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Histoire du net. Auteur Inconnu. Le voyeur...

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Certains mecs ont le don pour raconter
leur cocufiage. Même si c'est assez cérébrale.
Et il faut aussi le bon appart lol!!!
 Pénible soirée
- J'ai une de ces envies d’y aller… fis-je d’un ton où le sarcasme était évident.
- Arrête Armand ! C’est toujours la même chose avec toi : tu te plains et rechignes à aller aux fêtes de tes amis, mais une fois que tu y es, tu t’amuses vraiment.
- Je sais, mais ce soir je sens que cela va être une soirée pénible ! Je ne la sens pas…
- Eh bien moi, je la sens, comme tu dis… Moi j’irai, avec ou sans toi ! Et puis à la fin, René est ton ami. Ce n’est pas parce que tu n’as rien fait pour ton anniversaire que tu dois boycotter le sien.
Elle avait raison, et je le savais. Bien que René ne soit pas un de mes meilleurs amis, il en était un bon. Il fallait que j’y aille… envie ou pas. Je rejoignis donc ma femme, Suzanne, dans la salle de bain où elle finissait de sécher ses cheveux courts.
Suzanne venait d’avoir quarante ans et, ma foi, les portait assez bien. Nous habitions ensemble depuis un peu plus de vingt ans, et nous nous étions mariés il y a de cela treize ans, juste avant la venue au monde de notre premier fils. Brune avec de magnifiques yeux verts, Suzanne portait comme moi des lunettes sages. Elle n’avait jamais été un canon de beauté, mais quand je regardais les femmes de son âge, elle soutenait à vrai dire parfaitement la comparaison.
Elle avait de petits seins et des hanches avec juste l’ampleur nécessaire pour combler son mari de quarante-cinq ans. Elle ne s’habillait que d’une manière toujours sérieuse, privilégiant les pantalons. Elle n’était pas folle pour les fringues, mais appréciait de temps à autres de s’offrir (ou mieux de me laisser lui offrir) des vêtements luxueux.
Ce soir, et sachant que nombre de nos amis seraient présents, elle n’avait préparé sur notre lit qu’un T-shirt blanc et une paire de pantalons mauves. Au pied du lit, étaient placées des sandalettes blanches avec des talons mi-hauts.
« Pas pratique pour danser », pensai-je en les regardant. Mais sachant que Suzanne n’était pas une grande danseuse (ce qui m’allait bien, car moi non plus…), je me gardai bien de lui faire une quelconque remarque.
Ses sous-vêtements étaient tout (mais absolument tout) ce qu’il y a de plus sage. Elle privilégiait le confort, malgré mes griefs moqueurs et incessants. Elle portait des slips généralement blancs assez larges. Je les appelais les slips de ma vielle bonne-femme ; et il y avait du vrai dans cette moquerie. J’avais l’impression que même ma propre mère, n’avait jamais porté de tels sous-vêtements.
Suzanne avait pourtant quelques strings bien cachés au fond de son armoire, mais ne les portait que lors de très rares occasions et seulement pour me faire un grand plaisir. Ses soutiens-gorge étaient normalement d’un type sans fermeture, que l’on enfile simplement. Ici aussi le blanc dominait, et naturellement pas la moindre échancrure… Ses chaussures étaient également assez sages, privilégiant le modèle presque sans talon et la couleur noire.
- Et puis pour une fois que les petits anges dorment chez mes parents…
La voix de Suzanne me réveilla de mes pensées. C’est vrai, nos fils de 9 et 12 ans (que nous appelions nos petits anges, quand naturellement ils n’étaient pas présents) se trouvaient chez les parents de ma femme. Ils adoraient surtout leur grand-père, et c’était une fête pour eux également lorsque nous devions les amener chez leurs grands-parents.
- OK, je me douche…
- Et dépêche, car on va être en retard comme toujours à cause de toi.
- Mais de toute façon, cela va durer presque toute la nuit, alors une demi-heure en plus ou moins…
- Mais pour moi, cela compte !
Mon Dieu, je sentais à son ton l’exaspération monter. Généralement quand cela commençait ainsi, ça finissait mal.
Je préférai me taire. Après m’être douché, j’enfilai le premier sweat-shirt et les premiers jeans propres que je trouvai dans mon armoire. Je me brossai les dents et descendis retrouver ma femme dans le salon.
- Finalement !
