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Channel: Chez Andre 112
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Histoire du net. Auteur inconnu. Ecran noir

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Vous inquiétez pas ...
C'est que du ciné.
Pour bien bander.
Dommage qu'il n'y a pas la bande-son...

Qu'a-t-elle fait là?
Suite à une conversation sur un tchat, Geneviève, jeune maman canadienne de trente ans vivant en couple, avait tous ses sens en émois.
Elle se posait des questions et son contact l’avait aidé dans sa quête de réponses. Geneviève voulait satisfaire son conjoint mais faisait certains blocages jusqu’au jour où elle passait une nouvelle fois devant ce cinéma porno qui la tourmentait tant.

Habillée simplement d’une jupe, d’un pull-over rouge qui se fermait par devant et chaussée de bottes montant jusqu’à mi-jambes mais son gros manteau d’hiver lui permettait de braver le froid pas pour longtemps!
Geneviève ne pouvait plus résister à la tentation et se risquait à entrer dans ce cinéma car il y avait moins de chance de se faire voir par ses connaissances en cet après-midi,
Elle s’était présentée au guichet, une petite asiatique lui demandait sept dollars pour la place. La jeune tendait sa main toute tremblante tellement qu’elle était nerveuse, la caissière lui rendait la monnaie avec un large sourire :
- Bonne séance madame…
- Merci mais y a-t-il beaucoup de monde à l'intérieur ?
- Non juste des hommes....
Cette mère de famille prenait son courage à deux mains et entrait dans la salle... il y avait une forte odeur de sperme en entrant ! Comme il faisait noir, Geneviève restait près de la porte un instant pour s'habituer à la pénombre.
Elle se sentait très nerveuse mais aussi très excitée car ses seins durcissaient de plus en plus.

Avant le début du film, la salle était éclairée et les hommes se tenaient presque tous debout le long du mur mais près de l'écran. Geneviève prenait l'initiative de s'asseoir dans les dernières rangées près de l’allée pour être tranquille.
Dès les premières images du film, elle remarquait que certains hommes allaient s'asseoir les uns à coté des autres et qu'il y avait beaucoup de va et vient a l'avant et que la dame à la réception semblait avoir raison : elle devait être la seule femme présente…
La belle canadienne sentait que quelqu'un s'était assis près d’elle. Quand elle se retourna, il y avait un homme d’une cinquantaine d’années assis à un siège d’intervalle qui l’épiait.
Très nerveuse mais aussi très excitée par la situation dans laquelle elle se trouvait et pour oublier la présence de l’homme, Geneviève se retournait pour regarder l'écran. Ne sachant pas si l'homme prenait le changement d'attention comme un oui de sa part, il changeait de fauteuil pour venir s'asseoir juste à côté d’elle.
La jeune femme se retournait lentement vers lui, il lui souriait, et instinctivement baissait les yeux vers son pantalon
A ce moment qu’elle apercevait qu'il avait sa queue bien en main et qu'il se masturbait bien lentement en la regardant. Son excitation était au maximum, Geneviève sentait qu’elle allait perdre tous ses moyens et sa chatte mouillait de plus en plus…
Tout lui échappait, il lui prenait la main droite lentement et la déposait sur sa queue qui n’était pas très grande mais bien épaisse. Elle n’arrivait pas à l'arrêter : Geneviève était comme en transe. Il gardait sa main sur la sienne et commençait à la monter et la descendre sur son membre.
La main gauche posée sur le bas de son ventre car une envie subite la tiraillait, la jeune femme accélérait le rythme de la masturbation sentant que son voisin appréciait cette caresse.
A ce moment-là, le quinquagénaire lui glissait à l'oreille :
- Montres-moi tes seins …
Mais sans même attendre, il glissait sa main sous son pull. Trop excitée pour l'arrêter, elle remonta son vêtement jusqu'au cou laissant apparaître un soutien gorge en dentelle noir.
Il avait de l'expérience car en moins de deux, la mère de famille respectable qu’elle était il y a moins d’une heure avait les seins bien à l'air car il les avait fait passer par dessus de son soutif.
