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Brèves de gays.... Extrèmes..!

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De plus en plus fort ...
De plus en plus dur....

Et jouissif pour ceux qui reçoivent

La chienne
Laisse tes mains derrière le dos ! menaçait Rolly, le skin tatoué et vicelard. Tu n'as pas besoin de tes mains pour sucer mon pote ! Fais gaffe…
Mon regard avait dû être un peu trop arrogant et Rolly ne supportait pas ça.
- Allez, pompe ! Fais ça avec conviction…
Chaque fois que j’étais en manque de sexe, j’errais du côté des quais et je me faisais larver par une bande de skins. Rolly en était plus ou moins le chef et c’est lui qui dirigeait les manœuvres. Il me donnait des ordres et je les exécutais sans broncher. A coup sûr, je me retrouvais en train de bouffer la pine d’un de ses potes pendant que les autres mataient en attendant leur tour.
Ce soir-là, il m’avait ordonné de sucer la bite de Jorg, un mâle tatoué sur les trois-quart du corps. Dans ma bouche, sa queue enflait et je sentais qu'il ne pourrait se contenir très longtemps.
- Sois pas exclusive, salope…on est là aussi, nous ! avait lancé un autre mec de la bande en me fourrant sa tige odorante sous le nez.
- Suce celle-là ! ordonna Rolly.
Je délaissais donc la bite d’un skin pour m’occuper de la bite d’un autre. Ma nuit risquait d’être bien remplie puisqu’il était huit.
Je me suis appliqué à bien pomper et j’ai certainement dû m’y prendre correctement car le type s’ est rapidement crispé. Sa queue a tressauté entre mes lèvres et ma bouche a été inondée de sa semence.
- Avale ! hurla le mec. Que je marque mon territoire !
Ils se mirent à rire.
Rolly voulait mon cul et il s’installa sur une souche d’arbre coupé. J’ai viré mon pantalon et je me suis enfilé bien à fond sur sa tige raide. Il me pilonnait fougueusement. Je sentais sa belle bite en moi. Il me traitait de tous les noms. Rolly savait que ça me rendait dingue d’être considéré comme une pute et il essayait de me maintenir dans un état d'excitation croissant. Il voulait si je m'offre à leurs sollicitations qui allaient être, je l'espérais, très vicieuses… J'étais prêt à tout…
Je me suis aussitôt emparé de la bite d’un autre skin pour la sucer avec délectation. Les mains des autres types ne restaient pas inactives puisqu'elles me caressaient le dos, les fesses, la tête. Rolly retira sa bite de mon cul et la fit glisser dans ma raie. Des flashs crépitèrent. Je compris que le moment allait être immortalisé. Rolly me lança :
- Avec ces photos, on va pouvoir faire TA promotion sur internet ! On va pouvoir s’organiser des petites séances bien crades sur chantier ou terrains vagues.
Rolly me planta à nouveau. Sa bite heurta ma prostate enflammée. D’un œil, je voyais le mec qui tournait autour de nous et mitraillait. Par moment, il était très proche de nous. Il faisait des gros plans de la pine qui me remplissait la chatte. Je sentais que j'allais enfin jouir et je l’ai dit.
- Je t’interdis de jouir maintenant, salope ! Tu jouiras seulement si je te le permets.
Une claque compléta la menace.
Les doigts enfoncés dans la chair de mes hanches, Rolly s’acharna encore plus, m’obligeant à contenir mes cris et ma jouissance sous peine de « je ne sais qu’elle punition ». Un autre skin prit la place côté bouche. Il m'enserrait la tête pour m'enfoncer son chibre au plus profond du gosier.
- Vas-y, pompeuse de bites ! Montre-nous ton talent !
Rolly et l’autre me secouèrent dans tous les sens pendant un moment. J’étais comme dans le panier d’une essoreuse. Les deux compères se vidèrent et je sentis fuser en moi leur plaisir viril et animal. Tous les mecs du groupe m’entourèrent et se vidèrent sur mon corps. Leurs fontaines à foutre m’arrosaient et j’aimais ça. J’adore l’odeur du bon jus qui se répand sur ma peau et la lustre. J’étais couché sur le sol et recouvert de foutre chaud. Béat.
- On n’en a pas fini avec toi !
Deux autres prirent le relais et investirent directement mes trous libérés.
