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Histoire du net. Auteur: Coco1st.... Quiproquo... Suite.

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 Entreprise de démolition psychologique.
Elève de terminale.
Auteur : Cocolst
Suite I
Paul voulait qu'on bosse ensemble après les cours. Je refusais, il insistait lourdement. Je ne pouvais pas, j'avais besoin d'une bonne douche, je ne voulais pas qu’il se rendre compte de quoi que ce soit. Vu comme il me haïssait, c’était certain qu’il raconterait tout à tout le monde. Il en était hors de question.
Je me dégoûtais de ce que j'avais fait… Sucer un prof… Sucer un mec plus vieux que mon père. Et pourtant, je n'ai pu m'empêcher de me masturber sous l'eau en repensant à cette journée, ayant du mal à calmer cette excitation, rêvant qu’il me baise comme une folle dans cette salle des profs.
J’ai eu du mal à trouver le sommeil, seule dans mon lit. J’ai repensé à cette journée. Je n’étais pas fière du tout, je me suis détestée… Je me suis pourtant encore masturbée, follement excitée et apeurée de la journée qui arrivait. Pourquoi devais-je oublier mon maillot ? S’il y en avait à prêter, quel en était l’intérêt ? Je me doutais que quelque chose allait se passer, mais n’avait aucune idée de quoi.
J'ai obéis aux instructions données la veille. J'ai dit à Monsieur Taral que j'avais oublié mon maillot de bain. Il m'a regardée de haut en me disant "Je vais voir ce que j'ai pour toi". J'attends devant les vestiaires qu'il revienne, pendant que les autres commencent à se changer. Il n'a pas cherché bien longtemps, il approche, je le vois tenir un bout de tissus blancs dans chaque main. Il me les donne, je n'en crois pas mes yeux. Un mini-string et quelque chose qui ressemble à un bandeau à mettre autour de la poitrine. Il devait y avoir un lacet à serrer autour du cou, mais il avait été visiblement retiré. Perplexe, je lui dis
- Mais, je ne peux pas mettre ça.
- C'est comme tu veux. Tu peux aussi te baigner en sous-vêtements ou nue. Ça ne me dérange pas. Je te préviens juste que je note aujourd'hui, plongeons, nages... C'est toi qui vois.
- … Je vais avoir l'air de …
- De ce que tu es. J'ai entendu parler de tes exploits d'hier. Arrête de jouer les saintes nitouches, petite salope. Assez parlé, soit tu es prête dans cinq minutes, soit je te colle un zéro.
Monsieur Mathur n'avait pas menti, il lui en avait bien parlé. J'ai compris que je devais faire le cours. J'avais tout de même le choix entre mettre ces choses ou y aller avec mes sous-vêtements bien plus sages. Mais, je me voyais mal poursuivre la journée sans ensuite car mouillés. Je portais encore une jupe et ma poitrine nue sous mes vêtements seraient trop visible aux yeux de tous. J'avais déjà fait les frais la veille. J'ai donc décidé de mettre ce maillot de bain.
Les filles ne m'ont pas vue l'enfiler. Elles étaient déjà parties sous les douches le temps que je me déshabille. Je passe le bandeau, il est petit, couvre à peine ma poitrine. J'ajuste le mieux possible, mais elle dépasse en-dessous du tissu tout de même.
Le string est pire. La ficelle me rentre totalement dans la raie des fesses, le petit triangle tout juste mon minou. C'est impossible d'avoir des poils pubiens avec ce genre de chose, ça dépasserait dans tous les sens.
Et je réalise que je vais devoir me montrer ainsi devant toute la classe. Je me mets à stresser, et mon corps se met à réagir comme la vieille. Mes seins se gonflent, les tétons pointent. Mon vagin s'humidifie, mes lèvres supérieures s'ouvrent. Le string passe entre, je n'arrive pas à le mettre correctement en place. Et j'entends le prof rappeler les autres à l'ordre. Il m'avait dit cinq minutes, je sors et rejoins ma classe au bord de la piscine.
