Sa promotion n'éteint pas la libido de notre Maryse.
Au contraire... et qui en profite..?
Au contraire... et qui en profite..?
Maryse, naissance de la perversion
Suite VI
Maryse est surprise. Elle s'attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace.
— Quelle sera ma position hiérarchique sur ces dossiers ? Est-ce que M. Ribière m'accompagnera ?
M. Turvan répond sans hésitation :
— Vous êtes maintenant responsable au même titre que M. Ribière. Vous me ferez des rapports réguliers et j'attends de vous et de M. Ribière un travail d'équipe. Si vous avez besoin de conseils dans votre nouveau poste, je pense que M. Ribière se fera un plaisir de vous conseiller. Mais je suis sûr que vous avez la finesse et le doigté pour mener à bien vos futures missions.
Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s'attendait pas à ça. Il a failli protester mais s'est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes.
Tout son plan tombe à l'eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s'en veut mais n'y peut plus rien. Il perd un peu de son assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.
Maryse est extrêmement fière et heureuse.
Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu'elle s'organise pour les enfants avec son mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans son bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec son mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale.
Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d'excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu'il l'accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l'ordre de passer le chercher à la date convenue.
Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants sont très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. son mari se fait même câlin et lui fait l'amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n'est pas tout à fait présente.
Une partie d'elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu'il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu'elle a vécus dernièrement et à ceux qu'elle va vivre bientôt.
La veille de son déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l'hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres.
Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la maison, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l'allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu'à la déchetterie pour prendre M. Francis.
Elle se gare devant son logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d'entrer. Il l'attend dans son canapé usé. son matériel est prêt. Il ne se sépare plus de son ordinateur et de son appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d'un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire.
son attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s'est déroulée l'entrevue avec son directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l'intention de lui faire subir.
Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d'un panneau annonçant une aire d'autoroute, M. Francis lui dit de s'arrêter pour qu'il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu'il veut qu'elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques véhicules, mais personne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d'adrénaline la traverser alors qu'elle se décide à lui obéir.
Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu'il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c'est chaque fois plus fort qu'elle. La décharge d'émotions contradictoires l'empêche de garder le contrôle. Elle a peur d'être surprise par un inconnu et pourtant la situation l'excite énormément.
— Sors ma bite et tiens-la pendant que je pisse !
Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir son pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu'il se libère. Elle est surprise par la pression de l'urine, le jet éclabousse d'abord le bord de la cuvette avant qu'elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme sonnée par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s'asseoir sur la cuvette, ce qu'elle fait avec empressement tant elle est excitée.
Sans ménagement, il lui enfonce son sexe dur dans la bouche. Elle n'a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur.
Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu'il peut. Elle salive énormément autour de son sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s'enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu'elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l'envahissent. Elle ne peut faire autrement que d'avaler le liquide gluant et chaud.
Il se retire enfin sans qu'elle arrête de serrer son sexe avec ses lèvres. Il sort alors son appareil photo pour immortaliser l'instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l'intensité de la situation.
Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d'un homme dont le sourire en coin montre qu'il a deviné ce qui s'est passé dans cette cabine. Comme si cela n'était pas suffisant elle l'entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation mêlée de plaisir. Elle n'ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai.
Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l'hôtel, ils se rendent à l'accueil. Une femme d'une trentaine d'année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l'accompagne jusqu'à sa chambre au second étage.
Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de son amant. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s'est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion.
Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que son charme et sa nouvelle assurance y sont pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s'enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l'équipe mais refuse gentiment en leur disant qu'ils ne sont vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l'équipe sont déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d'accepter alors que M. Francis l'attend. Elle se demande ce qu'il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu'il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n'est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites.
Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l'attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu'une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau.
Elle l'interroge du regard, mais visiblement il n'y a rien à dire de plus. Elle sait qu'il va lui faire vivre une séance d'exhibitionnisme. Elle sent son sexe s'humidifier à cette idée alors qu'elle se rend compte qu'elle n'a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire.
Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d'une musique lancinante qu'elle imagine. Elle se tourne pour qu'il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève son chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent son sexe s'humidifier de plus en plus alors qu'elle s'effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts.
Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons sont dressés par l'excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l'appareil photo. Elle n'a plus de complexes devant l'objectif. Elle sait qu'elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos.