Rolly les encouragea à me « troncher » comme une pute. Lorsque les six mecs m’eurent honoré de leur saillies, ils décidèrent de trouver d’autres mecs. Rolly et un de ses potes voulaient me voir me faire enculer par un flic.
- Non ! arrêtez ! ai-je gémi. Ça va mal tourner !
- T’es qui toi pour décider de ce qu’on doit faire ?
Nouvelle claque et crachat.
- Surveillez-moi la pute, on va trouver un keuf !
Et ils sont partis.
J’attends. Les mecs qui me gardent se foutent de ma gueule et ça m’excite encore plus. Je désire encore tellement me faire prendre par mon petit trou. Je n’en ai jamais assez. Je pousse un doigt dans ma raie. Elle est toute humide.
- Regarde-moi cette pute qui se touche le cul !
- T’inquiète… Tu vas être remplie et bien remplie…
Sur mes reins, je sens le sperme de Rolly. Je m'en enduis la rondelle puis j’y introduis d'abord deux doigts puis bientôt trois. Je tente d’exciter mes gardiens et les amener à me violer à nouveau.
Rolly revient avec son pote et, là, je suis assez surpris… Le policier est avec eux mais c’est un chien. J’ai déjà essayé pas mal de trucs mais un chien c’est tout nouveau pour moi. L’animal est élancé et en pleine forme.
- Voilà ton nouveau mâle, ma petite chienne ! Qu’en penses-tu ?
- Je… je crois que…
- Les putes ne croient pas. Elles écoutent. Elles subissent. Elles acceptent. Toi, tu vas nous dire que tu veux être sa chienne. Vas-y !
- Je veux être sa chi…chienne…
- Plus fort ! J’ai rien entendu.
- Je veux être sa chienne.
- Continue. Je veux qu’il me remplisse de son bon jus.
- Je veux qu’il me remplisse de son bon jus !
- Tu nous garderas un chiot de sa portée ! lance un gros vicelard qui s’esclaffe en se tapant sur les cuisses.
Rolly tira le chien par le collier et le caressa pour le mettre en confiance.
- A quatre pattes chienne !
Il positionna l’animal derrière moi, branla un peu sa bite et me la planta dans l'arrière train. L’animal, excité, m'enfila à fond. Directement, je sentis la boule gonfler contre mon anneau rectal. J’étais sailli par un berger allemand et il allait me doser comme une chienne. Se faire sodomiser par un clébard, c’est vraiment la pire chose qui pouvait m’arriver ! Je prenais vraiment conscience de ma déchéance et de ma dépendance sexuelle. J’étais prêt à tout pour me faire jouir du cul.
- Vas-y, Sultan ! Mets-la bien à fond, ramone-lui bien le cul à ta grosse chienne.
- Comment tu trouves ton nouveau mâle, hein ? Tu aimes te faire enculer comme une chienne, allez réponds, ne fais pas ta timide !
J’étais rempli d’une onde de désir et je me suis vraiment abandonné aux assauts de l’animal.
- Ouiii ! J'aime… C'est bon… Aaaah quelle bite !
- Encourage-le !
- Allez, Sultan ! Vas-y, encule moi ! Vas-y plus fort !
Le traitement que l’animal me faisait subir faisait bander tous les skins et ils se paluchaient en me matant. Un des skins était hypnotisé et Rolly lui lança :
- Elle te fait envie, hein, notre chienne ? T’inquiète Maxou, tu l’auras après… Faudra juste patienter que le clebs puisse sortir de son trou. En attendant, tu peux utiliser le trou de devant ! Te prive pas, mec ! On a des trous, faut les utiliser !
Tandis que le chien me défonçait sauvagement la rondelle, un mec me remplissait la bouche. Pendant ce temps, le « photomateur » s’amusait à prendre des clichés de la salope que je suis sous toutes les coutures. Cette situation décalée me rendait fou. Mes lèvres serrées aspirait la trique tendue du skin et mon anus ouvert avalait le membre canin. Se jugeant certainement délaissé, il posa l'appareil (fonctionnant désormais avec le retardateur) et vint se mettre à côté de Pierre, pour que je lui dispense aussi mes faveurs buccales.