Nombreux sont ceux qui me regarde bouche bée. J'avance timidement, je ne peux cacher à personne mon stress, mon angoisse. Tout le monde doit sentir que j'ai envie de fuir. Et le prof me dit sèchement "vas prendre une douche avant !". Je m'exécute, je me dépêche, il me presse. Je me mouille, et reviens rapidement. Mais, en passant devant une vitre qui me reflète, j'ai remarqué que le haut est devenu totalement transparent. Je regarde le string, ce n'est pas mieux.
Les autres ne remarquent pas tout de suite, ils sont déjà en train de se faire noter sur le plongeon. Mais, je ne reste pas inaperçue bien longtemps. Personne ne dit rien, je sens pourtant leur regard me peser lourdement. Je me sens de plus en plus mal, et de plus en plus excitée.
Le prof me parle comme si de rien n'était. C'est à mon tour de passer. Je rate totalement, je n'ai pas l'esprit tranquille. Et le bandeau, en rentrant dans l'eau, s'est retrouvé à ma taille. Le prof m'incendie et exige que je recommence. Je remets le tissu en place avant de sortir de l'eau, comme si ça changeait quelque chose. Et je me remets en place. Mais, le prof me demande d'attendre. Il est parti chercher son téléphone portable.
Sans gêne, il dit :
- Je te filme pour bien montrer à tout le monde ce qu'il ne fait pas faire. Et pendant qu'on y ait, tu vas nager en brasse jusqu'au bout et revenir en dos crawlé. Ne t'arrêtes surtout pas".
Je me doute bien que c'est pour une autre raison qu'il va faire ça. Je n'ai pas le choix, je n'arrive pas à réfléchir correctement, alors, je fais ce qu'il me dit.
Mon plongeon est meilleur, mais comme la fois d'avant, le bandeau se retrouve autour de ma taille. Je ne m'arrête pas, je nage comme il m'a demandée. Je touche le bord, me mets sur le dos, et repars dans l'autre sens. Mes seins sont nus devant tout le monde. Les autres ont pu voir mon minou la veille, ils observent maintenant une autre partie de ma féminité. Mais, je continue tout de même. J'ai super honte, je suis à un niveau d'excitation extrême. Et le prof marche sur le bord et avance en même temps que moi avec son téléphone braqué en ma direction.
Enfin arrivée, je recache mon corps dans l'eau. Le prof me dit tout de suite "Pas mal, mais laisse la place aux autres maintenant. Sorts tout de suite". J'ai compris qu'il ne me laissait pas le temps de couvrir à nouveau ma poitrine, je l'ai fait après être sortie de l'eau.
Je n'ai pas eu besoin de nager à nouveau, de retourner dans la piscine jusqu'à la fin du cours. Je me suis protégée enveloppée dans ma serviette à regarder mes camarades se faire noter. Le cours se finit, tout le monde va prendre sa douche, sauf moi. Le prof m'a demandée de rester. Il attend que les autres soient suffisamment loin pour me dire
- Je te mets un zéro.
- .... Mais... Pourquoi ?
- Tu n'étais pas prête à temps.
- Ce n'est pas juste !
- Tu trouves ?... Il y a peut-être moyen pour toi de gagner quelques points tout de même. Qu'en penses-tu ?
- Que dois-je faire ?
Il sourit en disant "Je vois que tu comprends". Il me regarde de la tête aux pieds. Je baisse les yeux vers le sol, mais remarque qu’il commence à bander dans son boxer de bain. Et il reprend :
- Déjà, tu vas me rendre le maillot. Ensuite, on ira dans un coin plus tranquille à l'abri des regards".
Je comprends bien ce qu'il me dit. Je retire ma serviette, je retire ces bouts de tissu. Il a un regard dominant et vicieux. Une fois toute nue, il m’entraîne dans une remise où se trouvent différents accessoires de piscine.
A peine sommes-nous arrivés qu’il me fait baisser, pauser mes mains sur un coffre pour que je tende mes fesses en arrière. Et dans la seconde suivante, il me pénètre. Je suis humiliée et dégoûtée de me faire prendre par ce sale type, ainsi, comme si je ne servais qu’à ça. Je reconnais aussi prendre enfin du plaisir à sentir une verge entrer en moi. Il me traite de petite chienne en manque...
