Trois expériences de mecs
Des découvertes de soi.... Et des autres.
Bonnes ou moins bonnes...
Bandantes....
Des découvertes de soi.... Et des autres.
Bonnes ou moins bonnes...
Bandantes....
Mon ami Paul
Auteur : Jilli
Mon meilleur ami s’appelle Paul, nous nous connaissons depuis l’adolescence. Nous avons actuellement la quarantaine et nous sommes partis cet été là en vacances avec nos femmes dans un pays exotique. La situation politique n’y était pas entièrement sécurisée pour les touristes, ce qui ne nous empêcha pas lors d’une randonnée en 4/4 de sortir des sentiers battus.
Nous n’aurions jamais dû faire ceci car après nous être perdus, nous fûmes arrêtés par un groupuscule qui décida de nous retenir en otages. Nous croyions fermement en notre bonne étoile et pensions que cela ne durerait pas longtemps, ce qui s’avéra être exact. Nous étions à peu près correctement traités jusqu’au jour où l’un des chefs, qui nous tournait autour depuis un moment, vint dans notre cellule avec plusieurs hommes. Nous ne comprenions rien bien sûr à ce qu’ils disaient mais nous sentions la tension monter. L’un d’eux s’approcha de la femme de Paul et lui arracha la mince tenue qu’elle portait. Nous comprîmes alors le danger. Nous n’eûmes pas le temps d’aller prendre sa défense qu’on nous emmenait de force avec Paul dans un autre local.
Ce dernier fut poussé sans ménagement sur une table où il fut plié en deux. Le chef défit alors le pantalon de mon ami, exhibant ainsi son cul et je compris alors qu’ils voulaient que j’encule Paul. Menacé par une arme, je m’approchai sans parvenir à bander. Des renforts étaient arrivés pour nous contraindre. Un des hommes me prit par le visage et me força à ouvrir la bouche où il jeta une sorte de pilule qu’il me fit avaler. Les effets furent très rapides, je sentis une chaleur dans mon bas-ventre et ma bite se mit à durcir. Un autre me prit le sexe et le présenta devant l’orifice qui m’attendait. Ses cuisses et ses fesses musclées étaient fermes et couvertes de poil et chose étonnante, un début d’excitation me prit que je mis sur le compte du remède. Je crois que j’aurais pénétré n’importe quel trou et je m’enfonçai dans les chairs de mon copain.
Je l’ai ramoné plusieurs minutes, j’avais l’habitude de sodomiser ma femme et j’avais l’impression d’avoir les couilles très pleines. Pendant ce temps, le chef avait commencé à se branler juste devant le visage de Paul. Au bout de quelques instants, je jouis abondamment d’une façon que je n’avais jamais connue pendant que mon ami recevait plusieurs rasades particulièrement épaisses du sperme de notre geôlier sur la figure. Elles lui coulaient du front sur la joue, il en avait sur les lèvres et un autre homme s’amusa à lui étaler la semence.
Je fus retiré prestement du cul qui m’avait accueilli et on s’apprêtait à me mettre dans la position inverse pour que je connaisse à mon tour la sanction quand un cri strident retentit à côté. Les hommes nous laissèrent et nous eûmes la satisfaction de voir les forces de l’ordre venir nous libérer. Nos femmes n’avaient rien subi. Quant à Paul je compris qu’il avait été extrêmement choqué. Malgré notre amitié et bien que voisins proches, nous cessâmes presque entièrement de nous voir ce que tout le monde mit sur le compte de l’événement. Paul, tout comme moi, n’avait rien révélé de l’incident à qui que ce soit, même nos femmes.
Une année passa puis ce fut à nouveau l’été, sans projet de vacances communes. Et puis un soir du mois d’août, Paul m’invita à venir voir chez lui la reprise du championnat de France de foot. C’était sa femme qui lui avait suggéré, me dit-il, avant de partir le week-end chez sa mère avec leurs enfants. De mon côté ma femme était partie aider ma fille à emménager.
Arrivé chez Paul, je vis qu’il était tendu. Nous regardâmes le match assez tranquillement par rapport aux temps anciens. Une fois qu’il fut terminé ainsi que la magazine qui suivait, il y eut un temps mort. Je commençai à me sentir mal à l’aise et je me levai pour partir. Paul fit de même puis dans un souffle, il me dit qu’il pensait sans arrêt à ce qui nous était arrivé l’an dernier. Une fois ces mots dits, il se serra contre moi en m’enserrant dans ses bras. Je crus qu’il pleurait mais sentir son corps ferme contre le mien me donnait des picotements. Je revoyais alors ses fesses musclées. Moi aussi j’y avais pensé et repensé, et pas toujours sans excitation.
