Prendre possession de son esclave..
Madame et son rêve
Par Cortran
Suite II
Par Cortran
Suite II
Le corps à l'honneur.…
Maîtresse Frankie et Madame Éloïse , vinrent le libérer de sa cage, tard dans l'avant-midi. Elles portaient toutes deux des vêtements de ville, et dirent à Pierre, qu'elle songeaient à sortir ensemble pour aller faire des courses.
Son corps encore sensible et son postérieur surtout, lui rappelait la fouettée d'hier soir. Certainement que pour quelques jours encore, il n'oserait plus s'asseoir, et c'est avec précautions qu'il recula de l'espace restreint de sa cage, pour ne pas toucher aux parois de celle-ci Maîtresse Frankie lui ordonna de se dépêcher, car elle n'avait pas de temps à perdre .
On lui enleva sa cagoule, et Madame Éloïse menotta ses mains derrière son dos, puis lui noua une corde autour des coudes , elle fit plusieurs tours , et serra fortement jusqu'à ce que ses coudes se rejoignent et se touchent presque.
Cela fait, elle lui remit le large collier de la veille, et avec une laisse au cou , elle lui dit :
- Tu vas monter avec nous, et passer à la chambre de toilette, pour te laver, ta Maîtresse à fait le nécessaire, et elle à acheté ce qu'il faut pour te garder propre.
Il suivit la femme et elle le fit monter avec elle au premier étage et fit couler la bain. Elle défit son collier de son cou, libéra ses coudes, et défit une des menottes, . Ensuite, elle menotta sa main gauche à un tuyau posé sur le mur du bain ou il devait prendre sa douche, comme ceux utilisés pour les personnes handicapées, elle lui donna une brosse à dents, un savon, du shampoing et une débarbouillette.
- Voila ,"dit-elle lave -toi, et n'utilise pas trop d'eau chaude, je reviendrai te chercher.
Le jet de la douche lui fit le plus grand bien , surtout sur son dos et sur les boursouflures de ses fesses, bien que douloureuses à l'extrême , cela soulagea ses douleurs. De plus le jet puissant et tiède le relaxait et il avait l'impression de se laver de tous les affronts vécus depuis quelques jours.
Il se lava le visage longuement pour enlever toutes les traces de maquillages, et il se nettoya à fond la bouche et les dents car il avait toujours le gôut de sa merde qui lui revenait constamment.
Maîtresse Éloïse vint le chercher, et avant de passer à autres choses, elle le fit s'agenouiller, et prit dans la pharmacie, un pot de crème, et lui en appliqua délicatement sur ses blessures.
- Cela vas aider à cicratriser tes plaies ,"dit-elle.
Elle le libéra de sa position, et lui remit le collier, lui rattacha à nouveau les coudes derrière le dos, et lui remit les menottes au poignets. Ils descendirent tous deux au rez de chaussée, et elle le fit attendre à la cuisine.
- Tu dois avoir faim, aussi je t'ai préparé une collation.
Dans un plat sur le sol, Pierre vit une patée poisseuse. Elle le fit approcher de la gamelle, et dit,
- Mange esclave , car ce sera tout ce que tu auras pour aujourd'hui.
Il s'agenouilla , courba l'échine et approcha son visage de la gamelle. Cela ne lui plaisait pas , ni par l'odeur ni par la couleur et ni par la consistance. On aurait dit de la nourriture pour bébé.
- Aller", dit Madame Éloïse, "je n'ai pas toute la journée".
Pierre dut manger le contenu du plat en silence et terminer entièrement sa pattée. Pendant ce temps Maîtresse Frankie arrivait à la cuisine.
- Prépare lui donc un bol avec de l'eau ma chérie, dit Madame Éloïse à Frankie.
Elle déposa l'eau près de sa gamelle, et Pierre dut lapper le breuvage comme le font les chiens.
- Il est temps de partir", dit Frankie.
- Je sais", répondit son amie, - fait démarrer l'auto, je vais arriver dans un instant, juste le temps de l'installer confortablement dans le donjon.
Pierre la suivit, au donjon, et elle le fit se coucher sur le sol et alla préparer des chaînes pour les lui passer aux pieds. Il dut écarter largement les jambes, alors elle lui enfonça un gros gode dans l'anus, qui était retenu par une ceinture autour de sa taille.Ensuite elle le fit se pencher le torse en avant et passa une longue chaîne à ses menottes derrière son dos, puis elle fixa cette chaîne à un treuil, et tourna une manivelle qui actionnait le treuil et les bras et les poignets de Pierre furent tirés vers le plafond. Il se sentit soulevé et bientôt, c'est à peine si ses pieds touchaient le sol.
Cela était très inconfortable comme position. Ensuite elle lui ouvrit la bouche, et lui entra un bâillon de caoutchouc à l'intérieur. Un petit tuyau en ornait le devant, et une petite pompe pendait au bout de ce tuyau. Une fois le bâillon bien installé , elle pressa la pompe à plusieurs reprises, et Pierre sentit grossir le bâillon dans sa bouche. Elle pompa jusqu'à ce que le bâillon emplisse complètement sa bouche et ses joues. Cela lui faisait mal aux mâchoires tant la pression exercée était grande. L'attache derrière sa nuque l'empêchait de recracher le bâillon, et il ne pouvait plus émettre le moindre son.
Elle lui fixa un bandeau sur les yeux , et elle quitta la pièce, en le laissant ainsi presque suspendu au plafond. En quittant elle lui dit,
- Ce soir à mon retour , je vais te montrer comment tu dois faire plaisir à une Maîtresse, soit tranquille, et surtout concentre toi bien sur ce que je viens de te dire". On devrait être de retour après le souper".
Puis elle s'en alla.
De nouveau Pierre entendit fermer la porte du donjon, et il resta ainsi suspendu pour tout l'après-midi au plafond du donjon.
Il eut tout le temps nécessaire pour réfléchir à sa nouvelle situation. Il essaya de se libérer de ses liens , mais ce fut en vain. Les menottes étaient très solides, et comme il ne portait que sur la pointe de ses pieds, il devait se concentrer pour garder son équilibre. Le gode enfoui au fond de son cul le faisait souffrir, car il lui écartelait l'anus et entrait en lui très profondément. Il se sentait ,comme violé par derrière.
L'attente lui parût durer des jours, et il devenait de plus en plus éreinté par sa position, et ses jambes commençaient à flageoler sous lui.
Pierre entendit marcher, mais personne ne vint le libérer.
Dans la soirée, Madame Éloïse , vint le chercher.
Il monta derrière elle, jusqu'à la chambre à coucher de Madame. Elle délia la corde qui nouait ses coudes, lui enleva ses menottes, et elle le fit coucher au pied du lit. Elle s’essaya sur le bord du lit, jambes écartées, et lui intima de venir lui lécher la vulve.
Il s'approcha, et enfouit sa tête entre les deux jambes de Madame Éloïse, et commença à la lécher.
- Hé! Vas-y doucement". Dit-elle .
Elle le prit par les cheveux, et guida sa tête , jusqu'à son entre-jambes, et Pierre entra sa langue en elle, pour la sucer.
- Pointe la langue, pour que je la sente bien travailler… Vas-y profondément", tu ne vas pas y passer la veillée j'espère
Pierre faisait de son mieux, et cela porta ses fruits. Madame Éloïse, se mit à se trémousser et à se tortiller sous les coups de langue de Pierre. Elle haletait bruyamment, et dans un grand cri , elle eut en premier orgasme.
Pierre continua à sucer et lécher , et Madame Éloïse repartit encore une deuxième fois. Il avait la tête prise comme dans un étau , les cuisses puissantes de sa Maîtresse lui enserrait le cou et il parvenait à peine à respirer.
Elle relâcha les cheveux de Pierre, elle se retourna, et lui présenta ses fesses.
- Lèche mon cul maintenant, et entre ta langue, bien au fond.
Elle avait un cul magnifique, et Pierre se montra compétent une nouvelle fois. Madame Éloïse qui se masturbait maintenant pendant que Pierre honorait son fondement, eut encore un orgasme, dans un grand râle de jouissance.
Pierre continuait de la lécher , mais elle s’avança sur le lit, et referma finalement les jambes . Pierre recracha quelques poils et lui aussi retomba sur le plancher. il était recru de fatigue.
Madame Éloïse se releva enfin, et elle se rassit sur le bord du lit,.Elle dit :
- Maintenant tu vas jouir pour moi, je vais te masturber, mais je ne veux pas que vienne sur le plancher, pour que tu salisse tout autour de toi, aussi tu te videra dans cette soucoupe , là ,sur le meuble".
Elle l'encourageait du bout de son pied, elle avait placé son pénis entre ses orteils et le masturbait.Pierre amena son bassin plus près du lit et la main de Madame prit le relais.Elle n'eut pas longtemps à attendre , que son esclave. parvienne à la jouissance. Elle prit la soucoupe et y déposa le sperme chaud de son esclave .
Elle se leva , se plaça debout , jambes écartées de chaque coté du corps de Pierre,et dit,
- A genoux maintenant esclave". Tu vas manger ton sperme maintenant, pour me montrer que tu es un bon esclave".
Elle lui plaça la soucoupe sous son nez, et Pierre se recula , pour ne pas sentir. Il bégaya quelques mots, et Maîtresse vit qu'il ne voulait pas goûter sa semence.
- Auparavant c"était toi qui demandait aux femmes de te sucer et d'avaler, maintenant c'est à ton tour, tu vas savoir ce que cela goûte , et crois moi, ce n'est pas très bon au goût".
