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Brèves du net. Témoignages de soumission

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Juste avant Noël,

certaines femmes se confient sur
leurs modes de vie...


Mon ex femme est une esclave
Alain, 39 ans, Toulon

Je me suis séparé d’Annick car elle était trop popote.
Elle ne voulait jamais sortir, et question sexe, c’était une vraie planche à pain. Impossible de lui faire prendre des positions érotiques. Aussi ai-je été étonné, le mois dernier, quand je l’ai revue à la terrasse d’un café avec un homme assez beau.
Ce qui était renversant, c’est qu’elle avait les cuisses écartées et que le type la caressait, là, au vu et au su de tout le monde.
Je me suis présenté, le type m’a fait asseoir. Il m’a serré la main avec celle qui branlait le con de mon ex-femme. Ça m’a fait tout drôle. Annick avait changé. Elle me souriait d’une drôle de façon et quand elle a dit à Jacques que j’étais son premier mari, celui-ci a été très intéressé. Il m’a appris qu’il la dressait.
- C’est une esclave qui apprend vite, dit-il, viens je vais te montrer
On est descendu dans les toilettes de l’établissement. Dans celles des dames, Annick a dû relever sa jupe. Dessous, elle avait la chatte à l’air, rasée en forme de cœur. Ses poils étaient tout mouillés. Jacques l’a traitée de pute et lui a ordonné de lui sucer la queue, à quatre pattes. Elle a obéi docilement.
Quand j’ai vu ses lèvres charnues entourer le gland de son amant, j’ai bandé. Elle l’a avalé comme une pute. Jacques m’a proposé de l’enculer, là, sur place, mais j’avais trop peur qu’on vienne nous déranger. Le type m’a alors proposé de venir avec eux dans leur appartement.
Là il est allé chercher un fouet à brins longs, qu’il a aussitôt utilisé sur mon ex-femme. Celle-ci a courbé l’échine en pleurant. J’étais très émoustillé. Les lanières ont rougi la chair d’Annick. Son amant l’a contrainte à se mettre à poil et à se coucher devant nous. Il a continué de la cingler, puis m’a tendu le fouet en me disant que je pouvais user d’Annick comme je voulais.
J’ai proposé qu’elle nous lèche les chaussures. Elle l’a fait, c’était bon de la voir complètement nue, le cul relevé comme je le lui avais demandé. J’avais une trique de tous les diables, je me penchais parfois pour lui flatter le cul. Je lui ai ordonné de se retourner, d’ouvrir les fesses, et quand j’ai vu son œillet bâillant d’impatience, je l’ai insultée. J’ai dit tout ce que j’avais sur le cœur, tout en la frappant juste assez fort pour qu’elle ait mal et qu’elle crie.
La queue à l’air, son mec nous regardait en se branlant. Soudain il a saisi Annick par les cheveux, l’a obligée à avaler son nœud. Cette fois il a été très dur, enfonçant sans précaution sa pine au fond de la gorge de mon ex-femme. J’ai eu pitié d’elle et je lui ai demandé d’arrêter. On a bu un coup, Annick nous servait, les yeux baissés, harnachée dans un body qui la serrait, comprimait ses fesses et ses seins. Elle en avait les larmes aux yeux, parfois Jacques glissait ses doigts entre ses cuisses. Il la traitait alors de salope car elle était bien graissée.
Après un moment, on a eu envie de remettre ça, Jacques m’a dit qu’il me réservait une surprise. Nous sommes allés dans la chambre, le lit était bizarre. Il avait quatre montants avec des cordes, il a ligoté Annick aux quatre coins. Elle était vraiment écartelée. On a passé notre colère et notre envie une nouvelle fois. Jacques m’a tendu une capote en me disant :
- Vas y, enfonce-la, elle a le cul très souple maintenant
J’ai sodomisé mon ex d’un seul coup, elle avait l’air d’aimer ça, cette pute, Jacques n’a pas arrêté de l’injurier et moi, je la limais comme un métronome. Quand j’ai senti que j’allais gicler, j’ai préféré me retirer. L’autre m’a remplacé et il n’a pas eu autant d’égard. Il a griffé tout le corps d’Annick.
Quand il l’a délivrée, elle avait des marques partout. Elle a levé les yeux vers moi. J’ai eu envie de lui fourrer ma queue dans la bouche, de la frapper à coups redoublés tellement elle avait un air pervers. Annick tournait autour de nous en nous suppliant de la toucher, elle s’est caressé les seins, puis s’est masturbée en gémissant.
