Quand les mecs découvrent
ou se découvrent des nouveaux penchants.
PREMIERE SODOMIE
Je m’appelle Alain, 45 ans, depuis deux mois je file le parfait plan cul avec Catherine, une blondinette de 30 ans, fraîchement divorcée qui a besoin de s’éclater coté sexe.
Son fantasme était une baise à trois. Fantasme que nous avons réalisé la semaine dernière avec un de ses amis, Jean-Luc et vu les cris de jouissance qu’elle à poussée, je pense qu’elle est prête à recommencer.
Mais ce que je veux raconter c’est ce qui s’est passé le lendemain matin. Catherine était partie travailler et ne devait rentrer que le surlendemain. J’étais seul avec Jean-Luc. Quand je me suis réveillé, j’étais seul dans la chambre, j’ai pris ma douche, enfilé mon boxer noir moulant et me suis dirigé vers la cuisine ou Jean-Luc prenait un café. Je me préparais moi-même un café en lui tournant le dos.
- Joli petit cul » me dit-il.
Au lieu de m’offusquer j’ai trouvé cela plutôt flatteur, quelques filles m’ont dit que j’avais un beau cul mais jamais un homme. Voyant mon trouble Jean-Luc continua :
- Ce boxer le met bien en valeur »
Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis retourné :
- C'est vrai, il te plaît ? »
- Oui vraiment je le trouve très mignon et cela n’a pas l’air de te gêner ?
Effectivement je m’étais mis à bander sous les compliments de Jean-Luc.
- Tu es bi ? » lui dis-je
- Un peu, disons que j’adore les beaux culs, qu’ils soit de femmes ou d’hommes et le tient me plaît vraiment ; »
- Tu veux le caresser ? »
Tout en disant cela je m’approchais de lui, il passa sa main sur mon cul. La sensation fut très agréable, mon cul s’électrisa et ma verge se mit à doubler de volume.
Puis il entreprit de me baisser le boxer. Je me laissais faire et me retrouvait entièrement nu devant lui, comme une femelle en chaleur. J’éprouvais un sentiment de honte de me conduire ainsi mais j’étais vraiment excité et j’avais vraiment envie de me laisser faire. Il faut dire que mon cul n’est pas tout à fait vierge, il ne dédaigne pas à l’occasion un bon gode mais je n’avais jamais fait ça avec un homme.
Il continua a me caresser le cul tout en insinuant un doigt dans ma raie venant ainsi titiller mon anus. A chaque fois je sentais une chaleur dans mon ventre et l’envie que ce doigt rentre en moi.
- Tu as l’air d’aimer ça ma salope ? »
- Oui » dis-je en rougissant.
Jean-Luc pris un peu de margarine sur son majeur et commença à me caresser l’anus. Je me cambrais de plus en plus, tendant mon cul vers lui.
- Tu le veux ? »
- Oui »
- Je n’ai pas bien entendu ? »
- OUI »
- Oui quoi ? »
- Oui je le veux »
- Dis-moi ce que tu veux, salope »
- Je veux que tu enfonces ton doigt dans mon cul »
Aussitôt je sentis son majeur me pénétrer. Je me suis moi-même mis des doigts au cul, des filles me l’on fait mais là c’était divin, je gémissais comme une vraie chienne.
- Si tu en veux plus il va falloir le demander gentiment ? »me dit Jean-Luc.
- J’en veux plus s’il te plaît »
- Il faut être plus explicite »
J’avais perdu tout contrôle j’étais prêt a tout pour avoir plus qu’un doigt.
- Je veux ta queue »
- Comment ça »
- Dans mon cul, je veux que tu m’encules »
- T’es une salope ? »
- Oui je suis une vraie salope, ta salope prête à tout »
- Après t’avoir enculé je te ferais ton éducation de salope, d’accord ? »
- Oui, oui, tout ce que tu veux »
Jean-Luc enfila une capote et pointa son gland sur mon anus, d’une poussée il le fit entrer. J’eus un peu mal, Jean-Luc est bien membré mais je ressentis presque aussitôt un sentiment de plénitude à sentir mon cul remplit par cette queue, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Malheureusement Jean-Luc était très excité et éjacula rapidement.
