Les voyages forment la jeunesse.
Et les bonnes fiottes aussi ...
Et les bonnes fiottes aussi ...
Grèce... L'été
Je m'appelle Max, j'ai 28 ans et je suis bi depuis longtemps, depuis que je me suis fait dépuceler sans ménagement par un trentenaire rencontré sur un site spécialisé. J'ai l'air viril : brun, poilu, barbu, trapu et musclé car sportif de longue date. Aussi, rares sont les hommes à me penser passif et encore moins soumis et salope.
Cependant, l'été passé, j'ai profité d'une après midi sans ma famille pour rejoindre une crique apparemment connue chez les grecs pour être le coin des gays. Cette information m'avait été donnée par le serveur du café où je prenais mon frappé tous les matins, serveur qui me draguait ouvertement bien qu'il ne m'intéresse absolument pas.
Je me suis donc rendu à cette plage, très belle au demeurant : eau limpide, accessible en descendant le long de la falaise par de petits escaliers taillés et surplombée d'un pan de roche sur lequel trône un bâtiment délabré dont seuls les murs et le plafond sont encore debout. Un autre escalier mène d'ailleurs à cette ruine. Une seule douche pour la plage, à l'ancienne, via une pompe qui puise l'eau douce dans le sol.
Rapidement, je comprends effectivement que je suis une plage gay et que l'endroit est bien celui indiqué : beaucoup de queues à l'air, de toutes tailles et de tous genres, et les seuls strings que j'aperçois sont portés par des hommes. Je m'autorise donc également à mettre le mien, un petit maillot de bain blanc, version string. Je ne me sens pas spécialement à l'aise au milieu de tous ces hommes décomplexés bien que j'ai pourtant l'habitude de m'exhiber devant des mecs entreprenants sur Paris. Mais j'oublie rapidement le contexte et bronze paisiblement.
Je suis surpris de voir de nombreux mecs aller et venir de la plage à la ruine et ma première idée est que cela doit être le coin toilettes de la plage. Après une baignade, le retour à la douche est ponctué d'un échange de regard avec un quarantenaire grisonnant, beau mâle en slip de bain rouge et à la peau bien tannée. Il me lance des œillades équivoques en n'oubliant pas de mater mes fesses mises en valeur par mon petit string. Je lui souris et file sous l'eau. A ma sortie, il s'avance vers moi et me parle en grec, trompé par mon aspect méditerranéen. Je lui fais péniblement comprendre en anglais que je ne pipe pas un mot de ce qu'il me dit, ce à quoi il me répond, dans un anglais aussi pauvre que le mien, qu'il adore mon cul et joint le geste à la parole en me malaxant ostensiblement les fesses. Je ne sais comment réagir et me laisse tripoter gentiment tout en me délectant de ses soupirs équivoques. Puis, il bredouille quelques mots dont "come" et m'encourage à le suivre jusqu'à la ruine, je me laisse alors tenter...
Nous grimpons, moi devant, lui derrière, se rinçant l'œil et se frottant les mains d'avance : je comprends dès mon entrée dans la ruine que ce lieu n'est pas les toilettes de la plage mais bien le baisodrome ! Le sol est jonché de capotes usagées et j'entends d'ici les râles d'un mec en train de se faire baiser quelque part. Mon mâle grec est excité, la tension est bien présente dans l'air comme dans son slip de bain...il me plaque face au mur et s'agenouille derrière moi, dans la seconde qui suit ma ficelle est écarté et mon trou pénétré par une langue chaude et rapeuse ! Il ne perd pas de temps ! Après m'avoir bien bouffé le cul, très activement, il se relève, me retourne et m'appuie sur les épaules pour me mettre à genoux. D'ordinaire soumis, je ne peux qu'apprécier sa prise en main ! Il me fourre sa queue bien dure dans la bouche et commence à faire des va-et-vient avant même que j'ai le temps de me délecter de son gland. Il me baise littéralement la bouche, j'en ai rapidement la larme à l'œil, ce qu'il semble adorer car il va toujours plus fort et plus profond, en me maintenant fermement la tête. Je lui montre ma soumission en mettant mes mains dans mon dos malgré les haut-le-cœur et cela semble l'exciter. A ce moment, surgissent deux hommes en train de se palper et de s'embrasser, probablement les deux qui baisaient dans la ruine, ils échangent quelques mots avec mon grec, matent un peu, rigolent puis repartent. Moment choisi par le grec pour me relever, yeux embués de larmes, jambes tremblantes et mâchoire légèrement douloureuse, me retourner, enfiler une capote puis m'enfiler moi. Il se glisse dans mon trou sans aucun problème : bien travaillé plus tôt par sa langue, mon anus est détendu par l'excitation du moment et s'ouvre aisément pour laisser entrer sa queue d'un calibre tout à fait honorable ! Il me lime alors rapidement, et, après quelques instants, je sens qu'il est totalement en moi, jusqu'aux couilles. Il s'en donne à cœur joie, me claquant régulièrement les fesses d'une main pendant que de l'autre il me fourre plusieurs doigts dans la bouche et me tire la joue en arrière...Il n'a clairement aucune attention à mon plaisir, concentré qu'il est à prendre son pied, ou bien il a très vite compris que je prenais justement mon plaisir à être malmené sexuellement. Toujours