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Mes histoires: En famille... Fin

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 La fin de ce texte inédit.
Beaucoup de temps pour le corriger...
Excuse pour les fautes encore présentes...

En famille
Fin
Ma main allait et venait du gland à la base de la hampe. La chair coulissait parfaitement sur le gland. Il se laissait faire, jambes écartées. Son membre était bien tendu. Il a repris son monologue
- Il parait qu'une fois dans ce ciné, ils sont venus à deux autour de vous. Ils étaient assez vieux. C'est ta femme qui a mené les négociations si j'ose dire... Elle ne t’a même pas demandé ton avis. Les mecs ne se connaissaient même pas. Ils avaient simplement envie ensembles. Ils voulaient profiter de l'aubaine.…
Sa queue vibrait, le gland violacé complètement décalotté, les testicules dures chauffaient ma main. J'ai accéléré le mouvement sur sa hampe.
- Pas si vite mec. Ralentis on a le temps et tu ne me feras pas jouir plus vite. C'est moi qui décide du moment... Vous avez été dans un endroit discret sur une aire de repos pas loin. Vous avez fait un soixante-neuf, Véro et toi. Elle en dessous, jupe retroussée. Toi à quatre pattes au-dessus d'elle, sans pantalon. Tu la léchée pendant que les deux vieux se relayaient dans ton fion. Il parait que c'était fantastique pour elle de sentir ta langue dans sa chatte, et de voir en même temps ton cul se dilater pour prendre ces queues inconnues. Elle a jouit à répétition trois fois. Chaque fois qu'un mec se vidait dans la capote, elle gueulait de plaisir. Vous êtes complètement dingues les deux... Accélère, je vais jouir... Vas-y oui
Son sperme a fusé vers le plafond pour retomber en grosses gouttes sur son ventre. J'ai continué jusqu'à ce qu'il crache le dernier jet et qu'il arrête lui-même les mouvements de ma main.
- Super... Même moi, je ne me branle pas aussi bien. Décidément t'es un cas toi...
Il s'est tu, et nous sommes restés sans rien dire, chacun perdu dans ses pensées. C'est vrai que cela avait été une super partie avec ces deux mecs levés au ciné. J'avais aussi beaucoup aimé. Jamais je n'avais vu ma femme prendre son pied avec autant de violence et autant de fois de suite. Ces deux la m'avaient cassé le cul et Véro avait rigolé à gorge déployée quand je lui ai dit que j'avais le fion en compote et les mâchoires ankylosées à force de lui tripatouiller la chatte de ma langue. Son pull était arrosé de mon sperme car moi aussi j'avais pris une sacrée jouissance. Mon visage était couvert de sa mouille. Les deux mecs sont partis sans dire un mot et nous avons pu baiser tranquillement à nouveau et jouir ensemble.
Cela avait été une nuit mémorable.
Comment expliquer à la brute en face de moi, que chaque fois que nous faisions ce genre d'expérience, notre couple en sortait encore plus fort. Que c'était avec joie que je devenais de temps en temps la chose de ma femme et que c'était avec joie et reconnaissance qu'elle acceptait que j'aille au bout de ses fantasmes à elle.
Je le regardais assis à ma droite. Son sperme était en train de sécher et collait ses poils sur son ventre. Il était fascinant. Tant de brutalité latente et endormie, concentrée dans ce corps.
Il me plaisait.
Dommage que Véro n'était pas là.
Dommage que ce soit notre Beauf.
Si nous l'avions rencontré au ciné, on se serait éclaté les trois. Il m'a regardé. Il a des yeux de porc, ronds, noirs, enfoncés dans leurs orbites. Cela lui donnait un regard difficile à soutenir. Il a souri. Rien d'amical dans ce rictus. C'est un sourire plutôt méchant.
- Chez toi, Il parait que tu es toujours à poil, alors fait comme chez toi... Allez grouille toi... Allez tu sais bien que tu le feras, alors ne perdons pas de temps.
Je me suis levé et lentement débarrassé de mes vêtements? J'ai à peine hésité pour baisser mon caleçon. Je me suis assis nu comme lui. Nos deux physiques devaient faire un contraste saisissant. Lui brute poilue avec du muscle partout et moi fin et pratiquement imberbe. Il m'a détaillé de la tête aux pieds.
