C'est long pour former de bons apprentis.
Il faut un bon maître..!
Il faut un bon maître..!
Esclave du patron
Partie II
Les jours et les fellations se succédèrent et Marie continuait à ma regarder de haut et de façon un peu méprisante. Je me disais que c’était sans doute parce que je me comportais comme une lopette assez méprisable aux yeux de la très belle femme qu’elle était. De mon côté, j'avais peu à peu intégré l'idée qu'il n'était pas aussi anormal que ça pour un garçon de faire des pipes ! Et puis, le patron et sa femme se montraient maintenant nettement plus gentils avec moi. Bientôt, le patron prit l’habitude de me demander de me dévêtir devant lui en ne gardant que mon caleçon pour lui tailler ses pipes. Au point où j’en étais !
Un soir, il me fit la remarque que mon caleçon n’était vraiment pas esthétique et il appela sa femme pour lui demander si elle n’avait pas une petite culotte plus féminine à me faire mettre. Elle n’en avait pas, mais aussitôt souleva sa robe et descendit une délicieuse culotte tanga en satin rose, et me la tendit pour que je la mette à la place de mon caleçon.
Surpris, mais nécessairement docile, ce n’est pas sans une certaine réticence que je l’ai enfilée à la place de mon vieux caleçon de coton et l’effet fut immédiat. Le contact de ce satin si doux et encore tout imprégné de la chaleur intime de sa propriétaire me fit bander violemment. Marie ne manqua pas de le remarquer, mais ne fit aucun commentaire et pour masquer mon érection je me mis aussitôt à genou pour entreprendre ma fellation.
Partie II
Les jours et les fellations se succédèrent et Marie continuait à ma regarder de haut et de façon un peu méprisante. Je me disais que c’était sans doute parce que je me comportais comme une lopette assez méprisable aux yeux de la très belle femme qu’elle était. De mon côté, j'avais peu à peu intégré l'idée qu'il n'était pas aussi anormal que ça pour un garçon de faire des pipes ! Et puis, le patron et sa femme se montraient maintenant nettement plus gentils avec moi. Bientôt, le patron prit l’habitude de me demander de me dévêtir devant lui en ne gardant que mon caleçon pour lui tailler ses pipes. Au point où j’en étais !
Un soir, il me fit la remarque que mon caleçon n’était vraiment pas esthétique et il appela sa femme pour lui demander si elle n’avait pas une petite culotte plus féminine à me faire mettre. Elle n’en avait pas, mais aussitôt souleva sa robe et descendit une délicieuse culotte tanga en satin rose, et me la tendit pour que je la mette à la place de mon caleçon.
Surpris, mais nécessairement docile, ce n’est pas sans une certaine réticence que je l’ai enfilée à la place de mon vieux caleçon de coton et l’effet fut immédiat. Le contact de ce satin si doux et encore tout imprégné de la chaleur intime de sa propriétaire me fit bander violemment. Marie ne manqua pas de le remarquer, mais ne fit aucun commentaire et pour masquer mon érection je me mis aussitôt à genou pour entreprendre ma fellation.
Après la pipe, Marie me fit passer par son bureau et constatant que j’avais mouillé sa culotte, me dit de la garder et qu’elle était maintenant à moi. Elle me dit de la laver dès que je serai rentré et ajouta que je devrai la mettre demain pour venir travailler. Elle ajouta encore que dorénavant le patron souhaitait que je porte des culottes de femmes pour venir travailler et qu’elle m’en apportera un paquet.
Un soir où le patron était parti pour plusieurs jours à l'étranger, Marie, me dit :
— Tu sais François, si tu voulais vraiment faire une surprise agréable au patron, au lieu de mettre tes horribles sous-vêtements en coton, tu devrais mettre en plus de tes petites culottes de la lingerie à moi que je t'ai apportée dans ce petit paquet
— Mais je suis un mec, madame!
— Écoute-moi, François, emporte ce paquet chez toi et ce soir essaie ce qu'il y a dedans sans discuter.
Je croyais qu'il y avait dans le paquet encore des tangas. En fait, le paquet de Marie contenait outre une adorable petite culotte en satin et dentelle, un porte-jarretelles assorti, une paire de bas noirs et un soutien-gorge seins nus. Le tout d’une très belle couleur rose bordée de dentelle marron. Là, je devins furieux. Il n'était absolument pas question que je porte ça sous mon pantalon et ma veste au bureau. Ma décision était prise. Il adviendra ce qui pourra, mais je ne ferai pas ça, quoiqu'il m'en coûte et je savais qu'il m'en coûterait beaucoup ! Le lendemain matin, Marie me demanda pour voir si j'avais exécuté ses ordres. Je lui répondis qu'il n'y avait rien à voir et que d'abord je ne savais pas mettre des bas. Le visage de Marie s'épanouit en un large sourire et elle me dit:
— Justement j'ai pensé à ça et hier soir je t'ai enregistré une petite vidéo pour te montrer comment il faut faire.
Et elle me tendit un nouveau DVD. J'étais intrigué par ce que Marie m'avait dit et j'avais hâte de voir cette nouvelle vidéo.