est-il qu'il me pousse rapidement à quatre pattes pour me défoncer en levrette, la tête sur le sol...il a un bon rythme et me défonce largement la rondelle, prenant quelques pauses pour contempler l'étendue de l'ouverture créée par sa queue. Deux mecs passent à côté pour aller eux aussi s'enculer dans un coin, il leur montre mon trou tout en me claquant les fesses mais pour moi, ils ne sont pas là, je ne vis plus cet instant que pour sa queue que je réclame. Il me la met, triomphant, devant le duo qui se rince l'œil et me démonte littéralement pour prouver sa virilité et ma soumission à la fois. Alors que les deux mecs s'éloignent, je sens que la fin approche, ses coups se font plus raides, sa queue est plus grosse et tendue que jamais : en un éclair, il m'a tiré par les cheveux pour me mettre à genoux devant lui, a enlevé sa capote et m'inonde le visage et la bouche de son sperme épais. Il me fait signe qu'il veut que j'avale, je refuse mais de toute façon, l'essentiel de son sperme est maintenant sur mon visage et mon torse....Je réalise mon oubli : pas de serviette, pas de mouchoirs...la seule option est la douche. Alors que je m'apprête à enlever ce qu'il y a sur mon visage avec ma main, il m'arrête d'un geste et me fait comprendre que je vais redescendre comme ça jusqu'à la douche...je me sens humilié, surtout devant son visage empli de fierté. Les marches me semblent interminables, plusieurs personnes nous regardent descendre et j'ai soudain l'impression que toute la plage sait ce que nous venons de faire, ce que JE viens de faire...étonnamment, cela me procure un sentiment double, d'humiliation et d'excitation. Les personnes que l'on croise sur le chemin de la douche posent des questions en grec, il répond, rigole et les gens rigolent avec lui, il mime certains moments, me claque les fesses alors que je suis toujours recouvert de son sperme...je suis son trophée, la petite "french slut" de la plage ainsi qu'il le répète à tout le monde en me lançant des regards équivoques...
Je me rince sous l'eau, essayant en même temps de laver le sentiment de honte que j'éprouve devant les regards vicieux des uns et des autres, envieux pour certains, clairement négatifs pour d'autres. Apparemment, le mot est vite passé : je suis un mec facile et une bonne salope, car c'est ainsi que viens m'aborder un ami à lui, en bon anglais cette fois. Il me fait comprendre que le mâle, lui-même et un troisième souhaitent s'occuper de moi...ils se positionnent autour de moi, me tâtent, rigolent, le troisième me met des doigts discrètement. J'essaie de leur faire comprendre que je ne veux pas, pas maintenant, j'explique en anglais et ils ne me prennent pas au sérieux, continuant à me doigter et me palper. Mes jambes tremblent autant de peur que de désir : je tente de gagner du temps en prétextant que je ne veux pas laisser mes affaires là alors que je pars avec trois hommes, que j'ai le cul défoncé, que je suis fatigué, j'essaie de sortir les doigts du mec de mon cul mais ils ont réponse à tout. Emmènes tes affaires à la ruine, nos queues rentreront plus facilement, tu n'auras rien à faire à part donner ton cul et ta bouche, le mec résiste en enfonçant même un doigt supplémentaire...Les regards sont clairement tournés vers nous, toute la plage semble attendre de voir si la "french slut" va monter à la ruine se donner à enfiler par ces trois mâles...Finalement, mon insistance fait la différence : je leur propose de revenir le lendemain, vers 18h pour avoir moins chaud. Les trois acceptent même si leur déception est visible et à la hauteur de la tension qu'il y a dans leurs maillots, le troisième prend tout de même son temps pour explorer encore un peu mon trou avec ses doigts avant de me les donner à lécher. Tout en m'exécutant, rendez-vous est donc pris pour le lendemain, en string près de la douche, à 18h.
Le lendemain justement, au café du matin, le serveur vient me voir et m'explique discrètement avec un clin d'œil qu'apparemment, la veille, à la plage, un jeune français viril s'est fait sacrément défoncer dans la ruine par un actif local et qu'il aurait bien voulu voir ça...ce à quoi je lui réponds qu'il y a une rumeur comme quoi le jeune français est supposé revenir à 18h ce jour-ci pour la suite des évènements, si cela l'intéresse...
Après mon café matinal et l'évocation à mots couverts des événements de la veille avec le serveur, je me prenais à penser à la soirée à venir. Allais-je vraiment me donner en pâture à trois grecs inconnus et entreprenants ? Eux-mêmes, allaient-ils venir ? Quelles pratiques allions nous mettre en place avec seulement deux trous pour trois queues ? Une double anale ? J'en fantasmais car j'avais beau avoir de l'expérience en matière de sexe hard entre mecs, je n'avais jusqu'ici vécu que deux doubles anales, une à 18 ans de façon sauvage dans un bois, avec un quinqua domi et un quadra actifs très machistes, double anale qui m'avait laissée un souvenir douloureux, et une autre à 23 ans avec un couple d'actifs, mieux amenée celle-ci mais tout de même délicate malgré la grande flexibilité de mon trou.
