Quand la bête prend le contrôle de vos vies
Fin
Elle cessât de remuer.
- C’est bien maintenant, tu ouvres les jambes et tu les refermes sur mon dos. »
André filmait la scène avec une grande excitation et un grand sourire sur les lèvres.
J’étais effondré et je vis ma belle qui ne ruait plus, ouvrir ses jambes en grand et les nouer sur le dos de son nouveau maître.
- Bien, tu comprends assez vite. Laisse toi aller maintenant. »
Il se retirât un peu pour revenir au fond de ce sexe écarté comme jamais.
Il prît un rythme lent dans le retrait mais puissant et rapide lorsqu’il s’enfonçait de nouveau.
- HUUUUMMMMMMMMMMM HUMMMMMMMM HUUUUH HUMMMMMM !!! »
Elle subissait la pénétration d’un calibre jusque là inconnu. Anatole se plaisait à imposer son rythme et se délectait des réactions, des sursauts de celle qu’il pénétrait à sa guise.
Il se retirât et lui dit en faisant un signe de tête à André,
- Je vais te présenter mon cousin André . Tu restes les jambes bien ouvertes et tu fais comme pour moi. Aujourd’hui, tu as deux maîtres pour le prix d’un »
Il laissât la place à André qui n’attendait que ça !
Il pointât son gland sur la chatte asservie et dilatée et s’enfonçât d’un seul coup.
- HUUUUUUUUUUUUUUUUUH »
Elle sursautât et se remit à gémir mais plus faiblement. On sentait, qu’elle se résignait peu à peu.
Ils étaient tout simplement en train de la briser comme on le fait d’une jument trop rétive. Il allaient se servir d’elle jusqu’à ce qu’elle ne dise plus rien et qu’elle se laisse faire comme une poupée de chiffon.
André imposât un rythme beaucoup plus soutenu que son cousin, qui semblait vouloir savourer ces instants là. André n’était que le maître en second… Celui qui dirigeait, c’était Anatole.
- Tu vois, on a les même proportions avec André… Tu en penses quoi ma salope »
Il me regardait en finissant sa phrase.
Ma belle ne pouvait pas parler, je compris, je baissais les yeux et répondis timidement:
- Oui maître »
J’espérais qu’elle ne m’entendrait pas avec le bruit que faisait le sommier.
Anatole me fit un clin d’œil… Je sais qu’il nous réservait d’autre surprise, d’autres tortures morales et physiques.
- N’oublies pas tes devoirs » me dit-il
Je me remis à genoux devant lui, et pris sa bitte entre mes lèvres échauffées et toujours douloureuses pendant qu’il filmait la scène.
Au bout d’un long moment durant lequel ma tendre gémissait de plus en plus faiblement commençant à s’habituer au calibre qui lui distendait le sexe… et lui donnait peut-être même du plaisir, André se retirât et Anatole dit alors :
- Bon, on va passer à la suite mes petites salopes. »
Il retournât la nouvelle soumise toujours attachée, sur le ventre.
Comprenant, ce qui allait lui arriver, elle tentât de se soustraire à l’inévitable en gigotant de plus belle essayant de se lever, de fuir.
Anatole se mît derrière elle, l’entourât de ses bras , l’installât en levrette les jambes serrées en la maintenant par les hanches.
Elle devait sentir son sexe, contre elle et refusait de se plier aux volontés de celui qui, de toute façon allait lui imposer ses exigences.
Elle parvînt à s’allonger sur le ventre.
- Tu n’apprends pas vite et tu n’as pas encore compris ce qui se passait ici hein ? »
Il lui claquât violemment les fesses plusieurs fois. Celles-ce prirent immédiatement une teinte rouge tant les coups qui pleuvaient étaient rapprochés et brutaux.
- HUUUUUUUUU HUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUU »
Elle criait à chaque claque. Après une dizaine de coups, il lui dit calmement :
- Tu te remets en levrette toute seule comme une grande et tout de suite ma salope. »
Elle n’obtempérât pas tout de suite.
