandait que cela et sort de sa capuche…
- Mmmhhh oui… vas-y… lèche-moi, bouffe-moi… fais moi jouir…".
Je m'applique. Sa mouille odorante perle sur le bord de ses lèvres et coule sur ma langue. Je m'occupe également de la bande de chair séparant l'anus de la chatte, passant ma langue dans tous les recoins… Je la durci ensuite pour la pénétrer comme un petit pénis… Elle prend ma tête entre ses mains et dirige mon léchage… Tantôt sur son clitoris, tantôt sur ses lèvres…
- Durcis ta langue et baise-moi avec… Je vais jouir…"
Je m'empresse de la satisfaire et soudain, un flot de mouille m'inonde la bouche!
- Ouiiiiiiiiii".
Ses cuisses enserrent ma tête pendant un orgasme dévastateur. Après quelques instants, elle me repousse et laisse tomber sa jupe sur ses cuisses.
- Tu as une langue en or… Christine aura un rapport très favorable."
Elle ouvre la porte et me vire comme un malpropre.
Je me retrouve dans la rue devant le café. C'est à ce moment-là que je m'aperçois que je bande comme un taureau! Je regagne ma voiture dans un parking souterrain voisin. Arrivé dans mon véhicule, je sors ma queue tendue à l'extrême et en quelques allers- retours je gicle une quantité incroyable de foutre.
- J'en étais sûre!"
Je sursaute et me retourne: Christine est devant la fenêtre de ma voiture avec un caméscope qui a filmé toute la scène.
- Maintenant, tu vas récupérer ton foutre avec tes doigts et les lécher!".
Je m'exécute avec hésitation, le caméscope tournant toujours. Je trouve que mon sperme à bon goût…
Lorsque j'ai terminé, je me retourne: Christine a à nouveau disparu. Sur la vitre est collé un post-it: "Me voici en possession d'un film très intéressant. Tu as intérêt à m'obéir au doigt et à l'œil…"
A nouveau, je me retrouve seul. Je remets de l'ordre dans ma tenue malgré ma bite qui ne veut pas débander. Je rentre chez moi attendant fiévreusement l'appel de Christine…
2.
J'attendrai 4 jours, sursautant à chaque appel, pour qu'enfin Christine ne prenne contact.
- Alors mon joli, j'espère que tu as passé une bonne semaine. Je t'attend demain soir, 21h, à l'avenue du Mahatma Ghandi… Oui c'est au Bois…. Tâche d'être à l'heure".
Demain soir! Il n'est que 9h du matin. Toute la journée je penserai au rendez-vous. A peine rentré chez moi, je me déshabille et me branle 3 fois de suite!
La journée suivante ne sera pas plus calme et quand, enfin, je m'approche de l'avenue Ghandi, j'ai le cœur qui bat la chamade!
J'entends des bruits dans les buissons. A un endroit, je vois une fille à genoux devant un homme, qui pompe. Plus loin, une ombre penchée sur une table se fait prendre par derrière en gémissant par un géant pendant qu'un autre homme se masturbe devant le spectacle… Il va sans dire que je bande comme un fou.
- C'est bien tu es à l'heure…"
Je sursaute et me retourne. Christine est là avec la serveuse…
- Au fait, vous vous connaissez mais je te présente Julie…"
Julie s'approche, s'accroche à mon cou et m'embrasse. Sa langue s'enroule autour de la mienne pendant que son bassin se frotte contre le mien… Je passe mes mains sur ses fesses fermes. Je sens ses seins écrasés contre ma poitrine…
Elle s'écarte lentement et regarde ma braguette avec un sourire.
- Il est a point Christine…"
Christine passe sa main dans les cheveux de Julie et approche sa bouche de la sienne. Leurs lèvres de soudent dans un baiser passionné… La main de Christine se glisse sous la jupe de Julie et commence un léger mouvement. Julie gémit, toujours plus fort puis un cri rauque… Elle jouit…
- Toi aussi ma belle tu es à point. Maintenant à toi de prouver tes talents… Occupe-toi de la queue de notre ami…"
Julie s'approche et s'agenouille devant moi. Elle ouvre ma braguette et approchant sa bouche commence à mordiller ma queue à travers le tissu de mon boxer. Glissant ses doigts par les ouvertures de mes cuisses, elle caresse mes couilles et mon périnée.
Baissant mon caleçon, elle fait jaillir ma queue dont le gland est trempé d'excitation. La prenant à pleine main, elle commence une douce masturbation. Sa langue butine mon gland à petites touches et lentement, ses lèvres entourent mon gland.
Puis elle gobe ma queue, jusqu'aux couilles et commence un va et vient lent et contrôlé accompagné par une masturbation au même rythme. De temps à autre, elle passe langoureusement sa langue sur mon gland en me regardant dans les yeux avant de replonger… A ce rythme-là, je ne peux plus me retenir.
- Je vais jouir…"
Christine lui dit:
- Avale salope!"
