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Tranches de vie

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Des expériences naissent les envies
d'un jeune qui découvre la vie..
Les aventures de Jim
J'embrasse pas
15, 22-27 juin 2008
- Je n’ai jamais connu une seule personne qui aime autant les pénis et le sperme que toi!
Ivano, mon amant, s’exclame ainsi pendant que je suis en train de nettoyer son gland avec ma bouche des dernières traces possibles de sperme. Je le regarde et il me dit:
- C’est un compliment!
- Je sais, dis-je. C’est que tu me fais penser à quelqu’un en me disant ça.
- Ah oui? À qui?
- Un gars qui me baisait avant. Ça fait longtemps que je l’ai vu, quelques années en fait. Il était vraiment hot.
- Plus que moi?
- Non, toi t’es pire!
Ivano se met à rire, suivi de moi. Puis, il me demande de lui parler du gars en question.
- Quand j’avais 9 ans, ma mère a rencontré un homme un peu plus vieux qu’elle, un arabe catholique qui venait du Liban, très gentil. Il avait deux fils, dont l’un d’eux était Steve, le cadet. Il était arabe et québécois, ce qui lui donnait un bel air! Il avait presque trois ans de plus que moi, il était plus grand, les cheveux foncés et très courts. Il portait toujours des vêtements de rebelles, ce que j’aime.
- Hummm, il te faisait bander?
- Bien, quand j’avais entre 12 et 17 ans, oui!
- Et qui a fait les premiers pas?
- Bien, c’est plus compliqué que ça…
L’histoire commence peu avant l’entrée scolaire de 1999. Je montais un journal intime de tous ce que je pouvais vivre sexuellement. J’en avais commencé l’écriture dès mes 11 ans: à ce moment, je ne racontais que les fantasmes que j’avais depuis mes 10 ans.
Bref, un de mes fantasmes racontait des ébats imaginaires avec Steve, l’arabo-canadien en question. À ce moment, il était âgé de 16 ans, bientôt 17. Parfois, j’étais assez fou pour aller dans sa chambre alors qu’il était parti, et je mettais ses vêtements de la veille sur moi, vraiment tout: ses bas, son boxer, pantalon, t-shirt… Tout était trop grand pour moi mais je capotais, j’aimais sentir son odeur corporelle et son parfum. Parfois, je me branlais sur son lit avec ses vêtements et j’éjaculais dans mes mains avant de tout essuyer (ou d’avaler) et de remettre les trucs en place.
Un jour, j’ai oublié mon journal intime dans la salle de bain du sous-sol, après m’être branlé, car j’étais trop vite pressé de partir. Seul Steve et son grand frère utilisaient avec moi cette pièce, puisque nos chambres étaient dans le sous-sol et celles des autres membres de la famille au rez-de-chaussée. Ce soir-là, à mon retour, j’avais oublié à propos du journal et je suis allé directement dans ma chambre. Fatigué, j’ai éteint la lumière, me suis étendu sur le lit, habillé, sur le dos, et me suis rapidement endormi.
Je me réveille quelques temps plus tard, le cerveau très embrouillé. Sur moi, je sens un poids lourd, un corps qui bouge sur mon corps. Des mains caressent mes cheveux, mon torse ou mes fesses. Je sens des lèvres dans mon cou et une langue me lécher. Je ne vois rien du tout. Puis, la présence, sentant que je bouge légèrement et que je suis réveillé, se lève et ouvre la lumière, qui m’aveugle.
- Il était temps que tu te réveilles, dit Steve qui me fait découvrir son identité sans gêne.
Il prend dans ses mains mon journal intime et se caresse l’entrejambe où se trouve une belle bosse.
- J’ai lu quelques pages de ça, surtout celles me concernant… J’me doutais que t’étais fif mais je savais pas que t’étais une belle salope… Alors maintenant, tu t’occupes de moi!
Steve détache le devant de son pantalon, met sa main à l’intérieur et en fait ressortir son énorme pénis et ses testicules. Je vous le jure: jamais, à mes 16 ans, je n’avais vu un sexe aussi gros! Je vais bientôt avoir 23 ans et je vous assure, une seule autre l’a battu, qui devait faire 11 pouces max! Ne vous inquiétez pas, je vous raconterai l’expérience… Mais là, celle-ci mesurait dix pouces en pleine érection. En dessous, pendaient les couilles: c’étaient comme deux gros œufs dans un sac de peau poilu. Sur le moment, j’ai été tout aussi émerveillé que franchement apeuré!
- Touche-là, m’ordonne-t-il.
Je m’active et entoure le membre de mes deux mains. Si je réussis à faire le tour de la hampe, c’est simplement parce que j’ai de longs doigts sinon je n’aurais pas pu. C’est très chaud, dur, et je sens le sang circuler dans les veines sous la peau douce. Je caresse le tout de long en large et je commence une douce masturbation qui fait bouger son prépuce sur le gland, sans le décalotter au complet. Puis, sans attendre, il enlève mes mains de sur lui et les remplace par les siennes, qui dirigent le tout vers mon visage. Le bout touche mes lèvres, qui se font caresser par le prépuce tendre. Une goûte de précum vient alors couler.
- Hummm, lèche…
Je sors la langue et goûte pour la première fois à son jus délicieux, puis je joue avec le bout du prépuce un moment, essayant d’entrer ma langue dans le trou, entre la peau et le gland. Sans attendre, il pousse le gros morceau de viande dans ma jeune bouche d’adolescent, qui a droit à sa troisième queue à vie.
- Ah oui! C’est bon ça…
Le gros gland, encore calotté, remplit toute ma bouche d’une façon obscène, ce qui nous excite tous les deux, mais je ne fais rien avec sauf que le laisser en place. Mon propre pénis se réveille sous les couvertures et je ne peux m’empêcher de commencer à me branler.
Steve regarde ce portrait inhabituel: mon visage pâle et doux aux allures d’un ange, les yeux fatigués mais grands ouverts le regardant, bleus et innocents, avec le pénis d’un beau mâle entre mes deux lèvres pulpeuses et rouges, étirées autour du morceau. Le gland, lui, gonfle mes joues, qui sont normalement plus minces. Le jeune homme me sourit d’une façon perverse que je ne lui reconnais pas et commence une masturbation sur son membre sans bouger le gland dans ma bouche.
- Vas-y, mon p’tit Jim… suce ce gros biberon de chair et avale mon lait à demi fraternel…
Il se met à glousser d’excitation. L’image m’excite d’avantage et je commence une succion avec ma bouche sur son gland recouvert du prépuce. Son précum me glisse sur la langue de par son urètre et je l’avale en continuant de faire mon possible.
