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Histoire du net. Auteur Inconnu. Gérontophilie... Suite

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Comme on dit dans ma cambrousse: 
Bon sang ne saurait mentir..!

- AIE !
- Allez, crie le moi que tu es une vieille salope !
Et cette fois, jouant du feu et de la glace, le gendre pervers reprends son malaxage du clitoris, il s’applique pour réussir très vite à replacer son ex-belle-mère dans un état proche de l’orgasme, il ordonne une fois encore :
- Allez, cries moi que tu es une vielle salope .
- Je suis une vieille salope, cette fois la femelle en chaleur l’a dit clairement, avec une certaine force dans sa voix toutefois encore très aiguë qui dénote son état d’excitation intense.
- Plus fort morue !
Ordonne encore le vicieux homme en redoublant de vitesse dans ses caresses clitoridiennes.
- JE SUIS UNE VIEILLE SALOPE !
Cette fois la pauvre femme a vraiment crié, dans son plaisir elle en oublie qu’elle est chez elle, dans une tour, avec de nombreux voisins alentour qui, sauf à être totalement sourds, ne pourront pas faire autrement que d’entendre ses confessions perverses.
Marc s'applique maintenant à faire jouir la vieille femme.
Jeannette s'éclate dans un concert de grognements. Puis, après quelques minutes à avoir des soubresauts et autres signes de l'intensité de son plaisir, la femme place ses deux mains sur son sexe comme pour le protéger. Elle ne sait plus
où elle en est avec ce diable d'homme et cherche son souffle, mais elle est heureuse d'avoir eut un tel orgasme. Elle se perd dans ses pensées et ne sait plus du tout comment régir vis à vis de son ex-gendre.
L'homme ne compte pas en rester là, si cette vieille chienne vient de jouir en gueulant, il estime avoir lui aussi le droit à son plaisir, aussi il se déplace et vient se mettre à la hauteur de la tête de la femelle aux yeux clos maintenant. Il ouvre sa braguette et sort son sexe en pleine érection.
Empoigne les cheveux gris et tire la tête à lui jusqu'à ce que la bouche soit en contact avec son pieu de chair, là il lance d'un ton décidé :
- Ouvres la bouche et suces moi vieille truie.
La pauvre femme exécute l'ordre et happe ainsi une bonne partie de la tige de chair dressée à sa portée.
- Pompes moi ! Pompes et donnes moi autant de plaisir que je t'en ai donné vieille salope.
Jeannette suce au mieux cette queue, mais il semble que ça ne suffise pas car elle sent l'emprise de cette main qui lui tient toujours les cheveux devenir de plus en plus ferme.
- T'es comme ta connasse de fille, toujours prête à se faire remplir la marmite à foutre, mais pas capable de faire une vraie bonne pipe, je vais me branler dans ta bouche, mémé !
Et, joignant le geste à la parole, Marc, guide la tête de manière à ce que la bouche puisse être bien envahie par son sexe, et il se mets à limer cette vieille bouche sans aucune considération pour la femme en soufflant de plus en plus rapidement et de plus en plus fort.
Jeannette se laisse aller, elle respire par le nez ne pouvant pas par la bouche ainsi occupée, elle porte toujours les mains à son sexe et la tête lui tourne de tout ce qui arrive ce soir.
Dans un grognement à la limite de l'humain, Marc éjacule dans la bouche de la vieille dame sans lui permettre de pouvoir se reculer pour mieux respirer. Les longs jets de foutre tièdes vont s'écraser contre le fond de la gorge abusée. Il se laisse aller à son plaisir totalement ivre de stupre.
Les mains toujours sur sa vieille chatte endolorie, Jeannette, avale machinalement le sperme de son nouvel amant pour pouvoir mieux respirer ensuite.
Ivre elle aussi de stupre et d'alcool, elle reste là, allongée sur la table en bois, inerte, à attendre sa délivrance sans impatience.
L’homme reprend doucement son souffle et, a queue devenant molle et se recroquevillant, ressort son membre tout en conservant machinalement la tête de la vieille entre ses mains.
- Ah ! Ça fait du bien de se vider les couilles dans un vieux pot comme toi !
En remballant le matériel dans son pantalon et refermant sa braguette, Marc d'une voix grave mais détendue annonce encore à la vieille dame :
- Bon, tu vas m'attendre pour aller au lit, maintenant je vais mettre les photos sur internet.