Soit qu'il faisait très froid dans le cinéma ou bien qu’elle était excitée au maximum mais Geneviève sentait ses mamelons se durcir lui rappelant ses montées de lait lors de l’allaitement de son bébé !
Elle le masturbait toujours, la main droite tenant fermement cette colonne de chaire, les yeux fermés mais à quoi devait-elle penser ? Et lui, jouait, pinçait et tirait sur les mamelons augmentant à chaque fois le plaisir de cette femme qui couinait en silence…sentant même son jus couler entre ses fesses….
Ayant perdu toute notion de temps et ne sachant plus combien de temps ils étaient resté dans cette position mais à un moment donné, l’homme posait sa main gauche sur la nuque de sa voisine et poussait la tête vers sa queue. Le message ne pouvait pas être plus clair.
Elle regardait furtivement autour d’elle et comme personne ne semblait les voir, Geneviève se laissait glisser entre les genoux de son voisin pour mettre cet engin inconnu dans sa bouche.
Tout ce passait tellement vite, repoussant de la main sa chevelure brune en arrière, elle le prenait en bouche lentement.
Cette hampe avait un goût de sueur mais elle ne pouvait plus reculer maintenant repoussant encore un peu plus ses limites.
Lui tenant la tête à deux mains, Geneviève commençait par lui sucer le gland avec ses lèvres mais lâchait rapidement sa prise pour aller lui gober les couilles. Elle remontait vers le gland et sans la prévenir, il commençait à lui baiser la bouche à un rythme d'enfer. La femme ne contrôlait plus les mouvements.
Les gémissements de l’homme et les bruits de sucions intenses étaient couvert par la bande son du film. Apres trois ou quatre minutes de ce traitement-là :
- Ca y est ... tu vas tout prendre salope…
Geneviève tirait le sexe bandé au maximum de sa bouche :
- Lâche ton foutre sur mon visage…
Comme l’éjaculation buccale n’était pas une chose qu’elle pratiquait facilement, Geneviève ne voulait pas qu'il jouisse dans sa bouche. Mais elle n’avait pas eu le temps de fermer les yeux que le premier jet de sperme s’écrasait sur le front et les suivants lui immaculaient le reste du visage.
Il y avait tellement de sperme qu’elle le sentait glisser sur son visage en ayant même eu un peu sur les lèvres et dans la bouche.

Elle se remettait à peine des émotions qu’elle venait d'avoir qu'il lui faisait un large sourire, prenait son doigt qu'il glissait sur la joue droite et amenait le sperme sur le bord de la bouche :
- Goûte, tu vas voir c’est bon.
Elle ne voulait pas ouvrir la bouche mais avec sa main gauche, il appuyait sur les joues et comme par magie la bouche de la jeune femme s’entrouvrait pour y pousser le sperme avec son doigt à l'intérieur.
Ayant peur de la suite, elle était comme dominé par cet homme et se concentrait pour avaler la semence de son baiseur qu'il avait mis dans sa bouche... pas vraiment bon au goût très salé et amer !
Il la remerciait de l'avoir si bien sucé et surtout d'avoir goûté à son sperme, qu'il adorait voir les femmes boire sa semence. L’homme sortait un genre de serviette de sa poche et la lui donnait pour essuyer le reste.

Geneviève avait la chatte en feu !!! Une fois le visage essuyé du mieux qu’elle pouvait, elle reprenait place sur son siège pour regarder la fin du film…
A un certain moment, son voisin déposait sa main sur sa cuisse et remontait sous la jupe pour poser sa main sur sa chatte mais sans ne jamais aller sous son string :
- Tu me sembles avoir aimé cela à en juger l’état de ton string tout mouillé…T’es une vraie fontaine.., lui glissait-il à l’oreille !!!

Certains des hommes étaient venu le long du mur mais elle ne savait pas depuis combien de temps qu'ils étaient là mais ils avaient tous la queue entre les mains et la regardaient comme leur future proie.
Son voisin la mettait en garde : que si elle avait l'intention de sucer ces mecs, il n'y avait pas de problème mais que par contre si elle ne voulait pas qu’elle ferait mieux de quitter la salle en sa compagnie.

Geneviève voulait quitter le cinéma toute seule. Après s’être rhabillée rapidement elle se dirigeait vers la sortie de la salle.
