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Brèves de femmes

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Quand les bourgeoises jouent avec le feu...

LA FUGUEUSE
Cécile est une adolescente parisienne élevée dans un milieu aisé et bourgeois du centre de Paris. Scolarisée dans une école privée avec restriction vestimentaire (jupe bleue marine, chemisier bleu clair ou pull bleu obligatoires). Après la lycée, il lui suffit de marcher 500 mètres environ pour être à la maison où la bonne se charge de l'accueillir tout comme ses 2 autres sœurs beaucoup plus jeunes.
A son âge, Cécile se sent un peu prisonnière de son mode de vie, très encadré, basé uniquement sur l'éducation et la réussite sociale. L'été elle part sur la cote d'Azur avec ses parents ou bien chez ses grand-parents. elle a bien tenté de prendre des libertés pour aller à des soirées dansantes organisées chez des copines. Mais l'autorité des parents en a eu raison. L'école et la réussite avant tout. "Et puis tu es trop jeune pour sortir. Ce n'est pas convenable..." réitère souvent sa mère. C'est principalement elle qui se charge de l'éducation car le père, gros industriel, se consacre toute la semaine à son travail et est trés souvent absent.
Alors qu'elle rentre du lycée, Cécile a pris l'habitude d'échanger quelques mots avec un jeune coursier en scooter, desservant le quartier de temps en temps. De 2 ou 3 ans son ainé, il n'a pas fait d'étude et pratique ce job pour se faire un peu de ronds en plus du trafic parallèle de vêtements de marque volés ici et là. Il vit en banlieue à Nanterre. Ces quartiers il les connaît parfaitement ainsi que tous les squats, endroits connus de Cécile, qu'à travers des reportages télévisés ou d'actualités lorsqu'il s'y passe quelque chose.
Le jeune banlieusard, surnommé Rap, lui parle toujours sèchement et la provoque parfois par rapport à son milieu, son rythme de vie. Cécile lui répond en baissant la tête et lui pose des questions sur ce qu'il fait. Rap lui parle de liberté, de sortie la nuit, de voiture de bourge qu'il casse avec ses copains, il reproche à Cécile d'être naïve sur le monde... Il lui parle de sexe, de drague. Cela gène Cécile qui finit par passer son chemin lorsque la provocation devient trop gênante.
- Un jour, quand tu en auras marre d'être conne, je pourrai t'emmener faire un tour.
Cécile passe son chemin et rentre chez elle. L'heure du repas est l'occasion pour manifester sa crise d'adolescence. Un soir de novembre, sur le retour du lycée, Cécile se fait accoster par Rap sur son scooter.
- Salut, j'ai fini ma tournée. Il fait froid mais sec. Je t’emmène faire un tour si tu veux.
Cécile marche avec son sac à dos sur son manteau bleu marine. Elle ne répond pas.
- A c'est vrai, la petite fille à sa maman rentre bien vite à la maison, le gros méchant loup va la manger".
- Laisse-moi ! Je ne suis pas d'humeur ce soir.
- La bourge fait des caprices... Qu'est ce t'as ? T'as tes ours ?
- J'en ai marre de ses profs. Je n'ai pas assuré à mon devoir de maths, ma mère va encore m'embêter toute la soirée.
- Allez monte je t’emmène. Tu l'emmerde ta mère.
Cécile sans réfléchir monte sur le scooter et Rap démarre en trombe. Après de nombreux tour dans Paris éclairé, Rap s'oriente vers sa banlieu en passant de chemin piéton en escalier et dans des ruelles servant de raccourcis. Vers 23h00, Rap s'arrête au niveau d'un pâté de vieilles maisons paraissant désaffectées.
- Qu'est ce que tu fais. Où va-t-on ?
- Jme caille et j'ai faim. On va chez des potes. Rentre et monte.
Cécile pénètre dans un vieille cage d'escaliers en bois étroits et raides. Une forte odeur d'urine et de poubelles s'en dégage.
- C'est ici.
Rap frappe à la porte sous la forme d'un code. cette dernière s'ouvre. Un jeune homme les fait rentrer en regardant avec insistance et provocation la jeune fille. IL a les cheveux longs, sales. Il s'installe sur un vieux fauteuil et reprend à fumer un pétard. Dans la même pièce sombre, éclairée d'une ampoule jaune, un autre homme paraissant plus âgé mais aussi sale et agressif du regard est entrain de fumer mais ne dit rien. Il regarde Cécile en la fixant. Le premier répondant au nom de Zis s'adresse à Rap :
- Qui c'est?