Ça nous a remis en forme, et cette fois, on l’a enculée et enconnée d’un même élan. Prise en sandwich, les yeux exorbités, le corps tremblant, Annick était loin de la femme que j’avais quittée. Telle qu’elle était devenue, je l’aurais bien reprise avec moi. Nous avons déchargé au même moment, et exaspéré, je me suis rhabillé pour m’en aller.
J’ai jeté un dernier coup d’œil à mon ex-femme qui, à genoux devant son maître, lui léchait les couilles. Je suis parti, avec un gros poids sur le cœur...

Plaisante punition
Il y avait une bonne heure que je me faisais baiser à l’abri d’une dune de sable quand mon regard se porta au sommet de la dune. Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir une jeune femme en train de nous filmer. Elle avait les seins nus, le reste de sa personne ne se voyait pas. Elle continua à jouer de sa caméra bien qu’elle ait pu voir que je l’avais aperçue.
J’avais déjà eu un fantastique orgasme, mais j’étais entre les mains d’un gars charpenté comme un docker, doué d’une virilité de taureau, et sans s’être retiré quand il m’avait senti jouir, il avait continué de plus belle à me défoncer.
J’ai repoussé mon partenaire en lui disant de quoi il retournait et mon intention d’aller aborder l’intruse pour lui confisquer la cassette qu’elle enregistrait.
Mais là, nouvelle surprise, il m’empêcha de me lever et sans cesser de m’empaler, m’avoua que c’était sa femme qui nous filmait.
- Nous agrémentons nos soirées d’hiver en visionnant ces souvenirs de vacances, conclut-il entre deux coups de bélier à me défoncer le vagin.
Je comprenais évidemment, mais ce n’était pas une raison pour que j’accepte d’être actrice d’un film porno, ignorant à quel usage réel ces gens le destinaient.
Mon mari a une position sociale élevée et nous côtoyons un monde collet monté, ce qui nous oblige à éviter les scandales. Avec la vente de cassettes amateur, j’ai des amis qui ont été piégés et n’en sont pas revenus que n’importe qui puisse acheter dans une boutique vidéo le film d’une de leur soirée échangiste.
Comme la deuxième jouissance commençait à me mettre en transes, j’ai attendu le final pour faire part à mon baiseur que je désirais impérativement que la cassette soit détruite en ma présence.
I1 acquiesça de bonne grâce et fit signe à sa femme de nous rejoindre. Je finissais d’enfiler ma robe quand elle arriva C’était une brune au gentil minois dont la poitrine opulente et ferme avait des mamelons gros et agressifs. Un string rouge ne dissimulait que peu son pubis renflé, les lèvres de son sexe l’avalaient aux trois-quarts. Elle me dit bonjour avec un petit sourire, mais prit aussitôt un air contrit pour regarder son mari. La raison m’en fut donnée lorsqu’il l’interpella d’un ton peu amène :
- Une fois encore, tu ne t’es pas bien planquée. Combien de punitions te faudra-t-il subir pour que tu restes au poste que je t’ai assigné ?
Je vis avec stupéfaction la jeune femme prendre un air craintif et il me sembla que son beau corps aux cuisses rondes et pleines, merveilleusement cambré par des escarpins à lanières, était parcouru d’un léger tremblement. La punition évoquée devait être terrible pour tant l’apeurer. Elle tomba à genoux et tête baissée, mains jointes, elle murmura
- Je t’en prie, mon amour pardonne moi encore.
- Non, je ne le peux.
Me jouaient-ils la comédie ? Qu’importait. Le principal pour moi était de récupérer la cassette. J’ai renouvelé ma demande. Son regard mécontent quitta le visage de sa femme et ses yeux avaient retrouvé toute leur bonhomie quand il me proposa:
- Soyez chic de passer la soirée avec nous, notre villa est à deux pas d’ici. Ma femme et moi serons heureux de vous offrir le dîner avant de visionner la cassette que je détruirai ensuite en votre présence, parole d’honneur.
Le désir d’en savoir plus sur ce couple étrange me poussa à accepter.
Nous avions chacun notre voiture et la jeune femme monta avec moi pour rejoindre la villa Je n’ai pas eu le temps de la questionner sur quoi que ce soit, j’appris seulement qu’elle se prénommait Louise, et lui Jean.
Je ne raconterai pas en détails le repas servi par Louise dénudée qui n’eut pas le droit de se mettre à table avec nous. Nous avons ensuite visionné le film, très suggestif d’ailleurs, et j’ai presque regretté de le voir partir en cendres dans la cheminée. Par contre, je ne regretterai jamais d’avoir assisté à la punition de Louise, très fautive, puisque la cassette était bien destinée à la commercialisation. L’homme m’avoua sans la moindre gêne qu’ils tiraient leurs revenus de cette exploitation.