- C'est vrai que t'es pas mal du tout. Sam. dit que t’es beau mec. Je suppose qu'elle dit vrai. Généralement, elle a bon goût. Tu sais que tu lui plais beaucoup. Elle dit que t'es comme un mannequin. Heureusement qu'elle préfère ma virilité bestiale. C'est comme cela qu'elle m'appelle. Elle dit que je suis un mec bestialement viril et protecteur de son foyer. C'est pour cela qu'on s'entend bien. Dans la vie comme au lit. Je suis sur que Véro et toi vous entendaient à merveilles. Vous avez trouvé chaussures à vos pieds comme on dit dans ma région.
Il m'a détaillé lentement du haut en bas, s'attardant sur ma virilité au repos. Rien à voir avec la sienne. Longue, assez fine, peu de poils et des couilles assez basses. Je savais que j'avais une belle queue. Je savais aussi m'en servir. Assez bien même, avec les nanas. A vrai dire, j'avais connu assez peu de nana, puisque nous nous sommes mariés très jeunes Véro et moi.
oooOOooo
Avec Véro, nous avons fait l'amour avant de nous marier. Nous allions dans des endroits discrets à la tombée de la nuit. Elle était déjà très délurée. C'est elle qui a pris mon éducation sexuelle en mains. Je savais que je n'étais pas le premier. Elle n'était pas non plus ma première rencontre. Mais entre nous, ça a tout de suite collé. Et ça a démarré très fort.
Tout a commencé avant même notre mariage. Un soir, nous faisions l'amour dans un bois. C'était au tout début de notre rencontre. Elle était debout contre un arbre, jupe retroussée autour de la taille, seins à l'air. Son slip était resté dans la voiture. Il faisait doux. J'étais contre elle, mon pantalon aux chevilles et je la pénétrais lentement en prenant tout mon temps. Sa chatte bien lubrifiée avalait ma pine dressée. Nous prenions notre temps. Brusquement, je l'ai sentie se contracter. Elle m'a parlé à voix basse
- Y a quelqu'un
Je me suis immobilisé au fonds de son ventre
- Ou?
- Derrière toi. Je ne suis pas sure.
Elle chuchotait à mon oreille. Nous ne bougions plus. J'avais beau tendre l'oreille, je n'entendais rien. A part quelques bruissements.
- Je suis sure qu'il y a quelqu'un qui nous regarde...
- Merde. Qui peux venir à cette heure-ci. T'es sure? Tu veux qu'on arrête? Qu'on aille ailleurs
Elle a eu un moment d'hésitation avant de me répondre d'une voix excitée.
- Non. Non continue j'ai trop envie.
- On risque d'avoir des problèmes s’il y a réellement quelqu'un.
- Je pense pas. Ça doit être un voyeur... Continue. Vas-y bourre moi Chéri. Après tout si cela lui plaît à ce mec de nous regarder. Moi ça ne me gêne pas.
J'ai repris le rythme lentement tout en tendant l'oreille. Notre excitation remontait. À un moment, il m'a semblé entendre des craquements. Elle les avait entendu aussi. Il faisait très noir.
- Il s'approche... Continue. Vas-y, enfonce la bien. Tu peux pas savoir ce que cela m'excite que tu me baises devant quelqu'un. Je vois sa silhouette. Bourre-moi bien.
Effectivement, elle mouillait considérablement. Mon sexe coulissait parfaitement le long de ses muqueuses gonflées. Les craquements étaient plus forts. Les bruits se rapprochaient. Je continuais de plus belle mes coups de reins pour enfoncer mon pieux au plus profonds de sa chatte.
Elle devait certainement le voir, mais elle ne disait plus rien. Elle avait les yeux brillant dans le noir. Je devinais qu'elle regardait quelqu'un. Je ne me suis pas retourné. Ma bitte était le centre de mon corps…
Brusquement, j'ai senti une présence dans mon dos. Je ne me suis pourtant pas retourné. J'avais ma tête enfouie dans le creux de l'épaule de ma maîtresse.
