Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Histoire du net. Auteur inconnu. Addiction... Suite

$
0
0
C'est Bienvenue chez les Cht'is.
Version cul... Mais alors vraiment  cul...

Je ne savais que dans le nord on chassait de cette manière.
Attention: Extrême


Mon épouse et ses collègues
Suite VI

Ce que je fis et le lendemain je revins à 11 heures. Je me demandai alors si, compte tenu des circonstances, elle avait maintenu sa sortie ou pas. Je ne fus toutefois pas surpris de trouver l'appartement vide. Je me demandai comment elle avait réagi hier soir à mon départ et dans quelle disposition d'esprit elle allait-être ce soir.
Mais je lui en voulais terriblement de l'affront qu'elle m'avait imposé hier. Oser me demander la permission de coucher avec son amant sous notre toit et en plus en ma présence? J'avais dû passer pour un vrai con vis à vis de ce bonhomme-là, elle m'avait soufflé. Elle savait très bien qu'en agissant ainsi elle me mettait devant le fait accompli puisqu'elle venait de m'avouer qu'il était déjà son amant! Je me demandai de plus en plus si je pourrais tenir longtemps avec cette femme qui ne pensait qu'à se faire sauter. Je n'osais pas m'imaginer ce qui allait se passer aujourd'hui.
En fait, elle était incapable de discerner le bien du mal en matière sexuelle, ce qui était autorisé dans un couple de ce qui était interdit. Alors elle m'impliquait: je peux coucher avec lui? Je peux aller à la chasse me faire sauter par toute une meute en rut? J'en avais assez de toujours être pris à témoin de ses frasques. Il fallait que je prenne une décision ces prochains jours.
Elle revint à l'appartement à 20h15.
Lorsqu'elle pénétra dans le salon, je vis de suite que sa journée n'avait pas été de tout repos: les traits défaits, le visage fatigué, des cernes noirs sous les yeux, elle n'avait plus de bas, les jambes étaient nues, souillées, comme l'étaient ses vêtements d'ailleurs.
J'étais dans le canapé et j'avais étalé le dossier d'Aline sur la table du salon, les photos bien apparentes.
Elle s'effondra près de moi dans le canapé:
- Mon Dieu! Mon Dieu! C'est pas possible!
Puis elle resta silencieuse, les yeux clos, comme si son esprit vagabondait dans un passé récent qui l'avait semble-t-il beaucoup secouée.
Quand enfin elle rouvrit les yeux, elle me regarda et sembla se souvenir de la soirée d'hier. Elle détourna alors son regard et machinalement aperçut les photos sur la table:
- Qu'est-ce que c'est? Qu'est-ce que tu fais avec ça?
- Je monte le dossier de divorce. J'en ai assez! Tu me mens continuellement! Je ne te demande pas comment cela s'est terminé aujourd'hui, à voir dans quel état tu es, ma pauvre femme, on le devine aisément.
- Mais enfin, chéri, tu peux pas! Tu m'as promis de tout m'autoriser dès lors que je te faisais un compte-rendu!
- Ah oui? Et ta partie de jambes en l'air avec Jean, tu m'en as parlé quand?
- D'accord! Pour ça je ne t'ai rien dit! Mais au final, qu'est-ce que ça aurait changé? Si le soir je t'avais dit: « Cet après-midi je me suis fait sautée par un homme dans l'appartement », tu m'aurais répondu: « C'est bien de m'en avoir parlé » et voilà, la situation aurait été la même!
Évidemment, vu comme cela, elle n'avait pas tort. En définitive, c'était le fait de l'avoir autorisée à mener la vie qu'elle voulait à condition de m'en parler qui était boiteux, car, en partant de ce critère, elle pouvait se faire sauter par qui elle voulait avec ma bénédiction.
Bon, c'était assez pour aujourd'hui. Je rangeai mes documents et me tournai de nouveau vers elle.
- Alors, maintenant, dis-moi! Que s'est-il passé?
Avec un soupir elle tourna son regard las vers moi:
- Oui, je vais t'expliquer! Mais ça va être difficile parce-que moi-même je n'ai pas tout compris. Mais avant, permets-moi d'aller prendre une douche, je dois me nettoyer!
