Je n'ai pas l'habitude d'interférer sur les commentaires.
Très peu nombreux au demeurant.
Et merci à ceux qui en laissent. Cela me motive à continuer.
Toutefois, il convient de respecter le travail des auteurs
et surtout ne pas vouloir imposer sa vison manichéen de la société.
Ce texte à plus de 15 ans et à l'époque certains écrits fantasmagoriques étaient acceptés.
Aujourd'hui nous nous rapprochons d'une dictature intellectuelle.
Quant aux Anonymes courageux qui critiquent systématiquement ce que je publie
personne ne les oblige à visiter mon blog.
Et merci à ceux qui en laissent. Cela me motive à continuer.
Toutefois, il convient de respecter le travail des auteurs
et surtout ne pas vouloir imposer sa vison manichéen de la société.
Ce texte à plus de 15 ans et à l'époque certains écrits fantasmagoriques étaient acceptés.
Aujourd'hui nous nous rapprochons d'une dictature intellectuelle.
Quant aux Anonymes courageux qui critiquent systématiquement ce que je publie
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Pour finir voici une autre version de ce texte fournie par un de mes plus fidèle visiteur.
Véritable encyclopédie des textes publiés sur internet.
Véritable encyclopédie des textes publiés sur internet.
Ma femme Anne est enseignante, elle est professeur d’histoire dans un grand lycée de province. C’est une belle femme de trente-sept ans, elle fait un mètre soixante-neuf, cinquante-quatre kilos, des seins en obus de 90 C. Elle est très BCBG : elle est très belle, mais elle est réservée. Pourtant dans la l’intimité, elle est très sensuelle, ce qui n’apparaît pas dans son personnage habituellement. Sans être extraordinaire, notre vie sexuelle est épanouie, et nous faisons l’amour régulièrement, sans avoir besoin de pimenter notre vie amoureuse de pratiques spéciales
Il y a, à peu près deux mois de cela, elle revient du lycée toute troublée et m’avoue qu’elle venait de vivre une expérience tout à fait extraordinaire qui l’avait totalement perturbée. Je l’interrogeai et elle accepta de me raconter l’origine de son trouble. A la fin d’un de ses cours d’une classe terminale, un garçon lui demande de pouvoir rester pour lui poser une question. Le garçon attendit que tous les élèves soient sortis et redemanda à ma femme si elle acceptait sa question. Ne pensant pas à mal, ma femme renouvelle son accord et le garçon lui déclare :
- Madame, quelle est la couleur de votre porte-jarretelles ?
Le ton est impérieux, tout en étant courtois. Ma femme est très désarçonnée, elle ne sait quelle attitude prendre, au lieu de répondre sévèrement et au lieu de remettre à sa place ce garçon elle ne peut que murmurer :
- Il est noir.
Il faut savoir que ma femme porte régulièrement des porte-jarretelles, sa mère en portait m’avait-elle dit et elle trouvait, contrairement à beaucoup de femmes, pratique cet accessoire qui permet également de faire quelques économies, puisque qu’un bas qui file laisse l’autre utilisable. J’avais fait remarquer à ma femme que l’on risquait de voir les attaches du porte-jarretelles à travers le tissu de la jupe, surtout lorsque celle-ci, comme celle qu’elle portait ce jour-là, était un peu serrée. Un œil exercé distinguait la trace des attaches des jarretelles qui sont un peu proéminentes.
La réponse de ma femme trahit son trouble, l’instinct du garçon le ressent, il sent qu’il a devant lui non plus une professeur sévère, mais une femme qui se sent sous l’influence d’un homme. Anne recule un peu jusque près du mur, le garçon se rapproche, sans un mot, Anne rougit, reste silencieuse, nerveuse. Le garçon en profite, il sent cette femelle soumise à son désir. Il se baisse un peu, tend les bras et agrippe chaque côté de la jupe étroite, il la remonte rapidement, mais sans violence jusqu’à la ceinture. Anne se retrouve la jupe relevée, son porte-jarretelles bien visible, tenant les bas, le string noir assorti au tissu fin à travers lequel le garçon aperçoit la toison et la fente du sexe. Anne ne sait plus quelle attitude prendre, elle voudrait crier, repousser les mains qui la maintiennent plaquée contre le mur, mais rien ne sort de sa bouche, elle a perdu toute volonté, elle est paralysée. Comprenant l’émoi de la femme, le garçon lâche la jupe qui tient tout seule, il descend le slip jusqu’au genoux et découvre ainsi l’intimité de ma femme. Le garçon sent un effluve de femme en désir, il dirige sa main vers la fente et entre ses doigts pour caresser le sexe. Il entre deux doigts et commencer à titiller le clitoris qui s’est dressé. Il accélère les mouvements, ma femme a une respiration haletante, et très vite une onde la secoue, elle a eu un orgasme violent sous les doigts de ce garçon. Quand elle reprend ses esprits, le garçon lui dit :
- Rhabille-toi, demain viens au bahut sans slip !