Cependant, je me laissai gagner par la journée en famille, oubliant presque que, 24h auparavant, je me faisais largement dépraver dans une ruine grecque par un macho quarantenaire. C'est encore le serveur qui me remit dans le bain, d'un clin d'œil malin, en cours d'après-midi, alors que je passais devant son café. Je m'arrêtai pour discuter et nous nous mimes d'accord sur le fait d'aller ensemble à la fameuse plage vers 17h.
Durant le trajet, il essaya tant bien que mal de me dérider mais j'étais visiblement trop stressé pour être disponible à la conversation. Arrivés à la fameuse plage, garés en contre-haut, je prétextai un besoin urgent pour le laisser descendre seul et ne pas donner l'impression d'être accompagné. Sur le moment, je me sentais plutôt confiant, ses flatteries diverses avaient fait leur effet et je décidai alors d'assumer ce qui s'était passé la veille sans trembler. J'enfilai rapidement un autre string, noir celui-ci, plus sexy et plus échancré, dévoilant encore mieux mes fessés galbées. J'entrepris de descendre avec assurance les marches à mon tour, en essayant de ne pas me préoccuper du regard des mecs sur la plage.
Difficile de dire si c'était une réalité ou une construction de mon esprit, mais il me semblait que la plage était plus pleine que la veille, ou tout du moins, j'eut la sensation que mon arrivée n'était pas sans générer quelques mouvements et commentaires...
Après avoir installé ma serviette, je me fis aborder par un jeune grec dans un français fort convenable et nous fûmes rejoints rapidement par le serveur qui avait salué des connaissances à lui. Il avait vécu deux ans à Paris dans le Marais et nous échangeâmes alors plusieurs histoires de sexe, tandis qu'il s'empressait de traduire les miennes au serveur, tout émoustillé de découvrir ainsi ma sexualité pervertie.
J'avais presque oublié pourquoi j'étais là quand l'ex-parisien évoqua soudainement la veille, car il était lui-même présent sur la plage ! Il avait appris en détails comment cela s'était passé, avait lui même vu quelques bribes sur la fin, près des douches, et était au courant de ce qui s'organisait aujourd'hui. Cela lui permis de me dire que ma venue était au cœur des débats sur la plage dans la journée : viendra, viendra pas, assumera, assumera pas...il me confia que les avis étaient partagés, d'un côté les envieux qui auraient aimé vivre ce moment à ma place ou profiter de moi, de l'autre les critiques, qui estimaient ce genre de comportement déplacé et enfin les autres, les curieux, qui attendaient d'avoir ou de voir la suite des événements.
C'est à ce moment que quelqu'un me tira par les cheveux la tête en arrière tout en ramenant mes fesses vers lui, de sorte que j'étais exagérément cambré et le cul offert. J'ai reconnu à sa voix mon grec macho de la veille, ainsi qu'à sa pogne lorsqu'il claqua mon cul avec force en s'écriant "My french slut !". Tout en me tenant par les cheveux, il me fit me retourner afin de le regarder : il avait le regard lubrique, un grand sourire et était accompagné du troisième de la veille, celui qui m'avait longuement et publiquement doigté. L'ex-parisien traduisit quelques éléments et il me fit rapidement savoir qu'il leur avait expliqué où j'habitais et à quel genre de pratiques je m'y adonnais sexuellement. Il se proposa de participer au plan, non sexuellement mais comme traducteur, ce que j'acceptai car sa présence me rassurait. Le troisième de la veille s'approcha de moi pour m'embrasser goulûment, en même temps que rapidement ses doigts filèrent sous ma ficelle à la recherche de mon trou. Il embrassait comme s'il me bouffait le cul : profondément, par à-coups, et il devenait difficile pour moi de ne me sentir devant lui que comme un anus géant intrusé de partout. Le macho expliqua alors, traduit par l'ex-parisien, que la troisième personne sensée venir serait absente.
A la fois soulagé et déçu, je me disais que deux queues et une multitude de regards étaient bien suffisants lorsqu'il ajouta qu'un autre allait venir en remplacement, sans plus de détails. Nous avons pris un peu de temps pour discuter à cinq en attendant l'inconnu du jour, discussion régulièrement ponctuées de tripotages variés et de claques sur les fesses. J'en appris plus sur l'inconnu : c'était un actif dominant, d'une quarantaine d'année, apparemment très impressionnant...et effectivement lorsqu'il apparut dans les escaliers, je senti instantanément mes jambes se dérober. C'était un vrai colosse, de 2 mètres et une centaine de kilos, musclé, le visage dur. Je n'ai pas décroché un mot durant sa descente tranquille, son sac à dos jeté négligemment sur une épaule. J'étais comme pétrifié tellement il dégageait quelque chose d'hors norme. Lisant ma peur sur mon visage, l'ex-parisien me glissa à l'oreille qu'il avait l'habitude de s'occuper des salopes comme il fallait. Ce qui ne m'a pas plus rassuré !
