Viviane continue d’apprendre
quelques fois contre sa volonté...
Elle adore en plus cette salope!!! LOL!
PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE
Fin
Muriel se rassit, gardant son visage sévère :
- Dis-moi vraiment tout, sinon…
Viviane commença par parler de ses voisins, des conversations, retardant le moment où elle devrait parler de cette main si sûre d'elle. Muriel ne se laissa pas détourner :
-Tout ça, c'est du bavardage, ce n'est pas ça qui te fait tellement rougir. Alors, avoue… avoue tout !
- Tout à coup, j'ai senti une main… sur mon genou, sur ma cuisse…
Elle continua son récit, essayant d'éviter ce qui la gênait le plus, reconnaître sa propre excitation. Muriel fut impitoyable, satisfaite seulement quand Viviane, toute en larmes de honte, dut lui dire que, oui, elle mouillait, oui elle avait joui sous ce doigt.
Peu à peu, avec encore plus de peine, Muriel lui fit raconter ce qui s'était dans le parking. Elle chercha d'abord à cacher qu'elle avait été fessée, mais Muriel sentit qu'il manquait quelque chose à son récit et dut la menacer à nouveau d'une fessée pour qu'elle en parle. A la fin, Viviane pleurait
- Pourquoi tu me fais dire tout ça ? J'ai si honte de m'être laissée aller…
Muriel sourit :
- C'était une expérience qui te manquait. Tu es trop sage, tu regardes trop les hommes de haut. Et maintenant, que vas-tu faire ?
- Comment, qu'est-ce que je vais faire ? Rien, bien sûr. Quoi d'autre ?
- Non, pas question ! Tu vas revoir cet homme !
- Le revoir ? tu es folle ! et mon mari ?
- Ton mari est très loin, et ce n'est pas lui qui va te faire jouir avant longtemps.
- Mais cet homme ne me plaît pas… et d'ailleurs je ne connais même pas son nom.
Muriel sourit :
- C'est maître André Fauve. Je le sais, c'est le seul avocat à la Fondation. Tu vas l'appeler demain matin, tu demanderas à lui parler personnellement, tu te présenteras et lui diras que tu veux le revoir.
- Jamais ! M'humilier ainsi ? Pas question !
- Lève-toi !
- Pourquoi ? qu'est-ce que tu veux ?
-Je t'ai dit de te lever ! Obéis sans discuter !
Le ton autoritaire de Muriel, à qui elle avait déjà tant cédé ce soir, affaiblit les défenses de Viviane et sa volonté. Tête basse, elle se leva ; Muriel lui fit signe d'approcher, lui prit le poignet et la fit basculer en travers de ses genoux. Viviane tenta de se débattre.
- Qu'est-ce que tu fais ? qu'est-ce que tu veux ? Aïe… aïe… arrête…tu es folle…
Muriel avait commencé à la fesser, sur sa jupe d'abord, puis l'avait troussée et frappait sur la fine culotte.
- Tu vas m'obéir ? Tiens, prends ça ! Et ça encore… Demain je vérifierai si tu as bien téléphoné, et sinon, gare à tes fesses !
Les coups avaient complètement aboli la volonté de Viviane
- Oui, Muriel, oui, j'appellerai… promis… arrête…
Muriel s'arrêta à regret. Elle avait pris un grand plaisir à fesser son amie et à la sentir céder, s'abandonner. Elle se promit qu'à la première occasion… Viviane restait debout, tête basse, très rouge, le visage couvert de larmes, se frottant les fesses.
- Allons, assieds-toi et arrête de te frotter les fesses comme une gamine, tu es ridicule.
Viviane poussa un petit cri de protestation, mais se rassit, obéissante.
-Tu l'appelleras demain ?
- Oui, Muriel.
-… tu iras à son rendez-vous ?
- Oui, Muriel.
- Et tu lui diras que tu veux qu'il te baise de nouveau ?
- Muriel, voyons, je ne pourrai jamais…
- C'est pourtant ce que tu veux ?
- Je ne sais pas… laisse-moi…
- Assez discuté. Tu iras, et n'oublie pas que j'aurai les moyens de vérifier.
Cette nuit, Viviane dormit très mal. Elle était choquée de la façon dont son amie l'avait traitée, mais elle était excitée, ses mains retournèrent entre ses cuisses et elle jouit en se revoyant fessée.
Le lendemain, elle se réveilla en se disant qu'elle avait été stupide de céder ainsi. Muriel s'était conduite de manière inadmissible avec elle, et une promesse extorquée dans ces conditions n'avait aucune valeur.