Elle se plaça derrière la nuque de Pierre, s'appuya contre ses épaules, et tenant la tête de son esclave solidement, elle avança la soucoupe près de ses lèvres, puis elle lui mit le nez directement dans la soucoupe. Il pouvait en sentir l'odeur nauséabonde et dans un suprème effort , il lécha le contenu de la soucoupe. Elle relâcha son étreinte, et lui intima l'ordre de se coucher sur le ventre. Puis elle lui dit,
- Qu'est ce qu'on dit, quand on reçoit un cadeau ? Remercie ta Maîtresse pour le privilège qu 'elle vient de t'accorder. Viens ici près de moi, et remercie moi".
Il marcha sur les genoux, jusqu'au pieds de Madame Éloïse, et baissant la tête, il dit,
- Je vous remercie Maîtresse de m'avoir permis de jouir en votre présence".
- Hum! Je pense que tu peux faire mieux que cela". Je te laisse une seconde chance, je ne ressens pas une grande ferveur, je suis certaine que quelques petits coups de fouets sur les fesses améliorerait ton discours ,qu'en pense tu?
- Non Maîtresse, je vous en supplie", dit Pierre.
- Okay alors, vas y , et réfléchis bien à ce que tu vas dire, car tu n'auras pas d'autres chances".
Les mots se bousculaient dans sa tête, mais il parvint à les articuler décemment , et il dit enfin ,
- Je vous supplie d'accepter Madame , mes humbles remerciements, pour l'immense honneur que vous avez daigné m'accorder, je vous en suis très reconnaissant, je vous conjure Maîtresse, de ne pas me tenir rigueur de mon incompétence, et je vous assure que dorénavant j'obéirai à tous vos désirs.
- Oui c'est mieux, ce n'est pas encore parfait, mais çà s'est amélioré". J'accepte cela pour ce soir. Tu dois apprendre à développer un langage qui plaît à une Maîtresse, la remercier toujours poliment, et même aller au devant de ses désirs". Je dois t'enseigner comment te comporter, et il est impératif que tu apprenne comment parler et répondre aux ordres que Maîtresse Frankie te donneras.
Elle le mena à chambre de toilette, lui lava le visage, et le pénis, puis ils descendirent au donjon. Elle alla s'asseoir dans le fauteuil,sur l'estrade, et le fit se coucher à ses pieds sur le plancher. Elle prit la laisse dans sa main droite, et de l'autre elle lui caressa les cheveux. Elle chantonnait doucement, et attendait que Maîtresse Frankie revienne.
- Demain", dit-elle à Pierre, je vais te montrer de quelle façon tu dois te tenir lorsque tu es en notre présence, comment placer tes mains, comment t'asseoir, comment marcher, t'agenouiller et te comporter , afin de montrer ta disponibilité et ta soumission. Je sais que tu apprendras tout cela rapidement, et que tu feras de ton mieux, car il vas falloir que tu prouve à Maîtresse Frankie que tu sera obéissant, et je ne voudrais pas qu'elle se fâché à nouveau contre toi".
Maîtresse Frankie arriva enfin, et elles le reconduire dans la cage pour la nuit. On lui remit sa cagoule, et la porte se referma derrière lui.
Les rudiments.…
Pendant la semaine qui suivit, Pierre dut se pratiquer à s'asseoir, savoir se tenir devant une Maîtresse, comment attendre , et dans quelle position, comment demander quelque chose à une femme , comment marcher, de quelle manière répondre à des ordres, et ce qu'il devait faire pour plaire à une Maîtresse et la servir.
Maîtresse Éloïse savait se montrer patiente, mais parfois, elle devait sévir, car à certains moments le nouvel esclave de Maîtresse Frankie, oubliait de pratiquer et d'appliquer quelques uns des principes qu'elle tentait de lui inculquer.
Il apprenait aussi à tenir la maison, à servir les repas, à connaître les lieux de la maison et les espaces réservés à ses Maîtresses. Il apprit que chaque matin il devait baiser les pieds de sa Maîtresse, et chaque soir, en signe de soumission, il devait se prosterner devant elle et lui demander pardon pour les erreurs qu'il avait pu commettre dans la journée.
Maîtresse Éloïse, lui appris aussi à préparer le bain, la température de l'eau, les produits qu'elle utilisait pour se laver, de même qu'à nettoyer la toilette , le bain et les lavabos.
Il apprit aussi à s'asseoir sur une cuvette pour uriner, et à nettoyer les souliers et les bottes de ses Maîtresses, avec sa langue et sa bouche.
Tout cela afin qu'il puisse devenir la propriété de Maîtresse Frankie.
Madame Éloïse qui se chargeait de l'éducation de Pierre, faisait tout, et voyait à tout. Quelquefois , Maîtresse Frankie venait le prendre en charge, mais on voyait bien que son esclave , lui importait moins que les nombreux amis avec qui elle sortait continuellement, et Pierre avait pu s’apercevoir à maintes reprises, que Madame Éloïse , en avait fait le reproche à son amie.
Un soir que Pierre préparait le bain de Madame, il avait entendu cette dernière , parler à Maîtresse Frankie, de manière assez directe. Et il avait entendu la porte claquer. Lorsque Madame Éloïse était revenu le chercher, elle avait le visage tout rouge et ses gestes étaient soudain plus brusques. Elle le redescendit au donjon, et l'enchaîna solidement, jusqu'à ce que Maîtresse Frankie ne revienne pour le coucher dans sa cage.
Tous les jours, il devait honorer Madame Éloïse, et il voyait que celle-ci appréciait les efforts qu'il mettait à la satisfaire.
Le lundi de la semaine suivant son entrée au service de Madame Éloïse, Maîtresse Frankie, qui devait revenir pour le sortir de la cage avec Madame, n'arrivas pas, et il dut rester enfermer dans la cage jus qu’avant le souper, heure à laquelle Maîtresse Frankie arriva enfin. Elle n'eut pas à descendre au donjon, car Madame Éloïse lui avait réclamé les clefs de la cage, et était venu elle-même libérer Pierre.
Elle le fit monter au salon, en ne lui mettant que des menottes dans le dos comme tout liens, et lui ordonna de s'agenouiller devant elle. Elle se versa un verre, prit place dans son fauteuil, et lui parla en ces termes,
- Je ne sais pas ce que je vais faire de toi, car vois-tu, je pense que mon amie , Maîtresse Frankie, n'est pas encore prête pour posséder un esclave. Elle m'avait demandé de te former, et de faire de toi un esclave exemplaire, mais je crains qu'elle ne soit pas assez sérieuse pour avoir son propre esclave permanent. Cela exige de bien s'en occuper , de pourvoir à tous ses besoins, et surtout à le respecter et à lui prouver que l'on tient à lui et que sa soumission est l' ultime cadeau qu'il fait à sa Maîtresse , parce qu'il l'aime, et qu'il donnerait sa vie pour elle . Et cela elle ne l'as pas encore comprise… On est plus au temps des romains ou l'esclave ne servait qu'à travailler et ce jusqu'à la mort", une Maîtresse qui se respecte doit aussi être fière de son esclave , et apprécier ce qu'il fait pour elle". Et elle peut parfois le récompenser, pour son bon travail". L'un ne vas pas sans l'autre. Et je crois que ta Maîtresse, ne voit pas encore les choses sous cet angle… Selon moi tu mérite une meilleure propriétaire qu'elle et je lui ai dit d'ailleurs. Mais là j'ai maintenant un problème et je ne vois pas comment le résoudre. Je ne peux te libérer, car tu pourrais me poursuivre et m'accuser de séquestration, ou de je ne sais quoi d'autre , et je ne sais pas non plus à qui je pourrais te confier comme esclave, car dans notre petit cercle d'initié , il n'y a pas beaucoup de demande présentement. J'aimerais savoir si tu serais prêt à devenir l'esclave d'un homme, et ce que tu me suggère de faire, car il me resterait cette possibilité, il y a beaucoup de Maître qui se cherchent un esclave".
Pierre qui écoutait attentivement, comme elle le lui avait enseigné, dit :
- Maîtresse Éloïse, je vous supplie de me prendre à votre service, plutôt que de me donner à un Maître , je serais obéissant, et je vous assure que vous pourriez être fière de moi.
- Hola ! Mon petit , je ne suis pas sûre que je veuille d'un esclave à temps plein, j'en ai suffisamment comme cela déjà. Mais ton idée m'intéresse, et je vais y réfléchir".
- Il te faudrait me prouver que tu serais à la hauteur, et j'ai bien peur que cela ne soit beaucoup te demander. Je suis très exigeante tu sais, et peu à ce jour, ont réussis à me satisfaire totalement. De plus, je vais bientôt prendre ma retraite, et il se peut que je déménage vers la Floride, et je ne saurais plus quoi faire de toi".
- Par pitié Maîtresse, je vous suivrai partout ou vous irez plutôt que de servir un homme, je me ferai tout petit, et je ne vous causerai pas d'ennuis, je vous le jure, demandez moi n'importe quoi, mais pas cela Madame.
- Hé bien je vais y réfléchir, et je te dirais quelle sera ma décision, si tu te comporte bien et que tu m'écoute, je serais peut-être plus encline à te prendre à mon service, mais seulement si tu te plies à mes conditions… Bon , il est tard, et je suis fatiguée de cette journée".
Il redescendit au donjon, accompagné de Maîtresse Éloïse, et il entra de lui même dans la cage, elle referma la porte, et pour la première fois , elle passa sa main à travers les barreaux de la cage, et lui caressa et lui flatta le dos, et les fesses tendrement.
Pierre dormit beaucoup mieux cette nuit là. Il prenait goût à sa nouvelle vie d'esclave. Il aimerait vivre sous le joug de cette femme, bien qu'elle soit plus âgée que lui, elle était encore très belle, et Pierre savait qu'elle pourrait le respecter, en étant stricte et exigeante tout à la fois.