Où là là! Tout ceci ne présageait rien de bon. Mais elle a raison de passer par la salle de bains, elle pue le bouc!
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je fus bien obligé de patienter. Devinant des choses assez redoutables à entendre, j'allai me verser une bonne rasade de whisky que je dégustai en l'attendant.
Une demi-heure plus tard, Joss fut de retour. Elle avait revêtu un peignoir léger et vint se blottir contre ma poitrine. Décidément, je ne pouvais pas lui en vouloir longtemps, dès que je l'avais devant mes yeux, elle me faisait fondre. J'étais vraiment né pour être cocu et le rester. Ma seule consolation, c'était de savoir qu'en dépit de tout, elle m'aimait et j'en étais persuadé.
- Je te préviens mon chéri, ce que je vais te raconter ne va pas toujours être facile à dire. Non pas de par la nature des actes que j'ai eus à subir ou à faire, encore que, peut-être, mais surtout parce que durant deux périodes précises vécues au cours de cet après-midi, je me suis trouvée dans un tel désordre psychique et cérébral que je vais avoir quelques difficultés à me remémorer clairement ce que j'ai vraiment ressenti et vécu… Pendant de brefs instants je me suis retrouvée en plein délire à tel point que sur la fin mes compagnons devaient se demander si je n'étais pas en train de perdre la raison. Je me le demande moi-même actuellement d'ailleurs.
- Oh là! Tu commences à m'inquiéter!
- Bon, je commence. Ce matin, comme l'avait demandé Jean hier, j'étais donc prête dès 6h30. Mais j'étais triste que tu ne sois pas la pour te dire au revoir, triste et surtout inquiète, j'avais peur que tu ne reviennes pas!... Donc, pour l'occasion j'avais revêtu un fuseau noir en lycra - évidemment, pensais-je, celui qui épouse si parfaitement les formes de ses cuisses et de ses fesses, elle a dû en affoler quelques uns - pour le haut, j'avais opté pour un pull noir moulant puis, enfin, emporté un blouson de cuir pour me protéger du froid matinal. Comme convenu, j'avais chaussé des bottes de caoutchouc pour affronter les chemins que nous devions emprunter… Par ailleurs, et toujours pour respecter les souhaits de Jean, j'avais prévu un change pour l'après-midi en emportant une jupe, un chemisier, des bas et porte-jarretelles ainsi que des escarpins. C'est donc ainsi équipée que nous partîmes sur le lieu de rendez-vous à 50 kms d'ici en Belgique.
Dès notre arrivée, une collation était prévue: café, thé et viennoiseries. Une cinquantaine de personnes étaient présentes, chasseurs, rabatteurs et quelques invités dont je faisais partie.
Après la lecture des consignes de chasse, je me joignis à Jean pour rejoindre le poste qui lui avait été désigné. Et commença la longue attente. La battue devait se terminer vers 12h30. Mais de 8h à 11h, il ne se passa rien, on entendait seulement les rabatteurs faire un bruit d'enfer au loin. Pour passer le temps, Jean, de temps en temps, me faisait venir près de lui et il me pelotait le cul et les seins, il m'embrassait.
Mais il gardait toujours un œil vigilant au cas où un gibier viendrait à surgir, de ce fait, il ne pouvait pas m'entreprendre trop loin Enfin, vers 11h, les premiers gros gibiers se mirent à traverser la trouée où l'on se trouvait, et les coups de feu fusèrent de tous côtés: du gibier passait, d'autres gibiers tombaient. Le bruit des coups de feu, l'odeur de la poudre, c'était grisant, excitant. Puis à 12h30, coup de trompe, c'est fini. Des tracteurs avec remorques vinrent pour ramasser les cadavres et l'on se retrouva tous devant le pavillon de chasse.
Je te passe sur la comptabilité du tableau de chasse, du partage, etc...Un repas convivial était prévu pour ceux qui s'étaient inscrits. Nous nous retrouvâmes ainsi une quarantaine autour d'une grande table. Jean me demanda avant de débuter le repas, d'aller me changer. Ce que je fis. Je vis bien en revenant que de multiples regards d'hommes me détaillaient, les yeux brillants d'envie, mais Jean prit les devants en m'invitant à m'installer près de lui.
