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Brèves de Gays... Découvertes..!

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 Anatomies de dépucelage de jeunes trous...

 La pute du camp…
Très catholiques, mes parents m'ont dès mon plus jeune âge inculqué les valeurs de charité et de solidarité. Chaque dimanche depuis bientôt 16 ans, la messe est suivie d'une visite à l'association d'entraide chrétienne du quartier ; ma mère est très active au sein de diverses œuvres de bienfaisance et nous faisons des dons mensuels à tout ce que le département compte d'organisations de soutien aux plus défavorisés.

Habitant à proximité de la Manche, j'ai tout récemment pris conscience de la présence près de chez nous de camps de migrants qui tentent de rejoindre l'Angleterre.  Mon père a pris le temps de m'expliquer les raisons de leur présence, de me raconter les ravages dans leurs pays d'origine et de me dire leur détresse. Puis, brusquement, il a décidé que nous irions ensemble la semaine suivante distribuer de la nourriture et de l'eau aux migrants d'un des camps, à quelques kilomètres de la maison.
Un passage obligé à l'une des associations impliquées dans l'aide à ces populations m'en a apprit un peu plus. L'homme qui nous a accueilli a été formel : - Nous serons heureux de vous compter parmi les bénévoles samedi prochain, mais je dois vous prévenir que cela peut être dur, notamment pour votre fils, explique-t-il à mon père. À son âge, il peut être impressionné par le sort des migrants. Sans compter que les rapports sont parfois compliqués : ils sont dans une telle détresse qu'il peut leur arriver de rejeter sur nous leur frustration et se décharger de leur colère en notre présence. »
- Ne vous inquiétez pas, lui répond mon père. Mon fils doit comprendre que s'il est un privilégié, cela lui impose aussi un devoir de solidarité. Je suis certain qu'il fera tout ce qu'il faut pour soulager ces personnes.

- Certes, certes, mais enfin il est d'un tout petit gabarit, et avec ses grands yeux innocents il risque de se faire manger tout cru !
- Tout se passera bien. Nous y veillerons, conclut mon père en me regardant avec un grand sourire bienveillant.
Le samedi suivant, après un court trajet en voiture, nous arrivons au point de rendez-vous. 3 personnes de l'association nous attendent, dont l'homme qui nous avait accueillis :
- Nous n'avons pas grand chose à distribuer aujourd'hui, c'est surtout de l'eau potable pour tout le monde, et quelques paquets de biscuits ainsi que des conserves. Mais cela ne permettra pas de nourrir tout le monde. Ce camp regroupe une centaine d'hommes, principalement des Afghans. Ils sont là depuis plusieurs semaines déjà mais ne nous connaissent pas encore bien. Je vous recommande la prudence, et surtout la patience et la gentillesse. Ne brusquez personne, accédez dans la mesure du possible à leurs demandes – si vous parvenez à les comprendre, puisque évidemment ils ne parlent pas français et pratiquement pas anglais. N'oubliez pas qu'un sourire est toujours la meilleure des réponses. »
S'ensuivent quelques règles sur la distribution, et nous entrons dans le camp. Des tentes à perte de vue, une odeur de boue et de saleté, et, soudain, surgissant de nulle part, des dizaines d'hommes hagards, au teint sombre, la plupart barbus et tous habillés de vêtements élimés.
Ils ne parlent pas, se contentent de prendre ce que nous leur donnons, certains font un sourire mais la majorité semble ne pas vouloir nous regarder dans les yeux. Je les comprends. Ils ont probablement quitté une situation, une vie de famille, un logement, pour se retrouver ici, à accepter l'aumône ; cela doit leur faire du mal, atteindre leur fierté, leur virilité.
Tient, d'ailleurs, en parlant de ça, comment font-ils pour soulager leurs envies d'hommes ? Le responsable de l'association m'a expliqué que rares sont les femmes à entreprendre le périple : les hommes partent en premier, puis les femmes les rejoignent une fois que l'installation sur place le permet.
Peut-être qu'ils se contentent de se masturber. Comme moi, après tout. Mais bon, moi j'ai à peine 16 ans, eux une vingtaine pour les plus jeunes, environ 40 pour les plus âgés. J'imagine qu'ils ont besoin de plus qu'une branlette.
Je suis interrompu dans mes réflexions par la voix du type de l'assoc' :
- On va aller plus loin dans le camp à la rencontre de ceux qui ne sont pas venus à nous. Formez des groupes de deux et avancez entre les tentes, chacun d'un côté du camp.