Après seulement quelques pas dans l’allée, près du mur, un homme plus jeune que le précédent lui barrait le chemin :
- Où allez-vous comme cela, jolie petite madame ? Suivez moi, vous allez assister à une projection privée…
- Mais laissez moi passer ! Je dois rentrer chez moi, on m’y attend !!
Elle n’avait pas le temps d’esquisser le moindre geste que son interlocuteur la saisissait par le poignet pour l’attirer dans une petite salle plus discrète qui se trouvait à l’étage avec vue sur l’écran.
Au milieu de la pièce se trouvait un grand divan bleu, les murs étaient de couleur rose saumon et une tenture de même couleur faisait office de porte.
- Mais…qu’est-ce que je fais ici, demandait-elle fébrilement ?
- Ce que tu as toujours voulu faire, ma belle : te faire sauter par plusieurs mecs !!!
- Vous mentez et laissez moi partir !
- Ah, je mens ? Et que fait une femme telle que toi : bien roulée et bandante dans un cinéma porno où il n’y a que des hommes, lui demandait cet homme qu’elle trouvait assez mignon ?
Elle n’avait pas le temps de répondre que deux autres hommes faisaient irruption dans la pièce :
- Voici des amis à moi : Allen et Patrick. On t’a vu à l’œuvre tout à l’heure et nous aussi, nous voulons une part du gâteau.
Allen devait avoir une cinquantaine d’années bien au physique agréable dans le style de Bruce Willis tandis que Patrick était plus petit et moins sportif en apparence.

La canadienne, assise sur le divan, sentait les regards se poser sur elle. Les mains croisées et posées sur ses genoux lui donnaient une image de petite fille sage.
Elle sentait sa poitrine se soulever à chaque respiration et son pull moulant faisait ressortir ses seins. Le fait d’y penser faisait dresser ses tétons qui, maintenant à leurs tours, devaient être voyant. Le stress de la situation s’emparait d’elle…Son cœur cessait de battre.
Le plus âgé des trois, cheveux blanc et encore bel homme, s’asseyait à sa droite. Un doute envahissait la jeune femme :
- « Ma pauvre Geneviève dans quel pétrin t’es tu fourrée… Qu’est -ce que je fais? Je me lève t je m’en vais? Et j’aurai fait tout ce chemin pour rien ? Non, c’est trop bête ! Je suis là, et bien il ne me reste qu’à assumer ».
Allen avait posée sa main sur son genou. Elle remontait doucement la jambe tout en la caressant. Elle était sûre que même si elle le voulait, Geneviève serait incapable de se lever car ses jambes ne la soutiendraient pas. Elle était tétanisée.
Et pourtant même si cette caresse lui était agréable, la peur de ne pas savoir jusqu’où cette séance allait la mener qui la tiraillait.
Arrêtant son avancée, et comme pour lui faire accepter d’aller plus loin, il lui malaxait lentement la cuisse. La voyant toujours sans réactions, il reprenait sa route. Sa main glissait doucement sous la jupe atteignant la barrière de dentelle noire de ses bas. Nouvel arrêt, nouvelles pressions sur la cuisse. Le contact peau à peau la faisait tressaillir.
Contre toutes attentes, la main du bonhomme redescendait jusqu’au genou pour le tirer vers lui, invitant la canadienne à ouvrir ses jambes. Elle était comme envoûtée, naviguant dans un état second qui semblait la déconnecter de la réalité.
Alors elle se laissait faire. Mieux, Geneviève glissait sur le siège pour mieux s’ouvrir. Elle sentait son sexe couler tellement qu’elle était excitée.
Les deux jambes étaient collées l’une à l’autre. Il ne pouvait plus y avoir de doute sur le fait qu’elle était d’accord de poursuivre ce moment. Fort de cette acceptation, il prenait la jambe de sa voisine, la levait et la posait sur la sienne, emprisonnant ainsi le mollet entre ses genoux.
Sa main remontait, pour arriver de nouveau à la dentelle, caressant maintenant le haut de la cuisse. Sa main était douce, chaude. Inconsciemment elle écartait encore plus l’autre jambe, pour mieux s’offrir aux caresses. Elle fermait les yeux et se laissait aller au fil du plaisir.