Il releva la tête pour me regarder dans les yeux et je vis alors qu’il n’y avait aucune larme mais de la lubricité. Paul me dit qu’il voulait recommencer. Je lui répondis sans réfléchir que je n’en avais pas envie. Il me traita de menteur et d’un coup, il me saisit la bite dans mon pantalon. C’est vrai que je bandais. Il me souffla qu’il avait envie de ma queue en lui tout de suite et me prit par la main. Le pire, c’est que je me laissai faire!
Une fois arrivés dans sa chambre, il se déshabilla. Son corps d’homme mûr était très séduisant. Il s’entretenait et il était magnifique, du muscle sans exagération, pas de graisse mais de la chair ferme et virile, pas encore touchée par l’âge. Il s’allongea sur le lit, sa bite circoncise était en semi érection; il se la touchait d’une manière qui m’excitait, je n’aurais jamais cru cela possible. Il prit une télécommande et un film porno gay apparut à l’écran. Plusieurs bandes-annonces se succédèrent. Paul se branlait doucement en me faisant signe de le rejoindre. Il se retourna sur le ventre et commença à onduler du bassin sur son lit les jambes écartées. L’appel était irrésistible! Je me déshabillai et m’allongeai à ses côtés.
Le problème était que je ne savais pas comment prendre en main les opérations. Il commença à me branler, mon sexe fut rapidement dur comme de la pierre. Je m’allongeai alors sur lui et pour faciliter la pénétration, je passai mon bras sous le ventre pour le soulever un peu. J’entrai petit à petit pour la seconde fois. C’était à la fois pareil et différent de la première. Paul gémissait et je sentis ma main qui était restée sous lui devenir humide. Il avait joui dès les premiers instants où je l’avais pénétré. L’excitation me monta à la tête et je me mis à le pilonner; il gémissait comme une chienne en chaleur. Je l’écrasai contre le lit en lui assénant trois bons coups de rein dont le dernier fut suivi par mon éjaculation.
Ç’avait été grandiose!
Il me proposa de prendre une douche avec lui, ce que j’acceptai. Rapidement, à coup de savon, nos deux queues se redressèrent fièrement et il me demanda de recommencer. Je m’exécutai. Quand je lui dis que j’allais à nouveau venir, il me fit me retirer et très rapidement, il se retourna en se positionnant à genoux devant moi. Il voulait que je lui éclabousse le visage. Je m’exécutai.
ne fois remis de nos émotions, nous retournâmes dans sa chambre. Le film défilait toujours. J’eus la surprise de constater que c’était une vidéo amateur sur laquelle je pouvais distinguer Paul, dans notre club de sport en train de se faire mettre par deux mecs en même temps, deux personnes que je connaissais bien d’ailleurs. Mon ami m’avoua que le voyage avait été une découverte et il me proposa de continuer ainsi...
Auteur : Jilli
Mon meilleur ami s’appelle Paul, nous nous connaissons depuis l’adolescence. Nous avons actuellement la quarantaine et nous sommes partis cet été là en vacances avec nos femmes dans un pays exotique. La situation politique n’y était pas entièrement sécurisée pour les touristes, ce qui ne nous empêcha pas lors d’une randonnée en 4/4 de sortir des sentiers battus.
Nous n’aurions jamais dû faire ceci car après nous être perdus, nous fûmes arrêtés par un groupuscule qui décida de nous retenir en otages. Nous croyions fermement en notre bonne étoile et pensions que cela ne durerait pas longtemps, ce qui s’avéra être exact. Nous étions à peu près correctement traités jusqu’au jour où l’un des chefs, qui nous tournait autour depuis un moment, vint dans notre cellule avec plusieurs hommes. Nous ne comprenions rien bien sûr à ce qu’ils disaient mais nous sentions la tension monter. L’un d’eux s’approcha de la femme de Paul et lui arracha la mince tenue qu’elle portait. Nous comprîmes alors le danger. Nous n’eûmes pas le temps d’aller prendre sa défense qu’on nous emmenait de force avec Paul dans un autre local.
Ce dernier fut poussé sans ménagement sur une table où il fut plié en deux. Le chef défit alors le pantalon de mon ami, exhibant ainsi son cul et je compris alors qu’ils voulaient que j’encule Paul. Menacé par une arme, je m’approchai sans parvenir à bander. Des renforts étaient arrivés pour nous contraindre. Un des hommes me prit par le visage et me força à ouvrir la bouche où il jeta une sorte de pilule qu’il me fit avaler. Les effets furent très rapides, je sentis une chaleur dans mon bas-ventre et ma bite se mit à durcir. Un autre me prit le sexe et le présenta devant l’orifice qui m’attendait. Ses cuisses et ses fesses musclées étaient fermes et couvertes de poil et chose étonnante, un début d’excitation me prit que je mis sur le compte du remède. Je crois que j’aurais pénétré n’importe quel trou et je m’enfonçai dans les chairs de mon copain.