Mon père et moi nous dirigeons vers la gauche. Je tends une bouteille d'eau à un homme très maigre assis devant sa tente quand une main se referme sur mon bras. Il doit avoir 30, peut-être 35 ans, assez grand, une barbe hirsute. Il baragouine quelque chose qui ressemble à : « This way, please. Please. » en me montrant un groupe de tentes un peu plus loin. Je jette un regard à mon père, qui me fait signe qu'on peut le suivre.
Nous suivons donc l'homme qui entre dans la première des cinq tentes devant nous, au milieu de laquelle sont assis 3 autres migrants. Mon père commence à leur distribuer bouteilles d'eau et conserves, quand celui qui me tenait par le bras me répète « This way, please. Please. » J'interroge mon père des yeux,  il est en train d'aider à ouvrir les boîtes de conserve et me lance :
- Vas-y mais ne pars pas trop loin. Sois prudent et gentil avec ces pauvres hommes.
Je ressors donc de la tente, précédé par mon Afghan. Il me fait marcher une centaine de mètres jusqu'à un espace caché entre deux pans de tissu de tentes. Là, sans un mot, il se colle soudain derrière moi en me caressant les fesses. Déstabilisé, je ne sais pas comment réagir, d'autant je ne veux surtout pas montrer d'agressivité. Ses caresses se font de plus en plus insistantes et je sens déjà contre mes fesses un barreau dur qui se frotte contre moi à travers nos pantalons.
Ça m'excite. Je le laisse faire en gémissant. Je cambre mon cul et sens une main s'insinuer entre mon jean et ma peau. Je l'aide en dégrafant ma ceinture, il plonge plus profondément sa main et me malaxe les fesses. Une pression sur mes épaules et je me retrouve à genoux, rapidement face à la queue bien raide de l'Afghan qui a défait sa braguette et se masturbe à quelques centimètres de mes lèvres.
Sa bite me paraît énorme, longue et large, dressée au-dessus d'une paire de couilles noires et poilues. Une belle veine bleue relie la base à son gros gland luisant, circoncis. Je cesse de réfléchir et ouvre la bouche pour le laisser entrer en moi. Il ne se fait pas prier et, me tenant par mes longues boucles d'une main, fait glisser sa queue toute entière jusque dans le fond de ma gorge. Qu'est-ce que c'est bon ! Ma première pipe…
Son sexe tout entier dans ma bouche, il commence des va et vient rapides, brutaux, sortant à peine la base de sa bite d'entre mes lèvres et faisant frotter son gros gland contre mon palais en gémissant. Je peux à peine bouger et le laisse me baiser la gueule puis, comme une impulsion, j'avance une main vers ses lourdes couilles pour les caresser.
Je sens ses longs poils noirs entre mes doigts, c'est doux et chaud ; ce contact me fait sortir de ma semi-léthargie et mes sens s'éveillent. Je respire l'odeur de cette queue, forte et virile, probablement pas lavée depuis plusieurs jours, voire semaines, je la goûte en jouant avec ma langue tout le long de ce barreau de chair rigide, je lève les yeux vers mon Afghan pour le voir, tout sourire, qui me regarde aussi le pomper goulûment.
Après quelques minutes, et alors que je commence vraiment à y prendre goût, il se retire et m'aide à me relever. Je ne perds pas de temps pour comprendre et me penche en avant, appuyant mes mains contre le piquet de la tente la plus proche. Je sais que je vais me faire niquer.
L'Afghan fait glisser mon pantalon de toile à mes pieds, j'écarte comme je peux les cuisses et je sens aussitôt ses doigts rugueux sur ma raie, sur mon trou. Je me souviens dans un flash avoir aperçu la crasse qui les recouvrait mais je m'en fous, il m'excite trop. Il entre son index, le fait tourner quelques secondes, puis son majeur me pénètre aussi tandis qu'il crache plusieurs fois sur mes fesses ouvertes à sa vue.
Je gémis de plus en plus, me cambre toujours plus, écarte encore un peu les jambes au risque de déchirer mon pantalon tombée à terre sur mes chevilles. Les doigts se retirent et je sens la bite de mon migrant se frotter contre mes fesses. C'est tellement bon, je veux qu'il me prenne, qu'il me défonce, qu'il me casse le cul !