- Une bourge en fugue. Je l'ai ramenée du 16ème. Elle est dans un lycée privée de curtons.
- Elle a l'air bonne cette gueuse. C'est à toi.
- Non, je l'ai emmené faire un tour en banlieue, elle connaît pas.
- Elle baise ?" dit Zis en la toisant de la tête au pieds.
- Je ne pense pas. Elle est pucelle la bourge.
Cécile est gênée et immobile. Elle rougit. Rap se roule un joint et s'assoie pour le fumer. Cécile demande :
- Je vais rentrer maintenant. Tu peux me ramener ?" en s'adressant à Rap.
- Non je suis crevé. Et puis démerde toi, je suis pas ton chien.
Zis reprend
- Elle ne va pas partir comme ça. On peut passer un moment ensemble si tu veux.
Zis se lève s'approche de Cécile et lui enlève le manteau en forçant un peu. Cécile ne s'est pas comment réagir.
- Laissez moi, je veux rentrer.
Le regard de Cécile cherche refuge vers Rap qui ne la regarde pas. Elle se tourne alors vers le 3ème espèrant une intervention de sa part. Zis s'impose devant Cécile et commence à la peloter à travers ses vêtements.
- Qu'est ce tu as sous ta jupe. Petits nichons enveloppés.
Zis la pelote de plus en plus et essaie de remonter la jupe de Cécile qui l'a retient. Elle commence à pleurer et à crier. Zis la plaque contre le mur et lui remonte violement sa jupe bleu jusqu'aux hanches. Mais le collant bleu marine opaque interdit toute intrusion à Zis.
- Allez, laisse toi faire. Fait voir ta petite chatte.
- Non, laissez moi, au secours.
Cécile commence à crier.
D'un seul coup, le 3em hommes, plus fort, répondant au surnom de BouG, se lève en sursaut et surgit du fond de la pièce. Cécile y voit un salut de sa part. Pas du tout. Boug arrache Zis de Cécile et empoigne Cécile par son pull.
- Maintenant, tu vas te mettre à poils doucement devant nous. J'ai envie de baiser. Fais pas de difficulté sinon je t'en colle une.
Toute tremblante et en pleures, Cécile acquièce et commence à s'exécuter. Zis s'assoit dans un fauteuil qu'il approche à 1 mètre d'elle.
Cécile enlève son pull et déboutonne son corsage bleu ciel. Déboutonné jusqu'en bas, elle le sort de sa jupe et l'ouvre devant les 3 regards d'obsédés. Elle porte un petit soutien gorge de coton blanc à petites fleurs rose. Il moule parfaitement sa petite poitrine ronde de taille 80A.
- Magnes-toi" dit Zis d'un air excité.
Cécile fait descendre sa jupe à ses pieds en essuyant ses larmes de temps en temps. Le collant opaque permet juste de distinguer la forme d'un slip. Ce dernier apparait lorsque Cécile enlève son colant. De la même couleur que le soutien gorge, il moule parfaitement ses fesses rebondies et cache juste le bas ventre. Cécile marque un temps d'arrêt. La blancheur du coton tranche nettement avec sa peau légèrement mate.
- Alors ! Tu veux que je t'aide à continuer. Enlève moi ça vite, sinon je vais décharger sur moi avant de te baiser. Dit Boug
Cécile défait l’agrafe de son soutien gorge et dévoile ses 2 poires fermes aux bouts bruns. Tout en tremblant, elle descend son slip et le pose sur le reste de ses vêtements, à ses pieds. Zip lui prend aussitôt, regarde le fond du slip et se met à le sentir.
- Hum, ça sent la petite chatte de pucelle bien propre."
Boug attrape Cécile par le bras et la fait mettre a genoux devant lui. Il défait son pantalon et sort son gros sexe d'un vieux caleçon tout fripé.
- Suce moi la bite. Tu la prends bien dans la bouche et tu me suces."