Je l’ai ramoné plusieurs minutes, j’avais l’habitude de sodomiser ma femme et j’avais l’impression d’avoir les couilles très pleines. Pendant ce temps, le chef avait commencé à se branler juste devant le visage de Paul. Au bout de quelques instants, je jouis abondamment d’une façon que je n’avais jamais connue pendant que mon ami recevait plusieurs rasades particulièrement épaisses du sperme de notre geôlier sur la figure. Elles lui coulaient du front sur la joue, il en avait sur les lèvres et un autre homme s’amusa à lui étaler la semence.
Je fus retiré prestement du cul qui m’avait accueilli et on s’apprêtait à me mettre dans la position inverse pour que je connaisse à mon tour la sanction quand un cri strident retentit à côté. Les hommes nous laissèrent et nous eûmes la satisfaction de voir les forces de l’ordre venir nous libérer. Nos femmes n’avaient rien subi. Quant à Paul je compris qu’il avait été extrêmement choqué. Malgré notre amitié et bien que voisins proches, nous cessâmes presque entièrement de nous voir ce que tout le monde mit sur le compte de l’événement. Paul, tout comme moi, n’avait rien révélé de l’incident à qui que ce soit, même nos femmes.
Une année passa puis ce fut à nouveau l’été, sans projet de vacances communes. Et puis un soir du mois d’août, Paul m’invita à venir voir chez lui la reprise du championnat de France de foot. C’était sa femme qui lui avait suggéré, me dit-il, avant de partir le week-end chez sa mère avec leurs enfants. De mon côté ma femme était partie aider ma fille à emménager.
Arrivé chez Paul, je vis qu’il était tendu. Nous regardâmes le match assez tranquillement par rapport aux temps anciens. Une fois qu’il fut terminé ainsi que la magazine qui suivait, il y eut un temps mort. Je commençai à me sentir mal à l’aise et je me levai pour partir. Paul fit de même puis dans un souffle, il me dit qu’il pensait sans arrêt à ce qui nous était arrivé l’an dernier. Une fois ces mots dits, il se serra contre moi en m’enserrant dans ses bras. Je crus qu’il pleurait mais sentir son corps ferme contre le mien me donnait des picotements. Je revoyais alors ses fesses musclées. Moi aussi j’y avais pensé et repensé, et pas toujours sans excitation.
Il releva la tête pour me regarder dans les yeux et je vis alors qu’il n’y avait aucune larme mais de la lubricité. Paul me dit qu’il voulait recommencer. Je lui répondis sans réfléchir que je n’en avais pas envie. Il me traita de menteur et d’un coup, il me saisit la bite dans mon pantalon. C’est vrai que je bandais. Il me souffla qu’il avait envie de ma queue en lui tout de suite et me prit par la main. Le pire, c’est que je me laissai faire!
Une fois arrivés dans sa chambre, il se déshabilla. Son corps d’homme mûr était très séduisant. Il s’entretenait et il était magnifique, du muscle sans exagération, pas de graisse mais de la chair ferme et virile, pas encore touchée par l’âge. Il s’allongea sur le lit, sa bite circoncise était en semi érection; il se la touchait d’une manière qui m’excitait, je n’aurais jamais cru cela possible. Il prit une télécommande et un film porno gay apparut à l’écran. Plusieurs bandes-annonces se succédèrent. Paul se branlait doucement en me faisant signe de le rejoindre. Il se retourna sur le ventre et commença à onduler du bassin sur son lit les jambes écartées. L’appel était irrésistible! Je me déshabillai et m’allongeai à ses côtés.
Le problème était que je ne savais pas comment prendre en main les opérations. Il commença à me branler, mon sexe fut rapidement dur comme de la pierre. Je m’allongeai alors sur lui et pour faciliter la pénétration, je passai mon bras sous le ventre pour le soulever un peu. J’entrai petit à petit pour la seconde fois. C’était à la fois pareil et différent de la première. Paul gémissait et je sentis ma main qui était restée sous lui devenir humide. Il avait joui dès les premiers instants où je l’avais pénétré. L’excitation me monta à la tête et je me mis à le pilonner; il gémissait comme une chienne en chaleur. Je l’écrasai contre le lit en lui assénant trois bons coups de rein dont le dernier fut suivi par mon éjaculation.
Ç’avait été grandiose!
Il me proposa de prendre une douche avec lui, ce que j’acceptai. Rapidement, à coup de savon, nos deux queues se redressèrent fièrement et il me demanda de recommencer. Je m’exécutai. Quand je lui dis que j’allais à nouveau venir, il me fit me retirer et très rapidement, il se retourna en se positionnant à genoux devant moi. Il voulait que je lui éclabousse le visage. Je m’exécutai.
ne fois remis de nos émotions, nous retournâmes dans sa chambre. Le film défilait toujours. J’eus la surprise de constater que c’était une vidéo amateur sur laquelle je pouvais distinguer Paul, dans notre club de sport en train de se faire mettre par deux mecs en même temps, deux personnes que je connaissais bien d’ailleurs. Mon ami m’avoua que le voyage avait été une découverte et il me proposa de continuer ainsi...