Arrivé chez moi le soir, j'installe le DVD pour regarder cette fameuse démonstration. Ce que je vis alors me coupa le souffle. Marie se présenta devant la webcam sur des escarpins à talons très hauts et dans un magnifique déshabillé en satin rose qu'elle enleva alors lentement, dévoilant son corps presque entièrement nu en dehors d'une petite culotte tanga qui cachait partiellement son triangle pubien.
Marie était une femme vraiment magnifique, comme je n'en avais jamais vu. Elle avait des seins généreux et couleur de lait qui se maintenaient spontanément très hauts, une taille d'une finesse exquise et des hanches d'amphore. J'en avais le souffle coupé. À cette occasion, j'eus d'ailleurs le plaisir de constater qu'elle était une fausse blonde!
Elle sortit d'un paquet semblable à celui qu'elle m'avait donné des dessous identiques, et elle commença à installer le porte-jarretelles dont elle ferma les crochets avec ses mains dans le dos. Mais elle montra qu'on pouvait aussi accrocher le porte-jarretelles en mettant la fermeture devant puis en le tournant lentement de 180°.
Ensuite, elle sortit délicatement les bas de leur pochette. Elle en prit un qu'elle roula soigneusement. Elle mit en place ses orteils couverts de vernis rouge dans le renfort de la pointe du bas et commença à le remonter en le déroulant sur sa jambe qu'elle caressa ensuite voluptueusement. Le geste était sublime et je commençais à bander ferme.
Pour la démonstration, elle montra ensuite comment il fallait accrocher le bas aux deux jarretelles. Elle refit la même manœuvre avec l'autre bas avant de remettre ses pieds dans les escarpins. Elle termina sa démonstration perverse en enfilant la petite nuisette (c'est comme cela qu'elle l'appelait). Dernier sourire, un dernier petit tour coquin devant la caméra et la vidéo se terminait. J'en restai baba. Emporté par l'ambiance, je pris mon paquet de lingerie, me portai devant la grande glace de la salle d'eau et commençai à imiter Marie. En enfilant les bas, je fus surpris par la merveilleuse douceur de leur contact sur la jambe. Ce premier contact avec le nylon sur ma jambe me parut sublime et me laissa un souvenir inoubliable. Je n'eus pas trop de difficulté à les fixer sur les jarretières. Quand j'ai mis la petite culotte, j'étais en proie à une violente érection.
Ma verge n'était pas très grosse par rapport à celle du patron, mais elle était bien rigide. Le contact que je commençais pourtant à bien connaitre, de ma verge avec le tissu de la culotte était tellement merveilleux que j'ai commencé à me branler à travers le satin et je n'ai pas tardé à éjaculer dans la culotte. Mon foutre était moins abondant que celui du patron, mais la culotte était bien souillée. Tout en gardant sur moi le reste de la lingerie, je me suis empressé de laver la culotte en espérant qu'elle serait sèche le lendemain.
Marie était une femme vraiment magnifique, comme je n'en avais jamais vu. Elle avait des seins généreux et couleur de lait qui se maintenaient spontanément très hauts, une taille d'une finesse exquise et des hanches d'amphore. J'en avais le souffle coupé. À cette occasion, j'eus d'ailleurs le plaisir de constater qu'elle était une fausse blonde!
Elle sortit d'un paquet semblable à celui qu'elle m'avait donné des dessous identiques, et elle commença à installer le porte-jarretelles dont elle ferma les crochets avec ses mains dans le dos. Mais elle montra qu'on pouvait aussi accrocher le porte-jarretelles en mettant la fermeture devant puis en le tournant lentement de 180°.
Ensuite, elle sortit délicatement les bas de leur pochette. Elle en prit un qu'elle roula soigneusement. Elle mit en place ses orteils couverts de vernis rouge dans le renfort de la pointe du bas et commença à le remonter en le déroulant sur sa jambe qu'elle caressa ensuite voluptueusement. Le geste était sublime et je commençais à bander ferme.
Pour la démonstration, elle montra ensuite comment il fallait accrocher le bas aux deux jarretelles. Elle refit la même manœuvre avec l'autre bas avant de remettre ses pieds dans les escarpins. Elle termina sa démonstration perverse en enfilant la petite nuisette (c'est comme cela qu'elle l'appelait). Dernier sourire, un dernier petit tour coquin devant la caméra et la vidéo se terminait. J'en restai baba. Emporté par l'ambiance, je pris mon paquet de lingerie, me portai devant la grande glace de la salle d'eau et commençai à imiter Marie. En enfilant les bas, je fus surpris par la merveilleuse douceur de leur contact sur la jambe. Ce premier contact avec le nylon sur ma jambe me parut sublime et me laissa un souvenir inoubliable. Je n'eus pas trop de difficulté à les fixer sur les jarretières. Quand j'ai mis la petite culotte, j'étais en proie à une violente érection.