Et je me vide dans cette bouche chaude et accueillante… Julie s'efforce de tout avaler mais un peu de foutre coule sur son menton. Christine se penche, le récupère et, le portant à ses lèvres, suce son doigt…
- Ne t'arrête pas… Fais-le rebander!"
Julie reprend son manège buccal et bientôt ma bite est à nouveau tendue.
- Dis-moi, tu as envie de baiser Julie?"
- Oh oui…."
- Ok… Julie appuie-toi contre cet arbre et cambre tes belles fesses!"
Julie s'exécute et Christine s'approche d'elle. Elle pose ses mains sur les belles fesses et commence à remonter lentement le tissu. Je vois ces magnifiques jambes puis le pli de ses fesses et enfin ses fesses fermes… Un frisson la parcourt… Christine passe derrière elle s'agenouille et commence à darder de sa langue entre les fesses.
Julie se cambre encore plus, livrant accès à sa chatte à une Christine affamée. Je vois sa langue lécher la chatte et l'anus de Julie qui gémit…
Puis, Christine se relève vient vers moi, me prend par la queue et m'approche de la chatte de Julie. Mon gland est au bord des lèvres trempées… Christine, posant sa main sur mes fesses me pousse lentement faisant pénétrer mon sexe tendu dans la chatte chaude! Je suis maintenant au fond de ce fourreau mouillé.
- Vas-y, baise-la, fais-la jouir…"
J'entame un va et vient lent pour bien sentir coulisser ma bite contre les parois de ce vagin détrempé.
- Vas-y plus fort, baise-moi, défonce-moi la chatte! J'aime!"
Je ne me retiens plus et défonce cette chatte si accueillante. Pendant ce temps, Christine caresse les fesses de Julie, les écartant, passant un doit mouillé sur son anus. Mouillant ce doigt de salive, elle l'enfonce lentement dans le cul de Julie que je pilonne maintenant de toutes mes forces. Un deuxième doigt rejoint le premier et Julie crie.
- Ouiii baisez-moi tous les deux!"
Et elle jouit.
Christine me fait alors signe de ralentir… Elle prend délicatement mon sexe et le dirige un peu plus haut sur l'anus ouvert de Julie. Celle-ci, comprenant ce qui l'attend crie:
- Non! Pas mon cul! Il va me faire mal. Je t'en supplie Christine!"
- Ferme-la" lui répond Christine
- Et toi vas-y, pousse ton gros gland dans ce petit cul…"
Je m'exécute et m'enfonce dans ce cul. Je dois un peu forcer et Julie crie mais je la pénètre. Je suis maintenant au fond. Je laisse Julie s'habituer à ce mandrin qui est dans son cul. Puis lentement, je commence à bouger… Bientôt, Julie commence à gémir..
- Vas-y doucement… c'est bon..!"
Pour donner le rythme de la pénétration, Christine commence à me fesser, toujours plus fort. Je la regarde. Pendant que sa main droite me frappe, sa main gauche s'est glissée sous sa jupe et elle se branle vigoureusement.
Arrive le moment ou je vais jouir. Julie a jouit quelques secondes plus tôt.
- Je vais jouir" avertis-je.
Christine se précipite, sort ma queue du cul de Julie et l'embouche en me branlant à fond. Je me laisse alors aller et me vide les couilles au fond de la gorge de Christine qui jouit en même temps!
Je n'en peux plus… Mes jambes tremblent. Je vois Christine se relever et s'approcher de Julie qu'elle embrasse a pleine bouche. D'une main, elle me fait signe de partir. Je les vois s'approcher d'une table de pique-nique. Julie s'y couche, jambes écartées et Christine vient se mettre en 69 au-dessus d'elle.
- T'as compris, tire-toi! Je te rappellerai bientôt!"
Puis, puis elle plonge sur la chatte de Julie…
Je m'éloigne, encore sous le coup de la jouissance. Pour une initiation…
3.
Plus de nouvelles de Christine depuis 7 jours. C'est long. Je suis retourné au café où travaille Julie. Il n'y a personne à part le personnel. Lorsque je l'ai demandée, une autre serveuse, tout aussi jolie, m'a répondu qu'elle était en vacances.
Voyant mon air dépité, elle m'a proposé un verre. Je me suis assis au bar et en buvant, je l'ai regardée vaquer à ses occupations. Cheveux noirs, longs, avec un peu de sang asiatique dans les veines… Des seins fermes, dévoilés par un décolleté plongeant. Une mini en cuir noir surmontant des jambes de sportive. Elle virevoltait derrière son comptoir.
A un moment, elle s'est penchée en avant. Ce faisant, elle a dévoilé une paire de fesses magnifique. En se relevant, elle a croisé mon regard et m'a souri.
- Le spectacle vous a plu?"
- Oh oui…"
Elle se penche devant moi pour essuyer le bar. Mon regard plonge dans son décolleté. Elle sourit.
- Celui-là aussi?"
- Encore plus…"
- Je finis mon service dans 3 heures. On peut se voir après si vous voulez…"
Je réfléchis. Puisque je ne peux pas voir Julie et que Christine ne m'appelle pas, je vais tenter la chose.
- Volontiers."