Cécile prends le sexe de Boug avec sa main tremblante et commence à l'enfourner dans sa bouche. Il sent l'urine. Mais elle n'a pas le choix. Zis baisse son pantalon et sort son sexe en érection.
- Dépêche toi, je ne vais pas tenir longtemps? Il faut que je la baise.
Aprés 4 ou 5 minutes de va et viens, Boug lui dit d'arrêter et l’emmène se coucher sur un vieux matelas servant de lit au premier venu.
- Zis, tu passes avant, tu as une petite bite, pour la dépuceler c'est mieux.
Zis se jette dessus et lui écarte les jambes de force pendant que Boug lui tient les bras au dessus de sa tête. Cécile pleure et pousse un gloussement au moment de la pénétration.
- Hum, hum, c'est bon elle est étroite. Tu n'aimes pas encore mais tu vas aimer. Hum, hum, tu auras été dépucelée avant ta mère, hum. Ah putain, je jouis…
Dans la foulée, Boug monte dessus et commence la même opération. Cécile sent le sexe plus gros la pénétrer. Elle ne dit plus rien et s'est relachée. Sa respiration prend le rythme des va et viens du gros Boug. Aprés 5 bonnes minutes de pénétration, Boug finit par jouir.
- Vient Rap, vient la prendre. Elle est prête.
Rap écrase une cigarette dans le cendrier et s'approche en baissant son pantalon. Cécile, épuisée le regarde venir et ne résiste plus. La pénétration de Rap lui provoque un gémissement. Le va et vient lent, la détend. Aprés 3 bonne minutes de va et viens, Cécile se met à gémir de jouissance provoquant l'éjaculation de Rap.
- Putain, tu aimes ça ma salope
- Elle vient de découvrir la baise grâce à nous. Ce sera une vrai salope de bourgeoisie. Dit Rap qui se relèveà Cécile :
- Alez, rhabille toi, je te ramène si tu veux."
Cécile s'exécute et commence à se rhabiller. Le sperme coule le long de ses jambes. Elle prend un mouchoir pour s'essuyer avant de remettre son slip. Rap l’apostrophe :
- Tu vois, ce qui t'arrive, c'est à cause de ta mère et de son éducation de merde. Je suis sure que ta mère est bonne et que c'est une mal baisée. Aujourd’hui elle serait jalouse de toi. A ta place, je ne lui en parlerai pas. Elle t'interdira de sortir même au delà de ta majorité.
Cécile écoute Rap en remettant son manteau.
- Ma mère je l'emmerde. Tu me ramènes et c'est tout.
- Si ta mère t'emmerde, tu n'as qu'à nous l'emmener on lui fera la même chose en plus hard. Elle t'embêtera plus. Je suis sur qu'elle baise que pour procréer, cette bourge coincée. Réfléchis. Tu la mets entre nos mains et on s'occupe du reste. Allez, salut, casse toi.
Cécile est raccompagnée par Rap jusque dans son quartier. Rap a pris soins de brouiller les pistes en passant par d'autres chemins confuc pour le retour. En la déposant Rap s'adresse à Cécile :
- Tes bonne à baiser. Si je pouvais je te remettrai ça. Ta mère doit être bonne aussi. Je la baiserai bien. On peut s'occuper d'elle si tu veux. Réfléchis, un jour je t'accosterai, tu me diras
- Fiches-moi la paix."
Cécile marcha vers chez elle en pleurant et s'essuya les yeux avant de rentrer chez elle. Aprés des explications inventées, elle pris une bonne douche et se coucha. Depuis elle médite sur sa soirée et sur le sort à infliger à sa mère de plus en plus gonflante.

NADIA
Lady Chartterley
Nadia mon épouse est une belle femme de 24 ans, issue de la bourgeoisie de Rabat.
Brune, de taille moyenne, presque toujours coiffée en chignon, un joli visage, un regard bleu tendre et une bouche charnue et boudeuse, des seins hauts plantés, des hanches rondes et pleines, de belles jambes musclées que les robes qu'elle porte très souvent laissent deviner, malgré que celles-ci descendent en dessous des genoux, de jolis pieds cambrés et bien dessinés chaussés de fines babouches talons faites sur mesure par le chausseur.
C'est l’été, et cette année la chaleur est accablante. Nous résidons dans une grande maison retirée, entourée d'un jardin boisé, moi je suis souvent absent, ce qui lui permet d'avoir beaucoup de temps libre, qu'elle utilise pour cultiver et entretenir ses rosiers.