Il a bien remarqué que j'étais ouverte et trempée.
J'aimerai lui cacher que je prends du plaisir, mais je n'y arrive pas. Je gémis à chacun de ses coups de butoir. Il y va fortement, sans se soucier de ce que je ressens. Puis, il sort et son gland se place à l'entrée de mon anus. Je lui dis alors
- Non, s'il vous plait, pas par là.
- … Vraiment ? Je sais que tu aimerais ça... Ok pour cette fois. Mais, un jour, je t'enculerai et tu me supplieras de recommencer. Allez, salope, à genoux. Je veux vérifier par moi-même tes dons de suceuse.
Je n'ai jamais sucé après avoir été pénétrée. Ca me dégoûte un peu, lécher ma propre mouille. Je ne me vois pas non plus lui dire non une seconde fois. Je suis soumise et lui obéis. Je commence doucement, écœurée. Le goût est indéfinissable et je suis incapable de dire si j'aime ou non. Mais le prof s'impatiente et, tout en prenant ma tête avec ses mains, dit :
- Bon, on ne va pas y passer la journée".
Il se met alors à baiser ma bouche. C'est désagréable, je ne suis pas du tout le rythme. Je me mets à saliver comme pas possible et ça commence à me couler le long du menton, sur ma poitrine. Il s'excite de plus en plus. Je le sens grossir, je sens qu'il va éjaculer. Mais c'est hors de question qu'il le fasse dans ma bouche. J'arrive à me dégager, à sortir son sexe de ma bouche. Pour éviter qu'il râle, je le prends tout de suite en main et le masturbe vigoureusement.
Les premiers jets de son liquide chaud me heurtent le visage et les cheveux. Je lève la tête, baisse sa queue. La suite de son éjaculation finit sur ma poitrine. Je me relève et il me donne une tape sur les fesses en me disant
- Vas t'habiller. C'est l'heure de partir.
- … Et ma note ?
- Ho, mais t'es en fait une pute qui veut se faire payer... Je te donne 10 sur 20... Tu ne me remercie pas ? Ce n'est pas assez ?
- Je pensais avoir plus tout de même.
- Ok... Je te rajouterai cinq points si tu n'oublies pas ton maillot la semaine prochaine. Mais, attention à ce que tu mettras... Tu comprends, n'est-ce pas ?
- … Oui, monsieur.
- Bon, parfait. Ne perd pas de temps à prendre une douche.
Je suis retournée aux vestiaires en oubliant de récupérer ma serviette. Même sans être couverte de sperme, tous les autres savaient ce qu'il venait de se passer. J'ai honte, je ne dis rien, fais profil bas. Personne ne me parle non plus.
Je pensais finir la journée plus calmement, même si l’odeur de sperme qui dégageait me paraissait bien. Des mèches de cheveux étaient collées à cause de cette substance qui avait séché. Je sais que tout le monde parle dans mon dos. Je ne peux plus rien y faire. Ils doivent bien s'amuser, la connasse de parisienne qui se fait publiquement humiliée... Je me sens désespérément seule.
Je compte sur le cours de chimie de cet après-midi pour penser à autre chose. Mais, le prof, dès le début du cours, me pose un papier sur ma paillasse. Il n'a pas essayé d’être discret, tous les autres l'ont vu faire et attendent que je regarde ce qu’il y a dessus.
Je déplie le papier, il y a une impression de moi, de ce matin, nageant sur le dos seins nus. Je comprends tout de suite d'où elle vient, et que je suis déjà la proie pour tous ces profs. Le mot dessous le confirme : "Demande à t'absenter, et reviens nue sous ta blouse". Je me suis exécutée dans les minutes qui suivent.
Avant d'obéir, je me suis demandé ce qui se passerait si je refusais. J’avais compris que ce prof aussi faisait partie de cette bande, je ne savais pas qui d'autre encore. Déjà, des images diffusaient entre eux, qu’allaient-il en faire après ? Y avait-il des personnes sur qui je pouvais compter ? C'était bien trop tôt pour le dire. Et puis, même si cette situation était très glauque, elle m'excitait comme pas possible. Je relativisais en me disant que n'allais pas être nue devant tout le monde. J’aurai toujours ma blouse.