Puis me regardant de bas en haut
- Mais tu es habillé comme un pouilleux; et même pas rasé avec ça…
Bon Dieu ! J’avais oublié que le week-end, je ne me rasais jamais. J’étais en train de repartir vers la salle de bain, mais Suzanne m’arrêta d’un ton ferme.
- Tant pis pour toi… Il est trop tard. Tu passeras pour un plouc devant tes amis. Surtout devant René qui est, lui, toujours élégant. Tu ne t’es jamais dit que c’est peut-être pour cela que LUI plaît aux femmes.
Là, je ressentis l’attaque fielleuse. C’est vrai que René plaisait aux femmes. Pour moi et mes meilleurs amis, le pourquoi de la chose restait toujours un mystère. René était grand et bien bâti, mais son intellect laissait à désirer, comparé aux nôtres. Il était mou, sans envie et toujours distrait ; il était matérialiste, intéressé plus aux nouveaux gadgets qu’aux livres. Simplement incompréhensible !
Mais l’attaque de Suzanne était fielleuse, car elle me touchait au fond du cœur. Avant de la connaître, j’étais amoureux fou de Nicole ; une passion destructrice, qui avait effectivement détruit nombre de mes plus belles années de jeunesse. Nicole devait certainement m’aimer, mais pas question de passion chez elle. Elle jouait avec mon amour en me rendant la vie impossible avec ses caprices. Puis un jour, elle se lassa de ce jeu, et me quitta.
- N’aie pas peur, je ne te laisse pas pour un autre ! m’avait-elle juré au milieu de mes pleurs.
Mais quelques jours plus tard, elle apparaissait heureuse au bras de René. Depuis cet instant, René faisait partie à mes yeux de la catégorie des profiteurs et des personnes indignes de confiance. D’ailleurs Nicole aussi avait dû amèrement constater que René n’était pas une personne de confiance. René avait été à ses heures un conseiller financier. Il utilisait la confiance que d’autres lui accordaient pour investir leur argent en bourse.
Tant que la bourse montait lors des folles années boursières, pas de problème. Mais après des gains faramineux s’ensuivit des pertes abyssales. En plus de la fortune de ses clients, sa fortune personnelle et celle de Nicole y passèrent. Malgré sa promesse, il investit leurs dernières économies sur des titres douteux… et perdit la mise. Profondément blessée, Nicole le laissa du jour au lendemain.
Heureusement pour elle, son très bon salaire de médecin lui permettait une totale indépendance financière. Mais paradoxalement, ils ne changèrent pas d’appartement. En fait, leur duplex, qu’ils possédaient en commun, pouvait en effet servir pour deux personnes séparées.
L’étage supérieur réservé à Nicole et celui inférieur à René. Comme les deux étages étaient directement reliés à un ascenseur intérieur et s’ouvrant qu’avec clef, l’escalier reliant les deux niveaux avait été condamné symboliquement. Il n’avait fallu changer qu’une des deux clefs d’accès de l’ascenseur.
C’était dans cet appartement que nous nous rendions ce soir, plus précisément dans la partie inférieure, appartenant à René.
Le déplacement en voiture se fit dans un silence glacial. J’étais d’un caractère assez rancunier et ne voulait pas être le premier à casser la glace. Suzanne n’aimait pas les petites crises, mais quand elle considérait que j’avais tort, elle pouvait avoir une langue de vipère. Je préférais donc me taire.
Nous arrivâmes trois quarts d’heure en retard. Le contrôle de l’accès direct par ascenseur avait été, pour l’occasion, déverrouillé, ce qui permettait de rentrer directement dans l’appartement sans clefs. La fête battait déjà son plein. Mon seul intérêt était de revoir quelques amis et Nicole. Celle-ci nous accueillit chaleureusement, comme René du reste. Il m’embrassa et fit de même avec ma femme qu’il complimenta pour sa tenue. Avant d’avoir pu me demander s’il blaguait, mes autres amis m’appelèrent. Je ne me fis pas prier, et abandonnai ma femme, Nicole et René.
Je passai une bonne partie de la soirée à rire avec Nicolas, mon meilleur ami que je n’avais pas vu depuis quelques mois. Je bus plus que nécessaire, malgré les récriminations de ma femme qui passa quelques fois pour me rappeler que je devais plus tard conduire. Je lui promis que nous prendrions un taxi si elle ne se sentait pas de conduire. Sur ce, ma femme ne se fit plus voir pour le reste de la soirée, et pensant qu’elle devait se raconter mille choses avec les femmes de mes amis, je n’en pris pas ombrage.