Pour faire vivre ce jardin, il y a le jardinier Ali, une quarantaine d'années, petit mais fort, au visage très brun, sourcils et moustache épais et noirs, il se fait aider de temps en temps par un autre apprenti de couleur, un sahraoui, bâti comme lui et aussi moustachu mais plus âgé.
Ma femme avait été très choquée et avait même rougi lorsque la première fois, elle l'avait croisé au fond du jardin en train de couper des branches, il était torse nu et elle avait constaté avec stupeur qu'il était très velu, ses bras, son dos et son torse couverts d'une fourrure noire frisée, un vrai animal, il avait cessé son activité lorsqu'il s'aperçut de sa présence et l'avait regardée en la saluant, c'est à cet instant qu'elle avait rougi, elle avait lu dans ses petits yeux noirs et brillants qui fouillaient effrontément dans sa robe une espèce d'envie sale.
Elle ne put soutenir son regard et baissa les yeux, son coeur se mit à cogner dans sa poitrine et un frisson la fit trembler jusqu 'au bout des orteils, elle s'était vite sauvée, complètement retournée.
Ali loge au fond du jardin dans une petite pièce derrière la maison, au milieu des arbres, un endroit discret et retiré.
La vie de mon épouse se déroule tranquillement, elle sort très peu et les longs déplacements lui donnent des maux de tête et la rendent malade.
Il lui arrive de rêver à une vie plus palpitante pleine d'imprévus, mais souvent lorsqu' elle est seule et se laisse emporter par ses rêveries cela la mène toujours à cette image qui la tourmente, celle d'Ali velu comme un singe, même quand elle tente, mais vainement, de rejeter cette pensée qu'elle trouve sale et obscène, celle-ci revient immédiatement la harceler et la faire frissonner, la rendant fébrile et incapable de penser à autre chose,alors pour échapper à ces saletés, elle sort se promener dans le jardin.
Comme cet après midi, même si la chaleur est étouffante, abritée sous un chapeau à larges bords elle marche dans les allées, passe sous les arbres, se remémore son arrivée dans cette maison après notre mariage, dans son esprit se bousculent des pensées sales, immorales depuis la découverte d'Ali le jardinier, quelque chose s'est réveillé en elle et cela la terrorise, mais aussi la fait frissonner la rendant molle et moite,incapable de réagir, elle, l'épouse respectable, la bourgeoise pleine de principes, elle rêve qu'elle est entourée d'hommes moustachus et velus et forcée de faire des choses dégoûtantes et obscènes pour satisfaire leurs désirs, qu'elle est malmenée,bousculée,contrainte.
Elle se rend compte soudain que ses rêveries l'ont menée au fond du jardin, elle aperçoit la maison ou loge Ali, son coeur se met soudain à cogner plus fort dans sa poitrine, il lui semble entendre les battements dans sa tête, sa gorge se serre.
Dans son esprit surgit Ali le jardinier, torse nu. Une curiosité malsaine de revoir cette fourrure noire et frisée la pousse à avancer vers la maison mais en marchant silencieusement, la sueur perle à son front.
Elle veut juste l'épier sans qu'il s'en aperçoive, cette idée l'affole mais elle se sent attirée vers cet endroit comme si elle était téléguidée, elle s'approche de la fenêtre et regarde à l'intérieur, il n'est pas chez lui, déçue mais toujours curieuse elle décide d'y entrer pour jeter un coup d’oeil, voir la couche ou Ali le jardinier se repose ; cette image alimentera ses rêveries immorales, peut être dort-il nu, cette pensée enflamme son esprit et elle se dirige vers l'entrée.
Elle ouvre la porte et pénètre dans la pièce, il y fait très chaud, elle sent tout de suite des perles de sueur couler dans son corsage et dans son dos, et jusque entre ses orteils qu'elle fait gigoter comme pour chercher un peu de fraîcheur, elle avance vers le lit de l'ouvrier, les talons de ses mules claquent sur le sol, et l'odeur de l'homme envahit ses narines, ça sent le tabac, la sueur et les épices, ses joues sont cramoisies car son imagination tourne à plein régime, et si elle s'allongeait rapidement sur cette couche afin de mieux imprégner son esprit de ces odeurs? Et pour s'en servir plus tard dans ses rêveries innommables et sales auxquelles elle s'adonne dans sa chambre, enfermée à clé.
