Si jeunesses savait
Si vieillesse pouvait....
Vous connaissez..?
Et si vieillesse peut..!
Si vieillesse pouvait....
Vous connaissez..?
Et si vieillesse peut..!
Une belle fille serviable
Suite à un accident, Raoul, retraité de soixante deux ans, très séduisant, sort de l'hôpital. On lui a plâtré le bras droit, et la cheville, pour une durée de trois semaines. Raoul est veuf. C'est donc chez son fils Julien, vingt quatre ans, qu'il va passer sa convalescence. C'est son frère Roger qui le ramène. Les deux frères sont des joyeux fêtards. Les bringues, le sexe, rien ne leur fait peur.
Marion, belle blonde de vingt et un ans, épouse de Julien, arrive du boulot. Elle travaille comme aide à domicile.
- Bonjour tout le monde, dit-elle. Bonjour chéri. Mais que ce passe-t-il, je vous sens inquiet.
- Aucune infirmière n'est disponible avant trois semaines, dit Julien. Et moi, je pars en déplacement pour huit jours.
- Et moi, je travaille, poursuit Roger.
- Si çà pose un problème, dit Raoul, ramenez moi à l'hôpital.
- Hors de question, s'exclame Marion, on va se débrouiller, trois semaines, c'est vite passé.
- Mais il faut le laver, le changer, reprend Julien. Tu feras çà toi. je sais que tu as l'habitude de le faire chez les autres, mais là, c'est mon père.
- Ah, j'avais pas pensé à çà, répond Marion, mais s'il le faut, pourquoi pas. Il n'est pas impotent quand même.
- Je peux pas t'imposer çà, dit Julien, c'est toi qui décide. Moi, çà me gêne pas. Et toi papa?
- Comme vous voulez, répond Raoul. tu auras pas à le regretter ma chérie.
Deux heures plus tard, Marion et Raoul, se retrouvent en tête à tête.
- Vous avez un traitement, demande-t-elle.
- Non, pas ce soir, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensée pour tout ce travail.
- Je le fais pas pour çà, précise Marion. Ce qui me gêne, c'est de vous voir tout nu, et de vous toucher.
- Un homme est un homme, la rassure Raoul, on est tous fait pareil. Tu me passes mes béquilles, s'il te plaît. Je vais à la salle de bains.
- Je vous rejoint, dit-elle.
Marion reste pensive. Va-t-elle s'en sortir?
Elle pousse la porte, et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre. Elle s'avance derrière lui pour l'aider.
- A partir de demain, il faudra mettre une tenue plus appropriée, propose Marion. Un caleçon ou une liquette suffira. D'accord?
- Comme çà t'arrange ma chérie, le plus simple pour toi.
Deux minutes après, Raoul est tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux. Marion le découvre dans le miroir de la salle de bains.
"Putain, beau papa, comme il est monté, se dit-elle. Il n'a rien laissé à son fils. Qu'est-ce que çà doit être quand il bande".
Elle savonne un gant de toilette, et commence à le laver. D'abord le dos et les fesses. Elle passe bien entre la raie des cuisses, puis fini par les mollets. Des gestes qu'elle pratique tout les jours. Mais là, c'est son beau père. Elle se met sur le côté, lave les cuisses, et les jambes. le plus dur reste à venir. Marion hésite à laver le sexe de Raoul, D'autant que son membre est maintenant bien raide. Elle prend son courage à deux mains.
- Et bien beau papa, qu'est-ce-qu'il vous arrive, cochon.
Marion fait de son mieux pour laver la queue de Raoul. Elle est obligé de la décalotté pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. la première séance est terminé.
- Voilà, vous êtes tout propre, dit-elle. Vous allez manger, et faire un gros dodo.
De sa main droite, Raoul maintient celle de Marion sur sa queue.
- Oh là, qu'est-ce-que vous voulez, vous croyez pas que...
- Tu vas me laisser comme çà, regarde dans quel état je suis.
- Mais çà va pas. Et si Julien apprend çà. Non, non et non.
- Il n'en saura rien, çà restera entre nous. s'il te plaît.
Marion le sent triste, elle le plaint. Après tout, ils sont que tout les deux, et l'âge n'est pas un obstacle. Elle se place derrière lui, lui saisit la queue, et commence à le masturber. Elle sent un peut d'humidité envahir sa culotte. Raoul se tend en avant.