Quand Anne a fini son récit, je suis très excité, je la prends violemment et en éjaculant je lui déclare :
- N’oublie demain d’aller cul nu au lycée !
Anne a joui violemment sous mon étreinte, il y avait longtemps qu’elle n’avait pas réagi ainsi. Nous retombons tous les deux sur le lit, épuisés, puis nous reprenons nos esprits. Je demande alors à ma femme si elle avait envie de moi, que je lui fasse l’amour ou au contraire si elle attendait un sexe. Elle m’avoue alors qu’elle avait besoin d’une verge en elle, elle m’avoue alors qu’elle avait pensé à son élève pendant tout le temps que je la pénétrais. Cet aveu me trouble : je ressens des sentiments de jalousie mélangés, en même temps, à une excitation inhabituelle : le fait de savoir que ma femme a subi les attouchements d’un autre éveille en moi des sensations nouvelles, je dois avouer que je voudrais qu’Anne et ce garçon deviennent, par exemple, amants. Je conserve ses sentiments pour moi. En même temps je constate qu’Anne semble vivre son expérience récente comme si cela avait été irréel.
Je lui demande de me donner des détails sur ce garçon qui l’avait tant troublée : elle me déclare qu’il s’appelle Akim, qu’il a dix-huit ans et demi, elle connaît bien son âge parce qu’elle a été son professeur principal en seconde, c’est un garçon calme mais avec de la personnalité. Elle me déclare également que c’est un grand garçon, athlétique et que les filles de la classe le regardaient avec envie, ce qu’elle comprenait aisément. Je n’ose demander à Anne ce qu’elle a l’intention de faire le lendemain mais je sens confusément que ma femme est subjuguée par ce jeune maghrébin. J’en ressens un sentiment de jalousie et de d’excitation mélangée. Je lui fais une bise sur la joue et je recherche le sommeil.
Ma nuit est agitée, je n’arrive pas à m’endormir, et je vois, dans ma demi-inconscience, mon épouse dans les bras d’un élève en train de se faire caresser. Bien que je vienne de faire l’amour une violente érection rend mon sexe douloureux.
Le lendemain matin, c’est samedi et je ne travaille pas, par contre Anne a cours et se prépare pour aller au lycée. Comme chaque samedi matin, j’aime la voir se préparer et je fais semblant de dormir bien que je l’observe en particulier enfiler ses dessous. Ce matin elle met un joli soutien-gorge et un porte-jarretelles comme à son habitude et je vois sa main prendre un slip qu’elle commence à mettre, mais l’instant d’après, elle arrête son geste, elle retire son slip et met sa jupe ainsi : ma femme va partir en cours sans culotte. Cela augmente mon excitation, je sens mon sexe se durcir encore plus et dès qu’Anne sort de la chambre, je me masturbe. Au moment d’éjaculer je crie dans la pièce :
- La salope, la pute, elle va se faire sauter !
C’est évidemment avec beaucoup de fièvre que j’attends son retour. Quand je l’entends rentrer, je lui demande ce qui s’est passé. Anne s’assoit et son émotion est si forte qu’elle éclate en sanglots. Je ne sais quelle attitude adopter. Quand elle s’est calmée, je peux enfin la questionner et elle me raconte ce qu’elle a vécu. Comme la dernière fois Akim est resté après le cours et à peine le dernier élève a-t-il franchi la porte qu’il déclare :
- Montre-moi si tu as obéi !
La voix est impérieuse. Anne soulève sa jupe et montre son bas ventre et son absence de culotte.