Ma verge n'était pas très grosse par rapport à celle du patron, mais elle était bien rigide. Le contact que je commençais pourtant à bien connaitre, de ma verge avec le tissu de la culotte était tellement merveilleux que j'ai commencé à me branler à travers le satin et je n'ai pas tardé à éjaculer dans la culotte. Mon foutre était moins abondant que celui du patron, mais la culotte était bien souillée. Tout en gardant sur moi le reste de la lingerie, je me suis empressé de laver la culotte en espérant qu'elle serait sèche le lendemain.
Cette nuit-là, j'ai eu encore beaucoup de mal à dormir. D'un côté, je me disais qu'un mâle comme moi ne pouvait pas aller au bureau avec cette lingerie sous sa chemise et son pantalon. D'un autre côté, je repensais au plaisir incroyable que j'avais ressenti en la portant. Et puis enfin, il y avait ma situation dont je ne pouvais pas faire abstraction.
Finalement, le lendemain je me suis habillé comme Marie le souhaitait pour aller au bureau. Les bas étaient noirs et pouvaient passer pour des chaussettes très fines comme certains hommes en portent. À condition de garder ma veste qui était assez ample, on ne voyait pratiquement pas le soutien-gorge sous ma chemise. Comme mon bluejean était moulant, un œil averti pouvait voir le renflement des jarretelles sous mon pantalon.
Quand je suis arrivé au bureau, j'ai constaté que le patron était de retour. Marie ne tarda pas à venir me voir et sans un mot elle tâta ma cuisse à la recherche des jarretelles. Ce qu'elle sentit lui fit venir un large sourire.
Finalement, le lendemain je me suis habillé comme Marie le souhaitait pour aller au bureau. Les bas étaient noirs et pouvaient passer pour des chaussettes très fines comme certains hommes en portent. À condition de garder ma veste qui était assez ample, on ne voyait pratiquement pas le soutien-gorge sous ma chemise. Comme mon bluejean était moulant, un œil averti pouvait voir le renflement des jarretelles sous mon pantalon.
Quand je suis arrivé au bureau, j'ai constaté que le patron était de retour. Marie ne tarda pas à venir me voir et sans un mot elle tâta ma cuisse à la recherche des jarretelles. Ce qu'elle sentit lui fit venir un large sourire.
— Je vois que tu as compris ma leçon ! C'est très bien mon petit François, je crois que le patron sera content de toi ce soir.
— Pourquoi ce soir ?
— Parce que ce soir, tu lui feras sa petite fellation dans la tenue que je t'ai offerte. Au fait, qu'as-tu pensé de ma démonstration ?
Malgré ma mauvaise humeur, je dus en convenir
— Madame, vous êtes vraiment magnifique.
Alors elle ajouta mystérieusement:
— Un jour, toi aussi tu seras magnifique.
Je ne perdis pas de temps en vaines conjectures pour essayer d'interpréter ses paroles, car le téléphone sonnait dans mon bureau.
Le soir vers 21 heures, Marie m'appelle au téléphone:
— Le patron t'attend.
J'entre dans son bureau et j’entends que Marie déclenche, comme à chaque fois, la fermeture électrique des portes du Saint des Saints. Marie est là près de lui, derrière le bureau.
— Bonsoir mon petit François. Il y a pas mal de temps qu'on ne s'est pas vus. Tu sais que tu commençais à me manquer.
— C'est bien gentil, monsieur.
M'apprêtant à me mettre à genou au pied de son fauteuil. Marie me dit alors:
— François, tu devrais montrer au patron ce que je t'ai offert.
Mon sang ne fait qu'un tour et je suis devenu rouge de confusion.
— Si si, François, enlève tes habits de garçon pour montrer ce que tu as mis en dessous.
Je savais que je n'avais aucun moyen de me dérober. Je m'exécute donc de mauvaise grâce. Je ne peux tout de même pas leur montrer un plaisir indiscutable. Je suis bien heureux que la porte soit fermée, comme ça au moins, ça restera entre nous trois. Et je me dis qu'après tout, je ne suis pas à une turpitude près. Ce qui me contrariait le plus c'est de m'apercevoir que Marie avait sorti son Smartphone et était en train de filmer mon striptease.
Le patron ne me quittait pas des yeux. Quand je me suis retrouvé dans ma lingerie féminine, il dit à sa femme:
— Tu sais Marie, ce serait vraiment bien si tu lui mettais de ton rouge à lèvres.
Et Marie alla chercher dans son sac à main un tube de rouge avec lequel elle dessina avec soin mes lèvres. Ensuite, elle sortit une petite boite de fond de teint compact qu’elle appliqua sur ma figure pour faire disparaitre les petits défauts.
— Regarde Richard comme il est mignon avec son côté androgyne.
Voilà, le mot avait été prononcé. Androgyne, c'est être efféminé, une fiotte, une pédale, l'injure suprême pour un garçon quand j'étais à l'orphelinat. C'est dans la tenue que vous imaginez et les lèvres enduites d'un rouge gras (dont le goût était, je dois le dire, particulièrement agréable et excitant) que je me suis mis à genou entre les cuisses du patron, dans la position humiliante de la tantouse qui va réaliser une pipe.