Cela pouvait paraître étrange, mais il se sentait confortable à l'idée de devenir l'esclave de cette femme. Bien que sa vie antérieure n'ait pas été si malheureuse, il avait en effet vécu de belles périodes de bonheur. Il ne savait cependant plus , de quelle façon il pourrait recommencer une nouvelle vie, depuis la récente séparation qu'il venait de vivre avec son ancienne conjointe. La compagnie pour laquelle il travaillait ne voudrait sûrement pas le réengager, s'il revenait, car il savait pertinemment qu'ils avaient déjà dût le remplacer . Aussi était-il certain qu'il n'avait plus d'emploi et il se retrouvait donc sans ressources pour le moment.
De plus aspirait-il à un peu moins de responsabilités, car depuis de nombreuses années qu'il subissait le stress de la compétition féroce avec les autres intervenant, et il se sentait blasé de tout cela. Il avait besoin d'un repos moral avant toute chose.
L'opportunité qui s'offrait maintenant à lui, lui semblait soudain plus logique , que de se retrouver à nouveau dans l'arène de la vie sociale coutumière. De plus il n'aurait pas à négocier , ni à se battre avec Madame Éloïse, car elle lui semblait en mesure d'imposer et de décider par elle-même , du cheminement de son esclave. Bien qu'elle soit sévère et dure, Pierre la devinait juste et rationnelle, et cela lui plaisait. Tout ainsi serait très clair entre eux, il obéirait, et elle ordonnerait. Après avoir réfléchit à tout cela , Pierre s'endormit, du sommeil du juste.
Une page venait de se tourner dans la vie de Pierre, il le savait , mais il ne se doutait pas de l'ampleur de ce changement et jusqu'où, cela le mènerait.
Le contrat.…
À son réveil, Madame Éloïse s'affairait dans le donjon. Elle l'entendit bouger, et vint le libérer de la cage.
- Bonjour mon esclave, as tu bien dormi ? Moi j'ai réfléchit toute la nuit à ta requête, et je crois que j'ai trouver la manière de parvenir à nous entendre. Je t'en reparlerai, mais il n'en tiendra qu'à toi de me prouver que tu feras un bon esclave. Lorsque je te sentirais prêt, je te le dirai. Mais pour l'instant , contente toi de me servir et de m'obéir, et apprends de toutes tes forces à me satisfaire.
Pendant la semaine qui suivit, Pierre exécuta sans dire un mot, les ordres de Madame. Il se comporta en parfait serviteur, et il donna le meilleur de lui-même, pour la satisfaire.
Mais un soir, comme elle regardait la télévision dans le salon, et que Pierre était enchaîné dans la cuisine , occupé à préparer le petit déjeuner de Madame pour le lendemain, elle le surprit à se masturber en cachette sans qu 'elle ne lui en ait donné la permission.
Pierre, qui ne l'avait pas entendu arrivé, fût confondu de cette malencontreuse initiative. Il savait que Madame n'accepterait jamais que son esclave se comporte ainsi. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il la vit sourire. Elle retourna au salon sans dire un mot, et oublia semble-t-il cet événement.
Le lendemain matin, à son lever, Madame Éloïse , après qu'elle l'eut libéré de sa cage, ne lui enleva pas sa cagoule immédiatement comme elle avait coutume de le faire. Elle lui ordonna de se tenir debout sans bouger, les jambes légèrement écartées. Puis ses mains s’affairèrent autour de son sexe, sa taille, ses fesses , pendant plusieurs minutes. Puis elle l'amena lui semblait-il au milieu du donjon. et lui attacha les mains à une poutre.
Il devait se tenir sur la pointe des orteils,car elle lui avait laissé le strict jeu nécessaire pour qu'il ne puisse posé les talons sur le sol. Il ne pouvait voir ce que Madame faisait, mais il sentit la morsure du fouet sur ses fesses.
- Voilà , pour hier soir. Tous les jours, pendant vingt jours , tu vas recevoir vingt coups de fouet pour ta punition, cela t'apprendra à te toucher sans ma permission. À chaque coup, je veux que tu me remercie et que tu me jure que tu ne le referas plus.
Au deuxième coup Pierre se cabra de douleur, mais il dit quand même,
- Maîtresse , je vous remercie de me punir , car je sais que je le mérite, et je vous jure de ne plus jamais me masturber sans votre permission.
Un troisième coup , et un quatrième, et ainsi de suite , jusqu'à ce qu'il s'effondre de douleur. Elle le laissa ainsi suspendu pour le restant de l'avant-midi, et elle ne revint le chercher que pour le dîner. Il avait les fesses toutes zébrées, mais Madame Éloïse , fit comme s'il ne s'était rien passé. Il reprit sa routine habituelle, et Madame ne lui en glissa pas un mot.
Le lendemain matin, il reçut à nouveau la fouettée de Madame, et la routine poursuivit son cours.
Pendant les vingt jours qui suivirent, il reçut sa punition comme promis ,et à chaque fois, il devait demander pardon et promettre de ne plus se toucher sans la permission de Madame.
Au fur et à mesure des jours, il tolérait de plus en plus le fouet, mais il pouvait de moins en moins s'asseoir, car ses fesses, ne parvenaient pas à se cicatriser de fois en fois.
Comme elle le lui avait promis, elle cessa la punition, après vingt jours, et ce matin là, elle le laissa dormir plus longtemps que de coutume.
Mais au soir du vingt et unième jour, elle le descendit plus tôt que d'habitude, dans le donjon, et lui demanda de s'asseoir sur un petit banc qu'elle avait déposé devant son propre fauteuil.
- Alors , esclave, qu'as tu appris de ta punition?
Pierre répondit, "Maîtresse, j'ai appris que je ne devais pas toucher à mon sexe sans votre autorisation, sous peine de subir votre colère.
- C'est bien esclave, je crois tu as bien saisis ce que tu dois faire. Mais vois-tu, je reste dans le doute. Je suis certaine que pour le moment tu pense vraiment ce que tu dis, mais il se peut que plus tard, il ne te revienne des idées et que tu tente à nouveau en cachette de passer outre à mes ordres, aussi comme je n'aime pas fouetter mon esclave pour rien, je préfère prévenir , plutôt que de guérir. Donc , à partir de maintenant tu vas devoir porter une ceinture de chasteté de façon permanente. Je te l'ai commandé sur mesure, et elle vient juste d'arriver. Vas me chercher la boite sur la table là.-bas , et ramène moi aussi la petite enveloppe qui est à coté.
Pierre obéi , et ramena le tout à sa Maîtresse.
- Ouvre la boite maintenant.- Lui ordonna-t-elle.
Il sortit de la boite, un arsenal de chaîne , et de métal, ainsi que plusieurs autres divers petits paquets de différentes grosseur. Madame, lui demanda de se retourner, et lui fit ouvrir les jambes. Puis il dut passer les pieds à tour de rôle entre les chaînes de la ceinture.
Ensuite, Madame Éloïse fixa à une bande de métal qui devait lui passer entre la raie de ses deux fesses, un gode qui lui entrerait profondément dans l'anus. Elle entra son pénis, dans un tube spécialement conçu à cet effet, et lui remonta la ceinture au dessus de ses hanches, et après s'être assurée que tout était bien positionné, elle ferma le tout avec une clef, sur le devant de la ceinture.
Pierre entendit tourner la clef dans la serrure , et Madame Éloïse, passa la petite clef dans une chaîne, qu'elle passa tranquillement , avec un geste théâtral, autour de son cou.
Pierre sentait dans son cul le gode de métal froid et brillant, et il tentât de replacer son pénis inconfortablement positionné entre ses cuisses, mais il ne pouvait ni le toucher, ni même le déplacer.
- Voila, dorénavant je serai certaine que tu ne te masturberas plus sans ma permission,et que peu à peu tu apprendra à contrôler tes pulsions.
- Mais Maîtresse, comment je ferai pour aller aux toilettes.-
- Pour uriner, tu n'auras pas de difficultés, car tu n'auras qu'à t'asseoir sur le cuvette comme une femme. Il y à un trou aménagé dans le tube qui retient ton pénis, ce qui te permet de pisser, en tout temps. Mais pour déféquer, tu devras venir me demander la permission, car tu ne peux enlever toi-même le gode que je t'ai enfoncé dans le cul.
La ceinture toute d'une pièce interdisait tout accès à ses parties génitales, et lui interdisait même , de pouvoir obtenir une érection. car celle-ci maintenait son pénis courbé entre ses deux jambes. dans un tube complètement inaccessible et impossible à briser ou à violer.
- Maintenant ,"dit-elle, "ouvre les deux autres paquets.
Pierre obtempéra, et du premier paquet, il sortit un collier de métal chromé, et qui se refermait par une serrure du même type que celle de la ceinture qu'il venait de mettre, et de l'autre il en extirpa deux bracelets du même métal brillant.
- Ceci est mon cadeau. Je veux que tu les portes en permanence, pour que tout le monde sache que tu m'appartienne… J'y ai fait gravé mon nom , et je veux que tu sois fier de m'appartenir.
- Mais, Maîtresse, dit Pierre, vous savez bien que je vous appartient corps et âme, déjà.
- Oui Pierre , je le sais, mais je veux que tous le sache aussi.
- Ils sont. très beau Madame, et je vous en remercie, mais je ne pourrai plus sortir de votre résidence ainsi entravé .
- Bien sûr que tu pourras, tu n'auras qu'à mettre un gilet à col roulé ainsi personne ne pourra remarquer tes nouveaux bijoux. Je les ai fait fabriqué spécialement pour toi, j'espère ne pas être déçue de mon initiative, Je te laisse y réfléchir, encore quelques jours, mais rappelle toi bien que c'est toi qui m'as supplié de faire de toi mon esclave personnel, et j’entende bien que tu sache que cela comporte des obligations de ta part. Tu as jusqu'à 18h00 vendredi soir pour me donner ta réponse, sinon , je te donne à Maître Jack, et tu ne me verra plus jamais. Maintenant tu vas aller réfléchir dans ta cage et ruminer sur ce que je t'offre.