La punition avait débuté dans la bibliothèque avant la projection. Louise toujours nue, avait été liée, bras et jambes écartés contre un mur par des courroies aux poignets et aux chevilles, qui la plaquaient dessus. A deux mètres devant elle se trouvait un pilier duquel partaient douze Sandows, dont l’autre extrémité était munie d’une pince d’une cruelle efficacité ; plus on tire dessus, plus elle serre.
Le mari en utilisa six qu’il répartit judicieusement sur le pointe des seins, les lèvres du vagin, le clitoris et la langue. Les Sandows tiraient dur. Il suffisait de voir les yeux démesurément écarquillés de Louise pour se rendre compte de la souffrance qu’elle endurait.
· Je double parfois les Sandows si elle me met trop en colère, me dit l’homme d’un air tranquille; et si vous voulez passer le reste de la nuit ici, vous constaterez que je ne la libère qu’à l’heure du déjeuner.
Toute la durée de la projection, elle demeura suppliciée; seuls des râles de gorge et de la bave coulant de ses lèvres, montraient que sa position n’avait rien d’agréable. Elle y resta toute l’heure suivante au cours de laquelle son mari me fit l’amour, entrecoupé de quelques flûtes de champagne.
Puis j’ai pris congé malgré la tentation de coucher chez ce couple afin de voir l’état de Louise le lendemain, mais mes beaux-parents chez qui je logeais, auraient vu d’un mauvais œil mon escapade nocturne.



Soumise à 4 libertinsJe vous remercie d’avoir publie ma lettre sous le titre « A la merci de quatre libertins ». Comme je m’y étais engagée, je vais vous raconter la suite de mon aventure.
Je vous rappelle qu’à la suite d’une partie de poker perdue face a mes deux collègues de travail, Gérard et Jean-Pierre, et à leurs femmes, Éveline et Louise, je dois accomplir quatre épreuves pour récupérer quatre photos ou je suis entièrement nue, qui ont été prises le soir de ma défaite.
Après le deuxième gage réalisé mi-octobre, qui m’a conduite à m’exhiber nue dans un night-club, j’étais complètement déboussolée. J’ai d’ailleurs passe aussitôt après un week-end épouvantable a essayer d’analyser ma conduite, et à comprendre comment j’avais pu en arriver là. J’étais décidée a tout abandonner, quoique puissent faire mes amis des deux photos restantes.
La semaine suivante, mes collègues de travail ne firent aucune allusion a ce qui s’était passe et se comportèrent très normalement a mon égard, et même, dois je dire, avec beaucoup de gentillesse. Cela continua d’ailleurs pendant trois semaines, et j’en vins à penser qu’ils estimaient avoir été trop loin avec moi et oubliaient » donc les deux dernières épreuves.
Mais, fin novembre, Jean-Pierre et Louise m’invitèrent a dîner en compagnie de Gérard et Évelyne. Je redoutais cette rencontre a cinq. Le repas se déroula dans une ambiance chaleureuse malgré ma tension, et je commençais a être rassurée. J’avais tort; après le café, Evelyne sortit une enveloppe kraft d’où elle extirpa deux agrandissements 30 X 40 de mes photos. L’effet était saisissant: mon visage était bien visible et mes postures obscènes.
Evelyne dit alors d’un ton autoritaire:
- Tu n’oublies pas, ma vieille, que tu nous dois deux « petites gâteries »? Je t’avoue qu’on à bien aime te voir dandiner ton gros cul à la boîte de nuit, l’autre jour. II faudra faire aussi bien les prochaines fois si tu ne veux pas nous décevoir!
Je m’empourprai, réalisant toute la honte de la situation accentuée par les propos égrillards sur mes formes rebondies. Comme il y a un mois et demi, je tentais de discuter, de supplier que l’on arrête ce jeu pervers. Evelyne qui semblait mener la danse dit:
- Pas question! Tu as perdu, tu payes! Nous on veut vivre nos fantasmes avec toi jusqu’au bout de la dette. Tu montreras ton cul, ton sexe et tes seins là où on voudra et à qui on voudra!
- On va te laisser une chance, dit cependant Gérard. Comme tu aimes bien les cartes, on va étaler devant toi toutes les cartes de pique, du sept a l’as, plus le joker. Chaque carte correspond a un gage. Tu tireras tes deux épreuves et si tu sors le joker, tu es dispensée des deux dernières étapes.