Il relève sa belle-mère, la place au milieu de la pièce, lui fait mettre les mains sur la tête, comme tout à l'heure, puis ajoute encore d'un ton vicieux :
- Les coudes bien en arrière que ça remonte un peu tes mamelles ! Là on dirait une vieille vache pour l’abattoir ! Et, en lui passant une main dans le dos ajoute encore, redresses toi salope !
Jeannette se laisse faire, elle pousse comme elle peut sur ses bras décharnés pour faire venir ses coudes sur l'arrière de son corps, et tache de se redresser au mieux. Obéir à son gendre lui paraît la meilleure des choses à faire pour le moment, son esprit est encore ensuquer par le plaisir intense qu'elle vient de vivre et qui lui laisse de longs frissons qui parcourent tout son corps.
L'homme qui vient de sortir de la pièce revient avec son ordinateur et son téléphone, il pose ses deux appareils sur la table qui est encore chaude du corps de la mémé. Branche son téléphone et récupère les photos sur son ordinateur, puis se sert du téléphone pour aller déposer quelques-unes des photos sur un site de mémés vicieuses. A chaque fois qu'il attend qu'une page se charge il regarde la vieille et vérifie sa pose qu'il corrige au besoin.
Après un bon quart d'heure, et alors que la vieille dame commence à avoir mal aux bras et s'en plaint, Marc referme son ordinateur et lui annonce très sérieusement :
- Voilà, tu vas devenir une reine d'internet ! Je vais tacher de faire de toi la vieille la plus salope du net, tu vas voir chérie...
L'homme passe un certain temps devant son ordinateur sur le net à mettre en ligne des photos de la vieille et surtout à les commenter de façon salace.
Pendant cette opération, Jeannette, totalement soumise ne dit rien. Est ce un consentement tacite ou une grande fatigue, elle même ne pourrait le dire tant cette soirée fut intense en tout domaine.
L'homme attrape la vieille femme par les cheveux et guide sa tête pour que la vieille bouche vienne au contact de la sienne sans faire trop d'effort ni de mouvement, puis il embrasse fougueusement la femme.
- J'ai des potes qui aimeraient bien se taper une vieille folle de bite comme toi, je pense que je vais passer quelques jours ici et monter un petit gang-bang pour toi.
Il embrasse à nouveau la femme, lui pelote les seins de sa main libre, puis descend vers la grotte intime de la dame et reprend des caresses obscènes sur le vieux clito encore tout dur.
Jeannette recommence à respirer fortement, puis de plus en plus rapidement. Les caresse sur son bouton d'amour lui procurent de longs frissons qui parcourent tout son corps.
Sentant que la femme accepte à nouveau ses caresses vicieuses et impudiques, l'homme, qui a compris que le baiser était aussi un puissant aphrodisiaque pour la dame, reprend possession de la bouche de sa proie.
Après un tel déferlement de sensations presque oubliées, ce baiser fougueux mais attentionné revigore quelque peu cette femme qui perd pied de plus en plus. Mais le bonheur est de courte durée, bientôt, comme dans un rêve, elle entend :
- Tu m'as bien excitée vieille chienne, il faut que je me vide encore les couilles dans ton ventre de vieille chienne…
A nouveau le pervers personnage embrasse fougueusement la femme en l'emmenant doucement, mais sûrement, vers le coin salon. Là, d'un geste sur du pied il pousse les revus qui encombraient la table basse puis il contraint la vieille à s’asseoir sur cette table.
Elle se laisse guider, sans chercher à comprendre, l'alcool faisant son chemin et embrumant totalement son cerveau, elle ne sait bientôt plus ce qu'elle fait chez elle, ni pourquoi elle le fait, c’est agréable de se faire embrasser comme bien des années au paravent, et ça devient la seule chose qui compte à cet instant.
Il commence par se pencher en avant pour faire asseoir la vieille femelle sur la table basse et en tester la solidité, puis, se dégageant de la bouche avide, l'allonge doucement de tout son long, les fesses au bord du petit côté de la petite table.
Le contact frais du bois sous sa peau donne un léger frisson, mais toujours dans un état second elle se laisse manœuvrer par son ancien gendre.
