Quand cet "autre chose" nous dépasse
Se soumettre à l'impensable.Suite
J’ouvris les fesses avec mes mains et repris la bitte d’André dans la bouche et presque jusqu’à ma gorge.
Anatole me pris par les hanches et recula doucement… J’avais l’impression d’être perforé et que jamais mon cul n’allait se refermer. L’impression de me vider ou de me retourner … comme une chaussette. Je me sentais vulnérable et de plus en plus soumis à leur entière volonté.
Anatole, se remis à avancer en moi, la douleur reprit plus vive encore, je hurlais sur la bitte que j’avais en bouche. Le rythme se fit de plus en plus rapide et je me retrouvais ballotté. Il m’empalait de plus en plus vite et je n’en pouvais plus. D’autant qu’André, me mettais parfois son sexe au fond de la gorge.
Je n’ai aucune idée du temps pendant lequel je me suis retrouvé avec Anatole au fond des reins, mais ça m’a paru interminable… Je savais que de toute façon, André allait, lui aussi réclamer son du et que je devrais subir une seconde pénétration.
Anatole s’est retiré en même temps qu’André, je me suis écroulé sur le lit en respirant difficilement, j’avais l’impression d’être absolument exténué.
André, me mis une grande claque sur les fesses :
- En position ma soumise…. Il y a un deuxième round… »
HO NON PAS ENCORE CETTE DOULEUR !!!!
Comme je m’y attendais, ils n’eurent aucune pitié. Anatole me présenta sa queue toujours recouverte du préservatif (ouf il en avait mis un) et me dis :
- Allez nettoies moi tout ça !!! »
Je le regardais, les yeux toujours plein de larmes… J’allais devoir aller au bout de mon calvaire ;..
J’essayais de le fléchjr, en lui demandant « pitié » avec les yeux, mais il me repris la tête et calmement il ajouta :
- Allez, fais ton devoir salope !!! »
Je soupirais, et ouvrit la bouche pour l’accueillir et le sucer. Quand il jugea que j’avais fais mon devoir, il retira le préservatif, avant de me remettre sa bitte dans la bouche en m’attrapant la tête de ses deux mains pour m’imposer son rythme.
Pendant, ce temps ;je sentis les mains d’André sur mes hanches et l’entendis plaisanter :
- Dis donc, cousin, elle a le cul bien ouvert la salope… tu l’as bien démonté… je vais pas la louper non plus !!! »
- Allez, maintenant, tu vas t’enculer toute seule ma belle salope. ALLEZ !!! »
- Ca fait trop mal … » dis le souffle toujours court.
- J’m’en fous, Tu préfères un peu de publicité ou tu préfères le faire toute seule comme une grande ? »
En disant ça, il brandissait son portable…
- Non, Maître, arrêtez de me filmer s’il vous plait !!! »
- ALORS ? TU PREFERES QUOI ? »
- Je préfère le faire tout seul… Maître »
- REDIS le salope tu t’es trompée d’accord !!!.... André Bourre la bien cette petite salope pour lui rafraichir la mémoire »
André s’enfonçât brutalement en moi trois ou quatre fois de suite, puis il s’arrêta, me laissant sans voix face à cette nouvelle douleur . Lorsqu’elle s’atténua légèrement Anatole repris :
- Tu disais ma belle ? »
- Je préfère m’enculer toute seule comme une grande Maître »
- Hé ben, tu vois quand tu veux ? »
- Et tu es quoi maintenant ?» Repris André qui recommençais à me bouger les hanches,
- Je suis votre salope soumise »
- HE BEN VOILA !!!! » dirent-ils en chœur.