Elle lui remit la cagoule, et le fit entrer dans la cage, mais elle ne lui menotta pas les mains cette fois. puis elle referma à double tour, et lui dit encore une fois.
- Réfléchis bien, mon cher esclave, je ne te ferais pas une autre offre. Bonne nuit.
Pierre dormit peu cette nuit là, et retourna dans sa tête le pour et le contre d'une telle proposition, mais il savait bien tout au fond de lui-même qu 'il accepterait de devenir l'esclave de Madame Éloïse, aussi , comme la nuit souvent porte conseil, il se réveilla le lendemain matin, avec la ferme intention d'accepter l'offre de Maîtresse Éloïse.
Comme il ne pouvait pas voir, à cause de la cagoule sur son visage, et qu'il lui était impossible de l'enlever , car elle était bien cadenassé , il ne pouvait savoir s'il était tôt ou s'il faisait encore nuit . Dans sa cage , il perdait à chaque fois la notion du temps. Et comme il parvenait difficilement à bouger, vu l'étroitesse de la cage, il enrageait parfois ,de ne pouvoir sortir et regarder le soleil se lever ou se coucher sur le jour ou la nuit.
Le vendredi matin, Maîtresse, vint le chercher. Elle semblait nerveuse, et irritable, mais elle ne lui manifesta pas ses inquiétudes. Il reprit son service coutumier, et il donna le meilleur de lui même. Ce matin là cependant, Maîtresse Éloïse lui ordonna de lui embrasser les pieds avant de monter au rez de chaussée.
Maîtresse Frankie et Madame Éloïse , vinrent le libérer de sa cage, tard dans l'avant-midi. Elles portaient toutes deux des vêtements de ville, et dirent à Pierre, qu'elle songeaient à sortir ensemble pour aller faire des courses.
Son corps encore sensible et son postérieur surtout, lui rappelait la fouettée d'hier soir. Certainement que pour quelques jours encore, il n'oserait plus s'asseoir, et c'est avec précautions qu'il recula de l'espace restreint de sa cage, pour ne pas toucher aux parois de celle-ci Maîtresse Frankie lui ordonna de se dépêcher, car elle n'avait pas de temps à perdre .
On lui enleva sa cagoule, et Madame Éloïse menotta ses mains derrière son dos, puis lui noua une corde autour des coudes , elle fit plusieurs tours , et serra fortement jusqu'à ce que ses coudes se rejoignent et se touchent presque.
Cela fait, elle lui remit le large collier de la veille, et avec une laisse au cou , elle lui dit :
- Tu vas monter avec nous, et passer à la chambre de toilette, pour te laver, ta Maîtresse à fait le nécessaire, et elle à acheté ce qu'il faut pour te garder propre.
Il suivit la femme et elle le fit monter avec elle au premier étage et fit couler la bain. Elle défit son collier de son cou, libéra ses coudes, et défit une des menottes, . Ensuite, elle menotta sa main gauche à un tuyau posé sur le mur du bain ou il devait prendre sa douche, comme ceux utilisés pour les personnes handicapées, elle lui donna une brosse à dents, un savon, du shampoing et une débarbouillette.
- Voila ,"dit-elle lave -toi, et n'utilise pas trop d'eau chaude, je reviendrai te chercher.
Le jet de la douche lui fit le plus grand bien , surtout sur son dos et sur les boursouflures de ses fesses, bien que douloureuses à l'extrême , cela soulagea ses douleurs. De plus le jet puissant et tiède le relaxait et il avait l'impression de se laver de tous les affronts vécus depuis quelques jours.
Il se lava le visage longuement pour enlever toutes les traces de maquillages, et il se nettoya à fond la bouche et les dents car il avait toujours le gôut de sa merde qui lui revenait constamment.
Maîtresse Éloïse vint le chercher, et avant de passer à autres choses, elle le fit s'agenouiller, et prit dans la pharmacie, un pot de crème, et lui en appliqua délicatement sur ses blessures.
- Cela vas aider à cicratriser tes plaies ,"dit-elle.
Elle le libéra de sa position, et lui remit le collier, lui rattacha à nouveau les coudes derrière le dos, et lui remit les menottes au poignets. Ils descendirent tous deux au rez de chaussée, et elle le fit attendre à la cuisine.
- Tu dois avoir faim, aussi je t'ai préparé une collation.
Dans un plat sur le sol, Pierre vit une patée poisseuse. Elle le fit approcher de la gamelle, et dit,
- Mange esclave , car ce sera tout ce que tu auras pour aujourd'hui.
Il s'agenouilla , courba l'échine et approcha son visage de la gamelle. Cela ne lui plaisait pas , ni par l'odeur ni par la couleur et ni par la consistance. On aurait dit de la nourriture pour bébé.
- Aller", dit Madame Éloïse, "je n'ai pas toute la journée".
Pierre dut manger le contenu du plat en silence et terminer entièrement sa pattée. Pendant ce temps Maîtresse Frankie arrivait à la cuisine.
- Prépare lui donc un bol avec de l'eau ma chérie, dit Madame Éloïse à Frankie.
Elle déposa l'eau près de sa gamelle, et Pierre dut lapper le breuvage comme le font les chiens.
- Il est temps de partir", dit Frankie.
- Je sais", répondit son amie, - fait démarrer l'auto, je vais arriver dans un instant, juste le temps de l'installer confortablement dans le donjon.
Pierre la suivit, au donjon, et elle le fit se coucher sur le sol et alla préparer des chaînes pour les lui passer aux pieds. Il dut écarter largement les jambes, alors elle lui enfonça un gros gode dans l'anus, qui était retenu par une ceinture autour de sa taille.Ensuite elle le fit se pencher le torse en avant et passa une longue chaîne à ses menottes derrière son dos, puis elle fixa cette chaîne à un treuil, et tourna une manivelle qui actionnait le treuil et les bras et les poignets de Pierre furent tirés vers le plafond. Il se sentit soulevé et bientôt, c'est à peine si ses pieds touchaient le sol.
Cela était très inconfortable comme position. Ensuite elle lui ouvrit la bouche, et lui entra un bâillon de caoutchouc à l'intérieur. Un petit tuyau en ornait le devant, et une petite pompe pendait au bout de ce tuyau. Une fois le bâillon bien installé , elle pressa la pompe à plusieurs reprises, et Pierre sentit grossir le bâillon dans sa bouche. Elle pompa jusqu'à ce que le bâillon emplisse complètement sa bouche et ses joues. Cela lui faisait mal aux mâchoires tant la pression exercée était grande. L'attache derrière sa nuque l'empêchait de recracher le bâillon, et il ne pouvait plus émettre le moindre son.
Elle lui fixa un bandeau sur les yeux , et elle quitta la pièce, en le laissant ainsi presque suspendu au plafond. En quittant elle lui dit,
- Ce soir à mon retour , je vais te montrer comment tu dois faire plaisir à une Maîtresse, soit tranquille, et surtout concentre toi bien sur ce que je viens de te dire". On devrait être de retour après le souper".
Puis elle s'en alla.
De nouveau Pierre entendit fermer la porte du donjon, et il resta ainsi suspendu pour tout l'après-midi au plafond du donjon.
Il eut tout le temps nécessaire pour réfléchir à sa nouvelle situation. Il essaya de se libérer de ses liens , mais ce fut en vain. Les menottes étaient très solides, et comme il ne portait que sur la pointe de ses pieds, il devait se concentrer pour garder son équilibre. Le gode enfoui au fond de son cul le faisait souffrir, car il lui écartelait l'anus et entrait en lui très profondément. Il se sentait ,comme violé par derrière.
L'attente lui parût durer des jours, et il devenait de plus en plus éreinté par sa position, et ses jambes commençaient à flageoler sous lui.
Pierre entendit marcher, mais personne ne vint le libérer.
Dans la soirée, Madame Éloïse , vint le chercher.
Il monta derrière elle, jusqu'à la chambre à coucher de Madame. Elle délia la corde qui nouait ses coudes, lui enleva ses menottes, et elle le fit coucher au pied du lit. Elle s’essaya sur le bord du lit, jambes écartées, et lui intima de venir lui lécher la vulve.
Il s'approcha, et enfouit sa tête entre les deux jambes de Madame Éloïse, et commença à la lécher.
- Hé! Vas-y doucement". Dit-elle .
Elle le prit par les cheveux, et guida sa tête , jusqu'à son entre-jambes, et Pierre entra sa langue en elle, pour la sucer.
- Pointe la langue, pour que je la sente bien travailler… Vas-y profondément", tu ne vas pas y passer la veillée j'espère
Pierre faisait de son mieux, et cela porta ses fruits. Madame Éloïse, se mit à se trémousser et à se tortiller sous les coups de langue de Pierre. Elle haletait bruyamment, et dans un grand cri , elle eut en premier orgasme.
Pierre continua à sucer et lécher , et Madame Éloïse repartit encore une deuxième fois. Il avait la tête prise comme dans un étau , les cuisses puissantes de sa Maîtresse lui enserrait le cou et il parvenait à peine à respirer.
Elle relâcha les cheveux de Pierre, elle se retourna, et lui présenta ses fesses.
- Lèche mon cul maintenant, et entre ta langue, bien au fond.
Elle avait un cul magnifique, et Pierre se montra compétent une nouvelle fois. Madame Éloïse qui se masturbait maintenant pendant que Pierre honorait son fondement, eut encore un orgasme, dans un grand râle de jouissance.
Pierre continuait de la lécher , mais elle s’avança sur le lit, et referma finalement les jambes . Pierre recracha quelques poils et lui aussi retomba sur le plancher. il était recru de fatigue.
Madame Éloïse se releva enfin, et elle se rassit sur le bord du lit,.Elle dit :
- Maintenant tu vas jouir pour moi, je vais te masturber, mais je ne veux pas que vienne sur le plancher, pour que tu salisse tout autour de toi, aussi tu te videra dans cette soucoupe , là ,sur le meuble".
