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Histoire du net. Auteurs Inconnus. Jeux amoureux

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Deux textes écrits par des hommes.
Pour leurs femmes.

 Emma se lâche
Je m’appelle Thomas, j’ai 30 ans et je vis depuis cinq ans avec Emma, de deux ans ma cadette. Nous habitons une petite ville de Province et menons une vie parfaitement simple, qui nous a toujours semblé harmonieuse.
Sexuellement parlant, ce n’est sans doute pas le top, mais c’est déjà très bien. Nous faisons assez souvent l’amour, à des moments et dans des endroits inattendus.
Bien sûr, je pourrais me plaindre, car Emma ne veut pas satisfaire à tous mes fantasmes, mais je pense que c’est « normal ». Elle n’aime pas la sodomie et refuse obstinément d’avaler. Et ce n’est même pas la peine de lui parler d’amour à trois.
Avec le temps, j’ai pris conscience que ce genre de choses, si elles devaient arriver un jour, ne seraient pas « programmées », qu’elles se produiraient, presque naturellement, à un moment où les circonstances s’y prêteraient.
Mais l’histoire qui suit tend à prouver que je me trompe.
Un samedi après-midi, alors que nous n’avions rien de prévu et que j’étais écroulé devant la télévision, Emma s’approche de moi avec un sourire infiniment vicieux que je ne lui ai jamais vu.
— Tu as quelque chose de prévu, cet après-midi, mon amour ? me susurre-t-elle.
— Non, rien de spécial, réponds-je, lui souriant aussi en retour.
Elle m’arrache la télécommande des mains et éteint le poste, puis vient s’agenouiller à califourchon sur mes cuisses. Elle m’embrasse longuement, langoureusement. Je réponds à ses baisers par des caresses sensuelles sur ses hanches et ses fesses. Je sens déjà mon sexe se durcir.
Mais elle se redresse légèrement et m’écarte vivement les bras qu’elle maintient écartés sur le canapé.
— Non ! C’est moi qui commande et tu vas devoir obéir ! me fait-elle, presque hargneusement.
Je la regarde, surpris de la voir ainsi.
— Tu peux encore refuser, poursuit-elle plus doucement. Mais si tu acceptes, tu devras faire tout ce que je te demanderai. Alors ?
— Et qu’est-ce que tu as en tête ?
— Ça tu ne le sauras qu’après…
J’hésite un court instant, mais ses quelques paroles ont finalement achevé de m’exciter.
— J’accepte, ma puce. Que dois-je faire ?
Souriant, elle se relève et me saisit par la main.
— Viens, suis-moi.
Je me lève et accompagne donc Emma jusqu’à notre chambre, où elle a posé sur le lit quatre paires de menottes, le genre qu’on trouve en sex-shops.
— Je ne savais même pas qu’on avait des trucs comme ça… observé-je en la regardant. Je suis pas trop fan de ces machins-là, tu sais.
— Tu peux encore refuser, me rétorque-t-elle encore une fois en frottant doucement ses fesses contre mon entrejambe.
Mais non, je n’ai pas envie de refuser. Je lui souris.
— Et alors ? Où veux-tu m’attacher ?
Et tandis que je lève les yeux en cherchant où elle pourra le faire, j’aperçois une grosse chaîne pendant le long d’un des murs, où elle semble solidement arrimée.
— Mais qu’est-ce que c’est q… commencé-je, inquiet.
— D’abord, tu vas te déshabiller, me coupe sèchement Emma.
J’hésite un instant, puis, l’excitation prenant le dessus, m’exécute, rapidement. Elle me regarde faire puis branle rapidement mon sexe légèrement gonflé. Je lui repose ma question. Elle ne répond rien et se contente d’ouvrir une des menottes qu’elle passe autour de mon poignet droit. En montant sur une chaise à côté de moi, elle attache mon bras tendu en l’air à un tuyau du chauffage central qui passe le long d’un mur, refermant l’autre menotte entre deux colliers de serrage. Je la regarde faire, plutôt amusé. Sans un mot, elle attache mon pied droit à ce même tuyau, tout en bas. Puis, m’obligeant à écarter amplement les jambes, elle arrime ma cheville gauche à un des pieds du lit.
Je n’ai plus que mon bras gauche de libre mais n’ai déjà plus qu’une marge de manœuvre réduite. Alors elle referme la dernière menotte sur mon poignet gauche et la tire pour aller l’accrocher à la chaîne qui pend du mur.
Je la laisse faire, encore amusé, puis me débats quelque peu pour tester la solidité de son procédé. Mais il n’y a pas à dire : ça résiste. Ça résiste même trop. Un doute m’envahit…
Mais elle ne me laisse pas le temps de m’inquiéter ou d’imaginer quoi que ce soit et déclenche immédiatement les hostilités : en me regardant, elle se déshabille lentement, sensuellement, en se déhanchant exagérément. Après avoir retiré son tee-shirt et son soutien-gorge, elle se cambre au maximum en retirant doucement son jean, et s’approche tout près de moi. Ses seins lourds et nus sont tout près de mon visage. Je fais un mouvement brusque pour essayer d’en approcher mes mains, mais, maintenu par les menottes, je ne parviens à les bouger que de quelques centimètres.
En voyant que son dispositif est redoutablement efficace, elle ne peut s’empêcher de sourire. Puis elle se met à se caresser lascivement en achevant de se dévêtir. Elle s’approche encore et vient frôler mon corps, collant presque d’abord ses seins à mon torse, puis effleurant mon sexe tendu de ses fesses qu’elle s’amuse à osciller juste sous mon nez.
Je bande à tout rompre et n’ai qu’une envie : qu’elle s’occupe de moi plus sérieusement. Mais à présent nue, elle s’éloigne jusqu’à sa table de nuit d’où elle sort, sous mes yeux sidérés, un long et épais godemiché rose pâle, parfaite imitation d’une verge bandée, mais bien plus grosse que la mienne. Et elle revient devant moi avec son trophée à la main.