Obéissant servilement, j’ai commencé à aller et venir sur cette queue plantée en moi, le plus lentement possible. André me claqua violemment les fesses et me dis :
- Plus vite ma salope !!! »
J’accélérais comme il me l’imposait pendant que je prenais la bitte d’Anatole au fond de ma bouche …
Le rythme qu’il imprimait à ma bouche était de plus en plus rapide, et je savais ce qui allait se passer…
André, me repris les hanches et se mit à aller et venir de plus en plus vite, la douleur diminuait un peu, sauf quand il allait trop loin en moi. Dans ces moments là, je criais comme je pouvais la bouche toujours encombrée de cet énorme gland mafflu…
Je sentis les mains D’André se crisper sur mes hanches et je savais qu’il allait jouir en moi…
Les mains d’Anatole me tenaient fermement et je savais que je ne pourrais échapper à aucune des deux éjaculations… J’étais sur également qu’Anatole ne me lâcherait pas et qu’il m’obligerait à avaler tout son foutre…
Mes deux prévisions s’avérèrent justes je sentis les spasmes de la queue d’André dans mon cul et le bouillonnement de celle d’Anatole dans ma bouche… Il ne me laissât pas le loisir de résister, maintenant ma tête contre son ventre et ajoutant :
- Avales tout ma salope soumise, fait plaisir à ton maître. »
J’avalais la semence qui emplissait ma bouche en m’étouffant à moitié.
Anatole me flatta la nuque en disant :
- C’est bien ma salope maintenant tu es entièrement à moi n’est-ce pas ? »
Je reprenais mon souffle péniblement et eus de la peine à articuler :
- oui Maître, je vous appartiens entièrement »
- C’est bien. Bon, on va pas tarder. La prochaine fois que tu vois ta maîtresse, tu m’envoies le numéro de la chambre et le code d’accès ok ? Tu lui proposera un scénario où tu l’attache les yeux bandés. On se chargera du reste. Tu as bien compris salope ? »
- Oui Maître j’ai bien compris »
- Tu me donneras ta belle pour que j’en fasse une bonne salope soumise … comme toi n’est-ce pas ? »
- Oui Maître, je vous la donnerez pour que vous en fassiez une salope soumise comme moi. »
- Tu vois bien … bon allez à plus tard. Laisse ton téléphone ouvert et ne me déçois pas »
Ils partirent après s’être rhabillés, me laissant exsangue et complètement groggy.
Je venais de vivre une VRAIE descente aux enfer et je savais que je n’étais pas au bout de mes (nos) peines…
...................................…
Comment avais-je pu en arriver là
A leur départ, j’étais complètement sonné.
Abasourdi, l’air absent et des douleurs partout d’avoir été ainsi malmené.
Un goût fort dans la bouche et surtout très très mal aux fesses.
Je dormis très mal cette nuit là. Trop d’images se bousculaient.
J’avais beaucoup perdu en si peu de temps.
J’étais passé d’un statut d’hétéro convaincu à celui de « salope soumise » en un après midi.
J’avais laissé un homme me prendre par les fesses je l’avais sucé et j’avais avalé tout son foutre.
Plus encore, il m’avait partagé avec son cousin !!!
Le pire, fut qu’il me filma pendant toute cette séance et qu’il menaçait d’envoyer le film sur le net, si je ne lui permettais pas de soumettre ma maîtresse.
Je ne voyais aucun moyen, d’échapper à ce piège.
Je n’eus pas de nouvelles pendant plusieurs jours. Je recommençais à espérer qu’il ne s’était agit que d’un cauchemard et qu’il abandonnerait son idée d’aller plus loin.
Le mardi de la semaine suivante, on sonna à ma porte. Mon cœur fit un immense saut dans ma poitrine. Je me mis à respirer beaucoup plus vite.
Je mis mon œil au Judas et je failli me trouver mal… C’ETAIT BIEN ANATOLE !!!
Je pris une grande inspiration et j’ouvris la porte.
- Bonjour ma belle laisse moi entrer »
Ca y était, il recommençait à me traiter en fille et s’imposait directement .
- Fais moi un café et reviens me le servir à poil. »
Je parti dans la cuisine sans dire un mot et fis le café. Pendant qu’il passait, j’enlevais mes vêtements comme il me l’avait demandé… Sur ce ton faussement agréable mais qui, en fait, ne supportait pas la contradiction.
