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Channel: Chez Andre 112
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Histoires du net. Auteurs inconnus. Chaque sexe raconte...

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 Deux petits textes.
Un raconté par une femme
Et l'autre narré par un homme..
Les deux sont sympa..!

Mon mari est un voyeur
Je me présente Florence j'ai 41 ans mariée depuis 11ans et maman d'une petite fée de 8 ans. Sans ètre canon je pense encore plaire aux hommes, je suis brune 1m65 pour 58 kilos quelques formes mais toutes très féminines. Mon mari Denis a 45 ans, bon amant il est très tenté par le voyeurisme depuis quelques temps et souvent, entre nous, me demandait si j'aimerais m'offrir devant lui à un autre homme. Ces demandes devenaient de plus en plus fréquentes et j'avoue qu'elles occupaient de plus en plus mon esprit au point qu'un soir très excitée, je lui proposait d'essayer de rencontrer un homme, pour voir si je me sentais capable. Ce soir là il m'a prise très fort et je dois reconnaître que nous avons pris un plaisir énorme à imaginer cette rencontre.
Deux ou trois semaines se sont écoulées et son envie toujours présente se transformait en véritable obsession au point de m'en parler chaque fois que nous faisions l'amour.
Pour ma part je commençais à éprouver de la curiosité et presque du plaisir à y penser et nous avons décidé de tenter l'expérience le week-end suivant.
Le samedi en question après avoir emmener ma fille chez mes parents pour le week-end, je retournais à la maison partagée entre le désir de faire plaisir à Denis et à moi aussi un peu, ou celui de renoncer.
Arrivée chez moi je découvrais un superbe bouquet sur la table du salon et ce qui ressemblait à des cadeaux à coté. Denis me dit que c'était pour moi et qu'il n'avait jamais été si excité de sa vie. Dans le paquet je découvris un flacon de parfum Angel, et un ensemble de lingerie très sexy rouge. Je le remerciais et après m'avoir embrassée il me fit me mettre a genoux et me tendit son sexe.
Il était déjà très excité et à peine dans ma bouche il me parla cru en me demandant d’être « très salope » ce soir, que ça l'excitait depuis déjà longtemps et qu'il n'avait jamais été aussi heureux de sa vie.
Ces mots dans sa bouche m'ont un peu surprise mais ma réticence à tenter l’expérience a vite disparue, aussi vite que l'envie de mon homme qui se vida dans ma bouche en moins de temps qu'il en faut pour le dire.
Aprés ce moment assez chaud dans le salon je pris congés de lui en allant me préparer un bon bain chaud où je suis restée 40 bonnes minutes me caressant un peu en pensant à ses mots et à la situation. J'étais de plus en plus prête à ce jeu et les réactions de mon homme même si elles me surprenaient me donnaient des frissons que je n'avaient jamais ressentis jusqu'alors.
Vers 20h je me suis habillée pour la soirée, j'ai mis l'ensemble que j'ai recu en cadeau, une paire de dim's up, une petite jupe droite qui arrivait au dessus du genoux assez serrée et un petit haut beige boutonné sur le devant qui faisait bien ressortir ma poitrine.
Sortant de la chambre, Denis me félicita sur mon choix et me conseilla de déboutonner encore un peu mon haut afin de laisser apercevoir le rouge de mes dessous. Ce que je fis volontiers. Puis nous avons pris un verre en amoureux en parlant de la soirée à venir.
Le trajet en voiture fut un peu silencieux car je ne savais pas comment abordé le sujet. Mon mari était sûr que c'etait lui qui en avait l'initiative mais de plus en plus cette situation me plaisait et je n'osais lui avouer. Nous nous sommes trouvé un petit restau et pendant le dîner j'ai pus constater que ma tenue était appréciée des hommes présents. Je fis part de cette remarque à Denis qui sembla très heureux.
Pendant le dessert, Denis me proposa une boite de nuit habituellement reservée aux quadras et où n'avions pas nos habitudes. Je le regarda droit dans les yeux et lui ai dis - Choisis où tu veux ammener ta petite salope mais allons y vite ».
Je reverrais toujours sa réaction. De maître du jeu il s'est senti devenir l'objet. Dans la surprise il n'a pu qu'ajouter « on y va « .