De son petit doigt, Allen écartait doucement les grandes lèvres toutes roses, elles se décollaient sans effort. Puis un autre doigt glissait maintenant le long de la fente.
Geneviève était trempée par le plaisir. D’une légère pression il faisait pénétrer ce doigt curieux, et la fouillait délicatement. Elle se sentait inondée. Il le ressortait pour s’intéresser à son clito. Il tournait autour, le pressait, le frottait. Cette femme totalement abandonnée aux caresses était prise d’une première vague de jouissance. Les yeux toujours fermés, elle tentait de se mordre la lèvre inférieure pour ne pas gémir, en vain:
- Haaaââââââââââ…, juste un petit sursaut quand sa main reprenait "le droit chemin ".
Comme tout à l'heure sa main caressait sa grosse motte, sa belle motte non repue de queue.
- Oooooooooh, çà suffit, tu peux y aller franchement maintenant….
Elle prenait la main d’Allen et la fourrait directement dans son vagin, le string n’existait plus, il avait deux doigts dans son con ruisselant et elle suffoquait à respirer si vite.
Il avait gardé ses deux doigts dans la vulve en feu et il allait et venait lentement, si lentement qu’en même temps son pouce appuyait sur le clito :
- Hoooooaa…que s’est bon….fais ce que tu veux, je suis à toi, branle moi bien….oui c'est ça, je suis ta chienne, ton objet, prends moi… s'il te plait …Ooooo", tu vois j'ai les cuisses écartées au maximum et ta main est dedans, continue comme ça…. Elle te plait ma petite chatte ? Oh que oui elle te plait, hein mon salaud, une petite chatte, bien coulante, bien chaude, bien ouverte, bien mouillée, bien… bien…. A toiiiiiii…ahhhhh, je n’en peux plus…..
Geneviève gigotait dans tous les sens et ses cheveux lui cachait une partie du visage, essayait de relever les fesses pour qu'il aille plus loin, elle en profitait pour enlever ce string noir qui la gênait encore :
- Allez plus fort tu vois bien que j'aime ça, je suis ta pute du jour, profites-en ! Un salaud qui se paye une tranche de fourette salace et crapuleuse çà n'arrive pas tous les jours En même temps, son autre bras n'est pas resté inactif. Il avait relevé le pull et lui caressait un sein. Le salopard ! Il lui titillait le mamelon, le pinçait, le tirait.
- « Ohhh, c'est ce que je préfère, il va me rendre dingue à me prendre comme çà, si çà continue moi non plus je ne fairais pas long feu, se disait-elle ».
De pire en pire, elle ne se contrôlait plus même si elle n’était pas une ''expansive" au départ :
- Tu t'en souviendras de ta petite salope hein? T'aimes çà mon cochon hein, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii,
c'est çà, que tu me branles bien ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii vas-y je ne suis pas loin de jouiiiiiiiiiiiir, je
suis ta salope hein ? Elle est bonne maintenant la petite Geneviève…
Elle n’avait pas le temps de poursuivre son discours qu’il lui rentrait un doigt dans l’anus provoquant chez elle un premier orgasme! Ce mamelon qu'il pressait et un doigt dans chaque orifice, elle repartait :
- T'es content hein. Tu m’as fais jouir comme une petite salope…? Quel orgasme !!! Quel pied ! ! !
Immobile, elle était étendue là, les yeux hagards, elle lui souriait son regard se portait sur ses seins. Sans avoir compris comment il s’était retrouvé sur elle, avec sa bite énorme qui venait de se placer face à sa chatte et qui d’un coup rentrait bien au fond…
Elle poussait encore un cri en sentant cette masse venir la remplir. Les mains cramponnées à sa croupe ronde et fessue de jolie salope, elle le sentait qu’il la tirait vers lui pour défoncer la chatte avide de queue…Allen soufflait dans son cou et murmurait des « horreurs » qui la faisaient mouiller et continuer à jouir.
Elle accompagnait les coups de rein par une houle de son bassin de manière à bien le faire rentrer dans sa grotte jouissante.