Le repas fut gai, joyeux, l'alcool coulait relativement fort, si bien qu'au terme de ces agapes les convives affichaient des visages plus ou moins rubiconds. Des histoires et des chansons de corps de garde circulaient. C'était une assemblée essentiellement masculine, j'étais seule avec une autre femme qui se trouvait à l'autre bout de la table et le personnel de service, dont une jeune serveuse de 20-25 ans qui avait bien du mal en passant le long de la table à maîtriser toute les mains baladeuses d'hommes qui tentaient de lui pincer les fesses ou de passer sous sa jupe. Elle avait visiblement l'habitude et prenait tous ces gestes avec philosophie et humour.
Plusieurs fois Jean posa sa main sur mes cuisses largement découvertes par ma jupe qui avait toujours tendance à remonter plus que de raison et plusieurs fois il réussit à dépasser la lisière du bas, caressant la chair dénudée et même à me toucher la vulve.
A 16h tout fut terminé, ce fut le branle bat de départ. Embrassades, poignées de mains, à la prochaine! Enfin le calme retomba dans le pavillon de chasse, seules les femmes de service débarrassaient la table. Mais la vaisselle fut seulement amoncelée dans la cuisine, elles devaient revenir le lendemain pour terminer l'ouvrage et faire le ménage. Le personnel à son tour prit congé, seule la serveuse dont je t'ai parlé tout à l'heure resta. Elle s'appelait Manon. Une dizaine de chasseurs étaient encore là.
C'est alors que Jean, accompagné d'un de ses collègues, sortit et alla verrouiller toutes les ouvertures, portes et fenêtres, en fermant les volets métalliques qui étaient cadenassés pour éviter toute intrusion lorsque le local était vide.
Cela fait, nous étions désormais invisibles de l'extérieur et personne ne pouvait entrer.
Je me doutais que les choses sérieuses allaient commencer! Mais n'était-ce pas pour cela que j'avais été invitée et n'était-ce pas pour cela que j'avais accepté?
C'est alors que Jean, qui me semblait être le bout en train de la bande, nous interpela, Manon et moi:
- Allez les filles! Un strip-tease, un strip-tease!
La demande fut reprise en chœur.
Manon vint me chercher et m'emmena au centre d'un cercle formé par le groupe d'hommes. Elle m'enlaça et m'entraîna dans un pas de danse imaginaire. Au bout de quelques instants, son regard n'ayant pas quitté le mien, je vis son visage s'approcher, ses lèvres vinrent doucement s'appuyer sur mes lèvres, sa langue chercha à s'insinuer à l'intérieur de ma bouche.
 Cette expérience était pour moi nouvelle, jamais je n'avais embrassé une femme. Au bout de quelques secondes, je cédai. Nos langues se mêlèrent, nos salives se mélangèrent. Nous avions toutes les deux les yeux fermés et savourions ce baiser saphique, somme toute pas désagréable.
Un silence total régnait dans la salle. Les hommes retenaient leur souffle, des pantalons commençaient à se déformer.
C'est alors que je sentis les mains de Manon descendre dans mon dos, elles atteignirent mon postérieur. Puis elles se saisirent du tissu de ma jupe et entreprirent de le remonter. Après quelques difficultés à faire passer la rotondité de ma croupe, je me retrouvai avec les fesses complètement à l'air, d'autant que ce matin j'avais revêtu un string dont la ficelle était bien évidemment complètement enfouie au plus profond de mon sillon fessier, donc invisible.
Elle entreprit de me masser vigoureusement les deux fesses ainsi exposées aux regards lubriques des spectateurs. Pour ne pas être en reste, j'entrepris la même manœuvre vis à vis de ma cavalière. Elle avait une culotte. Je passai une main sous l'élastique et lui caressai les fesses à la peau que je trouvais très douce. Je laissai ma main s'égarer dans le sillon et vint lui titiller son petit œillet qui n'eut pas l'air de trouver le geste osé.