- Vas-y ma chérie, fais jouir ton beau père, branle.
Marion fait coulisser ses doigts sur le frein, bien à la base du gland. Raoul est pris de tremblement.
- Ha..ha..oui, que c'est bon çà, ha..hou..
Raoul envoie son sperme contre le miroir, en donnant de violents coups de reins.
- Voilà, je peux nettoyer le glace maintenant. Quelle giclée, çà en avait besoin, polisson, çà fera deux fois que je vous nettoie la queue.
- Avec la bouche, demande-t-il.
- Quoi, rugit-elle, pas question. Allez, je vous rhabille.
Le repas se termine vers vingt et une heure.
- Je vais me coucher, dit Raoul, çà te fais rien?
- Pas du tout. Vous m'appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Marion fini de débarrasser, et va à la salle de bains pour se rafraîchir. Elle se caresse la chatte et le clitoris, en pensant au sexe de son beau père. Elle préfère en rester là, et se couche. Vers une heure du matin, Raoul l'appelle. C'est en chemise de nuit qu'elle regagne la chambre.
- Que vous arrive-t-il, demande Marion.
- C'est mon caleçon, il me serre.
Elle soulève le drap. Raoul est en érection.
- Hey, beau papa, faut se calmer
Elle ne sent pas la main qui passe sous sa chemise. Raoul glisse deux doigts dans la fente humide. Surprise, Marion essaie de se reculer.
- Oh, lâchez moi, je vous en prie.
Raoul la tire vers lui. Il ne sent pas une résistance farouche. Elle écarte volontairement les jambes, en gloussant de plaisir. Elle se penche sur lui, et lui murmure à l'oreille.
- Ou vous voulez en venir. Vous voulez me baiser, c'est çà?
Elle lui quitte le caleçon, ôte sa chemise de nuit, et l'enjambe. Raoul n'est pas handicapé de partout. la queue est là, prête à l'accueillir. Elle écarte ses jambes, et s'y empale dessus.
- Ha, gémit-elle, çà c'est de la bite. Allez-y, niquez moi. je suis toute mouillée là. Attendez que je décalotte mon bouton. Voilà, c'est mieux. Putain, je me fais prendre la chatte par mon beau père, quel salaud. mais que c'est bon.
Marion se prend les seins, se cambre en arrière. L'orgasme est là. Elle hurle de plaisir. Raoul se retient au maximum, puis se lâche dans la chatte de sa belle fille.
- Comme tu m'as régalé, dit Marion en l'embrassant. je peux te tutoyer?
- Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l'amour toi. Mon fils doit pas s'ennuyer avec toi, hein? Petite vicieuse.
- J'aime que çà, répond-elle. Surtout quand la queue en vaut la peine.
- Mon frère Roger passe demain. Tu veux qu'on te prenne tout les deux?
- Oh là, doucement, je suis pas une trainée, répond Marion. mais j'avoue que d'un autre côté, une partie à trois peut être intéressante. On verra demain. En attendant, tu peux me niquer encore? Regarde comme je mouille. Si tu me gratte le bouton, je serai sage toute la nuit.
Raoul ne se le fai tpas dire deux fois et profite a fond de sa belle fille.
Prise de fatigue, Marion se blottit contre son beau père Le couple s'endort.
Le lendemain, la matinée se démarre assez calmement. Ils sont que tout les deux dans la villa.Raoul se promène en liquette, et, pour ne pas être en reste, Marion a simplement passé une chemise de nuit ultra courte. Raoul est à table, en train de déjeuner.
- Alors, beau papa, bien dormi, dit-elle. Je vous apporte vos médicaments?
- Tiens, tu me tutoie plus, fait remarqué Raoul. Tu as raison, il me faut bien commencer mon traitement.
- Moi, je l'ai eu cette nuit mon traitement, mais d'après la notice, il faut pas l'arrêter avant une semaine. Ils parlent même d'augmenter la dose.
Marion lui apporte ce qu'il faut. Arrivé près de lui, il l'a saisit par la taille, et l'assied sur ses genoux.
- Viens par ici, fait voir un peu que je caresse ta petite minette, sourit Raoul.
- Salaud, tu trouves que tu as pas assez joué avec elle cette nuit. Tu as entendu comme tu m'as faite crier. C'était tellement bon. Tu es encore vert pour ton âge tu sais.