- Oui, comme ça mon p’tit…
Pendant que je continue, il retire la peau et je peux goûter maintenant à son gland entier. De sa main libre, il caresse la bosse sur mes joues, puis mon front et mes cheveux. Son autre main, elle, continue de s’activer sur la hampe pour la masturbation, ce qui emmène à faire sortir encore plus de précum, que j’avale au fur et à mesure pendant qu’il a les yeux fermées, perdu dans son plaisir. Soudain, Steve se met à gémir plus fort et il pousse d’avantage sa queue dans ma bouche, entrant juste un peu plus que le gland. Pendant que je me branle et que je commence à jouir de mon bord, son pénis se met à cracher une rivière de sperme dans ma gorge.
- Aaaahhh avale ça! C’est bon!
Étant couché sur le dos, j’ai de la misère à bien avaler et du sperme coule du bord de mes lèvres sur les joues, allant jusque dans mes cheveux et sur l’oreiller. Après quelques secondes de jouissance, Steve retire son pénis de ma bouche et, avec ses doigts, recueille le sperme perdu sur mon visage et les remets dans ma bouche.
- Suce bien mes doigts… Ouais, comme ça…
Lorsqu’il en a fini avec moi, il se rhabille comme il faut et me regarde le visage tout souillé de traces de son sperme.
- Mmmm une vraie petite pute… Tu vas me sucer quand je voudrai, hein?
- Oui.
- Quand je veux, où je veux?
- Oui.
- Parfait… petite salope… Tu aimes mon sperme?
- Moyen, mais j’aime ça avaler le sperme…
- Mmmm oui, bon garçon…
Il me regarde une dernière fois et quitte ma chambre en silence sans se retourner… jusqu’à ce qu’il referme la porte derrière lui. Là, il me dit:
- Si tu refuses une seule fois de faire ce que je te demande, sans aucune exception, je vais raconter à ta mère. Sois en sûr qu’elle sera capable de t’envoyer dans un centre où tu ne pourras plus t’amuser comme ça… Moi ça me dérange pas, je peux me trouver une fille en un claquement de doigt alors c’est pas comme si ça me manquerait d’avoir un pédé comme trou!
Puis il quitte, tout aussi froidement. Même si son attitude me fait peur, car il était toujours gentil avec moi avant, il m’excite…
..........................
Une semaine plus tard, alors que je suis couché dans mon lit en train de me branler et de me pénétrer un dildo de sept pouces bien lubrifié quelqu’un ouvre la porte de ma chambre sans cogner, ce qui me fait sursauter. Quand je vois Steve, je suis un peu plus soulagé, sachant pourquoi il vient dans ma chambre. Puis, je vois quelqu’un d’autre derrière lui: son ami Karl. Âgé de 17 ans, cet ados est plus petit et un peu plus bâtit que Steve, mais quand même plus grand que moi d’un pouce ou deux. Il est du genre sportif, à se traîner dans les gyms à l’école tous les jours. Il a les cheveux un peu longs, de la barbe rasée en formes étranges mais cool, ce qui fait capoter les jeunes filles, et il a un tatou sur chaque bras, plus des piercings sur une oreille, dans le nez et sur la lèvre inférieure. J’ai toujours trouvé son style «rebelle sportif» excitant, mais j’avoue n’avoir jamais vraiment fantasmé sur ce mec auparavant. Il a aussi un frère dans une de mes classes, que je trouve cute aussi, nommé Julien, un peu punk.
Enfin, bref… Voilà ces deux gars qui entrent dans ma chambre alors que je cache ma nudité sous la couverture. Steve se jette sur mon lit à mes côtés et enlève le drap pour me dévoiler à son ami qui me regarde, légèrement paralysé. Dans mon derrière, le dildo est gros à comparer de mon corps et le faux pénis est en fait presque plus gros que mes poignets. Soudain, Steve prend le bout du jouet dans sa main et commence à le faire aller et venir en moi avec force, me faisant couiner comme une pute. Si j’ose me toucher, je serais facilement sur le bord de venir.
- Regarde-le, Karl… C’est un p’tit pédé, un vrai cochon… Tu l’as pas encore vu sucer ma queue comme si sa vie en dépendait! Il avale le sperme comme si c’était tout ce qu’il lui était autorisé de manger… Même une fille ne m’a jamais fait jouir comme lui… Et c’est pas parce que je suis gay, car je le suis pas, c’est à cause de lui: il aime trop ça… C’est pour ça que je voulais me le faire avec toi à soir.
- J’en sais rien, dit Karl, mal à l’aise… J’ai une blonde pis… lui c’est quand même un gars, je suis pas fif…
- Tu vois ben que j’suis pas fif! Pis ta blonde le saura jamais… De toute façon, c’est pas comme si tu la trompais avec une autre fille… Enfin, regarde et si ça te donne envie, joins-toi…
Steve, tout en continuant de faire jouer le dildo en moi, se dézippe le pantalon puis fourre sa queue bien bandée dans ma bouche. Encore une fois, pas mal juste le gland, et un peu du reste, entre car c’est trop gros et trop long. Mais je m’en fous, ça me plaît et je le suce avec plaisir. Je branle sa hampe avec mes deux mains puis, je m’amuse à toute la lécher de ma langue baveuse.
- Regarde-le, Karl, comme il aime ça… Il aime boire mon lait, ce petit… Mais cette fois, il ne l’avalera pas!
Pendant que je me remets à le sucer, il sort de sa poche un condom.
- Tu vas l’enculer?! s’eclame Karl
- Ouais… il a le cul déjà bien préparé, pourquoi pas en profiter! Mais moi j’suis pas du genre à mettre ma queue dans un trou à merde alors j’me protège, simple question sanitaire… Jim, mets-moi ça.
Il me tend le condom déjà ouvert que je prends et pose sur le gland de Steve après une dernière léchée de précum. Je le déroule tout en entier, très long, jusqu’à la base. Sans attendre, il se dirige devant moi, alors que je suis encore couché sur le dos.
Entre mes jambes, il les écarte et, de ses deux mains, empoignes le dildo dans mon trou pour le retirer sans ménagement. Il le pose à terre puis dirige son propre pénis vers ma chatte toute ouverte pour lui. Il place le gland sur le devant et entre sans patienter. Rendu à une certaine longueur, il lui est plus difficile d’entrer car elle est plus grosse que mon dildo, alors il pousse un peu, se retire, pousse à nouveau, jusqu’à ce que je la prenne toute en moi et que ses couilles touchent à mes fesses. Il se met alors à aller et venir en moi, bougeant son bassin sensuellement.
- Ah, c’est bon! Ton cul m’avale bien comme il faut!
De mon côté, je ressens une petite douleur mais je sais qu’elle partira avec le temps. Ainsi couché sur un coussin, mes jambes sur ses cuisses pendant qu’il me baise, je me sens très bien. Steve me regarde parfois les yeux, mais le plus souvent il regarde mon torse ou bien sa queue qui entre dans mon trou avec un bruit de succion excitant. Ou encore ses yeux sont fermés.
Lorsqu’un moment il me regarde, je mets ma main sur son cou et je m’approche de son visage pour l’embrasser mais, brusquement, il enlève ma main et pose la sienne sur ma bouche:
- J’embrasse pas!