Je ne savais absolument pas qu’elle avait un jouet comme ça. De le savoir, de l’imaginer déjà l’avoir essayé, ou même régulièrement jouer avec, me propulse dans un état d’excitation que je n’ai jamais connu encore. Elle vient se coller à moi, pressant son ventre contre mon sexe raide comme du béton et me dépose un baiser. Dans un réflexe, j’essaie encore de refermer mes mains sur elle, mais je suis presque parfaitement immobilisé. Elle s’avance sur la pointe des pieds, pour me susurrer à l’oreille :
— J’adore me caresser avec ça…
Et elle passe le gode le long de mon visage, frôlant mes joues. Il est vraiment très gros, je suis impressionné. Elle fait virevolter le gland imposant sur mes lèvres ; mais comme je recule la tête, elle se met à le sucer doucement juste sous mon nez. Ses lèvres glissent lentement autour tandis qu’elle ferme les yeux et soupire.
Je tente de remuer mon bassin pour me masturber comme je le peux sur son ventre, mais, s’apercevant de ma manœuvre, elle s’écarte vivement de moi et m’affirme encore :
— C’est moi qui déciderai quand tu pourras avoir du plaisir !
Je plisse les yeux et lève les sourcils dans un soupir de pitié, mais elle sourit odieusement et reprend sa fellation sur le jouet qu’elle tient toujours. De sa main libre, elle caresse ardemment sa poitrine gonflée, excitant soigneusement ses tétons.
À plusieurs reprises, je me crispe et mon sexe soubresaute devant moi, sous ses yeux toujours plus ardents. Je tente encore une fois de me libérer, mais rien ne cède. En me regardant, amusée, elle passe alors lentement le gode tout le long de son corps et dirige son autre main jusqu’entre ses jambes qu’elle écarte quelque peu. Je devine son majeur tournoyer doucement en haut de sa raie et descendre régulièrement s’immiscer dans son sexe que j’imagine trempé.
Elle me lance un regard de braise et mène son jouet jusqu’entre ses cuisses ouvertes. Je la vois fermer les yeux et retenir sa respiration en se crispant ; elle est en train d’enfoncer lentement, très lentement, l’objet dans son vagin, sans doute peu habitué à recevoir de telles dimensions.
Ma verge est tendue et gonflée comme jamais, pointée vers Emma qui prend un infini plaisir à faire durer longuement cet instant d’extase. Je me rends compte que je transpire et tente de pencher la tête pour venir l’éponger contre mon épaule. Mais même cela m’est difficile.
Emma rouvre enfin les yeux et se laisse tomber en arrière sur le lit, cuisses toujours ouvertes. Et elle se met à se masturber avec vigueur, faisant mouvoir en elle le sexe factice dans d’amples et rapides va-et-vient, qui lui arrachent chacun un gémissement de bonheur.
Elle s’arrête au bout d’une ou deux minutes pour regarder dans quel état je suis. Et quand elle constate mon état d’excitation et de frustration, elle reprend encore plus intensément sa masturbation. Elle se baise littéralement avec le gode qu’elle dirige d’une main, tandis que de l’autre elle fait tournoyer à toute allure son clitoris.
Je me débats encore ; pourtant je sais maintenant que je ne parviendrai pas à me libérer, mais c’est plus fort que moi. Comme un réflexe.
Elle accélère encore ses mouvements et elle hurle à présent. Elle peine à maintenir ses yeux ouverts fixés sur moi. Je gémis, d’envie et d’impuissance, de rage…
Et soudain elle pousse un long cri ; son corps se crispe à plusieurs reprises tandis qu’elle agite encore deux ou trois fois ses mains entre ses jambes, violemment. Et puis elle se fige dans une sorte d’expression de douleur, quelques secondes, pendant lesquelles son cri s’achève.
Je suis au bord de l’explosion. J’ai l’impression qu’il suffirait qu’on me touche la verge pour que j’éjacule.
Emma se détend soudain en poussant un long et profond soupir. Elle retire le gode d’entre ses jambes et s’allonge, les bras en croix sur le lit, ses yeux mi-clos posés sur moi. Elle me sourit. Je meurs d’envie d’elle ; je ne parviens plus à me maîtriser.
— Je t’en supplie, mon amour, murmuré-je. Viens, laisse-moi m’occuper de toi…
— Tu as aimé me voir jouir ? me demande-t-elle innocemment en retour, sans même se redresser.
— J’ai adoré te voir jouir ! rugis-je presque. Et je vais te faire jouir encore ! Viens…
— Tu es excité ?
Je réponds malgré moi par une sorte de grognement qui doit en dire long sur mon état. Elle se relève enfin et s’approche de moi, son gode toujours à la main. Je tente de m’approcher d’elle encore, de venir toucher son visage de mes lèvres. Mais elle reste juste à la bonne distance et me torture encore :
— T’t’t’t’t’t’t, je n’en ai pas fini avec toi…
Elle lève son gode luisant jusque devant nos deux visages.
— Tu as vu ? me demande-t-elle ingénument.
Mes yeux doivent tourner en tous sens et mon expression passer du désir furieux à la hargne. Et avant que je ne réponde quoi que ce soit, elle le lèche doucement sur toute sa longueur.
Je tente encore de venir frotter mon sexe contre elle, mais je n’ai que trop peu de liberté de mouvement pour même l’effleurer.
Et elle approche lentement le gland suintant de mon visage. Les yeux sans doute fous, j’ouvre fiévreusement les lèvres et laisse Emma m’enfoncer tout doucement son gode immense, odorant de son plaisir récent.
Elle me baise un instant la bouche, puis, escaladant le lit et passant entre les menottes maintenant tendus mon bras et ma jambe gauches, vient se placer juste derrière moi, collée à moi. Je sens ses gros seins s’appuyer contre mon dos. De sa main droite, elle me renfonce le gode entre les dents. Je le pompe de nouveau.
— Allez, suce, suce-moi ! murmure-t-elle. Allez ! Bien profond ! Mieux que ça !
Elle passe sa main libre autour de ma hanche gauche et vient caresser doucement mes testicules gonflés. Mais elle prend bien soin de ne pas toucher ma verge. Je me déhanche encore pour la diriger sur sa main, mais elle l’écarte alors et appuie davantage sur le gode. Je penche la tête en arrière mais ne parviens pas à m’en libérer. Et à nouveau, elle me baise la bouche, rapidement, brutalement, mais suffisamment peu profondément pour que je n’étouffe pas.
