Chers reubeux...
Que de fantasmes en votre nom...
Moi j'adore! Et vous?
Première fois en Tunisie
L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée en Tunisie où je me suis rendu pour le travail. A cette époque, j'avais alors 24 ans et était loin de savoir que j'étais homosexuel. J'aurai du m'en douter étant donné que malgré les quelques conquêtes que j'ai eu durant mon adolescence avec une ou deux filles, je ne trouvais pas le plaisir excessivement bon. A vrai dire, je n'ai jamais su quoi faire d'une paire de seins lol !
Quoi qu'il en soit, je venais donc d'arriver à Tunis, c'était ma première mission de consultant et me rendais donc à l'hôtel directement, là ou j'allais séjourner quelque jours et réaliser des formations à une dizaine d'entrepreneurs de part et d'autre du pays. Bref, des locaux en somme.
Parmi les entrepreneurs, l'un d'entre eux avait particulièrement attiré mon attention. Il n'était pas très grand, plutôt mince et à en juger à son entre-jambe, il honorait parfaitement la réputation de ses pairs arabes. Un paquet bien rempli, dans un pantalon moulant au possible. "Arrête de te faire des films, me disais-je, le gars est hétéro, et en plus, dans un pays si conservateur, aucune chance de faire quoi que ce soit avec lui…"
Bref, un peu dépité, je n'en fais pas cas et poursuit donc ma journée de travail, en me concentrant au mieux et en tentant d'être le plus professionnel possible. A la nuit tombée, et après nous être tous restauré, chacun prend ses quartiers. Petit soucis, il manque une chambre pour l'un des entrepreneurs.
Alors que je commence à m'assoupir, je reçois donc un coup de fil de mon boss qui me demande si ça ne me dérange pas d'avoir un "colocataire" juste pour ce soir là. Je rechigne un peu, plus pour la forme qu'autre chose et finalement, je lui dis de m'apporter la bête! Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant la porte de me rendre compte qu'il s'agissait de l'arabe sur lequel je bavais d'envie toute la journée durant.
- Salut, lui dis-je, prends tes aises, fait comme chez toi. On va devoir partager le lit, j'espère que ça ne t'embête pas.
- Bien au contraire, me dit-il d'un air étrangement pervers.
''Arrête de te faire des films, me dis-je intérieurement.”
Bref, je m'installe, met le climatiseur à fond sous cette chaleur épouvantable et retire mon t-shirt. Mon nouvel ami fait de même devant moi et là : WOAW, un corps magnifique. Un torse bien dessiné, sec à souhait, un teint légèrement halé, le tout posé sur des jambes puissantes, saillantes et un caleçon qui semblait être bien rempli.
Nous discutons un peu, puis nous finissons par nous endormir. Vers 2H00 du matin, je sens quelque chose bouger derrière moi. Je feint de ne rien entendre mais je reconnais au mouvement et au bruit que le jeune entrepreneur est en train de se faire plaisir.
Doucement mais sûrement, je sens ma bite s'ériger dans une érection de plus en plus grande et douloureuse. Je bouge un peu pour me mettre à l'aise. Il arrête son mouvement. Une ou deux minutes passent, et le rythme reprend. J'entends son souffle qui se fait pressent. Serait il en train d'atteindre l'apothéose ?
Soudain, alors que je ne m'y attends pas, je le sens se mouvoir proche de moi. Sa main se colle à mes fesses et il me caresse. Je fais semblant de dormir mais au bout de 5 minutes de palpation, je gémis d'aise. Il me retourne donc, je le regarde, il me regarde, nous rions de la situation absurde.
Nous nous regardons pendant un moment maintenant et il approche son visage du mien. Il pose ses lèvres sur les miennes. D'abord le baiser se fait effleurement, puis sa langue cherche sa voie et enfin nous nous roulons tout simplement un patin qui ferait rendre le plus angélique chérubin en un démon du vice et de la luxure.
Au bout d'un baiser rapide, nous reprenons notre souffle, et il retire la couverture en joignant son regard vers son entrejambe. Je sais pertinemment ce qu'il veut à cet instant car son regard en dit long.
Dans la pénombre, je ne distingue pas grand chose mais en m'approchant davantage, j’aperçois un sexe magnifique. Sa bite fait bien 25 cm avec un diamètre de 6 ou 7 cm. Malgré mon inexpérience dans le domaine, je me baisse et commence ma toute première fellation.