Le type s'est collé contre moi. J'ai sursauté, complètement dégrisé. Véro a senti que j'allais arrêter ce jeu. Ses bras m'ont entourés le torse et m'ont plaqué contre elle. Ses seins s'écrasaient contre ma chemise. Ma bitte allait exploser. Je n'allais plus tenir longtemps.
J'ai à peine senti des mains froides sur mes fesses. Ce n'étaient pas celles de mon amie. Puis des doigts dans ma raie. Mon excitation a atteint des sommets. Celle de Véro aussi. Les doigts ont pénétré mon cul. C'était la première fois. J'ai crié. Véro a deviné ce qui se passait et sa bouche s'est plaquée sur la mienne. Les doigts étaient dans mon cul. J'ai explosé dans le ventre de ma future femme. Nous avons jouis ensembles avec une violence jamais atteinte. Je sentais les doigts coulisser dans mon cul. Ma bitte brûlait au fonds de la chatte. Véro gémissait dans ma bouche. Mon sexe coulait en elle. Les doigts me faisaient un peu mal, mais c'était fabuleux. Fabuleux pour nous deux. Véro et moi avons gémis de bonheur.
Nous sommes restés soudé, ma barre toujours dure fichée dans son sexe mouillé. Je n'avais plus rien dans le cul. Le type n'était plus là. Disparu comme par enchantement.
Nous avons lentement repris nos esprits. Nous sommes redescendus de ce septième ciel. Nous étions essoufflés de tant de jouissance. Véro s'est essuyée avec mon mouchoir. J'avais un peu mal à l'anus. Nous avons regagné la voiture.
Avant de démarrer, nous nous somme regardé. Elle était en train de remettre son slip, sans aucune pudeur. Nous avons éclaté de rire. Elle m'a mordu doucement le lobe de l'oreille.
- C'était super
- Géant.
- Quel effet ça t'as fait d'avoir des doigts dans le cul mon chou?
- Et toi quel effet ça t'a fait de voir ton mec se faire doigter par un autre mec?
- C'était vraiment magnifique. Surtout par un inconnu.
- Alors pour moi aussi... Même si j'ai un peu mal au cul quand même. Il était comment?
- J'en sais rien. J'ai pas fait attention.
- T'as pas vu son visage?
- Non je te regardais toi. Ton visage crispé m'a largement suffit. T'étais super en train de souffrir du cul.
- Ah bon? J'ai quand même mal au cul.
- Mon pauvre chéri va!
Nous avons éclaté de rire.
Nous sommes souvent revenus faire l'amour dans ce coin. Peut-être y avait-il d'autres voyeurs? Mais aucun ne s'est jamais plus manifesté. Par contre Véro a pris l'habitude de me doigter quand nous faisions l'amour.
Un jour, je lui ai demandé si je pouvais la prendre par derrière. Elle a dit oui avec un sourire assez ambigu. Le lendemain, nous avons acheté notre premier god et la nuit même, j'ai salement dégusté quand elle l'a inauguré dans le cul. Il y a une sacrée différence entre des doigts et un god. Mais je ne pouvais rien dire puisque, elle, n'avait rien dit quand ma bitte lui avait défloré l'anus.
Le god à définitivement remplacé ses doigts quand nous faisions l'amour. Je n'avais plus mal du tout. Nous étions devenus de gros consommateurs de vaseline et lubrifiants divers.
Un soir pendant que je l'enculais très doucement, elle m'a dit qu’elle aussi, avait envie de me sodomiser. C'est comme cela qu'un nouveau god à lanière celui-ci, a fait son entrée dans notre foyer. J'ai eu un choc quand, elle l'a mis sur sa chatte. Une femme avec un sexe d'homme. Un corps si féminin avec une excroissance tellement masculine. Cela avait quelque chose d'inquiétant. Il était plus gros que le précédent. C'est elle qui l'a enduit de gel lubrifiant devant moi, dans un silence inquiétant et un regard ambiguë vers mon anus.