- Très bien ! Montre-moi ton soutien-gorge !
Anne défait un à un les bouton de son corsage et écarte les pans du vêtement : le soutien-gorge balconnet apparaît.
- Retire ton soutien-gorge !
Anne s’exécute et tient la lingerie bientôt dans ses mains
- Donne ton soutien-gorge !
Akim examine la pièce de lingerie et note la taille du soutien-gorge. Puis il ouvre sa braguette pour extirper son sexe. Il est long et épais, Akim a une forte érection.
- Masturbe-moi maintenant !
Anne prend dans sa main le membre viril et commence à le caresser. Elle sent le sexe frémir, elle exécute de violents vas et viens sur le sexe du garçon qui commence à haleter, Akim demande d’accélérer le mouvement, puis rapidement dans un râle Akim éjacule dans un des bonnets du soutien-gorge. Sa semence est épaisse et abondante, elle forme une grosse tâche sur le soutien-gorge.
- Remets ton soutien-gorge avec mon sperme sur toi et rhabille-toi ! Demain viens avec tes dessous habituels.
Anne obéit, remet son soutien-gorge, baisse sa jupe. Elle est pâle, elle sent son corps en ébullition, elle a senti la semence de l’homme lorsqu’elle s’est rhabillée ; cette odeur boisée l’enivre. Akim la laisse là et sort.
Anne est obligée de s’asseoir, elle ne sait plus qui elle est ; avait-elle envie de son sexe en elle ; désirait-elle que cette histoire cesse immédiatement ? Elle ne sait pas vraiment. C’est dans mes bras qu’elle termine son récit et je lui demande :
- Tu veux une bite ?
Je la culbute et je la pénètre immédiatement sans caresses préliminaires ; son vagin est humide, elle pousse un cri violent quand elle est secouée d’un orgasme brutal. Je comprends que ma femme a pensé à un autre homme quand je la pénétrais…
Anne va au lycée désormais dans un état second. Elle s’attend à tout. Lorsque Akim vient la retrouver, elle est prête à toutes les folies. Il lui dit qu’il désire lui parler dans un endroit tranquille et qu’il avait craint la dernière fois lorsqu’il avait été masturbé d’être surpris par quelqu’un. Il lui déclare qu’il veut la rencontrer chez elle, après le cours. Anne est totalement paralysée, elle lui donne notre adresse, ainsi que notre numéro de téléphone. Le soir, elle m’informe de ces nouvelles et je lui déclare, sur un air persifleur :
- Cela sera plus pratique, j’en conviens !
Plusieurs jours se passent, Anne est nerveuse, Akim ne l’a pas contactée au lycée. Enfin, près d’une semaine plus tard, Anne reçoit un coup de téléphone un mercredi en début d’après-midi à la maison. C’est Akim qui l’appelle ; il est bref, il déclare :
- Tu es chez toi ? Très bien j’arrive !
Anne attendait cet instant, elle sent ses seins se durcir, elle a une terrible envie, son slip se mouille de sa cyprine. En même temps elle est horrifiée, car elle voit que ses sens dépassent sa raison. Lorsqu’elle entend la sonnerie de la porte d’entrée retentir, elle vacille sur ses jambes : elle se dit qu’elle ne devrait pas ouvrir, dire au garçon, à travers la porte, de repartir, elle voudrait lui hurler que tout est fini, qu’elle a eu un moment de faiblesse et que maintenant elle redevient une femme adulte, maîtresse de ses actes. Cependant, comme une automate, elle se dirige vers la porte, elle défait le cran de sûreté et ouvre la porte. Akim est là, superbe en jean moulant et en tee-shirt qui fait ressortir ses muscles.
- Bonjour, comment vas-tu ? Dit-il tout simplement. Tu es heureuse de me voir ?
Anne semble flotter, elle répond un timide :
- Oui je suis heureuse de te voir, Akim.
- Très bien, sors sur le palier, s’il te plait et mets-toi à poil.
- Très bien, sors sur le palier, s’il te plait et mets-toi à poil.
Anne obéit et commence à ouvrir son corsage, puis elle l’enlève. Elle dégrafe son soutien-gorge et retire sa jupe, suivie de son slip : elle est nue.
- Suce-moi, salope !