C'en était trop pour les hommes en rut. La bande de soudards fondit sur nous. Nous nous trouvâmes ballotées, malmenées. En un clin d’œil, nous fûmes nues. Ils ne me laissèrent que mon porte-jarretelles, mes bas et mes escarpins.
Tu te doutes que la situation n'était pas pour me déplaire. C'est avec délectation et délice que je me livrai à ces mâles mains baladeuses et indiscrètes, à toutes ces bites si fièrement dressées et impatientes.
Il m'est impossible de te décrire en détail ce qui s'est ensuite passé. Je me suis retrouvée sur le ventre, sur le dos, à quatre pattes, allongée sur un homme dans un sens, puis dans l'autre, mais ceci toujours en ayant un, deux, voire trois sexes enfilés dans un orifice ou un autre.
Ce fut un feu d'artifice de jouissance, de cris, d'orgasmes répétés. Je fus inondée de sperme, il m'en coulait de devant, de derrière, même de la bouche car je n'avais pas le temps de tout avaler.
Et puis les corps se fatiguèrent, surtout les couilles des hommes qui n'avaient plus le temps de se recharger. Les accouplements devinrent de moins en moins actifs, le silence s'installa peu à peu.
C'est alors que cela se passa.
J'étais à genoux, penchée sur une verge dont j'essayai de rendre un semblant de vigueur, un pénis venait de quitter mon vagin où il avait répandu avec difficulté un restant de sperme, lorsque je sentis soudain une langue râpeuse passer et repasser sur ma vulve. « C'est impossible qu'un homme ait une telle longueur de langue » me dis-je.
Je jetai machinalement un coup d’œil par-dessus mon épaule et vis avec effroi un véritable molosse occupé à me lécher la cramouille et à laper le trop plein de liquide qui s'en écoulait. Aussitôt je réagis, pas question de faire entrer les chiens dans la danse!
- Eh! Ho! STOP! Je ne suis pas d'accord!
Je n'eus pas le temps de me relever, déjà deux ou trois gaillards me sautèrent dessus et m'immobilisèrent, dont Jean qui me dit:
- Oh là! Ma belle! Tout doux! On t'offre le mâle le plus performant de cette salle! Tu ne vas pas faire ta mijaurée? Laisse-toi faire va! Tu vas m'en dire des nouvelles! Tu t'en rappelleras toute ta vie, crois-moi!
Soudain je sentis le poitrail velu de l'animal se coucher sur mon dos, aussitôt ses deux pattes de devant m'enserrèrent la taille désormais prise comme dans un étau. Cette bête avait une force peu commune, j'étais complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, je sentis soudain des coups de pistons contre mon périnée. Dans des mouvements désordonnés, le monstre cherchait à me pénétrer.
Un des hommes assistant à la scène lui vint certainement en aide car, subitement, une barre brûlante se présenta à l'entrée de mon vagin heureusement bien lubrifié. Sentant l'ouverture, l'animal d'un formidable coup de rein, propulsa sa verge au fond de mon antre, frappant violemment la paroi de l'utérus, ce qui me fit pousser un cri de douleur.
Dans cette position, bien arrimée sur mon dos, la bête possédait une grande mobilité du bassin. Il entreprit alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amenaient sa monstrueuse rigidité au fond de mon vagin, me faisant pousser des cris douloureux.
Et le sexe gonfla, gonfla. Il me remplissait désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu'il me dilatait l'organe en en repoussant les parois. Et puis une boule vint me frapper la vulve, sa grosseur en bloquait la pénétration. C'est alors que je sentis le chien prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une vitesse inouïe au fond de mes entrailles.
Tout était rentré. La boule se mit à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdisait désormais toute sortie de son organe. Je pris peur devant la grosseur de cette excroissance, elle allait me déchirer. Et puis durant quelques secondes tout se calma. Contre toute attente, mes organes commençaient à s'habituer à cette gigantesque intromission.
L'animal sur mon dos haletait, la langue pendante, des filets de bave s'écoulaient sur ma peau. Tout à coup, l'énorme turgescence fut comme animée d'une vie propre, elle se mit à vibrer, m'envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu'à mon cerveau, mon bas-ventre fut agité de spasmes, mes organes génitaux s’enflammèrent et la bête commença à m'envoyer des torrents de liquide dans ce vagin déjà complètement plus que rempli. Il se dilata encore plus, il repoussa les organes voisins, je sentis mon bas-ventre gonfler, gonfler.