Elle l'encourageait du bout de son pied, elle avait placé son pénis entre ses orteils et le masturbait.Pierre amena son bassin plus près du lit et la main de Madame prit le relais.Elle n'eut pas longtemps à attendre , que son esclave. parvienne à la jouissance. Elle prit la soucoupe et y déposa le sperme chaud de son esclave .
Elle se leva , se plaça debout , jambes écartées de chaque coté du corps de Pierre,et dit,
- A genoux maintenant esclave". Tu vas manger ton sperme maintenant, pour me montrer que tu es un bon esclave".
Elle lui plaça la soucoupe sous son nez, et Pierre se recula , pour ne pas sentir. Il bégaya quelques mots, et Maîtresse vit qu'il ne voulait pas goûter sa semence.
- Auparavant c"était toi qui demandait aux femmes de te sucer et d'avaler, maintenant c'est à ton tour, tu vas savoir ce que cela goûte , et crois moi, ce n'est pas très bon au goût".
Elle se plaça derrière la nuque de Pierre, s'appuya contre ses épaules, et tenant la tête de son esclave solidement, elle avança la soucoupe près de ses lèvres, puis elle lui mit le nez directement dans la soucoupe. Il pouvait en sentir l'odeur nauséabonde et dans un suprème effort , il lécha le contenu de la soucoupe. Elle relâcha son étreinte, et lui intima l'ordre de se coucher sur le ventre. Puis elle lui dit,
- Qu'est ce qu'on dit, quand on reçoit un cadeau ? Remercie ta Maîtresse pour le privilège qu 'elle vient de t'accorder. Viens ici près de moi, et remercie moi".
Il marcha sur les genoux, jusqu'au pieds de Madame Éloïse, et baissant la tête, il dit,
- Je vous remercie Maîtresse de m'avoir permis de jouir en votre présence".
- Hum! Je pense que tu peux faire mieux que cela". Je te laisse une seconde chance, je ne ressens pas une grande ferveur, je suis certaine que quelques petits coups de fouets sur les fesses améliorerait ton discours ,qu'en pense tu?
- Non Maîtresse, je vous en supplie", dit Pierre.
- Okay alors, vas y , et réfléchis bien à ce que tu vas dire, car tu n'auras pas d'autres chances".
Les mots se bousculaient dans sa tête, mais il parvint à les articuler décemment , et il dit enfin ,
- Je vous supplie d'accepter Madame , mes humbles remerciements, pour l'immense honneur que vous avez daigné m'accorder, je vous en suis très reconnaissant, je vous conjure Maîtresse, de ne pas me tenir rigueur de mon incompétence, et je vous assure que dorénavant j'obéirai à tous vos désirs.
- Oui c'est mieux, ce n'est pas encore parfait, mais çà s'est amélioré". J'accepte cela pour ce soir. Tu dois apprendre à développer un langage qui plaît à une Maîtresse, la remercier toujours poliment, et même aller au devant de ses désirs". Je dois t'enseigner comment te comporter, et il est impératif que tu apprenne comment parler et répondre aux ordres que Maîtresse Frankie te donneras.
Elle le mena à chambre de toilette, lui lava le visage, et le pénis, puis ils descendirent au donjon. Elle alla s'asseoir dans le fauteuil,sur l'estrade, et le fit se coucher à ses pieds sur le plancher. Elle prit la laisse dans sa main droite, et de l'autre elle lui caressa les cheveux. Elle chantonnait doucement, et attendait que Maîtresse Frankie revienne.
- Demain", dit-elle à Pierre, je vais te montrer de quelle façon tu dois te tenir lorsque tu es en notre présence, comment placer tes mains, comment t'asseoir, comment marcher, t'agenouiller et te comporter , afin de montrer ta disponibilité et ta soumission. Je sais que tu apprendras tout cela rapidement, et que tu feras de ton mieux, car il vas falloir que tu prouve à Maîtresse Frankie que tu sera obéissant, et je ne voudrais pas qu'elle se fâché à nouveau contre toi".
Maîtresse Frankie arriva enfin, et elles le reconduire dans la cage pour la nuit. On lui remit sa cagoule, et la porte se referma derrière lui.
Les rudiments.…
Pendant la semaine qui suivit, Pierre dut se pratiquer à s'asseoir, savoir se tenir devant une Maîtresse, comment attendre , et dans quelle position, comment demander quelque chose à une femme , comment marcher, de quelle manière répondre à des ordres, et ce qu'il devait faire pour plaire à une Maîtresse et la servir.
Maîtresse Éloïse savait se montrer patiente, mais parfois, elle devait sévir, car à certains moments le nouvel esclave de Maîtresse Frankie, oubliait de pratiquer et d'appliquer quelques uns des principes qu'elle tentait de lui inculquer.
Il apprenait aussi à tenir la maison, à servir les repas, à connaître les lieux de la maison et les espaces réservés à ses Maîtresses. Il apprit que chaque matin il devait baiser les pieds de sa Maîtresse, et chaque soir, en signe de soumission, il devait se prosterner devant elle et lui demander pardon pour les erreurs qu'il avait pu commettre dans la journée.
Maîtresse Éloïse, lui appris aussi à préparer le bain, la température de l'eau, les produits qu'elle utilisait pour se laver, de même qu'à nettoyer la toilette , le bain et les lavabos.
Il apprit aussi à s'asseoir sur une cuvette pour uriner, et à nettoyer les souliers et les bottes de ses Maîtresses, avec sa langue et sa bouche.
Tout cela afin qu'il puisse devenir la propriété de Maîtresse Frankie.
Madame Éloïse qui se chargeait de l'éducation de Pierre, faisait tout, et voyait à tout. Quelquefois , Maîtresse Frankie venait le prendre en charge, mais on voyait bien que son esclave , lui importait moins que les nombreux amis avec qui elle sortait continuellement, et Pierre avait pu s’apercevoir à maintes reprises, que Madame Éloïse , en avait fait le reproche à son amie.
Un soir que Pierre préparait le bain de Madame, il avait entendu cette dernière , parler à Maîtresse Frankie, de manière assez directe. Et il avait entendu la porte claquer. Lorsque Madame Éloïse était revenu le chercher, elle avait le visage tout rouge et ses gestes étaient soudain plus brusques. Elle le redescendit au donjon, et l'enchaîna solidement, jusqu'à ce que Maîtresse Frankie ne revienne pour le coucher dans sa cage.
Tous les jours, il devait honorer Madame Éloïse, et il voyait que celle-ci appréciait les efforts qu'il mettait à la satisfaire.
Le lundi de la semaine suivant son entrée au service de Madame Éloïse, Maîtresse Frankie, qui devait revenir pour le sortir de la cage avec Madame, n'arrivas pas, et il dut rester enfermer dans la cage jus qu’avant le souper, heure à laquelle Maîtresse Frankie arriva enfin. Elle n'eut pas à descendre au donjon, car Madame Éloïse lui avait réclamé les clefs de la cage, et était venu elle-même libérer Pierre.
Elle le fit monter au salon, en ne lui mettant que des menottes dans le dos comme tout liens, et lui ordonna de s'agenouiller devant elle. Elle se versa un verre, prit place dans son fauteuil, et lui parla en ces termes,
- Je ne sais pas ce que je vais faire de toi, car vois-tu, je pense que mon amie , Maîtresse Frankie, n'est pas encore prête pour posséder un esclave. Elle m'avait demandé de te former, et de faire de toi un esclave exemplaire, mais je crains qu'elle ne soit pas assez sérieuse pour avoir son propre esclave permanent. Cela exige de bien s'en occuper , de pourvoir à tous ses besoins, et surtout à le respecter et à lui prouver que l'on tient à lui et que sa soumission est l' ultime cadeau qu'il fait à sa Maîtresse , parce qu'il l'aime, et qu'il donnerait sa vie pour elle . Et cela elle ne l'as pas encore comprise… On est plus au temps des romains ou l'esclave ne servait qu'à travailler et ce jusqu'à la mort", une Maîtresse qui se respecte doit aussi être fière de son esclave , et apprécier ce qu'il fait pour elle". Et elle peut parfois le récompenser, pour son bon travail". L'un ne vas pas sans l'autre. Et je crois que ta Maîtresse, ne voit pas encore les choses sous cet angle… Selon moi tu mérite une meilleure propriétaire qu'elle et je lui ai dit d'ailleurs. Mais là j'ai maintenant un problème et je ne vois pas comment le résoudre. Je ne peux te libérer, car tu pourrais me poursuivre et m'accuser de séquestration, ou de je ne sais quoi d'autre , et je ne sais pas non plus à qui je pourrais te confier comme esclave, car dans notre petit cercle d'initié , il n'y a pas beaucoup de demande présentement. J'aimerais savoir si tu serais prêt à devenir l'esclave d'un homme, et ce que tu me suggère de faire, car il me resterait cette possibilité, il y a beaucoup de Maître qui se cherchent un esclave".
Pierre qui écoutait attentivement, comme elle le lui avait enseigné, dit :
- Maîtresse Éloïse, je vous supplie de me prendre à votre service, plutôt que de me donner à un Maître , je serais obéissant, et je vous assure que vous pourriez être fière de moi.
- Hola ! Mon petit , je ne suis pas sûre que je veuille d'un esclave à temps plein, j'en ai suffisamment comme cela déjà. Mais ton idée m'intéresse, et je vais y réfléchir".
- Il te faudrait me prouver que tu serais à la hauteur, et j'ai bien peur que cela ne soit beaucoup te demander. Je suis très exigeante tu sais, et peu à ce jour, ont réussis à me satisfaire totalement. De plus, je vais bientôt prendre ma retraite, et il se peut que je déménage vers la Floride, et je ne saurais plus quoi faire de toi".