- J'habite au-dessus au 4ème étage. Alors à dans 3 heures."
Je quitte le bar et tue le temps comme je peux. Plus l'heure du rendez-vous approche, plus l'excitation me gagne. Et c'est avec une érection phénoménale que je sonne à la porte. Elle s'ouvre et…
Christine me tire dans l'appartement!
- Déshabille-toi et à genoux!"
Abasourdi, je m'exécute. Je me retrouve nu, à genoux, les mains sur mon sexe, qui a perdu son air arrogant…
- Alors comme cela tu voulais naviguer en solitaire? Tu voulais te faire June? Je t'ai dit que c'est moi qui gère ta vie sexuelle! Tu as demandé une initiation, non?"
- Oui…"
- Bien alors tu vas être servi. Julie? Viens bander les yeux de notre homme!"
Je vois alors arriver Julie, en sous-vêtements transparents. Elle s'approche et me bande les yeux. Pendant qu'elle procède, je sens ses cuisses effleurer mon épaule et je sens l'odeur de sa chatte.
- Voilà, il n'y voit plus rien!"
Des mains se posent alors sur mes épaules et descendent sur ma poitrine. Arrivant sur mes tétons, elles se transforment en pinces douces d'abord puis de plus en plus dures. Les ongles s'attaquent à mes tétons, les faisant bander…
J'entends Christine:
- Regardez-moi cette petite salope: elle aime se faire caresser les seins. Elle bande des seins!"
Pendant ce temps, des doigts se posent sur mes fesses, se glissant entre elles. Mes fesses sont écartées.
- Je ne t'avais pas dit de te raser?"
- Je me suis rasé les couilles et le sexe. Je ne pensais pas que je devais me raser là aussi."
- Tu n'es pas là pour penser mais pour faire ce que je te dis! Julie va chercher ce qu'il faut et toi à 4 pattes, le cul bien cambré."
Je m'exécute et quelques secondes plus tard, je sens qu'on étale du gel sur mes fesses.
- Occupe-toi bien du pourtour de son anus… Je le veux lisse comme un cul de bébé."
Pour s'en occuper, Julie s'en occupe… Je sens ses doigts appuyer sur le pourtour et se poser à l'entrée de mon cul. Le doigt force un peu et me pénètre, aidé par le gel. Bizarrement, sentir ce doigt dans mon cul m'excite. D'ailleurs Christine l'a remarqué:
- Eh vous avez vu, il bande…! Travaille-le doucement Julie…"
Je sens un deuxième doigt rentrer très doucement et faire sa place… Mon émoi augmente encore. Je me mets à gémir… Les doigts coulissent maintenant sans peine dans mon orifice. Puis ils se retirent. Le rasoir prend le relais. Quelques minutes plus tard, des mains rincent mon cul.
- Voilà Christine: un vrai cul de bébé."
- Relève-toi!"
Je m'exécute. Je sens soudain une paire de seins se frotter contre mon dos… Je frissonne. Deux mains passent sur ma poitrine, excitant mes tétons au passage. Puis, elles descendent et empoignent mon sexe dressé et mes testicules. Une lente masturbation commence rendue glissante par les restes de gel sur les doigts… Bientôt, je gémis.
- Je t'interdis de jouir" me dit Christine.
- Dis à June de s'arrêter avant. Compris?"
Il ne faut pas longtemps pour que je crie:
- Stop!"
Immédiatement, les doigts me lâchent. Je me retrouve seul, debout au milieu de la pièce, ma queue tendue agitée de spasmes!
Après quelques minutes, je sens des seins s'appuyer contre ma poitrine et une langue s'enfiler dans ma bouche en un baiser passionné… Puis la bouche commence à descendre, s'arrête sur mes tétons puis sur mon ventre et enfin sur mon gland. D'un coup, ma queue s'enfonce jusqu'à la garde dans cette bouche accueillante. Des allers et retours mouillés comble ma queue et m'excitent à mort!
- Stop!"
Et je me trouve dans la même situation!
Ma suceuse pose ses mains sur mes épaules, me forçant à m'agenouiller. On me passe des menottes aux poignets dans mon dos. Je sens des cuisses s'appuyer sur mon torse. Une main agrippe mes cheveux:
- Lèche-moi!"
C'est la voix de Christine. Je m'active. Une délicate odeur de chatte trempée me vient aux narines et une mouille onctueuse se dépose sur ma langue. Je lèche et lèche encore. Jusqu'à ce qu'un cri de jouissance éclate. Ma bouche est plaquée contre la chatte de Christine qui finit de jouir. Elle s'écarte. Des cuisses touchent à nouveau mon torse. Je me penche pour honorer cette nouvelle chatte et un gland chaud se pose sur mes lèvres!
J'ai un mouvement de recul. On me saisi les cheveux et on m'oblige à prendre ce gland dans la bouche. Je refuse toujours. Deux doigts me pincent le nez et par la force des choses, j'ouvre la bouche pour respirer. Le gland se pose sur ma langue.
- Suce-la, comme Julie t'a sucé au Bois. Suce-la comme tu aimerais être sucé" me dit Christine.