Dieu que c'est bon. J'enfourne le monstre dans ma bouche. Je suçote d'abord le gland circoncis de mon étalon puis prend le manche centimètre par centimètre. A en juger par ses soupirs, il a l'air d'apprécier.
Je le sens frustré pourtant car malicieux comme je suis, j'alterne les succions longues avec celles plus rapides et profondes. Il place alors sa main sur le haut de ma tête et donne le rythme. C'est fou comme ce côté domination me plait. Je n'aurai jamais cru ça de moi. Au rythme de ma fellation, il caresse mes fesses et introduit un doigt dans mon anus.
Ce geste est électrisant mais le bougre sait s'y prendre. je commence même à bouger du cul et m'enfonce moi même sur son doigt. Il y place donc un second qui me fait pousser un petit cri mais il reprend rapidement son manège et une douce chaleur envahie mon bas ventre.
Au bout d'un quart d'heure, trois doigts sont maintenant dans mon cul, et il me baise littéralement avec sa main, je n'en peux plus, et à cet instant, je gémis de manière erratique, oubliant presque les fines parois de la chambre d’hôtel, tellement que je n'arrive plus à le sucer à proprement parler.
Il décide donc de donner le temps, il se retire, sors une capote et se la met. Il me place en position de levrette, et si j'ai un mouvement de recul et d'angoisse vu la taille de l'engin, il me maintient fermement par les hanches et s'introduit dans mes entrailles. L'entrée se fait difficile, et je lui dit d'y aller doucement, étant encore vierge du cul.
En guise de réponse, je reçois une fessée et si cela me surprend, ça à tendance à m'exciter encore plus. Mon érection est maintenant à fond, tout comme la sienne. Il pousse de plus en plus fort, et finalement, les 25 cm de son chibre sont en moi. C'est bon, c'est chaud, dur et doux à la fois, je ne sais plus où j'en suis. Il reste planté ainsi pendant une vingtaine de secondes puis commence les mouvements.
Dieu que c'est bon. Le mouvement se fait un peu plus rapide. Je soupir d'aise. En entendant ma complaisance, il décide donc d'accélérer le rythme. Ses vas et viens se font donc languissants, de plus en plus puissants. Du long de sa bite, il accélère donc en sortant parfois son sexe entièrement et en la faisant entrer de toute sa longueur. Je hurle donc, "oui oui, plus fort ouii, aaaahhhh" J'ai l'impression d'être une chatte en chaleur.
Il me pilonne maintenant depuis une demi heure, je sens mon sexe s'ériger et d'un coup sans crier gare, je jouis sans même me toucher. Il faut dire qu'il touchait ma prostate depuis un moment maintenant. J'hurle de plaisir.
Tandis qu'il me donne un dernier coup de reins puissant, il se retire de moi, vient se placer devant mon visage. Il se masturbe vigoureusement et subitement, une rasade de sperme chaud, dans pas moins de 7 ou 8 jets crémeux viennent atterrir sur mon visage.
Je le suce encore un peu pour le pomper jusqu'à la dernière goûte. Il m'embrasse goulûment et nettoies également mon visage. N'en pouvant plus, il s'effondre sur moi, et nous nous endormons l'un sur l'autre, épuisé mais avec un sentiment de satisfaction.
A mon réveil, mon bellâtre n’étais déjà plus là. Je trouvais ça bien étonnant vu l’heure qu’il était, à peine 07H00 du matin. Encore endormi et légèrement perdu dans mes pensées de ce que j’avais fait la veille, bon ok j’avais pris du plaisir, même un plaisir certain, d’ailleurs les draps s’en souviennent (humour quand tu nous tiens), néanmoins, je ressentais comme une sorte de culpabilité malsaine. Les affres d’une éducation chrétienne j’imagine.
Bref, une bonne douche me fera sans doute du bien. Nu comme un ver, je me dirige donc vers la salle de bain qui jouxte la chambre et me place sous la douche. 30 minutes plus tard, je suis nettoyé, habillé et me dirige vers la salle commune pour prendre le petit déjeuner.
Je jette un bref coup d’œil, à la recherche de mon entrepreneur entreprenant, bizarre, je ne le vois nulle part. Bon, il doit être sorti. Je commence à me dire qu’il cherche à m’éviter.
Je me sers de quoi me restaurer, café, pain, un verre de jus d'orange et surtout un cendrier... Ce qui est bien dans ce genre de pays, c’est qu’on peut encore fumer à l’intérieur.