Certains d'entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l'a excitée.
Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu'elle a rencontré M. Francis et plus c'est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l'envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils sont vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et son dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière.
M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l'aider à enfiler son corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu'à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu'apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l'une de ces pin-up des années 50.
Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de son intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu'elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l'idée des sensations qu'elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy.
M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d'accueil sous le regard amusé de l'hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C'est lui qui conduit.
Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s'arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer son manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d'excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s'approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas.
C'est une chose de se montrer devant une caméra, mais c'est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent son ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. son sexe s'humidifie alors qu'elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s'approche plus près, lui aussi sort son sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu'elle puisse les entendre.
La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent son corps, s'attardant sur ses seins et son sexe trempé. Elle les entend lui dire qu'elle est magnifique, que c'est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur son corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se sont joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum.
Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur son corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse.
L'un d'eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers son sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans son vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges.
Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s'écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l'explorent.
D'autres mains viennent profiter de son corps. L'un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu'elle le touche à l'intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse.
Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de son masseur. Après quelque temps, les vitres sont maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu'au parking de l'hôtel où il se gare dans un coin sombre.
En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de son pantalon, elle se réjouit à l'idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s'accroupit devant lui pour lui sucer son sexe tendu au maximum par l'excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu'elle a l'air d'une prostituée, cette idée l'excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de son sexe en bouche, manquant parfois de s'étrangler.
Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l'excitation. Il s'approche et présente son sexe dur sur son anus. Elle aime tellement qu'il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s'entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène.
Elle a perdu toute retenue, mais elle n'a pas le temps de penser plus. Le sexe, d'une poussée, se retrouve au plus profond de son ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s'écraser contre son sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher pour son plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui plaîtmême si une part d'elle aurait été révoltée il n'y a pas si longtemps. Elle sent son pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la pression des pénétrations. Son petit trou doit être distendu.
Ses seins sont écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec force en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit aussi avant de s'affaler sur le capot.
Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l'intensité de la situation. Elle sent le sperme s'écouler de son petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu'au hall d'accueil. Ils passent devant l'hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n'ose pas la regarder, la honte l'envahit en-même temps qu'un délicieux sentiment de satisfaction.
Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n'en revient pas. Elle s'est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis.
Quand elle sort de la douche, c'est pour le retrouver devant son ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur son site et il lui dit qu'il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s'empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l'ordinateur, habillée d'une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l'excitent sont les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu'elle en ait honte.
Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s'attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu'elle éprouve, mais elle n'en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.
oooOOoo
Un soir, elle décide de prendre les choses en main pour pimenter sa vie de couple. Elle envoie ses enfants chez ses parents pour le week-end. Elle s'apprête pour exciter son mari en s'habillant d'une courte jupe volante, d'un haut moulant, en omettant de mettre des sous-vêtements. C'est dans cette tenue qu'elle reçoit son mari qui rentre des courses. Il lui raconte ses aventures au marché d'un débit inlassable. Il a rencontré un tel qui est malade, et la commerçante... Blablabla... Il l'exaspère !
Il ne la voit pas. Pourtant, il la regarde mais comme d'habitude, sans lueur d'excitation, pas d'envie particulière, rien, le néant. Puisqu'il ne veut pas prendre l'initiative, elle se décide à faire le premier pas. Elle prend d'abord des poses langoureuses pour ranger ce que lui tend son mari. Elle se penche en avant tout en gardant ses jambes bien droites pour placer les tomates dans le bac du réfrigérateur.
Dans cette position, un voyeur pourrait apercevoir le bas de ses fesses et ne manquerait pas d'essayer d'en voir plus. Son mari ne réagit toujours pas. Il lui tend les courgettes tout en discutant. Elle se surprend à trouver excitante la forme phallique de ces légumes. Elle en caresse une langoureusement avant de se reprendre. Son mari ne voit rien, elle abandonne pour le moment.