Je m'applique alors et je ne trouve pas cela dégoûtant… Loin de là… Je sens le gland durcir dans ma bouche. C'est alors qu'on m'enlève mon bandeau!
Le temps pour mes yeux de s'habituer à la pénombre environnante et je vois que je suce June! C'est un magnifique transsexuel! Toujours en suçant, je regarde vers le haut et j'admire cette superbe poitrine à la bonne tenue. June se caresse les seins en profitant de ma fellation.
Sa bite est maintenant dure et tendue dans ma bouche. Christine me relève et m'amène devant une table sur laquelle elle m'oblige à me coucher. Immédiatement, je sens des mains sur mes fesses qui me caressent les fesses, la raie qui les sépare, mes couilles… Les doigts en profitent pour plonger doucement dans mon fondement, bien enduits de gel… Pressentant ce qui m'attend, je gémis:
- Non Christine pas ça! Je veux bien sucer mais pas ça!"
- Tu te rappelles les Bois? Lorsque j'ai amené ta queue contre cul de Julie, tu ne t'es pas retiré! Tu t'es enfoncé avec délice dans son petit cul. Alors June va faire la même chose. Elle en a très envie: je ne l'ai jamais vue triquer comme ça…"
Je sens le gland posé sur mon trou. June pousse doucement. La tension sur mon anus augmente et tout à coup le gland passe l'anneau. June s'arrête et me laisse m'habituer. Ce n'est pas si désagréable…
Lentement, elle commence à bouger, s'enfonçant toujours plus profondément. Elle me saisi les hanches et commence à me prendre virilement. Je sens sa queue frapper contre ma prostate m'excitant de plus en plus.
C'est alors que Julie vient s'asseoir, nue, sur la table, présentant sa chatte à ma langue.
- Lèche-moi! Fais-moi jouir salope!"
Sa chatte dégouline de mouille. J'y plonge ma langue avec délice. Tout à ma tâche, je sens soudain une bouche vorace avaler ma queue dépassant du bord de la table. Christine me bouffe la queue au même rythme que June m'encule! C'est la débauche totale: je me fais enculer, je bouffe une chatte et je me fais sucer à fond!
Après quelques minutes de ce traitement, Julie jouit en tirant sur ses tétons. La bouche de Christine aspire mon éjaculation qui n'en finit pas. Les contractions de mon anus provoquent la jouissance de June qui se vide en criant dans mon cul…. Puis elle s'effondre sur mon dos pour reprendre son souffle…
Trois minutes passent ainsi et Julie se relève et quitte la table. June commence à débander et sort de mon cul. Christine me détache et m'envoie à la douche. Je m'exécute.
Lorsque je sors de la salle de bain, un magnifique spectacle m'attend: Christine, couchée sur le dos sur le lit se fait lécher la chatte par Julie. Derrière cette dernière, June s'apprête à enfoncer sa bite dans la chatte luisante de Julie.
- Va-t-en me dit Christine entre deux soupirs."
Son regard me signifie de ne pas insister. Je tire la porte derrière moi. En descendant en ascenseur, j'ai un fourmillement très agréable au niveau de l'anus…
4.
Mon mobile sonne : c'est Christine. Je n'ai pas eu de nouvelles depuis 15 jours.
Tremblant, je réponds :
- C'est moi. Je vais t'envoyer un texto. Le jour où tu le recevras, tu te présenteras à l'adresse indiquée à 21h30 précise.»
Et elle coupe la communication. Mon excitation tombe d'un coup. Plusieurs jours passent pendant lesquels je commence à douter. A chaque texto, mon cœur bat la chamade.
- Devant le sauna l'Amphibi.»
Il est 19h! Je plonge sur Internet et trouve l'adresse: c'est à l'autre bout de Paris. J'y vais aussi vite que possible. Il est 21h20 lorsque je me présente devant l'établissement. Personne. Je patiente en me demandant ce qui m'attend. Je commence à bander…
- Entre et dépêches-toi!»
La porte s'est ouverte et Christine se tient dans l'encadrement. Il est 21h30…
J'entre, lumière tamisée, température agréable.
- Suis-moi.»
Christine porte un grand linge blanc autour de son corps superbe. Nous arrivons au vestiaire. Étonnement: ils sont mixtes. Je vois deux hommes et une femme à demi-nus. La femme enroule son linge autour de sa taille, laissant sa poitrine à l'air libre. J'ai juste le temps de voir sa chatte avec un petit triangle de poils…ce qui n'arrange pas mon érection…
Un des hommes sort entièrement nu, son linge sur l'épaule. Je suis assis sur un des bancs et je ne peux pas m'empêcher de mater sa queue lorsqu'il passe devant moi. Bel engin… Je suis nu et je cherche un linge.
- Ne cherches pas de linge. Tu me suis comme cela…»
Là, je bande dur! Nous descendons des escaliers. Il fait toujours plus sombre. Arrivés presque en bas, Christine se retourne et prend ma queue en bouche… Quelle suceuse exceptionnelle. Elle s'applique longuement, accompagnant sa fellation par un branle lent et régulier…
- Mmmmhh très bonne ta queue. J'adore la sucer. Viens.»