Akim a crié assez fort pour être entendu par…
Anne s’est mise à genoux et a pris le sexe d’Akim en bouche. Il a crié et Anne craint que les voisins ne les entendent et ne sortent sur le palier. Anne a le sexe d’Akim dans la bouche, il est gros et dur, elle le sent vivant, plein de sève virile. Elle commence à le sucer, elle ouvre en grand la bouche et il entre en elle profondément ; Akim a pris ses cheveux et il la tire vers lui pour que son sexe aille le plus loin possible ; Akim crie alors :
- Vas-y pompe, salope !
Anne sent qu’elle va étouffer, mais heureusement l’homme a senti la bouche de la femme se contracter, il tire un peu sur les cheveux et le sexe ressort légèrement. Anne en profite pour reprendre son souffle, puis elle fait aller sa langue sur le gland, ainsi le garçon ne voudra pas rentrer plus profond. En effet, il semble apprécier et il laisse maintenant Anne le sucer, mais Akim continue son monologue :
- Super, tu es bonne, tu suces bien, vas-y continue, comme cela, pompe-moi à fond !
Anne continue son étreinte, elle caresse aussi les bourses velues du garçon, elle aspire maintenant le gland, elle le tête et l’aspire, puis elle ouvre en grand la bouche pour enfourner tout entier le membre, elle le sent frémir, l’homme va jouir, Akim halète, il pousse des petits cris comme s’il avait mal, enfin il explose dans la bouche d’Anne. Akim continue à tenir les cheveux de la femme, il ressort un peu son sexe pour permettre à la femme de respirer puis il pousse de nouveau à fond :
- Avale ma semence, ma salope, je veux que tu me boives tout, n’en perds pas une goutte !
Anne ne peut qu’avaler le sperme, c’est la première fois qu’elle le fait car si elle a déjà exécuté des fellations, jamais elle n’avait avalé la semence. Akim attend qu’elle ait ingurgité le sperme avant de retirer ses mains de ses cheveux. Anne lève la tête vers le jeune garçon, elle a les yeux pleins de larmes. Akim la relève, lui passe tendrement les bras sur l’épaule et dit doucement :
- Ne pleure pas, tu m’as fait jouir, tu sais, rentrons chez toi.
Akim ramasse les vêtements gisant sur le sol et les deux amants rentrent dans l’appartement. Anne ne peut se retenir, elle éclate en sanglots bruyamment. Akim la prend dans ses bras et Anne se blottit sur son épaule.
- Viens t’asseoir avec moi sur le canapé, déclare doucement Akim.
Ils s’assoient et Akim lisse les cheveux d’Anne prise d’une sorte de crise de nerfs. Akim se met à genoux devant Anne et lui écarte doucement les jambes. Il lève la tête et lui dit :
- Détends-toi, je vais te lécher à mon tour !
Et Akim commence à lécher le sexe de la femme ; il s’aperçoit qu’elle est toute humide, son sexe palpite comme un petit oiseau que l’on serre dans le poing, il approche sa langue, il titille le clitoris qui saillit de son capuchon. Anne a sursauté, elle s’est raidie brusquement, mais elle se détend vite et ses pleurs font place bientôt à de petits cris ; Akim lance sa langue dans ce fruit tiède, en particulier il donne des petits coups de langue sur le clitoris qui semble se dresser d’avantage à chaque caresse. Les cris d’Anne sont devenus plus réguliers, les pleurs se sont terminés et bientôt elle commence à jouir. A son tour, elle a pris les cheveux d’Akim et elle appuie sur la tête comme pour l’obliger à accentuer ses attouchements.