Et soudain, une formidable chaleur m'envahit tous les organes. Je perdis complètement pieds, une jouissance phénoménale m'envahit, je hurlai dorénavant mon plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succédèrent. Je plongeai alors dans un état de demi-inconscience.
J'étais désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Je devins son esclave, sa servante, sa soumise. Commande Maître, je t'obéirai! Le liquide reproducteur continuait à se déverser dans le vagin, dans l'utérus, il allait, il voulait me féconder. Une joie sans fin m'envahit à l'idée de lui fournir une belle portée de chiots. Ta femelle en prendra soin, n'aie aucune crainte. Continue ton travail de mâle procréateur. Je suis à toi, pour toujours. Désormais je vivrai nue, je ne te quitterai plus, toujours prête à t'ouvrir la voie de mes organes génitaux afin que tu te libères selon ton bon vouloir et jusqu'à ce qu'enfin je te procure ta progéniture.
Je n’entendais plus aucun son en provenance de mon environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui me paralysait jusqu'à la pensée et l'esprit.
Et puis, comme un brouillard qui se lève, je repris peu à peu conscience, mais j'eus quelques difficultés à me repositionner dans le temps et dans l'espace. C'est le chien qui m'y aida lorsque je perçus la présence de sa formidable musculature sur mon dos et ses pattes qui me faisaient sienne.
Mes entrailles étaient toujours aussi tumultueuses, c'est un volcan qui me brûlait le bas-ventre, mon vagin était énorme mais j'étais bien, fière d'avoir appartenu à ce merveilleux animal, fière d'avoir accueilli toute sa semence dans mon corps, fière de ne faire qu'une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui me tenait soudée aussi solidement. Nos deux corps étaient littéralement collés l'un à l'autre, ils étaient solidaires et ne formaient plus qu'un.
Quelque chose s'était passée lors de cet accouplement, une forme de communion avait uni la femme et la bête, un lien spécial que je sentais fort et que je ne pourrais désormais plus ignorer.
Au terme de quelques instants que je serai bien incapable de chiffrer dans la mesure où je ne savais pas combien de temps avait duré mon inconscience, je sentis son frein se dégonfler et, sous la pression énorme existant dans mes entrailles, tout fut éjecté.
Des flots de sperme s'écoulèrent sur le sol, m'arrosant les cuisses et les mollets. Je ressentis un sentiment de vide extraordinaire dans mon ventre, comme si toutes mes entrailles avaient été expulsées avec le liquide. Mon Maître - mais pourquoi je dis « mon Maître »? Qu'est-ce qui m'arrive? - me donna quelques coups de langue sur la vulve béante et baveuse et s'éloigna, sans un regard pour sa femelle, pour s'allonger plus loin et prendre un repos bien mérité.
Jean s'agenouilla alors près de moi et me dit:
- Ça va? Tu nous as fait peur! Tu poussais des hurlements effroyables, on se demandait s'il ne t'avait pas causé des dégâts à l'intérieur!
- Non non! De ce côté-là tout va bien! Par contre dans ma tête je ne sais pas encore bien où j'en suis. Ça m'a vraiment secouée! C'était la première fois avec un chien mais là, tu as raison, je n'oublierai pas de sitôt.
Puis il m'aida à me relever et je partis vers le cabinet de toilette avec bien des difficultés. Mes bas étaient morts, je les retirai et les mis à la poubelle. Heureusement il y avait un bidet. Aussitôt je m'arrosai la vulve d'eau froide afin de calmer la douleur due à la trop grande dilatation et j'aspergeai l'intérieur de mon vagin afin d'éliminer le reste de sécrétion.
Puis je me lavai les jambes, me séchai. J’ôtai mon porte-jarretelles désormais inutile et regagnai la pièce principale. A mon entrée l'ensemble de l'assistance se leva et m'applaudit. Chacun vint me dire un mot, me complimentant sur l'incroyable jouissance que j'avais étalée devant leurs yeux ébahis.