Je me sens déjà entièrement soumis à cette magnifique queue afghane qui m'a dépucelé la bouche et s'apprête à me démonter la chatte. Son gros gland est déjà posé entre mes fesses, il crache un nouveau filet de salive et commence à me pénétrer. Putain ce que ça fait mal ! J'ai l'impression de me faire déchirer en deux par un énorme piston brûlant. Mes gémissements se transforment en un cri de douleur que je n'arrive pas à contrôler.
L'Afghan passe une main devant mon visage pour me bâillonner la bouche, l'autre main fermement posée sur ma hanche pour me maintenir tant bien que mal en place. Inexorablement, sa progression progresse. Je sens très précisément sa queue entrer en moi, son gland qui semble déjà me remplir entièrement, puis, une fois passé, les premiers centimètres de son sexe raide, au fur et à mesure, sans pause, avec la salive de mon enculeur pour unique lubrifiant et, enfin, le contact de ses couilles contre ma peau qui me confirme que toute la longueur de sa grosse queue dure est à l'intérieur de moi.
La douleur a déjà disparu, mon Afghan a collé son torse contre mon dos, passé ses bras autour de ma taille et me tient fermement serré contre lui. Il attend quelques secondes, planté au fond de mes entrailles, avant de sortir doucement sa queue de mon cul en chaleur, pas entièrement, juste ce qu'il faut pour pouvoir l'enfoncer de nouveau profondément, m'arrachant un nouveau gémissement qui n'exprime maintenant plus que mon plaisir.
Son membre épais me viole à présent doucement le cul, par mouvements longs et lents, me faisant bien sentir les 19 centimètres de chair en rut gorgée de sang, faisant claquer ses couilles pleines contre mes fesses à chaque fois que son gland atteint le fond de ma chatte.
Sa respiration est de plus en plus rapide, il halète mais ne prononce pas un mot ; il me baise silencieusement, profitant sans gêne de mon trou étroit, ses mains maintiennent solidement mes hanches fines et ma cambrure naturelle que j'exagère volontairement.
Après quelques minutes de ce traitement et alors que le plaisir de me faire profondément baiser m'a complètement envahi, je sens mon migrant accélérer le rythme, passant à des à-coups brutaux et rapides, plantant sa grosse queue tout au fond de moi puis la ressortant entièrement avant de replonger violemment dans ma chatte, transformant à nouveau mes gémissements en petits cris plaintifs mais heureux.
Il agrippe maintenant mes fesses à pleines mains, les écartant sans douceur pour mieux me défoncer de son sexe plus dur que jamais, crachant de temps en temps sur ma raie pour mieux lubrifier le passage de sa queue turgescente. Sa force semble s'être décuplée.
Il m'écrase soudain de tout son poids, me fait tomber à 4 pattes par terre, les mains sur le sol poussiéreux, les genoux écorchés par les cailloux,  lui derrière moi, penché sur mon dos, son souffle dans mon cou, ses bras enserrant ma taille et ses doigts agrippant la peau imberbe de mon ventre. Il respire encore plus fort, commence à râler, et sa queue semble s'enfler encore à l'intérieur de moi, secouée de spasmes réguliers, rapides et violents ; il se vide dans mes entrailles, remplissant mon cul de longs jets de sperme chaud, évacuant en quelques secondes tout le foutre prisonnier depuis trop longtemps de ses lourdes couilles poilues.
Je ne bouge pas, j'attends ; lui semble comme tétanisé, affalé sur mon corps, respirant déjà plus calmement dans mon cou, sa bite toujours plantée en moi.
Il se redresse, je sens sa queue molle sortir de mon cul, j'entends le bruit qu'elle fait en retombant sur ses couilles ; je me lève à mon tour sans oser le regarder. Il attrape alors mon menton, relève mon visage vers lui et me dépose un baiser sur la joue puis me regarde en souriant. Je crois qu'il essaie de dire merci.
Il se penche, chope un paquet de gâteaux secs dans mon sac laissé là, réajuste son jean élimé et s'éloigne entre les tentes. Je me rhabille et le suis, pas certain de retrouver mon chemin… jusqu'à ce que je tombe sur mon père, planté devant un groupe de migrants, qui m'accueille en souriant. « On y va ? » me dit-il.
Je le suis. Alors que nous arrivons à l'entrée du camp, où les membres de l'association nous attendent, mon père me glisse tout bas à l'oreille :
- Je t'ai observé cet après-midi. Tu as été formidable. Il faut continuer à être bien gentil avec ces hommes, ils n'ont pas souvent l'occasion de se faire plaisir en ce moment.
