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Histoire du net. Auteur inconnu. Allo maman bobo...!

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Comment résister au pouvoir de l'autorité médicale...
Et de celle de sa patronne....?


 La prof examinée
Marie-Claire est une jeune femme de trente-deux ans, une grande blonde charmante et gracieuse, qui, après avoir passé quelques années dans des petits
boulots vient de trouver un emploi de professeur de musique dans une institution pour jeune fille.
Elle aurait préféré trouver dans un lycée non religieux, car la discipline de la directrice lui semble aussi dure qu'inappropriée, mais depuis quatre mois qu'elle officie, elle commence à s'habituer aux sautes d'humeurs de sa patronne. Ce qui la gène encore pour le moment, c'est qu'elle a toujours l'impression d'être une petite fille lorsqu'elle se retrouve en présence de cette femme autoritaire de cinquante-cinq ans. Elle ne comprend pas vraiment le pourquoi des choses, mais toujours est-il que lorsqu'elle se trouve en présence de sa patronne, elle perd ses moyens et s'exprime souvent avec un léger bégayement.
C'est en réfléchissant à tout ça que la belle Marie-Claire arrive tranquillement à pied devant les grilles monumentales de l'institut. En traversant la cour, elle aperçoit sa patronne qui lui fait signe de venir vers elle.
Quand elle n'est plus qu'à quelques mètres de la vieille femme debout sur le perron de son bureau, elle entend :
- Bonjour Marie-Claire, à dix heures, entre vos deux cours, je vous prierai de passer à l'infirmerie voir Docteur Klein.
- Bonjour Madame, c'est entendu, je passerai le voir.
La directrice tourne les talons et entre dans son bureau sans autre explication laissant la jeune professeur avec ses interrogations.
Vers dix heures quinze, alors qu'elle est en salle des professeurs à préparer son cours suivant, Marie-Claire se souviens de la demande de sa directrice, range ses affaires, les pose délicatement dans son casier, remet sa tenue en ordre en passant devant la glace et sort pour se diriger vers l'infirmerie.
Elle frappe à la porte et attend l'invitation à entrer qui tarde quelque peu à venir.
Quand elle entre enfin dans le bureau, elle trouve le Docteur Klein en train de classer des papiers dans la partie basse de la grande armoire qui lui ordonne, sans lever les yeux :
- Asseyez-vous, je suis à vous tout de suite.
Sans répondre, la belle blonde va s'asseoir à l'endroit indiqué, puis elle attend que l'homme finisse ce qu'il est encore en train de faire.
Après quatre ou cinq minutes d'attente, l'homme décide enfin de s'occuper de sa
Patiente. Il se relève et vient s'asseoir à son tour à son bureau. Puis, sans préambule, il commence à dire d'une voix grave :
- J'ai eus la désagréable constatation d'une recrudescence de maladies vénériennes chez nos pensionnaires ces deux derniers mois. J'ai fait part à Madame la Directrice que certaines de nos pensionnaires ressemblaient plus à de jeunes catins qu'à des jeunes filles de bonnes familles, et nous avons décidé ensemble de faire subir des dépistages précis aux personnes qui nous paraissaient les plus dangereuses de ce coté-là.
- Bien... Mais je ne vois pas en quoi tout cela me concerne Docteur.
- Madame la Directrice m'a fait remarquer que sous vos airs de sainte-nitouche, à la façon dont vous regardez vos collègues masculins, vous aviez, vous aussi, certaines caractéristiques...
- Mais! Je ne vous permets pas...
- Métriez-vous en doute le jugement de votre patronne!
- Il ne s'agit pas de ça, mais...
- Suffit! J'ai ordre de vous examiner, je vais donc le faire et tout de suite encore!
Commencer par vous déshabiller.
- Mais...
- Il n'y a pas de "mais" qui tiennent, faites ce que je vous demande, un point c'est tout. De toutes façons, puisque vous semblez si outragée de notre décision, vous ne devriez pas avoir à craindre quoi que ce soit, si?
- Non, bien sûr, mais...