Je devins perplexe quand Nicole me demanda si j’avais vu Suzanne. Je lui répondis qu’elle devait être avec les autres femmes, mais elle me dit simplement qu’il ne lui semblait pas l’avoir vue. Il devait y avoir une quarantaine d’invités dans le grand appartement, et elle me rassura en me disant que sûrement elle ne l’avait pas vue au milieu de la foule ; et elle me promit de la trouver.
Un quart d’heure plus tard, Nicole me prit le bras et me dit à voix basse de la suivre.
- Plus tard, s’il te plait !
- Non… maintenant, Armand, me répondit-elle d’un ton ferme à l’oreille.
Intrigué, je me levai machinalement et la suivis. Elle m’amena vers l’ascenseur interne, ce qui m’étonna, mais je préférai ne rien dire jusqu’au moment au nous serions seuls. Dans l’ascenseur, je fus étonné de la voir utiliser sa clef pour faire monter l’ascenseur vers son étage du duplex. Je croyais intérieurement, en voyant sa mine sérieuse, qu’elle voulait faire un tour pour me parler de ses problèmes. Arrivés à son étage, elle sortit dans l’obscurité et plaça sa main sur ma bouche, pour me faire, sans aucune équivoque, comprendre de me taire.
Je fus surpris mais me tus comme elle me le demandait. Elle prit ma main et m’amena vers la fenêtre de son salon. Devant nous se trouvait la magnifique terrasse de Nicole, fermée de trois côtés par son appartement et possédant une vue plongeante sur la ville depuis son quatrième côté. De notre position, le champ de vision sur la terrasse était limité, mais on distinguait aisément, entre autre, la partie arrière du divan-balançoire. Ce divan constituait la pièce maîtresse de la terrasse et était situé en son centre. Nicole se tourna vers moi et je crus percevoir dans la semi-obscurité des yeux remplis de malice, contrastant avec son sérieux antérieur. Bien qu’il me semblât que personne ne puisse nous entendre, elle me chuchota :
- Regarde ! En faisant un mouvement de tête en direction du divan-balançoire.
Je suivis son regard et aperçus la tête de René qui, en raison de sa carrure, dépassait nettement du siège pourtant élevé du divan-balançoire. Sa présence m’étonna, car je savais que tout était bien fini entre lui et Nicole.
- Je n’aurais jamais cru cela d’elle… et en plus avec lui… Et en plus, ce salaud a utilisé l’escalier, ce qui est un interdit incontournable entre nous ! Ah, ils devaient bien en avoir envie…
Mon regard retourna vers la terrasse et pendant quelques secondes je cherchai à saisir la pensée de Nicole. Mes yeux balayèrent la terrasse, mais je ne pus entrevoir que quelques plantes vertes. À peine mon regard retourna sur le derrière du crâne de René, que Nicole continua :
- Mon pauvre Armand…
Mais que racontait-elle ? Je sentais au fond de mon ventre monter un malaise à être ainsi le seul à ne pas comprendre une situation qui semblait évidente. Je jetai encore un regard rapide sur la terrasse, et commençai d’un ton exaspéré :
- Nicole, tu m’énerves ! Tu ferais mieux de me…
Le reste de la phrase se perdit en un balbutiement inaudible que Nicole ne comprit certainement pas. Mais qu’importe, je venais de tout comprendre en regardant le bas du divan où, entre les jambes écartées de René, se trouvaient des genoux repliés ; une personne était à genoux devant René ! Et cette personne portait des pantalons mauves que j’aurais pu reconnaître entre mille… les pantalons de ma femme… Suzanne !
- Nicole, Nicole… C’est pas possible !
Je crus défaillir et elle dut le sentir, car elle me prit le bras fermement.
- Ils sont là depuis au moins dix minutes et connaissant René, elle en a encore pour un moment.
Je ne pus rien articuler. Moi qui aurais dû bondir sur la terrasse, quitte à faire une scène mémorable, je restais là, planté, une boule dans la gorge et sentant mon cœur en train de se briser et mon univers s’écrouler.
- Il ne l’a pas spécialement grosse, mais il peut tenir pendant des heures… Elle va avoir du mal à avaler pendant quelques jours, ta petite femme… dit-elle en pouffant de sa vulgarité.
Nicole semblait vouloir me blesser encore plus profondément et y réussissait parfaitement. La douleur fit place à de la colère qui montait en moi et je me sentais prêt à la frapper. Heureusement, après quelques secondes de grande tension, elle rompit le silence :
- Viens, on voit mieux de ma chambre…
- Non, je ne veux pas !