Enfin elle jouit, elle pousse un long feulement qui résonne dans l’appartement. Akim laisse la femme reprendre ses esprits quelques instants, puis il se lève, prend Anne par la main et l’entraîne vers ce qu’il devine être la chambre. Il pousse la porte, il dirige Anne vers le lit, il l’allonge sur le dos et monte à son tour. Naturellement la femme a écarté les jambes, elle est prête à recevoir le mâle qui a repris toutes ses forces. Akim entre son sexe dans un vagin lubrifié de cyprine ; et tout aussitôt, il commence à aller et venir. Sans tarder, Anne a repris ses cris de femelle hystérique ; elle demande à celui qui est sur elle :
Enfin elle jouit, elle pousse un long feulement qui résonne dans l’appartement. Akim laisse la femme reprendre ses esprits quelques instants, puis il se lève, prend Anne par la main et l’entraîne vers ce qu’il devine être la chambre. Il pousse la porte, il dirige Anne vers le lit, il l’allonge sur le dos et monte à son tour. Naturellement la femme a écarté les jambes, elle est prête à recevoir le mâle qui a repris toutes ses forces. Akim entre son sexe dans un vagin lubrifié de cyprine ; et tout aussitôt, il commence à aller et venir. Sans tarder, Anne a repris ses cris de femelle hystérique ; elle demande à celui qui est sur elle :
- Vas-y, prends-moi fort, fais-moi jouir, prends-moi ! Prends-moi !
Akim ayant déjà éjaculé auparavant sent que sa jouissance sera longue à venir cette fois-ci, il pistonne sans ménagement la femme, sa verge, en entrant et sortant, fait maintenant un clapotis dans l’abondante cyprine. La femme jouit sans discontinuer, ses cris emplissent la chambre. Un moment, Akim veut changer de position, il ressort brutalement son sexe tout luisant, Anne a poussé un cri :
- Ne t’en va pas, s’il te plait, reviens en moi, prends-moi !
Akim est ressorti, il s’est relevé sur le lit, il fait mettre Anne à genoux ; quand elle est en position, Akim reprend son sexe et l’introduit violemment dans le vagin. Anne a relevé la tête quand elle a senti qu’on la pénétrait de nouveau. Akim attendait d’avoir sa professeur en levrette sous lui pour recommencer à parler :
- Tu la sens bien, dis-moi, tu la sens bien ma bite, salope, tu l’attendais, tu es toute mouillée !
- Oh oui, oui ! Vas-y, plus fort, entre encore !
- Oh oui, oui ! Vas-y, plus fort, entre encore !
Anne est en train de jouir et lorsque son jeune amant explose dans son ventre, elle sent qu’elle va défaillir. Tous les deux pantelants, ils tombent sur le lit. Akim sort son sexe du fourreau d’Anne et la retourne sur le dos ; son sexe est luisant, il l’approche de la bouche de la femme :
- Suce-la-moi pour me la nettoyer… s’il te plait !
Et Anne enfourne le sexe devenu tout mou. Quand il est bien léché, Akim se relève et contemple la femme allongée sur le lit.
- Tu es une sacrée femelle, tu sais. Tu avais envie dis-moi ?
- Oui, j’avais envie de toi !
Akim lui dit alors :
- Oui, j’avais envie de toi !
Akim lui dit alors :
- Tu es une sacrée femelle, tu as un corps fait pour l’amour, tu es terriblement excitante, tu sais !
Anne a rougi en entendant ce compliment. Akim poursuit :
- Tu es maintenant à moi, tu es ma femme. Tu vas te raser la chatte comme le font les femmes de mon pays quand elles ont un homme !
Ces paroles excitent et troublent Anne qui, perdue dans ses rêves, ne voit pas Akim s’habiller. Elle est toute surprise quand elle entend la porte d’entrée claquer : il est parti et Anne se retrouve seule sur le lit, épuisée par l’amour mais aussi terriblement excitée.
Le soir, Anne m’a tout raconté. Je suis allé chercher un préservatif et je l’ai prise comme une putain. Quand j’ai fini de jouir, je la laisse et je vais coucher dans la chambre d’amis…Correspondance Email avec l’auteur :
jean le mec <lemecton@hotmail.com>
mardi 29 avril 2003 17:36
Bonjour,
Je suis heureux de savoir que l'histoire de ma femme vous a passionné.
Elle est allée pendant les vacances dans une maison de rendez-vous Belgique vendre ses charmes.
J'ai pu la voir travailler derrière une glace sans tain : elle s'y prend très bien comme une vraie prostituée ; je n'ai pas pu m'empêcher de la rencontrer et j'ai payé pour avoir un rapport avec elle.