À 17 ans, j'avais une bande de camarades de tous poils un peu zonards mais on s'entendait bien jusqu'à ce qu'un jour de juin, aux premiers jours de vacances je me suis retrouvé à me baigner avec eux et qu'ils commencent à déconner, à tirer sur les maillots pour les faire glisser. Très timide de ce côté-là, je m'étais planqué dans un petit creux de rocher en attendant qu'ils arrêtent quand un des potes m'a découvert et surtout, a vu que je les matais en douce, la main dans le maillot.
— Hé, hé ! Petit vicelard ! Tu aimes voir mais t'as la frousse qu'on voit que tu bandes ?
Il m'a chopé par le cou jusque devant les autres à qui il a tout raconté. Ils m'ont baissé le maillot, ont rigolé de voir ma petite teub débandée mais encore baveuse. J'ai crié mais eux rigolaient, me traitaient de fofolle, de pédé, de refoulé. Le plus excité m'a passé les doigts entre les fesses. Il me frottait, j'ai pas pu m'empêcher de bander comme un fou en leur criant d'arrêter. Mais plus je criais et plus eux s'excitaient, ils voyaient bien que je bandais et j'étais pas le seul.
— Allez, tu suces un mec et on te laisse tranquille.
— Vous êtes fou ! J'ai jamais fait ça moi.
— Bah faut bien commencer, allez choisi !
Ils ont tous baissés leurs maillots, rigolards. J'avais le mien au bas des cuisses sinon je me serais échappé en courant ! J'ai fait non de la tête mais y en a un qui m'a tiré sur sa queue.
— Suce moi puisque t'arrive pas à choisir !
Il avait encore la queue humide de flotte mais il me la plaquait sur la bouche !
— Allez ouvre-la et suce!
J'ai fini par ouvrir la bouche dessus.
— Allez resserre les lèvres! Suce bien! Pompe-moi, je veux sentir ta langue sur mon gland!
J'avais la honte devant tous les potes mais je bandais quand même. J'ai aspiré son sexe, branlé avec mes doigts, il gémissait.
— Oui mec!!! Tu fais ça bien! T'es doué!
Il grognait. Il m'a attrapé le visage et sa queue a eu un sursaut en m'envoyant son jus. Je me suis reculé mais j'en ai pris plein le visage. Ça a donné des envies aux autres.
— Reste à genoux!
Ils ont commencé à se branler les uns après les autres sur moi. J'ai fermé les yeux, mais je crois qu'ils ont tous joui sur mon visage. Ils m'on retiré mon maillot et m'ont foutu à l'eau.
— Va te laver, pédé !
Ils attendaient sur le bord. Quand j'ai été fatigué, je suis sorti, j'avais froid, ma queue avait dégonflé.
— Bon, reviens demain...
Ils se sont barrés, j'ai découvert mon maillot tout gluant et découpé entre les jambes! Les salauds! J'ai remis mon fute direct et suis rentré comme ça.
Le lendemain, il faisait aussi chaud et c'est un des potes qui est passé me chercher. Ma mère était là, je pouvais pas lui expliquer pourquoi je ne voulais pas aller me baigner!
— Allez-y les enfants, j'ai encore du travail.
J'ai mis mon ancien maillot et mon jean pour suivre mon pote.
— Faites pas les cons cette fois ok!
— Mais non! Allez, dis pas que t'as pas aimé! Viens par-là, on a trouvé un autre endroit plus cool.
Je l'ai suivi, méfiant quand même et ça a pas raté, ils me sont tombés dessus.
— Aller la fiotte, à poil!
Ils m'ont dessapé, ils me tenaient en croix, je me débattais mais contre 8 mecs, je pouvais rien faire. Un des plus grand est passé entre mes cuisses, a mis un truc gras entre mes fesses et a forcé. J'ai gueulé mais son doigt était bien planté, il me lubrifiait l'anus.
— Bouge pas comme ça! Tu finiras par aimer comme les filles que j'ai eues par le cul!
Il a enfilé une capote et j'ai senti sa queue forcer mon conduit. J'en chialais mais ça l'a pas arrêté. Il a été bien au fond de moi et a commencé à limer mon trou. De la main, il caressait ma queue. Je couinais mais j'ai assez vite changé de ton, de cris.
— Bien! Tu vois! T'es fait pour la bite des mecs, toi.
J'avais pas trop vu son sexe, il me ramonait comme il avait dû ramoner une fille.
— Les mecs, je crois que Manu aime ça! Et bien en plus! Il fait pas semblant! Lachez-lui les pieds, tenez encore ses poignets.
Je couinais. Il a mis mes mollets sur ses épaules, il me donnait de grands coups de queue.
— Allez, dis-moi que t'aimes ça la bite des mecs! Dis-le, petite salope!