Marc recule, allume la lumière, et, voyant les poils gris et clairsemés de la vieille chatte, décide de prendre quelques clichés de cette chatte avant qu'il ne la remplisse de foutre. Il retourne à l'ordinateur prendre son appareil photo.
Jeannette a le dos et la tête sur la table basse. Ses jambes en dehors du meuble restent droites jusqu'aux genoux, et là, les jambes sont pliées à 90 degrés pour qu'elle ai les pieds au sol. Elle ne bouge pas, seule sa respiration assez forte se fait entendre et fait monter et descendre son buste.
Le pervers salaud revient et fait encore quelques photos de la chatte de la vieille femme, d'abord de loin, puis de plus en plus près, pour finir par quelques gros plans, quand soudain il ordonne :
- Remontes tes jambes et tiens tes cuisses.
Une fois encore la vieille femme exécute l'ordre donné, relève doucement ses jambes et vient les maintenir ne passant ses mains sous ses genoux.
Marc en profite pour écarter les cuisses le plus possible et ouvrir la vulve offerte au regard lubrique de son objectif, puis ceux des internautes.
Encore quelques prises de vues, puis il repose son appareil sur la table de la salle à manger et revient en déboutonnant sa braguette et annonçant :
- Allez, je vais t'en mettre une cartouche vieille toupie…
Et joignant le geste à la parole, il s'empare des cuisses offerte, se met à genoux devant la chatte ouverte, et pointe son sexe en érection à l'entrée de la grotte féminine. Il pousse, le gland entre d'un coup.
- Oh… Jeannette ouvre les yeux et fixe ce diable d'homme qui prend possession de son corps.
L'homme enfonce son peu de chair en érection le plus loin possible, mais doucement et lentement. Comme il voit que la vieille femelle sourit béatement, il lui dit :
- T'aime ça te faire piner vieille morue…
Et il accélère alors son mouvement pour entamer un rapide va-et-vient.
Très vite mamie commence à couiner, à se pâmer, entre l'alcool ingurgité, la soirée plus que déstabilisante, et cette « baise à la hussarde » dont elle subit les assauts, là elle lâche prise.
- Putain que tu as la chatte large ! Je vais pouvoir faire mes 30 minutes de sport à te limer avant de te remplir vieux pot à foutre…
L'homme devient grossier et espérant une réaction de la mémé, mais il ne emble pas que cette dernière, pourtant très « grande gueule » habituellement, ne dise mot, et, c'est bien connu, qui ne dit mot, consent !
Jeannette se laisse limer la chatte par ce bel étalon, la queue qui entre et sort en permanence à différents rythmes dans son corps lui donne un plaisir fou qu'elle aurait presque oublié.
Pris par la tournure de la soirée, l'alcool, même s’il en a moins bu que la vieille, commence à faire sentir des effets secondaires, l'homme, excité, se laisse aller à ses plus bas instinct et lime cette vieille chatte sans se poser aucune question, ni sur les conséquences, ni sur ce que la vieille pourrait ressentir ou même espérer..
La femme commence à jouir en poussant de longues plaintes, puis ces plaintes se transforment en petit cris, de plus en plus aigus.
Marc se tape une mémé, rien que l'idée l'excite terriblement. Il est là, à genoux sur une petite carpette marocaine en laine, les chevilles de la femme sur ses épaules, ses mains tenant les chevilles, à limer une chatte plus vieille que lui de plus de vingt ans, aux poils gris, et il se régale des sensations et émotions qu'il en tire.
Maintenant Jeannette commence à vraiment faire du bruit, elle jouit en criant de plus en plus fort, peu lui importe à cet instant ce que les voisins pourraient entendre, là elle est juste à sa jouissance qu'elle sent tourner en orgasme dans les instants à suivre.
Sentant pertinemment que sa partenaire du moment va jouir et atteindre l'orgasme, l'homme n'y met que plus encore d'énergie et de maîtrise de lui-même, du moins le croit-il, car en guise de maîtrise, son plaisir monte inexorablement et va bientôt éclater sans qu'il ne puisse justement plus rien contrôler ni maîtriser.
Jeannette joui maintenant très bruyamment, non seulement elle jouit et pousse des sons incompréhensible, mais elle commence aussi maintenant à pousser des « oui », vas-y », continue »…. totalement intelligibles eux !