Ses mouvements s’accéléraient, ses râles aussi… et comme la cloison qui devait être fine répercutait la partie de baise dans la pièce à coté.
Geneviève était excitéeeeeeeeee, mais excitéeeeeee…dans un râle énorme, qui fait écho à son orgasme, il se vidait en elle à longs jets puissants. Elle sentait les frémissements de la queue qui déchargait le sperme dont elle étais devenue :
- …Ouiiiiiiii, encooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis en moi,
juiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis fort, jouiiiiiiiiiiis bien profooooond, rempliiiiiiiiiiiiiiiiis-moi
AAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhh….salaud !!!

Leurs corps étaient soudés par la sueur le temps de reprendre leurs esprits. Allen se relevait laissant la belle Geneviève vautrée sur le divan avec les jambes écartées.
La femme, sentant le sperme couler le long de ses cuisses, portait sa main entre ses cuisses pour l’étaler sur son bas-ventre.
- Et bien pour une qui ne voulait pas, tu t’es comportée comme une chienne en chaleur, s’exclamait Phil le troisième présent dans la pièce, et maintenant c’est à notre tour…
Patrick faisait lever Geneviève du divan en faisant signe à Phil de les rejoindre. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, la jeune femme, entourée de deux hommes, était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs.
Phil s'en donnait à coeur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons pendant que son acolyte dévorait littéralement son cou et ses lèvres. De sa main libre, il commençait à lui caresser l'intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe et découvrait une chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis un puis deux doigts.
Comme si c’était le signal du départ, elle commençait à masser les sexes qui durcissaient sous les caresses tout en écartant plus largement les cuisses.
- Elle parait vraiment bonne cette femme, s’exclamait Patrick !
- Oui et elle suce merveilleusement bien. Sans compter le fait qu'elle a le plus joli cul qu'il m'a été donné de voir. Tu vas voir ..., rétorquait Allen, assis dans le divan la queue en main.
Phil s'agenouillait alors devant elle remarquant au passage une superbe chatte rasée avec de belles lèvres roses toujours humides de sa baise précédente.
- T’es vraiment une belle cochonne pour te comporter de la sorte, lui lançait Phil !
- Bouffe-moi la chatte au lieu de parler, rétorquait Geneviève, d'une voix tellement excitée…
Ne se faisant pas prier, Phil enfonçait sa langue entre ses lèvres ouvertes et commençait à lui lécher consciencieusement la chatte.
De son côté, Patrick continuait à caresser les seins à pleines mains tout en ne perdant pas une miette de cette femme qui offrait son intimité à son ami. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir.
Elle repliait alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Phil puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Patrick remarquait que ce cochon en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou.
- Penches-toi en avant et offres lui ton cul, lui ordonnait Patrick tout en continuant de se masturber.
Geneviève savait que cela leur ferait plaisir de l'admirer dans cette posture car son compagnon l’avait souvent complimenté sur son postérieur.
- Tu avais raison Patrick, elle a un cul superbe, je vois déjà sa rondelle s'ouvrir. Je suis sûr qu’elle va nous supplier de l’enculer cette garce…
Se penchant en avant et se cambrant au maximum, Geneviève présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à son futur baiseur, glissant une main sous elle, elle commençait à se caresser tout en tortillant de la croupe. Lui écartant les fesses à deux mains, Phil lui enfonçait la langue dans l'anus. Dans le même temps, Patrick se glissait sous la femme et commençait à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d'amour lui dégoulinait littéralement dans la bouche.
Pendant ce temps, Phil qui avait son sexe dur comme du béton, pratiquement à la verticale et le gland violacé par le désir ordonnait à la jeune femme :
- Mets-toi à genoux !!!
Obéissante, Geneviève s’agenouillait et approchait ses lèvres près du sexe de Phil pour le pomper goulûment pendant que Patrick, agenouillé derrière elle, caressait son sexe ruisselant de son gland tout en massant sa généreuse poitrine de sa main libre.
Jamais elle n'avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de la verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.
Allen, toujours assis dans le divan, voyait distinctement Geneviève onduler du bassin afin d’augmenter le contact de ses fesses avec le membre de Patrick. Excité par ce spectacle, il se masturbait lentement et reprenait de la vigueur…
- Baise la comme une chienne pendant qu'elle me suce, lançait Phil à son copain.