- Stoppe j'ai dit! On se déshabille sans faire sa mijaurée et on se tait que je puisse me concentrer sur mon métier Mademoiselle Marie-Claire.
Totalement estomaquée par ce quel vient d'entendre, la jeune femme se déshabille en pensant surtout à ce discourt inouïe. Il lui parait incroyable que
sa patronne, même si elle ressent peu d'atomes crochus avec elle, puisse penser pareille chose sur elle.
Bientôt son chemisier et sa jupe se retrouve pliés sur la chaise. En dégrafant son soutien-gorge, elle ne peut s'empêcher de penser à ce qui, chez elle, dans ses attitudes, pourrait bien donner l'idée qu'elle est une femme légère. Certes elle a déjà eu beaucoup d'amants, mais depuis deux ans qu'elle est avec Philippe, l'homme avec qui elle vie, elle trouve qu'elle a tout de même beaucoup changer, et de look, et d'attitudes d'ailleurs.
Ernest voit parfaitement que ses paroles ont portées. Il contemple la jeune femme qui s'effeuille et qui semble bel et bien être perdue dans ses pensées. Il
admire ce ventre plat, ces longues jambes gainées de nylon. Il adore les femmes qui, comme Marie-Claire, ne néglige pas de s'habiller pour travailler, et là, il est
comblé. La jolie blonde porte un ensemble soutien-gorge, slip et porte-jarretelles rose pâle en dentelle qui est magnifique et qui va à ravir avec sa jupe blanche et son chemisier d'un rose plus soutenu. Il attend patiemment qu'elle pose son soutien-gorge, pour, sans lui laisser le temps de souffler, lui ordonner encore d'une voix sèche :
- La culotte aussi bien sûr!
La blonde s'exécute docilement bien que le ton employé par le médecin ne lui plaise pas du tout. Elle aimerai se rebiffer contre l'attitude odieuse de cet homme
assez laid, grisonnant et moustachu qui ne lui plairait pas du tout en dehors du contexte, néanmoins elle sent sa volonté faillir et n'arrive pas à formuler quoi que se soit pour se défendre, ou, du moins, se faire un peu respecter.
L'homme pervers se régale du spectacle, et dès que la jeune femme est nue à l'exception de ses bas et de ses escarpins, il enchaîne :
- Bien, on va commencer par un petit questionnaire, avez-vous plusieurs partenaires sexuels?
- Non, je vis avec le même homme depuis deux ans environs.
- Attention, que vous viviez en couple ne veut pas dire que vous n'avez pas des partenaires multiples, les partouzes ça existe que je sache!
- Non mais!...
- Doucement Mademoiselle, vous semblez oublier mon titre et mon rôle ici, alors un peu de calme et répondez franchement aux questions. Pratiquez-vous la sodomie?
Marie-Claire est déconcertée par l'attitude très directive de l'homme, elle réfléchie quelques secondes à savoir si elle doit dire la vérité ou si elle peut se permettre de mentir. Mais quelque chose tout au fond d'elle lui intime de dire la vérité, aussi répond-t-elle d'une voix timide :
- Oui, parfois cela nous arrive...
- Oui quoi? Vous êtes une partouzeuse invétérée ou vous vous faites sodomiser
régulièrement?
- Non, non, je n'ai jamais participer à une partouze comme vous dites, mais oui, il arrive que mon ami me sodomise parfois.
- Bien, je le note. Et tout en se penchant pour commencer à écrire, le médecin
continue son interrogatoire : Avez-vous des relations bucco-génitales?
- Pardon?
Cette fois Marie-Claire est outrée, même sa gynécologue ne lui a jamais posé de telles questions aussi indiscrètes.
- Vous ne m'avez pas l'air d'être très futée pour un professeur...
L'homme marque une pose en observant discrètement l'effet que produisent ses paroles lourdes sur la jolie blonde, puis il enchaîne d'un ton encore plus dur :
- Sucez-vous la verge de votre ami, puisqu'il faut vous mettre les points sur le "i".