- T'aime ça… Elle est bonne ma bite ! Hein vieille salope, dis le que tu aimes te faire baiser… Dis-le qu'à ton age tu aimes encore te faire ouvrir la moule à coup de bites, vas-y morue, exprime toi…
Marc aussi crie à son tour emporter par la puissance sexuelle du moment et par son excitation à baiser son ex-belle-mère. De plus, c'est un peu comme si il prenait une sorte de revanche sur son ex-compagne, ce qui ajoute encore à son excitation.
- Viens… Donne-moi tout…
Cette fois la vieille commence à exprimer son désir de façon claire. Puis elle part dans un long cri rauque et puissant qui démontre son orgasme.
- Haaaaa… Salope ! Tu me fais jouir morue…
Et l'homme, ne pouvant plus résister à son propre orgasme, lâché son foutre chaud en agrippant les vieilles cuisses flasques et en se collant son pubis contre la vieille moule. Sa bite est totalement entrée dans le corps de la femme
et il décharge de longs jets puissants qui vont s'écraser contre le fond de la matrice féminine.
Puis il s’écroule et son ventre vient au contacte du ventre de la grise.
Jeannette a bien du mal à reprendre son souffle tant l'orgasme a été puissant et dévastateur. De plus le poids de l'homme sur son corps usé l’empêche de respirer totalement librement, mais, après un tel orage, rester un eu avec le contact d'une autre peau sur la sienne est un plaisir qui prolonge le plaisir.
Après de longues minutes ainsi assemblés, Marc décide de se reprendre et il se relève assez péniblement, il est ankylosé et donc son corps de répond pas aussi vite qu'il le voudrait. Il se rhabille à peu près et regarde de haut cette vieille salope allongée telle une baleine échouée sur une plage.
Il retourne dans la salle à manger et reprend son téléphone qui lui sert d'appareil photo, puis revient faire deux photos de Jeannette allongée et comblée.
- Allez ! Au lit mémé, il est grand temps pour toi d'aller reprendre des forces ! Après ce que je t'ai mis !
Puis il aide la vieille femme à se relever de la table basse, mais il s'aperçoit que sa chatte suinte. Lui vient alors une idée perverse et il décide de faire marcher la vieille dans l'appartement jusqu'à ce que je foutre coule de sa chatte encore élargie.
- Allez mémé, on va faire un peu de marche pour te dégriser et qu'on puisse ensuite dormir tranquillement.
Jeannette se laisse soutenir et guider, là elle ne comprends plus rien du tout, mais elle se laisse faire sans rechigner et suis du salon au vestibule, puis au
couloir, puis à la salle à manger, la promenade de cette folle soirée.
Après 3 tours d'appartement, Marc stoppe la grise devant la table basse du salon, lui fait mettre un pied sur cette petite table, et vérifie que la chatte suinte bien. En effet, on peut voir des coulures de foutre le long des cuisses de la vieille. Aussi il s'empare de son téléphone pour faire des photos.
Pendant cette petite séance photo qui dure 5 longues minutes, devant soit écarter les cuisses soit se pencher en avant, soit se pencher en arrière, soit serrer les cuisses, et ainsi de suite, la pauvre Jeannette ne dit mot et obtempère docilement.
Le pervers personnage est excité à l'idée que dès demain il mettra des photos de cette vieille salope qu'il vient de baiser sur internet, il ne doute pas que ces photos auront un franc succès.
- Allez mémé, cette fois au lit…
Et prenant Jeannette par la main il l'emmène dans la chambre à coucher.
La vieille femme déjà nue se met au lit comme un automate.
L'homme se déshabille rapidement et s'empresse de se coucher, il prends la vieille femme dans ses bras histoire d'avoir les seins bien en main.
- On dort un peu, et cette nuit je vais commencer à te baiser pendant ton sommeil…
Il éteint la lumière et sombre dans un sommeil réparateur aux rêves lubriques.
Sur le coup de 3 heures du matin, Marc se réveille. Très vite son cerveau se remet en route et ses souvenirs de la folle soirée reviennent.
Sans bouger il écoute la respiration de la vieille femme qui dort toujours dans ses bras, tout va bien elle dort profondément semble-t-il.
Il prend quelques instants de réflexions.
