Quand tout devient clair dans la tête,
et qu'on accepte d'être naît pour ça!
Maryse, naissance de la perversion
Fin
Pourtant, ce qui la choque le plus, c'est qu'elle serait prête à recommencer s'il le lui demandait. Elle ne peut rien lui refuser. Après un moment, il lui dit d'aller faire une toilette avant qu'il reparte.
Il lui dit qu'ils devront faire un crochet pour aller dans un magasin. Étant assez tard, elle se demande de quel magasin il peut s'agir. Tout à coup, elle croit deviner leur destination et redoute d'être dans le vrai. Elle ne montre pas son appréhension pour éviter de le décevoir.
Elle remet docilement sa petite robe moulante sans ses sous-vêtements. Ses talons aiguilles claquent sur le sol quand elle se dirige en compagnie de M. Francis vers sa voiture. Il lui indique la route à prendre, alors que sa main caresse ses cuisses et sa vulve humide. Elle peine à garder sa concentration sur la route. Ils s'arrêtent dans un quartier glauque de la ville.
Ses talons aiguilles résonnent à chacun de ses pas. Plus ils avancent dans cette rue secondaire, plus ses craintes se précisent. Elle a une boule au ventre pourtant elle continue d'avancer. Ils s'arrêtent devant une vitrine fermée illuminée d'un néon rose qui laisse peu de doute sur l'endroit. M. Francis ouvre la porte et laisse entrer Maryse qui aurait préféré le suivre plutôt que le précéder.
Elle se trouve dans une petite pièce à l'éclairage tamisé où sont présentés dans une vitrine toutes sortes d'objets en latex ou en métal chromé. De l'autre côté sont suspendus des vêtements de toutes sortes. Quand elle les détaille un peu plus, elle se rend compte qu'il s'agit exclusivement de vêtements en cuir qui révèlent plus qu'ils ne cachent.
Un homme l'observe depuis son comptoir où sont affichés de nombreuses photos toutes plus explicites les unes que les autres. Le vendeur est légèrement dégarni, il a un regard étrangement neutre. Elle se dit que contrairement à elle, il est saturé de tous ces objets sexuels. Pour elle, ce n'est que la deuxième fois qu'elle visite un tel lieu.
Elle se demande ce que M. Francis a en tête. Il se dirige vers le comptoir, la laissant à l'entrée. Elle n'ose pas bouger, elle se contente d'observer tous ces objets aux formes arrondies ou en pointes.
Elle cède à la curiosité et s'approche de la vitrine pour lire les étiquettes. Il y a ici des nipple rings, là des cock rings, des ball stretchers, des pinces de toutes tailles... Malgré elle, elle sent l'excitation monter. Elle, la mère de famille, est excitée de se retrouver dans ce lieu interdit. Une fois encore elle est surprise de ne pas s'enfuir. La peur de ce que lui réserve M. Francis s'ajoute à la sensation d'abandon au vice.
Elle est sortie de ses pensées par M. Francis qui lui demande de le suivre dans l'autre salle. Elle n'avait pas remarqué qu'il y avait d'autres pièces. Le vendeur ne manque pas d'observer le corps de Maryse avec un petit sourire appréciateur. Elle se sent comme l'un de ces objets sexuels, relégué à la seule fonction d'assouvir les fantasmes les plus pervers.
Dans l'autre pièce, trônent des godes de toutes tailles. Certains moulés sur le sexe d'acteurs pornos, d'autres aux formes biscornues de toutes les couleurs. Elle est honteuse mais ne peut refréner son envie de les sentir au plus profond de ses orifices bien trempés.
Il y a bien plus de vêtements dans cette pièce, soit en latex, en vinyle ou bien encore en cuir. Un vendeur les attend et indique un siège à M. Francis. Il s'assoit alors qu'elle reste debout. Cette attitude l'aurait choquée avant de le rencontrer, là c'est naturel.
Le vendeur observe Maryse, s'approche d'elle pour prendre quelques mesures sans lui parler. Il sort un mètre ruban et mesure sa poitrine, sa taille et ses hanches.
Elle sent les doigts de cet homme de la quarantaine effleurer son corps qui ne manque pas de réagir. Ses tétons tendent le tissu moulant de la robe. Sa poitrine s'est gonflée d'excitation. Elle respire difficilement, et se sent rougir. Elle a un hoquet de surprise quand le vendeur soupèse sa poitrine pour en tester la fermeté.
Elle jette un œil apeuré à M. Francis qui suit toute la scène avec un plaisir non dissimulé. Le vendeur se dirige vers la collection de cuir et en sélectionne quelques articles. Le premier qu'il présente à M. Francis est une sorte de harnais muni de chaînes et d'anneaux métalliques. son amant acquiesce et le vendeur demande à Maryse de retirer sa robe.