La jeune femme ne sait maintenant plus quelle attitude adopter devant ce vieux vicieux de médecin scolaire. De plus, dans sa posture, les bras le long du corps, debout presque nue, elle se sent ridicule, elle a l'impression de redevenir une petite fille prise en faute. Elle se perd dans ses pensées quand elle entend la voix dure du docteur qui la rappelle à l'ordre :
- Alors! Vous sucez sa bite ou pas? On en va pas y passer toute la journée tout de même!
- Oui...
Le mot est sortie machinalement de sa bouche, et elle a l'impression de vivre un mauvais cauchemar, c'est un peu comme si elle s'entendait parler lors qu'elle serait ailleurs.
- Parfait... Puisque vous êtes un peu nunuche, je vais vous poser des questions plus faciles... Vous avalez son foutre?
- Oui, j'aime bien...
Là encore Marie-Claire a l'impression de rêver et que c'est une autre personne qui répond à sa place. Tout de suite elle s'en veut d'avoir dit qu'elle aimer boire la semence de son homme, comme elle aimerait qu'il soit là en ce moment!
- Je me disais bien que vous aviez une tête d'avaleuse de foutre... Bien, pas de déviances sexuelles du type photos ou vidéos?
- Heuuu...
- Ha! En plus vous êtes exhibitionniste! Je me disais aussi en voyant vos sous-vêtements de pute...
- Mais...
- C'est bon, c'est tout de même pas une petite grue exhibitionniste, avaleuse de foutre, une petite enculée, qui va m'apprendre ma science!
- Mais Docteur...
- Bon, fermes la maintenant et contentes toi de répondre précisément à mes questions ou je fais un rapport salé à notre directrice en disant qu'il y a des risques avec toi pour nos pauvres petites élèves...
La pauvre jolie blonde ne peut retenir plus longtemps ses larmes et enfouit son visage dans ses mains en balbutiant encore :
- Je vous assure Docteur, je ne...
- Ta gueule salope, tu réponds à mon questionnaire ou sinon, plus de boulot, c'est compris ça?
- Oui Docteur...
- Parfait, je vais alors enfin pouvoir travailler comme il se doit. As-tu déjà eu des
rapports homosexuels?
- Mais Docteur!
- Bon, c'est pas grave, de toute façon une dépravée comme toi doit se gouiner
régulièrement, j'espère au moins que tu ne t'es pas permise ce genre de sport avec nos pensionnaires tout de même!
- Non Docteur...
- Ouf, voilà qui me rassure un peu tout de même! Tu as des animaux chez
toi?
- Oui, un chien.
- Quelle race s'il te plaît?
- Un berger allemand, c'est le chien de mon ami...
- Bien, je note donc : "tendance zoophile"...
- Mais ce n'est pas vrai...
- Tu n'es pas trop mal foutue, mais tu as vraiment un pois chiche dans la tête, tu ne te rappelles déjà plus ce que je t'ai dit au sujet d'un certain rapport à notre directrice?
- Pardon Docteur, excusez-moi...
- Bon, continuons tout de même... Tu bois?
- Rarement Docteur, parfois un cocktail lors de sorties.
- Et tu prends aussi des drogues illicites, parfois comme tu dis si bien?
- Non, non, je vous assure...
- Méfies toi, un simple examen sanguin que je peux ordonner dès à présent nous
révélera tout. Ne serait-ce que d'avoir fumer du cannabis, alors attention à ta réponse, je recommence, prends tu des drogues illicites?
- Il m'est arrivé de fumer quelques joints.
- Bien sur... J'imagine aisément qu'il doit être plus simple d'être dans un état second pour aller lécher la chatte d'une autre salope... Bref, et la cocaïne?
- J'en ai pris, mais juste une fois Docteur, je vous assure que cela n'a été qu'une
expérience et que je n'en ai jamais repris depuis.
- Ben voyons... Et à la fac j'imagine, non?
- Si, pourquoi?
- Parce que tu me semble être une parfaite dépravée, si jamais j'entends parler de
cocaïne dans notre établissement, je ferai tout de suite le lien avec toi et en informerai qui de droit, taches de te tenir à carreau, je ne te prends pas en traître, mais méfies toi bien de ma colère.