Les coups reprirent de plus belle. Une autre dizaine de claques venaient de s’abattre sur ces fesses si rondes, si belles et bientôt si complaisantes…
- Obéis ma belle sinon, tu vas le regretter. »
La voix d’Anatole était douce, presque prévenante, mais je sentais qu’elle était aussi lourde de menaces.
La belle du le sentir aussi car en suivant, elle se mit dans la position que lui avait indiqué celui qui était DEJA son nouveau maître.
- C’est mieux ma belle. Tu es toute à moi aujourd’hui tu as bien compris ? »
En disant cela, il lui avait attrapé les cheveux et lui tirait la tête vers l’arrière.
Il la laissât retomber lourdement sur le lit et il s’approchât de ses fesses tendues et soumises. Il me regardât et me fît signe de venir.
Silencieusement je m’approchais et n’attendant pas ses consignes, je pris sa bitte dans ma bouche et le suçait pour qu’il redevienne parfaitement dur.
Il mit ma tête entre les fesses et dit simplement :
- prépare la bien pour moi »
Je ne me posais plus aucune question, je subissais simplement mon sort qui était en train de devenir celui de celle que j’avais piégé et offerte aux appétits des deux maîtres qui allaient nous dominer toute la journée … et peut-être… certainement même bien au delà de la journée …
Le léchais le trou de ma belle lui écartant les fesses au maximum.
Je faisais tout ce que je pouvais pour entrer ma langue afin de lui épargner une trop grande douleur.
Je savais trop bien ce qu’une pénétration mal préparée pouvait engendrer comme douleurs. Surtout avec de tels calibres.
Anatole m’écartât, posât son gland sur la rondelle qui se serrait spasmodiquement.
- Détends toi ma belle sinon, tu vas vraiment jongler. »
maintenant les fesses écartées, je regardais son gland qui forçait ce trou habitué à un sexe plus modeste. Il poussât un peu plus et l’anneau s’ouvrit d’un seul coup arrachant un énorme cri assourdit par la boule de latex.
- HUUUUUUUUUUUUU HONNNNNNN HONNNNNNNN HONNNNNNN »
Elle secouait la tête dans tous les sens et hurlait tout ce qu’elle pouvait.
Le gland était passé, et le reste allait suivre. J’avais peur qu’il n’abîme définitivement le cul de se nouvelle soumise.
Il marquât une pose laissant à sa victime le temps de s’habituer un peu à cette intrusion inédite.
- Détends toi, tu ne peux rien empêcher, alors pousse un peu vers moi pour ne pas prendre trop cher »
Il s’enfonçât encore un peu se retirât immédiatement et reprît son manège sans s’arrêter.
- HUUUUUUUUUU HUUUUUUUU HONNNNNNNNNNNN !!! »
Il fît une pause en lui flattant le dos comme on le fait à un animal pour le calmer, le rassurer.
- Voila ma salope, on y est presque relâche toi accepte ton nouveau maître »
Il reprit ses aller-retour lents mais tellement déterminés. Il la limait complètement allait jusqu’au fond de son cul avant de se retirer en sortant presque.
- HUUUU HUUUUU »
Elle semblait s’accoutumer peu à peu à la bite de son suborneur qui prenait un évident plaisir à visiter ce cul majestueux et offert à se concupiscence.
André filmait toujours pendant que j’avais repris mon travail de suceur (suceuse ?)
Après un très long moment, Anatole s’arrêtât et laissât la place à son cousin tout heureux de pouvoir à son tour prendre possession de ses fesses tendues.
Anatole continuât de filmer. Il me prenait en gros plan et me dit :
- Alors qu’en penses tu ? Elle semble bientôt prête à être notre nouvelle salope soumise non ? »
J’essayais de ne pas répondre trop fort mais ne pu que me résigner à dire :
- Oui Maître ».