Puis, toujours sa main sur ma bouche, il se retourne pour regarder Karl, que j’avais presque oublier.
- Viens ici lui mettre ta bite dans sa gueule, comme ça il aura pas envie de m’embrasser.
Presque comme soumis, Karl arrive, se place sur le lit, à ma droite, encore mal à l’aise. Doucement, il détache son pantalon et sort sa queue de six pouces, aussi avec un prépuce. Steve me prend dans ses bras et, avec l’aide de son sexe en moi, me remonte vers le haut afin d’être à la hauteur de l’entrejambe de Karl. Steve ôte sa main de sur ma bouche et celle-ci est vite remplacée par le pénis de son ami, que je me mets à lécher et à sucer.
- C’est la première fois… commence-t-il.
- De quoi?
- C’est la première fois que j’me fais sucer.
- Alors il était temps… Allez Jim, pompe-le bien!
Il n’a pas à me le demander! J’adore avoir une queue dans la bouche, sentir la peau et le gland contre ma langue, le goût du précum… Il n’y a rien qui m’excite le plus au monde. Pour moi, c’est comme les montagnes russes! Puceau, Karl obtient son orgasme rapidement.
- Ah fuck! J’vais jouir!
Dans des coups de reins qui poussent son sexe dans ma bouche, une rivière de sperme m’envahit et j’avale le tout. Alors que je termine de lécher son gland très sensible, Steve se met à m’enculer de façon plus inégalée, signe de jouissance à venir.
- Mmmm c’est trop bon… Tu veux mon sperme?
- Oui!
- Tu la veux dans ta gueule, hein?
Mais sans même attendre ma réponse, il se retire de ma chatte et embarque sur mon torse pour venir m’apporter son gland au bord de mes lèvres. Un premier jet de sperme a d’abord jailli et frappé mon nez et ma joue, puis j’ai ouvert la bouche pour tout recevoir le reste. Au début, il se masturbait pour éjaculer, mais a fini par remettre son gland au chaud dans ma bouche pour finir de sucer en avalant.
- Ostie que t’es trop bon, Jim! Mmmm, finis de me lécher lentement…
Pendant que j’obéis, Steve ferme les yeux et s’étire le haut du corps puis se caresse le torse légèrement en sueur. Puis, il regarde Karl:
- Tu vois? C’est une petite salope, ce Jim… Maintenant, quand tu veux jouir et que t’as pas de blonde… ou même si t’en as, on s’en fiche… ben tu viens ici et il s’occupe de toi… C’est notre petite cumslut à nous! Putain, déjà à 14 ans!
- Ouais, t’inquiètes, je vais en profiter!
Les deux gars se rhabillent et, avant de sortir, Steve me jette le condom usagé sur le torse:
- Tiens, un souvenir!
Puis, ils ferment la porte derrière eux et vont jouer à leurs jeux vidéo, me laissant presque sur mon appétit, seul dans mon lit et n’ayant pas encore joui, ce que je ne tarde pas à faire. Je me surprends alors à avoir cette pensée: «Ah, les gars!»

Les aventures de Jim
Bonne fêtes
Ecrit du 30 juin au 1 juillet 2008
L’histoire commence une fin de semaine d’octobre 1999. J’étais chez mon père, évidemment sûrement en train de me faire baiser par lui ou par son ami Pascal. Entre temps, mes deux autres nouveaux amants, Steve et Karl, sont chez ce dernier pour fêter les 17 ans de Steve, qu’il a eus quelques jours plus tôt. Bien que je n’y étais pas présent, je vais faire de mon mieux pour vous écrire ce qui s’est passé, puisqu’on m’avait raconté le tout par la suite.
Karl revient dans le sous-sol où l’attend Steve. Il lui donne une bière et ouvre la sienne avant de prendre une gorgée.
- Bonne fête mon gars!
- Merci!
- Désolé si j’ai rien d’autres à t’offrir qu’une bière!
- C’est correct! J’suis un gars, j’aime les choses simples… Euh, dis… tes parents reviennent quand déjà?
- Dans deux jours. J’ai la maison à moi seul avec mon frère.
- Justement, il est où Julien?
- Je pense qu’il est sorti avec des amis. Ou bien il est peut-être en train de regarder des films pornos sur son ordi. En tout cas, il nous dérangera pas, il sort pratiquement jamais de sa chambre.
- Ok. T’as encore des films toi aussi que Fred t’a prêté?
- Ouais, je vais les lui redonner dans une semaine. J’en ai commencé un hier soir, tu veux voir?
- Ouais, ce serait cool!
Karl prend sa télécommande et met en marche la vidéo. L’image montre alors une femme blonde, d’environ 25 ans, en train de subir une gorge profonde par un mec d’environ 35 ans, super musclé et macho. L’acteur en question est en fait misogyne et se sert des actrices comme si elles étaient des poupées.
- Fuck! Ça m’excite à fond, s’exclame Steve en se caressant la barre dans son pantalon.
- Ouais, moi aussi! Si tu veux, on peut se branler!
Sans attendre, les deux adolescents baissent leur pantalon et se mettent à se masturber pendant que la femme à l’écran, le visage plein de salive, commence à se faire double pénétrer plutôt violemment. Il y a cinq hommes autour d’elle: un dans son cul, un dans son vagin, un dans sa bouche et deux autres qui se font branler par ses mains. Tous ont des énormes queues qui étirent les trous de l’actrice. Après chaque deux minutes, les hommes font le tour et chacun profite de tout ce qu’elle peut offrir.
Dans un élan de tendresse amicale, les deux jeunes hommes s’échangent leur main et l’un masturbe le pénis de l’autre.
- Je me demande si le p’tit Jim voudrait bien qu’on lui fasse ça, demande tout haut Karl.
- Qu’on lui fasse quoi?
- Qu’on le prenne tous les deux dans le cul. J’ai vu une fille se le faire faire hier dans un film.
- Ouais, ça serait hot!
- On pourrait aussi lui faire des gorges profondes!
- Peut-être toi, mais la mienne est peut-être trop grosse… Enfin je verrai, sinon je prendrai son cul pendant que toi tu le fais.
Pendant ce temps, dans sa chambre, à côté de la pièce où les deux ados regardent la vidéo, se trouve Julien, le jeune frère punk de Karl. Âgé de 14 ans, il est couché sur son lit, avec de la musique dans les écouteurs. Ses cheveux sont en pics, pas lavés depuis trois jours parce qu’il déteste s’arranger les cheveux chaque matin. Son corps, lui, est lavé depuis la veille et il dégage de bonnes odeurs masculines. Il mesure 5'7" et a le corps assez maigre. Son corps, tout blanc parce qu’il ne sort pas assez dehors, est vêtu d’un jeans troué et d’un t-shirt où se trouve des tâches de graisses, ayant aidé son père à réparer son auto deux jours avant. Il porte des boxers et des bas, tout aussi troués. Ses pieds chaussent également ses bottes de cuirs qu’il n’enlève pratiquement jamais, même sur son lit. Ses intérêts: la musique violente, le sexe, la marijuana et la solitude. Sa chambre sent le renfermé et c’est pratiquement toujours le bordel (depuis des mois que ses parents n’osent plus entrer dans sa chambre). Seul le chien (le golden retriever de la famille) est là, couché à terre, à attendre.