Elle ne réussit pas à apprécier leur délicieux repas tant elle rumine l'impossible réactivité de son mari. Comme à son habitude, son mari décide de faire une petite sieste, elle profite de ce moment pour essayer de nouveau à l'exciter. Il s'allonge sur le lit, les bras croisés, perdu dans ses pensées. Elle apparaît dans l'embrasure de la porte. Elle se cambre, le visage relevé, les yeux entre-ouverts. Elle se mord la lèvre inférieure dans une moue érotique. Elle commence à se caresser les hanches. Ses mains descendent le long de son corps et remontent doucement en relevant le tissu de la jupe. Il devient évident qu'elle ne porte aucune culotte. Elle relâche sa jupe et ses mains glissent sur sa poitrine généreuse et souple. Ses tétons tendent le tissu de son haut moulant.
Elle ne sait plus si elle se caresse pour réveiller la libido de son mari ou pour son propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève son haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et sont terriblement sensibles. Elle les pince, elle tire dessus en se mordant la lèvre pour ne pas laisser échapper ses gémissements. Elle redescend sa main droite vers son intimité, elle n'est pas surprise de sentir l'humidité de son sexe. Elle caresse son clitoris en alternant les effleurements et les caresses plus appuyées. De son autre main, elle continue à serrer son sein, à le pétrir, à le presser. Elle sent son plaisir monter rapidement, sa main quitte précipitamment son sein pour venir pénétrer d'un puis de deux doigts son sexe trempé. Elle sent son point G, elle presse ses deux doigts dessus tout en continuant d'exciter son clitoris en érection.
La jouissance la traverse avec violence. Elle ne crie pas, ses lèvres sont scellées dans un rictus de plaisir, son corps est raidi au maximum.
Elle relâche doucement ses muscles tout en se tenant au chambranle de la porte. Elle réalise avec tristesse que son mari s'est endormi sans même la voir.
La déception est immense pour Maryse qui souhaitait essayer de partager de nouvelles expériences.
Elle est maintenant persuadée qu'elle ne pourra jamais vivre ces moments d'excitation intense avec son mari. Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec lui pour ne plus avoir à le tromper, à lui mentir mais il ne possède pas la bestialité et la perversité de M. Francis. Cette révélation lui fait peur. Il faudrait qu'elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement dans la perversité et la luxure. Elle est déjà allée tellement loin dans ses expériences qu'elle pourrait y mettre un terme. L'éventualité est rapidement repoussée. Presque avec horreur, elle réalise qu'elle est accro à ces sensations... au sexe.
Le reste du week-end se passe lentement, elle ne pense qu'à une chose : rejoindre son amant. Elle apprend le lundi qu'elle doit de nouveau partir en déplacement à partir de mercredi. Elle se réjouit à cette idée. Une fois dans son bureau, elle envoie un mail à M. Francis pour le prévenir. Quelque temps après, il lui répond qu'il pourra se libérer mais qu'elle devra suivre les instructions suivantes :
— Tu passeras me chercher à la déchetterie mercredi après-midi. Tu viendras en tenue très sexy, quelque chose de très court et des talons aiguilles. Attends-toi à ce que je te défonce ton petit cul de salope ! Donc pas de culotte.
Le langage très cru de M. Francis devrait la choquer mais bien au contraire. Elle ressent une décharge d'adrénaline et une bouffée de chaleur au moment où elle le lit. Elle sent son sexe s'humidifier sous l'excitation que provoquent ces quelques mots. La journée se passe sans autre message de la part de M. Francis.
Le soir, elle annonce son nouveau déplacement. son mari n'y réagit pas. Elle voudrait le secouer, le frapper pour qu'il la voit mais elle se dit que ce serait peine perdue. Alors elle se renferme, elle met son masque de gentille femme mariée et joue le rôle qu'on lui attribue.
Le mercredi, elle prend soin de choisir deux tenues. L'une pour aller travailler, juste féminine avec les fameux talons aiguilles demandés par M. Francis et l'autre très provocante. Elle choisit la mini-robe blanche qu'elle a achetée quelques mois auparavant. Elle la moule parfaitement. Elle est totalement indécente dans cette tenue mais elle sait qu'elle fera plaisir à son mentor. Elle se maquille puis s'habille avant de quitter la maison.
