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Histoire du net. Auteur: Cortran et votre serviteur... Suite

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La prise en main de l'esclave.
 Madame et son rêve
Par Cortran
Suite I
Pierre commençait à comprendre quelque brides de la situation dont il faisait les frais. Madame Éloïse , avait été mandaté pour trouver un esclave , à cette Frankie, et le choix de Madame s'était malheureusement porté sur lui, soit par pur hasard, ou soit simplement par une sorte de préméditation.
La femme revint avec le café , le tout sur un cabaret qu'elle déposa sur un guéridon près du fauteuil, puis elle reprit sa place dans le fauteuil, et indiqua à Frankie de s'approcher d'elle. et de prendre l'autre fauteuil à sa gauche.
- Voilà, maintenant je vais t'expliquer , pourquoi tu es ici présentement, et ce que nous attendons de toi. Tu connais mon nom, déjà, mais je t'ai menti, ce n'est pas mon vrai nom, et le vrai tu ne le connaîtra jamais. Par contre je veux que dorénavant lorsque tu m'adressera la parole ce sera désormais sous le nom de Maîtresse Éloïse. Si tu as à me parler pour quelque raisons que ce soit, tu le feras toujours avec une extrême politesse, et tu me vouvoieras toujours et partout. Celle qui est mon amie ici, se prénomme Maîtresse Frankie. Elle est jeune et débute sa carrière de dominatrice, et je lui ai promis de lui former un esclave qu' elle pourrait éventuellement posséder pour son propre usage. Je t'ai choisi, parce que tu étais bel homme, tu semble en bonne santé physique, et de plus tu n'as plus d'attaches personnelles ni d'obligations envers qui que ce soit. J'y ai veillé personnellement. À compter de maintenant, ne te préoccupe plus de ta carrière , ni de ta vie antérieure, plus rien de cela n'existe pour toi. Tu devras te consacrer uniquement à ma personne et à celle de Frankie. Tu vivras en permanence sous notre tutelle, et tu devras apprendre tous les rudiments de la soumission et la façon de se comporter, de nous servir et de nous adorer. Lorsque je te jugerais fin prêt, tu deviendra la propriété exclusive de Frankie… - Mais pour le moment tu m'appartient,et c'est moi qui te formerai. J'ai beaucoup d'expérience dans ce domaine , comme tu as sûrement pu en juger par toi-ême, et crois-moi tu n'es pas le premier que je dresserai.
Pierre avait de la difficulté à saisir l'ampleur de la situation, mais il savait qu 'il valait mieux ne pas argumenter avec cette femme, ses fesses et son visage s'en rappelait encore les conséquences. Aussi se contenta-t-il d'opiner de la tête, et de baisser les yeux en signe de soumission.
- Bon ça suffit pour lui ce soir, si on le descendait au donjon , après nous pourrions écouter un bon film à la télévision.
Maîtresse Éloïse , se leva et entraîna Pierre dans les escaliers, par sa laisse. Frankie la suivit, et pendant que Maîtresse Éloïse préparait quelque chose pour Pierre, l'autre lui enlevait le gant de cuir qu'il portait déjà depuis près d'une journée.
Ses épaules , et ses bras ne pouvaient plus remuer, à cause de l'engourdissement. Le simple fait de pouvoir ramener ses bras vers l'avant, dans leur position normale, lui occasionnait de pénibles élancements.
Ensuite , elle lui enleva la cagoule qui recouvrait son visage . Maîtresse Éloïse revint vers eux, avec à la main des paires de menottes. Elle lui passa la première à ses poignets , les deux bras devant lui, et la seconde autour de ses chevilles. Puis elle le fit mettre à quatre pattes, et le força à entrer dans la cage.
Frankie ferma la porte de la cage derrière lui, et Maîtresse Éloïse, passa devant la cage, et elle passa difficilement sa main au travers des barreaux, et avec un cadenas, elle fixa la chaîne des menottes de ses poignets à l'anneau rivé au fond de la cage.
Elle revint vers Frankie, et s'assura que la porte était bien fermée et elle ferma la serrure à numéros en prenant bien soin de ne pas le dévoiler à Frankie.
- Je m'excuse ma chère mais deux précautions valent mieux qu'une.
- Ho! Je te comprends,- lui répondit cette dernière.