Nous arrivons au milieu du couloir. Christine s'arrête devant une porte ouverte. Dans la pièce, un grand matelas et une femme. Elle suce, à quatre pattes, avec ferveur la queue d'un homme pendant qu'un autre la lèche, le nez entre ses fesses.
- Regarde comme elle aime ça, cette salope se branle en même temps.»
En effet, la main libre de la femme s'active sur son clitoris. L'homme derrière elle s'approche et je vois distinctement son sexe pénétrer dans le ventre de la femme qui gémit encore plus fort.
- Viens.»
M'arrachant au spectacle, Christine m'entraîne plus loin. Elle pose son linge dévoilant son corps superbe et nous entrons dans le hammam. Il fait très très sombre… Dans la vapeur, nous nous dirigeons à tâtons vers la banquette.
Nous sommes assis, Christine à ma gauche. Après quelques secondes, une ombre s'assied à ma droite. Une autre se place debout devant elle et m'approchant, je vois un homme sucer la queue de l'autre. Cette queue est monstrueuse… Mon voisin arrive à peine à gober le gland et branle le manche de 25 cm au moins.
Même si je n'aime pas trop les hommes je ne peux m'empêcher de mater…
C'est alors que je sens la bouche de Christine s'emparer à nouveau de ma queue… Elle me pompe comme une déesse… Je vais bientôt jouir et je le lui dis. Elle s'arrête et me sourit de ce sourire carnassier qui est le sien.
- On dirait que tu es prêt à me baiser ou à m'enculer mon cher Christophe.»
Je tremble d'excitation. Elle sort du hammam et je la suis, direction la douche. Sous la caresse de l'eau chaude, Christine se frotte à moi accentuant encore (si cela est possible) mon érection.
Nous nous séchons et, nue, elle se dirige vers une des alcôves que j'avais vues plus tôt. Elle entre et se met à quatre pattes sur le matelas.
- Viens me baiser avec ta grosse queue. Enfile-moi et défonce-moi profond.»
Je ne me fais pas prier et plantant mon pieu gorgé de sang dans son ventre, je commence à pilonner cette chatte chaude et détrempée. Pendant plusieurs minutes, je me régale des orgasmes à répétition de cette salope.
Elle bouge son cul pour me permettre de l'enfiler plus profond encore. Je profite de ma position pour planter un de mes pouces dans son cul, qui l'accueille sans difficulté. Cette salope doit se faire enculer souvent… Après avoir pris son pied une quantité de fois, Christine me dit:
- Si tu veux te faire mon cul on change de pièce.»
Je sors de sa chatte et elle m'entraîne tout au fond du couloir. La pièce est vide et séparée en son milieu par une vitre épaisse et opaque. Plusieurs trous sont percés dans la vitre. Christine me demande de passer derrière la vitre. Son bras sort d'un des trous, saisi ma queue et l'attire dans le trou.
Immédiatement, elle prend ma queue en bouche et me pompe comme une damnée. Je dois à nouveau l'arrêter.
- Je vais jouir!»
- Mmmhh j'aurais bien envie de te boire mais je te veux dans mon cul d'abord. Je sens alors au bout de ma queue son anus. Je suis collé à la paroi et elle vient se planter sur ma queue jusqu'à la garde.
- Ouiiiii, j'aime ta bite dans mon cul. Encule-moi fort!»
Elle se colle à la paroi et je commence à la limer à fond. Putain que c'est bon! Je lui travaille le cul, alternant coups de boutoir et lenteur… Si bien que je ne peux plus me retenir.
- Je vais jouir!»
- Ouiiii jouis! Remplis-moi le cul!»
Ce que je fais. Je me déverse en criant dans ce trou si accueillant. Je suis collé à la paroi. Tout à coup, celle-ci n'est plus opaque! Et je vois Christine, les doigts plantés dans sa chatte qui me sourit : je viens de jouir dans le cul de l'homme des vestiaires!
Vu le plaisir que je viens de prendre, je sourie (un peu jaune) à Christine pendant que l'homme s'avance, faisant sortir ma queue de son cul. Il me sourit, me remercie et s'en va. Christine vient de mon côté de la vitre et me demande:
- Tu m'en veux ? Désolée mais je n'ai pas pu résister quand le mec m'a demandé de se faire enculer par toi…»
- Non je ne t'en veux pas….»
Elle se penche alors et prend ma queue ramollie dans la bouche. Avec tout son savoir-faire, elle me fait rebander et m'attire dans une des alcôves. Elle se dispose à 4 pattes et, écartant ses fesses à deux mains, me dit:
- Encule-moi Christophe, défonce-moi le cul, fais-moi payer!»
Je me précipite et d'un coup, d'un seul je plante ma queue dans ce cul offert. Christine commence à crier, gémir, pleurer de jouissance. A un moment, elle se retire, se couche sur le dos, remonte ses jambes sur ses seins, dégageant son cul:
- Encule-moi comme ça! Je veux te voir jouir! Je veux te voir me remplir le cul de ton jus!»