J'en reste coi. Qu'a-t-il vu ? Parle-t-il de mon dépucelage par le migrant Afghan ? Ou simplement des distributions d'eau et de vivres ? À ce jour, je ne le sais toujours pas. Mais je retourne souvent au camp laisser les migrants, qui me connaissent bien maintenant, se vider les couilles dans ma bouche et mon cul.


Ma première sodo
J'avais 14 ans pour ma première sodo, comme passif.
Je m'appelle Nicolas, j'habite la banlieue de Paris avec mes parents. Je ne suis mince, pas très musclé, 1 m 76. J'ai une belle queue dont je suis fier, 15cm avec des poils blonds autour mais pas très épaisse.

A l'époque cela faisait pas mal de temps que je me branlais en regardant des vidéos porno gay sur mon ordi, de préférence des vidéos avec des jeunes mecs qui s'enculent. Je m'imaginais naturellement à la place de celui qui se fait enculer, avec envie, et je me touchais souvent le trou en même temps.
J'avais découvert qu'un peu de beurre introduit dans mon petit trou faisait merveille, ça me permettait d'y mettre un et même deux doigts et me procurait beaucoup de plaisir.
Il fallait juste que je fasse gaffe de ne pas me faire voir en allant chercher une noix de beurre dans le frigo (mes parents auraient trouvé ça bizarre que je mange du beurre mais heureusement ils n'auraient pas soupçonné la vraie raison), et que je fasse gaffe aussi de ne pas en mettre partout.
Une fois ou deux j'avais fait des traces de beurre au fond de mon slip après une séance de branle, j'espérais que ma mère ne l'avait pas vu, pourtant je prenais garde de m'essuyer avec le vieux t-shirt que j'utilisais pour juter dedans, caché au fond de mon placard.
Les vacances d'été étaient là, et j'allais me trouver tout seul pendant 3 jours à la maison. En réfléchissant à ce que je pourrais faire d'intéressant pour profiter de cette liberté fantastique, je pensai au sexe, et soudain une idée : je pourrais réaliser mon rêve de me faire sodomiser. J'étais conscient que c'était difficile de trouver un partenaire de jeu juste pour ça, et je ne voyais pas comment m'y prendre, mais l'idée était tellement excitante que j'en bandais dès que j'y pensais à partir de ce jour.
J'ai cherché une bonne partie de la soirée et de la nuit, comment trouver un mec pour faire ça. Je ne connaissais personne avec qui il soit envisageable une seconde de proposer "salut, tu voudrais m'enculer ?". Je me suis donc mis à la recherche d'un site de rencontre gay, et là problème : tous les sites sont prévus pour les mecs de 18 ans minimum. Je pouvais mentir sur mon âge mais quand même quatre ans de différence ça faisait beaucoup, je ne pouvais absolument pas passer pour un mec de 18 ans.
Heureusement j'ai finalement trouvé un site pour ados gay. J'ai commencé à me créer un compte, il y avait plein de questions à répondre sur ma vie, mon œuvre, et tout ça, mais je ne savais pas quoi dire, et j'ai finalement écrit dans mon profil "salut, Nico, pour faire des rencontres". Ca laissait la possibilité de deviner que je pensais à des rencontres sexe, sans passer directement pour un obsédé.
J'ai mis une photo de moi en caleçon et t-shirt blanc dans ma salle de bain, qui allait de sous mes yeux à mes pieds, comme ça on me voyait sans être sûr de me reconnaître.
J'ai eu super vite plein de messages ! En gros il y avait trois genres de messages : ceux qui me disaient juste salut, ceux qui avaient mon âge et qui voulaient devenir mon ami/amoureux, et ceux qui étaient nettement plus âgés que moi et qui voulaient discuter. J'ai été étonné de cette troisième catégorie car je croyais le site réservé aux ados. J'ai commencé pas mal de conversations par messages sur le site, et je gardais à l'esprit un objectif : baiser en vrai dans deux semaines.
La plupart des conversations ne m'ont pas permis de dire que je voulais juste du cul, ils étaient trop romantiques alors j'essayais de ne pas trop répondre. C'est les mecs plus âgés qui m'ont permis de dire ce que je voulais.