Mais, à mesure que la matinée avançait, sa résolution faiblissait. Après tout, pourquoi pas ? Le souvenir des deux orgasmes que cet homme avait provoqués était vivant dans son esprit et devenait parfois une obsession. Elle allait le revoir, ne serait-ce que pour le démystifier et s'en débarrasser.
Elle appela donc. Comme prévu, elle tomba sur la secrétaire et dut donner son nom et insister que c'était bien personnel. Enfin, elle entendit sa voix :
- Bonjour. Que voulez-vous ?
Toujours le même ton froid et autoritaire. Lui parlerait-il un jour autrement, comme les hommes avaient coutume de s'adresser à elle ? Elle balbutia :
- Un… un rendez-vous.
- Demain, 18 heures. Et il raccrocha.
L'après-midi et la journée du lendemain furent horribles pour Viviane. Tantôt elle se disait qu'elle était folle, à d'autres moments son ventre brûlait à l'idée de ce qui pourrait se passer. Enfin la soir arriva. Viviane hésita sur sa tenue, et opta finalement pour son tailleur le plus sérieux. Elle ne voulait pas avoir l'air de se jeter à sa tête. Donc un tailleur gris, un collant gris aussi, un chemisier blanc boutonné jusqu'au cou, des dessous sages.
Elle se regarda dans le miroir de sa chambre : Comme elle le souhaitait, elle était élégante comme toujours, sans rien de provoquant. Elle se dit qu'elle faisait plutôt femme d'affaire, et espéra qu'il en serait impressionné. Un discret collier de perles, une bague pour faire pendant à son alliance complétèrent une tenue qui, pensait-elle, inspirerait le respect.
Enfin l'heure arriva, elle sonna, le coeur battant, mais cherchant à ne montrer qu'un visage parfaitement calme. C'est une jeune femme qui ouvrit, probablement une secrétaire.
- Vous désirez ?
- J'ai rendez-vous avec Maître Fauve.
Sa voix trembla. Ces deux mots la troublaient. Le mot Maître, d'abord. Devait-elle considérer cet homme comme son maître ? C'est ainsi qu'il s'était conduit au dîner, et elle l'avait accepté. Mais maintenant ? Et puis Fauve ? Elle le ressentait bien comme un fauve prêt à se jeter sur elle. Son ventre se tordit à cette idée, et elle entendit à peine la secrétaire lui disant de la suivre. Elle entra dans le bureau, dont la secrétaire ferma la porte en partant. L'homme la regardait froidement. Sans lui dire de s'asseoir, il demanda :
- Que voulez-vous ?
Elle fut désarçonnée par cette entrée brutale en matière. Il ne faisait rien pour lui faciliter ce qu'elle avait à faire.
- …je… je…
- Parlez, vous me faites perdre mon temps.
Elle ouvrit la bouche, la referma, incapable de parler, glacée par cet accueil. Il se leva, avançant lentement vers elle, sans cesser de la regarder
- Vous vous décidez, ou faudra-t-il vous contraindre ?
Viviane continuait à le regarder s'approcher, incapable de réagir. Il était maintenant tout près d'elle.
- Non ? Vous ne voulez rien dire ? Soit !
Avec force, il la retourna malgré sa résistance, et appliqua une claque retentissante sur les fesses à travers la jupe. Viviane poussa un cri et essaya de se dégager, mais son autre main la tenait fermement. Il continua un moment, ignorant ses cris. Il avait pris ses deux poignets dans une main et continuait la fessée de l'autre.
Viviane pleurait, suppliait qu'il arrête :
- Je vais vous dire…arrêtez, ça fait mal.
Il continua un moment, puis la redressa et la tourna face à lui :
- Qu'est-ce que vous avez à me dire ? Parlez !
Elle était toute rouge, baissait la tête pour éviter les yeux de l'homme.
- Au dîner, l'autre jour… vous avez…
- Oui, je sais très bien ce que j'ai fait. Et alors ?
Tout en parlant, il l'avait de nouveau retournée mais cette fois il l'avait courbée sur le bureau et troussée.
- Non… que faites-vous ?
- Vous êtes venue vous faire de nouveau enfiler, comme au dîner ? Dites-le !
Une série de claques s'abattirent sur les fesses qui n'étaient plus protégées que par un fin collant un une culotte encore plus fine.
- Oui… oui… arrêtez…
Nouvelles claques, le collant baissé aux genoux.
- Oui quoi ? Soyez claire, Madame.
- Oh ! ne soyez pas méchant. Vous savez très bien pourquoi je suis venue.
Il baissa la culotte et d'un geste brusque la déchira et le collant aussi. Il rit :
- Tu n'en auras plus besoin.
Quelques claques directement sur les fesses maintenant nues :
- Dis-le que tu es venue te faire baiser !