Je la plante à nouveau. Elle attrape un de ses seins et un de mes tétons et les tire, les pinces, les malaxe en simultanément. C'est trop. Un dernier coup de reins et, criant, je me vide planté à fond dans son cul qui vibre de sa jouissance à elle!
Nous sommes couverts de sueur, vautrés l'un sur l'autre…
Péniblement, Christine se relève et je finis couché sur le dos. Elle m'escalade et, posant son anus sur mes lèvres, me dit:
- Lèche ton foutre tu sais qu'il a bon goût…»
5.
Texto de Christine : « Rendez-vous ce soir, 21h, embarcadère des bateaux mouches. »
Comme à son habitude, elle me l’envoie au réveil. Toute la journée, mon excitation grandira… Il est enfin 20h50. Je suis au rendez-vous. Je vois arriver Christine avec deux jeunes filles superbes. La première, 30 ans, 170 cm, mince, poitrine moyenne dévoilé par un décolleté plongeant, short jeans au raz des fesses, cheveux longs noirs. La seconde, 20 ans, 160 cm, opulente mais ferme poitrine, petit top dévoilant son ventre bronzé, minijupe, cheveux blonds courts…
- Je te présente Sandra et Arielle. Elles vont faire une petite balade avec nous.
Nous montons dans le bateau. Après quelques minutes, celui-ci quitte le quai. Je remarque que nous sommes les seuls à bord avec le pilote. Le bateau mesure environ 15 m de long pour 6 de large et est entièrement vitré, toit compris. Arielle nous sert un verre et vient s’asseoir sur les genoux de Christine qui pose sa main sur sa cuisse.
- Comment trouves-tu mes amies mon cher Christophe ?
- Elles sont superbes. »
- Et tu n’as encore rien vu… Arielle, veux-tu débarrasser Christophe de son pantalon ? Il me semble coincé au niveau du bas-ventre…»
Je me lève et Arielle s’attaque à ma ceinture… Elle me regarde dans les yeux, en passant sa langue sur ses lèvres souriantes… Plaquant sa main sur mon boxer, elle dit :
- Tu as raison Christine, il est à l’étroit. » et à voix basse pour moi : « Belle queue… »
Mon pantalon tombe sur mes pieds. Arielle m’en débarrasse et l’emporte. Sandra s’approche et m’enlève ma chemise en prenant soin de sucer mes tétons… C’est alors que je remarque que Christine a glissé sa main par la fente de sa jupe et qu’un mouvement régulier agite le tissu…
- A genoux les filles et appliquez-vous lorsque vous lui enlèverez son caleçon !
Les filles s’exécutent. Sandra vient devant et Arielle derrière. Les quatre mains s’activent, caressant, frottant, tirant sur le tissu, se glissant par les ouvertures, devant, derrière…
Je bande à fond ! Sandra descend lentement le tissu dégageant mon sexe gonflé… Ses lèvres se posent sur mon membre et très lentement se dirige vers le gland… Arielle finit de descendre le vêtement et me caresse les fesses avec ses doigts, sa langue, ses lèvres…. Sandra prend ma hampe dans sa belle bouche et commence une fellation royale…
C’est alors que je me rends compte que le bateau est arrêté juste sous la barrière d’un pont… Sur le pont, deux couples regardent le spectacle… Christine, de son côté, a écarté complètement ses jambe et montre à qui veut la voir sa chatte mouillée, pénétrée par des doigts inquisiteurs…
- Amenez-le-moi les filles. »
Elles se relèvent et me tenant chacune par un bras, m’amènent entre les cuisses de Christine.
- Christophe, tu ne bouges pas ! C’est un ordre. Arielle vas-y ! »
Cette dernière enlève son top libérant une poitrine bronzée et ferme. Elle retire ensuite sa minijupe. Nue, elle se dirige vers Sandra et entreprend de la dénuder… Christine a pris ma queue dans sa main et me branle très lentement…
Les deux jeunes filles sont nues et s’embrassent fougueusement. Pendant ce temps, le bateau a dérivé et nous nous trouvons à la hauteur d’un banc public où un jeune couple ne perd rien du spectacle. La demoiselle a sorti la queue de son ami et le suce en matant…
Je n’en peux plus d’autant qu’Arielle s’est agenouillée devant Sandra et la lèche consciencieusement… Le bateau est maintenant tout contre le quai et la demoiselle du banc y est à quatre pattes, son ami la prenant en levrette…
- Tu as vu, tout le monde baise… Tu ne voudrais pas en faire autant ? »
- Oh ouiii Christine, laisse-moi te pénétrer… »
- Pour ça, il te faudra un peu de patience… Apprécie ma main en attendant… »
- Tu vas me faire jouir Christine… »
Elle s’arrête subitement avec son habituel sourire.
- Arielle ? »
Immédiatement, Arielle se relève, fait se retourner Sandra et la penche sur la table. Elle prend dans son sac un gode-ceinture et l’attache autour de ses reins. La main de Christine s’est reposée sur ma queue… Présentant son gland à l’entrée de la chatte de Sandra, Arielle pousse lentement et s’enfonce dans le ventre offert… A ce moment-là, Christine se lève de son siège.