Elle s'est comporté comme un homme et m'a possédé comme j'aime la prendre. Mais cette fois-ci, c'était moi qui étais à quatre pattes, le cul tendu. Le god était gros et même avec le gel et l'excitation, je l'ai senti m'ouvrir. Elle m'a dit que c'était fabuleux de mettre quelqu'un. Au fil de ses coups de reins, mon trou s'est moulé à la taille bien plus conséquente que notre précédent jouet. Elle est devenu le mâle et moi sa femelle. Je me laissais enculer par ma femme. Je me suis branlé en même temps. Nous avons crié de plaisir ensemble. Elle a jouit uniquement grâce au frottement du god sur son clitoris.
Longtemps, nous n'avons utilisé que les godes. Jusqu'au jours, ou j'ai loué une cassette bisexuelle. Nous l'avons regardé au lit. J'avais le god enfoncé dans mes reins et ma femme me branlait. Sur l'écran un mec était en train de se faire enculer par un autre devant sa femme.
- Véro? A quoi tu penses?
- A ça.
Elle m'indiquait l'écran du menton. J'ai vite compris.
- Non Véro pas ça
- Pourquoi?
- Je ne veux pas. J'ai pas envie d'avoir un mec avec nous.
Elle a poussé le god au fonds de mon cul.
- Marc chéri, j'aimerais voir une bitte à la place du god.
- Mais je ne veux pas qu'un autre mec te touche.
- Ça, il n'en est pas question. Non je veux un mec juste pour toi.
J'ai joui. Elle a pris cela pour un accord et je ne l'ai pas détrompé. Elle a nettoyé mon ventre de sa langue pointue. Nous n'en avons plus parlé, mais l'idée était dans ma tête et comme je n'ai jamais rien pu lui refuser, je savais que j'abdiquerais tôt ou tard.
oooOOooo
- Eh Marc, à quoi tu penses ?
Je suis revenu à la réalité du moment. Xavier regardait mon sexe. Je commençais à bander.
- Mais t'as l'air d'aimer çà toi. … Viens
Je l'ai suivis. Il marchait souplement malgré sa carrure. Il avait même des poils sur les fesses. Nous nous sommes retrouvés dans la chambre d'ami. Il m'a laissé passer devant lui. M'a donné une tape sur une fesse.
- Fous-toi sur le pieu ma poule.
Il bandait. Moi aussi. Je me suis couché à plat ventre sur l'édredon, jambes bien écartées. Il s'est couché sur moi. Le lit à grincé sous notre poids. J'ai deviné qu'il enduisait sa bitte de salive. Il était lourd, très lourd. Sa queue cherchait mon trou. Elle l'a trouvé rapidement.
De la salive sur mon anus. J'ai sentis son gros gland collé contre ma corolle.
- On y va ma poule
Son torse écrasait mon dos, ses grosses paluches agrippaient mes épaules. Je restais inerte sous lui, attendant son bon vouloir. Son gland m'a ouvert lentement le fion. J'ai serré les dents. La bitte entrait en moi. Sa salive ne lubrifiait pas assez mon trou. J'ai poussais de petits gémissements de douleur.
- Fais pas ta mijaurée salope. Ton cul est aussi ouvert qu'une chatte de femme. Je vais te la mettre à fonds mon pote.
Sa bitte occupait mon fondement. Ouvrait mes reins. Trouvait son chemin dans mes intestins humides. Me possédait au plus profonds de mon intimité. Elle me semblait interminable. Mon cul l'avalait avec difficulté. Son gros gland allait de plus en plus loin dans mes reins offerts.
- T'a le trou vachement profond. On sent que tu as l'habitude.
Enfin, son pubis s'est collé contre mes fesses. Il était empalé en moi jusqu'aux couilles. Son corps écrasait le mien. Ses poils grattaient mon dos. Il n'a plus bougé.
oooOOooo
Cela est arrivé dix jours après notre conversation. Au cours d'un week-end à la campagne. Un samedi en début de soirée. Nous étions lovés l'un contre l'autre devant le feu qui brûlait dans la cheminée quand on a frappé à la porte. Notre maison était isolée et personne ne devait venir. J'ai été ouvrir. Un type m'a expliqué qu'il était en panne et demandait l'autorisation de téléphoner. Je l'ai fait entrer. Véro l'a dévisagé.
Pendant qu'il parlait au téléphone, Véro lui a servis un verre. Il s'est assis sur le canapé car un garagiste devait le rappeler. Le destin était l'ami de ma femme.