Et sa main gauche descend maintenant entre nos deux corps, caresse un instant mes fesses. D’un doigt, elle cherche mon anus et tente bientôt de s’y enfoncer. Je me déhanche encore mais ne me débats plus. Je suis au comble de l’excitation, mon sexe est tendu à bloc. Jamais je n’aurais imaginé qu’Emma puisse se comporter ainsi. J’ai envie de continuer ce jeu, j’ai envie de m’abandonner définitivement à elle. Qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi.
Elle doit le sentir car elle chuchote :
— Je crois que tu es à point, j’ai très envie de t’enculer, tu sais ?
Dans un réflexe, je serre les fesses autour de son doigt qu’elle est parvenue à entrer ; ma verge est tellement gonflée qu’elle n’oscille qu’à peine lorsque je me crispe et me détends successivement à plusieurs reprises au rythme de ses doigtés.
Elle s’écarte quelque peu de moi et je sens soudain un liquide tiède couler en bas de mon dos. Je parviens à remuer et à tourner suffisamment la tête pour constater qu’elle est en train de me cracher dessus ! Et sa salive coule lentement sur mes reins.
Elle presse une fois encore plus fort sur le gode pour m’obliger à ne plus chercher à voir derrière moi. Elle crache à nouveau, sur ma fesse gauche, cette fois-ci. Elle retire son doigt de mon anus et l’utilise pour récupérer toute sa bave qu’elle étale consciencieusement sur l’entrée de mon rectum.
Et l’instant d’après, c’est deux, puis trois doigts qu’elle enfonce presque facilement en moi. Je me tortille, me déhanche autant que possible. Et je gémis, je couine misérablement sous l’action de ses phalanges.
Elle retire sa main, crache encore, étale encore sa salive. On dirait même qu’elle la pousse à l’intérieur de moi.
Et puis, enfin, elle enlève de ma bouche l’énorme gland en plastique.
— Putain, Emma ! J’en reviens pas comment t’es salope ! beuglé-je entre deux soupirs qu’elle m’arrache en me doigtant l’anus.
— Et encore… t’as rien vu ! Souffle-t-elle.
Je tente de tourner la tête pour la regarder, mais je ne peux que la deviner du coin de l’œil.
— Je t’en supplie, Emma, fais-moi jouir ! Suce-moi ! Ou branle-moi ! Fais ce que tu veux, mais fais-moi jouir !
— Non non non ! fait-elle, un sourire dans la voix. Je vais d’abord t’enculer… et si j’aime ça, on verra…
Je pousse une sorte de grognement en réponse au moment où je sens qu’elle appuie fermement le gode contre mon anus. Elle referme sa main gauche sur mes testicules gonflés qu’elle maintient serrés, comme pour m’empêcher tout mouvement.
Je ne résiste pas et laisse faire Emma, poussant même, écartant les fesses et ouvrant mon anus au maximum pour faciliter le passage de cet énorme engin.
Et je couine et soupire violemment par saccades quand elle parvient finalement à me pénétrer, tout doucement, poussant son gode massif en moi de quelques centimètres.
Puis elle se met à le remuer doucement, à l’agiter d’avant en arrière, de bas en haut, à le faire aller et venir dans mon anus. Et elle garde sa main fermée sur mes bourses comprimées. Mes mouvements sont limités, saccadés. J’ahane à chacun de ses gestes.
Je sens son souffle chaud dans mon cou. Je n’en peux plus. J’ai envie de hurler. De rage, de plaisir et d’impuissance.
Et enfin, soudain, sans lâcher son arme qui dépasse de mes fesses, elle repasse devant moi et s’agenouille à mes pieds. Je fais des efforts désordonnés pour tenter d’enfoncer mon pieu tendu dans sa bouche, mais elle évite soigneusement toutes mes tentatives. Et elle continue de me sodomiser avec malice.
— Je t’en supplie, Emma… me plains-je.
Elle ouvre grand la bouche à quelques centimètres de mon gland prêt à exploser. Je me dandine encore en bramant. Elle accélère le rythme du gode qui me défonce toujours. Je suis crispé de partout, cherchant par tous les moyens à minimiser ma frustration.
Et elle avance finalement quelque peu sa tête et referme enfin, enfin, ses lèvres sur mon sexe en feu. Je me déhanche le plus possible pour faire glisser ma verge dans sa bouche.
Et trois ou quatre allers-retours suffisent. Dans un grand hurlement libérateur, poussé au paroxysme de l’excitation par toute sa mise en scène, et par son gode maléfique, je me vide par saccades ; le sperme jaillit dans la bouche d’Emma, qui prend soin de ne pas en perdre une goutte et darde dans mes yeux fous les siens, espiègles.
Mon cœur bat la chamade et je transpire à grosses gouttes. Je commence à avoir mal aux poignets et aux chevilles. Je reprends doucement mon souffle.
J’expulse lentement le gode qu’Emma a enfin lâché et qui tombe et roule à terre derrière moi. Elle se relève, gardant soigneusement la bouche fermée. Et une fois debout devant moi, à ma hauteur, quand je suis enfin quelque peu apaisé, elle déglutit ostensiblement à deux reprises.
Je pousse encore une sorte de soupir ou de râle de contentement et d’incrédulité.
Emma se baisse pour ramasser le gode.
— Tu es incroyable ! lâché-je enfin.
Elle ne répond rien. J’attends qu’elle me libère. Mais elle s’éloigne vers la salle de bains jouxtant notre chambre, où je l’entends ensuite apparemment laver l’objet.
— Euh… Emma ? Tu veux bien venir me détacher ?
Sa voix narquoise me répond depuis la pièce voisine :
— Tu plaisantes ? Je suis loin d’en avoir terminé avec toi…

Enfin cocu
Marié depuis 20 ans, ça fait longtemps que j'ai pour fantasme que ma femme se fasse baiser par d'autres hommes. Elle le sait, mais m'a toujours dit que ça resterait un fantasme car elle n'a pas envie d'un autre homme.