- Par pitié Maîtresse, je vous suivrai partout ou vous irez plutôt que de servir un homme, je me ferai tout petit, et je ne vous causerai pas d'ennuis, je vous le jure, demandez moi n'importe quoi, mais pas cela Madame.
- Hé bien je vais y réfléchir, et je te dirais quelle sera ma décision, si tu te comporte bien et que tu m'écoute, je serais peut-être plus encline à te prendre à mon service, mais seulement si tu te plies à mes conditions… Bon , il est tard, et je suis fatiguée de cette journée".
Il redescendit au donjon, accompagné de Maîtresse Éloïse, et il entra de lui même dans la cage, elle referma la porte, et pour la première fois , elle passa sa main à travers les barreaux de la cage, et lui caressa et lui flatta le dos, et les fesses tendrement.
Pierre dormit beaucoup mieux cette nuit là. Il prenait goût à sa nouvelle vie d'esclave. Il aimerait vivre sous le joug de cette femme, bien qu'elle soit plus âgée que lui, elle était encore très belle, et Pierre savait qu'elle pourrait le respecter, en étant stricte et exigeante tout à la fois.
Cela pouvait paraître étrange, mais il se sentait confortable à l'idée de devenir l'esclave de cette femme. Bien que sa vie antérieure n'ait pas été si malheureuse, il avait en effet vécu de belles périodes de bonheur. Il ne savait cependant plus , de quelle façon il pourrait recommencer une nouvelle vie, depuis la récente séparation qu'il venait de vivre avec son ancienne conjointe. La compagnie pour laquelle il travaillait ne voudrait sûrement pas le réengager, s'il revenait, car il savait pertinemment qu'ils avaient déjà dût le remplacer . Aussi était-il certain qu'il n'avait plus d'emploi et il se retrouvait donc sans ressources pour le moment.
De plus aspirait-il à un peu moins de responsabilités, car depuis de nombreuses années qu'il subissait le stress de la compétition féroce avec les autres intervenant, et il se sentait blasé de tout cela. Il avait besoin d'un repos moral avant toute chose.
L'opportunité qui s'offrait maintenant à lui, lui semblait soudain plus logique , que de se retrouver à nouveau dans l'arène de la vie sociale coutumière. De plus il n'aurait pas à négocier , ni à se battre avec Madame Éloïse, car elle lui semblait en mesure d'imposer et de décider par elle-même , du cheminement de son esclave. Bien qu'elle soit sévère et dure, Pierre la devinait juste et rationnelle, et cela lui plaisait. Tout ainsi serait très clair entre eux, il obéirait, et elle ordonnerait. Après avoir réfléchit à tout cela , Pierre s'endormit, du sommeil du juste.
Une page venait de se tourner dans la vie de Pierre, il le savait , mais il ne se doutait pas de l'ampleur de ce changement et jusqu'où, cela le mènerait.
Le contrat.…
À son réveil, Madame Éloïse s'affairait dans le donjon. Elle l'entendit bouger, et vint le libérer de la cage.
- Bonjour mon esclave, as tu bien dormi ? Moi j'ai réfléchit toute la nuit à ta requête, et je crois que j'ai trouver la manière de parvenir à nous entendre. Je t'en reparlerai, mais il n'en tiendra qu'à toi de me prouver que tu feras un bon esclave. Lorsque je te sentirais prêt, je te le dirai. Mais pour l'instant , contente toi de me servir et de m'obéir, et apprends de toutes tes forces à me satisfaire.
Pendant la semaine qui suivit, Pierre exécuta sans dire un mot, les ordres de Madame. Il se comporta en parfait serviteur, et il donna le meilleur de lui-même, pour la satisfaire.
Mais un soir, comme elle regardait la télévision dans le salon, et que Pierre était enchaîné dans la cuisine , occupé à préparer le petit déjeuner de Madame pour le lendemain, elle le surprit à se masturber en cachette sans qu 'elle ne lui en ait donné la permission.
Pierre, qui ne l'avait pas entendu arrivé, fût confondu de cette malencontreuse initiative. Il savait que Madame n'accepterait jamais que son esclave se comporte ainsi. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il la vit sourire. Elle retourna au salon sans dire un mot, et oublia semble-t-il cet événement.
Le lendemain matin, à son lever, Madame Éloïse , après qu'elle l'eut libéré de sa cage, ne lui enleva pas sa cagoule immédiatement comme elle avait coutume de le faire. Elle lui ordonna de se tenir debout sans bouger, les jambes légèrement écartées. Puis ses mains s’affairèrent autour de son sexe, sa taille, ses fesses , pendant plusieurs minutes. Puis elle l'amena lui semblait-il au milieu du donjon. et lui attacha les mains à une poutre.
Il devait se tenir sur la pointe des orteils,car elle lui avait laissé le strict jeu nécessaire pour qu'il ne puisse posé les talons sur le sol. Il ne pouvait voir ce que Madame faisait, mais il sentit la morsure du fouet sur ses fesses.
- Voilà , pour hier soir. Tous les jours, pendant vingt jours , tu vas recevoir vingt coups de fouet pour ta punition, cela t'apprendra à te toucher sans ma permission. À chaque coup, je veux que tu me remercie et que tu me jure que tu ne le referas plus.
Au deuxième coup Pierre se cabra de douleur, mais il dit quand même,
- Maîtresse , je vous remercie de me punir , car je sais que je le mérite, et je vous jure de ne plus jamais me masturber sans votre permission.
Un troisième coup , et un quatrième, et ainsi de suite , jusqu'à ce qu'il s'effondre de douleur. Elle le laissa ainsi suspendu pour le restant de l'avant-midi, et elle ne revint le chercher que pour le dîner. Il avait les fesses toutes zébrées, mais Madame Éloïse , fit comme s'il ne s'était rien passé. Il reprit sa routine habituelle, et Madame ne lui en glissa pas un mot.
Le lendemain matin, il reçut à nouveau la fouettée de Madame, et la routine poursuivit son cours.
Pendant les vingt jours qui suivirent, il reçut sa punition comme promis ,et à chaque fois, il devait demander pardon et promettre de ne plus se toucher sans la permission de Madame.
Au fur et à mesure des jours, il tolérait de plus en plus le fouet, mais il pouvait de moins en moins s'asseoir, car ses fesses, ne parvenaient pas à se cicatriser de fois en fois.
Comme elle le lui avait promis, elle cessa la punition, après vingt jours, et ce matin là, elle le laissa dormir plus longtemps que de coutume.
Mais au soir du vingt et unième jour, elle le descendit plus tôt que d'habitude, dans le donjon, et lui demanda de s'asseoir sur un petit banc qu'elle avait déposé devant son propre fauteuil.
- Alors , esclave, qu'as tu appris de ta punition?
Pierre répondit, "Maîtresse, j'ai appris que je ne devais pas toucher à mon sexe sans votre autorisation, sous peine de subir votre colère.
- C'est bien esclave, je crois tu as bien saisis ce que tu dois faire. Mais vois-tu, je reste dans le doute. Je suis certaine que pour le moment tu pense vraiment ce que tu dis, mais il se peut que plus tard, il ne te revienne des idées et que tu tente à nouveau en cachette de passer outre à mes ordres, aussi comme je n'aime pas fouetter mon esclave pour rien, je préfère prévenir , plutôt que de guérir. Donc , à partir de maintenant tu vas devoir porter une ceinture de chasteté de façon permanente. Je te l'ai commandé sur mesure, et elle vient juste d'arriver. Vas me chercher la boite sur la table là.-bas , et ramène moi aussi la petite enveloppe qui est à coté.
Pierre obéi , et ramena le tout à sa Maîtresse.
- Ouvre la boite maintenant.- Lui ordonna-t-elle.
Il sortit de la boite, un arsenal de chaîne , et de métal, ainsi que plusieurs autres divers petits paquets de différentes grosseur. Madame, lui demanda de se retourner, et lui fit ouvrir les jambes. Puis il dut passer les pieds à tour de rôle entre les chaînes de la ceinture.
Ensuite, Madame Éloïse fixa à une bande de métal qui devait lui passer entre la raie de ses deux fesses, un gode qui lui entrerait profondément dans l'anus. Elle entra son pénis, dans un tube spécialement conçu à cet effet, et lui remonta la ceinture au dessus de ses hanches, et après s'être assurée que tout était bien positionné, elle ferma le tout avec une clef, sur le devant de la ceinture.
Pierre entendit tourner la clef dans la serrure , et Madame Éloïse, passa la petite clef dans une chaîne, qu'elle passa tranquillement , avec un geste théâtral, autour de son cou.
Pierre sentait dans son cul le gode de métal froid et brillant, et il tentât de replacer son pénis inconfortablement positionné entre ses cuisses, mais il ne pouvait ni le toucher, ni même le déplacer.
- Voila, dorénavant je serai certaine que tu ne te masturberas plus sans ma permission,et que peu à peu tu apprendra à contrôler tes pulsions.
- Mais Maîtresse, comment je ferai pour aller aux toilettes.-
- Pour uriner, tu n'auras pas de difficultés, car tu n'auras qu'à t'asseoir sur le cuvette comme une femme. Il y à un trou aménagé dans le tube qui retient ton pénis, ce qui te permet de pisser, en tout temps. Mais pour déféquer, tu devras venir me demander la permission, car tu ne peux enlever toi-même le gode que je t'ai enfoncé dans le cul.
La ceinture toute d'une pièce interdisait tout accès à ses parties génitales, et lui interdisait même , de pouvoir obtenir une érection. car celle-ci maintenait son pénis courbé entre ses deux jambes. dans un tube complètement inaccessible et impossible à briser ou à violer.
- Maintenant ,"dit-elle, "ouvre les deux autres paquets.
Pierre obtempéra, et du premier paquet, il sortit un collier de métal chromé, et qui se refermait par une serrure du même type que celle de la ceinture qu'il venait de mettre, et de l'autre il en extirpa deux bracelets du même métal brillant.