Patrick la faisait mettre en levrette et se plaçait derrière elle, commençait à l'enfiler lentement, faisant pénétrer sa verge centimètre après centimètre.
Après une petite hésitation, elle reprenait Phil en bouche, ce qui n’était pas une mince affaire vu le calibre de l’engin.
Geneviève éprouvait visiblement une forte excitation à avaler ce pieu énorme, elle s’y prenait vraiment comme une reine, alternant de long mouvement d’avant en arrière avec une masturbation assortie de savants coups de langue autour du gland.
Alors qu'une heure et demi auparavant, cette mère de famille et femme exemplaire s’affairait dans ses tâches ménagères.
Mais la réalité était tout autre, elle était là dans une petite salle de cinéma porno, entrain de se faire ramoner par tous les orifices possibles. Ses gros seins de femme en chaleur bollotaient de façon presque obscène au rythme soutenu de coups de bite de ses deux amants.
Jamais Patrick n'avait connu de chatte aussi trempée. Il avait l'impression d'enfiler une fontaine et son sexe en ressortait tout brillant de mouille.
A chacun de ses va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de ses couilles claquants contre ses fesses alors que le sexe de Phil s’enfonçait profondément dans sa gorge.
Geneviève se dégageait brusquement et faisait mettre Patrick sur le dos. Aussitôt, elle vint s'empaler sur sa queue tout en continuant à sucer la verge de Phil. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que l’autre homme s'empressait de peloter.
Placé comme il était Allen ne pouvait rien rater et voyait distinctement cette grosse bite aller et venir dans la bouche cette salope. La voir se conduire comme la dernière des salopes l'excitait énormément et il devait faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.
Allen quittait sa place pour lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Phil.
En effet, c'était sans grand effort qu’il pouvait faire pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par Geneviève qui lui demandait alors de l'élargir en des termes peu raffinés et qu’elle n’avait pas l’habitude de prononcer :
- Aaahh !! Oui, vas-y, élargi moi l’œillet, prépare-moi, je veux en prendre par tous les trous…Je veux être votre putain ce soir ».
Soudain, entre deux gémissements de plaisir, Geneviève à Phil :
- Fourre-moi ta grosse bite dans le cul !!!
- Si tu veux que je t’encule, demande le plus fort…
- Je veux que tu m’encules pendant que ton copain me baise la chatte, j’en veux par tous les trous, criait-elle presque !!!
- Penches-toi en avant et offres-moi ton cul de salope, écarte tes miches à deux mains, dépêche-toi que je te bourre le fion, lui ordonnait alors Phil.
Geneviève s’affalait sur Patrick en écartant sa croupe à deux mains, révélant son œillet dans toute sa splendeur au regard lubrique de Phil et Allen.
Ne se le faisant pas dire deux fois, Phil présentait son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la pénétrait de son gland, elle étouffait un petit cri de douleur, vite remplacé par des halètements de désir.
Patrick, surexcité, encourageait Phil qui n'en avait pourtant pas besoin :
- Démoli lui le cul, éclate-lui la rondelle à cette pute.
- Alors petite pute, tu l'aimes ma bite ? T’aimes ça hein ! Te faire mettre par des grosses queues !
- Oh ouiiiii j'aime ça ! Bourrez-moi… oui encore !
- T'aime ça quand on te démolie la chatte, t'es une vraie salope et t'aime qu'on baise ton petit cul de pute en même temps hein !!!
- Oooh oui….oh oui…oui…. J'aime çaaaaaa….
- Dis-nous que t'es une pute…
- Oui Patrick, je suis ta pute…. Et à toi aussi Phil…. Je suis votre pute à tous les deux… oui ouiiiii… plus vite…baisez-moi… Oh mon dieu ta queue qui m'écarte la chatte …. C'est boooon !!! Phil vas-y fouille-moi le cul Aaaah !!!! Baise-moi bien le cul ! Regarde Allen, regarde ce qui me fait, regarde comme il m'encule avec sa grosse pine…. Oooooh comme il me fait du bien ! »
Prise en sandwich, pilonnée en rythme par les deux queues, défoncée comme la dernière des putes, Geneviève sentait l’orgasme arriver qui la faisait trembler de tous ses membres. Elle n'était plus qu'un objet sexuel entre leurs mains et ils la remplissaient totalement !