Je pouvais pas lui mentir, je le sentais bien en moi.
— Oui ! Ça fait du bien!
Il a rigolé.
— Bon, je vois que t'as compris, tu viendras chaque jours nous vider les couilles, comme on voudra! Ok Manu?
— Oui ok.
Il s'est retiré, a enlevé la capote, m'a joui sur les couilles.
— Allez, branle toi! Montre que t'as aimé!
J'ai pas trop hésité et je me suis branlé, envoyant mon jus loin sur moi.
— Bon demain tu suceras un autre en même temps que tu en auras un dans les fesses! On va faire de toi notre salope de vacances.
Bon une fois ok, je peux pas dire que j'avais pas aimé mais là, il allait loin! Il a pris mon vieux maillot pour s'essuyer la queue. Il m'a vu fixer sa queue, surpris. Elle n'était pas si grosse que je l'avais cru dans mes fesses.
— Et si tu t'en prenais une autre de suite, pour voir si t'es vraiment comme je crois : une bonne lopette? Choisis! Regarde et choisis celle que tu vas satisfaire!
Les salauds étaient tous raides, se branlaient doucement. J'ai approché d'une autre bite, juste un peu plus longue, me suis agenouille devant, je l'ai tétée comme un veau et il s'est allongé. Je suis monté sur lui, j'avais encore l'anus lubrifié et il est entré sans problèmes. Je l'ai laissé donner ses coups de reins en moi, je bandouillais doucement. Il s'est retiré juste au moment où il a lâché son jus, m'a arrosé le cul avec.
— Bon je vois que t'y prend goût! Mais tu sais les vacances sans fric c'est pas évident! Demain, c'est moi qui passe te chercher, mets qu'un petit short, tu vas nous rapporter un peu de blé pour qu’on puisse rigoler ensemble! Nous on te saute pour le fun, là il faudra le faire pour le fric! Allez, à la flotte les mecs.
Il faisait vraiment chaud, j'ai sauté dans l'eau, nu. Je me suis tâté la rondelle, bof, pas si terrible que ça! Même plutôt bon.
Dommage que je sois hébergé par un râleur!
Lopé par mon pote
Auteur : Manuel
Bonjour. J'ai eu cette expérience il y a 3 ans et j'ai depuis été forcé de déménager. Vous allez comprendre pourquoi...
Je vivais tranquillement ma vie de jeune homo sans trop de problèmes. J'étais assez mignon pour faire le choix de mes mecs de rencontre et tout allait bien jusqu'à ce qu'une sorte de vague à l'âme me pousse à essayer une expérience de vie commune avec un jeune mec superbe, dont les goûts se rapprochaient très fort des miens. Tour à tour, nous jouions les passifs soumis ou les actifs domis et il avait un léger avantage question taille de son sexe, mais pas de beaucoup.
Un vendredi où je suis rentré du taf, il m'attendait en string noir, allongé sur le canapé, et j'ai foncé sous la douche, la journée ayant été chaude. Je suis revenu nu et me suis collé à lui tout excité, le forçant à se mettre en grenouille pour que je me frotte la queue contre son string qui n'a pas tardé a déborder. J'ai soulevé son bassin pour m'attaquer à ce qui dépassait ; dans cette position, j'avais le gland qui frottait sa rondelle et la ficelle du string.
— Attends! J'aime bien quand tu prends ton temps!
Il était gentil mais je venais de me taper une journée de taf et j'avais envie ! Là, de suite! J'ai un peu repoussé la ficelle et j'ai poussé entre ses fesses. Il a commencé à onduler pour que je le pénètre bien. Tout en le suçant, j'ai limé son petit cul doucement, alternant les coups très doux et les coups secs et rapides dans ses reins. Ce petit salaud adorait ça sans problème, je me suis retiré pour lui gicler sur les fesses.
À ce moment-là, d'habitude, il prenait l'initiative, ce qui n'a pas manqué.
— Mets-toi sur le dos, je vais te mettre la barre entre les pieds que tu restes bien les fesses écartées!
Il m'a mis des menottes de chevilles et a installé la barre.
— T'aimes ça te faire dominer?
— Comme si tu le savais pas!
Il m'a roulé une pelle en me mettant le collier et a attaché l'anneau du collier au centre de la barre. Il avait raccourci la chaîne et j'étais recourbé en avant, les fesses grandes ouvertes. Il a attaché chacun de mes poignets aux montants du lit.
— Tu sais, comme ça t'es vraiment à disposition!
Il a été chercher le gode de nos jeux érotiques, me l'a fait sucer et saliver dessus avant de l'introduire dans mes fesses. Il jouait avec moi et mon cul comme j'aimais et je bandais à fond.
— À moi maintenant!
Il a retiré le gode et s'est introduit dans mon trou, me fixant dans les yeux. Y a pas de doutes, il savait ce que j'aimais et j'ai commencé à haleter sous ses coups de reins de plus en plus longs et violents.