Mais contredisant mon ton ferme, je la suivis, abattu et docile. Sa chambre était située sur un des autres côtés de la terrasse, d’où la vue sur le divan-balançoire devait donc être parfaitement latérale. Avant d’ouvrir sa porte, elle me mit à nouveau sa main sur ma bouche, pour m’empêcher de parler.
- De toute façon, ils sont tellement occupés qu’ils ne nous remarqueront pas…
Encore ce ton sarcastique ! Elle rentra, me fit passer et referma la porte doucement. Elle me prit la main et dans l’obscurité, me conduisit d’un pas sûr vers la fenêtre. Elle me plaça à côté d’elle.
- Avec ces rideaux, je suis sûre qu’ils ne peuvent pas nous voir.
Elle entrouvrit très légèrement les rideaux, s’abaissa et plaça son visage en retrait dans l’axe de l’ouverture. Après quelques secondes, elle me sourit et me fit signe de regarder par dessus sa tête. Tremblant, je plaçai mon visage dans l’ouverture, anxieux de l’hallucinant spectacle que j’allais découvrir.
Comme je le pensais, la vue sur le divan-balançoire était parfaitement latérale et celui-ci se trouvait à environ quatre mètres de la fenêtre de la chambre de Nicole.
Au centre du divan, René était confortablement installé, le visage penché vers le bas et suivant attentivement, et presque de manière sérieuse, l’activité de Suzanne, mon épouse…
Bien que nous ne puissions voir le sexe et le bas-ventre de René, le mouvement de va-et-vient, lent et régulier, de la tête de Suzanne ne laissait planer aucun doute (si jamais il m’en était resté) sur la fellation qu’elle administrait, sous mes yeux incrédules, à une personne que je considérais jusqu’à quelques instants auparavant, comme un ami. J’étais tétanisé, incapable de la moindre réaction, incapable de prononcer le moindre mot. Je sentais mon cœur battre la chamade, et eus peur de défaillir. Je détournai ma tête de la fenêtre, et essayai d’inspirer profondément. Après quelques secondes, Nicole me fit signe de regarder à nouveau.
Sur le divan, René avait bougé légèrement pour s’installer plus confortablement et placer ses deux mains sur la nuque de ma femme. Il portait encore ses jeans et il (ou, me mis-je à penser avec horreur, elle) n’avait que déboutonné la braguette pour dégager son membre. Le pull blanc qu’il portait tout à l’heure traînait sur la partie du divan visible de notre position. Son sweat-shirt avait le même bleu que ses jeans. Ma femme était, elle, encore habillée de son T-shirt blanc et de ses pantalons mauves. Aucune peau nue n’était donc visible, ce qui par contraste me semblait encore décupler la vulgarité de la scène.
René prononça quelques mots que nous ne pouvions comprendre, mais ses paroles furent suivies par un mouvement de ma femme qui dégagea ses mains, qui devaient auparavant se trouver sur la base du membre de René, et les plaça de part et d’autre du divan.
- Wouahhh… ! Sans les mains et à son rythme…
L’exclamation de Nicole me fit sursauter et frémir. En effet sur le divan, René semblait maintenant administrer de ses deux mains placées sur sa nuque, le rythme qu’il désirait à la tête de mon épouse. Il lui parlait maintenant continuellement.
- Il essaye de l’exciter encore plus, il adore ça ! me chuchota Nicole, sur un ton certain.
- Mais, comment donc ? me surpris-je à demander.
Mais dès que la question fut posée, je savais déjà qu’au fond de moi, je ne voulais en aucun cas en savoir la réponse. Mais c’était trop tard, et Nicole s’empressa de répondre d’un ton moqueur :
- Mais en lui parlant de toi mon pauvre Armand… En lui rappelant que tu es, en fait, sensé être juste en bas des escaliers discutant avec vos amis. En lui disant qu’elle a une bouche douce pour sucer un vrai sexe, non pas comme le tien ; un sexe qui saura la faire jouir longtemps. Et plein d’autres balivernes, qui ne sont pas forcément vraies, mais qui, croît-moi sur parole, te font mouiller comme une folle quand tu as son sexe qui va-et-vient au fond de ta gorge…
- Assez ! lui dis-je la voix tremblante.
La pensée du slip blanc de Suzanne, que je la vis enfiler il n’y avait que deux heures de cela, en train de s’humidifier de ses secrétions secrètes produites par le plaisir envers un autre homme que moi, cette pensée donc me souleva le cœur et me fit presque vomir.