La matinée passe rapidement, elle prépare jusqu'au moindre détail son déplacement professionnel pour avoir l'esprit totalement libre pour M. Francis. Elle s'amuse des regards appuyés de ses collègues. C'est avec empressement qu'elle remonte dans sa voiture, fière de son travail. Il lui faut maintenant trouver un endroit pour se changer. Elle ne pouvait décemment pas venir au travail dans sa mini-robe moulante. Elle choisit un petit bois non loin de la déchetterie pour s'arrêter. Elle prend quelques instants pour vérifier que l'endroit est bien désert, puis elle sort sa petite robe de son sac. Un rapide coup d'œil supplémentaire pour la rassurer et elle commence à retirer son chemisier et sa jupe longue. Elle hésite un bref instant, puis se décide à enlever son soutien-gorge et son string qui seraient de trop avec sa robe.
Elle s'agite dans l'espace confiné de sa voiture pour se changer quand tout à coup elle aperçoit un mouvement sur sa gauche. Elle se fige de peur d'être découverte. son cœur s'accélère, elle reçoit une décharge d'adrénaline lorsqu'elle voit un homme caché dans les feuillages d'un buisson en train de l'observer. Il ne bouge pas, il semble aussi effrayé qu'elle d'être découvert.
Maryse prend alors conscience que sa honte et sa peur cèdent peu à peu pour laisser place à une excitation irrésistible. Elle rougit fortement, elle a du mal à respirer mais elle recommence doucement à se changer. Elle ralentit ses gestes qui manquent de précision tant elle tremble pour faire durer ce moment.
Elle observe du coin de l'œil son voyeur qui bouge doucement. Il essaie d'en voir plus et en même temps, elle remarque que sa main gauche s'active précipitamment sur un sexe tendu comme un arc.
Elle se remémore l'épisode dans Paris où tous ces voyeurs se sont masturbés devant elle. Mais elle n'ose pas aller plus loin dans cette expérience, elle était alors accompagnée de M. Francis. Pourtant elle continue doucement à s'habiller. Elle en profite pour caresser ses seins, et les soupeser comme pour mieux les présenter à son voyeur anonyme. Elle en tire une profonde satisfaction et un plaisir immense. Elle peut le voir se crisper avant d'éjaculer copieusement sur le buisson et dans sa main.
Elle met fin à sa petite exhibition en redémarrant rapidement le moteur. Elle est dans un état second après cette nouvelle expérience. Elle s'abandonne de plus en plus à cette nouvelle personnalité avide de plaisir et de sexe. Elle arrive peu de temps après aux portes de la déchetterie.
Suite VI
Maryse est surprise. Elle s'attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace.
— Quelle sera ma position hiérarchique sur ces dossiers ? Est-ce que M. Ribière m'accompagnera ?
M. Turvan répond sans hésitation :
— Vous êtes maintenant responsable au même titre que M. Ribière. Vous me ferez des rapports réguliers et j'attends de vous et de M. Ribière un travail d'équipe. Si vous avez besoin de conseils dans votre nouveau poste, je pense que M. Ribière se fera un plaisir de vous conseiller. Mais je suis sûr que vous avez la finesse et le doigté pour mener à bien vos futures missions.
Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s'attendait pas à ça. Il a failli protester mais s'est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes.
Tout son plan tombe à l'eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s'en veut mais n'y peut plus rien. Il perd un peu de son assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.
Maryse est extrêmement fière et heureuse.
Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu'elle s'organise pour les enfants avec son mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans son bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec son mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale.
Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d'excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu'il l'accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l'ordre de passer le chercher à la date convenue.
Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants sont très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. son mari se fait même câlin et lui fait l'amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n'est pas tout à fait présente.
Une partie d'elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu'il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu'elle a vécus dernièrement et à ceux qu'elle va vivre bientôt.
La veille de son déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l'hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres.
Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la maison, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l'allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu'à la déchetterie pour prendre M. Francis.
Elle se gare devant son logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d'entrer. Il l'attend dans son canapé usé. son matériel est prêt. Il ne se sépare plus de son ordinateur et de son appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d'un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire.
son attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s'est déroulée l'entrevue avec son directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l'intention de lui faire subir.
Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d'un panneau annonçant une aire d'autoroute, M. Francis lui dit de s'arrêter pour qu'il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu'il veut qu'elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques véhicules, mais personne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d'adrénaline la traverser alors qu'elle se décide à lui obéir.
Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu'il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c'est chaque fois plus fort qu'elle. La décharge d'émotions contradictoires l'empêche de garder le contrôle. Elle a peur d'être surprise par un inconnu et pourtant la situation l'excite énormément.