Encore une fois, les bruits du sommier avaient été assez forts pour couvrir le son de ma voix.
Je me sentais à la merci d’Anatole qui décidât de ne pas poursuivre cette domination morale, intellectuelle sur moi. Il se contentât d’appuyer de nouveau sur ma nuque pour me plier en deux et m’obliger à le reprendre en bouche… ce que je fis …servilement.
André se montrait moins doux que son cousin et pris d’assaut les fesses de la nouvelle soumise qui se remit à gémir de plus belle.
- HUUUUUUUUU HUUUUUUU HUUUUUUUU »
Il la limait sans pitié… Changeait de rythme… Tantôt lent tantôt plus rapide et plus sec.
Ce fut encore une fois interminable. Pour elle et pour moi. Elle devait avoir les bras complètement ankylosés, mal aux épaules aussi certainement… Sans parler de son cul évasé, distendu complètement ouvert.
Lorsque André sortit du cul de la soumise, nous vîmes tous que l’anneau ne se refermait pas tout de suite restant béant…
Anatole, me dit alors :
- Nettoies ! »
Je me mis à faire aller ma langue sur le pourtour de cet anneau martyrisé et encore ouvert. André pesa sur ma tête, je compris ce qu’il voulait et enfonçais ma langue au fond de ce cul désormais soumis à d’autres que moi.
Anatole s’approchât de la belle qui gémissait sourdement dans son bâillon de latex, toujours menottée, toujours aveugle :
- Tu veux que je te retire la boule ma belle ? »
Elle fit oui de la tête sans hésiter un instant.
- Bien je vais le faire mais tu dois me promettre d’abord que désormais lorsque tu t’adresseras à nous ça sera en nous appelant Maître c’est entendu ? »
Il avait parlé avec la voix de celui qui fait juste des recommandations d’usage du genre
« Avant de traverser la route tu regarde d’abord bien à droite et a gauche hein ?
Il me sembla qu’elle pleurait doucement mais plus de douleur. Elle pleurait de résignation, comme j’avais pu le faire quelques jours avant elle.
Elle fit « Oui » de la tête.
- Bien. Désormais, tu es NOTRE SALOPE SOUMISE. Tu es d’accord ? »
Elle soupirât lourdement avant d’opiner du chef.
- Bien, je vais t’enlever la boule et tu vas juste nous dire ça : « Je suis désormais votre salope soumise » tu m’as bien compris juste ça !!! Sinon je te remets la boule !!! »
Elle opinât derechef.
Anatole enlevât le harnais qui maintenait la boule de latex.
Elle ouvrit et fermât la bouche à plusieurs reprises pour détendre un peu les muscles tétanisés par la position contraignante ainsi que le cris qu’elle avait du pousser mais qui étaient restés presqu’inaudibles .
On l’entendit dire d’une voix faible :
- désormais je suis votre salope soumise »
- BRAVO !!! c’est bien tu apprends vite et bien. Dis moi, es tu heureuse d’être notre nouvelle salope soumise ? »
- NON JE NE SUIS PAS HEUREUSE VOUS M’AVEZ VIOLE »
Anatole lui gifla la joue à toute volée. Elle tomba sur le côté et André, reprit le harnais pour le lui remettre.
Il l’installât posément sur ses genoux et lui mit une fessée énorme. Il lui claquât les fesses une bonne vingtaine de fois.
- HUUUUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUUUU HUUUUUUUUUUUUUU »
Elle criait à chaque fois mais il se montra intraitable.
Je voyais de grosse larme couler sur ses joues.
Anatole la repris par les cheveux et lui parla calmement :
- Je vais reposer ma question une seule fois… essaies de te souvenir de ce que tu es devenue et ce que tu dois me répondre pour ma plaire. Tu as compris ?»
Je la vis faire oui de la tête en pleurant sur la boule de latex.
- Alors ma salope tu es heureuse de nous être soumise maintenant ? »
Puis, il retirât de nouveau le harnais.