Un mec en particulier avait l'air super sympa, Marc 32 ans, il me mettait bien à l'aise car ses messages étaient sur le ton de la plaisanterie, il parlait de lui, et ne me demandait pas trop de trucs sur moi. Il a peu à peu amené la conversation sur mon sujet favori, le sexe.
Lui : et sinon, coté sexe, ça va ?
Moi : bah oui enfin j'ai pas trop d'expérience quoi
Normal à ton âge. t'as déjà fait des trucs avec un mec ?
Justement pas encore mais j'y pense
T'y penses comment, t'as envie de faire l'amour avec un mec, t'as un copain ?
Disons que pour ça je vais trouver un mec juste pour une première expérience
Ah ok, je comprends. Si tu veux je suis là
Merci mais je pensais plus à un mec de mon âge
Normal pas de pb. Tu veux faire quoi avec lui plus précisément ?
Bah baiser quoi
Ok mais bon, des bisous, sucer... ?
En fait c la sodo qui m'intéresse pour tout te dire
Ah bien, tu te vois plutôt comme actif ou comme passif ?
Passif
Sur ce, notre échange c'est arrêté là car ma mère voulait que je me couche. Je commençais à m'inquiéter car je ne trouvais pas de mec de mon âge pour un simple plan cul et il ne restait que quelques jours pour en trouver un. Petit à petit l'idée qu'un mec plus âgé pourrait m'enculer faisait son chemin.
J'étais surtout inquiet par la taille des queues d'hommes, qui dans mon esprit étaient bien plus grosses que la mienne qui n'était qu'une bite d'ado de 14 ans, et j'avais peur que cela rende impossible ou douloureux une pénétration dans mon petit cul vierge.
En fait sur la question de la douleur, je me disais que la sodo ne faisait pas mal au contraire que du plaisir, comme j'avais pu le lire sur le net et surtout comme je le voyais dans les vidéos pornos. La suite allait me montrer le contraire…
Marc ne lâchait pas le morceau, il continuait à m'envoyer des messages, et à proposer ses bons et loyaux services comme initiateur dépuceleur.
Lui : tu sais on n'est pas obligé d'aller au bout, si tu veux on essaie juste un peu et si ça te plaît on continue
Moi : je sais pas, j'ai un peu peur de la taille de ta queue, elle est comment ?
Elle fait 18cm de long sur 5cm de large, c'est une belle bite mais assez normale
Wow c gros en fait
Oui enfin c normal. j'ai déjà enculé des jeunes et je peux t'assurer que ça s'est super bien passé.
Ah bon ? des jeunes de kel age ? de mon age ?
Oui, de tous ages en fait
Ah...
Nous avons continué nos échanges de messages, les choses se précisaient et il était quasiment acquis qu'on allait le faire. Quand est venu le sujet de où on le ferait, je pensais qu'on le ferait chez moi, mais il a été catégorique : chez lui. C'était bien la peine d'avoir la maison pour moi... mais bon pourquoi pas.
Finalement on est arrivé à se fixer rendez-vous, il m'a donné son adresse, je devais venir dans deux jours à 16h. Pendant ces deux jours je n'ai pensé qu'à ça, je me demandais si c'était bien une bonne idée et en même temps j'étais super content, super excité.
Le jour J, j'ai pris une bonne douche pour être bien propre, y compris le rinçage comme Marc m'avais indiqué, en faisant rentrer un peu d'eau dans les fesses avec la douche pour être clean dedans. Je me suis habillé d'un slip blanc propre, short beige, t-shirt blanc.
J'ai été prendre le train de banlieue (il habitait à 15 min) pour aller chez lui. C'était bizarre j'avais l'impression que les gens pouvaient lire sur mon front : salut j'ai 14 ans je suis puceau et je prends le train pour aller me faire sodomiser. Mais je bandais dans mon slip, j'étais mû par mon désir de sexe.
C'était comme aller à un rendez-vous chez le médecin, à une heure précise de rendez-vous, sauf que j'allais me faire enculer. Cette situation m'excitait beaucoup, je me voyais à la place des mecs dans mes vidéos favorites en train de me faire limer le cul.
Je suis arrivé devant son immeuble, je me suis dit : c'est maintenant que je renonce ou pas, ensuite ce sera trop tard. Pas question de renoncer au contraire, je sonne à l'interphone, ça s'ouvre, je monte et trouve la porte entre-ouverte sur le palier.