Couché là, Julien lève les yeux pour regarder son plafond où un poster de femmes nues est attaché. Son érection vient vite et il se caresse le paquet avant de détacher son pantalon et de sortir son érection uncut, qu’il admire, la tenant tout droit dans les airs sans se branler. Au même moment, le chien saute sur le lit et approche son museau du sexe odorant de l’ados qu’il se met alors à lécher. Sur le coup, Julien fait le saut et cache son sexe dans ses mains mais le chien essaie toujours de le lécher. Quoique surpris et mal à l’aise, son âme pervertie lui rappelle combien la langue de l’animal était douce et agréable sur son pénis. Sans pouvoir s’arrêter, Julien remet son sexe tout droit et le chien recommence à le lécher. Le jeune décide même d’enlever le prépuce et découvre le gland caché. Le chien se met à le lécher comme un affamé.
- Ah, man! C’est bon! Mmmm t’es un bon chien, toi! Lèches tout partout… Oui, comme ça…
Julien n’en revient pas. N’ayant jamais eu de sexe auparavant, il décide de fermer les yeux, de fantasmer sur la fille du poster pendant que le chien satisfait son besoin. Ça ne prend qu’une dizaine de secondes et l’ado se met à jouir de grands jets de sperme, ses premiers de la journée, que le chien lape sur le gland, puis sur le ventre.
- Bon chien!
Mais soudain, alors que l’excitation sexuelle du départ le quitte, Julien se sent mal: est-il malade d’être excité par ce que le chien a fait? Est-il ce qu’on appelle un zoophile? Perdu, il se lève et décide d’aller prendre sa douche mais, en ouvrant sa porte, il se rend compte que Steve et Karl sont de l’autre côté, en train de se branler mutuellement en regardant un film porno. Il apprend alors, les entendant parler, qu’ils ont régulièrement du sexe avec Jim, le gars de sa classe que tout le monde écoeure et traite de fif. Julien ressent à nouveau son sexe gonfler et ne peut s’empêcher de se rebranler, en se disant qu’il ne laissera plus le chien le lécher mais qu’il va utiliser quelqu’un d’autre: ce Jim, que Steve et Karl surnomme affectueusement CumSlut. Ceux-ci continuent de parler de leurs fantasmes, ne sachant pas que le jeune ado les écoute:
- On va le baiser comme des vrais mecs, dit Steve sur le bord de jouir. Toi dans la gorge et moi dans le cul!
- Ouais! Une vraie brochette, répond Karl en riant. Et il va avaler mon sperme à l’habitude, comme une pompe.
- Ouais! Fuck, c’est une vraie salope! Un jour, je vais le nourrir qu’avec du sperme!
- J’ai une idée! À l’école, dans les douches, y’a toujours des concours de branlette. Celui qui jouit le plus vite! Ben on fera jouir les gars dans une bouteille qu’on fera boire à Jim!
- Fuck, ça c’est hot! Et un jour, on dira aux gars à quoi ça sert vraiment et on invitera Jim dans les douches: il boira leur sperme directement en les suçant!
- Aaahhh! Moi, j’vais jouir!
- Moi aussi! Aaaahhh!
Et pendant que les mecs éclaboussent la main de leur ami qui les branle, Julien, dans sa chambre, jouit une seconde fois en cinq minutes. Dans sa tête, il se prépare un plan: faire du p’tit Jim son CumSlut à lui aussi! Il ouvre alors la porte, complètement nu, et fait sursauter les deux gars.
- Merde, Julien, t’es là!? s’écrit Karl tout rouge.
- Ouep! Mais dérangez-vous pas pour moi, je vais me doucher!
Il traverse la pièce, la queue encore à demi bandée, du sperme coulant, pendant que les deux autres sont dans le même état. Aucune gêne entre mecs, finalement!
Environ deux semaines plus tard, Julien a bien monté son plan…
Me voilà donc en train de me préparer à sortir de l’école, pensant à ma fin de semaine. Au menu: me faire baiser le soir même par Steve avant que mon père vienne me chercher pour aller chez lui et que celui-ci me baise rendu là, la nuit venue. Le lendemain et le dimanche, baises sans cesse avec mon père et son ami Pascal. L’habituel, quoi! Bref, secrètement en érection, et rêvant à ma fin de semaine, je sens soudainement une jambe venir se mettre entre les miennes, me faisant tomber lourdement par terre. Je n’ai pas le temps de regarder de qui il s’agit que je sens l’assaillant se mettre sur mon dos et me cacher la bouche pour ne pas que je crie. Un gars avec une haleine de cigarette, me parle:
- Si tu veux pas de trouble, tu me suis sans chialer…
Le jeune me relève et je le vois enfin de face: Julien, ce punk rebelle que je redoutais tant, mais qui m’excitait en même temps. Nous étions alors dans un couloir vide de l’école. Soumis, je le suis, et il m’emmène dans les douches du gym, là où le ménage a été fait et où personne n’entrera avant le lundi matin. Il nous y enferme les deux et me traîne sous une pomme de douche sans l’ouvrir. Il me met à genoux sur le plancher mouillé et dur où tout sent le savon et le parfum masculin des joueurs de football plus vieux de l’école.
- Déshabille-toi!
Je m’exécute pendant qu’il se caresse l’entrejambe par-dessus son jeans.
- L’autre fois j’ai surpris mon frère et Steve en train de parler de toi… Apparemment, tu es bien bonne! Je voulais t’essayer pis j’ai un deal à te faire.
- C’est quoi?
- Tu t’occupes de moi tant que je veux… pis si tu fais bien ta job, je vais m’occuper de ceux qui t’écoeurent…
- Tu vas leur faire quoi?
- Hummm… un peu de chantage… tu verras!
Maintenant complètement nu face au jeune punk, je le regarde dézipper son pantalon et en ressortir une belle grosse queue qui semble appétissante. Il l’approche de mon visage et se met à me claquer les joues avec sa hampe en me tenant la tête pour ne pas que je bouge. Des goûtes de précum font leurs marques sur mon nez et mes lèvres.
- Tu la veux ma queue?
- Oui!
- Humm une vraie salope…
Il m’ouvre la bouche puis entre sa queue. Je commence à la sucer, mais à ma surprise il la fait renfoncer très loin dans ma gorge. N’étant pas préparé, je panique. J’ai un haut-le-cœur et lorsqu’il l’enlève, je suis carrément malade. Julien, qui semble peu s’en préoccuper, ne dit rien, ouvre simplement l’eau de la douche qui nettoie le dégât. J’en profite également pour me rincer la bouche. Puis, il nous change de cabine, me remet à genoux pour foutre sa queue dans ma bouche à nouveau.