Je revins avec le café et entièrement nu. Je le servis sur la table basse et pendant ce temps, il me caressait les fesses.
- Alors ça y est, tu t’en aies remise ma jolie salope ? »
Je ne répondis rien et je baissais la tête.
Il passa un doigt sur mon anus. Je tremblais d’appréhension mais il n’allât pas plus loin.
- Bien, je t’ai dis que je passerais quand j’aurais besoin ou envie de tes services tu te rappelles ? »
- Oui Maître je me rappelle »
- Bien, finalement tu apprends quand même. Bon, et tu es toujours d’accord ? »
Cela me coûtais énormément, mais je répondis :
- Oui maître »
- Oui quoi ? »
- Oui, je suis toujours d’accord Maître »
- Parfait, alors pourquoi n’es tu pas encore en position de soumise ma petite salope ? »
Je baissais les yeux, me mis à genoux devant lui et répondis timidement :
- Pardon Maître ».
Il ne fit aucun mouvement pour enlever son pantalon, me laissant dans le rôle qu’il m’avait imposé. Je devais me conduire comme une salope soumise de sous peine de voir mes frasques exposées sur le net.
Je défis la ceinture et les boutons et ouvrais les deux pans du jean. Il ne portais pas de caleçon et sa bite était presque déjà dure. Il ne me pris pas derrière la nuque pour me laisser tout faire tout seul… ou toute seule….
J’avais réellement l’impression d’être dans la peau d’une femme.
Une femme dominée et qui n’avait d’autre choix que de plaire à son maître.
Je m’apprêtais à prendre le sexe dans mes doigts pour l’amener vers ma bouche.
- Sans les mains ma salope… tu sais bien non ? »
Je penchais mon visage vers cette bite maintenant parfaitement dressée et qui attendait les hommages de ma bouche.
Je savais qu’il voulait que je le lèche en le regardant dans les yeux afin qu’il puisse se repaître de sa position de maître, de dominateur.
Je pointais ma langue timidement vers sa tige droite en remontant vers le sommet, vers le gland.
- Oublies pas mes boules ma salope. »
Je redescendis vers ses couilles et passais ma langue dessus, les embrassant, les prenant alternativement dans la bouche. Au bout d’un moment, je vis dans ses yeux qu’il voulait plus, alors je remontais le long du manche alternant ma langue et ma bouche et j’arrivais au gland que je léchais sur tout le pourtour, passais sur le frein.
Je me doutais qu’il avait envie que je pose ma bouche sur son gland et que j’attende qu’il me pénètre lui même les lèvres.
Ce que je fis.
Il sourit en disant :
- C’est bien, tu sais ce que j’aime hein ma salope ? »
Je hochais la tête et comme je voyais qu’il ne faisait rien, je répondis :
- Oui Maître »
A peine avais-je fini ma phrase qu’il posait sa main sur ma tête en appuyant et faisait entrer sa bitte entre mes lèvres asservies.
Il voulait visiblement entrer le plus loin possible, j’eus plusieurs hoquets. A chaque fois il se retirait pour se ré-introduire plus profondément.
- Laisse ta bouche ouverte »
Je lui complu laissant ma bouche ouverte comme un réceptacle pour sa bitte. Il me pénétrait la bouche se retirait et recommençait. Je bavais de plus en plus et il semblait très satisfait.
- On dirait une actrice porno ma salope c’est bien continues come ça »
J’abandonnais toute fierté, je restais dans mon rôle de soumise, je me laissais complètement faire.
- Allez souris un peu sois VRAIMENT salope ma belle. »
J’essayais de sourire mais j’étais trop triste pour ça. Je repris donc ma fellation en silence.
Il me pris sous le menton et me regardât en disant :
- Si on passait à quelque chose de plus sérieux… Je suis sur que tu en as très envie hein ma salope ? »
Je n’osais pas répondre, je voulu retirer le sexe de ma bouche pour me relever mais il interrompit mon geste.
- Je t’ai posé une question salope alors TU REPONDS !!!»