Je me détournai de la fenêtre et m’assis à même le sol cherchant un peu de répit, mais les paroles de Nicole me forcèrent à me relever.
- Regarde, Armand… ça bouge.
Je repris, presque à contrecœur, mon poste d’observation et vis ma femme qui se relevait. Je priai pour que la chose soit enfin finie, mais dus me résoudre à constater qu’il n’en était rien… bien au contraire. René parla à ma femme et celle-ci, en guise de réponse, fit un mouvement affirmatif de la tête. Ses mains remontèrent alors vers la ceinture de son pantalon mauve et cherchèrent fébrilement à la défaire.
Pendant que ma femme s’activait, mon regard descendit vers le sexe de René qui, comme Nicole l’avait mentionné, ne me semblait pas très imposant, mais dont la rigidité dégageait une impression de puissance certaine. Le membre me semblait luire de la salive de ma femme sous les pâles reflets nocturnes. Ma bouche était sèche.
- Aaahhh, finalement Madame y arrive… souffla Nicole d’un ton malicieux.
Je dégageai mon regard du sexe de René pour effectivement voir les mains de ma femme qui défaisaient maintenant le bouton et le zip latéral de ses pantalons. Elle fit glisser ses pantalons jusqu’au niveau de ses genoux, dévoilant son slip ample et blanc. Elle voulut continuer, mais René la stoppa en lui parlant et posant une main sur ses cuisses. Elle s’arrêta, sembla lui répondre quelque chose, lui sourit et se remit à nouveau à genoux en face de lui. Elle n’hésita pas une seconde et se pencha pour l’engloutir à nouveau.
René s’était assis maintenant plus vers l’arrière du divan, se tenant ainsi beaucoup plus droit. Pour atteindre son bas-ventre, ma femme avait dû se rapprocher du divan, ce qui par conséquence, et vu sa hauteur, devait offrir à René une vue imprenable sur le bas du dos et le postérieur de ma femme.
Il continuait à lui parler. Il avança sa main droite vers le dos de ma femme et fit remonter le T-shirt d’une dizaine de centimètres comme pour mieux admirer son bas du dos dénudé. Puis il passa lentement sa main sous le slip et malaxa pour quelques secondes, la fesse gauche de ma femme. Semblant changer d’avis, il la retira, la descendit plus bas le long du slip. Il l’empoigna et le serra, ce qui eu pour effet de dévoiler les fesses de ma femme.
« Comme le slip d’un lutteur de Sumo », pensai-je malgré-moi. J’étais en état de choc, incrédule. Mes mains tremblaient et il me semblait entendre distinctement les battements de mon cœur. À quelques mètres de moi, René se mit à tirer le slip de ma femme vers le haut en le faisant bien pénétrer dans la raie fessière. Je vis le postérieur de mon épouse s’élever de quelques centimètres. René resta quelques secondes dans cette position, puis il redescendit sa main droite, tenant toujours fermement le slip. Le postérieur de Suzanne redescendit aussitôt. René répéta ensuite ce mouvement de va-et-vient qui imprimait un rythme régulier au postérieur de ma femme.
- C’est toujours lui qui dicte le rythme… Il lui fait sûrement comprendre comment elle doit le sucer, souffla Nicole crûment, sur un ton de connaisseuse.
- Je t’en prie Nicole ! Arrête ! fis-je d’une voie pleurnicharde.
J’étais soufflé par le spectacle; ravagé par la vision de ma femme vautrée sur un autre sexe. J’en voulais terriblement à Nicole de m’avoir fait découvrir cela. Comme un roi antique, j’en voulais au messager rapportant de mauvaises nouvelles. Mais elle n’y pouvait rien. Les deux coupables de mon malheur étaient ma femme et mon soi-disant ami.
- Ça va devenir sérieux.
Une fois encore, Nicole m’exaspérait. Comment donc cela pouvait-il devenir plus sérieux encore ? Je n’allais pas tarder à le savoir… Sur le divan René avait maintenant lâché le slip et avait enfilé sa main droite bien plus loin, en direction du vagin de ma femme. Il s’affaira quelques secondes. Puis il s’aida de sa main gauche qu’il ramena pour manifestement écarter les fesses de Suzanne. Celle-ci avait stoppé son ouvrage et relevé la tête. Les yeux clos, elle se mordillait la lèvre inférieure, ce qui, mes vingt années de vie commune m’avaient enseigné comme un signe inconfondable de son excitation.

Que va t il se passer???? A suivre!

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