J’attendis anxieux la réponse de celle qu’on libérait.
- … Oui Maître, je suis heureuse d’être votre salope soumise »
- Bien je suis très content de te voir devenir raisonnable. »
Il lui caressait les joues, essuyait ses larmes.
- Ne pleures plus. Tu veux que je te détache ? »
- Oui Maître »
- Et comment on demande ? »
- S’il vous plait Maître »
- Lorsque tu seras détachée, tu garderas les mains dans le dos, c’est ta position de soumise tu m’as bien compris ? »
La tête baissée, elle répondit faiblement :
- Oui Maître, j’ai bien compris. »
Il la détachât. Elle suivit les consignes en attrapant ses poignets pour rester dans cette position.
- Je suppose que tu veux nous remercier de t’avoir fait découvrir ta nouvelle condition hum ? »
- Oui Maître »
- Bien, je te détache et tu viendras nous remercier comme il se doit n’est-ce pas salope ? »
- Oui Maître »
Il lui ôta le bandeau des yeux. Elle clignât des paupières et ne vit d’abord que ses nouveaux maître assis tranquillement sur le rebord du lit. J’étais derrière l’armoire, om m’avait mit André et je filmais la scène.
Anatole lui prit le bras pour qu’elle se remette sur ses pieds et qu’elle vienne devant eux.
Elle tremblait sur ses jambes ankylosées par la longue position à genoux.
Je la filmais de profil. Je voyais ses seins lourds monter et descendre au rythme de sa respiration haletante.
Elle gardait la tête baissée.
- Tu n’avais pas parlé de nous remercier ma salope ? »
Elle levât les yeux interloquée :
- Merci d’avoir permit que je sois votre nouvelle salope soumise »
- C’est bien, mais c’est insuffisant ma salope. A qui appartient ta chatte désormais ? »
- A vous Maîtres »
–« Bien et ton cul à qui appartient-il. ? »
- A vous Maîtres »
- Bien, et que te reste t-il à nous offrir pour nous remercier ? »
Elle resta interdite un moment, je voyais dans le viseur qu’elle avait cru que ça s’arrêterait là. Je voyais également qu’elle réalisait que ce n’était QUE le début…
Elle baissât les yeux et dit faiblement :
- Il reste ma bouche Maîtres »
- Bien et tu veux nous offrir ta bouche pour nous remercier ?c’est ça salope ? »
Elle hésitât mais vit qu’elle était complètement coincée et d’une voix faible répondit :
- Oui Maîtres je veux vous offrir ma bouche pour vous remercier »
- Nous remercier de quoi déjà ? »
- Pour vous remercier d’avoir fait de moi votre salope soumise »
- Commences à nous remercier .»
Je la vis se mettre à genoux, toujours les mains dans le dos et je savais ce qu’ils allaient lui demander puisque j’étais aussi passé par là.
- Regardes nous pour bien nous remercier et commences ton devoir »
Je la vis essayer de prendre la bitte d’Anatole dans sa bouche.
- Non, lèches là d’abord . fais là se redresser.»
Elle léchât la bitte de la base à la pointe puis passât à l’autre bite…
Les deux sexes se redressaient autant par les coups de langue que par la soumission de la nouvelle salope servilement obéissante offrait à ses nouveaux maîtres.
Lorsque les deux membres furent dressés tout à fait, Anatole la prit par les cheveux et lui dit :
- Poses tes lèvres sur le bout de mon gland. »
Je la vis obéir et regarder Anatole dans les yeux.
- Ta bouche est à moi désormais. Suces moi»
Elle ne le quittât pas des yeux et je la vis refaire les mêmes gestes que je fis quelques jours avant.
Elle le suçât longtemps. Je voyais sa tête monter et descendre sur la tige tendue.
- Un peu à moi aussi. »
Dit alors André en lui attrapant les cheveux.
Elle soupirât lourdement quittât la bite d’Anatole en passant à celle d’André.
Anatole s élevât et vint vers moi.