Mais, personne n'était dupe. On ne voyait plus mon pull dans le petit décolleté, on ne voyait plus ma jupe qui dépassait dessous. Et un autre message posé sur ma paillasse quelques minutes après que je sois revenue : "trois pressions en bas, quatre en haut". C'était trop beau, il était évident que je n'allais pas rester comme ça. J'ai été naïve de penser le contraire.
Je commence par le bas, le plus discrètement possible. Après la seconde pression, assise derrière ma paillasse, j'ai déjà le minou presque nu. Et je me pose toujours la même question, pourquoi ces situations m'excitent autant. Je suis sur le point d'enlever cette troisième pression, je sens des regards sur moi. Mon voisin de gauche matte ce que je fais. Je ne comprends pas son regard. Il n'est pas moqueur, pas amusé... Inquiet en fait... C'est l'impression que ça me donne. Il plisse même le front lorsque j'ouvre plus le bas, découvrant clairement mon pubis.
Je mets bien moins de temps pour le haut. Je pose mes mains sur les pans de ma blouse, et je tire doucement en comptant "1...2...3...4". Voilà, j'ai fait comme demandé. J’ose à peine regarder ce que ça donne… ce n'est plus un décolleté que j'ai, mais un précipice. Même mon nombril est visible. Pour être plus précise, il ne reste qu'une simple pression un peu au-dessus de mon pubis. Je n'avais pas calculé, contrairement au prof qui savait très bien ce qu'il me demandait.
Et puis, moins d'une minute plus tard, Il me fait passer au tableau pour que je résolve un exercice. C'était une nouvelle occasion pour être exhibée. Et c'est avec le vagin trempé et la cyprine me coulant entre les cuisses que je j'ai traversé la salle, sous tous ces regards, morte de honte et d’excitation.
Le prof est un vrai sadique. Il se moque ouvertement de mon apparence devant tout le monde, m'insulte presque. Ca l'amuse de m'humilier, et je n'ai aucune défense, obligée de subir sans rien dire… Je me sens tellement faible face à eux tous que je suis incapable de réagir. Mais ce n'était rien par rapport à ce que j'ai ressenti lorsqu'il dit "Vous avez oublié de vous essuyer après la piscine ou vous avez un problème de plomberie ?". J'étais en larme, humiliée comme jamais, en voulant à mon corps de réagir ainsi.
Entendre la sonnerie de la pause n'était pas un réconfort. Je savais que je ne pouvais pas sortir comme dans cette tenue, me montrer ainsi devant tous les autres du lycée. Je devais rester en classe et je prenais conscience que ça ne serait pas de tout repos.
Le prof avait su me diminuer à un point inimaginable, humiliée comme jamais. J'étais totalement affaiblie psychologiquement, sans la moindre volonté. Alors, lorsqu'il s'est assis sur la paillasse bien en face de moi, ayant attendu le départ des autres, lorsqu’il me demanda une fellation, je n'ai pas hésité. C'était la suite logique des choses. J'ai ouvert son pantalon, j'ai sorti sa verge à moitié bandée et j'ai commencé à la sucer.
Après plusieurs minutes, il me dit qu'il allait éjaculer dans ma bouche. Je n'en avais pas envie… Peut-être que si en fait, je ne savais plus très bien. L'idée me dégoûtait autant que l’envie de savoir ce que ça faisait. De toute façon, étais-je en mesure de choisir ?... L’instant avant qu'il se mette à éjaculer, il me dit :
- Garde tout dans la bouche, n'avale pas encore
Et ma bouche commence à se remplir de ce liquide tiède et épais. Je n'arrive pas à tout garder, je n’avale pas non plus. Alors qu'il continue à se déverser, une partie coule entre mes lèvres. Ça descend le long de mon maton, ça tombe dans mon décolleté.