Dans nos jeux sexuels, elle me domine de façon soft. Elle aime choisir comment elle va jouir, même parfois en me privant de pénétration et d'éjaculation. J'aime la soumission et l'excitation qui ressort des frustrations ou moqueries qu'elle me fait subir. Mon envie d'être cocu va dans la suite de ces jeux.
Pour lui donner envie de "voir ailleurs", je lui ai offert un gode de belle taille (20 x 5 cm) qu'elle adore utiliser. Je précise que mon sexe est de taille un peu en dessous de la moyenne (14 x 3.5 cm). Ayant compris mon goût pour les moqueries, elle a surnommé mon sexe "cinq centimètres".
Toujours dans l'idée de l’inciter à réaliser mon fantasme, souvent je ne cherche pas à me retenir. Je n'étais déjà pas très endurant avant (3 à 5 minutes), mais maintenant c'est entre 30 secondes et 2 minutes que dure la pénétration. D'ailleurs il lui arrive de rigoler en me traitant d'éjaculateur précoce.
Pour compléter la description de notre couple, sachez que j'ai 46 ans que ma femme est une belle brune de 44 ans. Elle mesure 1.69m pour 60 kg. Sa poitrine est de 85b et elle s'épile entièrement depuis longtemps.

L'histoire :
Nous partons pour 4 jours à Paris avec nos deux garçons adolescents. Dans le TGV ma femme me fait discrètement remarquer qu'un jeune homme la regarde beaucoup. Il faut dire que son jeans serré et son chemisier sans manche la mettent en valeur. Elle se sent troublée d'être ainsi détaillée avec envie par un jeune homme qui doit avoir entre 20 et 25 ans. Elle me dit :
- Il est plutôt beau gosse. Plus jeune je lui aurais volontiers fait une place dans mon lit.
- Et pourquoi pas à ton age ? Ça doit être flatteur de plaire à un jeune homme.
- Oui bien sur que c'est flatteur.
- Tu pourrais décrocher discrètement un bouton de ton chemisier, je suis sur que ça va lui plaire.
- Tu peux toujours rêver, me dit-elle en rigolant, je ne suis pas exhibitionniste.
Pourtant, un peu plus tard je remarque que son décolleté s'est ouvert et que, par moment, on devine la dentelle de son soutien gorge rouge. Le jeune homme la regarde sans gêne, lui montrant clairement qu'elle est à son goût. Je dis à ma femme :
- Allons au wagon bar pour boire un café. Fait lui un joli sourire si tu veux qu'il te suive.
- Tu es sur que tu en as vraiment envie ? Parce que si je vais trop loin, je ne pourrai plus reculer
- Oui. Et toi, tu as envie qu'il te drague ?
- C'est tentant.

Je me lève et part devant. Elle me suit. Nos enfants, occupés à un jeu restent à leurs places. Alors que nous buvons notre café, je vois arriver le jeune homme. Je me plonge dans la lecture d'un journal pour lui laisser la possibilité de reluquer librement Sylvie. Il se retrouve, comme par hasard, à coté d'elle. Il ne dit rien à ma femme, mais je la sens troublée. Un mouvement du bras de son voisin me fait comprendre : il doit avoir sa main sur les fesses de Sylvie et elle se laisse faire.

Comme il me croit occupé à ma lecture, il ose dire quelque chose à l'oreille de ma femme avant de partir. Sylvie m'a confirmé l'audace du jeune homme qui lui a bel et bien palpé les fesses. Il lui a dit qu'il l'attendait dans les premiers WC. Je lui demande :
- Tu vas y aller?
- Je ne sais pas. J'ai peur qu'on le regrette après. Puis des WC de TGV ce n’est pas très romantique.
- Tu sais que j'ai envie que tu y ailles et je suis sur que ça va souder notre couple si tu réalises mon fantasme. Mais je te laisse faire comme tu veux. De toute façon je t'aime.
Après une courte hésitation, elle m'embrasse et me dit :
- Quand il s'est collé à moi, j'ai senti son sexe. Ça me changera de "cinq-centimètre". Attends-moi ici !
Elle est revenue 15 minutes plus tard. Un peu gênée, elle est venue m'embrasser et m'a dit :
- Serre moi dans tes bras. Je suis folle de l'avoir fait, mais j'ai adoré.
Elle a senti que je bandais, à souris et a dit, moqueuse :
- On dirait que "cinq centimètre" a envie de ses 15 secondes de plaisir !
Elle m'a ensuite raconté : sans dire un mot il l'a mise nue. Elle l'a sucé avant qu'il ne sorte un préservatif puis la prenne debout. Son sexe était plus gros que le mien et l'a faite jouir plusieurs fois. Il a gardé son string en lui disant qu'il le lui rendrait plus tard. Un mec dont ma femme ne savait même pas le prénom venait de la baiser. J'étais cocu et très excités….
Peu avant l'arrivée à Paris, alors que nous étions à nos places, son amant fait signe à ma femme et va vers les WC. Ma femme hésite à peine avant de le suivre.
Lorsqu'elle revient je remarque que sa poitrine est libre sous le chemisier. Au lieu de lui rendre son string, il lui a confisqué son soutien gorge. Ma femme me racontera que son amant l'a de nouveau faite jouir avant de la sodomiser. Comme je ne l'ai jamais sodomisée, je suis un peu surpris :
- Tu l'as laissé t'enculer ?
- Il m'a tellement bien faite jouir, Je ne pouvais rien lui refuser.
Elle me dit, moqueuse :
- Toi tu pourras me sodomiser quand tu auras tenu 10 minutes dans mon sexe.
Arrivé à l'hôtel, elle m'a laissé lui faire l'amour. J'étais si excité que j'ai éjaculé en quelques secondes. Elle a rigolé et m'a dit :
- Dix secondes, tu t'améliores de jour en jour. Heureusement qu'il a su me baiser. Tu n'es pas prés de me sodomiser. Nettoie-moi avec ta langue maintenant !
Pendant que je nettoyais, elle me dit :
- Il sait le nom de notre hôtel et je lui ai donné mon numéro de téléphone.