- Oui…oui… baisez-moi
Elle avait à peine fini qu'elle sentit que son sexe était envahi. Il n'eut pas à attendre longtemps. Après quelques allées et venues dans ce vagin trempé, elle hurla son plaisir.
Il se retira, elle resta immobile, reprenant son souffle, et se redressant enfin se colla à celui qui l'avait fait jouir, attendant un geste et une parole de tendresse. Mais il la repoussa, montrant la culotte et le collant déchirés :
- Ôte ça, tu es ridicule.
Essayant de retrouver un peu de dignité, elle retira lentement ses chaussures puis ce qui restait de ces deux vêtements qui l'avaient si peu protégée, et les remit, lissa sa jupe et se tint debout devant lui, le regardant de haut, comme elle le faisait habituellement avec tous les hommes. Il ne sembla pas impressionné et lui dit simplement :
- Ta jupe !
Elle le regarda, ne comprenant pas. Il répéta :
- Ta jupe, je ne veux plus la voir. Donne la moi !
Elle balbutia
- Mais… mais… je ne peux pas… non…
Il la gifla :
- Tu ne me dis plus jamais non ! Apprends à obéir.
En larmes, la joue en feu, elle la dégrafa et la fit tomber, l'enjamba et la ramassa, la lui tendit, la tête baissée, honteuse de sa docilité, et plus encore d'être demi-nue sous son regard froid.
Il prit la jupe, les lambeaux de la culotte et du collant et les jeta dans une poubelle. Viviane le regardait, fascinée, ayant renoncé à toute volonté. Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle ne pourrait rien lui refuser.
Il mit la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans son vagin, et ricana en constatant que l'humidité n'avait pas diminué. Elle commença à s'agiter sur ces doigts, cherchant à jouir de nouveau. Mais il les retira d'un coup, riant encore plus quand elle poussa un cri de frustration.
- C'est moi qui décide si et quand tu vas jouir, pas toi.
Elle s'approcha de nouveau de lui, tentant de le séduire, de l'exciter, frottant son ventre nu contre le sexe de l'homme à travers le pantalon. Il resta froid, elle pleurait de désir et de frustration.
- Nous partons !
-Nous partons ? Où ?
Pas de réponse. Il se dirigea vers la porte.
- Mais… je ne peux pas sortir comme ça…
- Et bien, on verra tes fesses rouges et on saura que tu as été vilaine et qu'il a fallu te fesser comme une gamine.
Elle rougit, troublée et honteuse à l'évocation de ce qu'elle avait subi. Il sortait, elle se colla contre lui, comme si elle serait cachée par lui. Il marchait à grands pas, ne semblant pas s'occuper d'elle. Ils prirent l'ascenseur sans rencontrer personne, arrivèrent au parking.
Le souvenir de ce qui s'était passé dans un autre parking, avec le même homme, la fit frissonner. Un couple les croisa, les regarda sans rien dire. La femme se retourna pour les regarder encore. Ils arrivèrent à la voiture, mais cette fois il se contenta de lui ouvrir la portière, poliment, comme si elle était habillée normalement et ne venait pas d'être fessée et baisée par lui.
Elle s'assit, il prit place à côté d'elle et avant de démarrer, lui écarta les genoux qu'elle avait pudiquement serrés. Elle rougit, mais ne tenta pas de les refermer.
Toutefois, quand la voiture arriva près d'un camion, il ralentit pour rester à la même vitesse que lui, et elle vit le chauffeur qui la regardait. Sans réfléchir, elle resserra les cuisses, ce qui lui valut une claque immédiate laissant sur sa cuisse une marque bien nette.
Le camionneur sourit et fit un signe d'approbation. Viviane pleurait de honte, elle s'en voulait d'être incapable de s'opposer à ces humiliations. Lui gardait son visage froid, ne la regardant apparemment pas.
Arrivés chez lui, il reprit son comportement poli et attentionné, lui tenant les portes, la faisant passer devant lui. Il la fit entrer au salon et asseoir dans un fauteuil, où il lui écarta de nouveau les cuisses.
Il redevint mondain en lui demandant ce qu'elle voulait boire, mais quand elle lui demanda de l'eau, il hocha la tête et lui servit un cognac. Et garda les yeux sur elle jusqu'à ce qu'elle ait tout bu. Ça n'allait certainement pas lui tourner la tête, mais elle sentit qu'une fois de plus il lui imposait sa volonté sans qu'elle puisse lui résister.
Il resta longtemps assis en face d'elle, le regard fixé sur sa vulve qu'elle ressentait comme une brûlure. Elle avait besoin qu'il la prenne, qu'il la pénètre, qu'il prenne possession de tout son corps, qu'il la brutalise s'il le voulait, pourvu qu'elle sente ses mains sur son corps. Enfin, il parla, du même ton froid avec lequel il s'était toujours adressé à elle :
- Ouvre ta veste !