- On n’ira pas trop fort, me dit-il. Mais un jour, tu vas la prendre au complet comme une vraie pute.
Encore un peu secoué de ce qui vient de m’arriver, j’ai le cœur qui pompe à fond et des tremblements un peu partout dans le corps. Mais ce pénis dans ma bouche m’excite à fond. Ma langue et mes lèvres lui font du bien et je l’entends gémir pendant que je salive. Soudain, il se retire et je l’entends aller se chercher un condom dans la distributrice de l’école. Lorsque je le vois revenir, c’est avec un autre mec, un joueur de soccer.
- Je te jure que c’était pas voulu, me dit-il, mais il m’a surpris. Il a accepté de profiter un peu de toi aussi! Je lui ai dis que la seule condition était qu’il te respecte parce que tu allais t’occuper de lui…
- Je vais oublier ma serviette plus souvent, dit le joueur.
Ce dernier, Philip, est grand, musclé, les cheveux rasés et décidément très hétéros. Âgé de 17 ans, je ne l’ai jamais vu. Je comprends alors le chantage de Julien: il va me faire baiser avec tous ces mecs à condition qu’ils me respectent et ne m’écoeurent plus. S’ils brisent le «contrat», il sortira les preuves et eux seront à leur tour humilier… Brillant!
Philip s’approche de moi, la queue déjà bien grosse et sortie de son pantalon. Il la fout dans ma gueule pendant que Julien met la sienne, bien protégée d’un condom lubrifié, près de ma chatte, qu’il tente d’ouvrir doucement. Puisque je m’étais bien préparé avec un dildo le matin et le midi même, deux fois, il n’a pas trop de misère et son membre entre en moi au complet en quelques instants. Il se met alors à me baiser de long en large, secouant mon corps vers l’avant, enfonçant ainsi le pénis de Philip dans ma bouche.
Cette fois, tout se fait au vite: Philip se met à jouir dans ma bouche et, juste après, Julien jouit dans son condom, tous deux criants dans la salle remplie d’échos. Puis, pendant que je mange le sperme du joueur de soccer, Julien ressort sa capote et il la vide dans ma bouche en la tenant par le bout, laissant le tout couler. C’est alors que je ressens un jet chaud me venir dans le dos, me coulant jusque dans le creux des fesses puis le long des cuisses et des jambes. Je me retourne et un jet d’urine m’éclabousse le visage, puis les cheveux.
- On va bien finir de te marquer, ma petite salope, puis on aura terminé, me dit Julien qui me pisse dessus, maintenant suivit de Philip.
Bientôt tout trempé d’urine, les deux gars m’examinent pendant que je reste accroupi à terre, encore soumis. L’odeur est légère, pas trop forte.
- Mmmm… C’était bon, ça, nous dit Philip. Je dois y aller, mes amis m’attendent…
- Mais tu as bien compris le principe de notre entente?
- Ouais, t’inquiète mec… Tout va bien aller…
- Cool…
Le gars quitte la pièce avec sa serviette oubliée tandis que je me lave dans la douche, sous les yeux attentifs de Julien. Il me demande de lui raconter mes plans de baise pour la fin de semaine, ce qui l’excite un peu.
- Dommage que je ne puisse y participer… Mais, on se voit quand même lundi, non?!
Sur son visage, un sourire pervers vient illuminer ses yeux qui me violent du regard…

Les aventures de Jim
Double pénétration
(11, 21-22 août 2008)
Nous sommes au début de décembre 1999. Quelques jours et semaines avant Noël et le fameux Nouvel An de 2000 qui fait peur à bien des gens avec son "bogue".
Mon nom est Steve, j’ai 17 ans: le genre de gars que les mères aimeraient avoir comme gendre pour leur fille. Je suis gentil avec les filles, j’aime les faire rire. Pareil avec mes amis et ma famille!
À l’école, je suis assez populaire, surtout parce que je fais le comique et que je suis mignon. Comme vous voyez, je ne manque pas de confiance en moi! Mais, c’est ce que les filles aiment: un gars, un vrai, qui s’assume! J’ai accepté ce rôle depuis longtemps… Les étudiantes à mon école me regardent toujours comme si j’étais sur le point de les faire jouir à distance. Quand je fais du sport et du skate, je suis souvent torse nu, et mes pantalons descendent légèrement, montrant le haut de mes boxers. C’est cool, sexy, et ça fait tomber les femmes: quoi de mieux? Le parfait hétéro, quoi!
Mais j’ai un sombre secret, que très peu de gens connaissent… Je baise un mec… En fait, pas juste un mec… C’est un jeune ado de 16 ans, qui est mon demi-frère. Cet adolescent est adorable: il suce les queues et se fait enculer comme si sa vie dépendait sur le sperme! Apparemment, c’est son père qui l’a initié, y’a quelques mois. Depuis, mon ami Karl et moi, on prend la relève quand son papa ne peut pas le baiser.
Les premiers temps, je le baisais avec un condom. Pas que nous sommes atteints d’une infection sexuelle, mais dans ma tête de mec, un cul c’est un cul: on s’en sert pour aller à la toilette et c’est tout. Donc l’idée de mettre ma queue dans ce trou me répugnait. Puis, est venu un soir où j’avais cette envie de le baiser comme un fou, pour me rendre compte à la dernière minute que je n’avais plus de condom. Fuck, j’y suis allé pareil et… wouah c’était extra! Bon, je suis conscient des risques, mais je sais que ce p’tit Jim se fait constamment tester et moi je sais que j’ai rien alors…
Bref, nous sommes à quelques jours de l’an 2000 et je semble plus excité que jamais! Ma grosse queue est dure comme du roc pendant que je suis couché dans le lit de ma chambre chez ma mère. Au début, j’essaye de penser à des filles à gros seins pour m’exciter, mais… seul ce p’tit Jim me revient en tête pour y rester. Je revois en tête sa belle chatte de garçon, toujours bien chaude et toute ouverte pour me recevoir. Je me dis que la prochaine fois, j’aimerais bien le lécher… Mais je me dis, soudain, que je veux cette première fois ce soir, alors que je suis en forme pour ça!
Je l’appelle donc. Au début je parle à la mère de Jim, puis à mon père, et je lui dis de me passer ma salope (ben j’ai pas dit ça comme ça, mais c’est ce qu’il est pour moi de toute façon). Bien clair et vite, je lui ordonne de se préparer, de se laver bien profondément la chatte et de nous attendre, moi et Karl. Puis, j'appelle ce dernier et lui fais part de mon plan: on avait prévu de double pénétrer Jim un jour... eh bien on va le faire ce soir!
Karl et moi arrivons chez mon père quelques minutes plus tard. Nous jasons avec la famille quelques moments puis nous descendons, prétendument pour aller jouer à un jeu vidéo. Mais nous prenons la direction de la chambre de Jim où la porte est fermée. Sans même cogner, j’entre, déjà avec un début d’érection dans mon pantalon.