Indiscutablement, je faisais des progrès. Je comprenais de mieux en mieux ce qui excitait le patron. Le fait de sucer dans cette tenue me faisait bander dans ma petite culotte. Pour la première fois, je découvrais que j'étais en train de prendre du plaisir à ce que j'étais en train de faire. Mon rouge à lèvres laissait des traces rouges sur le gland.
Et pendant ce temps-là, Marie filmait !
Quand tout fut terminé, le patron ne tarissait pas d'éloges et ajouta que j'étais vraiment une brave petite pédale, comme il les aimait. Une brave petite pédale ? Quelle horreur !
Indiscutablement, je faisais des progrès. Je comprenais de mieux en mieux ce qui excitait le patron. Le fait de sucer dans cette tenue me faisait bander dans ma petite culotte. Pour la première fois, je découvrais que j'étais en train de prendre du plaisir à ce que j'étais en train de faire. Mon rouge à lèvres laissait des traces rouges sur le gland.
Et pendant ce temps-là, Marie filmait !
Quand tout fut terminé, le patron ne tarissait pas d'éloges et ajouta que j'étais vraiment une brave petite pédale, comme il les aimait. Une brave petite pédale ? Quelle horreur !
Je partis alors dans mon bureau pour remettre mon jean, ma chemise et ma veste. Marie vint me demander si ça allait. On voyait bien qu'elle se rendait compte du caractère humiliant et difficile à vivre de ma situation, mais ça la rendait de plus en plus souriante. Se montrer en lingerie féminine, quelle honte pour un garçon de 18 ans! Elle me dit alors que le patron aimerait bien nous emmener diner dans un petit resto sympa de l'île de la Jatte.
Ma première réaction fut de dire non. Et puis après tout, pourquoi ne pas me faire offrir un bon petit repas ? Je lui dis que finalement j'acceptais, mais il fallait qu'elle me débarrasse de ce rouge à lèvres qui avait débordé et du fond de teint. Pour cela elle alla chercher dans son bureau un petit flacon de "cil demasq" qu'elle me dit de garder dans mon bureau, car je pourrais toujours en avoir besoin maintenant.
Comme je n’aimais pas beaucoup avoir mes papiers dans mes poches, j’avais toujours avec moi un petit sac en cuir. Marie y glissa le tube de rouge à lèvres et la petite boite de fond de teint compact.
— Garde-les toujours avec toi, car tu peux en avoir besoin inopinément.
Le patron me fit asseoir à côté de lui sur une banquette et pendant tout le repas, il ne cessa de caresser mes cuisses. Le bouton de la jarretelle semblait agir sur lui comme un aimant et il n'arrêtait pas de le tripoter. Il me demanda si j'aimais porter des bas.
— Ce n'est vraiment pas mon style ni mon habitude! Mais je dois reconnaitre que ça procure des sensations très agréables.
Il me demanda aussi ce que ça me faisait de lui faire une fellation et si j'y prenais du plaisir. Il avait eu cette fois l'impression que ça ne m'avait pas laissé indifférent.
— Permettez-moi, monsieur, de garder ça pour moi.
Le repas était très bon et je n'arrêtais pas de reluquer la poitrine de Marie en pensant à la vidéo d'hier soir. Après le repas, ils me déposèrent chez moi et se dirigèrent vers l'avenue de Messine où le patron avait son hôtel particulier.
Après ce soir-là, le climat relationnel avait continué de s'améliorer très nettement. Le patron me dit de l'appeler: Richard. Marie me dit que je pouvais l'appeler par son prénom, ce qui ne me dispenserait pas de la vouvoyer.
Elle m'avait apporté plusieurs assortiments de dessous si bien que j'avais pour aller au bureau, des parures noires, blanches et roses au choix. C'était elle qui décidait ce que je devais mettre le lendemain. Je dois dire que ça me gênait moins de les porter au bureau et que je m'y sentais même plutôt bien, dans la mesure où personne ne me voyait comme cela.
Ce que je ne pouvais imaginer, c’était qu’en me faisant mettre chaque jour des sous-vêtements féminins comme une chose banale, Marie me préparait à des changements bien plus importants. Mais à ce moment-là, je ne pouvais pas vraiment le prévoir. Chaque soir, je m'attendais à me faire appeler pour une fellation.
Un jour, Marie me dit que j’avais quelques poils sur les jambes et que ce n’était pas très beau et comme le patron n’était pas là, elle m’annonça qu’elle avait décidé de m’emmener chez son amie Maud qui avait un salon d’esthétique pour me faire épiler les jambes. Je n’aimais pas trop l’idée, mais c’était moins humiliant que de tailler une pipe. Arrivé, je dus m’allonger nu sur une banquette et Marie dit à la fille qui était là :
— Vous l’épilez complètement et lui faites le maillot.
Et c’est comme cela que j’eus le droit à une épilation complète à la cire, y compris sous les bras et dans la raie des fesses. Au début, c’était très surprenant et désagréable, mais rapidement on s’y faisait.