- Tu sais qu'il y a Roger qui passe aujourd'hui, rappelle Raoul. Tu as réfléchi à ma proposition.
- J’attends la tournure des événements. je veux pas être cataloguer comme une femme facile, une pute, tu comprend? Puis, comment provoquer la situation.
Vers dix heure, on sonne à la porte. N'ayant pas de réponse, Roger rentre.
- Bonjour, bonjour tout le monde. Comment va mon frère? En forme.
Il marque un temps d'arrêt en voyant la main de Raoul, entre les cuisses de sa belle fille. La chemise est tellement courte, qu'il voit le doigt naviguer sur la fente.
Et si çà démarré comme çà. Marion est surprise dans une position qui pourrai faire que...
- Oh oui, il est en forme, dit-elle. Je le sens contre mes fesses.
Roger s'avance vers la table, soulève la nuisette.
- Qu'est-ce-qu'il se passe la dessous, dit-il.
Sans hésiter, il prend la place de la main de son frère. Il fait tourner un doigt sur le clitoris, ce qui provoque un léger soupir chez Marion. Raoul en profite pour lui ôter sa chemise. Marion se retrouve nue, devant les deux sexagénaires.
Raoul saisit les seins gonflés par le désir. Les bouts sont prêt à s'éjecter des auréoles. Roger l'a force à s'allonger sur la moquette. Le corps de Marion ondule comme une chatte en chaleur. Elle étend ses bras vers Roger. Elle s'ouvre totalement.
- Viens, murmure-t-elle.
- Qu'est-ce-qu'il t'arrive ma chérie,tu es en manque. Tu es toute mouillée.
- Viens, répète-t-elle. J'ai besoin d'un coup de queue là. Vous pouvez vous amusez avec moi toute la journée si vous le désirez
En voyant ce corps magnifique s'offrir à lui, Roger n'hésite pas une seconde. Il se déshabille, et se couche sur elle. Elle le reçoit, soumise, et noue ses jambes dans son dos.
- Ha, vas-y, je suis chaude maintenant. Je vais vous mettre sur les rotules les deux vieux. Raoul, viens que ta belle fille te taille une pipe.
Malgré son handicap, Raoul arrive à prendre une position qui permet à son membre en érection de titiller la bouche de Marion. Elle sort sa langue pour mouiller le gland, puis l'avale entièrement. Raoul commence à se branler dans la bouche de sa belle fille. D'une main, il lui pétrit les seins. Marion donne des signes de jouissances. Son corps réagit au assauts de ses deux amants
- Hum, t'arrête pas Roger, arrive-t-elle à sortir. Régalez vous tout les deux.
Marion a glissé un doigt entre ses cuisses, et doigte son clitoris pour accélérer son orgasme.
- Hhhhhhoououiiiii, bande d'enfoirés, hurle-t-elle.
Tout çà est sorti, sans lâcher la queue de Raoul. Les deux mâles éjaculent ensemble, en poussant un cri de fauve en rut. Marion se tord sur la moquette. Roger se penche à son oreille.
- Cinq minutes, répond Marion, tu feras ce que tu voudras après. Regardez dans quel état vous m'avez mise. Je vais aller me nettoyer un peu.
Bien qu'ils aient joui en elle, il reste des traces de sperme sur les cuisses et autour de la bouche. Quand elle réapparaît, les deux frères ont regagné la chambre. Elle pousse la porte avec un large sourire. Elle les retrouve comme elle les avait laissés, la queue en érection.
- Alors, petit vicieux, toujours opérationnel. Je vais vous calmer, vous allez voir.
Elle s'occupe à faire bander la queue de Raoul, qui, de par son handicap, à moins de marge de manœuvre. Il est donc allongé sur le dos. Une fois son membre bien raide, elle s'y empale dessus. Elle éprouve toujours un énorme plaisir quand une queue la pénètre comme çà. Elle l'embrase en creusant les reins, et cambre ses reins. Roger, placé derrière, n'a qu'à se servir. Le petit trou est là, a sa disposition.
- S'il te plaît, dit Marion, mouille le un peu si tu veux me sodomiser.
Roger passe deux doigts entre les cuisses de sa nièce, et lui barbouille l’œillet. Il passe ses jambes de chaque côté de ses hanches, et la pénètre par petits coups de reins. Comme si elle avait pris une décharge, Marion se dresse en criant.