- Oui Maître »
- Oui quoi ? FAIS DES PHRASES !!! »
- Oui j’ai envie »
Je vis son regard se durcir et me scruter. Je sus immédiatement ce qu’il voulait que je lui dise. Il voulait que je lui offre ma soumission en même temps que mon corps.
- Oui maître j’ai … très envie de me faire prendre par vous. »
- tu as très envie que je t’encule ma salope ? »
- Oui maître j’ai très envie que vous m’enculiez »
- Tu veux encore être ma salope soumise ? »
- Oui Maître »
- DIS LE !!!! »
- Je veux encore être votre salope soumise ».
- bien va sur le lit et installes toi, j’arrive ! »
Il partit aux toilettes et pendant ce temps, je me mis en levrette sur le lit.
Je savais pertinemment qu’il me voulait dans cette position de soumission et que si je l’attendais en écartant, les fesses, il serait encore plus satisfait.
Après un instant, d’hésitation, je mis mes mains de chaque côté et j’ouvris mes fesses pour les lui offrir.
Il entra dans la chambre, je ne le voyais pas mais je devinais parfaitement son sourire satisfait.
- C’est très bien ma salope, très bonne initiative ! Tu m’offres ton cul ? »
- Oui Maître, je vous offre mon cul. »
- Pourtant tu n’as pas à le faire n’est-ce pas et tu sais pourquoi hum ??? »
- … Oui Maître, parce que mon cul vous appartient. »
- Bonne réponse. Maintenant, je veux te voir te préparer. Mets toi un doigt dans le cul »
Je lâchais mes fesses mettais un doigt dans ma bouche et enfonçais une phalange dans mon cul.
- Bien, ma salope, allez fais le tourner un peu ressors le, oui c’est bien remets le maintenant… »
Je faisais tout ce qu’il me demandait comme pour ne pas lui déplaire.
- Allez écartes bien ton cul, montre moi, comme tu as très envie que je te tamponne »
j’ouvris de nouveau les fesses.
- Tu as vraiment envie hein ma salope ? »
- Oui maître j’ai vraiment envie »
- Demandes le !!! »
- Prenez moi Maître . »
- Comment on demande ? »
Après un moment d’hésitation, je plongeais dans une parfaite soumission :
- Enculez moi Maître …. S’il vous plait »
- C’est beaucoup mieux ma salope »
Je sentis qu’il posait son gland sur mon anneau et qu’il commençait à me perforer, me pénétrer, m’embrocher lentement.
La douleur revenait un peu moins forte que la fois précédente, mais tout de même très très présente. Je grimaçais en serrant les dents.
Il s’arrêta à mi chemin avant de dire :
- Allez, à toi de faire le reste du chemin, puisque tu en as tellement envie, fini de t’enculer toi même «
Je craignais qu’il ne me demandât cela.
Je reculais doucement vers son ventre, les larmes me montaient aux yeux. Je continuais progressivement je sentais mon cul s’agrandir. Chaque centimètre était plus douloureux que le précédent. J’essayais d’avancer et de reculer un peu plus à chaque fois sur ce membre tendu.
Lui, ne faisait rien et me laissait m’enculer tout seul .
Petit à petit, je parvins à toucher son ventre avec mes fesses. Je su qu’il était au fond de moi…enfin !
Je pensais prendre un peu de temps pour m’habituer à cette intrusion d’un sexe de grosse taille, mais à peine avais-je touché son ventre, qu’il me prenait par les hanches et m’imposait un rythme trop important pour moi.
Je hurlais de douleur :
- AÏEEEEE !!! STOP !!! ARRÊTEZ MAÎTRE PAS SI FORT HAAAAAAA !!! »
- TAIS TOI, ET OUVRES TES FESSES !!!! »
Je fis ce qu’il demandais et il repris son rythme infernal. J’avais l’impression d’être complètement ouvert et dominé. Il m’imposait son allure et je subissais en pleurant la tête dans l’oreiller.