Jean m'entraina vers la table, il me versa un petit verre d'alcool fort:
- Tiens! Bois, ça te fera du bien!
Effectivement l'alcool me rendit un peu de tonus.
Sur ce je vis Manon revenir du cabinet de toilette. Je l'interpelai:
- Alors Manon, toi aussi tu as eu droit a ta saillie canine?
- Et oui! Ici c'est la règle! Après une partie de chasse, c'est la curée, les femelles sont livrées aux chiens. Mais d'habitude, c'est moi qui hérite de Bobby. Comme c'était la première fois pour toi, on te l'a réservé. J'espère que tu n'as pas été déçue? A t'entendre hurler tout à l'heure, ce n'est pas le sentiment que tu me donnes. Tu sais, Bobby, ici, c'est la vedette, c'est le mâle dominant. Une femme ou une chienne, pour lui ce ne sont toutes les deux que des femelles bonnes à monter
Tout en continuant à discuter, je vis soudain Bobby traverser la salle en se rapprochant de la table. Ses yeux étaient fixés sur moi, il ne me quittait pas du regard. J'étais comme hypnotisée. Je me mis à trembler d'émotion, je savais ce qui allait se passer, il réclamait sa femelle. J'étais prête, j'étais désormais sa propriété, désignée pour assouvir ses désirs.
Il passa derrière moi. Tous les regards de l'assistance étaient désormais fixés sur nous. Il se dressa et posa ses deux pattes sur mes épaules. Dans le même temps il me saisit le cou entre ses puissantes mâchoires, je sentis ses crocs marquer la peau fragile.
Je lui obéis sur le champ. Je me laissai couler sur le sol, me mis à genoux, la tête reposant sur mes avant-bras repliés et relevai bien mes fesses. C'est seulement là qu'il libéra mon cou en poussant un jappement de satisfaction.
Il se mit à tourner autour de mon corps offert. Je restai dans l'attente du sacrifice. La langue pendante, le souffle haletant, il contemplait sa future victime, sa femelle. Déjà une formidable érection gonflait son sexe qui balançait avec indécence entre ses pattes arrière au rythme de sa marche. Le sexe hyper gonflé touchait presque le sol malgré la taille de l'animal.
- C'est pas possible! Comment va t-il me faire rentrer tout cela?
Puis l'animal revint au niveau de mon visage, de nouveau ses puissantes mâchoires me saisirent le cou, les crocs me serrèrent la nuque, c'était douloureux mais je ne me plaignis pas. Un grognement sourd émanait de sa gorge. Il voulait me dire: « Tu m'appartiens, je peux te mettre à mort, en charpies quand je le veux »
J'étais fière d'être servie en sacrifice à ce merveilleux étalon. J'étais décidée à faire face, quoiqu'il arrive. Je devais mériter l'honneur qu'il allait me faire de me saillir, l'honneur qu'il me faisait de m'avoir choisie.
A la vue de ce qui allait se passer, les hommes s'étaient rapprochés et formaient un cercle. Tous avaient leur bite à la main et se masturbaient lentement.
Le « Maître » passa alors derrière moi, me donna quelques coups de langue sur la vulve encore endolorie de la précédente intromission et me couvrit de son corps puissant, son poitrail velu pesant lourdement sur mon dos. Il me fit frissonner d'envie et du bonheur à venir.
De nouveau ses pattes me saisirent la taille, elles soudèrent nos deux corps. Je sentis son membre bien bandé battre contre mes fesses. Puis, comme s'il avait retenu la position de nos corps lors de notre dernier accouplement, sans aide extérieure cette fois, d'un formidable coup de rein il projeta sa verge d'une taille maintenant démesurée au fond de mes entrailles. Il entreprit un coït dix fois plus violent que tout à l'heure. C'est comme s'il voulait me transpercer pour déverser ses flots de sperme directement dans mon utérus.
Malgré l’extrême brutalité employée, je n'émis aucune plainte, aucun cri de douleur. Le choc dans le fond de mon vagin se répercuta à travers mon corps jusqu'à mon cerveau. J'étais redevenue son esclave, sa soumise, je devais accepter silencieusement ses désirs et m'abandonner à ses caprices et à son bon vouloir.