Naïvement, elle se dirige vers la cabine d'essayage mais M. Francis lui fait comprendre d'un signe de la tête qu'elle doit se changer ici devant eux. Elle panique, le magasin est désert mais si un nouveau client entrait, il ne manquerait rien du spectacle. La femme mariée s'y refuse, mais c'est sans compter cette femme perverse avide de sensations lubriques.
Doucement elle retire sa robe, révélant au vendeur sa voluptueuse nudité. Le vendeur n'en perd rien. Elle a le regard baissé mais peut apercevoir une large bosse déformer son pantalon. Elle ne prend pas la peine de cacher sa grosse poitrine mais elle garde ses mains croisées devant son sexe qu'elle sent moite.
Le vendeur lui présente le harnais. Il l'aide à l'enfiler. Un string en cuir ouvert est attaché par un complexe réseau de ceintures que le vendeur resserre autour de sa taille lui coupant presque le souffle. Le string s'insère entre ses deux lobes généreux. Ses seins sont écrasés par des ceintures qui s'entrecroisent au niveau de ses mamelons en érection. Un anneau métallique les laisse bien en vue. Elle peut voir le résultat dans plusieurs miroirs éparpillés dans la pièce. Elle est transformée, elle se reconnaît à peine dans cette tenue aux forts accents SM. Pourtant elle ressent un immense plaisir à se montrer ainsi à M. Francis.
Le vendeur semble très excité par la situation mais il continue de suivre les directives de M. Francis et lui présente un autre accoutrement. Il s'agit cette fois-ci d'une robe en cuir noir à lacets sur toute sa longueur. Elle retire non sans difficulté le harnais pour essayer la robe. Elle doit avouer qu'elle est magnifique même si jamais elle n'aurait imaginé en porter une. Elle enfile la robe qu'elle remonte le long de son corps. Les balconnets peinent à maintenir sa poitrine en place qui déborde légèrement ajoutant une certaine indécence à la tenue.
Le vendeur commence alors à serrer les lacets de la taille. Une nouvelle fois, elle a le souffle coupé. Il lui fait perdre plusieurs centimètres de taille. Il lace ensuite le bas de la robe, emprisonnant ses fesses charnues dans le cuir. Les lacets s'inscrivent dans sa chair. L'effet est terriblement érotique. La robe révèle son corps. Les lacets ne cachent rien du sillon accueillant de ses fesses. Ses hanches et sa poitrine sont mises en valeur par sa taille resserrée. Pourtant, jamais elle ne pourra sortir habillée ainsi.
M. Francis approuve une nouvelle fois. Il se lève pour mieux observer Maryse qui en éprouve une certaine fierté mêlée de honte d'être ainsi traitée. Il demande alors au vendeur de lui montrer ce qu'il a comme bottes à talons aiguilles.
Le choix n'est pas large mais M. Francis jette son dévolu sur des bottes à lacets sur l'arrière et à talons aiguilles. Il les présente à Maryse pour qu'elle les essaie. Elle s'assoit mais ne peut les mettre toute seule à cause du corset de la robe. Le vendeur s'agenouille devant elle pour les enfiler tout en jetant des regards furtifs entre ses cuisses pour essayer d'apercevoir son sexe baveux.
Elle ne peut faire autrement que d'écarter les cuisses et lui offrir ainsi ses lèvres ouvertes et gonflées d'excitation.
M. Francis ne reste pas insensible à la situation, son pantalon est lui aussi déformé par une généreuse érection. Il ne quitte pas des yeux la poitrine de Maryse qui ondule outrageusement au rythme des poussées du vendeur sur les bottes. Les bottes arrivent sous les genoux de Maryse. Une fois les lacets serrés, elle se lève pour faire quelques pas. Les talons sont dangereusement hauts mais elle a acquis une assurance certaine ces derniers temps. Ces bottes complètent parfaitement sa robe. Elle se fait l'effet de l'une de ces reines de la nuit et du plaisir.
M. Francis semble satisfait et demande au vendeur le prix de ces deux articles. La somme paraît astronomique à Maryse mais il ne semble pas s'en soucier et les accepte. Elle commence à vouloir se dévêtir mais de nouveau, d'un simple geste de la tête, il lui fait comprendre qu'elle doit rester ainsi.
Une bouffée de chaleur l'envahit, elle panique. Mais elle ne peut rien y faire, elle est obligée de se résoudre à sortir habillée dans cette tenue qui ne cache rien de son corps. Elle se résout à le suivre dans la première pièce.