Marc était là, à peu près comme sur ses photos : la quarantaine, plutôt mince et musclé, habillé en jogging et débardeur, pieds-nus. J'avais le cœur qui battait, je ne savais pas trop comment ça allait se passer. Heureusement Marc prenait les choses en main, on est allé dans le salon, il a parlé un peu de banalités sur le temps, il m'a proposé à boire un coca et en a pris aussi.
Au bout de quelques minutes il a commencé à venir sur le sujet du jour, pour lequel j'étais là : me faire dépuceler du cul. Il a sorti du tiroir de la table basse un gros flacon de gel "swiss navy" et une capote qu'il a posés, histoire de commencer à entrer dans le concret. Il m'a demandé si j'avais pu me rincer le rectum, il était satisfait que je l'aie fait, car j'allais avoir droit à une sodo profonde vu mon jeune âge. Je lui ai demandé ce qu'il entendait par là, il a dit que c'est quand on se fait pénétrer profondément, et que à 14 ans ce serait profond pour moi si j'arrivais à prendre toute sa queue. Ah bon, pour moi c'était toujours comme ça que je l'avais vu et imaginé.
Marc m'a demandé de me mettre debout, devant lui resté assis dans le canapé, et de me déshabiller. J'ai commencé par enlever mes chaussures et chaussettes, puis mon t-shirt. J'ai tout de suite vu que Marc commençait à bander et qu'il n'avait pas de slip sous son pantalon de jogging.
J'ai lentement retiré mon short, j'étais en slip et moi aussi je bandais un peu ça faisait une bosse et j'étais bien content d'enlever mon slip pour libérer la bite, ce que je fis : j'étais nu devant marc, et je bandais. Mon gland sortait légèrement de mon prépuce, j'ai tiré sur la peau pour le libérer complètement.
Marc s'est levé et m'a touché un peu tout le corps, les épaules, les fesses, il a soupesé mes couilles et pris ma bite dans sa main comme pour tester sa dureté. Ca l'excitait bien, il s'est enfin déshabillé lui aussi et s'est retrouvé nu avec moi dans le salon.
Et là quand même j'ai été fasciné par sa queue : très belle et surtout très grosse, bien plus grosse que la mienne, à la fois en longueur et en largeur. Marc a vu mon inquiétude et a commencé à m'expliquer que l'anus est un muscle qui se détend très bien, et qu'il est sûr que je pourrais prendre sa queue.
Par contre, il ne m'a pas caché qu'au début ça allait faire mal. C'était la première fois que j'envisageais que ça puisse me faire mal. Je lui demandais mal comment, il m'a dit que l'ouverture de mon anus à un diamètre aussi large me ferait mal au début mais qu'ensuite ça passerait. Que je risquais aussi d'avoir mal quand il serait au fond, si sa bite est trop longue, mais là aussi au bout d'un moment ça ira tout seul. Assez inquiétant tout ça…
Marc m'a conduit dans sa chambre où il y avait un grand lit, je lui obéissais comme à un prof ou un médecin. Il m'a dit qu'il allait d'abord me préparer le trou pour faciliter la pénétration. Il m'a mis à quatre patte sur le lit, il a écarté un peu mes fesses pour bien voir le trou et l'a trouvé magnifique.
Il a posé un paquet de gel dessus, c’était froid je n'avais jamais utilisé de gel encore, en fait c'est comme du beurre mais nettement plus pratique. Marc m'a massé doucement le trou, exerçant une pression avec son doigt, j'ai commencé à me détendre et son doigt allait naturellement de plus en plus loin.
Après 5 minutes il a enfoncé son index en moi, ça glissait tout seul, pas de problème. Il faut dire que depuis plusieurs jours je me doigtais allègrement tous les soirs en prévision du grand jour.
Mais quand Marc a voulu mettre un deuxième doigt, là ça n'était pas pareil. Ca ne rentrait pas. Il a forcé, c'est rentré, mais moi j'avais mal, je lui ai dit, et il a répondu que si je faisais ma chochotte pour deux doigts, qu'est-ce que ce serait quand il introduirait sa queue. J'ai dit ok et effectivement assez vite la douleur est passée et ses deux doigts passaient bien, il les tournait dans tous les sens dans mon anus pour le détendre et je dois dire que j'aimais bien ça, c'était très agréable et excitant. Une goutte de liquide pré-séminal coulait de ma verge en faisant un fil. Il a enfoncé ses doigts le plus profond possible est a paru satisfait.