— Tu aimes ça ma queue dans le cul!
Il était en sueur de me sauter, sûrement pas loin de jouir quand ça a sonné à la porte d'entrée.
— Merde! Attends, je vais voir.
Il a enfilé un peignoir et est allé mater par l'œilleton de la porte. Il est revenu fermer la porte de la chambre pour aller ouvrir. Ça doit être des jeunes pour une quête!
— Bouge pas.
J'ai souri, de toute façon je pouvais pas bouger comme ça!
Il leur a ouvert, j'entendais à travers la porte, effectivement les voix étaient toutes jeunes.
— C'est pour la kermesse de l'école, pas besoin de donner grand-chose mais vous êtes invités comme tous ceux qui donnent quelque chose.
Il a rigolé.
— Je suppose que les dons en nature sont pas autorisés?
— Heu non m'sieur.
— Bon attendez, je vais voir ce que je peux vous donner.
Il a ouvert la chambre, est venu fouiller dans mes poches, pas gêné, il m'a souri. Et j'ai eu la honte de ma vie! Dans la glace de l'armoire, je voyais un des jeunes qui me fixait! Mon pote est retourné lui donner un peu de fric, il a vu que le jeune se tripotait à côté de son pote! Il s'est retourné, m'a souri dans la glace.
— Ha, c'est ça qui vous gêne?
— Non non.
— Vous avez jamais vu de soumis homo attaché?
— Heu non.
— Bah il vous mordra pas! Venez voir.
Il est revenu vers moi et a ouvert le peignoir.
— Tu mords pas les bites hein?
J'ai grogné un non.
— Allez, montre leur comme t'aimes la queue! Suce-moi!
Il a avancé sur mes lèvres et je l'ai sucé, je bandais comme rarement j'ai bandé! À en avoir mal. De temps en temps, je les apercevais qui se branlaient à travers leur poche.
— Vous gênez pas les mômes! Sortez-la plutôt que de vous branler dans vos poches! Il va pas vous manger! Quoique si vous avez envie, il suce bien !
Les jeunes ont sorti leur bites du froc, sûr que c'était pas encore immense mais bon, déjà bien raide!
— Approchez! Vous pouvez le toucher où vous voulez. Il peut rien faire et en plus ça l'excite!
Il a fait claquer ma bite sur le ventre.
— Matez un peu ce cul! J'étais en train de m'en occuper quand vous avez sonné! Ça vous tente pas? Y a des capotes dans la table de nuit. Vous gênez pas!
Il a retiré sa queue de ma bouche.
— T'as envie hein? Des bites toutes neuves pour toi!
J'ai grogné un oui et il m'a remis sa queue à pomper. Le plus vieux a palpé mes couilles et ses doigts sont passés sur mon trou. Visiblement, il avait envie mais hésitait. Le plus jeune a chopé sa queue, l'a branlée.
— Vas-y! Encule-le, que je te vois faire!
Cette fois il a mis une capote et s'est planté dans mon cul. Bien plus fin que mon pote, il est entré tout seul à fond. Mon pote se faisait pomper cool, m'a chopé la queue, l'a branlée. Il tirait à fond sur le prépuce et le remettait en place, un peu comme on traie une vache.
— Mate ça! Il adore se faire mettre par des mômes! Dès que ça bande, il a envie de la bite!
Le plus jeune matait de tout près, et mon pote lui a laissé ma queue.
— Vas-y, branle la!
Je pompais mon pote en poussant des gémissements. C'est vrai que j'aimais ça! Et d'être comme ça à leur merci n'a pas tardé à faire jaillir mon foutre sur mon ventre. Tout s'est enchaîné, mon pote dans la bouche et sur les lèvres, et le mec dans mes fesses, dans la capote. Le plus jeune lui a attendu un peu et s'est juste branlé devant ma gueule ouverte pour m'asperger le visage de son jus de mec.
Ils sont sortis avec mon pote.
— Alors les mecs? C'est pas mal une lope comme ça non?
— Oui évidemment, heu, on peut... et il a chuchoté à l'oreille de Marc qui a éclaté de rire.
— Bien sûr! Bonne idée! Ok.
Il les a fait sortir, est revenu me voir, tout sourire.
— T'as pris ton pied hein?
— Oui j'ai bien aimé.
— Ok tant mieux!
Il m'a détaché et m'a repris, encore tout excité, comme moi, et on a joui encore.
Pendant 15 jours j'ai pensé de temps en temps à ce petit mec et il était devenu un de mes fantasmes de branle quand je me branlais seul sous la douche. Sauf qu'un soir, en rentrant, mon pote m'attendait avec une enveloppe à la main.
— Tiens! Lis, j'ai trouvé ça dans la boîte aux lettres.
— Mais! C'est une invitation pour une kermesse?