Ces 4 jours commençaient bien !
Après cette baise rapide qui a encore une fois mis en évidence mes qualités d'éjaculateur précoce, ma femme me dit :
- Va rincer "5 centimètres" et revient ici, j'ai une surprise.
De retour de la salle de bain, je vois la cage de chasteté qu'elle me fait parfois porter, posée sur le lit. Elle sourit et me dit :
- Je l'ai prise avec sans être sur de te la faire porter, mais pour te punir d'éjaculer si vite, tu va passer le week-end avec.
J'ai obéis et enfilé la cage qu'elle a ensuite cadenassée, puis mis la clé à la chaînette qu'elle a autour du cou.
Elle s'est vêtue d'un pantacourt blanc, d'un débardeur assez sexy avec un décolleté en V qui attirait les regards. Dessous elle a enfilé un string et un soutien-gorge.
Nous sommes partis nous balader en ville, il était environ 15h00.

Ma femme a reçu un texto : "Il y a un bar sympa où je serai ce soir, si tu arrives à t'échapper de la surveillance de ton mari un moment tu peux m'y rejoindre. Ton amant du tgv"
Elle m'a fait taper la réponse : "pas de soucis pour mon cocu, il n'a rien à dire et il porte une cage de chasteté. J'essaierai de venir. Sylvie"
Il a répondu "heureux de connaître ton prénom, mais dorénavant j'aimerai que tu signes tes textos votre femelle". A plus. Ton amant du tgv"
Elle a répondu : "avec plaisir. Votre femelle"
Ce mec avait dû vraiment la faire bien jouir pour qu'elle, qui me disait ne pas être attirée par la soumission, obéisse si facilement, à moins que ce soit juste pour m'humilier un peu.

Le soir, après un repas dans une brasserie, nos deux garçons sont partis se balader de leur coté. Il faut dire qu'à 16 et 17 ans, ils n'avaient pas envie d'être avec leurs parents. J'ai donc amené ma femme dans le bar dont nous avait parlé son amant.
Elle l'a repéré à une table avec un jeune homme noir qui semblait assez sportif.
Son amant s'est levé pour embrasser ma femme. Il l'a enlacée et a pris directement sa bouche. D'abord surprise Sylvie s'est laissée faire et ils se sont roulé une pelle. Il a ensuite dit à son ami :
- Je te présente ma femelle et son cocu
Il invite ma femme à s'asseoir à coté de lui et dit hilare:
- Tu as mis une cage de chasteté à ton cocu?
- Oui, il a éjaculé en moins de dix secondes en essayant de me faire l'amour à l'hôtel alors je l'ai enfermé. Son sexe ne mérite pas mieux.
Les rires moqueurs m'ont fait rougir. Ils discutaient les trois, faisant souvent rire et un peu boire ma femme. J'appris que l'amant s'appelait Jérôme et son copain noir Mathieu.
A un moment Jérôme dit :
- Tu n'aurais pas du mettre de sous-vêtement, tu sais bien que je déteste ça! Va les enlever!
Etonnamment, ma femme a à peine hésité avant de partir en direction des toilettes. Elle est revenue un moment après ses seins libres dans son décolleté et sans string sous son pantacourt. Son amant lui dit :
- Donne-moi tes dessous
Gênée, elle regarde autour d'elle, puis sort discrètement son soutien-gorge et son string de son sac à main. C'est Mathieu qui les prend et les déplie devant lui et les commentant :
- Joli dentelle de bourgeoise! Des dessous rouges, ça fait pute, mais Jérôme a raison, tu es mieux sans rien!
Quelques têtes se sont tournées amusées. Sylvie voudrait pouvoir se cacher sous la table.
On a fini nos verres et ils ont décidé d'aller chez Jérôme en laissant les dessous de Sylvie sur la table. Je les suis portant le sac de ma femme.
Ils avaient les deux la main sur ses fesses pendant le trajet à pied. Dans le couloir de l'immeuble, Jérôme lui dit :
- Tu ne rentreras jamais autrement que nue dans mon appartement. Déshabille toi!
- Ici?
- Oui ici et dépêche-toi! Le cocu, tu te fous aussi à poil!
Nous nous sommes déshabillé. Ma cage de chasteté les a bien fait rire. Mathieu a doigté ma femme pendant que Jérôme ouvrait la porte.
Une fois dedans, ils m'ont demandé de leur servir à boire. Ils se sont aussi déshabillé. Tous les deux bandaient déjà. Jérôme a un sexe plus long et plus gros que le mien. Celui de Mathieu est encore plus impressionnant.
Quand je suis revenu avec une bouteille de vin, Sylvie, à genoux, suce Mathieu. Jérôme m'a fait asseoir sur une chaise dans le coin de la pièce et m'a attaché les mains dans le dos.
- Regarde bien l'horloge, tu me diras combien de temps on a limé ta pute. Ça lui changera de tes 10 secondes.
Il a ensuite demandé à Sylvie de se mettre à 4 pattes. Il lui a doigté l'anus puis a mis du gel, le préparant manifestement à une sodomie.
Il a ensuite mis un préservatif et l'a sodomisée. Ma femme, très "chienne" cambre les reins et suce le sexe noir avec un plaisir non dissimulé. Je ne l'ai jamais vue comme ça…
Aprés 15 minutes, ils ont décidé de faire une pose pour faire languir Sylvie. Ils ont trinqué, tous les trois assis dans le canapé. Leurs mains doigtent et pelotent Sylvie qui gémit de plaisir.
Les salauds savent faire monter le plaisir de Sylvie qui commence à les supplier de la baiser. Mathieu lui dit :
- Montre-nous que tu es une bonne chienne, mets-toi à 4 pattes.
Elle obéit. Ils s'amusent à lui faire faire le tour de la pièce comme ça. Jérôme sort alors un collier composé de 4 bandes de cuir rattachées entre elles pas des anneaux métalliques. Il ferme le dernier anneau après l'avoir mis autour du cou.
- Ce collier à la particularité de ne pas pouvoir s'ouvrir. Tu le garderas tout ton séjour à Paris en signe de mon appartenance.