Elle se penche et tapote le matelas, s'assoit, elle lève légèrement les jambes et remue ses orteils délicats en battant l'air de ses deux pieds cambrés pour faire tomber ses mules, puis comme poussée par une main invisible, elle s'allonge.
Tout de suite, l'odeur du male brun et velu lui saute aux narines, elle suffoque et transpire encore plus, ses cuisses s'écartent indépendamment de sa volonté, elle gémit, elle ne devrait pas faire ça, c'est de la folie, quelque chose d'invisible a pris possession de sa volonté, elle ne peut lutter, elle se résigne en sanglotant et ses cuisses se relèvent en s'écartant largement, ses genoux touchent ses seins, elle manque d'air et va tourner de l'oeil.
Alarmée, avec des gestes fébriles et désordonnés, elle retire sa robe, libère ses seins gonflés aux pointes tendues, arrache sa fine culotte blanche et écarte à nouveau ses cuisses en les relevant, la bourgeoise mariée n'est plus consciente de ce qu'elle fait, un seul désir domine effaçant toute retenue, celui de se toucher, elle sent sa chatte à la toison brune épaisse s'ouvrir et un liquide chaud et onctueux couler entre ses fesses, cela lui apporte une brève sensation de fraîcheur, sa main gauche s'attaque immédiatement aux tétons dardés, les pinçant et les étirant, son autre main va farfouiller entre ses cuisses, dans les poils trempés de sa chatte, elle gémit sans se retenir, un doigt frotte l'entaille qui dégorge une goutte de mouille, s'introduit entre les lèvres et pénètre, un petit cri et un long gémissement suivent la progression du doigt dans la chatte mouillée.
Un tout petit reste de lucidité lui dit de se relever et de partir, sa curiosité étant satisfaite, mais il y a toujours cette main invisible qui la maintient clouée sur ce lit, les cuisses relevées et largement écartées, son odeur de femelle envahit maintenant la pièce, se mêlant avec celle d'Ali le jardinier, elle se sent sale ainsi écartelée sur ce lit, dans cette position obscène, elle Nadia l'épouse respectable et respectée, mais cela ne l'empêche pas de continuer à se pincer les pointes des seins et faire aller et venir son doigt dans sa chatte brûlante aux poils humides.
Soudain, comme dans un brouillard elle voit Ali le jardinier,mais il n'est pas seul, son compagnon de couleur est là lui aussi, ils sont à quelques pas du lit, elle n'avait rien entendu, comme s'ils avaient surgi par magie, leurs regards enflammés sont fixés sur sa main qui est toujours entre ses cuisses écartelées, tétanisée elle les entends respirer, les narines écartées se délectant du parfum de femelle.
Elle a l'impression que c'est deux bêtes prêtes à lui bondir dessus, elle tremble mais ne peut rien faire, elle les entend se parler dans leur langue natale (berbère sans doute de l’atlas), elle ne comprends rien mais elle est sure qu'il s'agit d'elle et peut être sont-ils en train de dire des obscénités, elle mérite ce qui lui arrive, sortir du droit chemin ou elle a toujours évoluée mène à ça, elle gémit et une larme coule le long de sa joue, elle ne pense plus à rien maintenant,elle se dit que ce n'est qu'un rêve et qu'elle s'éveillera bientôt dans sa chambre.
A travers ses paupières elle voit leurs regards de braise se promener sur son corps nu, celui du sahraoui noir s'attardant sur ses jolis pieds cambrés, elle est consciente d'une chose, c'est que sa position écartelée sur le lit est obscène au plus haut degré, mais curieusement elle ressent une certaine satisfaction d'être ainsi dévorée des yeux, ces deux salauds sont placés à ses pieds afin d'avoir la meilleure vue sur sa chatte, elle ne cache rien, elle se dit qu'ils doivent voir même son anus, elle en frissonne de dégoût, mais découvre qu'elle aime être ainsi exhibée,cela lui procure des sensations sales qu'elle ignorait.