Le vendeur malgré son expérience de ce monde écarquille les yeux en la voyant. Il encaisse la carte de M. Francis en lui disant qu'ils peuvent revenir quand ils veulent et qu'il pourrait les présenter à certaines de ces connaissances s'ils le souhaitent. M. Francis lui répond « Pourquoi pas, une prochaine fois... ».
Elle n'aurait jamais pensé qu'il serait plus difficile de sortir de ce sex-shop que d'y entrer. Elle est terriblement effrayée de se montrer dans ces vêtements suggestifs aux passants. La petite rue est déserte quand ils sortent, elle pousse un soupir de soulagement jusqu'à ce qu'elle entende un sifflement approbateur qui la fait sursauter. Elle n'ose pas se retourner pour en voir la source, elle a trop honte. Elle est consciente que l'on peut voir le sillon de ses fesses mis en valeur par les lacets de la robe. Ses bottes claquent sur le bitume du trottoir.
M. Francis ne prend pas le chemin de la voiture, il emprunte d'autres ruelles où ils croisent d'autres passants aux réactions diverses. Certains sont ébahis de la voir dans cette tenue, d'autres s'arrêtent franchement pour la regarder. Ils croisent une femme d'une soixantaine d'année qui s'offusque à la voyant jusqu'à la traiter de dépravée. Cette insulte fait écho aux pensées de Maryse. Elle a honte de son attitude et pourtant elle en tire un immense plaisir. Elle se soumet aux moindres caprices de M. Francis car il sait comment lui révéler sa plus profonde nature de dépravée.
Ils entrent dans un petit square presque désert occupé par un sans-abri qui semble dormir, une bouteille de rouge à la main. Elle se demande ce que son amant lui réserve. Il lui dit de s'asseoir sur un banc alors qu'il sort son appareil photo. Elle se mordille la lèvre inférieure.
Lentement la crainte fait place à l'excitation sans totalement s'effacer. Elle vérifie rapidement que le sans-abri est bien endormi et peu à peu elle se laisse aller devant l'objectif inquisiteur de l'appareil photo. Elle prend des poses lascives, prenant soin de montrer sa cambrure accentuée par les talons et le corset serré. Elle se penche en avant sur le banc pour lui montrer ses fesses charnues enserrées dans le cuir.
Elle jette un regard en arrière avec une moue érotique que M. Francis immortalise. Elle s'assoit sur le banc en croisant les jambes, les bras sur le dossier. Sa poitrine se lève à chacune de ses respirations, manquant de s'échapper à chaque fois. Alors qu'elle se tourne à nouveau pour montrer le laçage qui emprisonne ses fesses, elle aperçoit le SDF qui la regarde avec avidité. Il se masturbe ouvertement en la regardant.
Elle est saisie de peur. Elle regarde M. Francis qui lui aussi a vu l'homme. Mais loin de le freiner, il lui demande de continuer devant son nouveau spectateur. Elle hésite, mortifiée par cette demande. La stupeur laisse place lentement à une nouvelle montée de son excitation alors qu'elle observe le membre massif du SDF branlé vigoureusement par son propriétaire. Elle se laisse de nouveau aller à l'exhibition. Elle amplifie toutes ses poses pour être la plus désirable possible. Elle aussi regarde ouvertement le sexe de cet homme seul et rejeté. Il est de bonne taille avec de grosses veines. Les deux boules de ses bourses molles s'agitent à chacun de ses mouvements erratiques. Elle ne cherche plus qu'à le faire jouir.
Il se lève pour s'approcher, le sexe fermement serré dans sa main. Ses bourses pendent mollement entre ses cuisses. Il s'arrête devant elle. Il n'ose pas la toucher, il jette un regard vers le photographe qui ne manque rien de la scène. Il comprend qu'il ne doit pas la toucher, il ne pousse pas sa chance plus loin. Il recommence à se masturber frénétiquement devant cette femme sortie d'un magazine pornographique. Elle continue à prendre des poses lascives en le regardant. Elle observe les va-et-vient de la main le long de cette grosse queue.
Si elle osait, elle le prendrait en bouche pour l'aider dans son plaisir. Elle se contente de sortir un sein de sa gaine de cuir. Le voyeur n'en revient pas et il accélère le mouvement en grognant comme une bête. Elle se retourne pour lui présenter son cul, il en décharge une grosse quantité de sperme sur le cuir noir de sa robe. Elle sent les jets s'écraser lourdement sur ses fesses à travers le cuir et elle en tire un immense plaisir sans même se toucher.