Marie-Claire se remet à pleurer en enfouissant, une fois de plus, son visage dans ses mains. Elle se demande bien comment elle en est arrivée là, avec ce toubib vicieux qui la piège à chaque questions, et elle qui, bêtement, tombe à chaque fois aussi dans ses pièges.
Elle voudrait que son calvaire finisse le plus vite possible pour aller pleurer dans les bras de son ami si doux.
Un sourire sadique s'affiche sur le visage méchant de l'homme. Il est très content de son résultat, cette jolie blonde qui pleure à chaudes larmes, il lui semble qu'elle est prête à aller plus loin. Mais, bien que assez sûr de lui, il fait très attention de ne pas sortir de son rôle de médecin. Il poursuit donc encore son questionnaire indiscret en demandant, toujours d'une voix dure et autoritaire :
- Et des démêlés avec la justice pour prostitution, exhibition, drogues ou autres?
- Non Docteur, vous pouvez vérifier mon casier judiciaire, je n'ai jamais eu maille à partir avec la justice.
- Je vérifierai plus tard, car avec le genre de petite pute que tu es, il vaut mieux se méfier. Madame Grasset a eu le nez creux quand elle m'a demandé cet examen... Bon, maintenant tu vas aller te mettre sur mon siège de travail que j'examine ta moule de pute plus en détail.
Sans poser de question, la belle Marie-Claire se dirige vers le grand fauteuil d'examen qui est installé dans le coin de la grande pièce, près de la fenêtre en verre dépoli. Arrivé à un mètre du fauteuil, elle marque un temps d'arrêt.
Le vicieux médecin s'en aperçoit et dit alors d'une voix encore plus dure que lors de l'interrogatoire :
- T'attends quoi pétasse, tu es trop conne pour t'assoir sur un fauteuil?
La jolie blonde aimerait pouvoir dire ses quatre vérités à ce vieux vicieux qui ne lui inspire que du dégoût, toutefois, elle sait parfaitement que le pouvoir est entre les mains de l'homme, et elle ne veut pas prendre le risque de perdre son travail simplement pour avoir la fierté de remettre ce monsieur à sa place.
Elle commence à se dire qu'après tout, si l'interrogatoire à fait fantasmer ce vieux vicelard, il ne lui a rien enlevé à elle, et elle essaye de se persuader que l'homme n'a rien écrit dans son dossier qui puisse lui nuire.
- Allez pétasse, va te mettre sur le dos comme toutes les putes de ton espèce.
Tranquillement, Marie-Claire monte sur le fauteuil et s'allonge sur le dossier, les
jambes serrées. Elle essaye encore de se persuader que l'examen sera rapide et qu'elle sortira bientôt de ce lieu sordide.
- Écartes tes jambes salope, ça au moins, tu devrais savoir le faire non?
- Dites, ça vous amuse vraiment d'essayer de m'humilier?
- Ah tu crois que je m'amuse toi... Tes pieds dans les étriers, et plus vite que ça. La voix de l'homme est devenue cette fois non pas seulement dure, mais il y perse quelque chose de menaçant.
Marie-Claire n'est pas trop rassurée, mais elle essaye de se montrer fière et place ses pieds dans les étriers, comme il lui a été demandé, avec un sourire forcé aux coins des lèvres.
Le médecin se rend compte que la jeune femme n'est pas encore totalement sous son emprise, tout en s'emparant discrètement de deux lanières de cuir munis d'attaches rapides, il répète une fois de plus à la jeune femme :
- Écoutes, si tu veux perdre ton boulot, tu descends de là tout de suite, l'examen est terminé et toi tu retournes à la pèche...
Voulant se persuader que l'homme bluff, la jolie blonde affiche un beau sourire et se vante :
- Mais non, vous allez m'ausculter et nous nous quitterons bon amis cher collègue.