Les injures fusaient et faisaient monter la pression. Certains encourageaient le chien à m’enculer… L’animal ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Ses pattes me griffaient le dos tandis qu’il labourait mon trou avide. Que c'était bon de sentir monter le plaisir entouré d'hommes vicelards. Je savais que la nuit n’était pas finie pour moi et qu’ils n’en avaient pas encore fini avec moi…
Le chien ahana, se cabra et, en poussant un grognement, il lâcha son foutre dans mon fourreau. Les jets de sperme jaillissaient dans mes entrailles et me faisaient jouir totalement du cul. C’était inimaginable ! La pression retomba pour l’animal épuisé. Il resta collé à moi pendant une dizaine de minutes et les skins se mirent à boire en attendant ma « libération ». Les injures se calmèrent un peu mais je sentais le mépris de leurs regards qui glissait sur moi.
Lorsque le chien se retira de moi, deux skins m’emportèrent vers une camionnette où je fus jeté nu et tremblant. Avant d’en refermer la porte arrière, Rolly vint vers moi et me cracha à la figure.
- T’as intérêt à avoir encore de l’énergie car la nuit est loin d’être finie ! Tu veux de la bite, tu vas en avoir.
Il claqua la portière et le véhicule démarra. Je ne savais même pas où se trouvaient mes vêtements. Je me mis à trembler comme une feuille… Autant d’excitation que de peur… J’étais vraiment un drogué du sexe.
Le voyage dura plus d’un quart d’heure. Un des skins était avec moi à l’arrière. Il m’obligea à le sucer puis m'éjacula sur le visage, avant d'enfouir à nouveau sa bite dans ma bouche pour que je la nettoie. Mon visage était maculé de bon jus et le skin me photographia.
- Si tu savais ce qui t’attend ! me dit-il d’un air vicelard pour bien m’inquiéter.
Mon excitation décupla. J'avais envie d’être livré à une vingtaine de mecs bien excités, qu’ils me fassent hurler…qu'ils me défoncent… qu'ils m’inondent de leur foutre…qu'ils se conduisent comme des porcs…comme des animaux… J'avais trop envie d'être une truie, une femelle avide de grosses queues… Mon désir était d’être gavé de foutre… Tous mes désirs devaient se lire sur mon visage porcin. Après l’épisode du chien, j’étais prêt à tout. J’avais passé le point de non-retour et j'aurais baisé avec n'importe qui …
Lorsque la camionnette s’arrêta, Rolly ouvrit l’arrière et m’attacha une laisse à mon collier. Il tira un grand coup et m’extirpa du véhicule.
- Regarde où tu es, salope !
J’étais dans un grand entrepôt désaffecté ? ça y puait la pisse et l’humidité. Au loin, il y avait des braseros et des types pas nets… C’était un refuge pour sans-abri ! Des skins, des mecs crades…
- On va bien l’emmancher cette petite pute… cria un mec excité.
- Sans problème ! Je vous l’amène pour ça ! Je compte sur vous pour qu'elle le sente bien passer.
Le regard de Rolly se posa sur moi. Il savait l’adoration que j’avais pour lui.
- Maître, je suis une pute, votre petite pute, faites de moi ce que vous voudrez !
- J’y compte bien…
- Offrez-moi à ces mâles en rut ! Donnez-moi plein de bites à sucer puis qui baiseront la chienne que je suis. Des bites juteuses de toutes les tailles…
Rolly me présenta à tous les mecs. Il se plaça derrière moi, bite dressée. D’un coup de reins arrière, je me suis enfilé bien à fond sur sa tige pour montrer à tous ces hommes ce que je voulais le plus au monde. La déprave ! Rolly s’agita en moi. Il était fier de sa pute. Il donnait ses ordres… Il se retira.
- Allons ! Penche-toi en avant et offre-moi ton cul de salope. Sers-toi de tes mains et écarte tes miches ! C’est pas assez ouvert ! Je veux mieux que ça… Dépêche-toi que je te bourre le fion en profondeur !
- Comme ça, Maître !
- Ferme ta sale gueule et ouvre ton fion.
En saisissant une fesse dans chaque main, j'ai réussi à écarté suffisamment ma fente pour satisfaire Rolly. Les mecs sifflaient. Rolly m’avait fait prendre une posture déshonorante pour m’humilier encore plus.
- L’estocade ! hurla-t-il.
Je sentais le gland brûlant pousser contre l'ouverture et d’un coup il viola mon rectum. Il m'enfila sa grosse pine jusqu'au couilles.
Inouï ! Jouissif ! Quelle sensation !
.................
Le chantier.