- Allez viens voir ton ex sucer mon cousin. »
Elle voulut se relever mais André lui tenait la tête et la maintenait dans son rôle de suceuse.
- Lâches là un peu cousin. Il faut qu’elle sache pourquoi son ancien mec n’a pas réagit tu ne crois pas ? »
- Oui t ‘as raison cousin. »
André remis la nouvelle soumise qui n’en croyait pas ses yeux ni ses oreilles. Elle ouvrait de grands yeux et gardait la bouche bée.
- Si ton ancien mec n’a rien fait ni rien dit, c’est parce qu’il occupe la même position que toi tu comprends ? »
Elle n’arrivait pas à faire le tri dans sa tête et ne comprenait rien. Interdite, elle dit seulement :
- Non Maîtres, je ne comprends pas.»
Il s’adressa directement à moi :
- hé bien, mais éclaire là, tu lui doit quand même bien ça non ? Dis lui qui tu es. »
Je baissais les yeux en pleurant doucement et laissais échapper :
- Je suis comme toi… Une salope soumise »
- NON !!!! pas toi mon chéri »
- Bon, tu n’y couperas pas. Comme elle ne semble pas comprendre, montre lui. »
Je m’agenouillais devant Anatole les mains dans le dos en le regardant dans les yeux.
Je posais ma langue sur ce sexe qui reprenait peu à peu une belle consistance et me mis à le lécher sur toute la longueur. Il se dressait lentement et lorsqu’il fut presque droit, je mis ma bouche sur le gland attendant immobile que le Maître s’enfonçât entre mes lèvres.
Je sentais sur moi, les yeux hébétés de ma belle qui refusait de comprendre l’évidence.
- Tu comprends mieux mais je vois que tu n’arrives pas à y croire hein ? »
Il dut faire un signe à André qui s’approchât de moi. Je me mis à passer d’une bitte à l’autre sous les yeux baignés de larmes de ma belle complètement sonnée.
- Que vas tu faire pour qu’elle comprenne dis moi ? Etonnes ton Maître .»
Je compris ce qu’il voulait. Je pris mes fesses dans chaque main pour les écarter et je dis en soupirant :
- Enculez moi en même temps Maître »
- Tu en as envie ? »
- Oui Maître j’en ai très envie Maître .»
Anatole passât derrière moi, me prit par les hanches et poussant fort pour entrer dans mon cul.
Elle me regardait les yeux fixes et plein de larmes en train de sucer André pendant qu’Anatole m’enculait sans ménagement.
- Tu comprends mieux maintenant ma belle ? Tu as deux maîtres pour le prix d’un et nous deux salopes soumises. »
André ma pris par le menton et insista :
- répètes lui ce que tu es maintenant. »
- Je suis leur salope soumise maintenant »
- Et tu aimes ça n’est-ce pas ? »
- Oui, j’aime ça »
Anatole me mit un grand coup de rein qui me fit un mal de chien.
- HHHHHHHAAAAAAAAAANNNNNN Oui, j’aime ça Maître HAOUUUUUUUU !!!! »
- Dis lui tout car je suis sur que tu commences à préférer être une salope soumise qu’un hétéro non ? »
Il me martelait violemment le cul en disant cela.
- NONNNNNNNNNNN MAîîîîTREEEEEEEE HAAAAAAAAAAÏÏÏÏEEEE. »
- Réfléchit bien »
Il accélérât son mouvement, j’étais ballotté et je pleurais sans arrêt. Il se mit sur ses pieds et reprit ses aller-retour avec un regain d’énergie. Il me martyrisait le cul, je souffrais atrocement. André vint près de moi et me giflât en longues baffes en même temps.
Je cédais du terrain à mesure que les deux me torturaient et je baissais la tête en signe de reddition.
- AÏÏÏÏEEEEEEEEE ARRÊTEZ, ARRÊTEZ S’IL VOUS PLAIT !!!!!!!! »
- Tu veux dire quelque chose ma salope ? »
Il me secouât encore un peu avant de s’arrêter.