- Oh putain, c'est quoi qu'il me met, quel engin. Je m'étais pas rendu compte dans ma chatte. Oh Raoul, comme il m'encule.
La douleur s'estompe. Le corps de Marion accepte les deux calibres qui la fouille. Elle voulait les mettre sur les rotules, en attendant c'est elle qui subit. Des cernes apparaissent sous les yeux, la respiration devient de plus en plus saccadée. Elle gémit de plus en plus fort. Elle est à deux doigts de s'évanouir.
- Saaalllaauud, comme vous me niquez, vous allez me tuer, oui, oui, je jouiiiis
Marion est en train d'inonder le lit. Raoul se vide le premier. Il arrive à soulever sa belle fille avec son bassin pour mieux la pénétrer. Roger viens à son tour. Une éjaculation forte, qui fait vibrer les fesses de Marion. Il n'en fini pas de se vider.
- Tu veux que je lui dise d'arrêter, demande Raoul.
- Non, gémit Marion, laisse le finir, qu'il se fasse plaisir.
Roger se retire, et vient placer son fifre contre la bouche de sa nièce. Il est aussitôt rejoint par la bite de son frère. Marion prend les deux glands en bouche, et les nettoie jusqu'à la dernière goutte.
Épuisée mais satisfaite,elle s'écroule sur le lit taché de mouille et de sperme.
- Laissons la se reposer, dit Roger. Viens à la douche, c'est moi qui vais te faire ta toilette aujourd'hui. Après, je rentre.
- J'irai un peu m'allonger, dit Raoul, j'ai une dure nuit qui m'attend.
Roger quitte la villa vers dix sept heure. Raoul s'assoupit quand il entend parler.
- Raoul, mon chéri, appelle Marion, viens me le mettre, s'il te plaît, j'ai envie.
Raoul se lève, et se dirige vers la chambre. Il y a des nuits qui commence plus tôt que d'habitude.
Nuit de noces loupée
Le lendemain de leur mariage, Lucie et Damien sont réveillés par le champ de cigales. Vers neuf heure, quand ils prennent leurs petits déjeuners sur la terrasse. Les festivités se sont déroulées dans la propriété de leur oncle Marcel, et de leur tante Monique, tout deux âgés de quarante deux ans. La journée s'annonce superbe sous ce ciel de Provence. Lucie est vêtue d'une jupette à carreaux, et d'un petit débardeur.
- Dis mon chéri, tu t'es pas bien foulé pour une nuit de noces, fait remarqué Lucie. Deux petits coups, je m'attendais à mieux.
- Je le sais mon amour, j'étais fatigué, s'excuse Damien. Ce soir, je me rattraperai, promis. Viens t'asseoir sur mes genoux ma chérie.
Damien glisse une main sous la minijupe, et caresse l'intimité de sa femme.
- Mais tu n'as pas mis de culotte, et tu es toute mouillée. Vivement ce soir. Je vais assurer, tu vas voir.
- Tu as intérêt, répond Lucie en souriant. Au fait, en partant pense à descendre la valise, il y a le linge sale dedans.
Damien doit s'absenter pour ramener ses grands parents. Deux heures et demie de route aller, retour. Lucie va prendre sa douche.
- J'y vais chérie, à plus, d'être sage.
- A plus mon amour, et reviens en forme.
Lucie sort de la douche, remet sa jupette, et son débardeur. Elle cherche ses dessous de rechange.
"Mon dieu se dit-elle, il a emporté mes habits propres. Je me trouve sans string, sans soutien gorge. Quel âne, j'ai besoin de faire attention de pas me baisser".
Elle quitte sa chambre, et descend. Son oncle Marcel est installé sous la treille, en train de lire le journal. Il est en short, et torse nu. Lucie remarque la poitrine velue.
- Bonjour tonton, çà va, demande-t-elle.
- C'est à toi qu'il faut le demandé, répond Marcel. Tu as passé une bonne nuit?
- Bof, pas terrible. Damien étais fatigué. Enfin, on se rattrapera ce soir. tante n'est pas là?
- Elle devrait pas tarder, elle est allé en ville. Par contre, les chaises sont restées dans la salle. Il ne reste que mes genoux, propose Marcel.
- Comme quand j'étais petite, sourit Lucie. C'est gentil.
