Dans certaine circonstances
tout devient possible...
Au lycée
La prof du lycée
bychud29©
Laura était professeur d'histoire-géographie dans un lycée d'une banlieue d'un quartier dit « difficile ». Elle avait 28 ans, brune aux yeux bleus, cheveux longs, assez grande, et svelte, une assez belle femme, ce qui lui avait valu des débuts difficiles dans l'enseignement, mais elle avait réussi rapidement à faire valoir son autorité sur ces élèves. Ni trop gentille, ni trop méchante, elle avait trouvé le juste milieu, pour se faire respecter.
Elle possédait un certain charisme qui lui permettait de faire ses cours, et d'intéresser la plupart de ses élèves quand elle racontait certains périodes de l'histoire, elle savait capter leur attention, et cela se ressentait dans leurs résultats.
Malgré tout, il y avait toujours des récalcitrants, qui ne voulaient faire aucun effort, et n'en feraient jamais quoi qu'il arrive. Elle s'était habituée à cette idée, et se concentrait dorénavant sur ceux qui en valaient la peine. Une de ces classes était particulièrement difficile, du fait d'un élève surtout. Il s'appelait David, c'était le « chef » d'une poignée de jeunes, et il pouvait leur faire faire ce qu'il voulait. Il détenait une certaine aura auprès d'eux, et surtout des filles.
Il en avait toujours 2 ou 3 qui le collait, et jamais les mêmes. « Pauvres filles!!»se disait Laura en elle-même. Elles étaient si naïves, toujours habillées de manières provocantes, avec des décolletés, et des mini-jupes, et un maquillage exagéré. « Que pouvaient-elles espérer de ce garçon?? » pensait-elle.
Au cours de l'année scolaire, une nouvelle élève arriva dans la classe, elle s'appelait Sophie. Une petite brune assez jolie, bien élevée, et très brillante. Dés le premier jour, Laura remarqua rapidement le regard de David posé sur Sophie. Elle était à peine arrivé qu'il la convoitait déjà.
Plusieurs semaines passèrent et un jour qu'elle cherchait des manuels à l'intercour dans la petite salle conjointe à la salle de classe, elle entendit des voix dans la salle de classe. Elle jeta un coup d'œil dans l'entrebaillement et aperçut David et Sophie.
- Bon voilà je suis là, qu'est ce que tu veux David dit Sophie d'un ton assez enervé.
- J'ai envie de sortir avec toi ma belle...
- Arrêtes ça!! je t'ai déjà dis que j'étais pas intéressée!!
- Attends de voir ce que j'ai à t'offrir avant ...
Laura ne quittait pas la scène des yeux, et vit le petit sourire en coin de David.
- Je ne veux rien de toi!! rétorqua Sophie. Je m'en vais d'ailleurs
Elle eut à peine le temps de se diriger vers la porte que David la retint par le bras violemment, l'entraînant près de lui.
- Arrêtes! tu me fais mal cria Sophie
- Regardes ça d'abord lui dit-il en souriant tandis qu'il déboutonnait son pantalon, et que son sexe jaillissait.
Sophie en fut bouche bée, ainsi que Laura. Le sexe de ce garçon était vraiment énorme, plus de 25 cm au moins.
- Alors dit-il qu'en penses tu ma belle?
Mais Sophie ne disait rien, elle fixait toujours le sexe imposant de David.
Il en profita alors pour se rapprocher d'elle, et prit sa main pour la poser sur sa queue. Sophie se laissa faire toujours tétanisée. Machinalement, elle se mit à faire des mouvements de haut en bas le long de sa tige.
-Oui, je savais que tu aimerais ça, vous êtes toutes les mêmes.
Il souriait, heureux de sa victoire. Laura n'osait pas bouger dans la pièce à coté, elle aurait pu, elle aurait du intervenir mais quelque chose l'en empêchait.
David posa les deux mains sur les épaules de Sophie, et la fit mettre à genoux, tandis que le branlant toujours, elle faisait non de la tête. Lorsque sa bouche arrive à hauteur de la queue, elle voulut dire non mais David profita qu'elle ouvrit la bouche pour lui enfourner. Elle essaya de se dégager mais David lui maintenait bien la tête. Il commença alors aller et venir dans sa bouche.
- Ouais, ta bouche est délicieuse comme je l'imaginais, tu vas aimer ma petite Sophie.... Oh mais tu aimes déjà ça je vois ricanait-il.