Je n'ai pas compris tout de suite pourquoi Véro souriait. Et quand je l'ai compris, il était trop tard. Sur le guéridon, devant la cheminée, il y avait un tube de gel et le god. Elle avait oublié de le cacher. Peut-être qu'elle n'avait pas voulu le cacher. Vas savoir. Le type l'a regardé mais n'a rien dit. Il ne semblait même pas gêné.
Le garagiste a rappelé. Je savais déjà que le dépannage serait impossible ce soir. Je l'aurai parié. J'aurais aussi gagné si j'avais parié que ma femme l'inviterait à rester. Et j'aurais encore gagné quand il a accepté avec empressement. Le destin se liguait contre moi. Les dés étaient jetés. Face à tant de signes, je ne pouvais plus rien faire et m’inclinais.
Nous avons été des hôtes parfaits. Douche, repas, chambre d'ami, et beaucoup d'alcool. Mais le god était toujours là. Aucun sous-entendu dans la conversion. Nous avons fait connaissance. C'était un gars bien. Personne ne l'attendait. Il était bien foutu, avait de la conversation et du charme. Il convenait parfaitement à ma femme. Je n'avais vraiment pas de chance.
Nous nous sommes couchés en silence. La chambre de notre invité était en face de la nôtre. Il nous avait demandé l'autorisation de prendre une douche. Nous avons attendu que le silence prenne possession de la maison.
Véro est partie dans le salon chercher le god. Elle était uniquement vêtue d'une de mes vieilles chemises qui lui arrivait au ras de la touffe. Elle est vite revenue. Nous nous sommes regardés en silence. Elle les yeux brillants et moi l'air plutôt abattu.
Je me suis mis à plat ventre sur notre lit conjugal. Elle a enduit l'engin de gel ainsi que ma raie. Elle m'a ouvert les fesses d'une main et m'a planté le god de l'autre. Je pouvais prendre l'engin en moi sans aucune difficulté. Elle l'a mis en marche. La bitte artificielle s'est mise à vibrer en moi dans un doux bourdonnement. Elle l'a fait coulisser entre mes fesses. Mon cul s'est dilaté. Les vibrations gagnaient mon corps. L'intérieur de mon ventre vibrait aussi. Elle a poussé l'engin au maximum. Jusqu'à ce que ma bague anale se referme sur une partie avec une circonférence moins importante. Le god ne pouvait plus sortir tout seul. C'était un nouveau modèle que j’'étrennais.
- Reste comme çà Marc. Ne bouges pas je reviens de suite.
- Non chérie, ne fais pas ça.
J'entendais bien que ma voix manquait de conviction.
- Chut laisses moi faire. J'ai tellement envie. C'est le ciel qui nous l’envoi. Je suis sure qu'il sera d'accord.
Il faisait noir dans la chambre. Elle est partie. Je suis resté sans bouger. J'avais la tête vide. Je savais que cela lui ferai plaisir. Qu'elle réalisait son fantasme. Mon corps vibrait au rythme de l'engin bien planté dans mon fion ouvert. Je bandais dur.
Elle est revenue et n'était plus seule. Le type avait accepté. Aussi incroyable que cela paraisse, elle l'avait convaincu. Ils m'ont rejoint sur le lit. Des mains inconnues m'ont caressés les fesses, ont trouvés le god fiché en moi. Une exclamation vite étouffée.
- Vous pouvez y aller. Il est à vous.
- Et vous?
Voix mâle pleine d'assurance et sure d'elle.
- Non. Moi, je regarde. Faites attention quand même c'est la première fois. Allez-y doucement.
- Il faudrait au moins me branler un peu.
Elle le fait. Cela dure à peine deux minutes.
- Allez-y maintenant. En douceur
- Avec ce qu'il a dans le fion. Cela ne devrait pas poser de problème. J'aimerai que ma voiture tombe en panne plus souvent.
Rires de mec. Mon cul brusquement libéré. Un corps sur le mien. Massif, puissant, viril Rien à voir avec le corps de Véro. Odeurs inconnues. Des halètements sur mon cou. Je suis très tendu. Le mec m'écrase en silence. Je devine que c'est sa bitte qui coure entre mes fesses, le long de ma raie. Il trouve le chemin avec l'aide de la main de ma femme. Chaleur contre mon anus dilaté.