- Garde la clef de la serrure avec toi, comme cela , je devrai attendre que tu sois avec moi pour le libérer, et toi de même, car je garderai la combinaison secrète jusqu'à ce que tu sois en pleine possession de ton esclave.
- Oui, c'est une bonne idée -. dit Frankie.
- Dors bien l'esclave, car tu auras une grosse journée demain, je vais débuter ton dressage, et je veux que tu sois en pleine forme.
Elles quittèrent toutes deux le donjon, et la lumière s'éteignit, la porte se referma, puis plus rien.

Le dressage…
Pierre, se remémora les événements . Il comprenait un peu mieux les agissements de Madame Éloïse, et se souvenait maintenant que son ex-conjointe depuis quelque temps déjà se comportait d'étrange manière. Comme si elle préparait son expulsion et qu'elle avait prémédité ses agissements. Cela lui parût d'autant plus évident, depuis que Madame Éloïse lui avait brièvement mentionné qu'elle semblait l'avoir préalablement choisi.
Il était presque certain que la rencontre dans le parc n'était pas le fruit d'un pur hasard. Les circonstances mêmes de sa prise de bec avec son ex-conjointe, lui semblait maintenant avoir été planifiées à l'avance. Et comme cette dernière connaissait bien ses habitudes , elle savait qu'il se retrouverait au parc , après une telle déception. Sûrement que Madame Éloïse et son ex avait préalablement organisé sa sortie.
Et par la suite rien n'avait été plus facile pour Madame Éloïse de le rencontrer , et de le kidnapper à sa manière.
Dans la situation présente, il se devait de se soumettre , à cette femme, car il comprenait très bien qu'elle n'aurait de répit que lorsqu'il serait totalement soumis et obéissant.
Tout depuis hier avait basculé , sa vie, ses sentiments, son travail. Il venait de plonger dans une autre dimension, Et il se sentait perdu et incapable de prendre la moindre initiative pour le moment. La situation présente venait de balayer d'un coup, tous ses vieux concepts.
Son esprit fatigué et son corps exténué , l'incitait au sommeil, et il tenta de se trouver une position plus ou moins confortable, et après un bref instant , il tomba dans un profond sommeil.
Un fracas infernal et de violentes secousses le réveillèrent en sursaut. La lumière crue, le bruit que faisait Madame Éloïse en martelant avec un bâton de fer la cage où il était confiné , le firent s'éveiller brusquement.
Il demeura apeuré pour un instant, mais peu à peu il sortit de sa torpeur, pour entendre Madame Éloïse lui parler en ces termes. Frankie l'accompagnait et ce fût elle qui la première ouvrit la serrure principale. Puis Maîtresse Éloïse dit à Frankie :
- Tu peux y aller maintenant , je vais m'en occuper.
Frankie quitta le donjon et Madame Éloïse lui dit d'une voix sans réplique.
- Debout la dedans ordonna-t-elle.
Il la vit à travers les barreaux de la cage. Elle portait des bottillons de suède aux pieds et elle s'était revêtu d'une courte robe de chambre rouge en satin, et d'une petite culotte coordonnée au Teddy de la même couleur.
Ses longues jambes bronzées étaient très belles et cela faisait très érotique de la voir ainsi, Mais Pierre lui , était transi de peur, car il savait que cette dernière allait débuter son dressage aujourd'hui, et déjà il entrevoyait que la journée serait très difficile et que Madame serait des plus exigeante.
- Pour débuter , je vais t'expliquer, certaines choses importantes . Tu m'écoutes et tu te tais, ceci est la première des choses. Ensuite, lorsque tu désire m'adresser la parole, tu commenceras toujours par m'appeler Maîtresse, et ce à chaque phrase qui sortira de ta bouche. Jamais tu ne devras me regarder dans les yeux, je ne tolère pas qu'un esclave lève le regard sur moi. Enfin , tu obéis à la lettre à tous mes ordres, et tu apprends . Puis tu te fais un devoir de bien te rappeler tous mes désirs et de les exécuter parfaitement et sans discuter. Maintenant tu vas sortir de ta cage,et aller t'étendre sur le dos, sur le lit que tu vois la-bas.
Pierre sortit à reculons de la cage et fit ce que Madame lui avait ordonné. Elle s'approcha de lui, et lui écarta les bras et les jambes puis lui passa des bracelets de cuir à chacun de ses poignets et en installa des identiques aux chevilles. Ensuite elle fixa avec des anneaux et une attache conçue à cet effet, ses quatre membres , aux quatre coins de la table.