La boite était à quelques kilométrés et le silence dans la voiture devenait pesant. Je lui ai demandé s'il avait toujours envie de jouer, s'il avait des limites à ce jeu. Devant son silence je compris que cette soirée serait ma soirée pour notre plaisir commun. Comme condition, je lui ai demandé de me laisser devant l'entrée seule, d'aller garer la voiture puis d'entrer mais de ne pas m'aborder pendant toute la soirée. Il a accepter en m'embrassant puis m'a souhaité une bonne soirée.
Arrivée dans la boite je me suis arrêter au bar pour prendre un verre. Mon ventre était noué en pensant à la situation et surtout aux mots qu'on avaient échangés Denis et moi. Âpres une dizaine de minutes j'aperçois Denis qui fait son entrée et rejoint lui aussi le bar. Je finis mon verre et part sur la piste.
Quelques minutes seulement je sents un homme derriere moi qui me frôle sans arrêt, je me retourne, c'est un homme pas laid mais quelquonque de 45 ans environ qui me sourit. Je lui rends ce sourire mais je m'éloigne un peu car je ne me sens pas attirée.
La soirée se passe comme ça entre séries de danse et petites poses quand je remarque un homme plus jeune qui semble ne pas me quitter du regard.
Grand, brun, très beau il semble avoir 30 35a et je vois que je ne le laisse pas indifférent. Après quelques minutes il danse devant moi et me fixe plus insistant. Je lui sourit , lui aussi.
Ce sourire me fait subitement penser à Denis que je cherche du regard. Il est toujours au bar et ne me quitte pas des yeux. Puis mon bel inconnu me propose un verre, j'accepte et nous trouvons une petite table en retrait. Je sais que Denis ne me quitte pas du regard je commence donc à carrément draguer ce mec. Il se nomme Nico il a 33a un bon job dans la publicité, célibataire et amoureux des femmes mariées.
Ce détail m'excite car j'ai compris qu'il a vu mon alliance et qu'il croit savoir ce que je fais ici seule. Tout va très vite un verre puis deux puis un premier baiser et je me laisse porter par ses mots. Il me demande si je viens souvent seule ici.
Je lui raconte que je suis avec un couple d'amis que j'ai plus vu depuis un bon moment et qu'ils doivent etre parti faire un câlin dehors. Comme espéré ce « câlin dehors » l'intrigue ou lui sert d'excuse et il me propose si je veux, d'aller les chercher. Le comprends l'allusion et d'un joli smack je lui fais comprendre que oui.
En sortant nous croisons denis au bar et le sourir que je lui fais discrètement lui en dit long. A peine sortis, Nico se montre plus entreprenant. Il me saisi par la taille et m'attire à lui pour un long baiser torride. Je lui rends et mes mains glisse de son cou à ses fesses ce qui je l'espère lui donnera envie d'aller plus loin. Denis est sorti également et fais semblant d'une pause cigarette pour me regarder me donner à cet homme. Je veux qu'il en ai pour son argent et le regardant dans les yeux j'offre à nouveau ma bouche à Nico qui lui ne voit rien de notre manège. Cette vue me rends folle et j'ajoute à Nico que mes amis sont grands et que je préférerais qu'il s'occupe de moi pendant qu'on en a le temps.
A peine surprit Nico me dit a l'oreille qu'il le sentait que j'étais une mal-baisée qui venait ici faire la chienne dans le dos de son mari. Qu'il adorait les salopes comme moi et que de toutes celles qu'il avait baisé j'étais la plus bandante. Ses mots resteront gravés à vie en moi et sans réaction j'ai ajouté.
- Oui je suis une salope ... ta salope.
Il m'a entraîné par la taille à sa voiture et sachant que Denis me regardait m'éloigner je posait amoureusement ma tête sur l'épaule de mon jeune amant.
Arrivés a sa voiture il me fis monter coté passager puis enfermés tous les deux il commença à être encore plus chaud. Voyant que ces mots m'excitaient il en profita me traitant de petite putain et de salope j'adorais l'entendre et ses mains fouillaient tour a tour mes seins et ma chatte qui bouillonnait comme jamais auparavant.
J'avais la jupe relevée offerte à tous les regards dont celui de Denis et je me sentais bien. D'autres couples passaient et il me demanda mon numéro de téléphone pour se revoir plus tranquillement je m'empressais de le lui donner.