Quand ce fut terminé, Marie m’annonça qu’on ne partait pas encore, car elle souhaitait que l’on profite de l’occasion pour que la manucure s’occupe un peu de moi, car elle avait remarqué que mes ongles n’étaient pas très soignés. Elle demanda à la jeune femme qui s’occupa de moi de faire les mains et les pieds. C’était interminable, mais comme j’étais allongé, je crois que je me suis endormi.
Mais quand je me suis réveillé, oh surprise, mes ongles de doigts de pieds étaient recouverts d’un verni rouge écarlate. Heureusement que sur mes mains, le vernis qu’elle m’avait mis était incolore ! Quand je demandai à Marie pourquoi elle m’avait fait mettre du rouge sur les ongles des pieds, elle me répondit que dans mes chaussures ça ne se verrait pas, mais elle pensait que le patron aimerait ça, quand je m’occuperai de sa queue.
À quelque temps de là, un soir, Marie me fit venir dans son bureau. Comme d’habitude, elle me demanda d’enlever ma veste et mon pantalon puis elle me dit de m’asseoir et elle entreprit de me refaire mon catogan. Elle brossa bien mes cheveux et me refis une queue de cheval, mais en me voyant dans la glace, je fus surpris de voir qu’elle avait noué la queue de cheval sur le dessus de la tête et ça avait un indiscutable côté féminin.
Après cela, elle me passa très consciencieusement du fond de teint et dessina mes lèvres avec son rouge dont je commençais à bien connaitre le goût merveilleux. Je m’apprêtais à passer dans le bureau du patron pour m’y livrer à ma fellation habituelle quand elle me dit d’attendre deux secondes. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’elle enleva sa robe devant moi. Elle portait une délicieuse nuisette en satin gris perle qu’elle enleva aussi et qu’elle me tendit, en me disant :
— Mon petit François, mets ça avant de passer chez le patron.
Au point où j’en étais, plus rien ne me surprenait et c’est plutôt avec un indiscutable plaisir que je sentis sur moi le contact de ce tissu délicieusement soyeux, tout chaud et encore tout imprégné de son captivant parfum. Elle remit sa robe et m’accompagna chez le patron. Je m’apprêtais à faire ma petite pipe habituelle quand Marie me dit :
— Non, François, cette fois-là ce sera différent.
Je ne voyais vraiment pas ce qu’elle voulait dire quand elle me demanda assez sèchement de venir sur le côté du bureau en face de la place du patron, de me pencher en avant et de venir appuyer ma poitrine sur le bureau. Comprenant enfin où ils voulaient en venir, je me suis bruyamment rebellé en criant que je ne voulais pas qu’on m’encule et que maintenant la comédie était terminée.
Marie éleva à son tour le ton et me dit que je pouvais partir, mais que dans ces conditions, je ne remettrai plus jamais les pieds ici, avec toutes les conséquences que ça comportait. Elle ajouta même que j’aurai du mal à trouver du travail, car elle n’hésitera pas à montrer certaines vidéos quand mes employeurs potentiels lui demanderont des informations sur moi et au besoin transmettre certaines vidéos.
Encore une fois, j’étais complètement piégé et je pris conscience que je ne pouvais faire autre chose que de me laisser baiser. J’en pleurais de rage. Marie déplaça la ficelle de mon string et commença à me masser doucement la raie culière avec un doigt enduit de pommade. Elle me massa longuement en faisant pénétrer le doigt pour bien imprégner l’intérieur.
— Avec ça, je te promets que tu n’auras pas mal. Enfin pas trop !
Au bout d’un moment, elle dit à son mari :
— Il est prêt, mon chéri. Mais surtout, va doucement, je ne veux pas que tu me l’esquintes.
Le patron vint se placer derrière moi et je sentis alors le contact de son gland contre mon orifice.
— Appuie doucement Richard, et toi, François, détends-toi au maximum. Présente bien ton cul à Richard et pousse, tu te relâcheras mieux. Ce n’est pas forcément un bon moment à passer, mais tu verras, ça s’oublie très vite. Dis-toi que plus de garçons que tu ne le penses ont connu ça. Quant aux femmes, ce sont presque toutes. Et je sais de quoi je parle !
Je sentais la queue de Richard qui alternait les pressions de plus en plus fortes et les relâchements. Très vite, je ne pus m’empêcher de gémir quand les pressions se firent plus fortes. Marie modérait son mari. Elle s’était installée dans le fauteuil de son mari derrière le bureau et était donc juste en face de moi et me regardait.
À un moment, j’eus l’impression que la queue avait commencé à me pénétrer et sur un signe de Marie Richard appuya brusquement et je sentis le gland passer ma rondelle en me donnant l’impression que mon sphincter se déchirait. J’ai poussé un grand cri, mais Richard s’était arrêté de pousser. Marie, de l’autre côté du bureau me caressait les joues.
Quand elle vit que la douleur commençait à s’estomper, elle fit signe à Richard de continuer sa pénétration. Grâce à la pommade dont Marie m’avait enduit le cul, je sentis que la verge de Richard commençait à glisser en moi et bientôt, je sentis les couilles de Richard battre contre mes fesses.