Plus tard nous étions sur le canapé du salon, Jean-Luc s’était rhabillé mais m’avais demandé de rester nus.
- Tu as aimé ? »
- Oui, énormément »
- Si tu veux je peux faire de toi réellement une vraie salope ; tu en as envie ? »
J’avais très envie de sa queue et lui répondit par l’affirmative.
- Bien, à partir de maintenant tu te nommeras Aline et tu vas commencer un apprentissage de salope. Première leçon ; tu dois m’appeler maître.
- Oui maître
…....................
Deux semaines venaient de passer depuis que Jean-Luc m’avait sodomisé chez Catherine. Il m’avait laissé nu sur le canapé, seul avec mes pensées.
Plus je repensais à cette aventure plus je m’avouais avoir aimé être enculé et je n’avais qu’une seule hâte : recommencer.
Jean-Luc avant de partir avait promis de faire de moi une vraie salope et que je recevrais des instructions par mail que je devrais suivre aveuglement si je voulais retrouver sa belle queue.
Nous étions samedi et je venais de recevoir ce fameux mail qui m’ordonnait de me rendre au 5 d’une rue fameuse de la Capitale vers 21h et de me présenter en tant ''qu’ Aline la Salope'' et de demander à parler à Romain.
Cela faisait une bonne demi-heure que je passais et repassais devant la boutique, plein de pensée dans la tête, je savais que si j’obéissais à Jean-Luc, il pourrait alors faire ce qu’il voudrait de moi. En même temps j’avais vraiment envie de sa queue. Finalement je franchis la porte. Un homme se trouvait a droite de l’entrée. Il y avait aussi trois clients, des hommes.
- Bonjour » dis-je à l’homme.
- Oui, que puis-je pour vous ? »
- Je désirerais parler à Romain, je viens de la part de Jean-Luc »
- C’est moi, qui êtes-vous ? «
- Heu…, Aline la Salope «
Les clients se retournèrent pour me regarder, je rougis ne sachant plus ou me mettre.
- Ah oui je t’attendais, viens avec moi. »
Je le suivis dans une deuxième salle au fond du magasin, toujours suivi du regard des clients.
- Déshabille-toi »
- Pardon »
- Tu es bien une salope ? »
- Oui, oui »
- Alors obéis »
Je me dévêtis ne gardant que mon caleçon qui avait du mal à cacher mon érection.
- Enlève tout »
J’obéis et me retrouvais entièrement nu.
- Bien, tout d’abord je vais te mettre ce corset qui affinera un peu ta silhouette, une fois réglé à la bonne taille tu pourras l’enfiler tout seul. Il comporte six jarretelles amovibles pour tenir les bas. »
Je me retrouvais avec un corset en dentelle qui mettait en valeur mon cul, le vendeur me donna des bas que j’enfilais, il les attacha aux jarretelles. Puis il sortit un string avec étui devant pour enfiler ma bite.
- Tu chausses du combien ? »
- 43
Il sortit plusieurs paires de chaussures à haut-talons. Après plusieurs essayages il me dit que j’en garderait trois paires, une de 8 cm , une de 16cm et une de 22 cm de hauteur, que je devais d’abord commencer par les 8 cm pour m’habituer mais qu’une vraie salope devait porter minimum des 22 cm. Je trouvais déjà qu’avec 8 cm j’avais du mal à tenir debout, alors avec 22. Mais en même temps je trouvais que cela cambrait bien mon cul et que je devais être bandante ainsi vêtu.
Puis le vendeur me fit essayer des perruques, blonde, brune et rousse. Je me trouvais sexy avec la blonde mais le vendeur me dit que j’étais mignonne en brune. Enfin il me donna une robe noire moulante qui s’arrêtait à mi-cuisse laissant presque voir le haut de mes bas.
- Bien suis-moi »
Je dus à ma grande surprise le suivre ainsi vêtu dans la boutique ou il ne restait que deux clients qui me reluquèrent. J’étais gêné et très excité en même temps.
Jean-Luc se tenait au comptoir et siffla d’admiration en me voyant.