Oubliant sa tenue, elle s'avance pour s'assoir sur les genoux de son oncle.
"Merde, mais tu as rien dessous, se rappelle-t-elle. tant pis, j'y vais".
- Tu n'est pas bien lourde, dit Marcel en la prenant par la taille.
- Je n'ai que vingt ans, je me surveille.
Marcel monte sa main sur le dos de sa nièce, sous le débardeur.
- Mais, tu n'as pas de soutien gorge, remarque-t-il.
- J'ai rien, Damien m'a emporté tout mes habits de rechange.
Le regard de Marcel se porte alors sur les cuisses de sa nièce. il aperçoit presque la chatte, tellement la jupe est courte. lentement; il fait glisser sa main, jusqu'à ce que ses doigts soient en contact avec la duvet du pubis. Il l'a fixe du regard. Elle passe in bras autour de son cou, et appuie sa tête contre son épaule. Elle lui murmure à l'oreille.
- Caresse moi tonton, s'il te plait, ma chatte est toute mouillée, elle a envie.
Avec deux doigts, il parcours les lèvres de bas en haut, sortant, au passage, le clitoris de sa capuche.
- Il t'a ratée cette nuit, c'est çà? demande Marcel.
- Oui, balbutie-t-elle, fais moi du bien, branle moi.
- Mais ton mari, tu y penses, çà fait un jour que vous êtes mariés.
- Tant pis pour lui, répond-elle, il avait qu'à assumer.
Les doigts de Marcel ouvrent la fente, et la pénètre, le pouce toujours en action sur le petit organe. Elle se retient, mais l'envie de son corps prend le dessus.
- T'arrête pas tonton, c'est trop bon, ha, oui, fais moi jouir.
Elle prend la tête de son oncle, et lui dévore la bouche.
- Tu avais une grosse envie, dit Marcel. C'est vrai qu'il a du te louper. Tu veux que je fasse son devoir à sa place.
- Oh oui, tonton, je veux bien.
Elle se lève pour qu'il puisse quitter son short. Elle est dos à lui. Il l'a prend par les hanches, et la fait coulisser sur son membre en érection.
- Mon dieu, quel engin, tu vas me déchirer, s'exclame-t-elle.
- A bon, pourtant, çà doit pas être le premier coup de queues que tu prends. le passage est fait, hein?
Elle cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Marcel caresse les petits seins, les bouts dressés par l'excitation. son corps appelle aux secours. C'est elle qui ondule du bassin, et qui accélère.
- Putain tonton, tu aurais du venir cette nuit, murmure-t-elle. Tu lui aurais montré comme on se sert d'une femme. qu'est-ce-que tu me fait du bien. Salaud. ha..ha..oui, oui, je joui, petite pute que je suis. Ha, mais ta queue est tellement bonne.
D'un coup, Monique surgit sous la treille.
- Salut, dit-elle, oh la la, je vous dis pas le monde qu'il y a en ville. Alors ma chérie, çà va? On rirai que tu es paralysée.
- Avec ce que j'ai dans la chatte, soupire Lucie, si tu savais.
- Quoi, sursaute Monique en s'avançant vers la table.
Elle remarque la main de son mari sous le débardeur. Elle s'approche, et soulève la jupette de sa nièce.
- Ben dit dont, tu perds pas du temps pour tromper ton mari toi.
Monique glisse une main entre les cuisses de Lucie, et lui caresse le clitoris.
- Tu es toute mouillée, petite vicieuse, Damien t'a pas assez donnée cette nuit.
Les grognements de Marcel ne trompent pas. Il vient dans la chatte de sa nièce, fort.
- Oh tante, il est en train de me remplir, le salaud. il s'arrête plus, çà fait deux fois qu'il me fait jouir. Putain, çà c'est du mâle. Pauvre Damien, tu as du chemin à parcourir encore.
- Je vous laisse, dit Monique, amusez vous bien.
Elle se penche sur Lucie, et lui force les lèvres avec la langue. Lucie se retourne face à Marcel, et se met à califourchon.
- Encore, soupire-t-elle, nique moi encore. Après, je te prendrai en bouche.
- Oh la polissonne, elle aime la queue de son oncle on dirai. Et si je t'enculais?
- Fais ce que tu veux tonton, mais régale moi, s'il te plait.