Sophie faisait maintenant d'elle même une fellation à David. Elle essayait d'engloutir toute sa queue, mais elle était trop grosse, alors elle le branlait en même temps. Elle l'astiquait de plus en plus vite, passant sa langue sur le gland.
- Ouiii vas-y, fais moi jouir, on a plus beaucoup de temps. Une fois que t'as goûté mon sperme, tu verras, tu ne pourras plus t'en passer, tu seras toute à moi...
Sophie accéléra ses caresses buccales, et David lui maintint la tête tandis qu'il déversait dans sa bouche sa semence. Il retira sa queue, lui tint la bouche fermée, l'obligeant à avaler ce qu'elle finit par faire.
- Voilà Sophie, tu vois, c'était très agréable de me sucer, et tu verras ce n'est que le début. Je vais faire de toi ma tite chienne, comme les autres.
Sophie restait toujours à genoux devant lui se léchant les lèvres, et finit par nettoyer d'elle même la queue de David, qui se délectait de la voir faire. Puis il regarda sa montre.
- Bon faut y aller, la cloche va sonner. On continuera chez moi après les cours ce qu'on vient de commencer.
Il la releva, lui roula une pelle, et la prit par la taille en sortant de la salle. Au dehors, elle entendit ces potes le félicitait de le voir sortir ainsi avec Sophie.
Laura, hypnotisée par ce qui s'était passé, n'avais toujours pas bouger. Ce ne fut que quand la cloche retentit qu'elle se réveilla, et se dépêcha de finir de préparer ses affaires pour le cours suivant. Mais ces images allaient la hanter tout le reste de la journée, et bien plus...
Dans certaine circonstances
tout devient possible...
Au lycée ou par besoin
Vénale Sabine
Samedi après-midi, je revenais du sport quand mon portable sonna.
- Salut c'est Sabine.
- Salut, tu vas bien?
- Oui. Dis-moi, on peut se voir? J'ai à te parler.
- Passe chez moi dans une heure.
- Ok, à tout de suite.
Sabine était une de mes ex. Nous étions restés ensemble 4 ans, un relation basée à la fois sur le cul et sur une affection profonde. Au final nous nous étions séparés car elle ne voulait plus d'enfants, en ayant eu deux de son premier mariage.
C'était maintenant une femme de 45 ans, toujours aussi mince, beaux petits seins, beau petit cul, blonde, yeux bleus, grande bouche souriante. Ses deux gamins étaient maintenant proches de l'âge adulte.
Nous nous voyions de temps à autre, essentiellement quand elle avait besoin de moi. En général, parce que son mec du moment la baisait mal, ou pas assez. Après le pathos larmoyant habituel, cela finissait au plumard.
Notre séparation avait néanmoins été assez violente, elle avait quelqu'un d'autre et il s'était écoulé de longs mois avant que nous ne renouions le contact. Depuis en revanche, nous nous rencontrions discrètement et bon même si je lui gardais toujours un chien de ma chienne, c'était juste bien agréable de la sauter de temps.
Une heure plus tard, elle sonnait à ma porte alors que je sortais de la douche.
- Salut, toujours aussi mignonne.
- Flatteur, tu te maintiens en forme aussi.
- Bon que t'arrive-t-il?
- Eh bien voilà... Je suis en procès avec mon ex-mari.
- Michel?
- Oui.
- Je ne comprends pas, vous êtes divorcés depuis belle lurette non?
- Oui mais j'ai récemment discuté avec mon avocate et elle estime qu'il aurait dû me verser plus et je lui réclame donc une somme rondelette. Mon avocate estime que je peux en retirer entre 100 et 200 000 euros. Tu sais que je ne roule pas sur l'or alors que lui si...
- Bon et tu as besoin de moi pour quoi exactement?
- Le fond du problème, c'est la garde des enfants, notamment après la séparation.
Elle m'exposa en détail la situation, cela semblait plausible, à un détail près.
- Attends, il n'a jamais été question de cela dans les discussions pour l'organisation des week-ends quand nous étions ensemble.
Là Sabine rougit.
- Euh... si tu pouvais dire le contraire au procès... nous nous sommes quittés en mauvais termes, tu noircis le tableau un peu, tu me fais passer pour une salope et après tu corroborres ma version... L'avocate estime que comme cela, nous gagnons le procès sans problème, tu es le seul témoin, et a priori contre moi.