Confortablement installé, je commence à allumer ma cigarette quand juste derrière moi je suis interrompu :
- Tu sais, ça n’est pas bien de fumer, surtout pour quelqu’un de si jeune que toi...
- Ca donne de la contenance et tu sais, je ne fume que par plaisir. T’en veux une ?
- Non merci, niveau plaisir je préfère l’activité physique, me dit-il en me faisant un clin d’œil. Son aplomb me surprend. Habituellement Je suis le petit con aux répliques acerbes et dans un pays si conservateur, je ne m'attendais pas à être aussi quémandé. Je rougis un instant puis lui rétorque :
- Bon alors, bien dormi ?
- Non pas assez, la personne avec qui j’ai partagé ma chambre m’en a empêché!
- Ah oui ? dis-je d’une manière faussement étonné, et bien figure toi que moi non plus! Mon voisin de chambrée n’arrêtait pas de bouger, au point de se retrouver parfois sur moi!
Il sourit. Un blanc s'installe. Je regarde par la fenêtre, bois une gorgé de mon café et manque de suffoquer quand je sens son pied caressant mon entrejambe. Voyant mon trouble, il arrête un instant puis continue son petit manège. Je commence à avoir une belle érection, son pied s’attarde désormais sur ma bite.
A ce rythme je vais me juter dessus mais le plaisir est tel que je ne peux l'arrêter. Je tente tant bien que mal de contenir mon désir, mais je dois dire que cette situation m'excite, nous pourrions être vu par tout le monde mais bizarrement j'adore ça. Bref, il intensifie et précise ses mouvements, je sens le sang me monter au visage, et commence bien visiblement à rougir de plaisir. Bientôt, je rougis par contre de honte quand mon boss, dans un cri nous interrompt :
- Brian, qu’est ce que tu fous là ?! Ca fait bien 1/2 heure que j’essaye de te joindre sur ton portable, bordel ! Je suis passé à ta chambre, tu n’y étais pas et en plus je ne te raconte pas l'odeur épouvantable de sueur que j'ai trouvé en entrant, t’aurais pu mettre en marche le climatiseur, ça t'aurai empêché de transpirer comme un bœuf sous cette chaleur d'au moins 50 degrés !
Je commence à me confondre en excuses quand soudain Mehdi l’interpelle.
- Désolé Monsieur Adrien, c’est ma faute, j’ai demandé à Brian de m’aider pour mon projet, du coup on a du sortir de bonne heure et pour la chambre, je ne supporte pas l’air conditionné mais je ferai en sorte de corriger tout ça rapidement. Encore toutes mes excuses...
- Bon, laissez tombe les gars mais dépêchez vous de déjeuner, nous sommes déjà à la bourre, nous devons être au centre ville pour 09H00, soit dans moins d'une heure ! Mehdi, est ce que ça te dérange d’accompagner Brian pour sa première fois en taxi, je dois terminer les derniers préparatifs pour la session de ce matin ?
- Non non, je serai bien content de l’accompagner pour toutes ses premières fois ! Dit il avec un sourire pervers.
- Bon, voilà qui est réglé, à tout à l'heure au bas de la grande horloge !
- Ouf! J'ai bien cru qu'on allait se faire griller, merci d'avoir trouvé une excuse bidon, faudrait pas trop qu'on se fasse remarquer aujourd'hui, et même après, surtout qu'on est amené à se voir pendant un bon mois ! Et puis, imagine si les autres entrepreneurs étaient au courant.
- Il a dit dans une heure c'est ça ?
- Quoi ? Qui ? As tu au moins écouté ce que je viens de dire ?
- Oui je sais! Mais il nous reste bien une heure ?
- Oui et alors ?
- Et bien, pour se rendre en ville, il nous faut juste 10 minutes, ce qui nous laisse grosso modo un bon 3/4 d'heure pour s'amuser un petit peu, si tu vois ce que je veux dire.
Je reste bouche bée devant sa demande mais bien sur que oui, je vois où il veut en venir. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, nous nous retrouvons donc dans la chambre - où l'odeur d'animal en rut y règne effectivement - et à peine ai je le temps de refermer le loquet de la porte que Mehdi me roule un patin passionné.
Il est totalement hors de contrôle et j'aime ça. La position est inconfortable. Il me plaque violemment contre la porte et me baise littéralement au travers de nos pantalons. Je sens son sexe gonfler contre le mien au rythme effréné de son bassin. Bien vite, mon bas ventre brule de désir et je n'en peux plus. Il commence à m'insulter. Il parle en arabe, je ne comprends pas un mot mais cette autorité m'excite au plus haut point.