Pendant une heure, Lucie va se faire malmener par Marcel. Il va la sodomiser, se faire sucer. Il va jouer avec elle, jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter. Mais Marcel a décidé d'en profiter jusqu'au bout.
- Dis, salope, tu essaie de te dérober maintenant que tu m'as bien allumé. Suce moi encore, petite pute. Dis que tu en veux encore, allez, dis moi."Oui mon chéri, j'en veux encore". Vas-y, dis le.
- Oui chéri, j'en veux encore, répète Lucie au bord des larmes. Nique moi.
Son supplice prend fin, lorsque un coup de klaxon retenti dans la cour. C'est Damien qui vient d'arriver. Mais était-ce vraiment un supplice. Après tout, elle la bien provoqué. Et en plus, elle a aimé se faire prendre par un vrai mâle. En fait, elle s'est faite mâter. Reconnaissante, elle donne un baiser de feu à son oncle.
- Merci, tonton chéri, çà m'a fait plaisir de me donner à toi, tu sais. Vite, je ma sauve. On se reverra, c'est promis.
Le lendemain de leur mariage, Lucie et Damien sont réveillés par le champ de cigales. Vers neuf heure, quand ils prennent leurs petits déjeuners sur la terrasse. Les festivités se sont déroulées dans la propriété de leur oncle Marcel, et de leur tante Monique, tout deux âgés de quarante deux ans. La journée s'annonce superbe sous ce ciel de Provence. Lucie est vêtue d'une jupette à carreaux, et d'un petit débardeur.
- Dis mon chéri, tu t'es pas bien foulé pour une nuit de noces, fait remarqué Lucie. Deux petits coups, je m'attendais à mieux.
- Je le sais mon amour, j'étais fatigué, s'excuse Damien. Ce soir, je me rattraperai, promis. Viens t'asseoir sur mes genoux ma chérie.
Damien glisse une main sous la minijupe, et caresse l'intimité de sa femme.
- Mais tu n'as pas mis de culotte, et tu es toute mouillée. Vivement ce soir. Je vais assurer, tu vas voir.
- Tu as intérêt, répond Lucie en souriant. Au fait, en partant pense à descendre la valise, il y a le linge sale dedans.
Damien doit s'absenter pour ramener ses grands parents. Deux heures et demie de route aller, retour. Lucie va prendre sa douche.
- J'y vais chérie, à plus, d'être sage.
- A plus mon amour, et reviens en forme.
Lucie sort de la douche, remet sa jupette, et son débardeur. Elle cherche ses dessous de rechange.
"Mon dieu se dit-elle, il a emporté mes habits propres. Je me trouve sans string, sans soutien gorge. Quel âne, j'ai besoin de faire attention de pas me baisser".
Elle quitte sa chambre, et descend. Son oncle Marcel est installé sous la treille, en train de lire le journal. Il est en short, et torse nu. Lucie remarque la poitrine velue.
- Bonjour tonton, çà va, demande-t-elle.
- C'est à toi qu'il faut le demandé, répond Marcel. Tu as passé une bonne nuit?
- Bof, pas terrible. Damien étais fatigué. Enfin, on se rattrapera ce soir. tante n'est pas là?
- Elle devrait pas tarder, elle est allé en ville. Par contre, les chaises sont restées dans la salle. Il ne reste que mes genoux, propose Marcel.
- Comme quand j'étais petite, sourit Lucie. C'est gentil.
Oubliant sa tenue, elle s'avance pour s'assoir sur les genoux de son oncle.
"Merde, mais tu as rien dessous, se rappelle-t-elle. tant pis, j'y vais".
- Tu n'est pas bien lourde, dit Marcel en la prenant par la taille.
- Je n'ai que vingt ans, je me surveille.
Marcel monte sa main sur le dos de sa nièce, sous le débardeur.
- Mais, tu n'as pas de soutien gorge, remarque-t-il.
- J'ai rien, Damien m'a emporté tout mes habits de rechange.
Le regard de Marcel se porte alors sur les cuisses de sa nièce. il aperçoit presque la chatte, tellement la jupe est courte. lentement; il fait glisser sa main, jusqu'à ce que ses doigts soient en contact avec la duvet du pubis. Il l'a fixe du regard. Elle passe in bras autour de son cou, et appuie sa tête contre son épaule. Elle lui murmure à l'oreille.
- Caresse moi tonton, s'il te plait, ma chatte est toute mouillée, elle a envie.