— Sors ma bite et tiens-la pendant que je pisse !
Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir son pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu'il se libère. Elle est surprise par la pression de l'urine, le jet éclabousse d'abord le bord de la cuvette avant qu'elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme sonnée par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s'asseoir sur la cuvette, ce qu'elle fait avec empressement tant elle est excitée.
Sans ménagement, il lui enfonce son sexe dur dans la bouche. Elle n'a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur.
Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu'il peut. Elle salive énormément autour de son sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s'enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu'elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l'envahissent. Elle ne peut faire autrement que d'avaler le liquide gluant et chaud.
Il se retire enfin sans qu'elle arrête de serrer son sexe avec ses lèvres. Il sort alors son appareil photo pour immortaliser l'instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l'intensité de la situation.
Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d'un homme dont le sourire en coin montre qu'il a deviné ce qui s'est passé dans cette cabine. Comme si cela n'était pas suffisant elle l'entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation mêlée de plaisir. Elle n'ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai.
Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l'hôtel, ils se rendent à l'accueil. Une femme d'une trentaine d'année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l'accompagne jusqu'à sa chambre au second étage.
Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de son amant. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s'est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion.
Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que son charme et sa nouvelle assurance y sont pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s'enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l'équipe mais refuse gentiment en leur disant qu'ils ne sont vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l'équipe sont déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d'accepter alors que M. Francis l'attend. Elle se demande ce qu'il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu'il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n'est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites.
Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l'attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu'une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau.
Elle l'interroge du regard, mais visiblement il n'y a rien à dire de plus. Elle sait qu'il va lui faire vivre une séance d'exhibitionnisme. Elle sent son sexe s'humidifier à cette idée alors qu'elle se rend compte qu'elle n'a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire.
Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d'une musique lancinante qu'elle imagine. Elle se tourne pour qu'il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève son chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent son sexe s'humidifier de plus en plus alors qu'elle s'effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts.
Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons sont dressés par l'excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l'appareil photo. Elle n'a plus de complexes devant l'objectif. Elle sait qu'elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos.
Certains d'entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l'a excitée.
Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu'elle a rencontré M. Francis et plus c'est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l'envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils sont vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et son dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière.
M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l'aider à enfiler son corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu'à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu'apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l'une de ces pin-up des années 50.
Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de son intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu'elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l'idée des sensations qu'elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy.
M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d'accueil sous le regard amusé de l'hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C'est lui qui conduit.
Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s'arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer son manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d'excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s'approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas.
C'est une chose de se montrer devant une caméra, mais c'est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent son ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. son sexe s'humidifie alors qu'elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s'approche plus près, lui aussi sort son sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu'elle puisse les entendre.
La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent son corps, s'attardant sur ses seins et son sexe trempé. Elle les entend lui dire qu'elle est magnifique, que c'est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur son corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se sont joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum.
Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur son corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse.
L'un d'eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers son sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans son vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges.
Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s'écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l'explorent.
D'autres mains viennent profiter de son corps. L'un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu'elle le touche à l'intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse.
Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de son masseur. Après quelque temps, les vitres sont maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu'au parking de l'hôtel où il se gare dans un coin sombre.
En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de son pantalon, elle se réjouit à l'idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s'accroupit devant lui pour lui sucer son sexe tendu au maximum par l'excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu'elle a l'air d'une prostituée, cette idée l'excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de son sexe en bouche, manquant parfois de s'étrangler.
Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l'excitation. Il s'approche et présente son sexe dur sur son anus. Elle aime tellement qu'il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s'entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène.
Elle a perdu toute retenue, mais elle n'a pas le temps de penser plus. Le sexe, d'une poussée, se retrouve au plus profond de son ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s'écraser contre son sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher pour son plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui plaîtmême si une part d'elle aurait été révoltée il n'y a pas si longtemps. Elle sent son pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la pression des pénétrations. Son petit trou doit être distendu.
Ses seins sont écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec force en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit aussi avant de s'affaler sur le capot.
Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l'intensité de la situation. Elle sent le sperme s'écouler de son petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu'au hall d'accueil. Ils passent devant l'hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n'ose pas la regarder, la honte l'envahit en-même temps qu'un délicieux sentiment de satisfaction.
Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n'en revient pas. Elle s'est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis.
Quand elle sort de la douche, c'est pour le retrouver devant son ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur son site et il lui dit qu'il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s'empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l'ordinateur, habillée d'une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l'excitent sont les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu'elle en ait honte.
Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s'attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu'elle éprouve, mais elle n'en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.
oooOOoo
Un soir, elle décide de prendre les choses en main pour pimenter sa vie de couple. Elle envoie ses enfants chez ses parents pour le week-end. Elle s'apprête pour exciter son mari en s'habillant d'une courte jupe volante, d'un haut moulant, en omettant de mettre des sous-vêtements. C'est dans cette tenue qu'elle reçoit son mari qui rentre des courses. Il lui raconte ses aventures au marché d'un débit inlassable. Il a rencontré un tel qui est malade, et la commerçante... Blablabla... Il l'exaspère !
Il ne la voit pas. Pourtant, il la regarde mais comme d'habitude, sans lueur d'excitation, pas d'envie particulière, rien, le néant. Puisqu'il ne veut pas prendre l'initiative, elle se décide à faire le premier pas. Elle prend d'abord des poses langoureuses pour ranger ce que lui tend son mari. Elle se penche en avant tout en gardant ses jambes bien droites pour placer les tomates dans le bac du réfrigérateur.
Dans cette position, un voyeur pourrait apercevoir le bas de ses fesses et ne manquerait pas d'essayer d'en voir plus. Son mari ne réagit toujours pas. Il lui tend les courgettes tout en discutant. Elle se surprend à trouver excitante la forme phallique de ces légumes. Elle en caresse une langoureusement avant de se reprendre. Son mari ne voit rien, elle abandonne pour le moment.
Elle ne réussit pas à apprécier leur délicieux repas tant elle rumine l'impossible réactivité de son mari. Comme à son habitude, son mari décide de faire une petite sieste, elle profite de ce moment pour essayer de nouveau à l'exciter. Il s'allonge sur le lit, les bras croisés, perdu dans ses pensées. Elle apparaît dans l'embrasure de la porte. Elle se cambre, le visage relevé, les yeux entre-ouverts. Elle se mord la lèvre inférieure dans une moue érotique. Elle commence à se caresser les hanches. Ses mains descendent le long de son corps et remontent doucement en relevant le tissu de la jupe. Il devient évident qu'elle ne porte aucune culotte. Elle relâche sa jupe et ses mains glissent sur sa poitrine généreuse et souple. Ses tétons tendent le tissu de son haut moulant.
Elle ne sait plus si elle se caresse pour réveiller la libido de son mari ou pour son propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève son haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et sont terriblement sensibles. Elle les pince, elle tire dessus en se mordant la lèvre pour ne pas laisser échapper ses gémissements. Elle redescend sa main droite vers son intimité, elle n'est pas surprise de sentir l'humidité de son sexe. Elle caresse son clitoris en alternant les effleurements et les caresses plus appuyées. De son autre main, elle continue à serrer son sein, à le pétrir, à le presser. Elle sent son plaisir monter rapidement, sa main quitte précipitamment son sein pour venir pénétrer d'un puis de deux doigts son sexe trempé. Elle sent son point G, elle presse ses deux doigts dessus tout en continuant d'exciter son clitoris en érection.
La jouissance la traverse avec violence. Elle ne crie pas, ses lèvres sont scellées dans un rictus de plaisir, son corps est raidi au maximum.
Elle relâche doucement ses muscles tout en se tenant au chambranle de la porte. Elle réalise avec tristesse que son mari s'est endormi sans même la voir.
La déception est immense pour Maryse qui souhaitait essayer de partager de nouvelles expériences.
Elle est maintenant persuadée qu'elle ne pourra jamais vivre ces moments d'excitation intense avec son mari. Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec lui pour ne plus avoir à le tromper, à lui mentir mais il ne possède pas la bestialité et la perversité de M. Francis. Cette révélation lui fait peur. Il faudrait qu'elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement dans la perversité et la luxure. Elle est déjà allée tellement loin dans ses expériences qu'elle pourrait y mettre un terme. L'éventualité est rapidement repoussée. Presque avec horreur, elle réalise qu'elle est accro à ces sensations... au sexe.