Maintenant, il avait entrepris un très lent mouvement de va-et-vient à l’intérieur de mon ventre. Sans que je comprenne bien pourquoi, je sentais que du liquide s’écoulait de ma queue et commençait à me mouiller. Les coups de boutoir de Richard devinrent de plus en plus forts, m’arrachant à chaque fois des petits gémissements. Coincé entre Richard et le dessus du bureau, je ne pouvais rien faire pour m’y soustraire. Marie n’arrêtait pas de me dévisager, et parfois souriait de me voir dans cette humiliante situation.
Elle sécha avec un kleenex les larmes qui commençaient à couler sur mes joues. J’avais l’impression que la queue de Richard devenait de plus en plus grosse et de plus en plus ferme. Je ressentais une sensation de plénitude dans mon ventre. Richard commençait à ahaner en m’enculant. Soudain, c’est lui qui poussa un espèce de cri rauque et je sentis qu’il lâcha plusieurs giclées de foutre chaud au plus profond de mon ventre et je l’entendis s’écrier :
— Ah que c’est bon ! Mon petit François. Qu’est-ce que j’ai bien joui !
Peu à peu sa pression se relâcha et je sentis la queue qui était dans mon cul se ramollir avant finalement d’en sortir en laissant un flot de foutre chaud et visqueux s’écouler entre mes fesses. J’étais littéralement épuisé, et de fatigue et de honte. Et pourtant, c’est à ce moment-là que Marie me dit :
— Ce n’est pas tout à fait fini, François, il te reste juste à lécher et sucer la queue de Richard pour la nettoyer. Il faut absolument que tu prennes tout de suite de bonnes habitudes.
Malheureusement pour moi, la queue de Richard était couverte de foutre, de sang et de fragments de merde et c’était vraiment dégueulasse. En léchant cette queue merdeuse et puante, j’avais des hauts le cœur et j’ai failli vomir à plusieurs reprises.
Quand ce fut fini, Marie me conduisit dans un des fauteuils qui étaient en face du patron de l’autre côté de son bureau et je m’y suis affalé, complètement vidé et anéanti. J’avais vraiment mal au cul. De l’autre côté, le patron paraissait lui aussi quelque peu fatigué. Il n’y avait que Marie qui paraissait contente de qui venait de se passer et était toute souriante, ce qui contrastait vraiment avec les larmes qui coulaient lentement sur mon visage.
Au bout de quelque temps, Marie me dit de remettre mes habits de garçon et elle me proposa avec le patron de me raccompagner chez moi. En trajet, elle m’annonça que si je ne voulais pas venir travailler demain, elle n’y voyait pas d'inconvénient.
Arrivé dans mon petit studio, je pris alors pleinement conscience de ce qui venait de m’arriver. Il était clair que sexuellement, j’étais maintenant devenu une tante. Je me débarrassai aussitôt de mes dessous de fille et me mis en survêtement, car je ne voulais pas me mettre au lit tout de suite.
D’un autre côté, je ne savais pas où m’asseoir, car mon fondement était devenu très sensible. Finalement, j’ai regardé une connerie à la télé et me suis couché en pleurant toutes les larmes de mon corps. Et pourtant, je me disais que je n’avais rien à me reprocher. J’avais simplement voulu conserver mon boulot. Les jours suivants, le patron me laissa tranquille.
Ma première réaction fut de dire non. Et puis après tout, pourquoi ne pas me faire offrir un bon petit repas ? Je lui dis que finalement j'acceptais, mais il fallait qu'elle me débarrasse de ce rouge à lèvres qui avait débordé et du fond de teint. Pour cela elle alla chercher dans son bureau un petit flacon de "cil demasq" qu'elle me dit de garder dans mon bureau, car je pourrais toujours en avoir besoin maintenant.
Comme je n’aimais pas beaucoup avoir mes papiers dans mes poches, j’avais toujours avec moi un petit sac en cuir. Marie y glissa le tube de rouge à lèvres et la petite boite de fond de teint compact.
— Garde-les toujours avec toi, car tu peux en avoir besoin inopinément.
Le patron me fit asseoir à côté de lui sur une banquette et pendant tout le repas, il ne cessa de caresser mes cuisses. Le bouton de la jarretelle semblait agir sur lui comme un aimant et il n'arrêtait pas de le tripoter. Il me demanda si j'aimais porter des bas.
— Ce n'est vraiment pas mon style ni mon habitude! Mais je dois reconnaitre que ça procure des sensations très agréables.
Il me demanda aussi ce que ça me faisait de lui faire une fellation et si j'y prenais du plaisir. Il avait eu cette fois l'impression que ça ne m'avait pas laissé indifférent.
— Permettez-moi, monsieur, de garder ça pour moi.
Le repas était très bon et je n'arrêtais pas de reluquer la poitrine de Marie en pensant à la vidéo d'hier soir. Après le repas, ils me déposèrent chez moi et se dirigèrent vers l'avenue de Messine où le patron avait son hôtel particulier.