Elle partit quelques instants dans l'autre pièce, celle ou elle gardait les équipements, et elle revint avec un plateau à la main et divers petits objets qu'elle déposa sur une table près de lui. Puis elle alla dans la salle de bain et ramena une bassine remplie d'eau chaude. Elle sortit un rasoir d'un étui, et mélangea un peu de crème à raser dans un plat de céramique blanche et prit un blaireau puis lui en badigeonna l'intérieur des cuisses, le sexe et le bas-ventre. Elle saisit son sexe dans sa main et lui rasa tout le pourtour du pénis. Elle poursuivit ainsi le travail sur tout son corps.
Puis elle le détacha et lui dit de se retourner sur le ventre. Elle lui fixa de nouveau ses liens et continua à le raser totalement , des pieds à la tête.
- Y à-t-il quelque chose de plus laid qu'un corps couvert de poils. Je déteste cela, et à partir de maintenant, je veux que tu conserve ton corps toujours rasé ainsi, et surtout ne m'arrive jamais avec une peau qui pique. Je veux que tu sois toujours rasé de très près. Sinon tu vas le regretter amèrement.
Pierre avait soudain très froid. Pour la toute première fois de sa vie, il ne portait plus sa toison d'homme. Non pas que cela fût douloureux, mais cela le gênait et l'humiliait terriblement . Se sentir ainsi ,son sexe complètement dégarni , le frustrait de sa virilité naturelle. Il avait la sensation d'être soudain devenu autre chose qu'un homme.
Elle le laissa reposer ainsi près d'une demi-heure , puis le libéra de ses liens pour mieux lui en imposer d'autres, plus solides. A chaque extrémités, elle lui passa des bracelets de métal, qui fermaient sur eux-mêmes avec une serrure incorporée au bracelet, puis elle lui mit une chaîne entre ses deux chevilles , qui ne lui permettait de marcher qu'à petits pas.
Puis , elle lui entoura la taille avec un ceinturon de cuir, qu'elle serra fortement derrière son dos, et prit les menottes de ses poignets et les fixa de chaque coté de sa taille , à des anneaux ancrés dans le ceinturon avec de petits cadenas. Elle lui remit une laisse à son collier, et le força à la suivre derrière elle jusqu'au rez de chaussée.
Arrivé à l'étage, elle cadenassa sa laisse près de la porte d'entrée, à un anneau disposé à cet effet sur le mur, et elle le quitta pour monter à l'étage. Il demeura ainsi jusqu'à ce que la sonnette de l'entrée ne tinte. Il entendit Maîtresse Éloïse crier, "entrez".
La porte s'ouvrit et Frankie accompagnée d'une femme et de deux hommes entrèrent. Tous le scrutèrent attentivement, et un des deux hommes dit à Frankie :
- Il est bien monté , un peu mou peut-être, mais avec de l'exercice, tu pourras en tirer quelque chose.
La femme qui les accompagnait fit le tour par derrière et lui tapota un peu les fesses, puis passa une main inquisitrice dans la sa raie, et avec son doigt elle le pénétra par derrière soudainement. Pierre sursauta et laissa échapper un petit cri de douleur. Mais sur le fait , il vit Madame Éloïse qui descendait l'escalier, et il se retint de protester.
Les quatre convives se retournèrent, et Madame Éloïse dit
- Bonjour Frankie, salut Murielle, comment ça va les gars ? Comment trouvez vous le futur esclave de Frankie ?
- Cela semble acceptable,- dit l'un des deux gars.
- Moi je le trouve trop maigrichon,- dit Murielle .
- Et toi Jack , qu'en pense tu?- demanda Maîtresse Éloïse.
- Hé bien, je pense que tu pourra en tirer quelque chose de potable, on verra bien. Dans un mois ou deux, s'il apprend bien et si tu t'y prends bien , tu pourras sûrement le dresser pour qu'il plaise à Frankie.
- C'est bien mon intention,- répondit Maîtresse Éloïse.
- Bon si on passait au salon", dit Frankie,
- Je te suis - dit Murielle. Mais on ne restera pas longtemps, car j'ai beaucoup de chose à faire aujourd'hui.