Il se planta devant moi, et bien que je ne sois ni mince ni très petit, je me sentis immédiatement comme une chose devant lui. Son regard perçant semblait lire en moi, voir à travers moi, comme si, dans son regard, il me voyait la veille à genou le visage couvert de sperme, comme s'il savait instantanément tout ce que j'avais vécu sexuellement. J'étais un livre ouvert pour lui. Il n'avait pas décroché un mot, me dévisageant longuement sous toutes les coutures, présenté que j'étais comme une poupée par le macho qui me tenait fermement par les cheveux, m'obligeant à tourner sur moi-même sur la pointe des pieds, avant finalement de demander mon nom. Avant même que je puisse répondre, le macho s'écria "french slut !", provoquant l'hilarité générale. Le colosse posa alors son sac, me fit mettre à genoux devant lui et sortit de son sac un feutre, avec lequel il entreprit de m'écrire french slut sur le front. Puis il me fit mettre à quatre pattes et écrivit quelque chose sur mes fesses, message que me rapporta oralement et accompagné d'un regard vicieux et entendu le serveur : "ass to destroy", avec une flèche vers mon anus...Toujours dans cette position, il me passa un collier et prit la laisse en main, me tirant vers les escaliers, suivi par le macho et le doigteur, le serveur et l'ex-parisien, la caravane observée de près par la plupart des mecs restés sur leurs serviettes. Au pied de l'escalier, il me fit stopper, sortit de son sac un plug anal avec une queue de cheval derrière, la lubrifia et me l'enfonça tranquillement dans le trou, laissant la ficelle de mon string de côté. Puis il me fit monter à quatre pattes derrière lui ponctué d'un "like a dog !", suscitant l'excitation des autres et la mienne avec, même si commençais à me demander ce que je faisais là...
Arrivés dans la ruine, le colosse commença par s'amuser avec la laisse, me traînant partout, tirant dessus pour m'étrangler...il me fit me rapprocher de sa queue, encore enveloppée dans son pantalon, la lui lécher à travers...les autres se branlaient consciencieusement en attendant que le colosse les invite à venir jouer eux aussi. Il m'accrocha à un tuyau, le temps d'enlever ses affaires, dévoilant son membre, à la hauteur de son physique, un gros morceau...je commençais à comprendre le "ass to destroy" ! Alors qu'il me tirait une nouvelle fois vers lui et je m'apprêtais à ouvrir la bouche pour accueillir à minima son gland, il m'arrêta d'un coup sec, se tourna et me présenta son cul, m'invitant à lécher...en écartant difficilement ses fesses musclées, j'entrepris alors d'obéir malgré l'odeur de transpiration extrêmement forte. Progressivement, je lui décrassai le trou, de plus en plus en profondeur suivant ainsi ses consignes physiques puisqu'il m'enfonçait fortement la tête dans son cul avec ses mains.
Je commençais à y prendre goût lorsqu'il m'interrompit et me fit allonger par terre, sur le dos. Il mis alors son trou au dessus de mon visage et s'accroupit afin de permettre à ma langue d'aller lui fouiller le cul plus en profondeur. Ce devait être le moment où il invita le macho et le doigteur à le rejoindre car, n'y voyant rien, je senti quelqu'un me soulever les jambes, m'ôter précipitamment le plug afin d'enfoncer sa queue dans mon cul d'un coup sec, m'arrachant un cri étouffé par l'anus qui m'emplissait la bouche.
Le colosse entreprit alors de changer de position, afin de positionner sa queue face à ma bouche, me permettant ainsi d'entrevoir pour la première fois mon baiseur. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que ce n'était ni le macho, ni le doigteur mais bien le serveur qui m'enfilait, avec un grand sourire de satisfaction de celui qui a joué un bon tour. Et c'est qu'il limait bien en plus ! Le colosse commença à me baiser la bouche, s'allongeant presque au dessus de moi. Sa queue rentrait à peine jusqu'au tiers dans ma bouche, dont son énorme gland. Pendant qu'il me défonçait méthodiquement, je senti le serveur se retirer de mon cul avant d'être immédiatement remplacé par un autre, il me semblait reconnaître la queue du macho mais mes yeux embués de larmes ne pouvaient confirmer cela. Quelques minutes plus tard, la troisième queue me défonça à son tour, alors que ma gorge était toujours emplie par la queue énorme du colosse...
Puis il me fit mettre à genoux, entouré par les quatre queues, que je suçais et branlais à en perdre haleine et à en avoir mal aux poignets. Il sortit alors de son sac une paire de menottes, avec lesquelles il m'entrava les mains dans le dos. Je n'avais donc plus que ma bouche pour satisfaire les quatre queues et je ne savais plus où donner de la tête. Le traducteur, au chômage technique face à la dominance du langage des corps, restait cependant présent et se rinçait abondamment l'œil devant ce spectacle. C'est alors qu'un petit groupe de mecs arriva de la plage et je compris immédiatement que tout ce petit monde ne voulait pas non plus perdre une miette de ce moment. Ils s'installèrent alentours, matant et se tâtant les uns les autres.
Alors que le groupe d'observateurs augmentait à une dizaine, le colosse me repris en laisse et me fit déambuler dans la pièce, pour m'exhiber devant tout le monde. Puis il se mît de profil par rapport au groupe, moi assis à genoux devant lui et me montra ses pieds. J'entrepris alors de m'avancer et de lui lécher les pieds, de façon générale, orteil par orteil ensuite ce qui n'était pas évident avec les mains dans le dos...je sentis qu'on m'enfilait en levrette derrière et reconnu à ses râles le doigteur. De temps en temps, le colosse m'interrompait pour me cracher au visage sa salive, voire pour la déposer directement dans ma bouche, avec une précision étonnante étant donné les assauts que je subissais au niveau anal. Car finalement, le macho était presque le plus doux des trois : le doigteur était brut, de la façon de m'embrasser jusqu'à sa façon de me baiser en passant par ses gestes en général, quant au serveur, il me faisait payer avec passion et puissance mes rejets successifs de ses avances. Nul besoin de dire à quel point mon trou restait ouvert entre deux enfilages.