Elle proteste :
- Je ne peux pas me promener avec un collier de chienne dans la rue et surtout devant mes enfants.
Jérôme qui a réponse à tout dit :
- Il n'a pas l'allure d'un collier de chien et seul les initiés devineront que tu es une femelle soumise. Pour tes enfants, tu n'as qu'à leur dire qu'on t'a donné ça comme un porte-bonheur que tu dois garder tout le week-end.
Les yeux baissés, dans une attitude de parfaite soumise que je ne lui connaissais pas elle dit :
- Comme vous voulez Monsieur, je vous obéirai
Ils l'ont ensuite fait coucher sur le dos sur la table. Jérôme la prise assez violemment en baisant son vagin. Il l'a pilonnée pendant de longues minutes, la faisant jouir comme je n'avais jamais réussi à le faire. Il a ensuite été remplacé par Mathieu qui a continué à faire gémir et même crié de plaisir. Elle jouit sans discontinuer.
Alors qu'ils n'avaient toujours pas jouis, Mathieu se couche parterre en demandant à Sylvie de venir s'empaler sur lui. Jérôme vient alors la sodomiser. Prise ainsi en double, elle a encore jouis. Les deux compères ont éjaculé en même temps.
Alors que Sylvie affalée dans un canapé récupère, Jérôme lui palpe les seins en lui disant :
- Tu n'es plus de première fraîcheur, mais tu es une bonne pute. On va pourvoir faire quelque chose de toi.
Puis se tournant vers moi :
- Alors cocu, tu as vu ce que s'est de faire jouir ta femme. Je suis sur que tu ne l'as jamais fais crier comme ça!
Mon sexe comprimer dans sa cage n'avait pas pu bander, portant la scène m'avait beaucoup excité. Et comme chaque fois que je suis excité avec la cage, je mouille énormément, ce qui les a bien fait rire.
Jérôme demande:
- Alors tu as regardé combien de temps on l'a baisée?
- Oui, vous l'avez sodomisée 15 minutes, puis sur la table baisée de nouveau 10 minutes avant de finir avec 10 minutes dans son cul. Votre ami a été 15 minutes dans sa bouche, puis 20 minutes quand elle était sur la table et 10 minutes pour finir dans son vagin
- Tu la baises souvent ta femme?
- Une à deux fois par semaines
- Chaque fois en 10 secondes
C'est Sylvie qui a répondu :
- Non parfois ça dure un peu plus, en moyenne je dirais qu'il éjacule en 30 secondes
Il fait un petit calcul et me dit :
- Tu la baise environ 80 fois 30 secondes par année, ça fait 40 minutes. Aujourd'hui, Mathieu en est déjà à 45 minutes et moi, si on rajoute environ 20 minutes dans le train, j'en suis à 55 minutes. A ce rythme, dans très peu de temps tu ne seras plus qu'un pourcentage négligeable des pénétrations qu'aura connu son corps et même si vous êtes mariés depuis passé 20 ans!
Les deux garçons et ma femme ont ri. Jérôme dit à ma femme :
- Demain je travaille. J'espère que tu peux te libérer en fin de journée.
- Oui, dit-elle, nos enfants vont passer le reste du week-end avec des amis qu'ils ont ici à Paris. Je n'aurai donc plus de contrainte jusqu'à dimanche.
- Trouve-toi une tenue un peu plus sexy que ce que tu as mis ce soir, sous-vêtement interdits!
Mathieu dit :
- Je passe vers 11h à ton hôtel, débrouille-toi pour y être seule. Ton cocu a qu'à s'occuper de tes enfants.
Souriante, ma femme accepte. Ils me détachent et nous amènent dans le couloir ou ils roulent une pèle à ma femme avant de nous rendre nos habits.
De retour à l'hôtel, ma femme me demande si le spectacle m'a plu. Comme je lui avoue que oui et lui dit que je l'aime, elle le répond :
- Moi aussi je t'aime et j'avoue que je n'aurai jamais pensé prendre autant de plaisir de me faire enfiler par des inconnus. Si on continue ce petit jeu, je risque de devenir accro.
Je l'ai embrassée en lui disant :
- J'espère bien
Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.
Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre. Elle m’a dit qu’elle apprécie le plaisir que je lui fais prendre en la laissant librement baiser. Le matin, elle me pose une question à laquelle je réponds :
- On continue notre jeu ?
- Tu en as envie ?
- Oui
- Moi aussi
Elle me roule une pelle en me disant qu’elle m’aime mais qu’il n’est pas question de m’enlever ma cage de chasteté. En s'habillant, après une courte hésitation elle obéit à son amant et n'a pas mis de sous-vêtement sous son jeans et sous son chemisier. Elle me dit, moqueuse :
- Je suis sur que tu es jaloux. Pour me faire sortir sans culotte il faut me faire bien jouir, pas juste m'enfiler 10 secondes.
Je ne réponds rien alors qu'elle éclate de rire
Nous avons prévu une virée entre mec avec nos deux garçons pendant que ma femme va faire les boutiques. Juste avant que nous nous quittions, vers 10h00, ma femme reçoit un message : " va à la boutique AAA pour te trouver une tenue sexy, Aurélie, une vendeuse, t'y attend dans 20 minutes. Dit-lui que tu es la femelle de Jérôme. Elle comprendra. Mathieu sera à 11h30 à la réception de ton hôtel. À Bientôt ma femelle"
Sylvie s'est rendue à cette boutique où elle demande à parler à Aurélie. Elle lui dit qu'elle est la femelle de Jérôme. Le visage de la jeune femme s'illumine d'un sourire et elle emmène ma femme dans une cabine d'essayage. Elle lui dit, la tutoyant :
- Enlève tes habits que je puisse prendre tes mesures et voir comment je peux mettre en valeur ton cul et surtout le laisser facilement accessible.
C'est la première fois qu'une femme, de surcroît 20 ans plus jeune qu'elle, lui parle comme ça pourtant ces pensées vont à Jérôme et elle sait qu'il serait très déçu si elle n'obéit pas. Elle se retrouve rapidement nue. Aurélie prend quelques mesures avec son centimètre de couturière en commentant :
- Tu n'es plus de toute première fraîcheur, mais encore pas trop mal foutu pour une vieille pute.