Ernest, parfaitement entraîné à la manœuvre, fixe très vite la cheville droite à l'étrier au moyen de la première lanière de cuir. Puis, de façon extrêmement leste pour un homme de sa corpulence, il emprisonne l'autre cheville et lui fait subir le même traitement.
La jolie blonde ne comprend pas tout de suite ce qui se passe, donc elle ne cherche pas à défaire les liens. Mais quand le médecin lui prend violement le bras gauche, près du mur pour placer son poignet dans une sorte de menotte de cuir, elle commence à se rebiffer :
- Non mais ça ne va pas! Où avez-vous donc bien pu faire vos études de médecine?
Sans répondre, Ernest fait très vite le tour du fauteuil, se jette sur le bras droit dont la belle se sert pour essayer de défaire la menotte qui lui emprisonne déjà le poignet gauche. De toute sa force il ramène le bras droit sur le coté du fauteuil et attache à son tour le deuxième poignet de la même façon que précédemment. Puis, quand toute l'opération est terminée, il s'adresse à la jeune professeur en la fixant d'un regard noir :
- Pauvre petite conne, tu n'as pas voulu de mes largesses à ton égard, je pense que tu vas amèrement le regretter...
- Si vous ne me détacher pas tout de suite, je hurle et ameute tout 'établissement!
- Tu peux crier tout ton saoul si le cœur t'en dit, moi j'appelle Madame Grasset...
L'homme va à son bureau et décroche son téléphone. Il fait le numéro de poste de la directrice.
Marie-Claire se demande si c'est du lard ou du cochon. Elle essaye encore de se
persuader que tout ceci n'est que bluff, mais elle y a de plus en plus de mal.
- Monique... c'est Ernest...
- Oui elle est là...
- Arrivée avec un bon quart d'heure de retard, mais ce n'est pas pour cela que je vous appelle...
- Un dossier médical édifiant, vous aviez raison de vouloir cette expertise...
- Oui... J'aimerai que vous passiez...
- Oui, tout de suite...
En raccrochant le combiné, l'homme se tourne vers la jeune femme, lui lance un regard courroucé, puis laisse tomber froidement :
- Madame la directrice arrive, vous lui demanderez de vive voix où j'ai obtenu mondiplôme de médecine.
La pauvre femme est atterrée. Cette fois le doute n'est plus permis, non seulement ce n'est pas du bluff, mais en plus ce docteur Folamour va raconter un tas d'insanités sur son compte! Elle essaye alors une autre ruse en disant :
- Mais... Et le secret médical alors?
- Il n'y a pas de secret médical pour une pute comme toi connasse, de plus, aux vues de tes réactions, je pense qu'il y une incompatibilité avec le métier d'enseignant.
Trois coups secs à la porte de l'infirmerie font se diriger le médecin vers l'entrée. Il demande d'une voix forte :
- Qui est là?
- Madame Grasset, puis-je entrer Ernest?
- Entrez, c'est ouvert.
Pendant que la porte s'ouvre, le docteur prend le dossier médical qu'il vient de remplir, se retourne, et va à la rencontre de la directrice avec un large sourire que ne peut pas apercevoir la pauvre Marie-Claire.
La femme qui entre est âgée d'environs cinquante-cinq ans. de longs cheveux gris entourent son visage dont on ne voit pratiquement que les yeux clairs perçants. Malgré son âge, Monique est encore assez jolie, pas très grande mais bien proportionnée. Elle est vêtue d'un tailleur stricte gris clair, et elle donne l'impression de faire un peu plus que son mètre soixante cinq sur ses escarpins à talons aiguilles. En serrant la main de l'homme, d'une voix soucieuse elle annonce :
- Je suis venue immédiatement. Je connais votre professionnalisme et suis sure qu'il ne peut s'agir que d'une affaire extrêmement importante pour que vous m'appeliez de la sorte mon cher Ernest.
- Tenez, plutôt qu'un long discourt, je préfère que vous lisiez ce dossier...
Il tend le document à sa patronne puis enchaîne dès que cette dernière s'en est emparé : L'examen médical à proprement parler n'a pas encore commencer, mais les réponses de votre jeune recrue me laisse sans voix, jugez-vous même.