Brusquement, Phil se retirait et venait présenter son sexe devant la bouche de Geneviève. A sa grande surprise, elle entreprenait immédiatement de sucer une bite qui sortait pourtant à peine de son cul et ce, malgré une hygiène corporelle irréprochable.
- Quelle chienne, s’exclamait-il !!! T’es une vraie pompe à bites !!!
Très excité par ce spectacle Patrick laissait tomber sa chatte et prenait la place de son ami afin de la sodomiser à son tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et il n’avait aucun mal à s'y enfoncer jusqu'à la garde vu le traitement qu’il venait de subir.
- Regarde Phil, je la ramone comme une pute. Ohhhh que t’es bonne…Allez bouge-moi ton Cul salope…oui vas-y comme ça c’est bien.
Après quelques va et vient, il se retirait aussi, faisant lever Geneviève qui avait les jambes toute tremblante, la conduisait jusqu’au divan où il faisait s’allonger sur le dos en ayant soin de faire pencher sa tête à la renverse au niveau de l’accoudoir.
Ecartant largement ses cuisses, Patrick la pénétrait sans ménagement pendant que Phil comprenant l’intention de son ami, lui enfonçait son gland entre les lèvres. Dans cette position, il lui baisait littéralement la bouche, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne moitié de son sexe tout en lui pétrissant les seins et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts.
De son côté, changeant d’orifice, Patrick enfilait trois doigts dans sa chatte poisseuse tout en lui emmanchant le cul très lentement, forçant son rectum centimètre après centimètre. Elle remuait de plus en plus et il comprenait qu’elle allait atteindre son deuxième orgasme :
- Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer pendant qu’on suce un autre chibre ? Hein ! Allez, réponds ! »
- Oh oui, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, ouiiiii, encore, oh comme ça…des grands coups…que c'est bon une grosse queue…, plus fort …je vais jouir du cul…
D’un coup, elle se raidissait et, lâchant le membre de Phil, poussait un long cri d’extase, avec la queue de Patrick toujours plantée profondément dans l’anus :
- Ouiiiiiiii …..mon salaud ça fait maaaal…..ouilllle…..salaud…..mais que c'est bonnnn !!! Aaaaahhhhh…..ouiiiiiiiii!"
Immédiatement, Phil qui n’en pouvait plus, jouissait à son tour et déversait une giclée de sperme sur le visage et dans la bouche de Geneviève qui, surprise, en recrachait la totalité par terre.
Patrick sentait également sa semence monté jusqu’au dernier moment il la pilonnait comme un enragé, Allen voyant le spectacle depuis plusieurs minutes était aussi au bord de l’éjaculation.
Soudain Patrick se retirait pour saisir sa queue et se masturber avec frénésie au-dessus de Geneviève qui n’en pouvait plus :
- Tiens prend ça salope….ahhhhh….je jouiiiiiii, criait-il dans un dernier sursaut !
Un torrent de sperme s’abattait sur le corps de la jeune femme lui aspergeant au passage ses seins et son ventre qu’elle massait pour étaler tout ce foutre.
Allen s’approchait du groupe la bite en main et dans un dernier sursaut lui répandre sa semence au niveau de la chatte de la belle.
La jeune femme se relevait péniblement, vidée par cette baise imprévue. Mais la beauté naturelle de Geneviève atténuait l’image qu’elle donnait à ses trois amants : souillé de la tête au pied par le sperme répendu par ces mâles en rut. Elle se rhabillait en vitesse, essuyant au passage son visage pour éviter les regards inquisiteurs des passants une fois dehors.
Geneviève était loin de se demander comme elle allait expliquer à son compagnon son comportement hors du commun de cette après-midi, mais ce qui était fait était fait.
Elle quittait immédiatement ses amants pour retourner au plus vite chez elle, tête baissée pour y prendre une bonne douche avant d’aller rechercher son enfant à l’école.
En se coiffant devant le miroir, elle se demandait :
- Ai-je rêvé ou pas ?

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