Frankie détacha la laisse de Pierre, et le tira derrière elle jusqu'au salon. Les convives s'assirent et Madame Éloïse leur offrit de prendre un café en sa compagnie. Elle prit la laisse de Pierre , et l'amena avec elle à la cuisine. Elle prépara un cabaret et des tasses ainsi que le lait le sucre et déposa le tout sur le cabaret. Puis elle dit à Pierre :
- Tu vas nous servir le café, et gare à tes fesses si tu renverse quoi que ce soit.
Les deux mains de Pierre, enchaînées autour de sa taille au ceinturon, pouvaient tenir le cabaret. En effet , Madame Éloïse lui avait laissé juste assez de jeu entre le bracelet de ses poignets et le ceinturon, pour qu'il puisse utiliser ses mains à cet effet.
Par contre, il ne pouvait toucher ses deux mains ensemble, et il devait se concentrer pour ne pas renverser le cabaret contenant les tasses de café , et il ne pouvait non plus avancer à pas normal, à cause de la chaîne entre ses deux chevilles.
Elle le dirigea vers le salon, et il dût distribuer les cafés aux invités. Lorsqu'il eut terminer sa tournée, et que chacun des invités fut servis, Maîtresse Éloïse lui dit de déposer le cabaret, et venir s'agenouiller devant elle et de lui embrasser les pieds. Il s'exécuta, comme elle lui avait ordonné , et ensuite il dut aller se prosterner devant chacun des invités et embrasser les chaussures de chacun et chacune à tour de rôle.
C'était la première fois de sa vie qu'il devait s'humilier de la sorte. Et pour être certaine que Frankie et ses amis voient combien il était soumis, il dût se coucher sur le dos à même le plancher , relever ses jambes, en écartant les cuisses et en retenant ses genoux avec ses mains et leur présenter son sexe et tenir cette position tout au long de la discussion.
Tous pouvaient le regarder et le voir sans retenue.
Son corps glabre et son sexe ainsi exposé à la vue de tous, le maintenait humilié et soumis. Maintenir cette position et ne pas pouvoir se cacher des regards achevait de saper sa résistance et enseignait à son esprit à se soumettre et à se rendre disponible en tout temps pour plaire à sa nouvelle Maîtresse.
Les invités se levèrent et s'embrassèrent mutuellement, puis quittèrent les lieux.
Pierre ne bougea pas , attendant les ordres de Madame Éloïse.
- Tu peux te relever maintenant, ramasse les assiettes et le cabaret et va les porter à la cuisine.
Pierre s'exécuta, et Maîtresse Éloïse le fit redescendre au donjon, et l’enchaîna à un poteau par sa laisse.Il devait se tenir debout, car elle avait attaché la laisse au dessus de sa tête, et ne lui avait laissé que le jeu nécessaire pour qu'il puisse fléchir un peu les genoux. Elle remonta et le laissa seul . Elle ferma la lumière et Pierre entendit fermer la porte.
Combien de temps dura l'attente. il ne pouvait en juger, car la noirceur était totale dans le donjon. Peu à peu ses yeux s'habituèrent à la noirceur, et il esseya sans grands espoirs de se libérer de ses chaînes , mais c'était peine perdue.
Quelques heures plus tard , Maîtresse Éloïse revint le chercher. Elle s'était habillée autrement. Une combinaison de latex noire, la revêtait de la tête au pieds, et elle portait une sandale ouverte avec des lanières de cuir qui lui laissait le pied découvert. une semelle surélevée de près de deux pouces la grandissait encore plus surtout que les talons de la sandale devait avoir près de sept pouces de hauteur. Elle avait un corps superbe, et fière allure , dans cet accoutrement. Et elle imposait vraiment le respect.
Elle vint vers lui et se tenant ainsi debout devant lui, elle le dépassait presque d'une tête. Il dût baisser le regard, car il comprit qu'il aurait à subir ses foudres s'il osait la regarder .
Elle le détacha et l'amena à un chevalet, et elle le força à se pencher par dessus. Elle lui enleva la chaîne d'entre ses chevilles et lui intima l'ordre d'écarter largement les jambes. Puis elle lui fixa les chevilles solidement arrimées à chacun des pieds du chevalets.
Ensuite elle libéra ses poignets et les fixa de la même manière aux pieds avant du chevalets. Il ne pouvait se redresser. et ainsi plié en deux sur le chevalet , son postérieur relevé s'offrait à tous les sévices.