Elle s'empressa d'obéir, comme à ses ordres suivants. Il lui dictait ses moindres gestes, comme si elle ne savait pas se déshabiller elle-même. Quand elle fut nue, il lui fit signe d'approcher, mais tout de suite précisa :
- A genoux !
Viviane rougit et s'exécuta. Il recula un peu le fauteuil dans lequel il était assis pour allonger la distance. Elle arriva tout près de lui, resta à genoux et le regarda d'un air suppliant. Il sourit:
- Tu es vraiment à ta place là. Tu ne trouves pas ?
Viviane rougit et ne dit rien, incapable de parler.
- Je t'ai posé une question. Réponds ! Ou faudra-t-il de nouveau te fesser ?
Une fois de plus, le mot « fesser » la fit frémir, elle ne savait pas si c'était de crainte, de honte ou de désir. Il lui était impossible d'y résister. Elle balbutia :
- Oui, ma place est à genoux devant vous.
Il sourit, lui caressa les cheveux comme à un chien qui a bien rapporté.
- Caresse-toi !
Docile, elle mit la main entre ses cuisses, qu'il écarta une fois de plus. Elle esquissa une caresse, se reprit, chercha son clitoris… et tout à coup fondit en larmes :
- Je ne peux pas… pas devant vous… s'il vous plait… pas ça… je ne peux pas.
Il saisit ses cheveux, la souleva, frappa trois fois ses seins et la laissa retomber sans un mot. Pleurant encore plus, Viviane remit la main entre ses cuisses. Rouge de honte, d'embarras, elle finit par obéir et faire sous son regard ce qu'elle n'avait jamais fait que seule, bien cachée sous ses draps. Elle finit par jouir sous les yeux de l'homme.
Il la retourna, toujours à genoux, pressa sur sa nuque pour lui mettre la tête au sol. Il la manipulait comme une poupée, souleva un peu le bassin pour mieux exposer la croupe, appuya sur ses reins pour la faire cambrer, écarta ses jambes.
Une fois de plus, Viviane se laissait faire, totalement abandonnée entre les mains de cet homme. Quand il l'eut bien disposée à son goût, il la pénétra d'un coup, et elle jouit très vite. Il se retira, se rajusta et sembla se désintéresser d'elle. Elle restait par terre, haletante.
- Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, rentre !
C'était comme s'il l'avait giflée, une fois de plus il l'humiliait, lui rappelait que c'était elle qui avait besoin de lui. Elle remit ses chaussures, son soutien gorge, son chemisier et sa veste sous le regard distrait de cet homme qui venait de jouir en elle mais semblait maintenant s'en désintéresser.
- Je ne peux pas rentrer comme ça, et j'ai laissé mon sac dans votre bureau.
Il s'absenta un instant et revint avec un vieux manteau d'homme, qu'elle s'empressa de mettre. Il lui tendit un billet de 20€
- Ça suffira pour le taxi. Ton sac, tu peux venir le chercher à l'étude, tu le demanderas à ma secrétaire. Si un jour j'en ai envie, je t'appellerai.
TROUBLES DE CONSCIENCE
Les jours suivants furent horribles. Pour commencer, il lui avait fallu aller dès le lendemain reprendre son sac à l'étude. Devant l'air froid de la secrétaire, elle avait rougi et balbutié :
- Je… j'ai oublié mon sac.
La secrétaire le lui donna immédiatement, avec la jupe qu'elle n'avait pas osé réclamer. Viviane rougit encore plus, saisit les deux objets et s'enfuit. Bien sûr, la secrétaire ne pouvait avoir aucun doute sur ses relations avec son patron, qui avait délibérément, Viviane en était sûre, fait en sorte de l'humilier en joignant la jupe au sac. Elle se jura qu'elle ne le reverrait jamais.
Une fois seule, Viviane fut confrontée à la réalité de sa situation : pour la première fois, elle avait trompé son mari, si gentil, si prévenant, si confiant…
Elle était torturée par le remords, et en même temps ne pouvait s'empêcher d'être troublée en se souvenant de cette soirée. Elle détestait cet homme trop sûr de lui, autoritaire et brutal, pourtant son sexe se réveillait dès qu'elle pensait à lui.
Et son mari n'était pas là, lui qui aurait pu la satisfaire et lui faire oublier ce faux-pas…Après quatre jours, elle se décida à appeler son amie Muriel, sans trop savoir ce qu'elle en espérait. Elles résolurent de se voir le soir même.
- Alors, comment c'était, avec ton amant ?
Viviane hurla :
- Ce n'est pas mon amant !
Muriel rit :
- C'est quoi, alors ?