— Ben oui, tu te rappelles les minets?
J'ai piqué un fard, oui évidemment!
— On est invité tous les deux. Et regarde au dos.
J'ai tourné et j'ai lu écrit à la main: Y'a des potes qui ont besoin d'une lope pour se vider.
— Mais... ils sont fous!
— Bah, pas tant que ça!
Il a palpé mon fute.
— En tout cas ça te fait de l'effet! Je suis sûr que de te faire mettre par quelques minets, c'est ça qui te fait bander.
— On a le temps, c'est pour dans 3 jours leur kermesse.
— Mais cette fois, puisque ça t'excite tant que ça, il faut que ta marchandise soit impeccable!
— Heu, tu veux dire quoi là?
— Ben allons, que tu sois nickel, rasé de frais, devant et derrière, qu'ils sachent comment tu aimes et comment tu te donnes!
— T'es dingue.
Mais faut reconnaître que ça m'excitait vraiment! Il avait raison. Ce soir la on a fait l'amour comme des fous, plusieurs fois, à en avoir mal au gland à force de suce et de lime. Quand on s'est trouvé sous la douche, Marc m'a dit qu'il allait me raser le cul et le sexe et que le dernier soir, il utiliserait de la crème épilatoire pour que je sois bien lisse.
— Allez, appuie-toi au mur et tends tes fesses!
— Humm oui! Il a barbouillé mes fesses de mousse et j'ai senti le rasoir passer et insister jusqu'entre mes fesses, au plus près de mon trou.
— Tourne-toi que je fasse devant.
Il a rigolé de voir ma queue raide.
— Salope, ça t'excite hein! Allez tends toi en avant et écarte que je rase bien, même sous les couilles.
Là encore, il a enduit ma queue et mes couilles de mousse et il a passé le rasoir. Pour la première fois depuis très longtemps, j'étais comme un môme mais raide comme un fou! Il a rincé bien partout. J'ai vu dans ses yeux l'envie et je me suis penché sur sa queue, il bandait comme un fou à nouveau et n'a pas été long à m'asperger le fond de la gorge de son nectar.
— Allez au lit et plus rien avant vendredi ou je te mettrais la crème! Et demain j'ai pris rendez-vous pour une prise de sang que tu leur amèneras. Donc à jeun au taf. Tu pourras toujours prendre un café après. Et la veille tu mangeras rien, le matin de la kermesse, je te ferai un lavement que tu sois impeccable!
— Hé dis donc Marc! Tu commences à faire un vrai domi!
— Et alors? Ça te déplais pas à voir tes réactions!
— Oui, j'aime bien.
Je l'ai embrassé et on s'est endormi comme des bébés
Les 3 jours ont passés à toute vitesse, alternés de moments où je stressais et d'autres où je me sentais excité. La veille, Marc avait étalé une couche de gel épilatoire et je suis resté les reins soutenus par un coussin, cuisses ouvertes, le temps que ça agisse. Il a raclé le gel et je suis allé prendre ma douche, ma main glissait sur ma peau !
Le matin de la kermesse, Marc m'a fait un lavement et j'ai dû attendre le plus possible avant de me vider. Depuis des jours, il m'avait mis à la diète et j'étais comme une levrette, prête pour la course.
En sortant de la douche, Marc avait mis sur le siège à côté la tenue qu'il pensait idéale : un short de sport assez large, fin mais court, et il avait découpé le slip intérieur. Des mini chaussettes avec mes skets et un sweat complétaient l'ensemble. Il attendait que je sorte, m'a détaillé des yeux et a passé la main par une jambe du short pour palper ma queue.
— Très mignon comme ça! Une vraie pub pour homo ! Allez, viens !
Dehors il y avait un petit vent qui passait à chaque pas entre les jambes du short et me faisait frissonner. J'avais la sensation de pratiquement être nu, juste le nylon du short qui frottait sur ma queue.
— Passe devant que je te voie de dos.
Il m'a laissé avancer un peu dans le soleil.
— T'es superbe! On voit pratiquement tout par transparence!
Le gymnase où avait lieu la kermesse n'était pas très loin et plus j'avançais, plus j'hésitais. Marc l'a senti et m'a mis la main sur l'épaule pour me pousser doucement. Il y avait déjà du monde mais j'ai repéré de suite les deux qui étaient passés à la maison. Ils ont salué Marc, j'ai senti le frôlement d'une main sur mes fesses à travers le tissu.
— Venez, on a prévu un espace fermé derrière. On sera tranquille.
On a traversé la salle, je voyais des yeux de jeunes qui me détaillaient, s'arrêtaient un moment sur mes fesses. Ça fait tout drôle de se sentir comme ça, jugé comme par des mecs, surtout si jeunes.
Le mec a ouvert une porte, elle donnait sur un vestiaire inutilisé pour la kermesse avec des bancs et des potences pour les vêtements. Il n'a pas tenu très longtemps avant de passer la main sous mon short.