- Superbe. Romain tu as fait du bon boulot, tu es magnifique Aline, très salope comme je les aime. »
- Merci »
Jean-Luc paya Romain et me pris par la main. Nous sortîmes dans la rue qui était assez animées malgré l’heure tardive. J’avais un peu de mal avec mes chaussures ce qui m’obligeais à marcher lentement laissant le soin aux passants de me dévisager. J’avais horriblement honte mais j’étais fière de marcher à coté de Jean-Luc ainsi travesti, je tenais à être une parfaite salope pour lui.
Nous descendîmes dans un parking. Nous approchâmes d’une voiture et Jean-Luc m’ouvrit la porte de derrière, je m’engouffrais dedans.
- Bonjour »
Je restais stupéfié, Catherine se tenais assise dans la voiture.
- Tu connais Catherine, Aline ? Je lui ai tout raconté et cela l’a terriblement excitée, alors j’ai décidé qu’elle serait ta tutrice pour t’apprendre les rudiments de salope. Catherine et une experte dans ce domaine. Tu devras l’appeler aussi Maîtresse.
- Oui, maître. ................................
MARIO
Un après midi alors que je rentrais plus tôt du travail je ne vit pas ma femme à la maison. Je montais à l’étage où j’entendis discuter dans la chambre. Quand j’arrivais au seuil de la porte entre ouverte, je vis ma femme allongée sur le lit, jambes écartées entrain de se faire lécher le sexe par un homme que je ne connaissais pas. Il devait bien s’y prendre vu les gémissements qu’elle faisait ! Sa langue léchait sa fente en alternance avec le clito qu’il aspirait.
Cet homme était finalement Mario, qu’elle avait fait connaissance il y a plus d’un mois lorsqu’elle eu un accrochage en voiture avec lui. Je me souviens qu’elle avait dit qu’elle le trouvait beau gosse. Apparemment il n’y avait pas que ca.
Apres ce cuni, elle se releva, lui lécha le sexe avant de sortir un préservatif de son chevet et le lui mettre. Il prit position entre ses cuisses avant de lui entrer le gland en douceur. Christelle lui demanda d’aller doucement vu la grosseur de son sexe mais que ca irai tout seul après. Il s’enfonça en elle centimètre par centimètre.
Une fois bien calé en elle, il la ressortit avant de la remettre à nouveau. Apres quelques vas et viens en douceur, le sexe de Mario coulissait à son aise comme l’avait dit ma femme. Il imprima un rythme soutenu mais lent.
Ma femme gémissait de plus en plus fort sous les à-coups. Mario avec un sexe d’au moins 20cm et très épais et ma femme en appréciait la totalité dans sa chatte dilatée.
Il remonta les jambes de ma femme vers ses épaules pour mieux la pénétrer. Christelle prenait du plaisir sous les allers et venues de Mario. Apres quelques minutes de ce traitement, il lui demanda de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle ne refusa pas. A quatre pattes, Mario la complimenta sur son cul qu’il trouva magnifique. Il lui attrapa les hanches, se frotta à elle, le gland contre sa fente il lui glissa sa longue et large queue dans la chatte. Sa cadence ne changea pas, toujours avec douceur et délicatesse à un rythme régulier et soutenu. Christelle commença à gémir de plus en plus. Son plaisir augmenta à mesure des coups de rein de Mario.
Le cul de ma femme devait exciter Mario, je vis qu’il commença à passer son pouce sur son anus. Au début Christelle ne disait rien mais quand son pouce força l’entrée elle refusa net. Mario lui dit que c’était bête car elle avait un cul fait pour ca. Elle continua à refuser. Apres quelques pourparler et caresses manuelles de Mario je l’entendis céder. Ses mots convaincant et ses caresses sur son clito ont eu raison d’elle, et elle ne broncha plus.
Il sortit sa queue inondée de mouille, et se pencha sur ma table de chevet pour prendre le gel. Il en badigeonna l’anus et en mis une belle couche sur son sexe. Il y glissa un doigt d’abord puis y entra un deuxième, tout doucement, en les remuant avec une infinie douceur. Sentant l’anus assez relâché, il y posa son gland qu’il enfonça avec délicatesse.