Il sort sa verge, enfin, et me prévient "N'avale pas encore". Il fouille dans une poche de son pantalon sous sa blouse pour sortir son téléphone. Il l'actionne et me demande d'ouvrir bien grand pour lui montrer ce sperme. Après plusieurs photos ainsi, il me dit d'avaler... Ca a du mal à passer, le goût me donne la nausée, mais je le fais tout de même. Et ensuite, j'ouvre à nouveau la bouche pour lui montrer, pour qu'il puisse me photographier à nouveau, comme il me l’avait demandé.
Il me demande de m’assoir sur la paillasse et de me caresser devant lui. Il a toujours son téléphone braqué sur moi, je pense que cette fois, il filme. Même si je préfèrerai ne pas me masturber devant lui, tout mon corps réclame un instant de plaisir. Mes me font du bien, ça me détend, j'en avais tellement besoin. Ma blouse est totalement ouverte, je montre entièrement à ce salaud et ça me plait. De toute façon, je ne suis plus à exhibition prêt.
Mes doigts sur le clitoris me font gémir sans retenue. Le plaisir monte vite, je sens déjà l'orgasme arriver. Et il m'ordonne :
- Regarde bien l'objectif lorsque tu jouiras".
A nouveau, j'obéis. Je fixe le téléphone et mes cris cachent presque la sonnerie indiquant la fin de la pause. Et il me dit :
- Reste comme ça, mais écarte bien les jambes vers la porte. Je sens que t'as encore envie de te branler... J'adore, c'est tellement facile avec toi".
Je suis affolée. Les autres vont arriver d'un instant à l'autre. Et pourtant, je me mets comme il me demande, et me masturbe à nouveau, j’en ai tellement envie.
Plus tard, ce qu’il me dit alors résonna dans ma tête, comme une alarme : « c’est tellement facile avec toi ». Pour est-ce facile avec moi ? Pourquoi ça le serait moins avec d’autres ? Il y en a d’autres ? Je ne suis pas la seule dans cette situation ?
Le cours va rependre, le brouhaha des autres élèves devient de plus en plus présent. il sort de la salle. Je l'entends crier "Rentrez en silence, le cours reprend". Les uns après les autres me découvrent en train de jouer avec mon clitoris. Je les vois rentrer un à un, chacun me regarder, chacun prenant un air différent devant le spectacle que je leur offre. La pression augmente à une vitesse affolante, et je me mets à jouir devant eux, je continue à me masturber. Le prof rentre en dernier, il fait mine de découvrir la scène, et prend un air scandalisé. Il m'hurle :
- Petite dépravée. Revenez donc au tableau, ça occupera vos mains. Et fermez donc cette blouse, ce n'est pas une maison close ici !
Le temps que je remette mes vêtements, cachée dans les toilettes, tout le monde est parti. Enfin, pas vraiment. En prenant le couloir, je vois Paul parler avec d'autres. Je ne veux pas qu'ils me voient, j’ai été assez humiliée comme ça pour aujourd’hui, ce n’est pas la peine que ça continue. Je me cache derrière une armoire. Et je les entends parler. Paul semble en désaccord avec les autres qui lui disent
- Mais, laisse tomber. Elle le mérite bien. Tu ne te souviens pas comment elle nous a insultés dès le départ. C’est une pouf cette fille, une connasse. Tu crois vraiment qu’elle est obligée ?
- Vous ne vous rendez pas compte... Ca va pourrir sa vie à jamais.
- Et si tu fais quoi que ce soit, c'est la tienne qui va être pourrie. Et puis, t'as vu, ça lui plait. Si elle n’aimait pas ça, elle ne mouillerait pas comme une fontaine…
- Je ne crois pas. C'est pas si simple.
- … Ce n'est pas Emilie. Te mêle pas de ça, pour ton bien.
Emilie ? C'est qui ? Je sors de ma cachette, avec une sorte de lueur d'espoir dans les yeux. Il y a une partie de vrai de ce que disait l’autre, mais je n’ai aucune envie que ces situations se reproduisent. Les autres me voient et partent, mais pas Paul. Je suis directe avec lui
- C'est qui Emilie ?
- Personne.
- Elle a subit la même chose que moi, c'est ça ? Je veux la rencontrer, s'il te plait.