- Je… je sais pas… un moment de faiblesse sans importance, c'est tout. D'ailleurs ça n'a pas été loin, et maintenant c'est fini.
- Et c'est pour ça que tu es venue m'en parler ?
Viviane rougit :
- Mais non, je voulais seulement te voir, bavarder…
-Viviane, ne me mens pas ! Tu sais que je ne l'accepte pas, et que je n'hésiterai pas à te punir si tu oses ma cacher quelque chose. Tes fesses doivent s'en souvenir… Tu ne dis rien ? Soit, tu l'auras voulu ! DEBOUT !
Malgré son air hautain et sûr d'elle, Viviane était (et est toujours) incapable de résister à une autorité un peu ferme. Muriel la vit avec délectation se lever, encore plus rouge, si c'était possible. Elle lui fit signe de venir s'allonger en travers de ses genoux. Viviane obéit, comme dans un état second. Le ton de son amie et le souvenir de la fessée qu'elle lui avait infligée quelques jours plus tôt la troublaient. Une fois de plus, elle obéissait, et se détestait d'obéir.
Elle s'allongea comme Muriel le lui ordonnait. Elle avait envie de protester, mais ça ne donna que des non… non… presque inaudibles. De toutes façons, Muriel était bien décidée à mener la correction jusqu'au bout.
Avec des gestes décidés et précis, elle troussa Viviane, découvrant un fin collant gris à travers lequel on distinguait une petite culotte de dentelle. Rapidement, le collant se retrouva aux genoux, suivi de la culotte blanche. Les fesses de Viviane étaient maintenant exposées aux yeux de son amie, et bientôt à ses mains. Les timides protestations continuaient :
-Non, Muriel… je t'en prie, pas ça… pas la culotte… non…pas la fessée… non…
Évidemment, Muriel n'en tint aucun compte, et dès que les fesses furent nues, elle commença. Quelques claques modérées d'abord, puis de plus en plus fortes. Très vite, Viviane se mir à crier, puis à pleurer.
- Muriel, je t'en supplie, arrête… je vais tout te dire… arrête…
Muriel ajouta quelques claques, et s'arrêta, sans toutefois la laisser se relever.
- Alors ? J'attends… Qu'est-ce qui s'est passé avec ton amant ?
Viviane pleurait de douleur, de rage, de honte, et avait de la peine à parler.
-Et bien, je suis allée chez lui…
Peu à peu, elle raconta tout : Comment il l'avait fessée pour lui faire dire pourquoi elle était venue, comment il l'avait prise demi-nue, le trajet en voiture, comment il l'avait obligée à se caresser et à jouir sous ses yeux, enfin le retour sous un vieux manteau…
Muriel la maintenait à plat ventre sur ses genoux, l'obligeant à donner les détails les plus intimes et le fessant chaque fois qu'elle estimait qu'elle n'était pas suffisamment sincère ou pas suffisamment précise.
Peu à peu, était-ce l'évocation de ces évènements ou la honte d'en parler dans cette position humiliante, Viviane commença à être excitée. Elle n'avait jamais été attirée par les femmes, mais maintenant, sentant le corps de Muriel et sa chaleur si proche, c'est d'elle que, confusément, elle attendait la satisfaction dont elle avait besoin.
Toutefois, on lui avait toujours dit, dans sa famille, qu'être attirée par une femme était un vice condamnable. Bien sûr, elle se considérait comme émancipée de ces interdits d'un autre âge, mais il lui en restait quelque chose, l'idée vague que ce n'est pas bien.
Muriel n'avait pas de ces scrupules. Bien que préférant nettement les hommes, elle ne dédaignait pas un beau corps de femme, quand l'occasion se présentait. Et c'était justement le cas à ce moment : sentir tout contre elle le corps de Viviane abandonné, après le plaisir certain qu'elle avait pris à la fesser la décida.
D'un geste rapide, elle mit la main entre les cuisses de Viviane, chercha le clitoris, l'effleura puis le caressa franchement, provoquant d'abord un raidissement et un Non incertain, puis l'abandon complet. Elle continua un peu, puis prit la tête de son amie, elle l'introduisit sous sa jupe.
- Écarte ma culotte et suce-moi !
Elle avait pris son ton le plus autoritaire, et constata vite que Viviane obéissait et plaquait sa bouche contre ce sexe qu'elle n'avait jamais vu. Elle jouit très vite en serrant la tête de Viviane entre ses cuisses, puis s'attacha à lui rendre la pareille.
Une demi-heure plus tard, elles étaient toutes les deux nues. Viviane se serrait contre son amie. Mais bientôt, maintenant qu'elle était satisfaite, ses scrupules revenaient, et tout à coup elle s'éloigna et chercha de quoi se couvrir. Muriel réagit tout de suite :
- Reste ici !, reprenant son ton autoritaire.