Le colosse me tenant toujours en laisse s'écarta avec un petit air malicieux et laissa place au serveur justement, qui me regarda avec un sourire de défi en me disant "now suck my dick bitch"...et moi de m'affairer comme un affamé sur sa queue. Après tout, tout avait commencé à partir de lui et je comptais bien l'en remercier ! Il me fit également lécher son cul, puis ses pieds, revint à la charge avec sa queue en me biflant généreusement tout en m'insultant pendant que le macho s'occupait de m'élargir l'anus à grands coups de queue. Le colosse me détacha alors les mains du dos pour aussitôt les rattacher avec les menottes mais devant, me donnant un appui facilitant. Je me retrouvai soudain face au macho, au serveur et au troisième, debout, bras croisés et bites fièrement dressés, prenant conscience que la salle était bondée de mateurs. Au moment même où je réalisais cela, je compris ce qu'il se passait ! Bien qu'ayant été abondamment défoncé par trois queues différentes préalablement, je senti mon anus se serrer de peur alors que le colosse s'était positionné derrière et au dessus de moi pour à son tour me voir me dandiner au bout de sa queue.
Le traducteur me demanda si j'étais clean, safe, ce à quoi je répondis que oui, bien entendu. Je compris trop tard le sens de la question car sa répartie précisant "lui aussi" se confondit avec mon cri mêlant douleur et dénégation alors que le colosse venait de forcer sans capote l'entrée de mon trou. Même si j'avais pu vouloir me débattre, la décharge provoquée par cette insertion et l'afflux incroyable de sensations nettes, parmi lesquelles je sentais la moindre des veines gonflées de sa queue, je n'eut instantanément plus la force de me débattre car je me trouvais au bord de l'évanouissement, me contentant de survivre à ces coups de boutoirs incroyablement puissants. Je ne pu cependant crier longtemps ma plainte car rapidement les trois larrons vinrent m'emplir la bouche avec leurs queues. Mains attachées, bouche remplie et baisée alternativement par trois queues, visage couvert de larmes et de bave, jambes tremblantes maintenues uniquement par les mains fermes du colosse posées sur mes cuisses ou mes fesses, cul détruit sans capote par un mandrin énorme, le tout sous le regard pervers d'un groupe d'une quinzaine de mecs, j'étais assurément la "french slut" de la plage !
Entre deux pipes forcées, j'essayai de faire comprendre au traducteur que je ne voulais pas que le colosse me remplisse le cul de sperme, mais je compris rapidement que c'était peine perdue : je n'arrivais pas à garder la bouche ouverte plus de cinq secondes sans y voir s'insérer une queue, quand je ne l'ouvrais pas juste pour crier ma douleur, ce alors que le traducteur semblait avoir totalement oublié son rôle puisqu'il se faisait allègrement pomper en matant le spectacle d'un regard lubrique.
Soudain, je senti des coups de bite plus accélérés et plus féroces encore et je me tendis à l'approche du dénouement, jusqu'à sentir un liquide chaud se déverser dans mon cul en grande quantité. Le colosse tassait littéralement le sperme au fond de mon anus, sans débander. Cette arrivée entraîna trois jets supplémentaires. La macho vient en premier et me gicla sur le front, lieu de l'inscription "french slut". Le doigteur m'en mis partout sur le visage et le cou. Le serveur m'enfonça d'un coup sec, profitant de la confusion de situation générée par les arrivées multiples, sa queue au fond de la gorge et y déversa une grosse rasade de sperme épais puis me maintint la tête, me forçant ainsi à avaler son sperme pour pouvoir respirer. Il en profita pour me glisser à l'oreille qu'à partir d'aujourd'hui, j'allais avaler son sperme tous les jours, appuyant cela d'un crachât au visage et d'un "bitch !" bien senti.
Pour autant personne ne bougeait de la salle et j'étais toujours entravé...j'essayais de recouvrer mes esprits, en m'asseyant sur les genoux puisque mes jambes ne pouvaient me porter, tentant de faire passer le goût du sperme du serveur et d'expulser celui du colosse de mon cul, ce qui n'était pas dur étant donné l'état sensiblement dévasté de mon trou. Mais soudain, je fut de nouveau projeté face au sol, me réceptionnant péniblement avec les mains attachées. C'est ce qui s'appelle mordre la poussière ! C'est alors que je saisi pourquoi tout le monde regardait encore : je senti les doigts du colosse s'immiscer en moi sans efforts, bien lubrifiés. Son énorme main était en train de tenter de me fister ! J'essayais de me plaindre, mais comme depuis le début, ma plainte ne fut pas entendu car pas audible et la sensation était telle que rapidement j'encourageais le colosse à y aller. Lassé de m'entendre probablement, le serveur revint et me fis lui lécher l'anus en m'enfonçant bien la tête entre ses deux fesses. Cela eut le mérite de le faire bander de nouveau, tout comme le macho.