Elle va se lever et les gronder, elle est la patronne après tout, ces deux ouvriers sont ses employés, ils n'ont qu'à baisser la tête et obéir sous peine de renvoi.
Tout à coup, elle ouvre grand les yeux et sa bouche forme un O sans qu'aucun son ne sorte, ils déboutonnent les braguettes de leurs combinaisons de travail, elle voit d'abord Ali introduire sa main velue dedans pour extirper une matraque de chair brune, épaisse et tendue, coiffée d'un gros gland brun, il la secoue d'une façon obscène et vulgaire pointant dans sa direction en lui disant des mots en berbère, elle a la gorge nouée et ses joues sont cramoisies, son coeur bat à tout rompre, un
gémissement glisse entre ses lèvres et elle referme tout de suite ses cuisses en allongeant les jambes.
Elle ne peut s'empêcher de regarder l'autre ouvrier arracher sa combinaison et se présenter en slip blanc le devant tendu et bien rempli, il met ses deux pouces derrière l'élastique et le baisse d'un coup, le coeur de ma femme bondit dans sa poitrine et ses yeux s'agrandissent encore plus, le compagnon de Ali lui expose un gourdin noir gros et noueux, parcouru de veines saillantes, surmonté d'un gland épais lui aussi.
Ali finit de se dévêtir tandis que le noir approche ses mains à la peau dure, il saisit les deux pieds blancs et cambrés et commence à les palper, à pincer la plante et les orteils par-dessous, elle sent ses mains calleuses caresser ses pieds nus mais son regard est littéralement fixé sur le gros zob noir qui se cabre et grossit, il lui fait poser la plante du pied droit dessus, puis le pied gauche, elle sent le gland dur se frotter en dessous,lui chatouiller les orteils, elle trouve ça dégoûtant, elle tremble et veut se révolter mais elle reste sans réaction regardant ce que l'ouvrier fait avec ses deux pieds blancs qui Contrastent de façon obscène avec le gros zob noir.
Elle voit arriver Ali vers elle tenant son gourdin dressé dans la main et le secouant, sa gorge se noue et elle croit s'évanouir, il s'approche de son visage et autoritairement lui pose le gros gland sur les lèvres, elle les serre en gémissant alors il force et elle finit par ouvrir timidement la bouche, il en profite pour l'empaler jusqu'au gosier,le cri indigné qu'elle allait pousser est étouffé par le gros zob dont le gland avait atteint sa luette, il le retire et elle respire bruyamment.
Les yeux grands ouverts, outrée, elle sent le noir la saisir par les chevilles pour la retourner, elle le laisse faire, elle se sent étrangement fiévreuse et des images sales issues de ses rêveries viennent tourbillonner dans sa tête inondant sa chatte de mouille.
Elle se retrouve à plat ventre, il plante ses doigts durs et rugueux dans la chair tendre et douce de ses hanches et la tire brusquement vers l'arrière, elle pousse un petit cri et se retrouve à quatre pattes comme une chienne, au bord du lit, la croupe tendue vers l'ouvrier noir, prête pour la saillie, il s'approche, saisit les deux pieds cambrés pour coincer son gros zob noueux entre eux, et commence à se branler avec.
Ali lui est à genoux sur le lit il lui prend la tête et l'attire vers son gourdin enflé, elle écarte les lèvres pour laisser passer le gros gland dur aussitôt gobé, sa langue commence à remuer, timidement puis frétille de plus en plus, ce n'est pas elle qui fait cela, c'est une autre Nadia, une sorte de double, mais elle l'épouse fidèle et respectable ne se souviendra bien entendu de rien puisque il s'agit de l'autre.
Elle pousse un cri étouffé par la matraque d'Ali, le noir derrière elle approche son visage de sa croupe blanche et plantureuse, sans cesser de se branler entre ses pieds joints et cambrés, elle sent quelque chose de chaud et de gluant balayer son anus, elle est scandalisée et pousse des cris étouffés, le noir lui lape la rondelle, elle frissonne de dégoût, ses joues sont cramoisies et sa peau est couverte de chair de poule, jamais aucun homme ne l'avait traitée ainsi, d'ailleurs le seul homme de sa vie était son mari (moi) et il ne se serait certainement pas comporté de la sorte.
C'est bestial, scandaleux et sale, mais elle ne fait rien pour se soustraire, elle fait légèrement saillir son derrière joufflu permettant ainsi à cette langue vicieuse et humide de mieux la laper.