- Vous êtes sure que vous voulez que j'encule votre mari?
- Allez-y
Il s'enfonce en moi en soupirant. C'est moins épais que le god. Je le prends sans problème. II m'empale d'un trait jusqu’aux couilles.
- Ca y est. Je vous avais dit que cela irai tout seul. Je continue ?
- Oui
Une vraie bitte se met à coulisser dans mes reins. C'est chaud, doux et dure. Rien à voir avec un god. La chaleur gagne tout mon corps. Je sens le pieu grossir dans mes entrailles. Ma bitte grossi encore. Le sexe gonflé de notre invité coulisse parfaitement. Je me laisse enculer par un mec devant ma femme. Nous nous regardons. Ses yeux brillent dans le noir. Son visage s'approche du mien.
Véro m'embrasse à pleine bouche. Elle se caresse la chatte. Je me laisse sodomiser par cet inconnu. Ses coups de bassin deviennent violents et rapides. Sa bitte très dure me défonce les reins. Je gémis dans la bouche de Véro. Ma femme prend une de mes mains et la plaque sur sa chatte toutes mouillée. Je la caresse et enfonce mes doigts dans sa toison bouclée. Je lui masse le bouton. La bitte continue de frapper mes intestins. Ma bitte frotte contre les draps rêches. Je vais jouir. Je sens que Véro va exploser aussi.
Le type accélère la cadence et jouis. Mon cul se rempli d'un liquide chaud. Ma bitte va cracher sur les draps. Véro se retient. Je fais de même. Le type me donne encore quelques coups de reins avant de se retirer.
- C'était bon!
Il se couche à ma droite. Je me retourne sur le dos. Ma bitte est dressée vers le plafond. Véro m'enfourche. Le type veut la caresser, participer. Elle refuse énergiquement et me chevauche comme une folle. Nous sommes déchaînés..
Nous jouissons avec fureur. Il regarde. Je la sens frissonner de plaisir sur moi. Elle s'est couchée à ma gauche.
- Je peux rester avec vous?
On ne répond pas. Nous avons dormi les trois ensembles sans même nous laver. Mon cul coulait.
oooOOooo
- Dommage que ta femme ne puisse pas voir son mec se faire tringler par son beauf. Je suis sûr qu'elle apprécierait le spectacle.
Il n'avait pas tort. Je le regrettais moi aussi. Cela l'aurait vachement excitée. C'est à elle que je pensais pendant qu'il m'a tringlé une deuxième fois. Mon cul lâchait des pets sonores qui le faisaient rire. Il rajoutais régulièrement de la salive. Au bout de quelques minutes, j'avais les intestins en feu. Son pieu dévastait mon intérieur. Je criais mais il s'en foutait et accélérait de plus belle ses coups de bélier. Il grognait, reniflait, haletait. Une vraie bête déchaînée. J'avais du mal à respirer sous lui. Il me dépassait de partout. Le lit dévasté grinçait furieusement.
- Je vais te remplir sale pute. Remue ton cul de poufiasse..… Vas-y bouge ton cul. C'est ça, ondule du cul poufiasse !
Je l'ai fait. La douleur avait disparue. J'ai pu profiter de cette pine qui me remplissait complètement. Je me sentais empalé par ce pieu. Jamais un sexe d'homme ou un god ne m’avait à ce point comblé. J'avais l'impression que ce pieu avait sa propre vie entre mes fesses. Xavier était infatigable. Ecrasé par sa masse, je subissais la loi de sa queue. La salive et son sperme agissaient comme lubrifiant. Il se servait de mon corps. Son gland tapait au fonds de mon ventre régulièrement. Il me claquait les fesses dès que j'arrêtais de tourner mon cul autour de sa hampe.
- Elle est bonne hein?
Voix vulgaire de macho
- Vas-y pétasse dis-moi qu'elle est bonne.
- Oui elle est bonne
- C'est ça. Tu vois quand tu veux. Je vais te casser le cul.
