Bonjour à tous! Pour cette rentrée littéraire (lol),
un petit texte de toute beauté pour nous mettre en train....
un petit texte de toute beauté pour nous mettre en train....
Ou en branle! C'est comme vous le sentez...
Pari perdu— Je te dis qu’il a été assassiné en 1612. Affirmai je, péremptoire.
— Tu te trompes mon amour, c’est en 1610. Rétorqua ma femme amusée.
— On parie ?
— Ce que tu veux, mais tu vas perdre !
Je réfléchis 10 secondes. J’étais tellement sûr de moi …
— Celui qui perd sera soumis pendant un mois.
— D’accord Mamour. Me sourit-elle.
5 minutes plus tard, j’étais à ses pieds, son obéissant sujet pour les 30 jours suivants, Ravaillac m’avait perdu.
Nous avions déjà joué à ces jeux, avec un plaisir partagé, mais jamais sur un si long temps. La trentaine, échangistes, libérés, libertins, nous avions peu de tabous et nous avions exploré pas mal de facettes du plaisir, qu’il soit pluriel, sage ou quelque peu déviant.
Nous détestions la douleur, donnée ou reçue, et, pour nous, le terme soumission signifiait surtout contraintes librement consenties, humiliations souriantes et gentilles perversions.
Le lendemain Béa revint le soir affichant un air mystérieux..
— Bonsoir mon soumis. Me fit elle .
— Bonsoir ma Maîtresse. Tu m’as l’air bien enjouée.
— Oui, j’ai un petit cadeau pour toi.
Elle me tendit un paquet que je m’empressai d’ouvrir pour découvrir une cage de chasteté rutilante de chrome brillant.
Amusé mais excité également, je m’autorisai un « Maîtresse est trop bonne » accompagné d’un baisemain qui nous fit rire de bon cœur.
— Qu’attends tu pour aller l’essayer ?
Quelques minutes plus tard, j’appelai mon épouse.
Elle me découvrit nu sur le lit, en pleine érection, l’engin à côté de moi.
— Je n’y arrive pas….
Naïvement, je pensai qu’elle me soulagerait, de sa bouche ou de ses mains ….
Elle tourna les talons sans dire un mot et revint avec une poche de glaçons tout droit sortie du congélateur.
Le froid me fit perdre de ma superbe et l’affaire fut bouclée en un instant.
Elle me fit me lever et me planta devant un miroir.
— Tu as tout intérêt à t’y habituer, un mois c’est long…
Je ne crus pas un instant à cette menace. Elle ne pourrait jamais tenir 30 jours sans goûter mon sexe, sans le sentir en elle, sans que je lui apporte les fréquents orgasmes auxquels elle était habituée.
Elle devina mes pensées…
— Ne fais pas le fanfaron ! Me dit-elle en accrochant la petite clé du cadenas à la chaîne d’or qu’elle portait à son cou.
Je passai une nuit fort inconfortable, gêné par mon nouveau bijou. Le lendemain matin, c’est une forte douleur provoquée par une érection nocturne habituelle qui me réveilla de bon matin.
Comme la veille au soir, je me rendis compte qu’il me fallait m’assoir sur le siège pour satisfaire à un besoin naturel.
Béa sourit quand je lui racontai mes tourments.
— Mon pauvre chéri. Ne trouva-t-elle qu’à me dire .
Elle réclama un câlin . Je frétillai déjà .. Je dus vite déchanter..
Je dus me contenter de la faire jouir en utilisant et ma langue et mes doigts, chose que je fis très bien mais qui me laissa, contrairement à elle, totalement frustré.
— C’était parfait , mais tu avais raison, je ne pourrai pas passer un mois sans la sensation d’une bonne queue dans ma chatte.
Mon sourire se transforma en rictus quand elle ajouta :
— Il va falloir que tu me trouves un amant..
Ma mine déconfite lui arracha un éclat de rire.