Je suis une grosse salope en manque de sexe. En commençant mon récit de cette façon, vous allez penser que je suis une femme. Si je vous dis que non, vous imaginerez directement que je suis une pédale efféminée. Vous serez encore loin du compte. Je suis un vrai mâle de trente berges avec une bite bien longue et un cul bien profond. Pour 99 % de mon entourage, je suis un hétéro qui se tape des nanas différentes sans arrêt. Des nanas, je m’en suis tapé pas mal mais, aujourd’hui, j’ai tiré un trait sur la gent féminine.
Je suis donc une grosse salope en manque de sexe. Très mâle le plus souvent, je me transforme en femelle la nuit. Je vous ai dit que j’étais en manque de sexe. Jamais bien longtemps.
Quand mon trou serré me démange et que l'envie de me faire baiser me tenaille, je trouve toujours un moyen d'assouvir mes désirs. Si je ne dis pas non à un bon gode, je n’en préfère pas moins une vraie bonne queue de chair et de sang.
D'aussi loin que je me souvienne et depuis que les choses du sexe m'intéressent, j'ai toujours été très porté sur la baise. Les films X, les photos, j’adore mais ça n’a jamais remplacé un vrai contact physique et bestial. Quand j'ai commencé à comprendre que j’étais plus gay que bi, j’ai fréquenté des bars où je matais puis je me laissais tripoter. Mon évolution a continué.
J’ai découvert que si ma bite était réceptive aux caresses, mon trou l’était encore plus. Je me doigtais ou je me fourrais des objets dans le fion tous les jours. J’en découvrais tous les secrets de profondeur et de sensibilité. Aujourd'hui, grâce à un entraînement hors norme et une libido hors norme, elle aussi, j'ai donc un trou accueillant, près à recevoir de gros, de très gros calibres à la chaîne.
Dans certains endroits, je suis même assez fier d’avoir pour surnom « le Trou ». Quand on a une réputation, il faut savoir l’entretenir pour bien en jouir. Chaque matin, je fais travailler mes muscles pour rendre mon petit trou musclé et souple.
Mon but est de bien jouir et bien faire jouir mes partenaires. J’arrive aujourd’hui à mieux serrer les bonnes bites qui me remplissent. Je vous parle de « partenaires » et de « bites »… les deux au pluriel. Je suis en effet un adepte du sexe d’un soir… deux tout au plus. A 30 ans, je ne me sens pas prêt pour une vie pépère avec un seul mec… même s’il a la plus grosse bite du monde.
Un ami me disait :
- Tu n’es pas encore lassé de toutes ces aventures sans lendemain ? Tu n’as pas peur de finir seul…
- Je n’ai que 30 ans ! J'ai encore tant de choses à découvrir et tant d'expériences à vivre.
- Moi, je te parle de sentiments… Toi de cul…
- Putain de merde ! Je ne suis jamais seul… Enfin, rarement ! J'ai un carnet rempli d'adresses de gars qui ne demandent qu'à honorer mon petit trou de leur visite.
- Ne me dis pas que tu as toujours cet ignoble carnet où tu notes tes partenaires ?
Silence.
- Tu l’as toujours ?
- Quand je fais une rencontre jouissive, je note les coordonnées du mec et je n'hésite pas à donner mon avis sur ses… performances.
- Et pour le contacter si le besoin s'en fait sentir ! Foutaises ! Tu le dis sans arrêt : « Coup d’un soir et au revoir ».
Mon copain n’énervait prodigieusement mais, d’un autre côté, je lui reconnaissais une certaine lucidité. Dans mon petit carnet d’adresses, je griffonnais effectivement des annotations qui me permettaient de retenir la spécialité ou les qualités particulières de chacun de mes… partenaires de jeux.
- Tu n’as pas encore couché avec tout ce que tu estimais « couchable » ?
- Là où je sors, il m’en arrive constamment des nouveaux.
- Le flux et le reflux !
- Arrête de te foutre de moi !
- Excuse-moi… J’oubliais que tu préfères qu’on « foutre » en toi !
- Tu es amer. Moi, je ne crache pas dans ma soupe. J’aime le cul, je le revendique. Je ne suis jamais à cours de sensations fortes. Je suis ouvert à tout. Il y a même encore quelques filles dans ma liste.
- Tu essayes de me faire vomir ?
- Ce sont généralement des filles qui m'ont bien fait jouir avec leurs doigts, leurs bouches ou leurs godes. Bon, je l’avoue… Ce sont vraiment des « dernières cartouches ».