Le colosse qui ne parvenait pas à insérer entièrement sa main invita les deux à passer derrière moi : le macho se mît au sol et je m'empalai sur lui sans difficulté alors que le serveur passa derrière moi en m'appuyant sur le dos pour me coucher sur le macho, puis poussa avec sa queue pour s'insérer aussi. Me voilà subitement pris en double anale par deux grecs au fin fond d'une ruine sur une plage perdue, maté par le reste des mecs présents. J'avais beau fantasmer ce genre de moment après la proposition de la veille, là, je prenais totalement mon pied, pendant que le serveur me glissait des choses vicieuses à l'oreille, en grec, en anglais. Je ne comprenais pas tout mais son ton était sans équivoque, je suis sa "bitch". Après quelques instants de ce régime, le colosse revint se faire lécher les boules et se remît lentement à bander.
Le macho finît dans sa capote, le serveur aussi mais il ne la jeta pas. Le colosse repassa derrière moi et cette fois, cul très ouvert et main bien huilée, je sentis son immense paluche s'enfoncer en moi jusqu'au poignet sous les vivats et les sifflets des spectateur, alors qu'il me défonçait l'anus, du moins ce qu'il en restait , à coup de poings. Il s'arrêta après quelques instants pour venir se placer devant ma bouche et me montrer fièrement deux photos prises avec son téléphone : on m'y voyait, à 4 pattes, la tête tirée en arrière par le serveur avec le poing du colosse enfoncé jusqu'au poignet, puis une autre me montrant l'ampleur de la dilatation, poing ôté. J'en eut instantanément les larmes aux yeux, à la fois d'épuisement, de honte mais aussi de plaisir.
Tout ce petit monde m'accompagna à la douche, sur la plage qui s'était vidée : tous les mecs étaient ou partis ou venus mater. Je ne savais même plus où j'étais, j'avais besoin d'aide pour descendre les marches, je sentais bien que j'étais allé au bout de moi-même, malgré moi d'un côté, mais aussi parce que d'une manière j'ai consenti à donner cela de moi à voir et à utiliser. Les gens partirent progressivement, le colosse me remercia pour ce moment, et je restais seul et hagard, assis sous l'eau de la douche, seulement secondé du serveur et du traducteur.
Celui-ci écouta le monologue du serveur puis me le retranscrit oralement : "Maintenant que je sais qui tu es vraiment, quelle pute tu peux être, je ne veux plus t'entendre refuser mes avances, tu vas m'obéir jusqu'à la fin de tes vacances et me laisser ton cul et ta bouche à totale disposition" et joignant l'acte à la parole, il me montra les menottes que le colosse lui avait prêtées, me tendit la capote encore pleine de plus tôt et me la versa au-dessus de la langue pour que j'avale puis m'indiqua sa queue de nouveau tendue.
Alors que le traducteur remontait les marches pour repartir, j'étais déjà de nouveau mains attachées dans le dos en train de m'étouffer sur une queue, celle même du serveur dont je refusais les avances la veille encore...
Alger un soir d'été
Auteur : Avalefoutre
Alger, un soir d'été. Il faisait chaud. N'ayant rien à faire à la maison, j'avais décidé de sortir marcher un peu, histoire de tuer le temps. Sortant du quartier et empruntant l'avenue principale, je me laisser guider par mes pas, sans savoir où j'allais exactement. Je marchais laissant mon esprit voguer. Je marchais sans but apparent. Au bout d'une vingtaine de minutes, je passe devant un chantier. Un immeuble en construction.
Un jeune homme, 18 ans, était debout devant la porte en zinc. Il portait un bermuda et débardeur blanc. Il avait la peau bien bronzée. Sans vraiment le regarder, je répondis à son salam (salut). Dépassant le chantier, j'arrive à une station-service. Je m'arrête et je me retourne et décide de rebrousser chemin.
Je repasse devant le chantier. Le mec est toujours là, me fixant du regard. Je le regarde rapidement. Il a la main gauche sur son entrejambes, malaxant son sexe. Sa langue passe et repasse sur ses lèvres. Je continue mon chemin ; je me retourne et je constate qu'il me suit du regard. Je m'arrête devant un glacier. J'achète un cornet de glace et je le déguste avec envie.
Absorbé par mon cornet de glace, je n'avais pas remarqué que le gars du chantier était juste à côté de moi, me regardant en train de savourer cette glace. Le sourire au coin de la bouche, il me lance doucement, pour que personne n'entende : « J'ai un cornet de glace qui ne se termine pas ! » Ne relevant pas la remarque, je continue lécher mon cornet. Il me fixe du regard. Sa main gauche toujours sur son entrejambes. Je remarque que le tissu tire un peu. Il bandait. Heureusement qu'il faisait nuit, sinon les passants auraient remarqué son érection.
me tendit la main pour me saluer et me dit toujours à voix basse : « Bonsoir, j'ai chaud. Si tu veux, tu me rejoins au chantier, on sera plus à l'aise. » Il se retourna et se dirigea vers l'entrée du chantier. Arrivé devant le portail, il se retourna et me fit signe de la tête.