Jim est là, nu sur son lit, confortablement étendu sur le dos, se caressant la poitrine. Il met un doigt et un pouce dans sa bouche pour les lécher, puis les met autour d’un mamelon avec lequel il joue tendrement. Cet adolescent est trop pour moi! Sans prendre le temps de me déshabiller, je saute sur le lit et me dirige entre les jambes de Jim, que j’écarte doucement du revers de mes mains masculines. Je vois apparaître devant moi, au creux de son corps et à la lueur de la lumière, sa belle chatte de garçon. Elle me fait fondre!
- Oh Jim…
Je ne finis pas ce que je commençais à dire et je me mets à caresser ses fesses de mes mains. Puis, j’approche dangereusement mes doigts de son trou, dont les muscles sont si excités et prêts à se faire ouvrir par un homme. Je mets un doigt dans ma bouche pour le mouiller sensuellement, et je vais caresser l’anus du petit chéri qui se donne à moi tout en entier. Et j'y entre doucement deux doigts dans ses entrailles serrées.
- Ooouuuhhh… Mmmmm comme c’est chaud…
Derrière moi, Karl se déshabille complètement et va sur le lit, mettre son sexe entre les lèvres de Jim.
- Suce-moi bien, lui ordonne-t-il.
Trop excité, je n’en peux plus. Je penche ma tête entre les jambes et commence à lécher cette chatte qui me tente au maximum. J'essaie d’entrer ma langue dans son trou après avoir tout léché et mouillé. Puis, j’entre trois doigts qui vont l’ouvrir. J’en profite pour lécher les lèvres anales séparées et entrer ma langue dans son trou. Pendant ce temps, je dézippe mon pantalon et en ressors mon pénis bandé à fond.
Je termine d’embrasser l’anus du p’tit Jim, puis je mets ma queue à la hauteur du trou. Sans aucune autre préparation, ni lubrification autre que ma salive, je pousse le gland qui entre, et je pousse encore pour faire entrer la moitié de ma queue. Avant, Jim se mettait toujours un dildo dans le cul, mais cette fois, non. C’est donc très serré et sûrement douloureux pour lui, mais je m’en fou un peu présentement: moi je suis bien et c’est ce qui compte!
Je fais quelques va-et-vient en lui et des larmes lui coulent sur les joues pendant qu’il suce encore Karl, tel un nouveau-né qui désire ardemment obtenir son lait du sein maternel. Mais il ne résiste pas et se laisse faire docilement. De toute façon, je sais qu’il aime être soumis et cela, malgré tout ce que ça implique! J’ai ses jambes sur mes épaules, de belles jambes imberbes de minet et je les embrasse, les lèche. Puis, je lui prends un pied… un très beau pied d’ailleurs… et je fais la même chose. Je fais le tout comme si je marquais mon territoire avec ma salive.
Soudainement, sans trop y penser, je me penche sur lui, ce qui écarte encore plus ses jambes et permet de faire entrer toute ma queue en lui. Pendant qu’il gémit avec la queue de Karl dans la bouche, des larmes lui coulent encore des yeux et de ma langue perverse, je lèche sa joue rougie.
- Regarde-moi dans les yeux, que je lui ordonne.
Je vois ses beaux grands yeux bleus me regarder, soumis. La queue de Karl fait une bosse sous la joue de Jim et je vais la lécher par-dessus la peau, comme s’il s’agissait d’un suçon, pendant que mon ami la maintient en place pour bien sentir ma bouche. À ma propre surprise, je ne m’y arrête pas. Ma langue descend et parcours toute la hampe, évidemment toujours par-dessus la joue, et je me rends jusqu'aux lèvres de Jim. Pour la première fois de ma vie, ma langue frôle la peau d’un pénis. Mais ce n’est pas cela qui m’excite: c’est le fait que je touche les lèvres de Jim qui, elles, sucent mon ami. Cette idée me rend dingue!
Et comme si je ne peux pas m’arrêter, de ma main je retire la queue de Karl, toujours pendant que ma langue est collée aux lèvres de ma salope. Lorsque je sens la forme du gland ressortir de sa bouche, puis furtivement toucher ma langue, je jouis presque sans bouger des hanches. Je ressors donc de son cul, d’un coup sec, et, pour la toute première fois encore, me voilà qui me mets à lécher la bouche de ma pute, où, je sais, se trouvent des goûtes de précum de Karl. Et je lui fais un énorme french-kiss sauvage. Lorsque j’arrête, je prends sa tête fortement entre mes mains et le regarde dans les yeux.
- Ouvre la bouche.
Il s’exécute et, à ce moment, je lui crache un bon gros jet de salive épais entre les lèvres, mais il y en a aussi un peu partout sur le nez, le menton et les joues. Je prends alors la queue de Karl bien fermement, assez pour sentir les veines pulser, et la lui remets moi-même dans la bouche et profondément. J’entends alors la gorge de Jim qui s’ouvre et fait un son étrange. Je pense un instant à s’il va être malade, mais non. Alors, je le maintiens en état, pendant que Karl gémit.
- Aaaaah merde! C’est crissement bon, ça!
Mais je le retire:
- Jouis pas tout de suite, oublie pas ce qu’on veut faire!
Très vite, je prends Jim dans mes bras et je me couche sur le dos sur le lit, avec lui assis sur moi, face à moi. Je prends sa bouteille de lubrifiant et je mets le bout dans l’anus directement. Fortement, je pèse sur la bouteille et je remplis son cul. Sans plus attendre, excité comme jamais, je positionne ma queue et je l’encule brutalement, tout d’un coup, du gland jusqu’aux couilles, en mettant ma main sur sa belle gueule d’ange pour ne pas que personne ne l’entende crier dans la maison. J’ai cette envie de violer son intérieur, mais pas seul.
Karl, à son tour, se positionne à quatre pattes derrière Jim. Je sens son gland s’accoter sur la chatte de Jim et sur ma queue en même temps. Puis, lentement, il pénètre lui aussi, doucement. Je sens son sexe frotter contre le mien, étirant les parois anales de plus en plus.
De l’eau coule sur mes lèvres, et ce sont les larmes de Jim qui reviennent. Je lèche cette eau salée et on se met à baiser le jeune adolescent ensemble, comme des vrais hommes qui se laissent aller sur une belle petite pute. On l’encule à fond, de long en large, de toutes nos forces viriles et de nos plaisirs égoïstes de mâle. Tous les muscles de nos corps de gars sont bandés comme notre queue et ils s’activent férocement. La sueur nous coule de partout très vite.
J’enlève ma main de sur la bouche de Jim et je penche sa tête vers la mienne pour lui faire un french-kiss bruyant. Puis je le regarde dans les yeux en lui tenant la tête, tout en l’enculant toujours bien profondément et violemment avec mon ami.
- Oui, laisse-toi faire, t’es un bon garçon!
Je lui chuchote cela comme pour le consoler, même si je continue de le baiser à toute vitesse. Je lèche ses lèvres et continue de lui parler:
- Bon garçon… Prends tout dans ta belle chatte délicieuse... Tu aimes ça?