Madame Éloïse se rendit ensuite dans la pièce ou elle entreposait ses instruments, et revint après quelque minutes .Un fouet avec plusieurs lanières dans une main , et une grande palette de bois dans l'autre, de plus elle s'était installé une ceinture à la taille qui retenait sur son bas ventre un gros gode de caoutchouc noir , qui lui faisait comme un immense pénis entre ses deux jambes. Ce sexe factice était retenu à la ceinture qu'elle portait .
Elle s'approcha de Pierre , et se positionna devant lui, puis de sa voix la plus autoritaire, elle lui ordonna d'ouvrir la bouche.
- Suce bien mon gode, car je vais te l'enfoncer bien creux dans le cul tout à l'heure et si tu ne l'as pas assez bien humecter, cela pourrait te faire très mal.
Et sans plus attendre , elle l'enfourna dans la bouche de Pierre, qui se retrouva complètement étouffé par la grosseur de l'engin. Elle laissa à Pierre le temps de bien mouiller toute la surface du gode avec sa salive, et le fit glisser d'avant en arrière dans sa bouche en le poussant profondément à chaque fois dans sa gorge et ce ,à plusieurs reprises. À plusieurs fois Pierre faillit s'étouffer. Mais Maîtresse Éloïse était sans merci. Elle le tenait fermement de sa main gantée par les cheveux, et il n'avait d'autre choix que de faire ce que Madame Éloïse lui avait ordonné.
- Bon ça suffit passons maintenant aux choses sérieuses.
Elle passa derrière le chevalet, et positionna le bout gode bien appuyé sur la rondelle de son anus, et Pierre sentit entrer en lui l'engin. Son cul s'ouvrit et pour être certaine qu'il le prendrait en entier, elle lui écarta les fesses avec ses deux mains. Il poussa un râle de douleur quand , d'un coup sec elle poussa avec son bassin l'engin dans son intérieur.
Puis avec fermeté elle le saisit à deux mains par les hanches et elle débuta un mouvement de va et viens .Le gode entrait en lui avec difficulté , mais au fur et à mesure que Madame s'échauffait, cela devint plus facile. Il sentait glisser l'engin dans son fondement, et peu à peu cela provoqua en lui une excitation, que jamais il n'aurait soupçonné possible venant de son anus.
Plus Madame se trémoussait et plus Pierre devenait sensible. Mais la douleur aussi se faisait plus intense, à un point tel que des cris jaillirent bientôt de sa bouche. Mais Madame ne cessa pas pour autant de le pilonner. Ce fût seulement lorsqu'elle eut prit son plaisir qu'elle se retira de son anus maintenant béant . Elle prit le temps de souffler un peu, et elle lui tapota un peu les fesses. Une douleur intense persistait malgré tout en lui.
Elle revint devant lui et lui reprenant les cheveux à pleine main, elle lui releva la tête, elle lui dit :
- Tu vas me nettoyer cela maintenant, bien à fond.
Elle approcha le gode de la bouche de Pierre qui détourna
- Non Madame je ne peux pas, je me refuse à cela". C'est trop dégueulasse, je refuse de faire cela.
- On se rebelle , à ce que je vois. Hé bien , c'est ce qu 'on va voir!
Elle saisit son fouet et alla derrière Pierre, et lui administra quelques bon coups durement appliqués. Pierre essaya d'éviter les coups, mais il ne pouvait bouger. aussi ressentit-il chacun des coups , et il hurla de douleur. Elle revint devant lui, et dit,
- Alors, as tu décidé de m'obéir?
Voyant qu'il ne voulait pas ouvrir la bouche, Elle recommença à le fouetter, mais cette fois elle ne prit pas ses gants blancs. Elle frappait de toutes ses forces et bientôt le cul de Pierre, devint tout boursouflé sous la morsure des lanières dans sa chair.
Elle prenait un malin plaisir à viser ses couilles , son pénis et à frapper entre la raie de ses deux fesses. Pierre qui au début essayait de résister, se tordait maintenant de douleur, et se mit à crier, et à la supplier d'arrêter.
Madame de sa voix sévère lui dit,
- Vas tu le sucer , espèce de salope, je vais te montrer moi à refuser un ordre! Lorsque je donne un ordre j'entends bien qu il soit exécuté, si tu pense que tu vas me tenir tête , mon sale chien, , tu te trompes lourdement.