M. Francis a tout photographié, ravi de la tournure des événements. Il présente un paquet de mouchoir au sans-abri et lui indique de nettoyer son sperme. C'est tout fébrile, la queue pendante entre ses jambes, qu'il tend le bras pour essuyer le liquide poisseux. Il en profite largement pour caresser à travers le cuir alors que la femme toujours penchée en avant sur le banc gémit son plaisir pervers de se faire toucher ainsi. Il continue consciencieusement à la nettoyer en s'assurant qu'il ne reste rien sur son fessier rebondi.
Après quelques instants, M. Francis le remercie et lui donne quelques pièces. Le sans-abri regarde la femme alors qu'ils quittent le square. Il lui semble bien que sa démarche n'est pas très assurée, est-ce les talons ou bien autre chose. Il s'en retourne à sa place, rêvassant à ces quelques moments irréels de pur plaisir.
Maryse a de plus en plus le sentiment qu'elle n'est plus maîtresse d'elle-même. Elle s'abandonne peu à peu totalement à M. Francis. Elle se soumet aux moindres de ses désirs. Les regards des passants glissent sur elle en ajoutant à son excitation et à sa honte. Elle les sent plus qu'elle ne les voit car elle n'ose pas les regarder. Elle garde le visage baissé pour ne pas avoir à affronter leur réaction.
Elle monte dans la voiture, le corsage l'oblige à se tenir bien droite, sa poitrine largement offerte. M. Francis semble satisfait, il a un léger sourire. Elle se dit que c'est sans doute son manque de résistance qui lui plaît à moins qu'il ne pense à la suite de la soirée. La femme bourgeoise appréhende la suite des événements alors que l'autre partie de sa personnalité dépravée en demande toujours plus.
Ils arrivent à l'hôtel à une heure assez tardive, pourtant Maryse peut voir qu'il y a encore du passage. Elle est autant effrayée qu'excitée à l'idée d'affronter le regard de ces inconnus. Elle n'a pourtant pas le choix, elle rassemble son courage et descend de voiture. Elle essaie de se mettre dans la peau de cette femme fatale sûre de ses charmes et de sa sexualité. Elle y parvient presque mais tout s'effondre quand elle se retrouve devant l'hôtelier qui manque de s'étouffer en la voyant. Il retrouve un semblant de dignité et demande le nom de la réservation en les regardant l'un après l'autre et en s'attardant sur la générosité du décolleté de Maryse.
M. Francis ne fait rien pour aider Maryse qui essaie aussi de retrouver une certaine contenance. Elle donne son nom d'une voix timide mais se voit obligée de le répéter plus fort pour que l'hôtelier réagisse. Il leur donne enfin leur clé en leur indiquant le numéro de chambre et l'étage. Elle la prend et se hâte vers l'escalier alors que M. Francis la suit avec les deux valises. Elle n'a pas besoin de se retourner pour savoir que l'hôtelier lui reluque impunément les fesses mises en valeur et révélées par le laçage de sa robe de cuir noir. Dans sa hâte pour ouvrir la porte de leur chambre, elle fait tomber les clés. Elle s'accroupit pour les ramasser et remarque l'imposante bosse qui déforme le pantalon de M. Francis.
Il la regarde de toute sa hauteur en frottant négligemment le paquet que forment ses bourses. Elle rougit de l'effet qu'elle produit sur lui et de sa vulgarité. Elle en a honte mais elle salive à l'idée de sucer ce membre dressé pour elle. Elle s'engouffre dans la chambre, elle a du mal à respirer. Elle ne sait que faire. Elle attend figée que M. Francis lui dise quoi faire. Il pose les valises à l'entrée. Puis il sort son ordinateur qu'il branche ainsi qu'une webcam. Il la tourne vers elle. Elle est tétanisée. Il va de nouveau l'offrir en pâture à des internautes surexcités. Cette fois il lui dit qu'il va vendre ses charmes au plus offrant.
Elle a tout d'abord du mal à comprendre ce qu'il veut dire. Il lui explique alors qu'elle devra offrir un « spectacle » à celui qui acceptera de payer pour en voir plus. D'une voix froide et autoritaire, il lui intime l'ordre d'exciter ses clients.
Une pointe glaciale lui traverse le cœur. Elle est offerte comme une prostituée à ces internautes. Elle doit les exciter pour qu'ils payent pour ses charmes. Une partie de son être crie, refuse, se révolte contre cette idée mais cette voix est impuissante face à l'excitation qu'elle ressent.
Et lentement, comme dans le square, elle commence à bouger langoureusement en prenant des poses suggestives. Elle s'abandonne de nouveau devant l'objectif alors qu'il lui fait part des commentaires les plus vulgaires.