Après ce soir-là, le climat relationnel avait continué de s'améliorer très nettement. Le patron me dit de l'appeler: Richard. Marie me dit que je pouvais l'appeler par son prénom, ce qui ne me dispenserait pas de la vouvoyer.
Elle m'avait apporté plusieurs assortiments de dessous si bien que j'avais pour aller au bureau, des parures noires, blanches et roses au choix. C'était elle qui décidait ce que je devais mettre le lendemain. Je dois dire que ça me gênait moins de les porter au bureau et que je m'y sentais même plutôt bien, dans la mesure où personne ne me voyait comme cela.
Ce que je ne pouvais imaginer, c’était qu’en me faisant mettre chaque jour des sous-vêtements féminins comme une chose banale, Marie me préparait à des changements bien plus importants. Mais à ce moment-là, je ne pouvais pas vraiment le prévoir. Chaque soir, je m'attendais à me faire appeler pour une fellation.
Un jour, Marie me dit que j’avais quelques poils sur les jambes et que ce n’était pas très beau et comme le patron n’était pas là, elle m’annonça qu’elle avait décidé de m’emmener chez son amie Maud qui avait un salon d’esthétique pour me faire épiler les jambes. Je n’aimais pas trop l’idée, mais c’était moins humiliant que de tailler une pipe. Arrivé, je dus m’allonger nu sur une banquette et Marie dit à la fille qui était là :
— Vous l’épilez complètement et lui faites le maillot.
Et c’est comme cela que j’eus le droit à une épilation complète à la cire, y compris sous les bras et dans la raie des fesses. Au début, c’était très surprenant et désagréable, mais rapidement on s’y faisait.
Quand ce fut terminé, Marie m’annonça qu’on ne partait pas encore, car elle souhaitait que l’on profite de l’occasion pour que la manucure s’occupe un peu de moi, car elle avait remarqué que mes ongles n’étaient pas très soignés. Elle demanda à la jeune femme qui s’occupa de moi de faire les mains et les pieds. C’était interminable, mais comme j’étais allongé, je crois que je me suis endormi.
Mais quand je me suis réveillé, oh surprise, mes ongles de doigts de pieds étaient recouverts d’un verni rouge écarlate. Heureusement que sur mes mains, le vernis qu’elle m’avait mis était incolore ! Quand je demandai à Marie pourquoi elle m’avait fait mettre du rouge sur les ongles des pieds, elle me répondit que dans mes chaussures ça ne se verrait pas, mais elle pensait que le patron aimerait ça, quand je m’occuperai de sa queue.
À quelque temps de là, un soir, Marie me fit venir dans son bureau. Comme d’habitude, elle me demanda d’enlever ma veste et mon pantalon puis elle me dit de m’asseoir et elle entreprit de me refaire mon catogan. Elle brossa bien mes cheveux et me refis une queue de cheval, mais en me voyant dans la glace, je fus surpris de voir qu’elle avait noué la queue de cheval sur le dessus de la tête et ça avait un indiscutable côté féminin.
Après cela, elle me passa très consciencieusement du fond de teint et dessina mes lèvres avec son rouge dont je commençais à bien connaitre le goût merveilleux. Je m’apprêtais à passer dans le bureau du patron pour m’y livrer à ma fellation habituelle quand elle me dit d’attendre deux secondes. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’elle enleva sa robe devant moi. Elle portait une délicieuse nuisette en satin gris perle qu’elle enleva aussi et qu’elle me tendit, en me disant :
— Mon petit François, mets ça avant de passer chez le patron.
Au point où j’en étais, plus rien ne me surprenait et c’est plutôt avec un indiscutable plaisir que je sentis sur moi le contact de ce tissu délicieusement soyeux, tout chaud et encore tout imprégné de son captivant parfum. Elle remit sa robe et m’accompagna chez le patron. Je m’apprêtais à faire ma petite pipe habituelle quand Marie me dit :
— Non, François, cette fois-là ce sera différent.
Je ne voyais vraiment pas ce qu’elle voulait dire quand elle me demanda assez sèchement de venir sur le côté du bureau en face de la place du patron, de me pencher en avant et de venir appuyer ma poitrine sur le bureau. Comprenant enfin où ils voulaient en venir, je me suis bruyamment rebellé en criant que je ne voulais pas qu’on m’encule et que maintenant la comédie était terminée.
Marie éleva à son tour le ton et me dit que je pouvais partir, mais que dans ces conditions, je ne remettrai plus jamais les pieds ici, avec toutes les conséquences que ça comportait. Elle ajouta même que j’aurai du mal à trouver du travail, car elle n’hésitera pas à montrer certaines vidéos quand mes employeurs potentiels lui demanderont des informations sur moi et au besoin transmettre certaines vidéos.
Encore une fois, j’étais complètement piégé et je pris conscience que je ne pouvais faire autre chose que de me laisser baiser. J’en pleurais de rage. Marie déplaça la ficelle de mon string et commença à me masser doucement la raie culière avec un doigt enduit de pommade. Elle me massa longuement en faisant pénétrer le doigt pour bien imprégner l’intérieur.