Elle était habillée très sexy et j'ai connu une impression curieuse : faire l'amour à ma femme et en même couvrir une putain. Elle a été très humiliée et elle a pleuré, cela m'a excité en fait. Demain elle va aller faire un stage dans une maison d'abattage
Elle était habillée très sexy et j'ai connu une impression curieuse : faire l'amour à ma femme et en même couvrir une putain. Elle a été très humiliée et elle a pleuré, cela m'a excité en fait. Demain elle va aller faire un stage dans une maison d'abattage
jean le mec <lemecton@hotmail.com>
jeudi 1 mai 2003 10:10
Anne est donc complètement soumise à Akim qui lui a imposé par exemple le rasage de son pubis, le port de lingerie hyper sexy.
Ou bien, il l'oblige souvent à aller au travail sans slip et sans soutien-gorge, cela se voit car Anne a une poitrine opulente de 90 C.
Il l'a déjà présentée à ses amis et elle a dû accepter leurs assauts, se faire sodomiser par exemple ou les sucer. Il l'a obligée à raconter devant eux sa vie sexuelle et ses fantasmes ; elle a dû dire plusieurs fois :
- Je suis une putain, je vais bientôt faire le trottoir pour mon homme, Akim.
Une petite suite :
Rappel des épisodes précédents : ma femme Anne, enseignante, a un amant, un jeune Maghrébin, Akim.
Depuis mon dernier récit diffusé au début mars de nombreux événements ont touché mon couple.
Tout d’abord ma femme Anne vit intensément sa liaison avec Akim qui la domine totalement, il l’a transformée en esclave sexuelle. Son aspect physique a été modifié. En entrant à l’improviste dans la salle de bain alors qu’elle prenait sa douche, j’ai aperçu à travers le pare-douche translucide que ma femme s’était rasée le pubis. La fente de son sexe apparaît comme celui d’une petite fille et cela est particulièrement érotique. Ensuite, elle s’est fait couper les cheveux qui sont maintenant très courts : cela la rajeunit et lui donne l’allure d’une grande adolescente. J’ai découvert également par hasard en ouvrant sa commode de la lingerie nouvelle : des soutiens-gorge hyper balconnets, des redresse seins, des strings ficelle qui doivent lui laisser les fesses entièrement nues lorsqu’elle les porte, des guêpières rouges, donc tout l’attirail de la courtisane.
Tout d’abord ma femme Anne vit intensément sa liaison avec Akim qui la domine totalement, il l’a transformée en esclave sexuelle. Son aspect physique a été modifié. En entrant à l’improviste dans la salle de bain alors qu’elle prenait sa douche, j’ai aperçu à travers le pare-douche translucide que ma femme s’était rasée le pubis. La fente de son sexe apparaît comme celui d’une petite fille et cela est particulièrement érotique. Ensuite, elle s’est fait couper les cheveux qui sont maintenant très courts : cela la rajeunit et lui donne l’allure d’une grande adolescente. J’ai découvert également par hasard en ouvrant sa commode de la lingerie nouvelle : des soutiens-gorge hyper balconnets, des redresse seins, des strings ficelle qui doivent lui laisser les fesses entièrement nues lorsqu’elle les porte, des guêpières rouges, donc tout l’attirail de la courtisane.
D’autre part, ma femme découche régulièrement, en particulièrement le week-end. Elle prend une petite valise et elle part en me disant que je ne devrai pas l’attendre le soir. Elle met une tenue très indécente comme par exemple des jupes très courtes et un décolleté vertigineux. Quand elle revient, elle montre des cernes sous les yeux. Elle part prendre une douche et j’imagine les actes qu’elle a dû subir.
Quand je reste seul, j’imagine ma femme dans les bras d’un autre ; je ne sais plus quoi penser, cela me trouble et en même temps m’excite. Je suis pris de violentes érections que seules des masturbations peuvent calmer. Ma femme se refuse à moi désormais et j’en suis réduit donc à me satisfaire comme un collégien. Lorsque je reste seul, je m’interroge et je crains le pire pour l’avenir personnel de ma femme. J’aimerais savoir ce qu’elle vit avec son jeune amant. En effet, elle ne me raconte plus rien et lorsque je l’interroge, elle refuse de me donner des informations. N’y tenant plus, j’ai décidé de rencontrer Akim afin de savoir ce qui se passait. Je dois dire que je n’ai pas été déçu et Akim m’a informé en détails.