- Ceci est mon cadeau. Je veux que tu les portes en permanence, pour que tout le monde sache que tu m'appartienne… J'y ai fait gravé mon nom , et je veux que tu sois fier de m'appartenir.
- Mais, Maîtresse, dit Pierre, vous savez bien que je vous appartient corps et âme, déjà.
- Oui Pierre , je le sais, mais je veux que tous le sache aussi.
- Ils sont. très beau Madame, et je vous en remercie, mais je ne pourrai plus sortir de votre résidence ainsi entravé .
- Bien sûr que tu pourras, tu n'auras qu'à mettre un gilet à col roulé ainsi personne ne pourra remarquer tes nouveaux bijoux. Je les ai fait fabriqué spécialement pour toi, j'espère ne pas être déçue de mon initiative, Je te laisse y réfléchir, encore quelques jours, mais rappelle toi bien que c'est toi qui m'as supplié de faire de toi mon esclave personnel, et j’entende bien que tu sache que cela comporte des obligations de ta part. Tu as jusqu'à 18h00 vendredi soir pour me donner ta réponse, sinon , je te donne à Maître Jack, et tu ne me verra plus jamais. Maintenant tu vas aller réfléchir dans ta cage et ruminer sur ce que je t'offre.
Elle lui remit la cagoule, et le fit entrer dans la cage, mais elle ne lui menotta pas les mains cette fois. puis elle referma à double tour, et lui dit encore une fois.
- Réfléchis bien, mon cher esclave, je ne te ferais pas une autre offre. Bonne nuit.
Pierre dormit peu cette nuit là, et retourna dans sa tête le pour et le contre d'une telle proposition, mais il savait bien tout au fond de lui-même qu 'il accepterait de devenir l'esclave de Madame Éloïse, aussi , comme la nuit souvent porte conseil, il se réveilla le lendemain matin, avec la ferme intention d'accepter l'offre de Maîtresse Éloïse.
Comme il ne pouvait pas voir, à cause de la cagoule sur son visage, et qu'il lui était impossible de l'enlever , car elle était bien cadenassé , il ne pouvait savoir s'il était tôt ou s'il faisait encore nuit . Dans sa cage , il perdait à chaque fois la notion du temps. Et comme il parvenait difficilement à bouger, vu l'étroitesse de la cage, il enrageait parfois ,de ne pouvoir sortir et regarder le soleil se lever ou se coucher sur le jour ou la nuit.
Le vendredi matin, Maîtresse, vint le chercher. Elle semblait nerveuse, et irritable, mais elle ne lui manifesta pas ses inquiétudes. Il reprit son service coutumier, et il donna le meilleur de lui même. Ce matin là cependant, Maîtresse Éloïse lui ordonna de lui embrasser les pieds avant de monter au rez de chaussée.
Il obéit , un peu surpris de cet ordre, mais il ne se posa plus de questions par la suite. Peu après le dîner, Maîtresse , lui annonçât qu'elle aurait des invités pour le souper, mais qu'il n'aurait pas à servir, car il y aurait d'autres esclaves prévus pour cela.
Elle le descendit au donjon avant que les invités n'arrivent, et lui dit qu'elle reviendrait le chercher, après qu'ils auraient terminé de souper.
Comme elle le lui avait promis, elle revint un peu plus tard le chercher, et lui passa de nouveau des chaînes aux chevilles , laissant libre ses poignets elle lui demanda de mettre lui même le collier de posture autour de son cou, et d'y attacher la laisse.
Il suivit sa Maîtresse, et elle le conduisit, à la salle à manger, devant les autres invités. Puis elle lui ordonna de s'agenouiller sur le sol, afin que tous puisse bien le voir, dans la position de soumission, qu'elle lui avait apprise. Il devait écarter un peu les genoux, garder ses mains derrière son dos, baisser les yeux vers le sol, redresser les épaules, et attendre sans bouger.
Maîtresse Éloïse prit la parole.
- Ce soir, chers amis, je vais décider si je prends possession de cet esclave, et si il est digne de me servir. Mais auparavant , il va devoir me supplier de le posséder d'en faire ma propriété personnelle. Je vous demande votre aide afin de juger s'il est digne de me servir et si sa demande serait acceptable.
Il y avait près de dix personnes présentes, et Maîtresse expliqua à tous ( c'étaient tous des Maîtres et des Maîtresses, sauf le deux femmes qui assuraient le service à la table),que Pierre serait celui qui aurait l'honneur de la servir, et de lui appartenir. Elle relata , les circonstances de leur rencontre, les dressages et ce qu'il avait jusqu'à ce jour subit, et demanda à Pierre de s'adresser aux invités et de les convaincre qu'il serait digne de devenir l'esclave de Maîtresse Éloïse.
- Tu dois convaincre chacun et chacune de tes bonnes intentions, et plaider en ta faveur leur permission. Avance toi , à genoux, et viens leur demander leur approbation.
Pierre , s'approcha du premier, et posa sa tête sur ses bottes, puis il dit,
- Maître , je vous supplie de me permettre de servir Maîtresse Éloïse, je serais obéissant, soumis, et je respecterai tous ses désirs et je me ferai un devoir de l'honorer en esclave sincère et loyal.
Cela dit, il se déplaça et alla vers une des Maîtresses présente. Puis il réitéras sa demande, et ainsi de suite, jusqu'à la dernière des Maîtresses, qui lui dit sur un ton sans réplique,
- Je veux bien te croire esclave, mais je les connais moi, les esclaves, ils promettent bien des choses, mais quand vient le temps de donner , et de se soumettre, il changent d'avis et se rebellent. Prouve moi que tu es digne de mon amie, ici devant tout le monde.
Pierre ne savait que faire, ,il dit, en bégayant
- Que dois-je faire Madame ?
Elle le regarda, et lui dit :
- Tu vas passer sous la table, et aller prendre dans ta bouche toute les queues que tu verras , et les sucer bien à fond, ensuite tu viendras et tu recrachera le sperme ainsi récupéré dans ce bol ici à coté de moi.
Elle prit un bol à soupe inutilisé et le posa sur le sol à ses pieds.
- Vas-y , maintenant si tu veux finir un jour, "lui ordonna-t-elle.
Elle le poussa de sa botte jusque sous la table, et Pierre chercha du regard un pénis qui surgirait d'un pantalon. Un des Maîtres présent se trémoussa un peu et sortit son sexe de son pantalon de cuir, et commença à se masturber doucement, puis un autre, et un autre encore.
Pierre toujours à quatre pattes fit à chacun une fellation et retournait à chaque fois recracher le sperme dans le bol à coté de la Maîtresse en question. Cela lui prit un bonne demi-heure pour parvenir à extraire à chacun sa semence.
Lorsqu'il eut enfin terminé ,il revint vers la Maîtresse et attendit son verdict.
- C'est bien esclave, je vais m'assurer que tu est bien sincère,
Elle se leva, baissa sa petite culotte de sous sa jupe, et dit à Pierre :
- Tu vas tenir le bol dans tes mains et je vais pisser dedans, tiens toi bien droit et surtout n'en échappe pas.
Pierre exécuta l'ordre , se mit en position et recueillit l'urine de la femme dans le bol à soupe . Un jet puissant gicla dans le bol et rapidement il fut rempli à raz bord. La Maîtresse cessa d'uriner, et se ressaya sur sa chaise. Elle dit alors :
- Maintenant tu vas boire ce bol, tout ce qu'il contient, et surtout n'en laisse pas tomber une goutte.
Pierre tenta de regarder sa Maîtresse, et vit qu'elle était d'accord avec son amie, aussi dut-il se résoudre à avaler le mélange malodorant et infect que cette femme lui avait concocté. Lorsqu'il eut bu la mixture, il déposa le plat sur le sol et attendit de nouveau que la Maîtresse exprime son consentement.
- Quant à moi,"dit-elle, je n'y vois pas d'inconvénient, et je crois qu'il sera un bon esclave, il vient de me prouver ce dont il est capable, songe tu à lui faire signer un contrat maintenant?
- Oui , on vas passer au salon et j'ai préparé le document et les cadeaux sont déja là.
Ils passèrent tous au salon, les invités devant et Pierre qui suivait derrière eux sur les genoux. Maîtresse Éloïse avait allumé de nombreuses chandelles,qu'elle avait posé sur tous les meubles de la pièce. Cela créait un atmosphère étrange et solennel tout à la fois.
Elle amena Pierre près du foyer, le feu crépitait derrière lui et lui agaçait les sens. Tous installèrent leur fauteuil en cercle devant lui, et Maîtresse Éloïse prit place en plein centre de cette étrange assemblée.
Elle plaça devant elle une table, et déposa sur celle-ci des documents, une plume, une lame, et un chandelier. Puis elle prit un sceau,posa le collier et les bracelets sur la table, et un des Maître dit, d'une voix forte
- Approche maintenant futur esclave. Marche à quatre pattes devant ta reine. Tu vas répéter après moi.
Elle le descendit au donjon avant que les invités n'arrivent, et lui dit qu'elle reviendrait le chercher, après qu'ils auraient terminé de souper.
Comme elle le lui avait promis, elle revint un peu plus tard le chercher, et lui passa de nouveau des chaînes aux chevilles , laissant libre ses poignets elle lui demanda de mettre lui même le collier de posture autour de son cou, et d'y attacher la laisse.
Il suivit sa Maîtresse, et elle le conduisit, à la salle à manger, devant les autres invités. Puis elle lui ordonna de s'agenouiller sur le sol, afin que tous puisse bien le voir, dans la position de soumission, qu'elle lui avait apprise. Il devait écarter un peu les genoux, garder ses mains derrière son dos, baisser les yeux vers le sol, redresser les épaules, et attendre sans bouger.