- Ah en gros, tu veux que je fasse un faux témoignage...
- Comme tu y vas...
- Ecoute, le parjure non merci. Si c'est tout ce que tu as à me demander, tu sais où est la porte.
- Si je gagne le procès... je te donnerai dix pour cent de la somme en liquide.
- Je m'en fous. Le fric j'en ai.
- Moi pas, et je ferais n'importe quoi pour récupérer cet argent. C'est mon dû.
N'importe quoi... tiens, tiens...
- O.K., je te fais une contre-proposition. Je t'aiderai à condition que tu sois à ma disposition pour un week-end complet.
- A ta disposition?
- Oui, sexuellement. Si tu veux mon aide, tu seras mon esclave sexuelle d'un vendredi soir au lundi matin.
- Mais enfin je suis remariée. Je sais bien que nous avons fait l'amour ensemble entre mes deux mariages, mais là.
- Arrête tes conneries, je te sautais déjà quand tu étais encore avec ton premier mari. Et de toutes façons, c'est à prendre ou à laisser. Et bien sûr... le week-end aura lieu avant le procès. Et tu te décides maintenant. Si tu franchis le seuil de cet appartement, cela signifiera pour moi que tu refuses, et il n'y aura pas de retour en arrière.
- Mais...
- Tu viens de dire que tu étais prête à faire n'importe quoi pour avoir ce fric non...
Elle éclata en sanglots.
- Je t'en prie, tu ne peux pas me demander cela.
- Eh si tu vois. A prendre ou à laisser.
Au bout de quinze minutes de supplications, elle vit que je ne me laisserais pas fléchir et me dit d'une petite voix.
- C'est d'accord.
- Parfait. Trouve-toi un week-end de libre le mois prochain, prétexte un séminaire au boulot, ce que tu veux, je m'en fous. Du vendredi 18 heures au lundi 6 heures tu seras mon esclave.
- Ton esclave?
- Oui. Nous allons un peu travailler ta docilité... ma pute.
- Ne m'appelle pas...
J'éclatais de rire. Elle rougit.
- Ah avant de partir... Je veux un hors d'oeuvre pour sceller notre contrat.
- Un hors d'oeuvre?
- Fous-toi à poil et montre-moi tes orifices.
Elle détestait la vulgarité tant qu'elle n'était pas vraiment excitée, j'en profitais donc pour l'humilier un brin.
- Je t'en prie.
- A poil.
Elle se déshabilla rapidement, pas un strip-tease du tout.
Je la fis pivoter sur elle-même.
- Toujours aussi bien foutue. Une des rares femmes que je connaisse mieux foutue à poil qu'habillée...
-Merci, dit-elle en rougissant.
Je la fis ensuite mettre à quatre pattes et examinai ses orifices.
- Ta chatte dégouline déjà, je sens que le week-end va te plaire. Je t'ai manqué.
- Ouiii... dit-elle en gémissant.
Je m'éloignai d'elle, me déshabillai et m'assis sur le canapé.
- Viens vers moi à quatre pattes, reste à genoux et suce moi.
Et elle le fit. Je reconnaissais le désir dans ses yeux. Elle avait envie d'être dominée et traitée comme une chienne et elle allait être servie.
Je n'avais pas réellement besoin d'une pipe, j'étais déjà très excité, mais elle était vraiment une bonne suceuse. Après quelques minutes de succions et léchouilles je me levai et m'accotai derrière elle.
- Ta chatte est vraiment trempée.
- Mon mari me baise moins souvent maintenant.
- Et apparemment il néglige ton petit trou.
- Oui, il trouve cela sale.
- Moi pas.
Et sur ces mots, je forçai sa rondelle. Elle étouffa un cri puis commence à bouger son cul pour venir à ma rencontre.
- Salaud, c'est comme un deuxième dépucelage.
- Un trou du cul de salope, cela s'entretient ma chère. Si ton mari ne s'en occupe pas, pas étonnant que toute nouvelle sodomie te paraisse douloureuse. En tous cas ton anus est le premier que je dépucelle deux fois.
- Ralentis s'il-te-plaît.
Je la limais effectivement comme un soudard. Je ralentis le rhythme, ressortant presque entièrement de son cul avant de replonger à fond, lui arrachant des râles de plaisir et de douleur. J'en profitai aussi pour lui donner une fessée.