Grand dieu, me dis je intérieurement, je vais me brûler les ailles dans cette histoire. Mais à cet instant, c'est Mehdi qui brûle d'envie dans mes bras. Il me regarde d'un air lubrique, m'arrache, que dis-je, me déchire la chemise. Je fais de même et profite pour baisser le reste de ses vêtements. Sa bite déforme complètement son slip. Ceux qui disent que les slips sont pour les vieux, je peux vous dire que vous n'avez pas vu un Mehdi en porter.
Il abaisse ma tête. Je comprends vite ce qu'il veut. Je me place à genoux et retire donc le dernier bout de tissu qui me sépare de mon objet sexuel à moi. En pleine lumière, je vois encore mieux la beauté de ce sexe puissant, viril à souhait. 25 cm de chairs, veiné comme pas possible, avec un gland énorme, complètement circoncis. Je crache dessus, lui lèche la hampe et englouti comme un affamé ce phallus de tous mes désirs.
- Ooohhh oui c'est trop bon, tu suces bien ma petite salope, t'aimes ça la bite hein ? Dis moi que t'aimes ma grosse bite d'arabe.
- Oui j'a....d...ore, lui répondis-je entre deux succions.
N'en pouvant plus, il me relève, nous avons peu de temps devons nous. Il me déshabille entièrement, me soulève et me déplace violemment sur une table et sur le dos.
Il me relève les jambes en les plaçant sur ses épaules. Il introduit directement deux doigts dans mon cul, qui rentrent sans difficultés. Il faut croire que je suis désormais bien dilaté et je suis tellement excité que je mouille presque de l'anus.
Sans crier gare, il m'enfonce ses 25cm dans le cul. Ouch ça fait mal mais il en a cure. Il commence à me besogner comme la pute que je suis à cet instant. La commode tremble sous les assauts de mon bellâtre. C'est quasiment un tremblement de terre que subit maintenant la chambre.
Il me défonce, je n'en peux plus, et j'en veux encore plus :
- Plus vite, plus fort, vas y baise moi bien profondément, oh oui c'est trop bon !!!
Il me branle en même temps. Je me contorsionne davantage pour l'embrasser. Nos lèvres se touchent mais l'effort physique demandé les sépare bien vite. Nous manquons d'air mais nous sentons mutuellement nos souffles chauds.
Nos cris de plaisir inondent maintenant la pièce. Je ferme les yeux et m’abandonne à la volupté. Je ne suis plus qu’un cul qui reçoit un plaisir immense et qui s'élargit de plus en plus, à ce qu’il me semble, au point d’être énorme. En même temps, je sais qu’il ne s’agit que d’une impression et qu’il sera de plus en plus ouvert à se faire dorloter par la bite experte de Mehdi. Brusquement, je sens le plaisir monter de mes reins et se propager vers ma queue… J’essaie de me retenir pour faire durer ce merveilleux instant mais mes sens me trahissent et je me sens jouir dans cette merveilleuse enculade en même temps qu’un spasme violent me traverse, m’électrisant les nerfs de tout le corps, suivi d’autres décharges de plaisir moins violentes mais qui semblent ne plus vouloir finir. Je m’entends hurler mon bonheur.
Quand, quelques minutes plus tard, je reprends pied dans la réalité, j’ai encore des papillons devant les yeux et le souffle court… Quand à Mehdi, je le sens sur la fin. Il pousse de plus en plus fort, ma prostate est maintenant sollicitée plus que de raisons, et dans un râle de démon, il jouit en moi avec une force que je ne pensais possible. Je sens 9 jets puissants se répandre dans mon anus. Il continue à me baiser malgré la jouissance et reprend son souffle qui passe d'un souffle court à une respiration plus relaxée.
Il se retire de moi, me soulève encore les jambes et me fait un anulingus pour terminer cette partie de jambe en l'air de folie. Il lèche son propre sperme pour me nettoyer le cul. Je me relève, et viens l'embrasser en partageant sa semence.
- Woaw, c'était intense et teeeellllement bon!
- J'en peux plus, tu m'as vidé...
- ...Et toi tu m'as remplis.
Nous éclatons de rires.
Merde, il est 8H40 déjà, une douche rapide, on s'habille, on s'empresse pour prendre le premier taxi, direction le centre ville. Définitivement, une drôle histoire commence.