Il m'a tiré m'obligeant à relever mes fesses. Il grognait comme un fauve. Je bandais comme un malade.
- Je vais lâcher la purée
Il s'est vidé pour la troisième fois et ses jets semblaient interminables. Véro aurait bien joui à me voir ainsi brutalisé. Il m'a libéré et a quitté la piaule.
- Viens te laver, elles vont pas tarder à revenir.
J'ai jouis dans ma main avant de le rejoindre. J'avais le cul en compote. Aucune séance avec ma femme ne m’avait laissé dans un tel état. Nous avons pris une douche et nous sommes rhabillés. Il n'a pas cessé de me caresser les fesses.
- Tu suces?
- Non jamais.
- La prochaine fois tu prendras un biberon mon pote.
Son rire gras a résonné dans la pièce. Il y aurait donc une prochaine fois. Après tout pourquoi pas. Une demi-heure après les femmes sont revenus et nous ont trouvés devant la télé entrain de siroter une bière.
Nous avons pris l'apéritif ensemble avant de les quitter. Xavier ne m'a pas regardé une seule fois. Moi non plus. Nous nous sommes salués comme d'habitude. Ce type avait un contrôle de lui-même surprenant. À la maison, Véro m'a montré ses achats. Essentiellement des vêtements. Parmi eux, il y avait des sous-vêtements féminins très excitants. Notamment un string noir très ajouré devant avec juste une ficelle derrière, et des bas assortis. Elle me les a montrés.
- C'est jolis hein?
- Ouais et très excitant
- C'est Sam. qui les a choisis... Il parait que son mari adore ce genre de lingerie.
J'ai rigolé. Un rire nerveux.
- Pourquoi tu ris?
- Pour rien... J'ai du mal à imaginer Sam. avec ce genre de truc.
- C'est pas pour Sam mon chéri.
- Je sais bien. J'ai hâte de te voir avec.
- Mais c'est pas pour moi non plus mon chou.
- Je ne comprends pas. Pour qui tu les a acheté alors?
Les yeux brillants, elle s'est assise sur le lit à côté de moi. M'a mordillé l'oreille, me faisant frissonner. J'avais peur de ce qu'elle allait me sortir. Je savais que quand elle avait ce comportement avec moi, c'était pour me faire découvrir de nouveaux horizons de jouissance.
- C'est pour toi mon chéri. Il aimerait bien te voir les porter Samedi prochain.
J'ai sursauté, de stupeur.
- Qui?!
Elle m'a à nouveau mangé le lobe avant de rajouter.
- Mais cette fois-ci, Sam. et moi seront là. On ne voudrait pour rien au monde rater ce spectacle.
Elle a éclaté de son rire magnifique. Ainsi donc, elle avait tout manigancé avec sa sœur ! J'étais complètement décontenancé. Elle riait toujours en me caressant les cheveux. J'ai ri aussi. Un peu jaune. Mais j'étais soulagé.
- J'espère qu'ils sont à ta taille. Je suis sure que Xavier va t'adorer comme cela.
Elle avait tout organisé de manière magnifique et sa sœur avait suivit et organisé les choses avec son mari.
Ma queue a grimpé dans mon fut. Elle l'a sortie et nous avons fait l'amour sauvagement. Nous avons jouis ensemble et avons remis cela sans tarder. La queue de Xavier dansait devant mes yeux. J'étais impatient d'être au Samedi suivant.
Elle m'a demandé de lui raconter mon après-midi. Je l'ai fait sans problème. Nous étions encore plus excités. Quand je me suis enfoncé dans ses reins, c'est la bitte de mon beauf qui s'enfonçait dans les miens. J'ai éjaculé dans le cul de ma femme.
Nous avons pris un peu de repos en mangeant. Elle voulait qu'on sorte et que je mette mon jog. Je lui ai dit en souriant que j'étais un peu fatigué après l'après-midi que je venais de passer. Mais pour ne pas la décevoir, je me suis mis à plat ventre sur le lit. Elle a ajusté autour de sa taille un double gode que nous avions acheté en Indes. Elle m'a enculé très doucement. L'autre côté était plongé dans sa chatte.
Cela a duré longtemps, très longtemps.
Ma femme est vraiment formidable.

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