- Pas trop fort, pas de marques s'il te plait.
- Je fais ce que je veux.
- Je t'en prie.
- Tu es mon esclave.
- Seulement pour le week-end, nous n'y sommes pas encore, et je ne veux pas que mon mari voie les marques...Pas de marques externes...
- D'accord.
Je sortis de son cul, la retournai et fourrai ma queue dans sa bouche.
- Suce moi jusqu'à la jouissance et nettoie-moi.
Elle me jeta un regard empli de dégoût mais obtempéra. Quelques minutes plus tard, je jouissais dans sa bouche.
- Excellent hors d'oeuvre. Nous avons un accord. Je suis certain que le week-end sera enchanteur.
Elle fit un brin de toilette puis partit, troublée et humiliée. De mon côté, j'avais quelques préparatifs à faire pour faire de ce week-end quelque chose d'inoubliable.
Dans certaine circonstances
tout devient possible...
Au lycée ou par besoin
ou même à la piscine
Dépucelage.!
Il y a quelques semaines je me suis fait dépuceler!
Et ou ? A la piscine!
C'est plutôt curieux comme endroit pour faire cela je vous l'accorde!
J'ai 18 ans, je suis étudiant et je vais à la piscine très régulièrement, histoire de faire un peu de sport. Donc ce jour la, comme d'habitude je me change en cabine, enfile mon petit maillot de bain noir et passe par les douches. Je me lave rapidement le corps.
En face de moi ce trouve un homme assez âgé, il doit avoir plus de 50 ans, son corps porte les marques de l'âge: cheveux et barbe grises, un ventre bedonnant. Il mesure a peu près ma taille mais a quelques kilos en trop ! Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas lâcher mon regard de cet homme, jetais subjugué.
A un moment nos regards se sont croisés, il m a détaillé de haut en bas, tout en se caressant le corps. On était seul sous les douches, il continua à caresser son gros ventre et me fis un clin d'œil lorsqu’ il passa sa main sous son maillot.
Il passa à cote de moi et me glissa au creux de l'oreille: "je fais quelques longueurs et dans 10 minutes je suis dans la cabine de douche pour handicapé la bas, si tu veux me rejoindre tape 3 fois." Et il partit nager.
Je réfléchis un long instant puis je pris ma décision de le rejoindre, au pire je pourrai toujours partir si je me sens mal à l’aise. A peine le temps de faire quelques plongeons que je le voie se diriger vers les douches. Je prends mon courage a deux mains et le rejoints. Comme il me la dit je toc 3 fois. Il m'ouvre et referme la porte derrière moi.
- On sait bien compris j'espère, tu sais pourquoi tu es la?"
Je lui réponds avec un petit oui timide.
- Tu as déjà eu une relation avec un homme?"
- Non jamais, mais je fantasme dessus depuis plusieurs mois!"
- Un petit vierge rien que pour moi, hum!"
Sur le banc je vois qu'il a dépose un préservatif.
- C'est quoi ton petit nom?"
- Julien."
- D’accord Julie, je veux que tu te retourne et que tu te cambres vers moi"
Je me mis en position, les mains sur la porte et mon cul vers lui. Il s'assied sur le banc et m’attrapa les fesses avec ses mains! Il me pelota les fesses.
- Quel cul tu as Julie ! J'en ai de la chance ! Tes fesses sont a moi désormais, tu dois être d'accord avec ça"
- Oui, d'accord"
Il mit sa tête entre mes fesses et me lécha à travers le maillot! Il commençait à gémir, moi cette position me faisait rire pour le moment.
- Bon maintenant je veux que tu t'asseyes par terre et que tu poses ta tête sur le banc"
Je me mis en place.
- Tu es bien obéissante Julie, c'est bien ça!.... Je veux qu'avec tes dents tu fasses descendre mon maillot de bain"
Je mordis en haut de son maillot et le tira jusqu'à ses pieds!
- Petite coquine !"
J'avais maintenant son service trois pièces au dessus du visage.
- Regarde comme elle est recroquevillé sur elle même, faut dire que l'eau était pas très chaude! Tu vas prendre mon zizi en bouche pour le réchauffé, attention je veux juste que la réchauffe en la gardant dans ta jolie bouche."
Je fis oui de la tête.
Il mit son pénis dans ma bouche, c'est vrai qu'il était petit. Je refermai mes lèvres à la base de son engin, j'avais ses poils pubiens dans le visage. Je fis de mon mieux avec ma langue.