- Tu n’as jamais été bisexuel !
- Si tu le dis ! Il y a cependant des choses qui touchent à l’hétérosexualité qui m’excitent… Je rêve de coucher un jour avec un couple qui ferait de moi sa chose.
- Tu rêves qu’un mec te saute devant sa bonne femme et qu’il te trouve plus chaud qu’elle.
Une petite conversation avec mon copain me stimulait toujours. Le soir même, il me fallait découvrir une nouvelle sensation. J’ai cherché dans mon agenda. Je voulais de la nouveauté, de l'inédit, de la baise "hors norme". Ne trouvant rien, j’ai été faire un tour sur le Net.
J’y fréquente quelques sites assez hard. J'y ai déjà fait de sacrées rencontres mais il m'est aussi arrivé de vivre des plans foireux et frustrants. Dans l’état où j’étais, je cherchais un gars prêt à me pousser dans mes retranchements, me soumettre – même en public -, me pisser dessus.
De chat en chat, j’ai finalement trouvé une ouverture possible. Il était 2 h 30 du matin mais mon trou palpitait d’envie. J'ai dialogué un moment avec un mec qui m’a proposé de me faire prendre par trois blacks bien montés.
- On peut faire ça où ? ai-je tapé sur l’écran.
- Pas n'importe où !
Ça, j’étais bien d’accord. Rendez-vous m’a été donné dans un quartier de banlieue. Je suis donc sorti de chez moi à 3 h 00 du matin dans une tenue suggestive. Je ne portais qu’une paire de jeans serrant et un minuscule T-shirt noir. J’étais prêt à me faire sauter rapidement. Je me suis dirigé vers le quartier en question en me demandant si, une fois de plus, je ne prenait pas trop de risques.
J’ai fini par repérer le chantier de construction qui était le point de rencontre. L’endroit était désert à cette heure de la nuit. Il m’a pourtant semblé voir une lumière dans le cabanon qui servait de cantine aux ouvriers. J’ai à peine attendu cinq minutes et ils sont arrivés.
Trois beaux blacks foutus comme des athlètes. Trois paquets moulés et prêts à exploser. En les voyant, j'avais encore plus envie de me faire tringler le cul et la bouche à la chaîne. Trois rien que pour moi !
- Je travaille sur ce chantier ! a dit un des trois.
- Ah !
- C’est un endroit calme pour baiser…
- Mais il y a déjà quelqu’un. J’ai vu de la lumière…
- C’est le gardien.
- Et… ?
- Soit il reste et mate, soit il reste et participe… ou alors il va faire un tour… Nous allons voir ça ensemble ! OK ?
Le plan avec le gardien m’angoissait un peu mais il était trop tard pour rebrousser chemin. Je crevais de me faire baiser.
Les trois gars m’ont précédé dans le cabanon et le premier a parlé avec le gardien. Je l’ai entendu dire qu’il préférait aller faire un tour, qu’il était crevé. Ce qu’il a fait en me regardant à peine. Les trois blacks me regardaient. J’ai brisé la glace.
- Allez, les mâles, baisez-moi maintenant, tous les trois ! J'ai le feu au cul et il faudra bien trois grosses bites pour l'éteindre.
J’ai sorti une boîte de préservatifs et je l’ai jetée sur la table. La glace était à peine brisée que j’étais déjà à poil et occupé par mes trois lascars.
- Bourrez-moi à fond… J’ai deux trous, il faut les occuper… Mon chantier est ouvert…
Ils ne se firent pas prier, les gaillards. Mon trou de derrière fut le premier à se faire remplir.
- Allez, toi, approche que je suce ton gros sucre anisé.
Je venais de m’adresser au plus jeune et sans doute le plus timide des trois… mais pas le moins excité. Il avança et m'enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J'avais la troisième bite dans ma main et je l’agitais pour en maintenir la rigidité. Je voulais que leurs trois bites restent dures assez longtemps pour qu'ils puissent se relayer au moins deux heures dans mon trou.
- C’est ça que tu veux ? me murmura mon enculeur à l’oreille. De la bite de black, de la grosse bite de noir ?
- Oh oui !
- On va combler ton petit trou du cul. Et dans toutes les positions !
- Vous gênez pas !
- Allez, sur le canapé. Fous-toi à quatre pattes !