Vexée par cette insulte, Sylvie ne réagit pourtant pas. Aurélie quitte la cabine en emportant les habits et les baskets de ma femme. Sylvie, qui n'a plus que son sac à main, attend de longues minutes nue. Aurélie revient avec les deux autres vendeuses et dit :
- Mes amies n'arrivaient pas à croire que tu m'avais laissé partir avec toutes tes affaires et que tu m'attendais nue.
Ma femme rougis honteuse d'être la risée des trois jeunes femmes. Heureusement, Aurélie lui tend une jupe et un débardeur à essayer. Vingt minutes plus tard, elle ressort de la boutique, vêtue d'une jupe plissée facilement retroussable qui lui descend jusque dix centimètres sur les genoux. Le haut, dos nu, est noué derrière le cou. Il laisse voir un sein dés qu'elle lève un bras. Le tout est complété par des escarpins type sandalettes à lanière avec des talons de huit centimètres. Aurélie ne lui a pas rendu les habits qu'elle avait en arrivant.
Lorsqu'elle arrive à l'hôtel, Mathieu est la, en train de discuter avec la réceptionniste, une femme moire d'environ 30 ans. Il embrasse Sylvie, lui roulant une pelle. Ma femme rougit en voyant l e regard amusé de la réceptionniste qui lui dit :
- Alors vous avez découvert que les noires sont des bons amants?
C'est Mathieu qui répond :
- Surtout pour elle, son mari est éjaculateur précoce! D'ailleurs elle lui a mis une cage de chasteté car il ne mérite pas de la baiser.
La réceptionniste est hilare. Mathieu passe une main sous la jupe est dit :
- Tu es bien accessible avec cette tenue. Elle te va bien et met en évidence ton coté pute
Pour finir de mettre mal à l'aise Sylvie, il écarte le haut pour exhiber un sein. A ce moment deux jeunes noirs arrivent. Mathieu dit :
- J'ai invité deux potes. Tu verras, tu vas adorer être notre pute.
Ma femme n'ose pas protester lorsqu'ils l'emmènent vers l'ascenseur. La réceptionniste leur dit :
- Amusez-vous bien
Dans l'ascenseur 6 mains commencent à peloter ma femme. Mathieu décroche la jupe qui glisse inexorablement le long des jambes. Ma femme proteste mollement :
- Vous n'allez quand même pas me faire sortir nue de l'ascenseur
- Pourquoi pas on gagnera du temps dans la chambre comme ça ?
Elle est morte de trouille lorsque la porte s'ouvre, mais au dernier moment ils lui laissent remonter sa jupe. Comme il n'y a personne dans le couloir, ils lui prennent les mains avant qu'elle ait croché la jupe. Alors qu'elle glisse de nouveau le long de ses jambes, ils disent :
- Il n'y a personne, alors enlève-la. Tu seras plus vite prête à te faire enfiler.
Sylvie qui accepte facilement son rôle si excitant de jouet sexuel, obéis docilement. La peur d'être surprise nue en dessous de la taille ne la laisse pas indifférente et elle sent son sexe se mouiller encore plus. En arrivant vers sa chambre, elle a un moment de panique. Le chariot de la femme de chambre est au milieu du corridor et la porte est ouverte. Mathieu, qui a une main sur ses fesses lui dit en rigolant :
- Ne t'inquiète pas ce ne sera qu'une personne de plus qui saura que tu es une pute et que ton mari est cocu!
Il lui tape les fesses pour la faire entrer dans sa chambre. Sylvie cache son sexe avec ses deux mains, ses joues rouges de honte. La femme de chambre, qui est en train de faire le lit, est très gênée aussi. Un des amants de ma femme lui dit :
- Finissez tranquillement votre travail. Notre femelle attendra un peu avant qu'on s'occupe d'elle. Elle a le temps, son mari ne reviendra pas avant plusieurs heures.
La jeune fille se détend un peu, amusée par la situation et échange quelques mots avec les hommes. Elle semble avoir à peine 20 ans et a un accent de l'Est. Mathieu fouille dans les affaires de Sylvie et étale sur le lit tout ses habits qu'il estime top sage : les trois ensembles string et soutien-gorge à dentelle qu'il lui reste, les deux pantacours, une robe, deux t-shirts, un chemisier. Il n'y a qu'une paire d'escarpins et une paire de tong qu'il dit être suffisamment féminines pour une femelle comme ma femme. La femme de chambre est en train de finir son nettoyage. Mathieu lui dit :
- Vous avez à peu prés la même taille qu'elle, vous pouvez prendre tout ce qu'il y a sur le lit. C'est des habits de femme qui se respecte comme vous, elle n'est qu'une femelle qui aime faire la pute.
- Je ne peux pas prendre tout ça, en plus c'est pas sur que ça me va, dit-elle.
- Si ça ne vous va pas, vous trouverez bien une amie à qui donner ça, ne vous gênez pas. Vous n'avez pas un gros salaire. Des habits sont toujours bienvenus.
Elle regarde ma femme et lui demande :
- C'est vrai? Je peux?
Les deux autres noirs ne sont pas restés inactifs. Ils ont fini de déshabiller Sylvie et la pelotent alors qu'elle a toujours les deux mains sur son sexe. Incapable de protester, elle fait signe qu'oui. Cette fois, sans plus se faire prier, la femme de chambre ramasse tout avec un grand sourire moqueur. Elle dit à Sylvie :
- Amusez-vous bien madame. Je suis sur que vos amants vont vous combler. Je suis très discrète, je ne dirai rien à votre mari.
A peine la porte fermée que les trois noirs se sont déshabillés. A genoux Sylvie les a sucés l'un après l'autre impressionnée par la taille de leur sexe. Pendant 2 heures ils la baissent, la prenant par tous ses trous. Elle se fait prendre dans toute une panoplie de position. Alors que je ne la baise que couchée jambes écartées, elle se retrouve remplie à quatre pattes, Couchée jambes relevées, prise en sandwich, debout appuyée contre le mur et dans la douche. Pour la première fois de sa vie elle crie en jouissant, elle qui avait toujours pensé que les femmes qui crient le font plus par exhibitionnisme que par réel réflexe de jouissance.