Le reste du week-end se passe lentement, elle ne pense qu'à une chose : rejoindre son amant. Elle apprend le lundi qu'elle doit de nouveau partir en déplacement à partir de mercredi. Elle se réjouit à cette idée. Une fois dans son bureau, elle envoie un mail à M. Francis pour le prévenir. Quelque temps après, il lui répond qu'il pourra se libérer mais qu'elle devra suivre les instructions suivantes :
— Tu passeras me chercher à la déchetterie mercredi après-midi. Tu viendras en tenue très sexy, quelque chose de très court et des talons aiguilles. Attends-toi à ce que je te défonce ton petit cul de salope ! Donc pas de culotte.
Le langage très cru de M. Francis devrait la choquer mais bien au contraire. Elle ressent une décharge d'adrénaline et une bouffée de chaleur au moment où elle le lit. Elle sent son sexe s'humidifier sous l'excitation que provoquent ces quelques mots. La journée se passe sans autre message de la part de M. Francis.
Le soir, elle annonce son nouveau déplacement. son mari n'y réagit pas. Elle voudrait le secouer, le frapper pour qu'il la voit mais elle se dit que ce serait peine perdue. Alors elle se renferme, elle met son masque de gentille femme mariée et joue le rôle qu'on lui attribue.
Le mercredi, elle prend soin de choisir deux tenues. L'une pour aller travailler, juste féminine avec les fameux talons aiguilles demandés par M. Francis et l'autre très provocante. Elle choisit la mini-robe blanche qu'elle a achetée quelques mois auparavant. Elle la moule parfaitement. Elle est totalement indécente dans cette tenue mais elle sait qu'elle fera plaisir à son mentor. Elle se maquille puis s'habille avant de quitter la maison.
La matinée passe rapidement, elle prépare jusqu'au moindre détail son déplacement professionnel pour avoir l'esprit totalement libre pour M. Francis. Elle s'amuse des regards appuyés de ses collègues. C'est avec empressement qu'elle remonte dans sa voiture, fière de son travail. Il lui faut maintenant trouver un endroit pour se changer. Elle ne pouvait décemment pas venir au travail dans sa mini-robe moulante. Elle choisit un petit bois non loin de la déchetterie pour s'arrêter. Elle prend quelques instants pour vérifier que l'endroit est bien désert, puis elle sort sa petite robe de son sac. Un rapide coup d'œil supplémentaire pour la rassurer et elle commence à retirer son chemisier et sa jupe longue. Elle hésite un bref instant, puis se décide à enlever son soutien-gorge et son string qui seraient de trop avec sa robe.
Elle s'agite dans l'espace confiné de sa voiture pour se changer quand tout à coup elle aperçoit un mouvement sur sa gauche. Elle se fige de peur d'être découverte. son cœur s'accélère, elle reçoit une décharge d'adrénaline lorsqu'elle voit un homme caché dans les feuillages d'un buisson en train de l'observer. Il ne bouge pas, il semble aussi effrayé qu'elle d'être découvert.
Maryse prend alors conscience que sa honte et sa peur cèdent peu à peu pour laisser place à une excitation irrésistible. Elle rougit fortement, elle a du mal à respirer mais elle recommence doucement à se changer. Elle ralentit ses gestes qui manquent de précision tant elle tremble pour faire durer ce moment.
Elle observe du coin de l'œil son voyeur qui bouge doucement. Il essaie d'en voir plus et en même temps, elle remarque que sa main gauche s'active précipitamment sur un sexe tendu comme un arc.
Elle se remémore l'épisode dans Paris où tous ces voyeurs se sont masturbés devant elle. Mais elle n'ose pas aller plus loin dans cette expérience, elle était alors accompagnée de M. Francis. Pourtant elle continue doucement à s'habiller. Elle en profite pour caresser ses seins, et les soupeser comme pour mieux les présenter à son voyeur anonyme. Elle en tire une profonde satisfaction et un plaisir immense. Elle peut le voir se crisper avant d'éjaculer copieusement sur le buisson et dans sa main.
Elle met fin à sa petite exhibition en redémarrant rapidement le moteur. Elle est dans un état second après cette nouvelle expérience. Elle s'abandonne de plus en plus à cette nouvelle personnalité avide de plaisir et de sexe. Elle arrive peu de temps après aux portes de la déchetterie.
Il y en a encore....