Il s’arrêtât brusquement et se retira d’un seul coup. La douleur fut encore plus vive !!!
- HAAAAAAAAAAAAAA S’IL VOUS PLAIT … DOUCEMENT HAAAAAA !!!! »
Je m’effondrais sans force sur le lit
Il me contemplât un moment et s’allongea à côté de moi sur le dos.
- Viens t’empaler sur moi salope. »
J’ouvris les yeux et me remis doucement sur les genoux je ne voulais plus ressentir cette atroce douleur et le regardais suppliant :
- S’il vous plait Maître, j’ai trop mal je peux vous sucer si vous voulez »
- Tu as envie de me boire ? »
- Oui Maître, j’ai envie de vous boire. »
- D’accord, tu vas tout boire ne t’inquiètes pas… »
Je m’apprêtais à me pencher sur sa bitte toujours recouverte du préservatif, mais il me pris le menton attirant mon regard vers le sien et me dit d’une voix douce et calme :
- …Mais d’abord, ma salope, tu vas venir t’empaler sur la belle bitte de ton maître, parce qu’il a encore envie de ton joli cul et que tu ne dois JAMAIS contredire mes ordres t’as compris ? »
J’eus encore plus envie de pleurer. Je baissais les yeux et répondis :
- Oui Maître, j’ai compris »
Je me remis sur les genoux et enjambais son corps allongé. Je me mis accroupi au dessus de lui en écartant mes fesses d’une main. J’attrapais son sexe dressé et dur et posais son gland sur la corolle de mon anneau distendu. Je l’enfonçais légèrement avant de reprendre mes fesses dans chaque main et de descendre doucement sur cette tige érigée.
Je voulais y aller doucement car déjà la douleur refaisait son apparition, mais à peine avais-je entamé l’horrible descente, qu’il donnât un violent coup de rein et m’empalât d’une seule poussée.
- HAAAAAAAAA !!!!! PITIE DOUCEMENT !!!! »
- savoure ma belle tu es à qui ma salope ? »
- … A vous Maître, mais s’il vous plait faites doucement j’ai tellement mal … »
Il me collât contre son ventre et me demandât de faire des mouvements d’avant en arrière.
- Profite bien de ma bitte tu aime m’appartenir n’est-ce pas ? »
- … Oui Maître j’aime être à vous »
Pendant que je m’exécutais, il repris sa domination en me disant :
- Alors comme ça, tu as envie de me boire petite salope ? »
Je n’avais pas d’autre choix que de lui complaire et de confirmer ce qu’il exigeait de moi.
Au fond de moi, je préférais largement le boire que de subir cette douleur affreuse à laquelle je ne m’habituais pas du tout.
- Oui Maître, j’ai envie de vous boire. »
Je bougeais toujours sur sa queue suivant ses instructions et au bout d’un long (trop long) moment il me dit :
- Allez, fais toi plaisir et fini moi comme une salope doit le faire pour faire plaisir à son maître. »
Je me retirais le plus lentement possible pour, à la fois, ne pas trop souffrir et ne pas lui déplaire en allant trop doucement.
J’enlevais le préservatif et mis ma bouche sur son gland. Je levais les yeux vers lui, attendant qu’il m’attrape la nuque pour faire descendre ma bouche le long de son manche dressé. J’ouvris grand les yeux… HOOOOOOO NON !!!! IL ETAIT EN TRAIN DE ME FILMER !!!
Il souriait tenant la caméra.
- Tu es très bien comme ça, les lèvres sur mon gland tu aimes plaire à ton maître hein salope ? »
- Oui Maître. »
- Tu as envie de me boire ? »
- Oui, j’ai envie de vous boire Maître. »
Il appuya sur ma tête, le signal était donné, j’allais de nouveau recevoir sa semence dans ma bouche dans peu de temps.
Je le suçais comme il aimait et je m’appliquais pour essayer d’écourter cette torture… En finir au plus vite.
- C’est bien, salope, tu t’en tire très bien, tu apprends bien. Allez applique toi.
Bon, tu la vois quand ta belle ?»