Ali retire son gourdin luisant de salive de la bouche de sa patronne et remplace son compagnon,qui lui se place devant le visage de mon épouse qui gémit anticipant la suite des événements, elle sent une main ferme et rugueuse la saisir par la hanche.
Ali tient son gourdin dans la main droite et frotte le gland le long de la chatte baveuse, il cherche l'entrée dans le nid poils bruns, pointe entre les lèvres et donne un coup de rein, Nadia recrache le gros zob du noir, se cambre et pousse un « OH!», Ali le jardinier l'a empalée, elle se sent remplie, les lèvres de sa chatte forment un O presque parfait, la matraque de l'ouvrier est bien moulée, elle n'a jamais reçu un tel calibre, elle s'imagine montée par un âne, elle se sent mourir, mais se cambre instinctivement pour être emmanchée, elle se sent chienne,et veut être salie comme elle le mérite.
Ali a maintenant ses deux mains rugueuses posées sur les hanches rondes et pleines, il la maintient fermement et donne de vigoureux coups de gourdin faisant claquer son ventre contre les fesses joufflues, il lui dit des mots en berbère, sans doute des obscénités, il la tringle sans ménagement, il grogne, ahane, c'est bestial et il lui assène des claques sur les fesses, puis d'une main ferme il l'a saisit par la nuque pour lui coller le visage contre le matelas, obligeant l'ouvrier noir à retirer son zob de sa bouche.
''L'épouse respectable'' prosternée, le cul en l'air, cambrée, sanglote, couine, la matraque lui fouille la chatte sans ménagement, avec vigueur, Ali accélère le mouvement, lui dit encore plus de choses en berbère, elle sent les deux mains du jardinier se crisper sur ses hanches rondes et tendres, il l'embroche jusqu'à la garde, les jambes bien écartées, elle sent une giclée puissante et copieuse lui fouetter l'intérieur de la chatte, elle se cambre en criant, puis une seconde aussi puissante et une troisième et une quatrième, elle sent sa chatte tapissée de foutre gras et chaud, des larmes coulent sur ses joues.
Elle n'a jamais été mouillée de la sorte, elle se croyait incapable de ressentir autant de plaisir, il se retire en marmonnant des mots, sa chatte déverse aussitôt le trop plein de foutre qui coule sur le matelas et le long de ses cuisses, elle est rouge et essoufflée, son coeur va cesser de battre.
Elle tourne la tête et remarque l'ouvrier noir en train de se branler, le zob raide et effrayant, il avait assisté à la saillie de sa patronne et maintenant c'était son tour, cette pensée scandaleuse mais excitante la fait frissonner, elle se sent rougir de honte, coupable.
Elle est toujours à quatre pattes comme une pouliche attendant d'être montée, le noir passe derrière elle et la pousse sans ménagements dans le dos, elle tombe à plat ventre et aussitôt il s'allonge sur elle, le zob dur calé dans la raie moite des fesses plantureuses il commence à le faire coulisser de haut en bas, elle frémit de peur en sentant cette matraque se frotter contre son anus, jamais elle n'a été touchée à cet endroit, elle est vierge, pour elle, seuls les dépravés pouvaient s'adonner aux pratiques de Sodome, elle l'entend respirer contre son oreille, lui dire des mots dont le sens lui échappe mais qui la font frissonner de peur et d'excitation.
L'ouvrier se décolle de la croupe, et descend plus bas jusqu'à ce que son visage se trouve à hauteur du cul dodu et bien fendu, aussitôt elle sent ses deux mains calleuses lui saisir à nouveau les fesses et les écarter, décidément il aimait ça. Une sensation de fraîcheur chatouille sa rondelle, elle pousse un « oooh! » indigné en se cambrant les yeux grands ouverts, par-dessus son épaule elle le voit se délecter de la vue de sa raie.
Elle trouve ça scandaleux, elle rougit de honte et sanglote lorsque l'ouvrier avance sa bouche et colle ses lèvres charnues à son petit trou et y dépose un baiser sonore obscène, il recule pour regarder et avancer à nouveau la bouche, son baiser innommable résonne dans la pièce aussitôt suivi d'un « ouuhhh » suppliant, elle se sent femelle à la disposition du male, elle lui appartient sur ce lit, il décide et elle se soumet le laissant faire, tout faire, n'est-ce pas elle qui est venue de son plein gré répandre son odeur de femelle en chaleur dans cette pièce?