— Mais non, idiot ! je plaisante !
Ouf !!!
— je suis assez grande pour en trouver un toute seule…..!!!
Je ne pus qu’en rire… jaune… je l’en savais parfaitement capable.
Ce Samedi après midi là, elle décréta qu’elle avait besoin de renouveler sa lingerie.
Il n’était pas rare que nous partagions ces moments d’emplettes. J’aimais la voir essayer ses sous-vêtements, plus ou moins sages, dans les cabines. Elle adorait les regards des clientes ou de leurs maris quand, par inadvertance, le rideau s’écartait.
Je lui proposai de nous rendre dans la nouvelle boutique installée il y a peu à deux pas de chez nous et que nous nous étions promis de visiter.
Elle fit la moue.
— Non, j’ai une autre idée. Tu vas y aller tout seul et tu devras tout acheter sans que jamais tu ne donnes mes mensurations.
— Mais chérie….
— Pas de « mais » qui tienne….Rétorqua-t-elle.
Ainsi donc, une heure plus tard, je poussai la porte du magasin.
Je fus accueilli par une dame, blonde, jolie, la quarantaine, apprêtée avec soin , que je devinai t être la patronne.
Je demandai à voir un charmant ensemble en dentelle noire composé d’un bustier accompagné d’un string minimaliste, le tout devant être porté avec des bas .
— Quelle taille vous faut-il ? Me demandât-elle ?
Je dus m’empourprer un petit peu.
— C’est pour mon épouse. Disons qu’elle fait à peu près la même taille que moi.
Elle sembla dubitative.
— Bien et son tour de poitrine ? Ses bonnets ? Son tour de hanche ?
Je m’empêtrai dans des explications plus ou moins fumeuses tant et si bien que la dame me déclara en souriant :
— Puisque vous avez les mêmes mensurations, pourquoi n’essayeriez-vous pas l’ensemble ?
Le tout fut accompagné d’un clin d’oeil et elle rajouta.
— Ne vous inquiétez pas, nous avons l’habitude de ce genre de choses.
Je compris alors qu’elle pensait que le tout m’était destiné. Je devins écarlate.
— Non, non, je vous assure que c’est bien pour ma femme, mais c’est un peu compliqué.
Elle eut un sourire entendu mais ne répondit rien.
C’est à ce moment-là que mon portable retentit. Avec soulagement je vis que c’était mon épouse. J’allais pouvoir lui passer la vendeuse.
— Allo mon chéri, ça se passe bien ?
— Oui , mais j’ai un peu de difficultés à expliquer ce que je veux comme taille.
— C’est le but du jeu, non ?
— Oui mais elle me propose d’essayer. Elle pense que c’est pour moi…
Béa éclata de rire.
— C’est une excellente idée. Tu vas passer en cabine et quand tu seras prêt , tu lui demanderas de te prendre en photo et tu me l’enverras pour que je te dise si ça me plaît..
— Tu es sérieuse ? Je ne pourrai jamais …
— Tu as voulu parier …. J’attends…
Et elle me raccrocha au nez.
— Alors ? Que faisons nous ? Me demanda la propriétaire, un sourire narquois aux lèvres.
Je m’efforçai de répondre en lui expliquant la situation.
— Eh bien , allons y . Et elle m’indiqua l’isoloir le plus proche.
Le cerveau totalement embrouillé, les idées plus très claire, je me déshabillai tel un automate et enfilai le cadeau de ma femme.
Un coup d’œil dans le miroir me fit comprendre le burlesque de la situation.
Si la taille était la bonne, j’avais l’air totalement ridicule avec les poils de mon torse dépassant du bustier et ma cage chromée que ne pouvait cacher le minuscule morceau de tissu .
J’eus soudain envie de m’enfuir.
— Alors êtes-vous prêt ?
— Euh, oui…
— Eh bien qu’attendez-vous pour sortir ?