De nouveau mon vagin se trouva monstrueusement dilaté. Violemment, il fit pénétrer son frein et je me retrouvai de nouveau soudée à ce mâle conquérant. Il se passa alors la même alchimie que tout à l'heure mais à la puissance dix. Tout mon corps se trouva secoué de spasmes incontrôlables, les terminaisons nerveuses de mes organes génitaux excitées plus que de raison me plongèrent dans un délire démentiel, je ne pus plus rien maitriser et me trouvai plongée dans une confusion mentale totale. Je me mis à hurler une suite de phrases qui, pour les personnes qui assistaient à cette scène, ont dû leur faire penser que je plongeais dans la démence:
- Oui! Vas-y mon beau mâle! Emplis moi de ton sperme, féconde moi, engrosse moi. Je veux devenir la mère porteuse de ta progéniture. Envoie-moi tes giclées de sperme, gonfle mon ventre, bientôt ce sont tes chiots que je sentirais bouger dans mes entrailles. Je t'aime! Continue! Ah quel bonheur de te sentir si gros en moi, de sentir ton liquide reproducteur m'envahir si entièrement, si profondément. Je suis heureuse, si heureuse.
Je plongeai alors en complète léthargie, entièrement livrée à la violence de la bête qui inlassablement continuait à me remplir le ventre de son liquide séminal. Un orgasme continu s'était emparé de tout mon corps, de tous mes sens. Je ne pensais plus, toute activité cérébrale avait cessée.
J'étais comme morte.
J'étais effectivement comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.
Ce n'est qu'environ quinze minutes plus tard que je donnais signe de vie en rouvrant les yeux. De nouveau j'eus bien du mal à me situer. Puis tout me revint. Mon amant canin s'était dégagé, j'étais allongée dans une mare de liquide écoulé de mon vagin, le corps entièrement souillé par ces déjections.
Les hommes étaient véritablement dopés par le spectacle que je leur avais offert. Ils avaient les sexes complètement bandés. Deux d'entre eux étaient en train de s'occuper de Manon un peu à l'écart. Excités, ils s'approchèrent de moi, ayant comme dessein de profiter une dernière fois de ce corps si généreux à la jouissance si expansive.
Mais je n'en avais plus envie. Jamais ils ne pourraient me faire atteindre le degré de jouissance que m'avait procuré mon merveilleux amant. Je les repoussai des deux mains mais ils insistèrent. C'est alors qu'il se passa quelque chose d'extraordinaire. Bobby, qui s'était quelque peu éloigné, déboula au milieu du groupe, il vint se ranger près de moi et il défendit sa femelle en retroussant les babines, découvrant ainsi ses crocs impressionnants et en émettant des grognements menaçants qui éloignèrent les plus hardis. Le brave chien!
Jean prit alors les choses en mains. Il m'emmena et m'aida à faire un brin de toilette. Ensuite il me donna un coup de main à retrouver mes vêtements épars dans la salle, sauf le string qui resta introuvable, quelqu'un avait dû le ramasser comme trophée, puis il m'aida à m'habiller. Il me dit alors qu'il fallait vite quitter les lieux avant qu'une montée de testostérone ne redonne des envies à Bobby.
Ce qui fut fait.
Et me voici de retour. Voilà ce que j'avais à te dire, je ne peux pas t'expliquer ce qui c'est réellement passé en moi, pourquoi tous ces délires, pourquoi m'être identifiée autant à la femelle de ce chien? Mystère!
Incroyable! C'était totalement démentiel ce qu'elle venait de me raconter.
- Ma pauvre chérie! Je me doutais que ta journée n'allait pas être de tout repos, mais là, ça dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta particularité à sur-réagir à toute forme d'excitation sexuelle dès lors qu'il s'agit de circonstances exceptionnelles. C'est ainsi quand tu te trouves dans un groupe d'hommes qui commencent à t'exciter, bien vite tu perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t'amène aux excès qu'on a pu connaître dernièrement.