- Non, ce n'est pas possible. Et même si je te la présentais, elle ne voudra pas te parler.
- … Alors, ça ne changera rien que tu essaies... S'il te plait.
Je le supplie, pleure devant lui. C'est peut-être ma seule chance d’arrêter ce qui se met en place. Il a le regard triste et finit par me dire "Ok... Je pense vraiment que tu ne mérites pas ça. Demain après-midi, je t'emmène la voir". J'ai eu l'impression de respirer pour la première fois de ma vie. Je découvrais alors que Paul avait redoublé sa première, avait aujourd’hui plus de 18 ans, son permis de conduire et une voiture.
Mais, j'avais encore cette matinée de ce mercredi à passer. Et je ne savais absolument pas ce qui allait m'arriver durant les cours d'anglais et d'espagnole. Je suis déjà arrivée à l'école avec la boule au ventre, c'était à cause d'une interro où je savais que j'allais me planter. Mais, cette fois, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre.
Et la matinée s'est passée sans rien. J'étais soulagée. Nous sommes parties dès la fin des cours. Il m'a emmenée à 150 kilomètres de là... Nous n'avons pas parlé. Et pourtant, j'avais des milliards de questions à poser, sans savoir par la quelle commencer.
Il s'arrête à côté d'un petit bistro. Nous sortons de la voiture, il me fait rentrer dans l'établissement. Un jeune homme, un serveur certainement, nous dit "Désolé, mais le service est terminé pour ce midi". Paul lui dit qu'on n'est pas là pour manger et veut savoir si Emilie est là. L'homme l'appelle, et je remarque une fille très grosse, sans aucune joie de vivre s'approcher. Paul va tout de suite à sa rencontre, elle semble heureuse de le voir. Ils se font la bise et se mettent à discuter en retrait.
La fille lui dit "non, hors de question. Fais la repartir ! Je ne veux plus jamais reparler de cette histoire". Paul parle doucement, je n'entends pas ce qu'il lui raconte. A plusieurs reprises, elle jette un œil sur moi. Et je l'entends dire "Ok, cinq minutes, pas une seconde de plus". Paul vient me chercher et me fait assoir face à Emilie, puis va plus loin pour nous laisser en tête à tête. Elle a les yeux rouges, elle est au bord des larmes. Sèchement, elle me demande "C'est quoi ton histoire à toi ?". J'ai dû mal à savoir par où commencer, les mots m'écorchent la bouche comme des lames de rasoir. Je ne pensais pas que ça serait si dur de tout raconter.
Les cinq minutes sont passées, mais elle continue à m'écouter. Je me mets à pleurer, elle aussi. Elle sait parfaitement ce que je ressens et vis. Et lorsque j'ai fini, n'ayant pas hésité à rentrer dans les détails, elle me demande
- Et qu'est-ce que tu attends de moi ?
- Que tu m'aides à sortir de ça.
- Ce n'est pas possible. Ils t'ont photographiée et filmée, ils te feront chanter pour que tu assouvisses le moindre de leur désir.
- Mais, il y a bien une solution, quelque chose... Un prof sur qui compter ?
- Non, personne. Ils sont tous à mettre dans le même panier. J'ai essayé, qu'est-ce que tu crois ? J'ai dit non une seule fois. J'ai été convoquée chez le directeur, il y avait ma mère. Il lui a montré des photos de moi en train de me masturber dans la classe. Il a joué le mec gentil en excusant mon écart... J'ai compris l'avertissement.
- Le directeur aussi ?... Ça a commencé comment pour toi ?