Je me sentais envahi par une douce chaleur. Sans me rendre compte, je pris la même direction que lui. Il était derrière le portail à m'attendre. Une fois le seuil du chantier franchi, il ferma le portail. Il prit ma main et la posa sur son entrejambes. Je sentais sa queue dure. Elle était de bonne taille. Il me guida vers une baraque en parpaing. Il s'adossa au mur. Sans préliminaire, il appuya sur mes épaules. Je compris ce qu'il voulait. Il était directif et j'aimais ça. J'aime bien me sentir dominé. A genoux, je me retrouvais face à sa bite qui se tenait droite comme une lance. Une touffe de poils entourait ce magnifique engin ; ce qui n'étais pas pour me déplaire. Car j'aime les queues poilues. Il avait baissé son bermuda pour être plus à l'aise.
Je ne m'étais pas trompé. Il avait une belle queue. Longue et d'une bonne épaisseur. Elle devait mesurer dans les 20x5 cm. Sans hésiter, je commençais à le sucer. Sa queue emplissait ma bouche. Je la sentis grossir encore. Elle me remplissait bien, trop bien même. Je m'activais sur cette belle pièce. Je suçais le gland, le titillant avec ma langue, puis je l'embouchais entièrement jusqu'à suffoquement. Mon nez venait coller à son pubis. Je m'enivrai des odeurs de mâles qui s'en dégageaient... Délaissant sa queue, je gobais ses deux noix qui étaient bien pleines et bien dures et surtout poilues. Je les léchais, je le prenais une par une puis toutes les deux dans ma bouche, le chatouillant… Puis je remontais vers son gland tout en astiquant sa belle tige. Je ne laissais rien. Je suçais, je léchais, je gobais. Tantôt je taquinais le gland, tantôt je faisais des gorges profondes. Je m'occupais de sa queue comme si ma vie en dépendait. Le temps s'était figé pour moi. Rien ne comptait. Rien n'importait que sa queue qui m'emplissait la bouche. Elle était bonne et sentait bon le mâle.
Apparemment, il appréciait ce que je lui prodiguais comme « sévices », vu ses gémissements. Il prit ma tête entre ses mains et commença à me baiser la bouche, à chaque coup de rein, il s'enfonçait un peu plus. Il allait doucement pour accélérer puis réduire la vitesse de ses coups de reins. La salive dégoulinait de ma bouche. Je le laissais faire. J'aimais ce qu'il me faisait. A croire qu'il m'enculait. Il prenait ma bouche pour mon trou de cul. Ce traitement dura une bonne dizaine de minutes, il me baisait littéralement la bouche. Il agrippa fort ma tête et s'enfonça au fond de ma gorge. Pris d'un haut le cœur, je voulais m'en dégageais. Il me tenait fort entre ses mains. A peine le temps de déglutir qu'il se lâcha dans ma bouche ou plus précisément au fond de ma gorge. Trois jets épais et chauds inondaient mon palais.
Je n'avais aucun choix que d'avaler pour ne pas étouffer. Il resta dans ma bouche, je continuais à le sucer jusqu'à la dernière goûte. Il ressortit de ma bouche la tige propre, reluisante. Il remballa sa bite dans son bermuda. Au moment où je me remettais debout, j'entendis des voix. Apparemment, on n'était pas seul. Je me retournai et je vis qu'il y avait personnes dans le chantier. Ils s'approchèrent de nous et demandèrent à mon « casseur de bouche » qui j'étais. « Un PD qui m'a sucé et que j'ai rempli sa bouche de mon sperme ! »
Je baissai ma tête, ne sachant plus où me mettre. Les 4 mecs, s'approchèrent davantage. Je sentais leur regard sur moi. J'osais lever les yeux. Ce que je vis me surprit un peu. Tous les quatre se caressaient en me regardant. Un silence lourd régnait sur le chantier. Je n'osais pas bouger, eux non plus. C'est alors que le premier mec que j'ai sucé se plaça derrière moi, me pris les deux mains, me força à me mettre à genoux et dit à ses camarades : « Qu'attendez-vous ? Il aime le bite, profitez de sa présence ! ». Je compris que j'allais passer à la casserole.
Je baissai ma tête, ne savant plus où me mettre. Les 4 mecs, s'approchèrent davantage. Je sentais leur regard sur moi. J'osais lever les yeux. Ce que je vis me surprit un peu. Tous les quatre se caressaient en me regardant. Un silence lourd régnait sur le chantier. Je n'osais pas bouger, eux non plus. C'est alors que le premier mec que j'ai sucé se plaça derrière moi, me pris les deux mains, me força à me mettre à genoux et dit à ses camarades :
- Qu'attendez-vous ? Il aime la bite, profitez de sa présence !
Je compris que j'allais passer à la casserole. Et ce n'était peu dire. Les quatre mecs, tous jeunes, le teint basané (à cause du soleil), de taille moyenne, s'approchèrent de moi. Je pouvais deviner – pour ne pas dire voir – clairement les bosses proéminentes qui se dessinent dans leurs entrejambes respectifs.
Le premier d'entre eux déboutonne son pantalon et le baisse un peu. Juste ce qu'il faut pour libérer sa queue raide. Sans dire un mot, j'ouvre ma bouche et la happe. Il pousse jusqu'à ce que je sente les poils de son pubis chatouiller mon nez. Je le suce, ma langue joue avec le gland. Il me baise la bouche, il fait des va et vient, il ondule du bassin.
Passif, je me laisse faire. Ma bouche est comme une chatte ou un trou de cul. Il accélère puis ralentit le rythme. Il me prend la tête et enfonce toute sa queue qui est de taille moyenne, pas trop épaisse, ce qui me permet de l'avaler et surtout de la déguster.