— Hummm épilé ?
Marc a souri.
— Oui il a envie de plaire.
— Il va falloir faire mieux que ça ! On a envoyé des mails et des SMS. Il devrait y avoir du monde !
— Allez ! Toi, mets-toi sous les crochets à vêtements.
Il est allé chercher de la corde, m'a attaché les deux pieds à deux crochets, cuisses écartées.
— On va faire quelques photos souvenirs.
Il a sorti son appareil et m'a flashé avec le short. Il y eut des petits coups à la porte et 5 mecs sont entrés, m'ont maté en souriant mais ont chopé Marc, pour le plaquer le ventre sur les bancs. Ils ont fait des tours de corde autour de lui. Il se débattait mais contre 5 ! Il a été assez vite ficelé. Je l'ai regardé, il faisait la gueule, devait pas du tout avoir prévu ça.
— Bah, il en faut pour tous les goûts.
Le plus vieux a défait la ceinture de Marc, lui a baissé la ceinture et le fute. Il a peloté son cul à travers le slip.
— Ouais, toi aussi je suis sûr que tu dois aimer la queue ! Bon on va s'organiser. Y aura tout le temps deux mecs pour vous surveiller et deux ou trois pour vous baiser, plus moi pour prendre des photos de vous, de vos trous à bites.
Marc a gueulé, ça les a fait sourire.
— Allez, ferme la, tu vas aimer, comme ton pote !
Je ne disais rien. J'ai juste entendu, entre mes cuisses, le tissu craquer et des doigts fouiller mon cul.
— Ouais ! Génial, il a une vraie petite chatte rasée ! Elle se dilate bien ! On va faire entrer les plus jeunes en premier, qu'il soit pas encore éclaté pour eux !
La porte s'est ouverte sur trois mecs de 16/17 ans, tous rouges de voir deux mecs dans nos tenues, sans défense.
— Putain les salopes ! On les prend où on veut ?
— Oui. Le rasé, bouche ou cul, on a son certificat, il est sain. L'autre, avec capote pour le cul et sans pour la gueule.
J'ai eu aussitôt une bite dans la bouche à lécher et sans même voir la queue, une autre s'enfonçait dans mon cul. Ils m'ont limé , à grands coups rapides, ça n'a pas duré longtemps pour qu'ils se soulagent. J'entendais Marc grogner dans son coin et quand le mec s'est retiré de ma bouche, je ne voyais que les fesses du jeune qui le défonçait comme un fou.
Ils se sont marrés en sortant, aussitôt remplacés par trois autres. Le mec a répété les consignes et j'ai eu le temps de voir les trois bites. Pas mal montés les gamins! J'ai eu qu'une queue qui s'est enfoncée dans ma bouche, au ras des couilles, à me donner des haut-le-cœur. J'ai tenu le coup et il s'est vidé en massant mon cou, comme s'il se branlait. Là encore, j'ai vu les fesses du jeune remuer à la cadence de ses coups de reins, j'entendais à peine les grognements de Marc sauf à la fin, quand le mec a retiré sa queue de sa bouche pour lui gicler sur le visage.
Les mecs se sont succédés les uns après les autres, j'étais largement le plus choisi, sûrement parce que je n'avais pas un poil entre les jambes. En plus, je bandais comme un fou et ça les excitait. Y'en a eu un ou deux qui ont joué avec ma queue et mes couilles, surtout en tirant dessus, ou sur la peau pour voir encore mieux mon gland. L'avant de mon short était relevé sur mon ventre, me laissant bien exposé. Marc lui a eu presque de suite le slip éclaté par un coup de cutter et les mecs le bourraient des deux côtés.
On s'est fait tourner comme de vraies lopettes, entrecoupé de flash sur les tronches ou sur nos culs. Les mecs changeaient. La taille des bites aussi, je ne sais pas combien de bites j'avais servi mais celles que je voyais maintenant étaient de belles et grosses queues ! Indifféremment, je devais avaler ou recevoir le jus sur la gueule ou dans le cul. Marc lui, gueulait, comme il n'était pas lubrifié par le jus de mec, ça devait lui chauffer le cul !
À la fin, le mec à l'appareil photo qui était sorti un moment est revenu. Il a montré des clés à Marc.
— On a fait des doubles de chez toi et de chez ta salope. On passera vous voir de temps en temps. Dès que vous rentrez, tu te fais raser comme l'autre et à chaque fois que vous êtes chez vous, vous restez à poil ! On veut pas perdre de temps quand on passe ! Ok ?
Marc à fait la gueule mais bon.
— Oui, ok.
Le mec a sorti sa queue et s'est branlé sur nous, nous a arrosé de jus sur les fringues.
— Je vous détache, barrez-vous et rappelez-vous : à poil et rasés !
On a tenu six mois et on a fini par déménager, chacun de notre côté!