- Hum c'est bon ! Continu Julie, tu es doué avec ta langue"
Je fis ce qu'il me demandait.
- Maintenant je veux que tu me lèches les couilles, donc tu vas sortir ta langue et venir me les titiller."
Ces couilles étaient poilus, mais je fis de mon mieux, je donnais des petits coups de langues e j’altérai avec des grandes léchouilles.
- Bon on vas pouvoir passer au choses sérieuses maintenant."
- Comment ça?"
- A genoux ! Et suce-moi! Et ta intérêt à faire ça bien salope."
Il devenait de plus en plus violent et autoritaire. Il me tira les cheveux et me fis mettre a genoux a hauteur de sa bite.
- Allez petite chienne au boulot, branle moi un peu avant"
Je pris sa bite dans ma main droite et fis quelques mouvement de va et vient. Il ne tarda pas à durcir.
- Décalotte moi et embrasse mon gland d’un doux baiser, comme si tu ne vivais que pour lui."
Je décalottai doucement son sexe, son gland turgescent apparie, je l’embrassai et le léchai. Seulement j'eu un moment de panique, j'étais un train de sucer un homme plus âgé que mon père!!
- Désolé je souhaite partir, je n'ai plus envie."
- T es conne ou quoi? Maintenant que tu m'a excité avec ton cul de pute tu vas pas partir comme ça!"
Malheureusement cette homme musclé me dominer complètement, faut dire qu'avec mes 60 kilos tout mouillés je fais pas le poids Il m'agrippa la tête et voulu mettre son sexe dans ma bouche, mais je fermais mes lèvres.
- Ouvre ta bouche! Ouvre ta bouche j'ai dit!"
Je restai la sans bouger, je ne voulais pas le sucer. Il m’attrapa fermement et me mis la tête sur le banc, il me boucha le nez. Je fus, pour respirer, bien obligé d'ouvrir la bouche. Il profita de cet instant pour glisser sa pine entre mes lèvres.
- Aller suce moi maintenant, je sais que tu en as envi."
Il commença des mouvements de vas et viens du bassin, il était en train de me baiser la bouche quoi! De temps en temps il me boucher les narines et enfoncer sa bite au plus profond qu'il pouvait, ça me donnait des hauts le cœur. Il continua se traitement plusieurs minutes. Puis il sentit que je n exerçait plus aucune résistance. Il se retira, un gros filet de lave suivi. Je crachai beaucoup j'avais l’impression que j allais vomir, la a quatre pattes par terre.
- Bon on va laisser ta petite bouche retrouvé ses esprits, vient la sur le ventre, allongé sur mes genoux."
Je fis ce qu'il me demanda. Il baissa mon maillot et commença à me mettre la fessée.
- Et oui Julie, tu n'as pas été très sage... Mais ne t’inquiète pas avec le bruit des douches et les cris de la piscine personne n’entendra rien. Je veux t’entendre me remercier a chaque fessée."
Il me claqua les fesses très fort.
- Aie."
- u n'as rien compris chienne!"
CLAC!
- Merci." CLAC!
- Merci."
- Voila!"
Et il continua à me fesser de toutes ses forces. J'avais les fesses en feu! Après une cinquantaine de fessées il me dit:
- Tu as les fesses toutes rouge chérie, passe les sous l’eau si tu veux"
Je me relevai et alla sous la douche.
- Tu as un corps magnifique, une salope de 18 ans rien que pour moi, la chance."
L'eau glissait sur mon corps.
- Bon tu as compris que tu devais m’obéir maintenant j'espère."
- Oui."
- On dit oui maître!"
- Oui maître..."
- Suce moi la queue salope."
Et la je me fis a ses attentes. A genoux je pris son sexe dans mes mains et le lécha doucement, j’embrassais son gland, aspirais ses couilles. Je faisais glisser mes lèvres le long de son sexe. J essayais de faire de mon mieux.
- Hum c'est bon, continu ma salope! Julie la salope, ahaha!"
Je continuais et je commençais à y prendre goût, sa bite était grosse, au moins 18cm, son gland bien gros.
- Tu suces vraiment bien, ça doit être de famille, je parie que ta mère est une suceuse d'enfer! Tu te masturbes en pensant à elle des fois?"