Marc a dit que j'étais prêt pour me faire pénétrer maintenant. Il m'a dit de me mettre au bord du lit sur le dos pour qu'il voie mon visage quand il me pénètrera. Un oreiller sous les fesses pour être à bonne hauteur, les jambes repliées avec les pieds posés sur le lit, ramenés près de mes fesses, j'étais en position, mon cul offert et la rondelle bien visible. Je ne bandais plus qu'à moitié depuis qu'il m'avait doigté. Lui par contre, debout, enfilait une capote et mettait de gel dessus. Ça lui faisait un gros tube brillant et raide. Il s'est approché et j'ai senti son gland contre ma rondelle.
Marc a commencé à pousser pour rentrer. Je me suis dit que ce n'était pas possible ça ne rentrerait jamais. Il poussait de plus en plus fort et ça commençait à me faire mal. Il m'a dit de pousser comme aux toilettes pour aider, ce que j'ai fait, et effectivement c'est rentré.
Et là, j'ai eu vraiment très mal. Une douleur aigue au niveau de l'anus, j'ai crié et j'ai voulu le repousser mais il s'y attendait et il a résisté, ne voulant pas se retirer. Il a dit que c'était normal, que la douleur allait partir très vite et que je devais être courageux. Tu parles, je criais et j'avais des larmes qui coulaient sur les joues de chaque côté de mes yeux.
Il est resté comme ça, en moi, un temps qui m'a paru long, et j'ai senti que la douleur se calmait. Mon anus se faisait à cette nouvelle dimension. Marc m'a dit de respirer bien profondément et cela a aidé à me détendre au niveau du trou. Finalement ça allait, et j'étais assez fier.
Je ne bandais plus du tout, ma bite était devenue tout petite mais peu importe j'avais une énorme queue dans le cul et j'en étais heureux. Mes larmes séchaient. Pas pour longtemps car ce que je n'avais pas saisi, c'est que Marc n'avait introduit que son gland !
C'est quand il a dit "maintenant je commence à m'enfoncer" que j'ai compris que je n'étais pas au bout de mes peines. Marc a commencé à pousser et lentement sa bite est rentrée en moi de plus en plus profond. J'avais l'impression d'être écartelé et qu'on m'enfonçait un truc énorme, surtout que son diamètre augmentait légèrement en allant vers la base.
Mon anus serrait très fort la queue de Marc, qui continuait à rentrer. Je sentais sa bite en moi, se frayer un passage en réalignant mon anatomie intérieure, qui épousait son membre. Une douleur subsistait au niveau de mon anus soumis à rude épreuve mais c'était supportable, et je voulais prendre l'énorme membre "en homme", maintenant il fallait aller au bout.
Ça allait jusqu'au moment où j'ai senti qu'il avait atteint un "fond" et que ça butait, ça me faisait mal. Il a dit ok pour l'instant, que j'avais bien pris presque toute la longueur, que c'était vraiment bien.
Pour moi aussi c'était bien je savourais cet état de remplissage à l'extrême. Mon cul n'était plus vierge, mais alors plus du tout. Marc a dit que maintenant on allait pouvoir commence à faire comme ce que j'aimais dans les vidéos porno, c'est à dire qu'il allait me baiser en bonne et due forme.
Il a commencé à se retirer et à revenir, des va-et-vient plutôt lents mais qui me faisaient beaucoup d'effet vu l'extrême tension de mon anus et de mon rectum autour de son énorme queue. Du liquide est sorti de ma queue, transparent, ce n'était pas une éjaculation, sur le coup je me suis demandé si j'étais en train de pisser, mais c'était du liquide pré-séminal, que la pression de la bite en moi faisait sortir.
Il est allé de plus en plus fort, retirant presque sa queue de moi et se renfonçant le plus possible. Ca me faisait mal à chaque fois qu'il rentrait en violant mon sphincter anal et à chaque fois qu'il revenait au fond. Je m'agrippais au drap, je poussais des petits cris, mélange à la fois de plaisir, surprise et douleur. Il m'a enculé comme ça un bon moment. Le diamètre de sa queue ne me posait plus de problème maintenant, mon orifice anal s'étant habitué.
Au bout d'un long moment Marc a dit "bon on fait une pause", il s'est retiré avec un bruit de "pop", moi je restais là allongé sur son lit ne sachant que faire. Marc m'a relevé, m'a demandé si ça allait. J'ai dit oui pour faire bonne figure mais j'ai touché mon trou pour être sûr : au moins il n'y avait pas de sang (j'avais eu tellement mal que je n'en étais pas sûr !), par contre je ne l'avais jamais senti comme ça, tout distendu, et même il restait entre-ouvert !