Gérard dispose les neuf cartes face contre table, et Louise me tendit une liste des épreuves imaginées par ces vicieux. J’en restai pantoise, jugez-en vous-même:
7 : Disputer un match du tournoi de tennis de mon club sans slip sous ma jupette.
8 : Passer cinq minutes nue dans une cabine téléphonique devant la gare entre vingt et vingt-deux heures.
9 : Me faire raser le sexe et l’anus.
10 : Montrer mon sexe et mes fesses a cinq personnes inconnues dans la même journée.
Valet : Aller dîner dans une brasserie d’une ville voisine avec mes quatre compères uniquement vêtue d’un pull court (et bien sur enlever mon imperméable).
Dame : Sortir boire un pot en ville nue sous mon imper avec une carotte dans le sexe et une autre dans l’anus.
Roi : Servir de soubrette « coquine » lors d’une réception le week-end prochain.
As : Faire un jogging nue le dimanche matin (500 mètres) autour d’un plan d’eau voisin très fréquenté.
Joker : La libération.
Abasourdie et tremblante, je tirai une carte, ce fut le 10 de pique. La suivante fut le huit. Je leur demandai alors de m’épargner ce gage, me voyant difficilement passer cinq minutes nue dans un endroit aussi passager. Ils acceptèrent a condition que cette épreuve fut remplacée par deux autres, et je pris le neuf et le roi. Bien sur, pas de joker!
Louise dit alors:
- On te fait une fleur, on va coupler le dix et le neuf : demain après-midi on ira faire des courses entre femmes, et après que tu te sois bien montrée, on t’emmènera te faire raser chez l’esthéticienne. Ne mets pas de culotte, ça te simplifiera la tâche. Pour ta mission de soubrette, ça se passera samedi dans notre maison de campagne, on t’expliquera.
Le lendemain a quatorze heures, je rejoignis Evelyne et Louise chez cette dernière. Evelyne vérifia immédiatement que j’étais bien cul nu en me faisant soulever ma jupe ample et assez courte. Je rougis violemment et Louise me dit :
- I1 va falloir t’habituer car tout ça faudra l’exhiber a d’autres!
Ce jour-là, elles me firent soulever ma jupe jusqu’à la taille dans un ascenseur ou se trouvait un jeune couple, puis elles me firent passer trois fois jambes bien écartées au-dessus d’une bouche d’égout ou travaillait un ouvrier qui n’en croyait pas ses yeux. Ensuite, dans un magasin de chaussures, elles m’obligèrent à m’asseoir jupe troussée, fesses sur le siège, jambes écartées bien haut pour essayer cinq paires de chaussures. Mon sexe était a moins d’un mètre du visage empourpre du vendeur.
Le plus dur, et sans doute le plus spectaculaire, fut la quatrième phase. Dans le «C&A» de la ville voisine ou j’étais censée essayer une jupe, elles me confisquèrent jupe et imperméable et me firent traverser, le bas du corps entièrement dévoilé, les vingt mètres séparant la cabine de la caisse. II y avait au moins trente clients, et je crois bien que nous avons frôlé l’émeute.
L’après-midi se termina chez l’esthéticienne qui, avec un air lubrique, me rasa complètement l’entrejambe, a l’exception d’un petit toupet de poils blonds au-dessus du clitoris, ce qui rendait encore plus impudique la nudité du reste. J’étais épuisée. Evelyne et Louise me raccompagnèrent et me dirent :
- C’est bien, ma poule! Voilà une photo et a samedi!
Je crois que c’est a partir de ce jour-là que mon sentiment commença à évoluer. J’étais soumise, et sous la honte et la peur, commençait a apparaître de l’excitation.
Le samedi après-midi, les quatre passèrent me chercher vers seize heures. Je m’installai a l’arrière, entre les deux femmes. On m’expliqua qu’il s’agirait de servir a table un repas de traiteur a huit convives: les quatre, plus des voisins amis. Je devais être obéissante; j’imaginais déjà ce que cela voulait dire!
A l’arrière, on me procure mon uniforme : des sous-vêtements rouges, des «Dim Up» noirs, un chemisier blanc et une jupe plissée grise et très courte, plus des chaussures a talons très hauts.
L’arrivée des invites fut ma première surprise. Je m’attendais a voir quatre adultes d’une quarantaine d’années. En fait, il y avait un couple d’une cinquantaine d’années accompagne de leur fils de dix-huit ans et de sa petite amie. Cela me paniqua, car je m’attendais a ce que mes maîtres m’obligent à m’exhiber d’une façon ou d’une autre, et devoir le faire devant de si jeunes gens, moi qui ai trente-huit ans, me semblait être le comble de l’humiliation. Pour expliquer ma présence, Louise dit que je faisais un «extra» en leur servant ce soir d’employée de maison, à la suite d’un pari.