Je ne répondis pas, sa bite occupant toute mon attention
- Mais Julie, tu bandes ! Ca me montre que tu aimes me sucer! Ça me plait, mais d'un coté tu es une fille pour moi, et les filles n'ont pas de kikounette. Je veux que tu te branles tout en me suçant et que tu éjacules le plus vite possible.
Accroupi par terre, la bouche occupée avec sa bite, ma main avec la mienne...
Je ne tardai pas à jouir. De grandes giclées se répandirent sur le sol.
Après plusieurs minutes il me fit signe de me relever.
- On passe au choses sérieuses maintenant ma petite salope ?"
- Oui maître."
- Je veux que tu me le demandes."
- Voulez vous vous occuper de mon cul ?"
- Tu es une salope, tu peux faire beaucoup mieux que ça!"
- Maitre, je vous en prie, déflorer moi mon p’tit cul."
- Avec grand plaisir chienne! Appuie toi sur le banc et tend ton cul vers moi."
Il enfila une capote et je me mis en levrette.
Je sentis quelques choses de froid, et voilà, il allait me sodomiser. J'allais me faire enculer dans une cabine de douche à la piscine, comme une salope.
Il s’agrippa à moi et commença à s'enfoncer en moi. J'avais horriblement mal, il commençait déjà des vas et vient pour rentrer au plus profond de mon cul.
- Aie, aie, j'ai trop mal arrêté svp."
- C’est trop tard, on a fait le plus dur Julie, n'est pas peur bientôt tu me demanderas d'y aller plus fort, plus vite!"
Après plusieurs minutes de calvaire il arriva au fond de mon cul, je sentais ses couilles et son ventre derrière moi. Il me Lima de plus en plus vite, alors que moi j'avais mal!
- Tu l'aimes ma grosse bite putain... Je te baise bien la, c'est trop bon prend ça. Tient tient, ma bite dans ton cul espèce de salope. Tu mérites que ça. Tu es la pour te faire baiser!"
Et il me baisa, me baisa. Ses couilles claquaient sur mes fesses tellement il y allait fort.
- Prend la bien pute!"
- Sil vous plait! J'ai mal!"
Il ne disait rien e continuer à me dépuceler. A un moment il sortit complètement sa bite, j'ai cru que mon calvaire était fini:
- Merci".
Et la il me pénétra entièrement. D'un grand coup sec. Il m’arracha un cri de douleur, je pleurais à moitié. Ça ne l’arrêta pas, au contraire il me fit la tête au sol et les fesses en l'air, et il me baisa de plus belle.
A cet instant une femme vient toquer à la porte:
- Est ce que ça va ? J'ai entendue crier."
- Oui oui je me suis juste cogner le pied, merci ma p’tite dame."
- Okay."
Et elle partit, lui ne s'arrêtait pas. Après plusieurs minutes interminables il se retira. J'avais le cul en feu, il jeta la capote dans un coin de la douche et se rapprocha de mon visage. Il me tourna la tête et me maintenais d'une main.
- Ouvre ta jolie bouche."
Il se branla et joui de grosses giclées dans ma bouche et sur le visage.
- Avale pédale!"
Avec difficulté j’avalai son sperme, j eu envi de vomir.
- Nettoie la moi!"
Il glissa sa bite encore dure dans ma bouche et je léchai le sperme qui restait.
La il me regarda, j'avais les yeux en larme, son sexe entre les lèvres, et il se marra.
Il était en rut, il suait.
- Sale pute, tu m as bien fait jouir, j'ai jamais autant pris mon pied."
Il se releva, j'ai cru qu'il allait partir, que s'en était fini, mais non, il me mît a genoux.
- Ouvre la bouche et ferme les yeux."
J attendis plusieurs secondes dans cette position.
Puis je sentis un liquide chaud me remplir la gorge et dégouliner sur mon visage. Il me pissait dessus. J'avais plus de force, j'étais là, les bras ballant, à servir d’urinoir a cet homme.
Quand il eu fini il remit son maillot et s'en alla.
J'ai pris une douche, je suis resté au moins dix minutes la a me laver de tout ce qu'il s’était passé. En ressortant de la cabine j'avais mal aux fesses, je me suis rhabiller et je suis sorti.
Je pris mon vélo et me mis en route vers chez moi.
En arrivant je remarquais qu'une voiture était derrière moi.
Elle s’avança et la vitre se baissa: "A bientôt Julie."