La différence avec le chien, c'est que là il s'agit d'une expérience inédite, un coït d'une nature inaccoutumée qui t'a remplie d'une façon extrême et excessive, d'où une jouissance à la mesure de ces excès qui a complètement déréglé ton esprit. Inconsciemment tu as alors fait un transfert de personnalité, de femme humaine, tu es passée à la chienne, la femelle de celui qui te montait. Comme une chienne qui ne se fait saillir que dans le but de procréer, puisqu'elle n'accepte le mâle que pendant les périodes où elle est fécondable, tu t'es sentie investie dans ce rôle normalement dévolu à cet animal: assurer une descendance à celui qui t'ensemençait. Maintenant je ne te cache pas que cela m'inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas chez toi! Tu me l'avais plus ou moins expliqué lors de ton retour de chez Gérard, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités. La première des choses à faire, c'est de surtout arrêter toute nouvelle expérience canine, tu finirais par en perdre la raison.
-  Tu crois? Pourtant j'ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c'est tentant d'y retourner.
- Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval! Et crois bien qu'un jour où l'autre ça risque de mal se terminer! Surtout si tu retentes l'expérience avec cette espèce de monstre, un jour il ne te laissera plus repartir. Et cette manie de te prendre le cou dans ses mâchoires, tu te rends compte s'il venait à serrer un peu trop fort? Ce genre de molosse ne sent pas sa force !
- Mais non! Tu exagères! Jamais il ne me fera de mal, il me considère comme sa femelle!
- Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau de tes parties génitales? Elles ont été tellement malmenées.
- Ben, ça pourrait aller mieux! J'ai la vulve distendue et endolorie, il me faudra quelques jours pour que tout redevienne normal.
- Tu veux que je te mette de la crème adoucissante?
- Si tu veux!
- OK! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j'arrive.
Je passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et partis la rejoindre.
Je la trouvai allongée. Je dégageai son peignoir et lui fis écarter les cuisses. Je pris une bonne dose de crème avec mes doigts et lui étalai sur la vulve qui était effectivement bien rouge. J'enduisis l'extérieur puis entrepris de lui en mettre également à l'intérieur.
Très vite, ce sont quatre doigts de ma main qui entrèrent sans difficulté à l'intérieur de son vagin. Il était complètement distendu. Je réunis mes doigts en cône, le pouce à l'intérieur, et poussai ma main en tournant et en rajoutant de la crème. Ma main avança sans difficulté, la partie la plus large disparut bientôt à l'intérieur et quelques instants plus tard, c'est ma main complète qui fut introduite. Cela se fit sans aucune difficulté. J'étais en train de fister ma femme sans qu'elle n'émette aucune plainte.
- Ça va?
- Oui! Oui!
De contempler ce moignon de bras sortir du sexe de mon épouse me provoqua un véritable délire sexuel. Encore plongé dans l'excitation cérébrale provoquée par l'écoute de ses dernières aventures du jour, l'érotisme de cette scène me déclencha une glorieuse érection. Je sortis ma main de ce fourreau brûlant et m'essuyai rapidement dans la serviette.
Puis je pris position entre la fourche des cuisses restées écartées et m'engouffrai dans ce sexe béant. La sensation fut des plus bizarres dans la mesure où je ne sentis pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulissait librement ma verge.
Mon épouse ne réagissait pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu'après ce qu'elle avait vécu aujourd'hui, ce n'est pas un sexe d'une taille même relativement enviable qui allait la faire monter au 7ème ciel. Par contre, en ce qui me concernait, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que de savoir que j'occupais la même place que celle qui avait été complètement envahie une bonne partie de l'après-midi par une énormité canine me mit en transes. Très rapidement je sentis le plaisir me monter des reins et je me déversai longuement dans ce pauvre sexe malmené.
J'avais donc accepté de succéder à un chien alors que j'avais refusé la veille de succéder à un homme!
Complètement épuisée par cette journée dont elle se souviendra longtemps, mon épouse dormait déjà. Je l'installai dans le lit et la recouvris avec drap et couvertures. Je lui déposai un baiser sur ses lèvres en lui souhaitant bonne nuit mais elle ne m'entendit pas.
Après avoir pris un léger repas, je partis à mon tour me coucher. 
A suivre... Oui... Encore


Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Trending Articles