Pierre pleurait à chaudes larmes, et suppliait toujours Madame Éloïse d'arrêter, et elle cessa enfin de le frapper. Elle se plaça debout devant lui, et approcha le gode de ses lèvres, et Pierre qui voulait que cesse ce supplice, ouvrit largement la bouche pour nettoyer le gode comme elle lui avait ordonné. Il ferma les yeux, pour ne pas voir les résidus de merdes qui maculaient la surface de l'engin, l'odeur était exécrable,et déjà il en appréhendait le goût. Mais Madame Éloïse lui dit alors :
- Tu veux le manger maintenant n'est ce pas, petit minable ?
- Oui Madame", répondit-il.
- Alors demande moi la permission, de le faire et poliment , je te le conseille. Vite, ça refroidit, et je ne suis pas patiente.
Pierre se souvint des règlements à suivre, et d'une voix humble et soumise, il demanda.
- Maîtresse Éloïse, me permettriez vous de nettoyer le gode que vous portez fièrement devant vous, car je suis votre esclave, ce serait un honneur pour moi de recevoir ce cadeau de votre part.
- Pour une première fois je tolère ton imbécillité , et j'espère que cela ne se reproduira plus. Vas-y nettoie moi cela maintenant, et ne laisse rien traîner.
Pierre se ferma de nouveau les yeux, , mais la Maîtresse lui dit,
- Non , ouvre les yeux, je veux que tu vois ce que tu avale, et je veux être certaine que tu nettoies à fond toutes tes merdes.
Son derrière en feu lui rappelait d'obéir, et c'est avec courage qu'il nettoya l'engin. Le cœur sur le bord des lèvres, il combattait les nausées qui montaien en lui, et il parvint à tout nettoyer sans devoir régurgiter devant sa Maîtresse.
Lorsqu'il eût terminé, Maîtresse Éloïse , se retira et elle revint avec une serviette et lui nettoya le visage. Il lui semblait que l'odeur de merde s'était imprégniée en lui, dans ses cheveux, son haleine, et cela lui remontait constamment aux narines.
Elle le détacha du chevalet, et l'amena avec elle près de la grande armoire, qu'elle ouvrit, et elle en sortit, un petite robe noire, des bas de soie, une paire d'escarpin, et un petit tablier de dentelle. Puis elle lui dit
- Tu vas m'enfiler tout cela, et fais cela rapidement, car je vais recevoir à souper tout à l'heure, et tu vas devoir faire le service.
Lorsqu'il eut terminé de s'habiller, elle le fit passer à la chambre de bain, et lui maquilla le visage avec un rouge à lèvres , du mascara, de l'ombres à paupières etc ,etc.
- Te voila bien plus belle ainsi, petite salope.- Dit-elle.
Puis elle le ramena devant un miroir, et ajusta le tablier autour de sa taille, et lui dit de la suivre à nouveau.
La courte robe de servante laissait entrevoir son pénis qui pendouillait entre ses deux jambes, et comme pour la première fois de sa vie il marchait sur des escarpins à talons, sa démarche était quelque peu chancelante. Son cul toujours boursouflé par le fouet , demeurait sensible, et à chaque mouvement , une douleur lancinante irradiait ses fesses. Surtout que la courte jupette, qui ne recouvrait que la partie supérieure de ses reins laissait entrevoir les nombreuses zébrures du fouet sur son derrière.
Elle lui enleva le collier qu'il portait depuis la veille autour de son cou, et elle le remplaça par un autre tout en cuir, mais beaucoup plus large que le précédent. Ce dernier l'obligeait à garder le cou très droit, et lui maintenait le menton levé très haut, il ne pouvait plus baisser la tête, ni même la tourner de coté.
Un gros anneau de métal se balançait sur le devant du collier, et elle y fixa une clochette . Ainsi à chacun de ses mouvements, la clochette annonçait sa présence.
Elle lui remit la chaîne entre ses chevilles, et elle lui enchaîna le poignets à une autre chaîne qui se reliait à celle de ses chevilles. Cependant cette dernière lui laissait suffisamment de liberté pour pouvoir écarter les bras, et pour manipuler tout ce qu'il voulait. Mais sans toutefois pouvoir relever ses mains plus haut que ses hanches. Et c'est ainsi harnaché qu'il suivit Maîtresse Éloïse à la cuisine, pour lui servir le souper.

Un souper rituel....