Christelle poussa un léger cri et fit une vilaine grimace. Il lui demanda de pousser comme si elle faisait un besoin. Au moment où elle s’exécutait, il en profita pour tout rentrer d’un coup.
Vu la grimace de Christelle, je compris qu’elle avait eu mal. Son conduit devait être encore trop serré. Mario attendis encore quelques secondes avant de se retirer et de rentrer de nouveau. Je voyais bien qu’elle n’appréciait pas tellement. Elle tenait serré les draps et son corps était crispé.
Mario ressortit cette fois tout doucement. Il y remit une bonne couche sur l’anus de ma femme et encore plus sur son sexe. Il repositionna le gland sur l’entrée de l’anus qui était déjà beaucoup plus dilaté que la première fois.
Il y rentra plus facilement, toujours avec lenteur et je vis ma femme avec le visage moins grimaçant, ce qui voulait dire que cette pénétration fut moine douloureuse. Il se penchât légèrement et passa sa main sous le ventre de ma femme. Je vis Christelle qui gémissait, je compris qu’il lui caressait le clito.
Christelle, toujours crispée s’accrochait aux draps. Quand il la sortit entièrement Christelle poussa un long cri qui ne fut pas celle de la douleur. Au moment où il la rentra pour la quatrième fois, je vis Christelle dans un grand gémissement pousser ses fesses en arrière pour mieux le recevoir. Son corps commença à se décrisper.
Mario décida de remuer sa queue tout en caressant le clito et ca faisait son effet car ma femme faisait de moins en moins la grimace. Elle se détendait de plus en plus. Et je crois même que la sensation de la queue de Mario dans son cul l’excita de plus en plus. Son visage commençait à être de plus en plus rayonnant. Elle gémissait de plus en plus fort, remplacés très vite par des cris. Mario y allait toujours doucement alors il relâcha le clito et décida d’augmenter le rythme. Il agrippa les hanches de ma femme et lui dit :
- Alors regrettes tu que ce que je te fais ?
- Non.
- Avais je raison d’insister ?
- Humm oui.
- Tu aimes te faire enculer maintenant ?
- Humm hou oui.
- C’est normal tu as un cul fait pour ca.
Et son allure s’accéléra. Bien agrippé au hanche de ma femme, sa queue allait et venait dans le cul de Christelle ; il s’amusait à y enfoncer toute sa longueur et la sortait toute entière.
Ma femme tendait ses fesses le plus possible à chaque coup de rein de Mario. Son cri était de plus en plus fort. De la mouille coulait le long de ses cuisses et trempait les couilles de Mario. Elle devait être très excitée à ce point que maintenant c’est elle qui mettait des petits coups de rein pour accentuer la pénétration. Mario se pencha pour attraper ses gros seins qui ballotèrent sous ses coups de queue. Il en pinça les teuton.
Apres quelques minutes, il remit les mains sur les hanches de Christelle qui cria encore plus fort quand je vis son corps se tendre au maximum, haletant. Puis dans un grand râle, pendant que Mario allait et venait entre ses reins, elle mit de grand coup de fesses excitée sur la queue de Mario. Je compris qu’elle venait de jouir. Quelques secondes après ce fut Mario dans un même râle qui venait à grands coups de rein saccadés et irréguliés à jouir dans les fesses de ma femme. Vidés et épuisés, ils s’étalèrent sur le lit.
Abasourdi par la scène que je venais de voir je restais de longues minutes assis sur la cuvette des toilettes jusqu'à ce que j’entende des petits cris fait par Mario. Ma femme était en train de le sucer et il reprenait de la vigueur.
La queue refaite et redressée, il bascula ma femme sur le dos et la bloqua de tout son poids, les jambes tenues par ses bras le long de ses hanches, pris sa queue dans sa main et le frotta à l’entrée du trou de sa chatte. Il lui dit :
- Tu as lu le test ?
- Oui.
- Donc tu es ok ?
- Oui. Vas-y.
Et là, sans capote, il lui enfonça son engin entier dans la chatte d’un coup. Elle ne put retenir un gémissement de contentement. Il commença à la faire coulisser lentement mais au fur et à mesure des vas et viens il accéléra jusqu’à un rythme assez rapide.