- Oui Maître, je voulais dire que je préfère être une salope soumise. »
Réussis-je à dire la voix entre coupée de sanglots.
- Donc tu n’as plus envie d’être hétéro c’est ça ? »
Je ne savais plus où j’en étais.
- Non je n’en ai plus envie Maître »
- Tu préfères sucer des bittes et les prendre dans le cul comme une bonne salope c’est ça ? »
- Oui Maître c’est ça. »
- DIS LE !!! »
- Je préfère sucer des bittes et me les prendre dans le cul. »
- super !!! Tu n’as donc plus rien à faire d’une femme maintenant c’est bien ça ? »
- Oui c’est bien ça Maître, je n’ai plus rien à faire d’une femme »
- NONNNNN !!!! »
Ma tendre, venait de crier en se laissant tomber sur le lit… Son dernier espoir venait de s’évanouir.
Anatole se retira brusquement m’arrachant un cri de plus.
- ALLEZ SALOPE NETTOIES MAINTENANT !!! »
Je me retournais et servilement je me mis à avaler cette bitte couverte d’un préservatif et tâchée de mes sécrétions anales.
Je cherchais André des yeux et je vis qu’il se faisait sucer par la femme qu’il venait de soumettre avec son cousin.
Anatole s’allongea sur le lit en faisant claquer ses doigts. André tourna la tête.
- On passe à la suite »
André la pris par les cheveux et la releva.
Anatole me donna la caméra et me dis :
- T’as pas intérêt à louper cette prise je te préviens. »
- Bien Maître »
André souleva La belle et la mit à cheval sur le ventre d’Anatole… Je compris immédiatement et elle aussi qui laissât échapper un faible:
- Maître, s’il vous plait … pas ça ! »
- TAIS TOI. TU NE VEUX PLUS ÊTRE MA SOUMISE MAINTENANT ? »
- Si Maître, mais je vous en supplie faites ce que vous voulez mais pas ça ! »
- TOUT ce que je veux ? »
- oui Maître … tout ce que vous voulez… »
- Parfait, alors enfonces toi ma queue dans la chatte. »
Elle s’empressa de plaire à son maître toute heureuse de le voir changer d’avis et pris sa bitte pour se l’enfoncer profondément dans la chatte.
Il lui pris les hanches et la fit valser sur son ventre profondément ancré à son sexe dominateur.
- REMUES TOI, ET JOUIS PLEINEMENT MA SALOPE !!! »
Elle se donnait encore et encore et commençait à haleter et gémir. Elle donnait tout pour jouir et plaire à son nouveau maître. Il l’obligea à le lui dire :
- Qui est ton nouveau maître ma jolie salope ? »
- C’est vous mon nouveau Maître »
- Tu es toute à moi n’est-ce pas ? »
- oui Mon maître je suis toute à vous. »
- Je fais ce que je veux de toi n’est-ce pas ? »
- Oui tout Maître ! »
Elle parlait de plus en plus fort et respirait de plus en plus vite. Elle se mit à jouir en soufflant et en dansant sur cette bite tendue… Arrivée au paroxysme de son orgasme, il la penchât sur lui pour l’embrasser.
Elle se laissa embrasser à pleine bouche et ne sentit pas André se placer derrière elle.
Anatole la tenait à plein bras et elle ne voulu se retirer que lorsqu’elle sentit le gland d’André sur son cul… Il était trop tard.
L’autre sexe, se faufilât dans le cul déjà plus souple et se cala sur le rythme qu’Anatole donnait.
Elle hurla de plus belle dans la bouche d’Anatole qui ne la lâchait pas :
- NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN PAS CA VOUS ME FAITES MAL PITIE !!!»
Elle était prise des deux côtés à la fois et je filmais toujours la scène hallucinante qui se déroulait sous mes yeux.
Ils la secouèrent encore longtemps. Elle était comme prévu, réduite à une poupée de chiffon entre les mains de ses maîtres.