Difficile de croire qu'il a pu aussi aisément baiser son ex-belle-mère. Quelque part lui mime n'en revient pas, mais il se dit aussi qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et que la situation de cette femme soumise à ses caprices pourrait ne pas durer éternellement.
Il se souvient avoir promis à la mémé de la baiser pendant qu'elle dormirait, aussi il se dit que, finalement, il aura prévenu et donc qu'il peut abuser d'elle, du moins commencer à abuser d'elle, pendant qu'elle dort encore.
Très doucement il se défait du corps de la femme et se tourne pour prendre son téléphone cellulaire qui lui sert d'appareil photo. Il consulte les clichés qu'il a pris quelques heures auparavant, se régale des postures obscènes et humiliante qu'il a fait prendre à la vieille, et tout cela lui redonne une érection qu'il commence à développer avec sa main libre.
Jeannette est totalement nue, elle ronfle doucement comme une vieille machine à vapeur bien entretenue mais dont le poids des ans est tout de même visible.
Ses rêves sont dans le passé, ses anciens amants, ses frasques, ses turpitudes, tout se mélange dans une scène fantasmagorique effrénée.
Marc entretien une belle érection, maintenant il repose le téléphone sur la table de chevet, se positionne contre le dos de la femelle, guide sa queue sous les draps, trouve le sphincter. De l'autre main il mouille ses doigts de sa salive en enduit le trou du cul qui s’entrouvre sans peine, visiblement la vieille se faisait enculer souvent.
Il écarte ensuite les fesses molles. Puis d'un coup de rein doux mais ferme, enfonce le gland directement dans l'anus de la mémé.
Aucune réaction de Jeannette. Marc pousse le bouchon un peu plus loin et son sexe entre à moitié dans l'abus ridé.
La femme grise se réveille d'un coup, et pousse un petit cri, puis demande d'une voix trahissant son inquiétude :
- Mais qu'est-ce que vous faites ?
- Comme promis ma salope, je te prends le cul pendant ton sommeil, tu vas voir comme c'est bon…
- Mais ! Marc ! Je ne vous permets pas…
- Ta gueule connasse ! Après ce que tu m'as avoué et ce que tu as fait hier soir, tu ne vas pas commencer à faire la mijaurée !
Et sans attendre une réponse quelconque, l'homme se met à limer le vieux cul en commençant par entrer son membre tout au fond, puis le retirant brutalement le faisant sortir de sa gangue de chair. Puis l'introduisant à nouveau en écartant ferment les fesses fripées.
La vieille femme se laisse finalement faire, les mots durs lui ont rappelés la soirée de la veille et son comportement qu'elle ne comprend pas. Mais pour le moment, elle est heureuse de sentir des ondes de plaisir parcourir son corps car elle a toujours adoré la sodomie, et là, ce diable d'homme, s'y entend !
- Une vieille enculée comme toi est un vrai bonheur, dit Marc le souffle court tout à sa sodomie et à son plaisir.
Jeannette commence à râler de plaisir sous les assauts de cette queue presque magique et les sensations que lui procurent son sphincter.
- Tu la sens bien dans ton pot, salope ?
- Hum, hum… Fait la femme en guise de réponse.
- Dis-le que tu es une enculée !
- Oui… gémit-elle doucement.
- Dis-le que tu es une vieille enculée, allez salope, dis le !
- Je suis une enculée, pousse timidement Jeannette entre deux râles de plaisir.
- Mieux que ça ! Je suis UNE VIEILLE ENCULEE !
Cette fois l'homme crie son ordre.
- hummmm… Un grognement qui veut dire sûrement non.
- Dis-le que tu es UNE VIEILLE ENCULEE. Et l'homme stoppe alors ses mouvements.
- Encore, gémit la perverse mamie..
- Alors dis-moi que ut es une vieille enculée !
- Je suis une vieille enculée…
L'homme reprend alors ses mouvements de va-et-vient, puis il dit encore :
- Plus fort, crie le que tu es une vieille enculée…
- Je suis une vieille enculée crie la femme, mais certainement encore pas assez fort.
- Plus fort te dis-je !
- Je suis une vieille enculée, cette fois Jeannette le crie à plein poumons, puis elle reprend ses râles de plaisirs.
- C'est bien connasse ! Ainsi tout l'immeuble va savoir que tu es une vieille putain qui se fait encore enculer à passer 70 ans.

A suivre 

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