On est allé au salon, il m'a fait assoir sur une serviette de toilette sur le canapé, on a bu du coca, il me disait que c'était très bien et qu'on allait maintenant pouvoir y aller vraiment. Ah bon ! Donc là on n'y est pas allé vraiment ? Il m'a expliqué que pour l'instant il avait ouvert la voie et que si je voulais savoir ce qu'est une vraie sodomie c'était maintenant.
On est retourné dans la chambre, j'ai compris en me levant la raison de la serviette qui avait une tache de jus de cul, de gel, je ne sais pas trop. Il a remis une capote.
Étonnamment je m'étais remis à bander pendant la pause, signe que la perspective d'une deuxième session plus musclée m'excitait. Marc a remis beaucoup de gel sur et dans mon trou, ça rentrait tout seul il aurait pu mettre 3 doigts s'il avait voulu c'est sûr. Il m'a dit de me mettre à quatre pattes, il est monté sur le lit avec ses pieds à coté de mes genoux et il a enfoncé sa queue en moi.
J'ai aimé ça, je n'ai eu qu'un peu mal quand son gland a passé mon sphincter anal. Il a tout de suite atteint la profondeur maximum à partir de laquelle ça me fait mal et je pensais qu'il allait s'arrêter comme avant, mais non : il a continué ! Je l'ai supplié d'arrêter, que ça faisait mal, mais j'ai finalement senti ses poils contre mes fesses, il avait rentré ses 18 cm dans mon cul !
J'ai respiré bien profondément et sa bite a trouvé sa place au fond de moi, je n'osais pas imaginer comment. Sa queue devait rentrer jusqu'au niveau de mon nombril ! Alors Marc a commencé ses va-et-vient, et j'ai compris que la fois d'avant c'était juste un avant-goût. Il m'a défoncé le cul, limé la rondelle, enculé bien profond.
Comme dans les vidéos pornos les plus crues. J'étais très secoué par les sensations que j'éprouvais, ne sachant trop si c'était du plaisir ou de la douleur. Peu à peu je me suis habitué et j'ai été certain que j'éprouvais du plaisir. Son ventre et ses couilles tapaient contre mes fesses, ça faisait du bruit. Il a remis du gel plusieurs fois, ça coulait un peu hors de mon cul sur mes couilles et sur le lit. Moi je m'agrippais et je me laissais défoncer le cul par ce mec à la bite énorme, je lui offrais totalement mon corps sans retenue et il s'en servait bien, sans retenue aussi.
Après un temps qui m'a semblé très long, Marc a poussé un râle et a joui en moi, enfin dans la capote. Il est resté en moi, au fond, et m'a dit :
- Vas-y branles-toi et jute comme ça
Je ne me suis pas fait prier, heureux de ce répit et heureux d'avoir sa bite en moi, je me suis branlé et j'ai joui en quelques secondes, jamais je n'avais joui aussi vite, par contre le fait d'avoir le cul rempli par son énorme queue qui restait dure m'a fait une éjaculation très peu puissante, mais abondante, sur le lit juste sous moi.
Marc a retiré sa queue, à nouveau le "pop", suivi d'un vent comme un gros pet mais sans bruit car mon trou était complètement ouvert. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter, ça allait se refermer bien sûr. Je sentais l'air frais dans mon trou béant, j'avais un peu mal.
Je me suis rhabillé pendant qu'il m'expliquait qu'il avait dépucelé pas mal d'ados par ce site, dont certains bien plus jeunes que moi, mais qu'il préférait les garçons de 14 ans minimum car avant leur anatomie anale ne permet pas toujours une sodomie aussi virile que celle que je venais de subir.
Je suis rentré chez moi, à la fois très content que ça soit fait, heureux, crevé. Dans le train du retour je sentais mon anus endolori et j'aimais ça. Je me suis couché tôt, au passage en me déshabillant j'ai vu une tache énorme de jus de cul marron claire au fond de mon slip, j'ai préféré jeter le slip de peur que ma mère voit ça.
Dès le lendemain, alors que mon trou était loin d'être redevenu normal, mes envies de sodomie me reprenaient déjà en regardant une vidéo dans laquelle j'avais exactement été à la place du mec la veille.

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