Sylvie me racontera que ses trois amants avaient décidé d'éjaculer dans chacun de ses "trous à bite", sans préservatif dans la bouche. Alors qu'elle m'a toujours dit ne pas aimer le goût du sperme et m'a toujours refusé cette faveur, elle a avalé le jus des trois noirs. Ils avaient donc éjaculé trois fois chacun en 2 heures. Je dois bien admettre que j'en serais bien incapable. Quand ils ont été les quatre rhabillés, Mathieu a demandé de quelle coté du lit je dormais. Etonnée de la question, Sylvie à répondu. Ils ont pris les capotes pleines et les ont vidées sur le drap en disant :
- Comme ça ton cocu dormira dans notre sperme.
Il a laissé les capote dans le lit et ils sont sortis. Ma femme a les jambes flageolantes tellement elle a jouis. Elle a accompagné ses amants jusqu'à la station de métro. Elle les a embrassés en les remerciant. Elle est ensuite allée manger quelque chose avant de nous retrouver.
Nous avons accompagné nos garçons chez leurs amis. Alors qu'ils discutent sans s'être rendu compte que je suis juste derrière un coin de mur, j'ai entendu un des amis dire à mes fils :
- Elle est sexy ta mère. J'ai même vu ses tétines quand elle a levé un bras. Je me la ferais bien
La réponse de mon fils m'a sidéré :
- J'ai toujours pensé qu'elle aimait le cul et si elle s'habille comme ça alors qu'elle était en ville seule c'est qu'elle ne doit pas être contre un coup de bite. En plus en écoutant une fois derrière leur porte alors qu'ils baisaient, j'ai compris que mon papa fantasme en l'imaginant baisée par d'autre. Comme j'ai en plus entendu ma mère un peu déçue le traité d'éjaculateur précoce, il est sûrement cocu! Il faudra que tu essayes de la draguer.

Nous nous sommes retrouvés seuls avec ma femme et elle m'a raconté sa journée et me disant
- Je ne savais pas que c'était possible de jouir si fort. Quand je suis descendu la réceptionniste m'a dit que tout l'hôtel m'a entendu crier.
Vers 17h00 elle reçoit un message de Jérôme : "J'ai appris que ma pute a découvert les plaisirs d'avoir trois queues noires pour la faire jouir. Viens me rejoindre à la brasserie…" Nous nous sommes donc rendu à l'adresse qu'il a donnée. Il est sur la terrasse en train de boire une bière. Sylvie me dit :
- Toi tu va t'asseoir à une autre table, j'ai envie d'être seule avec mon amant. Fait comme si tu ne me connaissais pas.
J'ai, bien sur, obéis en m'installant à une table assez proche . Il se lève pour la recevoir et l'embrasse comme seul un amant le fait, avec une main qui passe sous le top et caresse un sein à pleine main. Le regard désapprobateur de deux dames ne l'arrête pas, mais fait rougir ma femme. Il lui commande à boire puis ils discutent. A un moment il parle plus fort, sûrement pour que j'entende, mais aussi pour que les personnes proches sachent que Sylvie est une salope :
- Alors tu as été bien baisée ce matin?
- Oui je ne pensais pas pouvoir autant jouir.
- C'est bien tu deviens une bonne pute. Il parait que tu jouis bruyamment.
- Oui, ça ne m'était jamais arrivé avec mon mari. Mais la c'était plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir.
- Je n'ai pas besoin de te demander si tu es nue sous ta jupe puisque Mathieu t'a confisqué définitivement tous tes dessous
Un homme s'est retourné et a détaillé ma femme en souriant
Nous sommes partis de la brasserie. Je porte le sac à main de Sylvie pendant que Jérôme marche à coté d'elle, une main sur ses fesses pour bien montrer qu'elle est sa propriété. Il dit à Sylvie :
- Je t'emmène chez un pote qui fait des tatouages à l'henné. Ce qu'on va te tatouer est une surprise. Mais rassure-toi, dans trois semaine environ on n'y verra plus rien.
- Ce ne sera pas à un endroit trop visible?
- Quand tu es habillée normalement, ça ne se verra pas.
Arrivé chez son copain, je me suis retrouvé assis sur une chaise, nu et yeux bandés. Jérôme dit alors à Sylvie de se déshabiller, puis un dialogue entre les deux mecs commence. Jérôme dit :
- Comment tu la trouves?
- Pas mal conservée
- Elle est plus de première fraîcheur, mais c'est une bonne femelle. Je te propose de la baiser avant de la marquer comme ça on ne risquera pas d'abîmer les tatouages avant qu'ils soient secs.
J'ai alors entendu des gémissements de Sylvie. Les deux mecs la pelote. Ils l'ont ensuite baisée à quatre pattes en la traitant de chienne. Elle a gémi et joui assez bruyamment. Mon sexe tend la cage, ce qui a pour effet de me faire mouiller comme une femme.
Ensuite, c'est le silence presque complet pendant qu'il tatoue Sylvie. Quand il m'enlève le bandeau que j'ai sur les yeux, il y a deux pansements sur le corps de Sylvie : un sur le devant de la cuisse, à mi-hauteur, l'autre sur la fesse. Jérôme explique :
- Dans 4 heures on pourra enlever les pansements et tu verras comment on a marqué ta pute. Je suis sur qu'elle est fière de ce qui est écrit sur elle et que ça la fait déjà mouillé
Ma femme rougis mais ne dit rien. Il est déjà 21h30 et comme m femme est fatiguée et que, en plus la baisser risque d'abîmer les tatouages, Jérôme nous quitte en disant :
- Demain matin tu iras voir Aurélie pour avoir une autre tenue sexy, puis tu retourneras à l'hôtel ou tu auras de la visite à 11h30 devant la réception. Bonne soirée les amoureux.
Après un petit repas, nous rentrons à l'hôtel ou Sylvie s'endort rapidement. En me couchant, je découvre les capotes et les taches de spermes séchés

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