Je sortis sa bitte de ma bouche avec un temps d’arrêt… Il voulait toujours soumettre mon amante et je ne voyais pas comment y échapper.
- … Jeudi Maître »
- Tu sais ce que tu as à faire n’est-ce pas ? »
Les larmes me montaient aux yeux.
- Oui Maître, mais s’il vous plait ne le faites pas je vous en prie. »
- Je vais pas me gêner tu le sais très bien car tu t ‘aies engagé à me faciliter les choses tu te souviens n’est-ce pas ? »
Je ne répondis pas .
- N’EST-CE PAS ???? »
- Oui maître » Dis-je en pleurant.
- Alors que dois tu faire salope ? »
- Je dois vous envoyer le numéro et le code d’accès par SMS et lui proposer un scénario où elle sera attachée les yeux bandés. »
- Voila c’est tout à fait ça… allez fini moi. »
Je repris sa bite dans la bouche et la fis coulisser dans ma bouche. Il me reprit la tête à deux mains et accélérât la cadence à sa guise. Je sentais ce sexe énorme enfler encore …
Il allait jouir de nouveau !!!
- HAAAAAAA AVALES TOUT MA SALOPE !!! »
Je sentis sur ma langue, s’écraser un à un les jets de foutre qui emplissaient peu à peu ma bouche. Je fermais les yeux et avalais tout le foutre le plus vite possible…
Encore cet horrible goût dans ma bouche … et partout sur moi.
- C’est bien, tu aimes ça hein ma belle ? »
Je ne savais plus quoi faire pour échapper à cette soumission et lui répondis :
- Oui Maître j’aime boire votre jus »
Il glissât sur le côté et se leva pour aller boire dans la cuisine. Je restais anéanti allongé sur le ventre. Dans la position d’une amante fatiguée… alanguie…
Je me dégouttais.
Il revint et se rhabillât :
- Bon, je te dis à Jeudi et ne me déçois pas si tu ne veux pas de publicité tu as bien compris ? »
- Oui Maître, j’ai bien compris. »
Il sortit et j’entendis la porte se fermer. Je me remis à pleurer à chaude larme ne voyant vraiment aucune solution pour me sortir de ce guêpier.
Je ne dis rien à ma maîtresse sur le traquenard qui l’attendait. Je savais qu’ils allaient la soumettre. Aucun doute qu’André serait là lui aussi et qu’il participerait à la fête.
J’angoissais. Ils allaient, bien sur tout filmer et je n’osais même pas envisager la suite…
Son ménage ruiné, ma vie entièrement bouleversée… Nous deux en salopes soumises… Voire pire …
Le Jeudi, vint beaucoup trop vite à mon goût et j’arrivais à l’hôtel le premier. Je pris la chambre et montais m’y installer.
Je regardais les lieux … futurs témoins de notre asservissement, de notre déchéance, de notre soumission.
Je pris mon téléphone et envoyais un SMS à Anatole.
Il répondît immédiatement :
« BRAVO MA SALOPE N’OUBLIES AUCUN DETAILS !!! »
Elle allait être donnée par moi, en pâture, aux appétits lubriques d’Anatole et André.
J’allais devoir assister à sa transformation en « salope soumise » comme je l’étais devenu(e) moi même. Je me disais que nos vies allaient changer à jamais dés la fin de cette journée.
J’entendis des pas dans le couloir… Mon cœur bondit violemment… On grattât à la porte.
Je ne pouvais plus reculer je ne pouvais plus faire marche arrière. Nous y étions de façon inéluctable cette fois-ci !!!
J’ouvris. Elle était belle, radieuse même et j’eus un pincement au cœur en imaginant que tout à l’heure, elle allait être à genoux, les mains dans le dos, menottée… obéissante … servile même.
Je la pris dans mes bras enfouissant ma tête dans son cou et l’embrassant le plus fort possible.