De longues minutes s'écoulent pendant que la directrice lit silencieusement le
document. De temps à autre elle se racle la gorge pour montrer son mécontentement.
La pauvre jeune femme reste interdite. Elle suit la scène avec attention et commence maintenant à craindre sérieusement pour son poste.
Monique tend le dossier à son ami et, en affichant une mine décomposée, avoue d'une voix méprisante :
- Je vous remercie Ernest, effectivement vous avez raison, comment garder pareille traînée dans le corps enseignant?
- Je peux vous assurez Monique que lors de l'entretien, j'ai été moi-même effaré par les propos de cette salope en chaleur!
- Vous me connaissez Ernest, j'ai toujours tout fait pour donner une chance à de
pauvres âmes perdues comme cette... Pute, car il n'y a pas d'autre mot pour la qualifier malheureusement...
La jeune femme n'en croit pas ses oreilles, c'est pourtant bien d'elle dont il s'agit, une nouvelle fois elle éclate en sanglots.
Prenant le bras du médecin, la directrice se dirige maintenant vers le fauteuil en
ajoutant encore :
- Vous êtes certain qu'il n'y a pas d'autre solution que le renvoi mon cher Ernest?
- Sérieusement, vu son passé, et notamment au sujet de la drogue, je crains fort que nous ne prenions de très gros risques en la gardant dans notre corps, qui a, ne l'oublions pas, une grande et belle mission...
- Vous me disiez qu'elle n'avait pas encore subit votre examen médical, non?
- Tout à fait ma chère Directrice, mais cela en vaut-il encore la peine?
- Oui, je veux avoir toutes les informations concernant cette petite grue, et un avis médical éclairé me sera d'un grand secours. Je vous laisse officier mais je reste auprès de vous pour parer à toutes éventualités.
Se penchant pour attraper un tabouret et le tendre à sa patronne, le docteur précise encore :
- Si vous souhaitez un approfondissement quelconque, n'hésitez surtout pas à
demander ma chère Monique.
Ernest commence alors à apporter une petite table basse sur laquelle sont posés les outils nécessaire à son examen. Puis il va dans l'autre coin de la pièce et en rapporte un autre tabouret qu'il place entre les étriers.
La pauvre jeune femme pleure toujours à chaudes larmes. En plus, maintenant, elle se sent ridicule dans cette position si personnelle devant sa patronne, nue et entravée. Elle essaye de se calmer un peu et fini par dire entre deux gros sanglots :
- S'il vous plaît Madame...
- Taisez-vous... Avec ce que je viens de lire, votre confession en somme, vous me dégoûtez. Alors n'aggravez pas encore votre cas en gémissant comme une petite fille, un peu de tenue que diable, même si vous en manquez singulièrement!
La pauvre jeune femme se rend compte qu'elle n'a rien à attendre de bon de cette
femme cruelle. Elle essaye de se calmer encore un peu et ferme ses grands yeux bleus.
Le médecin vient s'asseoir sur le tabouret qu'il a mis en place quelques instants plus tôt. D'un geste précis et sur, il s'empare du spéculum, le place devant ses yeux et inspecte une fois encore son état, l'enduit de vaseline consciencieusement. Puis il pose sa grosse main chaude sur le pubis rasé où juste une petite touffe de poils courts remonte de quelque centimètres vers le nombril, et introduit vivement l'ustensile dans le vagin.
Marie-Claire pousse un cri lors de cette indélicate introduction.
- Ta gueule petite pute, je suis sûr que tu ne cries pas tant quand tu te prends un coup de bite! S'exclame le médecin.
Monique tient à montrer qu'elle est totalement solidaire de son médecin en s'adressant à la blonde d'une voix sévère :
- Avec ce que je viens d'apprendre, tu me parais bien mal placée pour venir
maintenant te plaindre... Puis s'adressant au docteur elle poursuit : Mon cher Ernest ne prenez pas de gant, autant qu'elle souffre par là où elle a beaucoup péché, non?

A suivre ....

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