Lorsqu’ils se retirèrent, elle resta allongée sur le lit. Ils récupérèrent en buvant une bière. J’avais éteins la caméra et l’avais posé sur la table de chevet près du lit.
Ils s’assirent côte à côte et nous appelèrent pour que nous nous mettions face à eux.
Elle était face à Anatole et moi face à André.
- Vous allez finir chacun un maître avec la bouche vous voulez bien. »
- Oui Maîtres » dire nous en même temps.
- Allez-y le premier à faire jouir son maître aura un prix. L’autre sera puni »
Nous nous mîmes à genoux en respectant les consignes, pas les mains, juste la langue et ensuite la bouche sur le gland les yeux fixés sur le Maître. Ils entrèrent en même temps et nous voilà tous (toutes ?) les deux à sucer comme des fous (folles).
Peu de temps après, excités comme ils l’étaient, ils nous attrapèrent la tête et jouirent dans nos bouches asservies.
Sans nous poser de question, nous avalâmes en même temps le sperme qui giclait dans nos bouches, tapissant nos palais.
- BRAVO mes salopes. Vous êtes presque parfaites »
Nous nous regardâmes sans vraiment oser comprendre.
André dit alors
- toi la salope, tu t’habilles et tu te casses. »
Bientôt, je restais seul (e?) avec les deux suborneurs.
- C’est bien ma salope tu as bien agit aujourd’hui. Je repasserais dans la semaine pour une autre séance avec toi et pour notre autre salope, ne t’inquiètes plus pour elle. Son avenir est tout tracé. »
Je le sentais depuis un moment… Ils voulaient en faire une pute c’était sur.
Je n’osais pas le demander et restais silencieux, écœurant, de servilité.
Anatole prit une douche pendant qu’André allait à la réception pour chercher à manger et à boire.
J’étais devenu quasiment invisible insignifiant pour eux.
Je pris le téléphone d’André, allait dans la mémoire et effaçais toutes les photos et les vidéos. Je fis de même avec celui d’Anatole. Je retirais vivement la carte SD de la caméra et la mit sous la semelle de ma chaussure espérant qu’il ne leur viendrait pas à l’idée des les revoir avant de partir…
Quand ils eurent pris leur douche ils me permirent de m’habiller et nous reprîmes le chemin du retour. Arrivés sur le parking Anatole me dit :
- Je passerais mardi. je te veux à poil et à genoux derrière la porte prête à l’emploi t’as pigé salope? »
- Oui Maître j’ai compris. Je le ferais »
Il monta sur sa moto, André derrière lui et je repris la route vers chez moi.
Je pris mon téléphone et appelais mon frère et ses potes du Rugby et de la boxe.
Je lui dis que j’avais besoin d’eux pour coincer un mec qui me causait des soucis.
- Pas de souci frangin, on sera là on viendra à 5 ou 6 ça ira ? »
- Oui, je crois que ça ira comme ça, il faudra lui foutre la trouille, une bonne trempe et de quoi filmer le tout ok ? »
- Ok on fait comme on a dit à Mardi !!! »
Avec le reste des preuves, je sentais que j’allais pouvoir reprendre la main sur le cours de ma vie et que j’allais pouvoir m’offrir une bonne vengeance…
Mardi allait voir un Anatole tout mielleux, tout péteux comme j’avais pu l’être et aussi servile que moi. Lui aussi servirait de salope soumise et risquait aussi de se retrouver sur le net. A moins que certains potes de mon frère n’en veuillent comme lope personnelle … Allez savoir… Quand la roue se met à tourner il vaut mieux s’éloigner si on veut éviter les éclaboussures…
Je mis les vidéos de la carte sur un disque dur externe et détruisis la carte elle même.
J’avoue les avoir revu en compagnie de ma tendre maîtresse quelques temps après. Nous nous sommes même bien excité à ce moment lamais ça … c’est une autre histoire.