Viviane se mit à pleurer.
- Que va dire mon mari ?
Muriel rit :
- Ce qu'il ne sait pas ne lui fera aucun mal. Et puis avec moi, ce n'est pas comme avec ton avocat.
Ce rappel redoubla les larmes de Viviane.
- Tu crois que je suis vraiment une perverse ? Qu'est-ce que je vais devenir ?
Elles parlèrent longtemps, sans que Muriel réussisse à atténuer le sentiment de culpabilité de Viviane. Mais il n'est pas sûr qu'elle l'ait vraiment voulu : elle trouvait les larmes de son amie très excitantes, au point que trois fois, au milieu de la conversation, elle exigea de nouveau que son amie la satisfasse. Viviane le faisait après des protestations dont Muriel ne tenait pas compte mais, son amie l'obligerait à le reconnaître, cela l'excitait, ce dont témoignait l'humidité de son vagin que des doigts indiscrets venaient régulièrement constater.
*****
Viviane rentra encore plus troublée, partagée entre sa mauvaise conscience et le besoin de jouir de nouveau. Enfin, son mari rentra, toujours aussi amoureux, elle ne lui dit rien de ce qu'elle considérait comme des fautes graves, puis comme des fautes moins graves, et peu à peu n'y pensa plus trop souvent.
Un matin, son mari était rentré depuis près de deux mois, le téléphone sonna :
- Ici la secrétaire de Maître Fauve. Il vous attend aujourd'hui à 17h, et elle raccrocha sans attendre la réponse.
Évidemment, la première réaction de Viviane fut l'indignation. Cet homme se permettait de la convoquer ainsi sans s'inquiéter de son accord ou même de sa disponibilité, comme une putain. Et il ne l'appelait même pas lui-même !
La secrétaire, celle qui lui avait rendu sa jupe, ne pouvait avoir aucun doute sur leurs relations, ce qui rendait cette sommation encore plus humiliante. Et bien, elle n'irait pas, elle n'était pas à ses ordres ! Son mari était là, elle n'avait aucune raison de recommencer ce qui ne pouvait se justifier que par la frustration. C'était décidé, elle n'irait pas, il pourrait l'attendre autant qu'il le voudrait…
A 17h, elle sonnait à la porte de l'étude. Elle s'était dit qu'elle allait dire son fait à ce malappris prétentieux, puis partirait avec dignité.
A 17h. 30, elle était courbée sur le bureau, la jupe largement relevée, la culotte par terre, et le sexe de l'avocat allant et venant avec vigueur dans son vagin.
Tout à coup, un téléphone sonna. Sans cesser son va et vient, l'homme se pencha, fouilla le sac de Viviane, en sortit son portable et le lui tendit.
- Réponds !
Elle regarda l'écran :
- Mais… c'est mon mari.
Elle essaya de se dégager, mais il la tenait fermement.
- Réponds-lui !
Viviane n'osa pas désobéir, mais chercha à écourter la conversation. Son mari lui disait qu'il avait un moment, et qu'il avait eu envie d'entendre la voix de sa femme, comme il le faisait parfois, en époux amoureux. Il lui demanda ce qu'elle faisait. Elle bredouilla qu'elle était avec une amie et qu'elle l'entendait très mal.
L'homme avait accéléré son rythme, et elle était terrifiée par ses sensations et par la jouissance qui montait. A son soulagement, la peur coupa net son excitation, mais elle ne put émettre que quelques paroles confuses. L'homme se pencha vers son oreille :
- Allons, sois plus gentille avec ton mari, ou je te fesse !
En même temps, il avait mis une main entre ses cuisses et cherchait le clitoris, qu'il caressa ; il savait qu'elle y était particulièrement sensible, et n'eut pas de peine à l'amener tout près de l'orgasme.
Au téléphone, elle devenait de plus en plus incompréhensible, au point que son mari s'inquiéta, lui demandant si elle n'était pas malade. Elle dit hâtivement que non, tout allait bien, et coupa la communication.
Honteuse, elle tenta d'échapper à son étreinte.
- Je veux partir, c'est affreux ce que vous me faites faire. Sans répondre, il accéléra encore plus son rythme, et la caresse du clitoris devint plus précise. Affolée par la jouissance qui montait et sa honte de ce qu'il l'avait obligée à faire, elle trouva la force de repousser la main qui savait trop bien la caresser et réussit à se redresser. Rapidement, il la plaqua de nouveau sur le bureau et claqua vigoureusement une fesse. –Tu restes ainsi sans discuter, compris ? Il appliqua une nouvelle claque.