J’ai réussi à obtenir son téléphone en consultant le portable d’Anne. Il a accepté, après quelques hésitations, à me rencontrer chez lui, dans sa cité ; j’ai insisté sur le fait qu’il n’y aurait aucune violence, ni aucun reproche de ma part, ma femme avait le droit de vivre sa vie comme elle l’entendait. C’est ainsi que j’ai pu être reçu par ce garçon. En le rencontrant, bien que n’étant pas particulièrement sensible au charme des hommes, je compris que ce garçon dégageait un charisme évident et que son autorité était naturelle. Il m’expliquait qu’il avait très vite compris que ma femme perdait toute volonté avec lui :
- Je ne vais quand même pas me gêner, j’en profite ! M’a-t-il déclaré.
Je l’interrogeais alors, avec précaution, ce qu’il avait déjà obtenu d’elle et ce qu’il avait l’intention de faire à l’avenir.
- Elle accepte tout, c’est une vraie salope, elle n’a aucun tabou !
Je lui demandais quelques détails et il m’a tout raconté. Leur liaison était très torride et Anne réclamait des rapports fréquents, des rapports où souvent elle était injuriée, humiliée. Il l’avait sodomisée dés le début et elle, qui refusait ce rapport avec moi, avait accepté sans protester. Très vite il l’avait présentée à des copains, des jeunes maghrébins comme lui, il l’avait même emmenée un soir dans un appartement vide de la cité et elle avait servi de tournante. Elle avait été violée par ces hommes toute une soirée et elle avait fini avec le vagin à vif. Des photos avaient été prises et elles circulaient déjà dans la cité.
Je l’interrogeais alors, avec précaution, ce qu’il avait déjà obtenu d’elle et ce qu’il avait l’intention de faire à l’avenir.
- Elle accepte tout, c’est une vraie salope, elle n’a aucun tabou !
Je lui demandais quelques détails et il m’a tout raconté. Leur liaison était très torride et Anne réclamait des rapports fréquents, des rapports où souvent elle était injuriée, humiliée. Il l’avait sodomisée dés le début et elle, qui refusait ce rapport avec moi, avait accepté sans protester. Très vite il l’avait présentée à des copains, des jeunes maghrébins comme lui, il l’avait même emmenée un soir dans un appartement vide de la cité et elle avait servi de tournante. Elle avait été violée par ces hommes toute une soirée et elle avait fini avec le vagin à vif. Des photos avaient été prises et elles circulaient déjà dans la cité.
Un autre soir, il l’avait emmenée sur un parking de routiers, habillée en minijupe, un corsage fin sur un redresse seins et un string ouvert, sans oublier le porte-jarretelles et les bas résilles. Anne est montée dans plusieurs camions et Akim a demandé à chaque fois vingt euros pour le prix de la passe.
- J’ai l’intention de la prostituer, Anne est d’accord, me déclare alors Akim.
Ces paroles me troublèrent évidemment et je demandai des détails.
- J’ai un oncle qui tient une maison de passes en Belgique, il va la prendre pendant les vacances, tout est arrangé. Après cet apprentissage, on la rapatrie à Paris pour la mettre sur le tapin, de toute façon, je te dis, elle est d’accord. J’attendrai quand même qu’elle accouche, car je l’ai engrossée et elle part bientôt au pays pour donner naissance à mon fils.
Ces paroles me troublèrent évidemment et je demandai des détails.
- J’ai un oncle qui tient une maison de passes en Belgique, il va la prendre pendant les vacances, tout est arrangé. Après cet apprentissage, on la rapatrie à Paris pour la mettre sur le tapin, de toute façon, je te dis, elle est d’accord. J’attendrai quand même qu’elle accouche, car je l’ai engrossée et elle part bientôt au pays pour donner naissance à mon fils.
Les bras m’en sont tombés : Anne, ma femme, enceinte de ce maghrébin. Que devais-je faire ?
- Le mieux vois-tu, m’a-t-il dit, c’est de faire une croix sur ta bourgeoise. Elle est à moi maintenant, elle m’appartient, elle porte mon enfant, Casse-toi, ce soir elle ne rentrera pas chez toi, elle restera ici…
C’est ainsi que j’ai perdu mon épouse, mais je sais que dans quelques temps j’irai, comme client, la rencontrer rue Saint-Denis…