- Oui...
- À quel point?
- J’adore ça!
- Tu aimes nos queues?
- Oui!
- Dis-le...
- J'aime vos grosses queues chaudes...
Sa voix douce est secouée à chacun de nos va-et-vient. Son visage a l’air épuisé et son corps est plus mou qu’à l’habitude, alors que le mien et celui de Karl sont probablement au maximum de notre performance.
- Tu sens bien nos queues dans ton cul, hein?
- Oui, c’est trop bon…
Sa voix est faible. Ça m’excite encore plus de voir qu’on lui fait cet effet, et je l’embrasse encore. Nous arrêtons de le baiser un moment, et je mets sa tête dans le creux de mon épaule pour le faire reposer. Je le sers entre mes bras, puis mes mains parcourent la peau de son dos, puis je les dirige vers ses fesses. Mes doigts touchent les lèvres anales étirées à fond de son anus. Sa chatte est définitivement ravagée par notre passage! Juste à cette idée, je veux tout à coup jouir en lui, l'envahir de mon jus béni.
- Tu veux venir, Karl?
- Ouais j’ai trop envie!
- OK, on y va à pleine puissance!
D’un seul coup, je relève Jim et le maintiens en place en le tenant légèrement par la gorge pendant que nos queues se mettent à le pilonner de nouveau. Karl, lui, lui tire un peu les cheveux en le baisant. Nous sentons la sève monter le long de notre sexe et nous mener tout droit dans les étoiles.
- Aaaaaah fuck!
Je crie sans me retenir, ne pensant plus aux gens dans la maison qui peuvent nous entendre, puis je me dis soudain que je n’ai qu’à donner comme excuses que j’ai perdu une game à notre jeu vidéo. Les cris suivants ne sont que gémissements refoulés entre mes dents serrés, parmi ma respiration de taureau. Ma queue grossie encore un peu, pulse de plus en plus, puis elle éjacule une rivière de sperme dans ce superbe cul tout ouvert. C’est suivi par Karl dont je sens les jets chauds éclabousser mon sexe.
Puis, c’est l’effondrement: Karl se retire, et la queue fait un "plop" en ressortant, pour ensuite se coucher à côté de nous. Jim, lui, jouit sur mon ventre sans pouvoir se contrôler. Son anus est tellement dilaté que lorsque j’en ressors, beaucoup de sperme coule de son trou, le long de ses jambes délicates et tout épuisées. Quelques gouttes tombent aussi sur mon ventre. Alors que Jim se couche sur le ventre, fatigué, je prends le sperme avec mes doigts et les remets dans son trou pendant que je lui bécote le cou. Puis, une dernière fois, je mets en lui mon pénis encore à demi bandé pour pousser la semence bien au fond.
Malgré moi, je rebande. Je décide de jouir une deuxième fois, toujours dans son trou, mais je prends cette fois qu'une minute. Puis, je me lève et me rhabille, tout comme Karl. Nous partons en nous promettant une seule chose: recommencer le plus souvent possible!

Les aventures de Jim
Le prof
(Écrit le 24 août 2008)
À l’école, alors que j’étais sur la fin de mes 16 ans, j’ai eu un faible pour mon professeur de français. Il se nommait Jean Dubé, 32 ans et j’avais entendu dire qu’il était bisexuel. Apparemment, il n’était pas marié mais plusieurs élèves l’ont vu au cours des années, soit avec différentes femmes, soit avec différents hommes. Ça se jasait dans le coin! Il était très masculin malgré tout - ce n’est pas un homme que l’on pouvait nommé «tapette» disons!
Depuis quelque temps, je rêvais de lui, je voulais qu’il baise mon corps d’adolescent délicat, comme un vrai homme. Mais je ne savais juste pas comment l’approcher. Pour une raison que j’ignore, il m’intimidait plus que n’importe qui. Pourtant, j'en avais vu bien d'autres... Puis, est venu le moment parfait…
Un jour, il nous demanda d’écrire un texte sur notre plus grande passion. Alors que mes camarades de classe écrivaient sur leur groupe de musique, leur actrice ou bien encore sur leur animal préféré, moi, j’ai décidé d’écrire sur un sujet plus particulier: l’Homme (notons le «H» majuscule!)
En regardant les pages de mon texte, on pouvait imaginer simplement que j’écrivais sur l’humanité, les hommes et les femmes de la société qui ont fait avancer l’histoire…
Mais… voici une copie de ce texte que j’ai retranscrit ici spécialement pour vous!
L’Homme
Écrit par Jim(…)
Pour le professeur Jean Dubé
En date du 7 juin 2000
Dans les années 1970, une femme a fait un essai sur les hommes et comment nous pouvons les définir. Voici le résultat:
Physiquement, les hommes sont virils, athlétiques, forts, braves et, contrairement aux femmes, ils s’en foutent un peu de leur apparence et de l’âge qui avance.
Leur fonction est de garder la famille en état, de la protéger.
Sexuellement, ils sont plus agressifs, ont plus d’expériences, et peuvent être célibataires sans que ce soit un réel problème pour leur image.
Ils sont émotionnellement froids et ne pleurent jamais.
Intelligemment, ils sont logiques, intellectuels, rationnels, objectifs et pratiques.
Au niveau interpersonnel, ils sont surtout leaders, dominants, disciplinaires, indépendants, libres et individualistes.
Finalement, ils peuvent aussi être: ambitieux, agressifs, fiers, égoïstes, confiants, compétitifs et aventureux.
Depuis l’avènement des «hommes roses», nous voyons ces dernières valeurs devenir de plus en plus insignifiantes aux yeux de la gent masculine.
Malgré le fait que j’aime bien la compagnie des hommes roses, j’adore aussi être en présence des Hommes, avec un H majuscule, imposants.
J’aime savoir qu’il se lève le matin, qu’ils prennent une douche, se lavant un corps superbe, parfois se masturbant le sexe gonflé qui ne demande qu’à éjaculer un trop-plein de semence. Mmm… juste à y penser, j’ai la chatte de garçon qui mouille!
Mais ce n’est pas tout! La journée ne fait que commencer! Ensuite, ils vont au travail: il y a les hommes qui mettent ces costumes avec chemise et cravate, ce qui les rend à mes yeux très dominants… Et il y a aussi ceux qui vont travailler dans la construction, avec des bottes, des jeans, des camisoles et, parfois, torse nu! Mmmm ils sont si sexy! Je voudrais toucher leurs muscles, lécher cette peau en sueur…
À la fin du travail, par moment, ils vont au gym s’entraîner: peut-être pas pour devenir Monsieur Univers, mais au moins pour se garder en forme… Croyez-moi, monsieur le professeur, j’aimerais tellement les attendre dans les douches du gym!