Prise entre sa mauvaise conscience, son désir de jouissance, sa honte, la peur de la fessée, et l'excitation que provoquait chez elle toute autorité un peu décidée, Viviane se soumit : -Ne… ne me faites pas mal… je serai sage. Dans son affolement, elle retrouvait un langage de petite fille qu'on va punir.
L'homme sourit, lui donna une nouvelle claque qui résonna, accéléra son rythme, et très vite elle hurla dans l'orgasme.
Il se retira, redressa Viviane et la retourna, poussant sa tête vers son sexe encore à moitié dressé.
- Nettoie-moi avec ta bouche et file. Il ne faut pas faire attendre ton mari.
LEÇON DE MUSIQUE
La famille de Viviane était très attachée à ses traditions, et l'une d'elles voulait que les jeunes filles apprennent à jouer d'un instrument de musique. Sa mère l'avait fait, et bien qu'il y ait des années qu'elle n'avait pas touché un piano, elle insistait que ce complément d'éducation était nécessaire pour sa fille.
Celle-ci n'y tenait pas, mais puisqu'il fallait y passer… Pendant des années elle était allée une fois par semaine chez une vieille demoiselle très gentille, et pas trop exigeante. Viviane avait 16 ans quand la brave dame décida qu'il était temps, à 72 ans, de prendre sa retraite et de s'installer à la compagne.
Viviane espérait que ce serait l'occasion d'arrêter, mais ses parents, en fait surtout sa mère, ne cédèrent pas. Après quelques conciliabules avec des amies et des cousines, elle fit son choix : un homme, cette fois, qui avait la réputation d'être très exigeant et d'obtenir d'excellents résultats.
Viviane essaya bien de discuter, mais devant la détermination maternelle elle céda, se réservant d'être ferme sur d'autres points, beaucoup plus importants, comme de pouvoir sortir avec son amie Muriel et en même temps, mais ça elle ne le disait pas, avec son copain Antoine. Et un prof homme, ça lui convenait, elle le mettrait dans sa poche, comme tous les autres. Viviane était une séductrice précoce.
Elle s'attendait à un équivalent masculin de la vieille demoiselle. Elle se trompait. Son nouveau professeur semblait avoir à peine dépassé la quarantaine, était très élégant, et il l'accueillit avec une politesse froide, ne semblant pas remarquer le sourire séducteur de sa nouvelle élève.
Il lui fit raconter ce qu'elle était supposée avoir appris, et lui dit de jouer un des morceaux qu'elle avait mentionnés. D'un air nonchalant, Viviane s'installa au piano et commença à jouer. Le professeur l'écoutait avec attention, marquant la mesure avec une baguette. Quand elle eut terminé, elle le regarda, l'air satisfait, mais lui gardait un air mécontent.
- Vous pensez avoir bien joué ?
- Euh… j'ai peut-être fait quelques fausses notes…
- Quelques fausses notes ? Vous avez massacré ce morceau ! Essayons en un autre, et prenez garde. Sinon… Il fit un grand geste avec sa baguette, qui siffla.
Viviane se remit au travail, furieuse : jamais la vieille demoiselle ne lui avait parlé comme ça. Elle ne voulait pas le reconnaître, mais elle était impressionnée par l'autorité de son nouveau professeur. Elle se donna de la peine, trop peut-être, et très vite ses doigts s'emmêlèrent, et elle fut obligée d'arrêter. Elle n'osait pas le regarder, et suggéra d'une voix incertaine : -Je vais recommencer…
- Inutile, vous ne faites aucun effort. Il faut changer de méthode. Levez-vous !
Étonnée, Viviane se leva et se tint debout, ne sachant pas quelle contenance prendre.
- Si vous jouiez d'un autre instrument, peut-être que quelques coups de baguette sur les doigts auraient été indiqués. Mais dans ces conditions, ce seront vos fesses dont il va être question. Donnez-moi votre culotte et présentez-moi vos fesses !
Viviane le regarda, ahurie :
- Ma culotte… mais pourquoi ? … vous voulez me fesser ? Pas question ! Ca ne se fait plus !
Elle essaya de prendre un air supérieur et scandalisé, mais au fond d'elle-même elle reconnaissait l'emprise que cet homme commençait à exercer sur elle. Sa voix manquait de conviction et devenait plus tremblante à mesure qu'il la regardait avec son air froid.
- Ca se fait, et vous allez en faire l'expérience tout de suite, ma petite demoiselle. Donnez-moi immédiatement votre culotte, ou je vous la retire moi-même, et votre jupe avec !
Du bout de la baguette, il leva le bas de la jupe. Viviane poussa un cri et voulut s'éloigner, mais elle était dos au piano, et s'y heurta, se sentant ridicule. Le professeur avait levé la jupe jusqu'à exposer complètement la fine culotte de son élève.