Je me mis à quatre pattes, la bouche ouverte pour accueillir une bite et la sucer. Le black le plus vigoureux vint coller sa bite contre mes fesses. Il me les écarta, cracha un peu de sa salive dans ma raie et me lubrifia l’entrée. Je suis très serré et le lubrifiant m’est le plus souvent indispensable. Là, grâce à une sniffée de poppers et une bonne dose d’excitation, je devais faire confiance à ma chatte pour qu’elle se montre accueillante et docile.
La bite était très grosse mais, à vrai dire, mon cul en avait vu d'autres. Mon enculeur joua un peu avec son gland à l’entrée de mon trou qui n’en pouvait plus. Il donnait d’agréables coups de bite contre mon anus à moitié fermé et soudain je sentis passer son gros nœud quand il me troua la rondelle.
S’il avait été doux et patient jusque là, très vite, il commença à me limer sur un rythme rapide et bestial. Les deux autres s’étaient foutus à poil et mataient.
- Tu aimes ?
- J’adore mais j’adorerais encore plus me sentir rempli des deux côtés. Il y a deux bites qui ne servent à rien, ne gaspillons pas…
Un des deux autres blacks grimpa sur la table et présenta sa bite devant mon visage. L’un me pistonnait le cul et l’autre les lèvres. Avec la pointe de ma langue agile, j’adorais titiller cette longue bite depuis le gland jusqu’à la base. J'étais maintenant prêt à recevoir le troisième black pour une double pénétration anale.
Celui-ci, le plus jeune, se branlait pour maintenir son érection en attendant de venir m'enculer. Il n’allait pas être déçu.
Nous avons changé de position et je me suis retrouver dans le canapé-lit. J'écartais largement les cuisses, assis sur la queue qui me bourrait le cul. Ma bouche pompait toujours la même bite. Entre les cuisses de son pote, le jeune black vint placer son gland luisant devant mon trou – juste contre la queue qui l’occupait déjà – et d'une poussée brutale, il entra à son tour.
Mon petit cri ne l’arrêta pas. Il y trouva peut-être même une raison de continuer et de me défoncer. Ce n’était pas ma première double pénétration mais ça l’était avec des queues aussi grosses.
Le jeune était pugnace mais il peina à trouver sa place dans mon fion car la pine de son copain y occupait déjà pas mal de place. Il agitait les reins comme pour perforer un trou plus large. L’autre recommença à bouger en moi et le nouveau venu profita d'un mouvement de recul de l'engin qui m'enculait pour gagner les quelques centimètres. J’étais au paradis !
Mes deux enculeurs essayèrent de se mettre au diapason et, bien vite, ils trouvèrent leur rythme de croisière.
Cette nuit-là, je fus comblé comme je l’avais rarement été. Les trois baiseurs étaient infatigables et ils se relayèrent plus de trois heures dans mes orifices.
J’étais très content d'avoir prévu une bonne réserve de capotes XXL. Si j’ai joui, eux aussi n’ont pas été en reste… J’ai terminé ma nuit englué de jus de blacks ! Un must pour les amateurs…
J’étais vraiment en chantier.
Amsterdam
J’ai toujours aimé Amsterdam : pour sa vie nocturne bien entendu mais aussi pour l’ambiance si particulière qui se dégage de cette ville. En octobre dernier, un congrès m’a permis de redécouvrir une nouvelle fois cette métropole incroyable.
Mes journées étaient terriblement remplies mais soirées et mes nuits étaient libres. J’ai donc décidé d’en profiter pour m’encanailler. Je suis branché cuir et SM. Je suis accroc aux mecs costauds, virils et poilus. Ce genre de mâles se trouvent très facilement à Amsterdam.
Le premier soir, malgré la fatigue du voyage et une conférence de quatre heures, je me lance. Après une bonne douche, un bon lavement, je mets un jeans, mon préféré et j’enfile mon blouson avachi. Je suis à poil en-dessous et rien que cette sensation me rend fou d’excitation.
Il est 21 h et il n'y a pas grand monde. Tant pis, je m’assieds au bar et je me commande un alcool fort. Je mate deux mecs qui s’embrassent et se tripotent près du billard, au fond. C’est deux-là ont des gueules bien carrées et une dégaine de vrais durs. Avec leur bière dans une main, ils collent leur bassin contre celui de leur partenaire, se frottent et se roulent des pelles bien baveuses. Je bande ferme.