Je tentais de prendre un air dégagé…
- Mon amour, aujourd’hui, tu vas être très très obéissante. Tu vas m’être soumise entièrement »
- Ha bon ? entièrement ? Tu vas me faire découvrir des choses encore ? »
- Oui ma chérie, plein de choses. D’abord, je vais te bander les yeux et toi, tu te laisses faire ok ? »
- HUMMMMMM oui mon amour. »
J’étais déchiré de la piéger de cette façon.
Je l’ai déshabillé, puis lui ai bandé les yeux. Pour finir, je l’ai agenouillé lui passant les menottes les mains dans le dos.
- HUMMMMMM mon ange, tu a l’air très chaud et imaginatif aujourd’hui. »
Je la voyais prête au sacrifice de sa tranquillité, de sa liberté, prête à être ce qu’Anatole et André voulaient qu’elle devînt.
Je l’embrassais, la caressais, lui disais des mots doux. J’entendis des pas dans le couloir.
J’avais de plus en plus de mal à respirer, j’étais au bord du malaise.Comme nous l’avions convenu avec mes « Maîtres », je lui dis :
- Je vais aux toilettes et je reviens, ne bouges pas mon amour. »
Je fis bruisser mes vêtements, comme si je me rhabillais et j’ouvris la porte.
Anatole et André étaient bien là, souriants.
Je sortis et ils me dirent à l’oreille :
- Bien, je vois que tu es obéissante. On se désappe maintenant et on entre à trois. Tu commences le scénario et ensuite, on prend le relais. »
Je chuchotais :
- Oui Maître. »
- Tu as pensé au parfum ?
- Oui Maître »
- Donnes »
Je leur tendis ma bouteille de parfum. Il s’en mirent partout, sous les bras, dans le cou, sur le ventre et même sur le pubis.
- Pendant qu’on s’occupe de ton ancienne conquête, toi, tu vas filmer… enfin quand tu ne seras pas pris par tes autres devoirs. »
Il me tendit une caméra
Je rouvris la porte, les deux maîtres sur mes talons.
Elle était belle, offerte. Ils la regardaient avec une grande concupiscence. Je voyais qu’ils se réjouissaient de ce qui allait se passer.
Anatole s’avançât et effleurât sa peau. Il était impossible à ma belle de savoir que ce n’étaient pas mes mains.
Des épaules, il glissât sur les seins dont les pointes dressées témoignaient qu’elle était excitée et qu’elle attendait ces caresses là.
Je voyais sa peau frissonner et j’eus une grande peine en pensant qu’elle allait changer d’attitude dans très peu de temps. J’ignorais comment elle allait réagir, lorsque je vis qu’André me donnait un papier : « Dis lui, laisse toi faire mon amour »
Je répétais la phrase et vis qu’Anatole tenait à la main une espèce de harnais avec une boule rouge en latex.
- Oui je me laisse faire mon amour je suis à toi.»
Cette phrase me fit terriblement mal. Je la savais tellement lourde de conséquences.
Anatole, me tendit le harnais. Je plaçais la boule dans la bouche de ma belle, et bouclais le harnais derrière sa tête.
- Ca va comme ça tu n’es pas trop gênée ? »
Elle balançât la tête de gauche à droite « HUU-HUU .»
Je compris qu’elle ne pouvait plus du tout parler… Juste émettre quelques sons rien de plus.
André posât ses mains sur la nuque de ma belle, descendît sur son dos se collât doucement derrière elle et empaumât ses seins. Il caressait doucement sa peau pour que, trompée par le parfum, elle ne se doutât pas qu’il se fut agi d’un autre.
Il déposait des baisers dans son dos et faisait glisser ses doigts vers son ventre, effleurant les poils de son sexe qui déjà devait largement dégouliner de ciprine.
Pendant ce temps là, Anatole me prit la caméra, posât sa main sur ma nuque et je compris que les choses étaient lancées et que plus rien ne les arrêterait.
Je me mis silencieusement à genoux cherchant déjà à prendre la bitte de mon Maître dans la bouche. J’y parviens et maîtrisant mon souffle, je commençais ma fellation.