Tout à coup, il lui dit qu'elle a son premier client. Il veut voir sa chatte. Elle se couche sur le lit et écarte autant qu'elle peut ses jambes serrées par le cuir. Il lui dit qu'on ne voit pas assez, qu'il faut qu'elle se retourne. Elle se tourne et se met à quatre pattes en se cambrant au maximum ses fesses enserrées par la robe. Elle sent les cordes du laçage frotter contre ses grandes lèvres. Elle ondule pour accentuer le frottement. Elle gémit doucement de cette caresse hors-norme. Elle sent sa chatte s'ouvrir et mouiller sans qu'elle se touche.
De très loin, elle entend M. Francis lui donner ordonner de montrer ses seins. Elle se retourne dans un état second et serre sa poitrine pour accentuer son décolleté. Cela a l'air de plaire mais le client en veut plus alors elle tire le corsage vers le bas pour libérer le reste de sa poitrine généreuse et un peu molle. Elle triture ses seins, les offrant à la vue de son client. Elle les serre l'un contre l'autre. Elle les pelote. Elle tire sur ses tétons durcis par l'excitation.
Puis M. Francis lui dit que ce show est terminé. Il l'aide à retirer sa robe pour la suite qu'il souhaite plus active. Elle est dans un état second presque d'abandon. Elle lui obéit sans réfléchir. Il lui donne une robe de chambre presque trop courte qu'elle enfile. Puis il lui tend un gros vibromasseur qui a sans doute été moulé sur le sexe monstrueusement gros d'un acteur de porno. Elle le prend, le diamètre est imposant. Elle est comme fiévreuse en regardant ce membre.
M. Francis redirige la webcam vers elle et lui dit de recommence à les exciter. Elle reste interdite quelques secondes puis s'assoit sur le lit et commence à caresser le vibromasseur. Elle le place entre ses deux grosses mamelles encore cachées par la robe de chambre comme pour tester la grosseur de cette bite. Elle en titille du bout de la langue la tête comme pour le goûter.
Son petit manège semble exciter ses voyeurs car rapidement il y en a un qui demande un spectacle privé. M. Francis lui dit alors de se caresser la chatte avec le vibro, ce qu'elle exécute avec plaisir. Elle le fait glisser le long de sa fente, appréciant en gémissant cette douce caresse. son clitoris est érigé au maximum et frotté par la grosse bite qu'elle manipule de plus en plus rapidement.
M. Francis lui demande alors de se l'enfoncer. Elle se mordille la lèvre inférieure en appréciant une dernière fois la taille imposante du sexe. Elle le présente à l'entrée de sa vulve toute poisseuse de son excitation et commence à pousser dessus. Il est énorme et elle crie en forçant l'entrée de sa chatte. Elle se sent écartelée. Elle attend quelques secondes le temps de s'accommoder puis pousse de nouveau sur la bite monstrueuse qui l'envahit peu à peu. Elle la retire pour mieux se pénétrer. Elle gémit comme une folle. M. Francis ne perd pas une miette du spectacle et l'encourage à continuer en la traitant de salope et d'autres mots plus crus les uns que les autres qui attisent l'excitation de Maryse.
Elle pousse sur le membre jusqu'à l'accepter totalement en elle. Elle enclenche alors les vibrations qui la rendent folle. Elle ondule, elle prend un de ses seins en mains pour le maltraiter. Elle le serre très fort alors que la bite mécanique la prend sans relâche. Elle se crispe soudain en poussant un cri silencieux. Une vague de jouissance la traverse, brisant ses dernières forces. Elle s'écroule sur le lit en tremblant alors que le sexe continue de vibrer en elle la faisant couler continuellement.
Elle sent alors qu'on lui retire le sexe dans un bruit de succion humide. Elle se sent vide et sans force. Elle ne réagit pas quand deux doigts pénètrent sa vulve dilatée. Ils viennent écraser et exciter cette petite pièce de chair si sensible lui procurant un nouveau plaisir presque suffoquant.
Elle sent un troisième doigt la fouiller. Puis ils sont remplacés par le membre chaud de M. Francis, loin d'être aussi gros que le sexe mécanique mais tellement vivant. Elle apprécie les coups de reins presque violents de M. Francis qui écarte ses lobes fessiers pour pénétrer en même temps son anus de deux doigts trempés de sa mouille.
Elle jouit non moins intensément quand elle le sent éjaculer au plus profond de sa chatte. Elle lui appartient, même si cette idée terrorise la femme bourgeoise à la vie si bien rangée.