Christelle, les mains sur les épaules de Mario, sous son poids, ne pouvait plus bouger et subissait la pénétration répétée de sa queue. Ses cris devenaient de plus en plus forts et rapides jusqu’au moment où elle jouit.
Mais Mario n’en avait pas encore fini, et il continua tout en la regardant droit dans les yeux pour lui faire comprendre. Elle reprit son esprit et malgré le poids de Mario essaya de bouger sa chatte pour mieux accueillir Mario en elle.
Ce qui fit son effet car les gémissements furent commun. Ils devenaient de plus en plus fort jusqu’au moment où Mario et ma femme jouirent ensemble dans de longs cris, lui arrosant la chatte de tout son sperme.
Trop de trop, je décidais de partir sans un bruit me changer la tête dehors…
A cause de toute cette excitation.............................
Ma femme me punit devant des mecs
Internet c'est génial ! Mais quelquefois on va un peu plus loin que l'on voudrait et on se trouve piégé volontairement. J'avoue que cela m'est arrivé et que tout compte fait, je ne le regrette pas. Cela m'a permis une révélation. En l'absence de mon épouse je surfe allégrement sur divers "chats" et Forum.
Un jour où je pianote sur un serveur plutôt SM, mon épouse me surprend. Elle est assez ouverte mais quand même ça la choque un peu. Elle m'ordonne d'interrompre la communication. Je m'écrie : "Laisse-moi regarder, je discutais avec un annonceur qui proposait de prendre la femme d'un couple devant son mari." Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : "Qu'as-tu répondu ?" Je lui dis que je n'ai pas encore répondu. Elle ne me croit pas. J'arrête de surfer et on n'en discute même pas.
Avant de continuer je veux juste vous dire que ma femme a 28 ans, mesure 1m68 pour 51 kg et qu'elle est vraiment superbe avec de beaux seins, et surtout un "cul de reine" comme j'aime le dire : bien rempli et ferme sans être trop gros.
Quelques jours après un couple de nos amis nous invite pour dîner. Après un repas bien arrosé, notre hôte nous convie à voir des vidéos un peu scabreuses. Un autre homme baise son épouse devant lui. Ce qui me fait penser à l'annonce sur Internet. On sort de la soirée bien excités.
Une fois couchée, mon épouse me reparle du film. Aussitôt, je me mets à bander. Elle s'en aperçoit et me dit :
- Tiens, cela a l'air de te faire de l'effet, tu aimerais que je le fasse devant Toi ?
Je grogne une réponse incompréhensible, mais ma queue est dure comme une barre de fer. Ma femme l'engloutit et je lui emplis la bouche aussitôt.
Quelques jours plus tard ma femme me propose elle-même de surfer ensemble. Nous nous amusons comme des fous, et plusieurs jours durant on taquine les Forums et les "chats".
Nous aimons jouir après nous être excités à dialoguer.
Puis voilà qu'un jour on tombe sur le même internaute.
Mon épouse tout excitée me dit en m'attrapant les testicules :
- Je suis sûre que ça te plairait d'être cocu." Je bande. Elle jubile…
Quelle n'est pas ma surprise quand elle prend un rendez-vous avec ce monsieur. Elle prétend que cela va mettre du piment dans notre vie. Le soir arrive, nous allons au rendez-vous, dans un petit bistro discret. Le type est là. Grand, mince, d'allure aisée, trente ans maximum.
II déshabille ma femme des yeux. Après avoir pris l'apéritif, il nous propose d'aller dîner dans un restaurant. Le repas terminé ma femme lui dit tout de go :
- Si nous parlions de choses sérieuses, choses pour lesquelles nous nous sommes rencontrés. "
Et aussitôt nous partons pour son appartement.
Afin que la narration de cette escapade ne soit pas trop longue je passe sous silence la description des lieux, etc.
Mon épouse n'attend pas qu'on l'invite à se déshabiller. En un clin d'œil elle est nue. L'homme siffle, admiratif. Ma femme se tournant vers moi me dit :
- Déshabille-toi, cocu, tu seras plus à l'aise pour me voir baiser."