Il me baisa la bouche pendant quelques minutes avant de sentir sa queue se raidir signe d'une jouissance imminente. Quatre à six jets de sperme chaud, onctueux légèrement acide envahissent ma bouche. N'ayant d'autre choix que d'avaler, je pris à un malin plaisir à ne laisser aucune goutte tomber.
A peine sorti de ma bouche, il est remplacé par un autre. Une bite longue est fine. Raide comme une statue, il ne fit rien. C'était à moi de m'occuper de cette belle tige entièrement rasée. Je ne me fis pas prier. Je m'activais sur sa queue avec une ardeur sans pareil. Aux gémissements qu'il laissait échapper, il n'était pas indifférent à ma bouche et à mon jeu de langue. A peine six minutes qu'il largua sa purée dans ma bouche. Même scénario : j'avalais tout. Un délice.
Il a été remplacé par le troisième. Précoce et forcément à cause du spectacle que j'offrais, il n'a pas tardé à jouir. Sa queue était de bonne taille, épaisse et poilue comme j'aime. A peine dans ma bouche, qu'il s'activa. En deux temps trois mouvements, il m'inonda la bouche de son lait chaud. Un autre régal.
J'étais comme une chienne. Une chaleur m'avait envahi. J'avais perdu toute notion de temps, de retenue, de pudeur… Je me laissais guider par mon instinct. J'étais quasiment dans un état second, obnubilé par ces queues à dégorger.
Le quatrième se présente. J'ouvre la bouche. Il me pénètre. Deux va et vient et il lâche tout. Il devait être très excité. D'énormes jets de sperme chauds tapissent ma langue et ma bouche. J'ai eu du mal à déglutir, tellement il m'emplissait la bouche. Il était très bien monté un 21x5.
La dernière goutte avalée, je me relevais pensant que c'était terminé. Méprise. A peine debout, que le premier mec, me dit que là ce n'était que le début, qu'ils allaient tous me baiser. Pensant à une plaisanterie. Je compris vite que ce n'était pas le cas. Les cinq mecs m'encerclèrent et me poussèrent jusqu'à la cabane où ils logeaient. A peine le seuil franchi qu'ils me poussèrent sur un des lits. L'un d'eux me baissa le pantalon et l'enleva. Les autres me caressèrent les fesses, les palpèrent. Celui qui m'avait dénudé, me demanda de me mettre à quatre pattes. Ce que je fis sans rechigner. Je sentis deux ou trois doigts mouillés étaler de la salive sur ma rondelle excitée. Il pointa son gland à l'entrée de mon trou. Il pousse, je sens le gland entrer. Il pousse encore et il est entièrement en moi. Il ne soucie même pas si j'ai mal ou pas. C'est mentir que dire que j'ai eu mal. J'ai juste senti qu'il me pénétrait. Il commença à aller et venir. Je le sentais bien. Mon sphincter enveloppait sa queue. C'était bon. Un délice. Je commençais à gémir, à sentir l'excitation envahir mes entrailles. Alors qu'il me bourrinait plus qu'il ne me baisait, ses amis, ne rataient pas une miette du spectacle. L'un d'eux s'avança et me donna sa queue à sucer. Je n'avais pas besoin qu'il me le dise. J'ouvris juste ma bouche qu'il pénétra. C'était l'extase pour moi. Mes deux trous étaient pris d'assaut. Celui qui me casser le cul me pris par les hanches, se raidit et largua son foutre dans mes entrailles. Il a été vite remplacé par celui que je suçais. Pas besoin de lubrifiait mon trou de cul. Il l'était suffisamment par le sperme qui se trouvait à l'intérieur mais également par la bite du précédent.
Il me pénétra sans ménagement. Il me ramonait à une vitesse effrénée. Comme s'il était pressé d'en finir. Ce fut le cas. Quelques minutes lui étaient suffisantes pour jouir en moi. En sortant de mon trou, je sentis comme un vide. Du sperme coulait sur mes cuisses. Un autre acolyte prit le relai. Il était brute et rustre dans sa manière de me prendre. Il était bourrin et ce n'était pas pour me déplaire. J'étais secoué comme un pommier. Il était violent dans son va et vient, mais cela ne me faisait pas mal au contraire. Il me procurait du plaisir. Il m'assaillit près de 30 minutes. Je ne sentais plus ni mes jambes ni mon trou. Il éjaculat dans un rugissement inondant mes entrailles lui aussi.
Les deux autres me prirent à leur tour jouissant également dans mon cul. Ils furent rapides car très excités. Je ne sentais plus mon trou. Il était meurtri, très sensible. Des filets de foutre en sortaient. J'étais en nage, épuisé, mais satisfait par ma performance. J'ai eu du mal à me relever. J'étais courbaturé. Le premier mec me conduisit aux WC pour me nettoyer. Je me lavais sommairement le cul. L'eau froide apaisa cette sensation de brûlure et de flamme. Je mis de l'ordre dans ma tenue et quitta le chantier. Je rentrai à la maison marchant comme un canard. Durant quelques jours, j'avais du mal à m'asseoir correctement sur mes fesses, tellement mon trou de cul gardait les séquelles de cette baise torride.