M'attrapant par les cheveux il me dirigea vers son sexe et me disant que pour ce soir une bonne pipe lui ferait du bien. Je le pris dans la bouche surprise par la grosseur de sa queue et super excitée à l'idée de le combler. Il me poussais à fond sur elle en m’étouffant parfois. Puis toujours ces mots crus :
- Tu aimes la queue salope… Bouffe moi... Sois une putain…. Tu y pense à ton mari ?…
Ses doigts doigtaient ma chatte et parfois mon cul mais j'aimais ça et je mouillais comme une traînée. Au bout qe quelques minutes il lâcha son sperme dans ma bouche et en même temps m'encula avec ses doigts. J'étais aux anges, j'aimais ce jeu. Nous restâmes un moment dans la voiture à bavarder de ces fantasmes, de mes envies, à me demander des renseignements sur mon mari et sur nos futures rencontres.
Je lui ai dis que je souhaitais le revoir qu'il devait m'appeler puis j'ai prétexté vouloir trouver mes amis pour lui demander de rentrer sans la boite. Il m'a re-caressé en m'embrassant encore, puis a accepter me laisser aller seule retrouver mes amis pour ne pas éveiller les soupçons. Encore un baiser vite fait et une promesse de m’appeler et je suis partie.
Partant vers l'entrée j'ai envoyé un texto à Denis pour lui demander d'aller chercher la voiture et de me prendre ou il m'avait laissé. J'allais à sa rencontre puis je me suis engouffrée dans notre voiture de peur d’être surprise pas une connaissance ou tout simplement par Nico.
Nous avons roulé quelques kilométrés, Denis me caressait la cuisse mais ne me parlais pas. Je lui ai demandé s'il avait éprouvé du plaisir. Il me répond que oui qu'il m'a trouvé superbe et qu'il a tout vu. Je lui demande ce qu'il a vu. Effectivement il a tout vu mais n'a pas remarqué que je lui ai noté mon numéro de téléphone ni le doigtage anal.
J’enlève ma ceinture puis je me couche sur sa cuisse et le laisse me caresser. Arrivés à la maison il me prend par la main et m’emmène au salon. Assise il me propose un verre que j'accepte. Après un baiser il me demande comment j'ai trouvé cette soirée. Je lui avoue que j'ai adoré. Que j'ai un faible pour Nico et que je souhaite continuer. Il me demande si je me sens salope ce soir et je doit avouer que je le suis et que j’espère l’être plus encore. Devant cet aveux il me prends dans ces bras et m’emmène a la chambre ou nous avons baisé comme des fous en reparlant de la soirée.

Six mois déjà
Six, depuis qu'un couple s'est installé dans la villa d'à côté.
Il a fallu au moins six mois pour qu'une relation de voisins s'installe. Marie (nom fictif), la voisine est mon type de femme: 1m70, brune, avec des hanches juste comme il faut. Dès le début, une relation de bonne qualité s'est installée entre elle et moi.
Entre voisins, nous organisions des repas ou des pique-niques en commun. Au fur et à mesure, je sentais bien que j'étais attiré par elle. Nous nous arrangions pour nous retrouver à côté ou en face, et pouvoir discuter.
Il me semble qu'elle n'était pas insensible au pouvoir qu'elle avait sur moi. Malgré tout, loin de moi de tenter quoi que ce soit, étant donné les bonnes relations que j'entretenais avec son mari.
Je n'étais pas avare de service quand son mari n'était pas là. Et je pensais qu'elle aussi n'était pas indifférente à mon « charme ». Pourtant, il n'y avait rien entre nous. D'année en année, je me sentais attiré par elle et la réciproque me semblait vraie.
J'avais remarqué qu'elle avait la fâcheuse habitude de se baisser pour me montrer ses fesses, pour ramasser une clé, prendre son fils dans ses bras. D'autant que ces gestes elle ne les faisait pas en mon absence, ou plutôt quand elle croyait que je ne la voyais pas.
De repas en rencontres, je m'étais résigné à ne rien tenter pour ne pas gâcher notre amitié. Je me décidai à ne rien provoquer et à ne plus faire du charme à Marie.
C'est ainsi que depuis plusieurs mois, je ne l'interpellais plus pour un bonjour ou une discussion. C'est elle qui venait me parler et, en l'absence de nos conjoints, elle faisait durer la conversation plus que de raison.