- Je ne sais plus, vraiment. Mais, c'était une sorte de jeu pour moi. Putain, j'avais eu un 17 sur 20 en histoire alors que j'étais super nulle, juste parce que j'avais écarté les cuisses. C'était génial et facile, j'allais avoir un super dossier scolaire pour aller où je veux après. Au premier trimestre, j'étais première de la classe juste en couchant. Et puis, après, mes notes étaient moins bonnes. Ils me demandaient de faire de plus en plus de trucs pour faire monter ma moyenne. C'était devenu un cercle infernal et j'étais totalement seule, personne pour me soutenir. Je me suis retrouvée à me faire partouzer dans la salle des profs juste pour obtenir un simple 5 en math, la matière où j'étais la plus forte. Tu vas comprendre pourquoi ils aiment tant les QCM... Ça leur permet de truquer tes réponses... Ils adorent t'obliger à faire ce qui te répugne. Je suis désolée pour toi, mais la seule consolation que tu auras c’est de te dire que tant qu'ils sont sur toi, une autre est sauve. Tu n'es pas la première à qui ça arrive, moi non plus d'ailleurs, et tu ne seras pas la dernière. Tu as dû te demander pourquoi il n'y avait que des profs masculins dans ce lycée... Tu connais maintenant la réponse.
- … Il n’y a jamais eu de prof femme ?
- Si… Elles ne sont jamais restées longtemps. Le directeur leur fout la pression pour qu’elles dégagent : « Trop gentille… Trop sévère »… Jamais rien ne va…
Je l'ai remerciée pour ces confidences. J'aurais pu lui demander bien plus, avoir plus de détails. Mais à quoi bon, je savais maintenant à quoi m'attendre.
Nous sommes repartis avec Paul. Il me dit
- Tu sais, elle n’était pas comme ça avant. Elle était jolie comme un cœur, bien foutue à en faire baver plus d'un… Une joie de vivre comme pas possible. Ça lui ai arrivé il y a deux ans. Tout ce qu'elle espérait c'était d'avoir son bac pour ne pas être obligée de revivre tout ça. Je crois que ça l'aurait tuée sinon.
- … Je ne veux pas finir comme ça... Elle est quoi pour toi ?
- Une merveilleuse amie, une confidente, ma première aussi. J'étais en seconde, j'ai souffert de ne pas savoir quoi faire pour l'aider. Et tous ses amis se sont détournés d'elle, l'ont insultée comme de la merde...
- Je ne veux pas qu'un de ces porcs me dépucèle l'anus.
- … Ca arrivera, que tu le veuilles ou non.
- Non, pas si quelqu'un le fait avant... Soit le premier, s'il te plait.
- Tu dois te douter que je rêve de le faire, et te faire plein d'autres trucs aussi. Mais, si c'est pour te préparer à leurs assauts, je le ferai à leur manière.
- C’est-à-dire ?
- Pas de préparation particulière, pas de lubrifiant. Ça risque de te faire mal, mais j'irai doucement.
- Ok, ça me va. J'ai envie qu'on arrive vite chez toi pour que tu me le fasses.
- Quoi ? Aujourd'hui ?
- Les vacances sont dans une semaine et demie. Je ne pense pas qu'ils laissent mon cul tranquille jusque-là… Le prof de sport a déjà voulu me pénétrer par là…
Je suis là, à quatre pattes sur le lit de Paul. J'ai peur. Lorsque j'ai senti son gland à l'entrée de mon anus, je me suis totalement contractée. Il m'a caressée le dos en me disant :
- Chuuut, détends toi. Ça sera plus facile, je t'assure. Et cambre toi un peu plus.
Je le sens appuyer, à commencer à rentrer. J’ai déjà mal, je suis certaine que ma peau est en train de se déchirer. Je gémis de douleur, il se retire.
- On ne va pas y arriver.
- Si, il faut que tu le fasses. Tant pis si j'ai mal. Je préfère que ce soit toi qu'eux.
- C'est chaud, t'as le cul super serré en plus.
Tant pis pour ça. Il se remet en position, recommence à rentrer, la même douleur, je mords l'oreiller. Et je commence à le sentir à l'intérieur. Il s'arrête, je lui demande
- T'es dedans ?
- Pas entièrement, juste le gland. Je continue. Je vais faire de petits vas-et-viens pour aller jusqu'au bout.
Je le sens faire ce qu'il m'a dit, la douleur est toujours présente. Je lance des râles de souffrance, les larmes coulent de mes yeux, je serre fortement les draps. Ça dure si longtemps. Et puis, enfin, il est tout entier en moi. Il reste un moment sans bouger, mais l'entrée de mon cul me brûle.