- Christophe, tu ne bouges pas !
Elle se penche sur la table, à côté de Sandra, dans la même position. Petit à petit, elle remonte sa jupe sur ses fesses, dévoilant ses magnifiques jambes… Elle porte des talons et la position fait ressortir la cambrure de ses reins… Elle me regarde dans les yeux pendant toute la manœuvre.
C’est alors que le pilote passe à côté de moi. Il se place derrière Christine. En me regardant, il sort sa queue. Il est bien membré ce salaud… Il s’enfonce dans la chatte de Christine. J’en ai mal au ventre d’envie. Je voudrais être à la place du pilote, d’Arielle, de l’homme sur le quai. Je vais pour prendre ma bite en main quand Christine me rappelle à l’ordre :
- Je t’ai dit de ne pas bouger ! »
Je m’exécute. Pendant 10 minutes, ce ne sera que cris de jouissances et soupirs. Pire, sur le banc, un passant s’est placé devant la bouche de la fille qui s’applique à le pomper. Mon gland est trempé de pré-sperme, mon foutre bouillonne dans mes couilles. C’est à ce moment de Christine crie son plaisir aussitôt suivie par Sandra…
Quelques secondes plus tard, le pilote annonce qu’il va jouir et Arielle se précipite pour qu’il lui remplisse la bouche ! L’homme se vide dans la bouche accueillante… Christine me fait signe de venir et écarte ses fesses !
- Vas-y choisis ! »
Je me rue et plante ma queue dans le cul de cette salope ! Arielle, la bouche pleine de foutre, roule une pelle à Sandra pendant que cette dernière la branle à fond !
Je sodomise Christine avec force, accroché à ses hanches. Comme dans le sauna, elle me retient, se met sur le dos et me présente ses orifices.
- Je veux te voir jouir ! »
Cette fois je plante ma queue dans sa chatte et la baise comme un fou ! Le bateau est reparti et nous sommes face aux quais où les passants s’interpellent en nous montrant du doigt. J’ai l’impression que tout Paris me regarde planter ma bite dans la chatte de Christine. Cette dernière se caresse les seins, tirant sur ses tétons bandés. Elle hurle :
- Je vais jouir ! Baise-moi, défonce-moi la chatte ! »
C’est trop ! Je sens mon sexe exploser dans ce vagin brûlant et inondé. Nous hurlons ensemble notre plaisir qui nous laisse pantelants et trempés de sueur. Je débande lentement et mon sexe sort de celui de Christine.
Arielle s’approche de Christine et, à genoux lèche le sperme qui coule de son sexe détrempé. Sandra de son côté, nettoie ma queue avec sa langue. Je n’en peux plus. La frustration puis la jouissance m’ont coupé les jambes. Je m’aperçois que nous sommes revenus à notre point de départ.
Je sors du bateau et….le pilote enlève la passerelle et remet le bateau en route. Pendant que le bateau s’éloigne du quai, je vois Christine enlever son chemisier et sa jupe…
- Tu n’as qu’à suivre le quai ou aller sur le pont suivant pour voir la suite si elle t’intéresse… »
Elle me sourit et passe son bras sur l’épaule de Sandra pendant que son autre main se pose sur le triangle noir en haut de ses cuisses…
6.
22h. Je viens de finir mon verre et Christine me dit:
- Je vais chez Arielle ce soir… Tu veux venir?»
Si je veux? Bien sûr que je veux! Immédiatement, les images de la petite blonde me reviennent à l'esprit et non plus rapidement, je me sens à l'étroit…
Christine hèle un taxi. Il s'arrête et Christine s'assoit à côté du chauffeur. Je n'ai pas d'autre choix que de prendre place à l'arrière. Christine baisse le pare-soleil et ses yeux me regardent dans le miroir. Je sens qu'il va se passer quelque chose… Elle modifie l'angle du miroir.
- Qu'il fait chaud aujourd'hui» dit-elle au chauffeur. «Vous ne trouvez pas?»
- Oh oui. Un peu de fraicheur serait la bienvenue».
Dans le miroir, je vois les doigts de Christine s'attaquer à son chemisier, lentement, très lentement… Je peux voir qu'elle ne porte pas de soutien-gorge… Le dernier bouton est décroché. Le chauffeur ne se gêne pas pour mater…et Christine ne fait rien pour cacher quoi que ce soit…
Elle écarte lentement les pans de son chemisier, dévoilant ses superbes seins…
Le chauffeur commence à se tortiller sur son siège, mal à l'aise.
- Vous semblez mal-à-l'aise, puis-je vous aider?»
Le chauffeur soupire un petit oui…
Christine se penche vers lui en me regardant dans les yeux… Elle s'attaque à la braguette du chauffeur…
Son regard se pose sur le membre qu'elle vient de dégager:
- Oh qu'elle est grosse!»