L’endroit est trop calme et je me tire. Direction le C.. C’est un endroit que je connais un peu. J’y suis venu à chacun de mes passage à Amsterdam. Chaque visite y fut fructueuse. Tous les espoirs sont donc permis. Je ne m’attarde pas au bar et je me rends très vite dans la zone de drague. Dès que mes yeux s’habituent à la pénombre, je devine que l’endroit est peuplé de beaux spécimens. Les gémissements et les frôlement me font comprendre qu’il y a déjà de l’action.
Je me balade dans cet antre du sexe. Je touche des corps. Je palpe, je caresse, je triture. J’ai trop envie qu’on me suce. Je baisse mon pantalon et je m’appuie contre un mur. Un mec passe et me mate. Il va plus loin puis revient. Il s’avance vers moi et me saisit la bite pour tirer dessus. Ce n’est pas un tendre. J’aime qu’on ne me ménage pas. Mes yeux sont maintenant habitués à la pénombre et je peux mieux voir mon « partenaire ».
C’est un beau mec. Il est quasi à poil puisqu’il ne porte qu’une paire de chaps et un jockstrap noir. Il se fout à genoux et s’attaque à me faire durcir la bite. Il ne lui faudra que peu de temps pour me mettre au garde à vous. Enfin ma queue ! Son pompage est dynamique et il me met dans un état second. Je n’ai pas trop le temps de réagir lorsqu’il se redresse, m’enfile une capote et s’empale sur ma bite.
Son jeu de rein est aussi excellent que son jeu de langue et il me fait monter la purée. Je résiste un peu et puis, n’en pouvant plus, je largue mon jus sur ses fesses. Il se redresse et s’en va sans se retourner. Ici, pas une once de tendresse, rien que de la déprave. Ce mec est là pour se prendre un maximum de bites et il continue sa quête.
Je le vois se frayer un chemin entre les corps enchevêtrés et les grappes de mâles excités. Je remonte au bar. Il faut que je récupère des forces. Un verre et quelques mots avec un barman qui à l’air de s’ennuyer et me voilà prêt à repartir.
- C’est pas un jour de grande affluence ! me dit-il. Mais d’ici une heure, on risque de voir arriver du monde…
Je lui souris et je redescends. Je reprends mon exploration. Un mec poilu et râblé se frotte contre moi. Je semble l’intéresser. Il est un peu petit pour moi mais il m’excite tout de même. Est-ce son air de petite frappe mal rasée ?! Je l’ignore. Il porte un pantalon de cuir et je lui caresse le cul. Nous nous roulons une pelle très excitante et ma main droite glisse entre le cuir du froc et les fesses que je sens poilues.
Je caresse sa raie puis je fourre un doigt dans sa rondelle. Il plante ses yeux noirs dans les miens. Il a compris. Moi aussi. Il se retourne, baisse son pantalon et cambre bien son cul. Il se met un peu de gel sur le trou et j’y enfile ma bite sans effort. Ce cul est habitué aux visites. Pas de doute ! Je m’installe bien au fond de ce cul profond puis je lui impose un limage bien vigoureux. Les fesses bien dures du mecs viennent à la rencontre de ma queue raide. La respiration de mon enculé est constante.
Pas de faiblesse au niveau du rythme. Il assure, le mec ! La backroom se remplit peu à peu. Nous sommes là depuis un moment, il faut dire. Des silhouettes tournent autour de nous et se rincent les yeux. Des mains nous caressent, touchent les fesses de mon partenaire, vérifient si je le prends bien à fond. J’entends des mecs qui parlent. Je ne comprends pas le néerlandais mais l’impression qu’ils apprécient notre duo et en disent du bien. Soudain, mon petit râblé, très excité, tourne la tête et m’embrasse.
C’est encore plus excitant ! Je redouble de vigueur et le colle contre la paroi. Il gémit en accueillant bien mes coups de reins. Je passe les mains sous son T-shirt et je sens sa peau brûlante. Nous avons chaud l’un et l’autre et on peut comprendre pourquoi. Autour de nous, l’excitation monte également. Un mec rugit à ma gauche.
Il est sur le point de jouir. Un autre l’imite. C’est jaloux la jouissance. Mon partenaire jute à son tour contre le mur de la cave. Je sors de son antre et je retire la capote. Le mec se rhabille, m’embrasse sur les lèvres en me remerciant en français et se casse.