Avec deux doigts, il parcours les lèvres de bas en haut, sortant, au passage, le clitoris de sa capuche.
- Il t'a ratée cette nuit, c'est çà? demande Marcel.
- Oui, balbutie-t-elle, fais moi du bien, branle moi.
- Mais ton mari, tu y penses, çà fait un jour que vous êtes mariés.
- Tant pis pour lui, répond-elle, il avait qu'à assumer.
Les doigts de Marcel ouvrent la fente, et la pénètre, le pouce toujours en action sur le petit organe. Elle se retient, mais l'envie de son corps prend le dessus.
- T'arrête pas tonton, c'est trop bon, ha, oui, fais moi jouir.
Elle prend la tête de son oncle, et lui dévore la bouche.
- Tu avais une grosse envie, dit Marcel. C'est vrai qu'il a du te louper. Tu veux que je fasse son devoir à sa place.
- Oh oui, tonton, je veux bien.
Elle se lève pour qu'il puisse quitter son short. Elle est dos à lui. Il l'a prend par les hanches, et la fait coulisser sur son membre en érection.
- Mon dieu, quel engin, tu vas me déchirer, s'exclame-t-elle.
- A bon, pourtant, çà doit pas être le premier coup de queues que tu prends. le passage est fait, hein?
Elle cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Marcel caresse les petits seins, les bouts dressés par l'excitation. son corps appelle aux secours. C'est elle qui ondule du bassin, et qui accélère.
- Putain tonton, tu aurais du venir cette nuit, murmure-t-elle. Tu lui aurais montré comme on se sert d'une femme. qu'est-ce-que tu me fait du bien. Salaud. ha..ha..oui, oui, je joui, petite pute que je suis. Ha, mais ta queue est tellement bonne.
D'un coup, Monique surgit sous la treille.
- Salut, dit-elle, oh la la, je vous dis pas le monde qu'il y a en ville. Alors ma chérie, çà va? On rirai que tu es paralysée.
- Avec ce que j'ai dans la chatte, soupire Lucie, si tu savais.
- Quoi, sursaute Monique en s'avançant vers la table.
Elle remarque la main de son mari sous le débardeur. Elle s'approche, et soulève la jupette de sa nièce.
- Ben dit dont, tu perds pas du temps pour tromper ton mari toi.
Monique glisse une main entre les cuisses de Lucie, et lui caresse le clitoris.
- Tu es toute mouillée, petite vicieuse, Damien t'a pas assez donnée cette nuit.
Les grognements de Marcel ne trompent pas. Il vient dans la chatte de sa nièce, fort.
- Oh tante, il est en train de me remplir, le salaud. il s'arrête plus, çà fait deux fois qu'il me fait jouir. Putain, çà c'est du mâle. Pauvre Damien, tu as du chemin à parcourir encore.
- Je vous laisse, dit Monique, amusez vous bien.
Elle se penche sur Lucie, et lui force les lèvres avec la langue. Lucie se retourne face à Marcel, et se met à califourchon.
- Encore, soupire-t-elle, nique moi encore. Après, je te prendrai en bouche.
- Oh la polissonne, elle aime la queue de son oncle on dirai. Et si je t'enculais?
- Fais ce que tu veux tonton, mais régale moi, s'il te plait.
Pendant une heure, Lucie va se faire malmener par Marcel. Il va la sodomiser, se faire sucer. Il va jouer avec elle, jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter. Mais Marcel a décidé d'en profiter jusqu'au bout.
- Dis, salope, tu essaie de te dérober maintenant que tu m'as bien allumé. Suce moi encore, petite pute. Dis que tu en veux encore, allez, dis moi."Oui mon chéri, j'en veux encore". Vas-y, dis le.
- Oui chéri, j'en veux encore, répète Lucie au bord des larmes. Nique moi.
Son supplice prend fin, lorsque un coup de klaxon retenti dans la cour. C'est Damien qui vient d'arriver. Mais était-ce vraiment un supplice. Après tout, elle la bien provoqué. Et en plus, elle a aimé se faire prendre par un vrai mâle. En fait, elle s'est faite mâter. Reconnaissante, elle donne un baiser de feu à son oncle.
- Merci, tonton chéri, çà m'a fait plaisir de me donner à toi, tu sais. Vite, je ma sauve. On se reverra, c'est promis.