Un Homme parmi eux arriverait nu dans les douches et moi je serais déjà sous l’eau, à terre, le corps doux et soumis, n’attendant qu’à être pris dans toutes les positions! Je me placerais à genoux, entre les jambes de l’Homme. Son pénis grossirait au niveau de mon visage innocent pour devenir une belle grosse queue chaude et juteuse. Avec ou sans prépuce, je prendrais entre mes lèvres son gros gland, goûtant le précum délicieux. Je le sucerais comme un bonbon au sucre d’orge, avec ce miel doux qui coulerait dans ma gorge…
Car, comme dans la chanson, moi aussi j’aime les sucettes!
J’en rêve depuis longtemps! Et je réalise mes rêves! J’aime avoir un pénis dans ma bouche, le lécher partout, les couilles et la hampe. Tout toucher pendant que l’Homme s’accote sur le mur, les mains masculines sur ma tête, caressant mes cheveux et poussant pour que je prenne tout dans ma gorge. Il ne ferait qu’obtenir plus de plaisir que sa femme peu lui en donner!
Vous, monsieur le professeur, je suis sûr que vous prendriez plus de plaisir avec moi qu’avec n’importe quelle maîtresse ou amant!
D’ailleurs, ma bouche et ma chatte vous désirent au moment où j’écris ces mots… Je veux d’abord votre pénis dans ma bouche avant que vous me défonciez la rondelle de toutes vos forces!
Votre sexe est comment? Sept pouces? Huit, neuf? Avez-vous un gros gland? Est-ce que vous avez beaucoup de précum? Avez-vous des couilles grosses comme des œufs? Votre hampe a-t-elle des veines sous la peau? Êtes-vous circoncis? Aimeriez-vous sentir ma langue entre la peau et le gland?
Hummm… Mon propre pénis est tellement dur pendant que je vous écris! Je vous regarde de ma chaise, pendant que tout le monde écrit autour de moi. Vous êtes à votre bureau, si beau, si sexy, si masculin… Je ne peux pas me retenir de me toucher…
Je vous veux!!!
Ainsi s’achevait mon devoir. J’ai donné ma copie au professeur, encore en érection, et je suis sorti de la classe en même temps que tout le monde.
Deux jours plus tard, j’avais de nouveau un cours de français. Le prof, au lieu de donner les copies des élèves sur les bureaux, décida de faire venir les jeunes à son bureau plutôt. Étrangement, quelque chose me disait que ma feuille avait un lien avec tout ça.
Comme par hasard, monsieur Dubé me fît venir à son bureau en dernier.
- Félicitation Jim, tu as la plus haute note de la classe.
Je regardais le chiffre: 97%
- Un 100% aurait été un peu louche, rajouta-t-il, tout en dézippant secrètement son pantalon à côté de moi. Aussi, puisque nous gardons toutes les copies de devoir dans un dossier, je serai forcé de ne pas placer ton travail avec ceux des autres élèves. Je dirai que je l’ai perdu, probablement jeté sans faire exprès… Mais, je vais garder ça chez moi, en sécurité!
À ce niveau, sa voix semblait très excitée, tout comme moi, et je voyais maintenant la grosse bosse sous son sous-vêtement. Je pouvais remarquer une tache de précum sur le devant. Il écarta le tissu et sa belle queue sortie du trou.
- Caresse-la…
Je ne me fis pas prier et je me suis mis à la toucher, puis à la masturber pendant que nous faisions semblant de corriger mes feuilles.
- Hummm oui… Tu es très doué, Jim.
- Je sais. Je désirais vous faire une présentation de mes talents.
- Tu peux le faire autant que tu veux…
Le précum coulait entre mes doigts et rendait les mouvements assez glissants. Par moment, il gémissait et il devait cacher les sons par un bruit de gorge. Je le voyais regarder droit devant lui, pour voir si on nous remarquait, mais non. Tous ces idiots qui osaient m'écœurer et me traiter de fif et de tapette ici, à l’école, étaient en train de s’emmerder à travailler, pendant que moi j’étais au paradis avec monsieur le professeur! Ah que j’adore ce pouvoir que j’ai de séduire les hommes et les gars que je veux!
Puis, très vite, j’ai senti sa queue pulser entre mes doigts, devenir très dure! L'homme m'a arrêté la main un instant, pour prolonger le plaisir, et j'ai repris une bonne masturbation pour encore une minute de chaleur. Quand j'ai su que c'était le bon moment, j’ai mis son gros membre plus à l’horizontale, pointant le sol, et, soudain, j’ai vu de longs jets de sperme sortir du gland rouge venir s’écraser sur les souliers du prof, pendant que ce dernier étouffait ses cris de jouissance du mieux qu’il le pouvait.
Lorsque la cloche annonçant la fin des cours sonna au même moment, l’homme et moi avons sursauté pendant que tout le monde se jetait à la sortie comme des animaux, nous laissant seuls. C’est alors que le prof, avec la queue toujours sortie de son pantalon et le gland plein de sperme, se leva et alla verrouiller la porte après avoir enlevé ses souliers, restés sous le bureau.
- Mets-toi à genoux par terre et nettoie le sperme de mes souliers, m’ordonne-t-il.
Pendant que j’agissais, il se mit derrière moi, baissa virilement mon pantalon et vit dans mon petit derrière un buttplug que je gardais en moi depuis le midi.
- Mmmmm… Tu es encore plus salope que je croyais!
Il enleva le jouet sexuel, qui fit un «plop» en sortant de mon anus tout ouvert. De sa main, il prit son sexe et passait le gland sur mes lèvres anales pour les mouiller de son sperme. Puis, sans attendre, il plongea le tout en moi, d’un seul coup, me faisant gémir pendant que ma langue léchait le sperme de ses souliers.
Il me baisa comme un vrai homme préhistorique pendant dix longues et savoureuses minutes! Les couilles poilues frappaient mes fesses enflammées qui en demandaient toujours plus, aux sons de succion humide. Mon corps d’ado se faisait balancer en avant puis arrière pendant qu’il me tenait fermement par mes hanches minces
C’est dans un cri intense qu’il se mit à jouir copieusement en moi. Puis, il se retira et me mit à quatre pattes devant lui pour me frapper et frotter le visage de son sexe encore très dur et pour faire couler un restant de sperme entre mes lèvres. Finalement, il me leva debout et, d’un coup, entra le butt plug de nouveau dans ma chatte, encore avec ce son de succion excitant.
- Tiens! Garde ma semence en toi! Je veux que ton cul se rappelle de mon passage!
Je me suis rhabillé pendant que lui faisait de même. Avant de sortir de la classe, l’homme s’approcha de moi et pencha ma tête au niveau de son sexe à nouveau afin que je vienne lécher la toute dernière goutte de sperme coulant de son gland. Il me fit un clin d’œil et me dit:
- Demain midi, je t’attends ici. Je vais te donner un bon truc chaud à boire avant que tu manges le dîner familial! C’est plein de protéines et bon pour toi!
Il me retourna et frappa mes fesses pendant que je sortais, faisant sursauter agréablement le jouet sexuel en moi…


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