— Avec ça, je te promets que tu n’auras pas mal. Enfin pas trop !
Au bout d’un moment, elle dit à son mari :
— Il est prêt, mon chéri. Mais surtout, va doucement, je ne veux pas que tu me l’esquintes.
Le patron vint se placer derrière moi et je sentis alors le contact de son gland contre mon orifice.
— Appuie doucement Richard, et toi, François, détends-toi au maximum. Présente bien ton cul à Richard et pousse, tu te relâcheras mieux. Ce n’est pas forcément un bon moment à passer, mais tu verras, ça s’oublie très vite. Dis-toi que plus de garçons que tu ne le penses ont connu ça. Quant aux femmes, ce sont presque toutes. Et je sais de quoi je parle !
Je sentais la queue de Richard qui alternait les pressions de plus en plus fortes et les relâchements. Très vite, je ne pus m’empêcher de gémir quand les pressions se firent plus fortes. Marie modérait son mari. Elle s’était installée dans le fauteuil de son mari derrière le bureau et était donc juste en face de moi et me regardait.
À un moment, j’eus l’impression que la queue avait commencé à me pénétrer et sur un signe de Marie Richard appuya brusquement et je sentis le gland passer ma rondelle en me donnant l’impression que mon sphincter se déchirait. J’ai poussé un grand cri, mais Richard s’était arrêté de pousser. Marie, de l’autre côté du bureau me caressait les joues.
Quand elle vit que la douleur commençait à s’estomper, elle fit signe à Richard de continuer sa pénétration. Grâce à la pommade dont Marie m’avait enduit le cul, je sentis que la verge de Richard commençait à glisser en moi et bientôt, je sentis les couilles de Richard battre contre mes fesses.
Maintenant, il avait entrepris un très lent mouvement de va-et-vient à l’intérieur de mon ventre. Sans que je comprenne bien pourquoi, je sentais que du liquide s’écoulait de ma queue et commençait à me mouiller. Les coups de boutoir de Richard devinrent de plus en plus forts, m’arrachant à chaque fois des petits gémissements. Coincé entre Richard et le dessus du bureau, je ne pouvais rien faire pour m’y soustraire. Marie n’arrêtait pas de me dévisager, et parfois souriait de me voir dans cette humiliante situation.
Elle sécha avec un kleenex les larmes qui commençaient à couler sur mes joues. J’avais l’impression que la queue de Richard devenait de plus en plus grosse et de plus en plus ferme. Je ressentais une sensation de plénitude dans mon ventre. Richard commençait à ahaner en m’enculant. Soudain, c’est lui qui poussa un espèce de cri rauque et je sentis qu’il lâcha plusieurs giclées de foutre chaud au plus profond de mon ventre et je l’entendis s’écrier :
— Ah que c’est bon ! Mon petit François. Qu’est-ce que j’ai bien joui !
Peu à peu sa pression se relâcha et je sentis la queue qui était dans mon cul se ramollir avant finalement d’en sortir en laissant un flot de foutre chaud et visqueux s’écouler entre mes fesses. J’étais littéralement épuisé, et de fatigue et de honte. Et pourtant, c’est à ce moment-là que Marie me dit :
— Ce n’est pas tout à fait fini, François, il te reste juste à lécher et sucer la queue de Richard pour la nettoyer. Il faut absolument que tu prennes tout de suite de bonnes habitudes.
Malheureusement pour moi, la queue de Richard était couverte de foutre, de sang et de fragments de merde et c’était vraiment dégueulasse. En léchant cette queue merdeuse et puante, j’avais des hauts le cœur et j’ai failli vomir à plusieurs reprises.
Quand ce fut fini, Marie me conduisit dans un des fauteuils qui étaient en face du patron de l’autre côté de son bureau et je m’y suis affalé, complètement vidé et anéanti. J’avais vraiment mal au cul. De l’autre côté, le patron paraissait lui aussi quelque peu fatigué. Il n’y avait que Marie qui paraissait contente de qui venait de se passer et était toute souriante, ce qui contrastait vraiment avec les larmes qui coulaient lentement sur mon visage.
Au bout de quelque temps, Marie me dit de remettre mes habits de garçon et elle me proposa avec le patron de me raccompagner chez moi. En trajet, elle m’annonça que si je ne voulais pas venir travailler demain, elle n’y voyait pas d'inconvénient.
Arrivé dans mon petit studio, je pris alors pleinement conscience de ce qui venait de m’arriver. Il était clair que sexuellement, j’étais maintenant devenu une tante. Je me débarrassai aussitôt de mes dessous de fille et me mis en survêtement, car je ne voulais pas me mettre au lit tout de suite.
D’un autre côté, je ne savais pas où m’asseoir, car mon fondement était devenu très sensible. Finalement, j’ai regardé une connerie à la télé et me suis couché en pleurant toutes les larmes de mon corps. Et pourtant, je me disais que je n’avais rien à me reprocher. J’avais simplement voulu conserver mon boulot. Les jours suivants, le patron me laissa tranquille.
A suivre bien sûr..