Et il recommence des vas-et-viens, avec de petits mouvements au départ, augmentant leur amplitude en même temps que mes gémissements de douleurs se calment. Ça me fait de moins en moins mal, et au bout de quelques minutes, je ne souffre plus du tout. Et il me demande
- Ça va ?
- Oui.
- Tu aimes ?
- Je ne sais pas. C'est un peu étrange comme sensation. Mais, je ne déteste pas.
Il continue encore un peu et se retire. Je ne l'ai pas senti éjaculer et il se rhabille. Je touche mon anus, il n'y a pas de sperme qui en sort. Le trou semble si grand. Et je lui demande
- Tu veux pas aller jusqu'au bout ?
- Pas maintenant. On recommencera plus tard lorsque ton anus aura repris sa forme normale.
- Quoi ? Tu veux recommencer ?
- Tu crois que ton cul va s'habituer en une seule fois ?... Regarde dehors.
Il neige, fortement. Ça nous fait rire et je lui dis :
- Tu dois le faire exprès. Deuxième fois que je viens et me voilà encore coincée chez toi". Et puis, c'est pas si mal que ça, on a tout de même un exposé à finir pour la semaine suivante.
A peine nous sommes nous mis à son bureau que ses parents rentrent. Ils ne sont pas trop étonnés de me voir, sachant que je dois travailler avec leur fils. Par contre, ils ont préféré rentrer avant d'être totalement bloqué cette fois.
La neige continuant à tomber, paralysant une nouvelle fois la ville, c'est convenu avec mes parents, je reste dormir chez Paul. C'est l'occasion de travailler, mais pas que l'exposé. Malgré la présence de ses parents, enfermés dans la chambre, nous nous déshabillons à nouveau, je me suis remise à quatre pattes. Je n'ai plus peur, j'ai confiance en lui.
- Non, pas comme ça. Allonge-toi sur le dos.
- Tu ne vas pas me sodomiser ?
- Si, mais dans cette autre position. Ils le feront aussi, pour voir ton visage en même temps.
Je le laisse me diriger. La position est moins confortable, mais il s'enfonce tout de même. J'ai moins mal, mais le début reste difficile. Puis, ça va bien mieux. Je mets mes mains sur ses hanches, et commence à bouger à mon tour pour l'accompagner. Il me dit alors
- Tu as l'air d'aimer ça.
- Oui, mais je ne vais pas jouir comme ça.
- Tu peux te toucher en même temps.
Sa voix montrait toute l'excitation qu'il avait en m'imaginant le faire. Je lui fis ce plaisir. Il regarde mes doigts bouger sur mon clito, il aime voir mes doigts masturber mon clitoris et j'aime lui montrer. J'aurais pu jouir bien plus tôt, mais j'avais envie de déclencher mon orgasme en même temps que le sien.
D'un coup, il sort. J'attrape sa queue, et la branle au même rythme que je branle mon petit bouton. Je jouis en fermant les yeux, je sens son sperme sortir et tomber sur mon ventre. J'ai pris du plaisir à me faire baiser, même à me faire enculer. Ça fait du bien.
Je garde le sperme sur mon ventre pendant qu'il se rhabille. Je sais qu'ils vont m'en faire avaler plein. La texture et l'odeur me répugnent, mais je plonge deux doigts dedans et les porte à la bouche. Il faut que je m'habitue. Paul me regarde faire et en rigolant me demande
- C'est bon ?
- Amer et salé... Pas terrible.
Je lèche pourtant mes doigts et recommence, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. Et Paul me demande
- Je peux te poser une question ?
- Vas-y.
- La semaine prochaine, à la piscine, tu vas devoir remettre le maillot ?
- … Non. Il veut que j'amène le mien, et faut que ce soit provoquant. Mais, j'ai rien... Juste des maillots normaux. Tu crois que ça ira tout de même ?
- Non.
Et il ouvre son placard, écarte des boîtes, en ouvre une tout au fond et fouille dedans. Il ressort quelque chose qui ressemble à un petit amas de corde et me le donne.

A suivre

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