Maîtresse Éloïse, lui expliqua la marche à suivre et la façon dont elle voulait qu'il effectue le service du repas. Il ne devait sous aucunes considérations, adresser la paroles aux convives. Il ne devait pas non plus rester en leur présence à moins qu'un des convives ne lui demande une faveur ou ne lui en donne l'ordre. -Jamais il ne devait interrompre la conversation pour effectuer le service de table.Cependant il devait être en permanence aux aguets pour prévoir tous les petits détails concernant les besoins des convives. Il devait agir silencieusement, avec promptitude, et délicatesse pour ne pas déranger. Il verrait à servir les couverts, à desservir, à voir à ce que les assiettes ne traînent pas, que les cendriers soient toujours d'une propreté impeccable, à servir le vin, à nettoyer les restants du repas, et à laver la vaisselle, sitôt le repas terminé.
De plus , dès que les invités passeraient au salon,il devra une fois son travail terminé , aller se poster, près du seuil du salon, et s'àgenouiller, le derrière bien en évidence, façe contre le sol, et sans bouger,de façon à bien montrer à tous les traces de fouets sur ses fesses , et attendre ainsi de recevoir ses ordres.
Les invités arrivèrent un à un, et Frankie fût la première à arriver. Elle s'était revêtu , d'une grande cape noire, elle portait de grandes bottes de cuir, lacées sur le devant, jusqu'à mi-cuisse, et sous la cape qu'elle enleva à son arrivée, elle portait un bustier de cuir rouge, un corset lacé et qui lui comprimait la taille très esthétiquement, ainsi qu'une jupe de cuir lustré noire.
Pierre qui la voyait pour la première fois en tenue de dominatrice, put apprécier sa grande beauté ainsi que la parfaite harmonie de son corps. Bien qu'elle ne soit pas très grande, elle en imposait quand même par la prestance de sa démarche féline.
Maîtresse Éloïse lui remit la laisse de Pierre, en main propre, et lui dit :
- Il est à toi, je lui ai indiqué ce qu'il devait faire, et comment il devait se comporter, et il devrait te satisfaire. J 'ai tenu compte de tes exigences, et je crois qu'il à bien compris. J'espère qu'il sera à la hauteur. Maintenant je vais m'occuper des invités . Amène le à la cuisine et montre lui ce qu'il doit servir, et ou sont les assiettes , et tout ce qu 'il doit connaître de la maison, pour pouvoir nous servir.
Pendant que les convives arrivaient, Frankie, indiqua à Pierre, les ustensiles, les assiettes, et ce qu'il devait servir aux invités et dans quel ordre le faire. Puis elle lui demanda de se pencher et de lui montrer les marques de fouets sur ses fesses. Elle passa sa main tout doucement sur son postérieur, et lui dit :
- Je suis contente que tu portes des marques , cela me rend fier de toi. Je veux que tu sache que dorénavant il se peut que tu aies à subir le fouet de ma main, et comme je ne suis pas aussi experte que mon amie, je vais devoir me pratiquer un peu plus souvent, mais je suis une bonne élève, et Maîtresse Éloïse m'as dit que j'apprenais vite… Mais plus tu seras obéissant, moins j'aurai à me pratiquer, cependant , contrairement à Éloïse, j'ai un très mauvais caractère, et je ne sais pas me contrôler comme elle… Aussi il te faut savoir que je me fâche beaucoup trop souvent, c'est pourquoi j'ai demandé à mon amie de te former pour commencer, car je n'ai pas une grande patience comme cette dernière. Mais je pense que tu feras un bon esclave, et que le choix de Madame Éloïse s'est avéré un choix judicieux. Aussi je veux que tu sois parfait ce soir, car je tiens à ce que les invités de Madame soient contents de leur soirée. Donc il n'en tient qu'à toi de prouver aux yeux de tous, que tu mérite de me servir. Et je te suggère fortement de faire de ton mieux, car je suis très exigeante envers mes esclaves, et il vaut mieux m'obéir , car cela fait souvent très mal de mal me servir. Allez maintenant, tu sais ce que tu dois faire.
Le souper se termina tard dans la soirée, et Pierre semblait se débrouiller très bien, jusque là, mais un des invités qui avait un peu trop bu, voulût se lever pour aller au toilettes, et ne vit pas Pierre qui arrivait avec un verre de vin à chaque main pour les servir.
En se levant, l'homme trébucha et tomba entre les chaînes que Pierre avait entre ses poignets, Pierre même après de vains efforts pour ne pas tomber, , ne réussit pas cependant à conserver son équilibre , et il renversa les verres de vin sur une des invitées.