Cela faisait bien trois mois que je la fuyais, ignorant ses courbettes quand elle rentrait le midi pour remettre en place le tapis d'entrée quand j'étais dans le jardin et qu'elle savait que je la regardais.
Puis, un jour pluvieux, mes enfants étant allés chez elle pour jouer avec ses deux enfants, je me retrouvai seul quand le téléphone sonna.
- Bonjour, c'est Marie, je n'ai plus de sucre…
- J'en ai si tu veux, mais tu viens chercher…
- Donnes-moi cinq minutes, je prends une douche et j'arrive.
- Tu veux un thé ?
- Oui. À tout de suite…
Je faisais couler le café pour moi et infuser le thé en attendant qu'elle arrive.
Elle cogne à la porte, je lui dis d'entrer et remarque tout de suite qu'elle a mis une robe qui laisse apparaître, en partie, ses cuisses.
- Tiens t'es en robe, c'est assez rare.
- Tu aimes ?
- Oui, ça te va bien…
- Tu veux du sucre dans ton thé ?
- Oui, mais pas trop.
- Je t'ai mis du sucre de côté…
On était débout dans la cuisine, moi contre l'évier, elle en face contre le lave-vaisselle. Nous avons, en buvant, parlé du temps et de ce que faisaient nos enfants chez elle. Ayant bu son thé et moi mon café, je pensais qu'elle allait repartir. Mais en s'approchant de l'évier, donc de moi, elle me dit :
- Tu es fâché après moi ?
- Non, pourquoi ?
- J'ai l'impression que tu me fuis…
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Plein de choses. Mais j'aimerais te poser une question. Je suis quoi pour toi ?
- Hou là, difficile de répondre…
- N'hésite pas…
- Très sincèrement, on se connaît depuis pas mal de temps et je ne veux pas qu'on ne se parle plus…
- De quoi tu as peur ?
- Qu'on ne se cause plus…
- Dis-le et on verra bien.
- Écoute, tu es jolie, tu me plais, je n'arrête pas de penser à toi, mais je ne veux pas que ces pensées…
- Si cela peut te rassurer, tu me plais beaucoup, je dirais même que je fantasme sur toi…
- Ah bon.
- Oui, après chaque moment passé ensemble, je suis toute chose. Et j'ai toujours attendu un geste, un pas de ta part…
- Ce n'est pourtant pas le discours que tu tiens.
- Je ne veux pas éveiller le moindre soupçon de nos conjoints…
J'étais à ce moment à trente centimètres d'elle, j'osai mettre ma main sur sa taille. Elle se retourna et m'embrassa à pleine bouche. Je resserrai l'étreinte et sentis mon sexe grossir contre son ventre.
Alors que je l'embrassais dans le cou, elle passait la main sur mon torse et descendait tout droit vers la braguette de mon pantalon, en prenant bien soin d'appuyer sur mon sexe.
Très vite mon sexe était entre ses mains, et elle entamait un va-et-vient très lent. Je continuais à lui embrasser le cou et nos bouches se sont rejointes pour un baiser intense. Je posai une main sur ses fesses et très vite je lui ai remonté la petite robe pour chercher le contact. À ma grande surprise, elle était en string, et ce contact chair contre chair me fit bander au point de croire que mon sexe allait exploser entre ses mains.
- J'aime toucher tes fesses.
- Je sens ça…
Très lentement, sans cesser le va-et-vient de sa main gauche sur mon sexe, elle m'embrassait la poitrine à travers ma chemise et descendait jusqu'à arriver à hauteur de mon sexe qui ne demandait qu'à s'enfoncer dans sa bouche.
C'est d'abord la tête de mon sexe qui a eu droit à sa bouche. Très lentement elle m'aspirait le gland, jouant au passage de quelques coups de langue. De sa main droite elle fit tomber mon pantalon et baissa mon slip pour laisser apparaître mes couilles.
Je pensais qu'elle allait gober mon sexe dans sa bouche, je n'attendais que ça, mais elle a commencé à lécher mes couilles puis la hampe de mon sexe en prenant soin d'en faire tout le tour. Puis elle me prit dans sa bouche en mettant ses mains sur mes fesses. Millimètre par millimètre, jusqu'à ce qu'elle se retire pour me dire qu'elle aimait aussi le contact de ses mains sur mes fesses.