Je m’exécutai honteux. Elle eut du mal à contenir son rire en m’apercevant.
— Donnez-moi votre portable !
A cet instant, la porte s’ouvrit et je couru me cacher ne voulant pas m’exposer ainsi fagoté.
A la conversation qui s’en suivit, je compris que une de ses amies était venu voir Fabienne, la propriétaire de l’établissement.
Elles papotèrent encore quelques instants avant que cette dernière ne dise tout haut :
— Tu tombes bien, tu vas me donner ton avis. Monsieur, vous pouvez sortir que nous en finissions .
Jamais je n’aurai eu autant honte de ma vie mais il fallut bien que je m’exécute .
La nouvelle venue, d’abord interloquée à ma vue, fut ensuite prise d’un fou rire tellement communicatif qu’il détendit quelque peu l’atmosphère.
— Comment la trouves tu Fanchon ? Lui demanda Fabienne
— Quoi ? La guêpière ou celle qui la porte ?
— Les deux.
— Très sexy , mais il faudrait raser la pelouse pour être plus crédible.
— Mais non, ce n’est pas pour lui, c’est pour sa femme.
— Ah bon … fit elle dubitative.
Fabienne finit par me prendre en photo et je me hâtai d’envoyer le message à Béa qui me confirma que la tenue lui plaisait.
Rhabillé et un peu moins mal à l’aise à présent, j’expliquai aux deux amies ma situation.
Amusées et curieuses , elles me posèrent moultes questions auxquelles je répondis de mon mieux , sans pour autant rentrer dans les détails de notre vie amoureuse et de nos jeux intimes.
— Votre épouse ne manque pas d’imagination.. A ce rythme-là, le mois qu’il reste va vous sembler bien long..
La suite confirma qu’elle avait raison…..
……………
Peu de temps après avoir subi l’humiliation d’essayer les sous-vêtements achetés pour mon épouse et alors que j’étais encagé depuis plusieurs jours, Béa reçut un petit colis par la poste.
Elle eut un sourire de satisfaction quand elle le découvrit , le soir, posé sur la table.
Après notre souper, elle me dit tout à coup :
— Nous devrions aller nous doucher !
Nous avions l’habitude d’échanger des caresses dans notre grande douche à l’Italienne et je crus qu’elle allait me libérer.
Sensuellement , comme à l’accoutumée, nous fîmes mousser le savon sur nos corps , insistant sur nos parties les plus intimes, nous embrassant avec passion.
Une fois secs, elle m’entraîna dans notre chambre et me fit assoir sur une chaise.
Mon sexe débordait de sa prison me faisant souffrir mille maux.
Elle m’attacha les mains derrière le dos et alla chercher la clé de la cage.
Ma queue jaillit de son piège et remonta contre mon ventre.
— Mon amour, fit ma femme, tu es bien excité, mais ton sexe n’est pas très net. Je vais m’en occuper.
Elle revint peu après avec une bassine d’eau froide et un gant de toilette.
— Interdiction de jouir, sinon tu ne pourras pas t’occuper de moi. Se moqua-t-elle .
Enfin, j’allais pouvoir lui faire l’amour….Je fis un effort surhumain pour ne pas éjaculer sous ses attouchements et parvins à me maitriser.
Une fois bien sec, elle contempla ma bite toujours aussi raide et y déposa un baiser.
Je crus qu’elle allait me prendre en bouche en une fellation dont elle avait le secret, mais non, elle se contenta d’un chaste bisou.
Elle ouvrit ensuite le colis postal et en sortit un tube de pommade dont je ne pus voir la marque.
Chose étrange, elle enfila un gant en latex et commença à me masser le sexe avec l’onguent.
— Qu’est-ce que tu me mets ? Ça va me faire mal ?
Elle ne répondit pas et continua son massage.
Plus la crème pénétrait dans ma peau, moins je sentais ses doigts et mon sexe fut vite totalement engourdi.