Je servis l’apéritif en me penchant largement pour montrer mon décolleté et faire remonter ma jupe a la limite des bas, comme on me l’avait demande. Cette attitude intrigue puis amuse nos hôtes qui commencèrent, je crois, a se douter que la soirée pourrait être étonnante. Les convives passèrent a table, je servis les entrées. Gérard, feignant une maladresse, me fit sciemment une tache de mayonnaise sur mon chemisier. Louise me dit alors:
- Voyons, Marie, tu ne peux pas nous servir en souillon! Va changer de chemisier!
- Mais je n’en ai pas d’autre, repiquais-je timidement.
- Eh bien, ôte-le! Tu peux bien officier en soutien-gorge.
C’est ce que je fis en baissant les yeux. je sentais que le processus était commencé. Je continuai la soirée en soutien-gorge sous les regards allumes des invites. Un peu plus tard, Jean-Pierre me donna un coup de coude pendant que je servais le voisin et la sauce tomba sur son pantalon.
- Quelle maladroite! cria Evelyne. Ça suffit, tu mérites une punition. Monte sur la table du salon!
Les dîneurs s’arrêtèrent de manger et me fixèrent. Evelyne reprit alors la parole :
- Regarde-moi dans les yeux, dégrafe ton soutien-gorge!
J’obéis en libérant ma grosse poitrine et l’offrant aux regards, alors que des larmes me montaient aux yeux. Le garçon et la jeune fille se poussaient du coude et pouffaient, ce qui accroissait ma gène. Gérard prit le relais et dit à Evelyne:
- Tu es trop bonne, cette maladresse mérite une punition plus cuisante. C’est a poil que Marie doit continuer le service. Du moins si Monsieur Gerrhault est d’accord, dit-il en se tournant vers le voisin. ?
- Oui, oui, répondirent en chœur les invites, à poil ce sera très bien!
- Tu as compris? reprit Jean-Pierre. Fais tomber ta jupe!
Je passai mes mains dans le dos pour dégrafer le bouton et faire glisser la fermeture Éclair. La jupe tomba sur mes chaussures. Je m’arrêtai la, mais la jeune fille s’écria:
- I1 me semble qu’on a dit « toute nue »!
- Bien sûr, renchérit Evelyne, d’ailleurs « toute nue » est mieux adapte comme terme qu’a poil, car vous allez voir que Marie est si exhibitionniste qu’elle a déjà enlevé les poils. Allez, exécution!
Je me retrouvai donc debout sur la table, seulement couverte de mes « Dim up ». Les invites furent surpris de voir mon sexe lisse et se levèrent pour contempler de plus près et même toucher.
Je dus tourner plusieurs fois sur moi-même et être largement tripotée, ce qui d’ailleurs, je dois l’avouer, m’excita, avant de reprendre mon service. Je pensais en avoir fini, mais Louise me demanda de rajouter deux couverts, car deux nouveaux convives devaient venir pour le dessert. Au point où j’en étais, cela ne m’ennuie guère, et pourtant!
Au bout de dix minutes, alors que je continuais à vaquer nue au milieu de ces gens habilles, on sonna. Louise m’ordonna d’aller ouvrir dans la tenue ou j’étais. A la porte se tenait une dame d’une quarantaine d’années vêtue d’un manteau de fourrure. Mais horreur, juste derrière elle, s’aperçut mon patron! Le piège total et infernal! ! !
Mon patron et son épouse entrèrent et me saluèrent:
- Marie, quelle bonne surprise, je vois que vous occupez bien vos week-ends!
J’étais pétrifiée. Plus morte que vive, j’ai continué a évoluer sous le regard goguenard de mon patron. Evelyne me dit un peu plus tard:
- Bien sûr, on a un peu triche en ne respectant pas nos conventions, mais comment se priver d’une bonne petite esclave comme toi?
- Vous avez bien fait, renchérit mon patron. Je découvre une facette fascinante de la délicieuse Marie. Je pense que cela devait faire évoluer nos relations et pour fêter ça, je vous offre le champagne au café du village!
Et c’est ainsi qu’encouragé par toute l’assemblée, ils m’ont emmenée nue au bar du village ou, compte tenu de l’heure tardive (minuit et demi) il n’y avait, dieu merci, que deux consommateur. Mais je pense que mon aventure sera largement commentée dans ce bourg. Pour finir, ils m’ont fait jouer au flipper dans cette tenue avant de m’autoriser a aller me coucher.
Voilà comment je suis devenue entièrement soumise a une bande de vicieux.

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