Aussitôt, Maîtresse Frankie se leva d'un bon, et marcha vers lui le visage décomposé par la colère. Mais Madame Éloïse , qui se trouvait assise à sa droite, la retint par le bras, et lui dit,
- Non Frankie, ce n'est pas de sa faute, laisse le nettoyer, et après on verra à le punir, tu dois le punir , c'est vrai, mais pas maintenant .
Pierre qui venait de se relever,était encore tremblant de peur, il venait de voir à quel point Maîtresse Frankie, pouvait se fâcher et la rapidité avec laquelle , elle avait réagi, cela lui fit prendre conscience du travail qu 'il aurait à faire pour satisfaire une telle femme.
La soirée se termina sur une note joyeuse pour les invités, quand Madame Éloïse fit passer Pierre au salon, et qu'elle lui intima l'ordre de danser pour ses invités. Il dut monter sur un banc et se dandiner langoureusement, pour ensuite, aller remercier tous les invités de leur patience à son endroit, en leur embrassant les pieds à tour de rôle, et en se prosternant devant eux.
Lorsque tous furent partis, Maîtresse Frankie, le descendit au donjon, et avec des gestes brusques, elle le déshabilla, lui enleva ses chaînes, pour ensuite lui mettre le cou et les poignets bien enfermés dans un carcan de bois monté sur un socle, puis elle lui intima l'ordre d'écarter les jambes . Elle lui passa des chaînes aux bracelets de ses chevilles, et les fixa de chaque coté du socle , très largement écartelé. Puis sans un mot, elle lui entra de force un bâillon dans la bouche qu'elle boucla derrière sa nuque.
Il la vit prendre une baguette de bois souple, qu'elle replia à maintes reprise comme pour s'assurer de sa souplesse et de son efficacité, puis passant derrière son esclave, elle le frappa douloureusement sur les reins. Pierre qui ne pouvait crier, émis un faible râlement profond et sourd, quand arriva le deuxième coup, il en ressentit la brûlure intense et se tordit de douleur.
À chaque venue, un sifflement fendait les airs, et une violente douleur lui traversait le corps. Elle ne savait pas retenir sa force, et Pierre faillit perdre conscience tant la douleur était intolérable.
Quand Maîtresse Éloïse descendit l'escalier, et vit Maîtresse Frankie lui administrer cette sévère correction, elle lui dit :
- Calme toi Frankie, tu ne dois pas le tuer non plus. Regarde je te montrer,
Elle prit la canne de jonc, et Pierre entendit un très léger sifflement, et soudain une douleur très intense se fit ressentir, sur sa fesse droite, il aurait voulu hurler, mais le bâillon l'en empêchait. Encore un fois le petit sifflement se fit entendre, et cette fois l'autre fesse reçût cet ultime torture. Pierre n'avait jamais ressenti quelque chose d'aussi atroce. Après une dizaine de coups bien appliqués, elle dit à Frankie :
- Délivre le maintenant, car il vas tomber dans les pommes si je continue.
En fait , Pierre avait déjàperdu conscience.Et Maîtresse Éloïse dut le ranimer, pour le faire entrer dans sa cage. Elle lui enleva son bâillon, et lui passa sur la tête une cagoule sans aucunes ouverture, elle dit à Frankie :
-
Lace la lui bien solidement, et ferme la avec un cadenas, et assure toi qu'il puisse cependant respirer. Deux petits trous au niveau des narines permettait à celui qui la portait , de respirer, et un ballon bien monté à l'intérieur de la cagoule, entrait profondément dans la bouche du porteur et empêchait que celui-ci n'émette le moindre son.
-
Voilà dit Frankie, c'est fait. Bien maintenant entre dans ta cage esclave, et donne tes mains que je te passe les menottes.
Pierre fut à nouveau menotté dans la cage, à l'anneau du plancher, et la porte se referma derrière lui. Il entendit tourner la clef de Maîtresse Frankie et Maîtresse Éloïse referma l'autre serrure à numéros, cela fit un "clic" lorsque la serrure se referma, puis le deux femmes , marchèrent toutes les deux vers l'escalier, puis le bruit cessa.
Son corps couvert ecchymoses le faisait souffrir atrocement, et il ne put trouver le sommeil immédiatement. mais finalement la fatigue , la douleur, le stress et la peur avait eu raison de sa résistance, et il s'endormit recroquevillé. sur lui même au fond de la cage.

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