Maîtresse Éloïse prit la parole.
- Ce soir, chers amis, je vais décider si je prends possession de cet esclave, et si il est digne de me servir. Mais auparavant , il va devoir me supplier de le posséder d'en faire ma propriété personnelle. Je vous demande votre aide afin de juger s'il est digne de me servir et si sa demande serait acceptable.
Il y avait près de dix personnes présentes, et Maîtresse expliqua à tous ( c'étaient tous des Maîtres et des Maîtresses, sauf le deux femmes qui assuraient le service à la table),que Pierre serait celui qui aurait l'honneur de la servir, et de lui appartenir. Elle relata , les circonstances de leur rencontre, les dressages et ce qu'il avait jusqu'à ce jour subit, et demanda à Pierre de s'adresser aux invités et de les convaincre qu'il serait digne de devenir l'esclave de Maîtresse Éloïse.
- Tu dois convaincre chacun et chacune de tes bonnes intentions, et plaider en ta faveur leur permission. Avance toi , à genoux, et viens leur demander leur approbation.
Pierre , s'approcha du premier, et posa sa tête sur ses bottes, puis il dit,
- Maître , je vous supplie de me permettre de servir Maîtresse Éloïse, je serais obéissant, soumis, et je respecterai tous ses désirs et je me ferai un devoir de l'honorer en esclave sincère et loyal.
Cela dit, il se déplaça et alla vers une des Maîtresses présente. Puis il réitéras sa demande, et ainsi de suite, jusqu'à la dernière des Maîtresses, qui lui dit sur un ton sans réplique,
- Je veux bien te croire esclave, mais je les connais moi, les esclaves, ils promettent bien des choses, mais quand vient le temps de donner , et de se soumettre, il changent d'avis et se rebellent. Prouve moi que tu es digne de mon amie, ici devant tout le monde.
Pierre ne savait que faire, ,il dit, en bégayant
- Que dois-je faire Madame ?
Elle le regarda, et lui dit :
- Tu vas passer sous la table, et aller prendre dans ta bouche toute les queues que tu verras , et les sucer bien à fond, ensuite tu viendras et tu recrachera le sperme ainsi récupéré dans ce bol ici à coté de moi.
Elle prit un bol à soupe inutilisé et le posa sur le sol à ses pieds.
- Vas-y , maintenant si tu veux finir un jour, "lui ordonna-t-elle.
Elle le poussa de sa botte jusque sous la table, et Pierre chercha du regard un pénis qui surgirait d'un pantalon. Un des Maîtres présent se trémoussa un peu et sortit son sexe de son pantalon de cuir, et commença à se masturber doucement, puis un autre, et un autre encore.
Pierre toujours à quatre pattes fit à chacun une fellation et retournait à chaque fois recracher le sperme dans le bol à coté de la Maîtresse en question. Cela lui prit un bonne demi-heure pour parvenir à extraire à chacun sa semence.
Lorsqu'il eut enfin terminé ,il revint vers la Maîtresse et attendit son verdict.
- C'est bien esclave, je vais m'assurer que tu est bien sincère,
Elle se leva, baissa sa petite culotte de sous sa jupe, et dit à Pierre :
- Tu vas tenir le bol dans tes mains et je vais pisser dedans, tiens toi bien droit et surtout n'en échappe pas.
Pierre exécuta l'ordre , se mit en position et recueillit l'urine de la femme dans le bol à soupe . Un jet puissant gicla dans le bol et rapidement il fut rempli à raz bord. La Maîtresse cessa d'uriner, et se ressaya sur sa chaise. Elle dit alors :
- Maintenant tu vas boire ce bol, tout ce qu'il contient, et surtout n'en laisse pas tomber une goutte.
Pierre tenta de regarder sa Maîtresse, et vit qu'elle était d'accord avec son amie, aussi dut-il se résoudre à avaler le mélange malodorant et infect que cette femme lui avait concocté. Lorsqu'il eut bu la mixture, il déposa le plat sur le sol et attendit de nouveau que la Maîtresse exprime son consentement.
- Quant à moi,"dit-elle, je n'y vois pas d'inconvénient, et je crois qu'il sera un bon esclave, il vient de me prouver ce dont il est capable, songe tu à lui faire signer un contrat maintenant?
- Oui , on vas passer au salon et j'ai préparé le document et les cadeaux sont déja là.
Ils passèrent tous au salon, les invités devant et Pierre qui suivait derrière eux sur les genoux. Maîtresse Éloïse avait allumé de nombreuses chandelles,qu'elle avait posé sur tous les meubles de la pièce. Cela créait un atmosphère étrange et solennel tout à la fois.
Elle amena Pierre près du foyer, le feu crépitait derrière lui et lui agaçait les sens. Tous installèrent leur fauteuil en cercle devant lui, et Maîtresse Éloïse prit place en plein centre de cette étrange assemblée.
Elle plaça devant elle une table, et déposa sur celle-ci des documents, une plume, une lame, et un chandelier. Puis elle prit un sceau,posa le collier et les bracelets sur la table, et un des Maître dit, d'une voix forte
- Approche maintenant futur esclave. Marche à quatre pattes devant ta reine. Tu vas répéter après moi.
- MOI, PIERRE ST-CYR, JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE SERVIR , D'OBÉIR ET DE ME SOUMETTRE TOTALEMENT , À MADAME ÉLOÏSE DE LASALLE, À TITRE D'ESCLAVE , ET CE, POUR LA VIE . JE RECONNAIS , QU'ELLE AURA TOUS LES DROITS, QUE JE DEVRAI ACCEPTER ET SUBIR LES PIRES SÉVICES SI ELLE NE JUGE PAS MON COMPORTEMENT ACCEPTABLE .QU'ELLE SERA SEULE JUGE DE MES ACTES, ET QUE SON EMPRISE SUR MOI SERA TOTALE ET PERMANENTE.
Maître Jules, demanda à Maîtresse Éloïse de se lever, et de poser sa main droite sur ma tête, et lui demanda de repéter après lui.
"MOI , ÉLOÏSE DE LASALLE, JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE PROTÉGER, DE POSSÉDER ET DE SUBVENIR AUX BESOINS DE MON ESCLAVE,ET DEVEILLER À CE QU'IL SOIT SOUS MA GARDE ET QU'IL N'AIT PAS À SE SOUCIER DE BESOIN MONÉTAIRE D'AUC-UNE MANIÈRE. JE LE DRESSERAI SELON MA VOLONTÉ, ET J'ACCEPTE SON HUMBLE REQUÈTE.
Maître Jules prit la lame, et dit à Pierre :
Maître Jules, demanda à Maîtresse Éloïse de se lever, et de poser sa main droite sur ma tête, et lui demanda de repéter après lui.
"MOI , ÉLOÏSE DE LASALLE, JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE PROTÉGER, DE POSSÉDER ET DE SUBVENIR AUX BESOINS DE MON ESCLAVE,ET DEVEILLER À CE QU'IL SOIT SOUS MA GARDE ET QU'IL N'AIT PAS À SE SOUCIER DE BESOIN MONÉTAIRE D'AUC-UNE MANIÈRE. JE LE DRESSERAI SELON MA VOLONTÉ, ET J'ACCEPTE SON HUMBLE REQUÈTE.
Maître Jules prit la lame, et dit à Pierre :
- Tends ton bras
Il entailla le poignet de Pierre, et il versa son sang sur les document sur la table. Puis il fit de même avec le bras de Madame Éloïse. Ensuite il demanda à une des Maîtresse de bien vouloir mettre les bracelets et le collier aux poignets et au cou de Pierre. Ce dernier entendit le "clic" que fit la fermeture, et il sût , qu'à compter de maintenant il devenait un esclave pour la vie.
Maître Jules lui tendit la plume, et l'encrier, et il signa le document en contrebas des pages. Après , Madame Éloïse contresigna elle aussi, et enfin le notaire y apposa le sceau et sa propre signature.
Ceci terminé, Pierre fût enjoint à se prosterner devant sa nouvelle Maîtresse et à lui baiser les pieds en signe de soumission. Maîtresse Éloïse le releva, et le regarda cette fois dans les yeux, elle approcha son visage du sien, et déposa sur les lèvres de Pierre un baiser langoureux.Puis elle lui murmura à l'oreille,
- Je vais bien m'occuper de toi, tu m'appartient maintenant, je vais te chérir et te protéger ne t'inquiète plus.
Peu à peu les invités quittèrent leur hôtesse, et la soirée se termina.
Maîtresse Éloïse, demanda à Pierre de venir la retrouver dans sa chambre pour leur première nuit.
Il entailla le poignet de Pierre, et il versa son sang sur les document sur la table. Puis il fit de même avec le bras de Madame Éloïse. Ensuite il demanda à une des Maîtresse de bien vouloir mettre les bracelets et le collier aux poignets et au cou de Pierre. Ce dernier entendit le "clic" que fit la fermeture, et il sût , qu'à compter de maintenant il devenait un esclave pour la vie.
Maître Jules lui tendit la plume, et l'encrier, et il signa le document en contrebas des pages. Après , Madame Éloïse contresigna elle aussi, et enfin le notaire y apposa le sceau et sa propre signature.
Ceci terminé, Pierre fût enjoint à se prosterner devant sa nouvelle Maîtresse et à lui baiser les pieds en signe de soumission. Maîtresse Éloïse le releva, et le regarda cette fois dans les yeux, elle approcha son visage du sien, et déposa sur les lèvres de Pierre un baiser langoureux.Puis elle lui murmura à l'oreille,
- Je vais bien m'occuper de toi, tu m'appartient maintenant, je vais te chérir et te protéger ne t'inquiète plus.
Peu à peu les invités quittèrent leur hôtesse, et la soirée se termina.
Maîtresse Éloïse, demanda à Pierre de venir la retrouver dans sa chambre pour leur première nuit.