Je n’ai pas joui et j’ai envie d’attendre encore un moment avant de le faire. Je me remets en route. Je chasse. La plupart des cabines sont vides. Au fond, dans celle qui est percée de trous, il y a un grand blond barraqué. Il est appuyé négligemment contre un mur et il attend en se matant le bas ventre. Je n’ai même pas droit à un regard. Un peu trop narcissique à mon goût. Bon, je remonte au bar.
Deux nouveaux verres et quelques mots en anglais avec un type assez sympa mais pas à mon goût. Je retourne au sous-sol dans l’espoir d’y vivre des nouvelles sensations. Dans une cabine avec sling, je vois un type très bandant qui se branle. L’engin m’hypnotise. Jusqu’ici, j’ai joué les grands mâles actifs et, en voyant cette queue, j’ai très envie de devenir un petit passif bien soumis. Le mec me regarde. J’aime ce regard décidé et bien viril. Il lâche sa bite. C’est une invitation à prendre le relais. Je tombe à genoux et je lui suce l’engin. J’ai du mal à la gober toute. Elle est très longue.
- Passif ? me lance-t-il sans ambages.
- Versatile.
- Tu as envie de te faire mettre ?
- Toujours partant lorsque c’est un beau morceau.
Le mec – qui doit être belge si j’en juge au léger accent - se met une capote me retourne et m’empale. Il me bourre avec vigueur mais il sait prendre son temps. Son souffle chaud caresse ma nuque et il me dit des trucs cochons. Je devine qu’il à envie de jouir mais qu’il cherche à faire durer.
- C’est pas comme ça que j’ai envie de jouir !
Il se retire. Il me retourne, pousse sur mes épaules et je m’agenouille devant sa bite. Je le suce, lui lèche les couilles. Il gémit. Je fait très vite monter sa jouissance et il finit par me juter sur la gueule en éructant.
- Putain de bordel de merde ! T’es un bon pompeur, mec !
C’est toujours agréable à entendre.
Je reste dans le couloir noir et j’avise un gros mec plié en 2 qui tend son cul le pantalon sur les chevilles. Un jeune mec mince, petit et imberbe la queue bien raide lui travaille le cul et s’apprête à l’enculer.
Rapidement il s’enfile une capote et commence à niker le gros mec. J’hésite un peu, mais le gros mec me tripote les couilles pendant qu’il se fait prendre par le petit mec.
J’ai mon survet à mi-cuisse, j’enlève mon tee shirt mouillé, et je me mets à coté du gros mec dans la même position que lui. J’espère donner ainsi l’envie au petit mec de s’occuper de moi et détourner cette bite ramoneuse de son objectif actuel. Bingo !
Le petit mec commence par me tripoter le cul qui est encore bien ouvert et humide, puis y enfonce les doigts et enfin, quitte le cul de mon voisin pour le mien. Il est pas hyper monté, mais il bande très dur et me sodomise avec énormément de vigueur. Puis le mec quitte mon cul et retourne à celui du voisin. Il va alterner plusieurs fois.
Il fatigue un peu il a du mal à trouver mon trou, je le guide avec ma main et je me rends compte que la capote est déchirée et complètement enroulée à la base de sa queue. Mais ça le gène pas, il continue à alterner entre les 2 culs à sa disposition, et paraît super excité de sa trouvaille. A la fin c’est fatal il fini par jouir, mais sur le dos de mon voisin.
Je suis un peu jaloux mais c’est pas grave. Après ça je suis un peu vanné, je sors du noir et vais me reposer près du bar, boire quelque chose et me nettoyer comme je peu. Je coule de sueur et mon survet est presque à essorer. Finalement je retourne dans ce couloir sombre. Je touche un mec qui paraît costaud, il se laisse ouvrir la braguette et j’entreprends de le sucer.
On reste un long moment ensemble comme ça à se rouler des pelles et moi à le sucer. Puis je me laisse. Un peu trop inactif à mon goût. Et juste à coté j’aperçois le mec que j’ai rempli au début de ma soirée. Il est dans la même position courbé sur le banc en ciment cul offert.
Ca tombe bien je bande, alors je l’encule. Je ne sais pas combien de mecs il s’est tapé. Je le bourre sans chichi, et lui jute tout dans le cul. Rapidement, trop peut être. Il doit me prendre pour un lapin, à moins qu’il cherche juste du jus et qu’il préfère en fait. Je ne saurai jamais, on se sépare dans le noir. Après lui, je rentre me coucher à l’hôtel.



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