Elle pinça mon prépuce et eut l’air satisfaite de mon manque de réaction. A vrai dire je ne ressentais plus rien, j’avais l’impression d’avoir un bout de bois entre les jambes.
— C’est juste une pommade anesthésiante, me dit-elle en déroulant un préservatif sur mon engin. Les effets partiront dans quelques temps. En attendant tu vas me faire plaisir.
Elle me détacha et se couchant sur le lit, elle me montra son sexe en me disant :
— Viens mon soumis ! Viens t’occuper de ta Maîtresse !
Ma bouche prit la sienne et nous nous enlaçâmes , le souffle court.
Mes mains parcoururent son corps, mes lèvres frôlèrent ses tétons durcis, ma langue trouva ses chairs trempées.
Je la fis jouir une première fois en m’occupant de son clitoris et en agaçant son vagin accueillant de mes doigts repliés. Puis, la laissant reprendre ses esprits, mon sexe toujours aussi tendu s’insinua dans son antre avide de pénétration.
Je ne ressentis toujours rien, pas même la douce chaleur de ma compagne sur mon vit anesthésié.
Alternant les positions, le rythme, les angles de l’intromission, je la fis jouir intensément.
Quant à moi, il me fut impossible de ressentir le moindre frisson.
Au bout de quelques très longues minutes, Béa en fut exténuée .
— Je n’en peux plus mon amour. Tu m’as tuée . Me fit-elle en souriant, les yeux dans le vague.
J’étais en sueur. A regret, je me détachai d’elle et me couchai à ses côtés. Mon sexe perdit de sa splendeur et elle me prit en bouche.
Privé du toucher, c’est uniquement la vision de mon épouse me suçant encore enveloppé qui me redonna de la vigueur.
La coquine savait parfaitement ce qui pouvait m’exciter. Elle s’acharna sur moi son regard plongé dans le mien puis, elle me délaissa.
— Merci Mamour. C’était formidable. Je t’aime. Me dit-elle en forme de compliment.
— Tu ne vas pas me laisser comme ça ? Implorai-je.
— Non, bien sur… Je t’autorise à te masturber en me regardant. Tu as deux minutes pour te faire éjaculer, ensuite, direction la cage…
Bien entendu , elle savait parfaitement qu’après le traitement infligé à ma queue, il me serait impossible d’atteindre mon plaisir.
Je ne l’ignorai pas non plus et, par jeu, j’insistai tout de même en me branlant comme un sauvage.
Le temps écoulé , rien ne vint.
Elle me rattacha les mains, enleva le préservatif et nettoya mon sexe luisant de crème grasse.
Comme je ne débandai toujours pas, elle s’en alla chercher la poche de glaçons et le froid me fit redevenir humble.
En un tour de main, je fus ré emprisonné pour de bon.
— Tu es une perverse ! Lui dis-je totalement frustré par la séance.
— Je sais Mamour, c’est aussi pour ça que tu m’aimes !
Et elle m’embrassa, me souhaita bonne nuit, se tourna et s’endormit apaisée.
Je passai une nuit atroce entre insomnies et cauchemars.
Le lendemain matin, ma bite avait retrouvé sa sensibilité.
J’avais toujours eu de gros besoins sexuels. D’habitude, nous faisions l’amour 4 à 5 fois par semaine, avec toujours autant d’empressement, de fougue et de plaisir .
Les rares fois ou nous étions séparés ou bien quand elle était indisposée, je me masturbai et je ne lui cachai pas. Elle n’était pas en reste non plus et nous trouvions ces pratiques naturelles.
J’atteignit bientôt les 8 jours d’abstinence et le lui fis remarquer alors qu’elle avait pris l’habitude, le soir, de me libérer quelques instants pour faire ma toilette intime.
Bien sur, je bandai comme un diable et elle avait parfois du mal à me remettre sous clés.