Du coin de l’œil je voyais André. Il avait pris un téton entre ses dents et le mordillait, le suçait.
Il s’allongeât, sur le dos, fît écarter les jambes de la belle et se glissât entre elles.
Il se mît à embrasser l’intérieur des cuisses, posât ses lèvres sur la chatte ouverte et suintante et je vis sa langue lécher l’intérieur pendant que je pompais toujours Anatole.
La belle soupirait déjà croyant se donner à moi.
A ce moment là, je pense que ma tendre, ne se doutait encore de rien. Elle se laissait aller dans ce silence que je percevais si lourd, si pesant.
Je vis les mains d’André emprisonner les seins et les presser de plus en plus fort.
- HUUUMMMM !! »
La belle fut un peu surprise, mais se laissait toujours faire.
Il m’arrivait de faire la même chose pour la surprendre de temps à autre.
André prit les fesses de mon amante d’une main et toujours les lèvres collées a sa chatte, il la souleva son autre main dans son dos. Il la posât sur le lit les jambes toujours écartées… offertes.
Il se releva pour laisser la place à Anatole qui s’installât entre le compas ouvert de la belle qui ne se doutait toujours de rien. Il lui pris les cuisses et se mît à la lécher abondamment.
André prît la caméra et la place de son cousin dans ma bouche ouverte, déjà pleine de filet de bave.
Je pleurais en silence voyant que ma tendre, qui se laissait faire, ignorant qu’elle venait de changer de Maître sans le savoir, sombrait lentement dans ce qui allait devenir son entière soumission.
Après un interminable cunnilingus Anatole se levât. Il fît un signe de tête à André.
Celui-ci sortit de ma bouche servile et me fît un signe à son tour… Je savais ce que cela signifiait…
Il m’avait dit le Mardi, que je devrais lui offrir la chatte de ma tendre en mettant moi même sa bitte à l’entrée du sexe qu’il comptait asservir.
Sans bruit, je m’approchais, pris la bitte entre mes doigts. Anatole m’appuyât sur la tête pour que je le suce un peu.. ce que je fît.
Après quelques aller-retour sur ce sexe dur, je le repris entre mes doigts et le posait à l’entrée de la chatte de ma belle qui allait changer de maître de façon assez soudaine.
Nul doute qu’elle allait sentir la différence de calibre et que l’ambiance allait en être bouleversée.
André, m’attrapât par les épaules et m’aidât à me relever sans bruit.
Nous restions ainsi côte à côte pendant qu’Anatole pressait son gland contre l’ouverture béante de la nouvelle victime… Encore consentante pour quelques secondes.
Il entrât le bout du gland et dans un mouvement lent et inexorable, pénétrât tout le sexe de cette femme alanguie.
- HUMMMMMMMMMMM !!!! »
Je me doutais qu’elle était surprise et qu’elle commençait à comprendre qu’il ne s’agissait pas de moi.
Quand il fût au fond, il se penchât à son oreille et lui dit doucement.
- Tu ne reconnais pas cette bitte n’est-ce pas ? Tu vas apprendre à lui obéir pourtant ma belle. Tu vois, je n’aime pas qu’on revienne sur sa parole alors je viens prendre ce que tu avait promis de me donner. »
- HONNNNNNNNNNNNNN HUMMMMMMMMMMM !!!! »
Elle essayait vainement de se débattre de le faire sortir d’elle.
Elle ne pouvait émettre que des sons étouffés et presqu’inaudibles du couloir.
- Tu vas m’appartenir ma chérie et ne plus jamais me désobéir… tu vas voir. »
Il pesait de tout son poids et elle devait avoir mal aux bras toujours maintenus dans son dos par les menottes qu’elle avait aux mains.
Elle ruait encore et tentait de resserrer ses jambes en se cambrant.
Il lui attrapât la gorge et se mît à serrer de plus en plus fort :
- Chutttt inutile de te faire mal, tu vas être ma nouvelle soumise. Ne bouge plus si tu ne veux pas que je serre encore. »
A suivre...