Le gars est bien proportionné, les couilles bien accrochées, la verge assez longue. Ma femme va vers lui et lui caresse la queue. II bande aussitôt. Elle s'apprête à me faire cocu, et ça va se passer sous mes yeux ! Je vois l'excitation lui rougir la figure. Je m'étonne de ma passivité, mais je comprends qu'une certaine curiosité malsaine me retient.
Mon épouse montre un empressement qui me choque un peu, car il me semble qu'elle ne l'a jamais eu avec moi. Elle se colle au mâle et l'embrasse. La verge de son amant est devenue énorme, le gland est largement décalotté et plus gros que le diamètre de la tige.
Elle prend les testicules de l'homme dans une paume et de l'autre main attrape le mandrin et absorbe difficilement dans sa bouche gourmande la pointe du morceau. Je crois que je n'ai moi-même jamais tant bandé. Quelle salope, je ne l'aurais jamais cru capable de faire ça devant moi. On dirait que cela décuple son plaisir. Ils se dirigent tous les deux vers un lit. Le mec se couche sur le dos et dit :
- je vois que tu es une belle salope, et bien chevauche-moi, ça ne sera que meilleur et plus excitant aux yeux de ton mari."
Je la vois, les cuisses largement ouvertes, s'empaler lentement mais profondément sur la verge. Elle ouvre la bouche, exhale un soupir, s'agite et au bout d'un moment crie sa joie, les joues cramoisies et les yeux révulsés. Elle s'affale sur le mâle et l'embrasse à pleine bouche.
- Oh, que c'était bon", s'écrie-t-elle.
Le gars lui fait remarquer que son jus a coulé abondamment sur ses couilles que le lit est trempé. En effet une large tache de cyprine s'étale sur les draps. La salope, elle n'avait jamais autant joui.
Le retour en voiture est silencieux. Chacun essayant de remettre ses esprits en place. Au lit on commence à parler de la soirée. Conséquence, une érection terrible. Elle me le fait remarquer et ajoute :
- II faudra recommencer.
Depuis ce jour, elle s'habille d'une manière plus provocante, plus sexy. Minijupe, porte-jarretelles, string ficelle, soutien-gorge pigeonnant... Et elle rentre plus tard le soir.
Un soir, je l'attendais derrière la porte d'entrée. Je lui demandai d'où elle venait ; seule réponse une formidable paire de gifles qui me fit vaciller. Je tombai à genoux en gémissant. Elle me regarda droit dans les yeux et dit :
- Je vais te dresser".
Soulevant sa robe jusqu'à la taille, elle ajouta :
- Tu vas le savoir, d'où je viens, lèche, salope, tu vas manger tout le sperme de mon amant."
Comme je restais interloqué, je reçus une nouvelle paire de gifles, elle m'attrapa par la nuque et me maintint la bouche contre son sexe démuni de culotte.
Je me sentais vaincu et servilement je me mis à sucer. L'odeur forte du sexe et du sperme m'excitait. Je léchais avec avidité, elle s'en aperçut, m'insulta et jouit dans ma bouche.
- Puisque tu aimes être cocu, à partir d'aujourd'hui tu feras ce que j'exigerai de toi. Je veux que mes amants viennent me faire l'amour ici. Tu seras notre servante et comme ma copine me disait les jours derniers : il faut qu'il soit à ta disposition et pour cela il te faut le dresser durement à la cravache ou au martinet, même en présence de tes amants.
Et bien je suis régulièrement fouetté et j'en bande à éclater, surtout lorsqu'elle me bat en présence des mecs. Le fouet ou la cravache, ça fait mal, mais je jouis après comme un damné en me masturbant devant eux quand je leur porte le déjeuner au lit le matin. Son jeu préféré : me prendre la bite pour la rapprocher de celle de son amant, afin de comparer les tailles et le degré de rigidité.
Lorsqu'elle n'est pas satisfaite, je suis attaché et je subis toutes sortes de supplices. Je crie, je supplie, je pleure parfois, mais tout compte fait ma nature masochiste est comblée de cette situation. Elle me fait prendre par des mecs qui aiment baiser les époux complaisants.
Vous voyez jusqu'à quel point je suis devenu sa chose