Elle me regarde à nouveau et se penche pour le prendre en bouche. Je vois sa tête monter et descendre sur le membre. Entre les sièges, je vois ses seins superbes bouger au rythme de sa fellation. Le chauffeur s'arrête et soupire…
- Tu ne préfères pas les miens?»
La voix d'Arielle!
Nous sommes devant son domicile et elle est devant ma vitre, le chemisier ouvert, ses mains m'offrant ses seins gonflés.
- OUI!»
J'ouvre la porte et Arielle se glisse dans l'habitacle. Sans attendre, elle pose son sein droit sur mes lèvres. Je lèche, je suce, j'aspire, passant d'un à l'autre… Arielle soupire puis se penche sur mon sexe, tendu dans mon pantalon. Elle l'extrait d'une main experte et plonge pour une fellation passionnée…
Profitant de sa bouche, je mate Christine. Elle ne perd pas une miette de la fellation d'Arielle et branle le chauffeur de sa main droite.
- Nous sommes arrivés, Madame» soupire-t-il.
Christine l'abandonne et sort de la voiture. Nous sommes dans un petit coin de forêt. Elle se place devant les phares, de face et commence à se masser la poitrine, portant de temps à autre un sein à ses lèvres… Tendant la langue, elle en lèche le téton dressé. Puis ses mains remontent lentement sa jupe…
Elle se tourne et se penche en avant. La jupe continue de remonter…et la bouche d'Arielle ses allers-retours sur ma queue tendue. Je dois l'arrêter car je vais gicler. Elle me sourit et sort du véhicule. Elle va vers Christine et s'agenouille à côté d'elle. La jupe dévoile maintenant les fesses de Christine. Arielle les caresse lentement en nous regardant la langue sur les lèvres… Je sens la voiture bouger doucement; le chauffeur se branle…
Arielle nous fait signe de venir. Nous sortons, la queue tendue. Arielle prend celle du chauffeur et la pose à l'entrée de la chatte de Christine.
- Ne bouge plus!»
Elle m'attire vers elle et pose ma queue à l'entrée de sa bouche.
- Vous allez bouger tous les deux ensemble, toi dans ma bouche et lui dans la chatte de Christine. Christophe, tu donnes le rythme.
Le chauffeur à le regard rivé sur ma queue. Curieusement, son regard m'excite encore plus. Lentement, je force la bouche d'Arielle. Mon compagnon fait de même dans la chatte de Christine. Un lent mouvement de va et vient agite nos queues. A un moment, Christine dit au chauffeur:
- Plus fort…»
Et elle me regarde dans les yeux…
Le chauffeur s'enfonce en le tenant aux hanches. Je prends la tête d'Arielle entre les mains et je m'active… Arielle m'accepte jusque dans sa gorge profonde… Sentir sa langue sur mon membre et ses mains sur mes fesses précipitent ma jouissance et dans un râle, je jouis dans la gorge accueillante.
Arielle, le nez contre mon bas ventre accepte tout mon foutre directement dans sa gorge… Pendant ce temps, sous les coups de boutoir du chauffeur, Christine gémit:
- Baise-moi, défonce-moi, bourre-moi!»
Et il ne s'en prive pas…
Ma queue débandante sort lentement de la bouche d'Arielle. Mais celle-ci ne l'entend pas de cette oreille:
- Si je t'ai fais juter si vite, c'est pour que tu ne jouisses pas trop vite…dans mon cul…»
Immédiatement, ma bite commence à durcir à nouveau. L'enduisant abondement de salive, Arielle me branle, sa main coulissant sur mon membre redevenu raide…
Elle s'appuie sur le capot, écarte ses jambes et me dit:
- Viens, je te veux dans mon cul… Vas-y doucement, tu es large et je n'ai pas trop l'habitude…pas comme Christine…»
C'est alors que Christine s'appuie sur le capot, dans la même position. Je remarque alors que le chauffeur est planté dans son petit trou…
Je pose mon gland à l'entrée secrète d'Arielle et m'enfonce avec délice dans ce fourreau étroit et serré… Son anus épouse ma queue sur toute sa longueur. Je dois m'arrêter tant cela m'excite. Pendant ce temps, Christine prend bruyamment son pied sous les coups de boutoir du chauffeur.
J'encule avec délice Arielle dont le conduit secret me rend fou. Mais c'est trop excitant: sentant l'anus d'Arielle se contracter sous l'effet de la jouissance, j'éjacule, planté au fond de son ventre accompagné par le chauffeur dans celui de Christine…
Je n'ai plus de jambes… Nous remettons de l'ordre dans nos tenues et rentrons dans la voiture. Christine et Arielle à l'arrière…
Pendant tout le voyage de retour, j'ai les yeux plantés dans le miroir du pare-soleil tout comme le chauffeur dans le rétroviseur. Christine et Arielle ont jouit une dizaine de fois…
La voiture s'arrête devant le domicile de Christine et bras dessus bras dessous, elles sont rentrées dans l'immeuble…
- Chaude soirée» me dit le chauffeur.
- Chaude soirée en effet…»
Il m'a déposé sans frais devant chez moi