Elle agrippa la baguette et tenta de l'éloigner, mais il la tenait fermement. Avec une force inattendue, à laquelle elle était incapable de s'opposer, il appuya la baguette sur le ventre et l'utilisa pour commencer à faire glisser la culotte. Viviane était outrée, jamais on ne l'avait traitée comme ça, mais elle se trouvait paralysée, incapable de s'opposer efficacement à cet homme.
Calmement, celui-ci avait posé la baguette et baissait la culotte à deux mains. Il s'arrêta quand elle fut aux genoux. La jeune fille pleurait. Sans se presser, il chercha la fermeture éclair qui fermait la jupe et l'ouvrit. La jupe tomba. Viviane essaya de la retenir, mais il lui suffit de dire:
- Ne bougez pas ! pour qu'elle interrompe son geste. C'est tout juste si elle ne s'excusa pas. Elle était dans un état second, sans volonté.
Il la regarda un instant, demi-nue debout devant lui. Sans réfléchir, elle mit les deux mains devant son pubis. Personne ne l'avait vue ainsi depuis que sa toison avait poussé. Il reprit sa baguette pour lui en donner un léger coup sur les mains. Elle comprit tout de suite, et docilement mit les bras le long du corps. Elle se sentait dans un état bizarre, nouveau pour elle. A la fois elle était indignée, et en même temps elle se sentait incapable de résister, elle avait honte et pourtant ne voulait pas que ça s'arrête. Avec force, il la fit basculer en travers de ses genoux. Elle poussa un cri d'indignation, mais ne fit rien pour l'en empêcher.
Il resta un moment à contempler cette jeune croupe exposée devant lui. Viviane pleurait doucement, mais ne disait rien.
Une première claque lui fit pousser un cri, malgré sa résolution d'être stoïque. Les suivantes, de plus en plus fortes, eurent raison d'elle : elle supplia d'arrêter, promit d'être sage, de bien travailler, de s'appliquer… Il continua, tranquillement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus parler tellement elle pleurait. Après une dernière claque, particulièrement forte, il palpa les fesses rougies, et la fit lever.
- Reprenons la leçon. Voyons si ça vous a incitée à mieux faire attention. Reprenez le même morceau. Asseyez-vous, et allez-y !
- Mais… mais, ma jupe, ma culotte ? dit-elle d'une toute petite voix, rendue incertaine par les larmes.
- C'est avec votre culotte que vous jouez ou avec les doigts ? Vite, au piano, et ne me faites pas perdre mon temps.
En larmes, Viviane retourna sur le tabouret devant le piano. Le contact du siège sur ses fesses les rafraîchit un instant, mais aussi l'embarrassa. Elle n'avait jamais ressenti cela, et elle ne savait pas si ça lui était agréable ou non. Gênant, sûrement, mais… La voix du professeur la ramena à la leçon.
- Alors, vous êtes là pour travailler pas, pour rêver !
Elle s'empressa de commencer, mais elle tremblait, ses doigts lui obéissaient mal. A la première faute, il abattit la baguette sur la haut des fesses. Elle cria. Il lui dit simplement :
- Continuez ! Évidemment, ça alla de plus en plus mal, et ses reins et le haut des fesses furent bientôt couverts des marques rouges laissées par la baguette. Viviane n'en pouvait plus, elle faisait n'importe quoi. Tout à coup, elle s'arrêta, sa tête tomba sur le clavier, elle pleurait, suppliait, disait qu'elle ne pouvait plus…
- Vous êtes vraiment impossible ! Mais je ne renonce jamais, je ferai de vous une pianiste acceptable, que vous le vouliez ou non. Je l'ai promis à votre mère. Maintenant, la leçon est terminée, vous pouvez rentrer.
Viviane se leva avec peine ; elle gardait les yeux baissés, elle n'osait pas regarder celui qui l'avait tellement maltraitée. Elle avait honte de sa semi-nudité, honte de ce qu'elle avait subi, honte du trouble qu'elle ressentait confusément.
Toujours sans le regarder, elle remit rapidement la jupe et la culotte qu'il lui tendait, et se dirigea vers la porte. Il la précéda, l'ouvrit, s'effaça pour la laisser passer, en homme du monde.
- A la semaine prochaine, Mademoiselle, et exercez-vous régulièrement !
Elle ne répondit pas et s'enfuit.
Quand elle se retrouva seule sur le palier, sans réfléchir, sa main se retrouva dans sa culotte, cherchant son clitoris, et elle jouit immédiatement. C'était la première fois qu'elle jouissait autrement que seule sous ses draps, dans l'obscurité. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait et elle avait honte de ce qu'elle avait fait.