L'ouvrier noir se jette d'un coup de bouche en avant entre les plantureuses fesses blanches, les maintient écartées avec ses deux mains et colle sa langue épaisse chaude et baveuse sur la rondelle qui frémit, ''la femme respectable'' scandalisée et affolée pousse un cri, il la maintient fermement par les fesses et lape en grognant, elle se relâche, devient toute molle, frissonne de dégoût mais fait saillir sa croupe en sentant cette langue chaude lécher son anus de haut en bas, tourner vicieusement autour, la pointe tapoter au centre, sa moustache la chatouille, elle sanglote, la joue collée contre le matelas respirant l'odeur d'Ali.
Elle soupire, relève la tête et voit Ali debout près du lit la matraque dressée à la main en train de se branler, les yeux rivés sur ce que fait son compagnon.
Le noir remonte et s'allonge sur elle, appuyé sur un coude, de sa main libre il tient son gros zob et lui cale le gland enduit de salive entre les fesses, elle pousse un cri en sentant le nœud peser contre sa rondelle vierge, elle se sent condamnée à être enculée.
C'est trop tard, le mâle avait décidé, elle n'avait plus qu'a se soumettre, jamais elle n'aurait pensé qu'un jour un homme la sodomiserait, et encore moins un ouvrier, cette idée la fait trembler d'excitation, son anus s'arrondit et s'élargit pour gober le gros gland dur et le zob noueux pénètre lentement et facilement jusqu'au fond, elle se cambre en poussant une longue plainte qui accompagne la pénétration, « OH! Mon dieu », l'ouvrier appuyé des deux mains sur le matelas commence à remuer les reins, il entame un va et vient lent qui la fait sangloter en poussant des « ouh » suppliants.
Ali les yeux luisants branle son gros gourdin en la regardant couiner, elle rougit et tourne la tête, l'épouse de 24 ans se fait dépuceler le cul, elle ne trouve pas ça aussi désagréable que l'on dit, l'ouvrier aussi sait y faire, il la fouille lentement mais fermement, à chaque fois qu'il la pénètre elle ressert son anus comme pour l'empêcher d'aller plus loin, ignorant que cela allait être compris comme un encouragement.
Il accélère soudain les coups de zob entre les fesses dodues, elle le sent gonfler en elle, se cabrer et lui cracher puissamment une giclée épaisse et chaude, elle couine et se cambre à nouveau, le gourdin continue à la remplir de foutre par saccades, copieusement, il accompagne ses cris et ses gémissements de mots en berbère et de grognements.
Elle sent une main la prendre par la tête, elle se tourne et tombe nez à nez avec la matraque d'Ali, d'un geste autoritaire il lui fourre son gros gland dans la bouche en lui parlant dans sa langue natale, elle remue la langue sur ce zob dur tandis que l'autre se retire lentement de son cul, aussitôt le trop plein de foutre déborde entre les fesses joufflues, elle gémit tout en remuant la langue.
Elle n'avait jamais sucé un homme auparavant, même pas son mari, cette grosse matraque qui lui remplit la bouche et qui n'en finit pas de grossir lui fait monter le rouge aux joues et soudain une giclée gluante et abondante lui tapisse le palais, coule dans sa gorge, elle a un hoquet, elle veut se retirer mais il lui maintient fermement la tête, elle doit avaler pour ne pas suffoquer, plusieurs autres giclées suivent la première et enfin il se retire de sa bouche brusquement.
Haletante, les yeux larmoyants, elle regarde par-dessus son épaule et voit le noir s’essuyer le zob sur la plante de son pied droit.
Les lèvres luisantes de foutre, la langue pâteuse, la rondelle encore entrouverte et gluante, elle se lève comme un automate, les joues rouges, revêt sa robe en évitant leurs regards, chausse ses fines mules et se dirige vers la porte qu'elle ouvre.
La chaleur est toujours aussi accablante dehors, elle se dirige vers la maison d'un pas rapide, elle sent la plante de son pied droit glisser et coller à l'intérieur de sa mule.

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