Elle se remit à l'ouvrage en me demandant de lui tenir la tête pour donner le rythme. Je ne voulais qu'une seule chose, que cela dure. Je prenais soin de ralentir ses va-et-vient en essayant d'aller le plus loin possible au fond de sa bouche.
Cela faisait bien deux minutes qu'elle était là à me sucer le sexe quand je lui pris la tête entre les mains pour lui dire que je voulais la prendre :
- Je ne peux pas, je suis en règle…
Déception pour moi, qui avais toujours rêvé de son sexe. Sentant ma déception, elle reprit mon sexe en bouche, et en aspirant de plus en plus fort. J'étais au bord de l'explosion de sperme, quand le téléphone sonna. Je décrochai; c'était son mari qui effectuait un passage chez elle.
- Salut. Marie est chez toi ?
Pendant ce temps, elle continuait à me pomper, accroupie.
- Oui, on boit un thé, tu veux venir boire un café ?
- Oui j'arrive…
Que faire ? Elle continuait sa fellation, et je lui annonçai que son mari allait arriver.
- Il te reste une minute pour jouir dans ma bouche, vas-y lâche-toi.
A ces mots je lui tins la tête pour imprimer un rythme plus soutenu. Pendant ce temps, elle me tenait les couilles d'une main et de l'autre contrôlait la profondeur de l'entrée de mon sexe dans sa bouche.
J'ai explosé en elle. Trois grosses giclées en m'enfonçant au plus loin dans sa bouche. Pas une goutte n'a été perdue, elle a tout avalé, m'a aidé à remettre mon slip et mon pantalon, m'a embrassé sur la bouche et nous avons entendu Michel (nom fictif de son mari) cogner à la porte.
- Entre, ton café est presque prêt.
- Je ne fais que passer, je suis venu chercher des outils. Juste le temps d'un café et je repars…
Marie en profita pour se resservir un thé et moi un café. Après son café, Michel est reparti en nous souhaitant une bonne journée. « Fautifs », nous nous sommes regardés, avons souri et je ne pus m'empêcher de lui demander :
- Tu ne crois pas qu'il va se douter de quelque chose ?
- Non, parce que je lui ai toujours dit du mal de toi, ne voulant pas faire face à des questions à notre sujet.
- Du mal ?
- Oui des bêtises; que je te trouvais macho, égoïste.
Nous nous sommes enlacés, embrassés, j'en ai profité pour lui caresser à nouveau les fesses.
- Tu bandes toujours !
- C'est que tu me fais beaucoup d'effet. Je voulais te faire l'amour et je le veux encore.
- Ce n'est pas possible, je suis en règle.
- Et alors ?
- Si tu penses à la sodomie, jusqu'à maintenant cela s'est très mal passé avec Michel. Même si des fois j'en ai envie… Je voudrais bien essayer avec toi, mais pas aujourd'hui. Ta femme m'a dit qu'elle le pratiquait souvent avec toi…
- Parce que... vous parlez de ça ?
- Oui une fois, quand je lui ai parlé de la routine qui s'installait entre Michel et moi…
- Comment ça routine ?
- On ne le fait plus que dans le lit et en position de vieux couple.
- C'est ce qui explique aujourd'hui ?
- Non, j'ai toujours eu envie de toi. Et je regrette vraiment de ne pouvoir aller plus loin aujourd'hui. Je te promets de me donner à toi à 100%.
- Quand ?
- A chaque fois que tu en auras envie.
- J'en ai encore envie…
S'approchant de moi, elle a défait mon pantalon, a commencé à me masturber en me promettant de me satisfaire quand bon me semblera. Elle m'embrassa et me demanda de jouir sur son visage.
Sentant l'orgasme arriver, je l'ai fait descendre à la bonne hauteur et j'ai joui sur son visage avant de m'enfoncer à nouveau dans sa bouche.
- Bon, il faut que je parte. À très bientôt…
Elle m'embrassa une nouvelle fois, je lui pelotai les fesses et je me suis collé à elle avec mon sexe contre la raie de ses fesses.
- Il faut qu'on se trouve une après-midi tranquille, Marie…
- Vendredi si tu es libre; tu me dois deux orgasmes…


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