— Tu verras mon chéri , comme ta jouissance sera terrible quand je t’autoriserai à jouir en moi..
— Oui, mais quand ?
Elle ne répondit pas, se contentant de me sourire.
Pour elle, par contre, il ne fut pas question qu’elle se priva de jouissances.
Mes doigts, ma langue, nos jouets intimes avec lesquels elle m’ordonnait de la caresser lui apportèrent les orgasmes qu’elle attendait.
J’étais heureux de lui faire plaisir mais totalement frustré.
Petit à petit, je me rendis compte que mon comportement envers elle changeait.
J’étais plus attentif, plus à l'écoute de ses désirs, plus dans l’anticipation de ses besoins.
La tension sexuelle dans laquelle elle me maintenait fut de plus en plus forte et elle se rendit compte que j’en souffrais
Elle décida de s’occuper de moi d’une autre manière.
En ce début de week end, le vendredi soir, elle se fit câline, tendre, beaucoup plus qu’à l’accoutumée.
Elle m’entraîna vers notre chambre et , nus, nous nous roulâmes sur le drap.
Joueuse, elle me mit un bandeau sur les yeux , sachant très bien mon attrait pour ces instants ou privé de vue, je pouvais sombrer dans un bien être total, bercé par ses caresses.
Sur le ventre, elle fit couler sur moi un filet d’huile et entrepris un de ses massages coquins dont elle seule avait le secret.
Je frissonnais sous ses effleurements allant de mes épaules au bas de mes reins.
D’habitude ces jeux se finissaient en une fellation complète et j’espérai la même issue.
Il n’en fut rien.
Elle commença par m’attacher les mains aux barreaux de notre lit puis, ses doigts insistèrent leur travail sur mon anus qui s’ouvrit peu à peu.
J’adorai la sentir s’insinuer dans cet endroit mais, allez savoir pourquoi, aucun objet, quelqu’il soit, n’avait jamais franchi la barrière intime.
— Mets-toi à genoux mon Amour. Me susurra-t-elle à l’oreille. Et cambre-toi bien.
J’obéis à l’instant et je l’entendis fouiller parmi nos sextoys .
— Sais-tu ce que je vais te faire ?
— Je pense que tu vas me sodomiser.
— Oui, il est temps que tu connaisses ces sensations. Qu’en penses-tu ?
Aucun son ne put sortir de ma bouche, tiraillé que j’étais entre la crainte et l’envie.
Elle se rendit compte que mes chairs s’étaient refermées, aussi reprit elle son massage avec doigté. Petit à petit, sous ses douceurs, ses paroles m’amenant à me décontracter, elle put y rentrer deux doigts.
Dès qu’elle sentit mon relâchement, son majeur chercha ma prostate, la trouva et la titilla. Je ressentis une impression vraiment bizarre, inconnue jusqu’alors, et qu’il est totalement impossible de décrire.
Tout juste pourrai-je dire que la sensation me plut et que le petit gode vibrant qui remplaça ses doigts fut plutôt bien accepté.
Elle entama de doux va et vient tout en faisant varier les vibrations de l’engin.
Une douce plénitude m’envahit et je me laissai transporter quand, tout à coup, mon sexe se gonfla autant qu’il le pouvait et je le sentis couler.
Encore une émotion nouvelle que celle d’éjaculer, d’expulser du liquide, sans connaître l’orgasme. Je me vidai en jets ininterrompus pendant quelques instants, puis, plus rien ne sortit.
Béa se retira.
— Alors mon amour ? Tu as aimé ?
— Oui, c’était bon mais très étrange. Je me sens comme repu , rassasié.
— C’était le but du jeu. Je voulais te calmer avant la soirée de demain.
— Demain ?
— Oui, j’ai invité Emilie et Francky.
— Tu vas me libérer pour la soirée alors …Lui demandai je, une lueur d’espoir dans les yeux.
— N’y pense même pas ! Tu seras notre soubrette !