Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Un Dimanche de brèves....

$
0
0
Se découvrir aux autres pour..
Découvrir sa tendance profonde.
Totalement humilié
Par wimphub
Je m’appelle Tony, au début de mon histoire je suis marié à ma magnifique femme Jane depuis deux mois. Elle est rousse, avec de longs cheveux, une poitrine ferme, et des jambes somptueuses.
Un soir Jane était assise sur le lit pendant que je me déshabillais pour faire l’amour avec elle. Elle me regarda d’un air désapprobateur.
- Tu es vraiment une lavette n’est-ce pas Tony ? remarqua-t-elle, avec ton corps et ta petite queue tu es inutile au lit. Je vais devoir trouver un vrai mec, avec une grosse queue pour me fournir le sexe dont j’ai besoin.
Malgré le choc de ses mots je sentais que ma queue bandait, et ma femme le remarqua aussi.
- Mais dis donc, ça t’excite quand je t’humilie comme ça, et que je te dis que je vais prendre un amant ?
Je ne pouvais pas contester cela.
- Bien, je vais chercher un amant alors… ,
- Mais tu ne peux pas ai-je protesté, nous nous aimons n’est-ce pas ?
- Bien sûr répondit-elle, mais il s’agit de sexe, et là tu n’es pas bon ! Notre mariage n’y survivrait pas si je ne trouvais pas de quoi m’envoyer en l’air.
Je me suis couché sans rien dire en espérant qu’il s’agissait de mots en l’air.
Le vendredi suivant, en rentrant, j’ai trouvé Jane dans le salon. Elle portait une robe noire, courte, et des chaussures à talon haut. Elle était habillée pour tuer, et je lui demandai ou elle allait.
- Je sors trouver un amant dit-elle simplement. Je t’ai dit que j’en avais besoin, et j’espère bien en trouver un ce soir.
Malgré mes protestations elle sortit en prenant son sac. Elle n’est pas revenue avant minuit.
Alors je suis monté me coucher, en essayant de rester éveillé pour la voir, mais je me suis endormi. Elle m’a réveillé lorsqu’elle est entrée dans la chambre au petit matin. Elle avait un grand sourire, et s’assit sur le lit à côté de moi.
- J’ai trouvé un mec dit-elle fièrement, il est noir, grand, et s’appelle Bill. Il m’a baisé cette nuit, et il y a tout juste dix minutes devant la maison.
Et elle tira soudain les draps qui révélèrent mon érection.
- Je vois que ta queue a apprécié d’entendre mon récit, elle rit, puisque tu aimes tant l’humiliation peut-être que tu aimerais nettoyer ma chatte ?
- Je pourrais te faire l’amour si je le fais ? demandai-je.
- Non répondit-elle fermement, tu ne me baiseras plus, mais je vais te masturber. Maintenant à genoux et nettoies.
Je me suis agenouillé, elle sentait l’odeur de sexe lorsque je m’approchais de sa chatte. Je commençais avec dégoût à retirer le foutre en elle.
- C’est ça, avale ce délicieux foutre dit-elle, il a déchargé cinq fois, et j’ai adoré à chaque fois. . Quand j’eus terminé Jane me fit asseoir sur le lit, et prit ma queue en érection dans sa main.
- Tony, vraiment, tu as une queue minuscule me dit-elle. Celle de Bill est au moins trois fois plus grosse, et bien plus épaisse !
Ces mots me firent gicler immédiatement au grand amusement de ma femme.
Le lendemain dimanche le téléphone sonna à six heures, et j’ai répondu.
- Écoute moi bien petite queue , une voix très profonde, je suis le mec qui baise ta femme, je serais là dans une heure, dis-lui de se mettre à poil et de raser sa chatte, tu as compris ?
- Oui ai-je dit, encore troublé par ses mots.
- C’est oui monsieur, pédale, si tu sais ce qui est bon pour toi. ,
- Oui monsieur répondis-je, je suis désolé.
Je me sentais totalement soumis lorsqu’il a raccroché. Je raccrochais tout juste lorsque Jane me demanda qui avait appelé. Je lui répétai ce que Bill avait dit.
- Bill a ce qu’il veut dit-elle, tu ferais mieux de monter, et de raser ma chatte .
Une heure plus tard on attendait Bill au salon, Jane nue avec sa chatte rasée, et moi habillé.
Il sonna à la porte, et Jane m’envoya ouvrir,
Bill entra et alla directement au salon. Le temps que j’arrive il était déjà avec elle s’embrassant passionnément, Bill jouait avec les tétons de ma femme et avait un doigt dans sa chatte l’excitant totalement. Il n’avait pas à s’en faire, elle m’avait dit qu’elle mouillait un max pendant que nous l’attendions. Le baiser me sembla durer quelques minutes avant que Bill ne se tourne vers moi.
- T’as reçu le message lavette ? Commença-t-il. Cette nana m’appartient maintenant ,
- Oui monsieur répondis-je pendant que Jane se marrait.
Bill ordonna à tout le monde de monter à l’étage, une fois en haut il me demanda de me déshabiller, et de m’agenouiller à la porte de la chambre dans le couloir. Je devais attendre là, et venir lorsque l’on m’appellerait.
J’attendais à genoux pendant que j’entendais les cris de plaisir de ma femme. Il y eut au moins une demie-heure de cris de plaisir de ma femme avant qu’elle ait un orgasme, juste après que Bill ait giclé en elle, et l’ait rempli de sa semence.
Je pensais qu’on allait m’appeler, et je me tenais tranquille, mais il se passa encore une demie-heure.
- Viens-là me dit Bill.
Ils étaient nus sur le lit tous les deux mains derrière la tête. Les jambes de Jane étaient grandes ouvertes., et je pouvais voir la semence blanche couler de sa chatte. La grosse queue de Bill était pendante sur une jambe encore luisante du jus de ma femme.
Lorsque Bill vit ma queue il éclat de rire, comme ma femme.
- Lèche mon foutre qui coule de ta femme petite lavette m’ordonna Bill.
- Oui avale-là ajouta Jane comme je commençais à lécher sa chatte, ça va être la majeure partie de ton régime maintenant !
- Maintenant nettoie ma queue m’ordonna Bill.
J’ai léché sa queue, y compris ses couilles, goûtant le reste de son foutre, et le jus de la chatte de ma femme.
- Regarde ce que tu as fait.
Me dit Jane quand elle vit que Bill était à nouveau en érection,
- Tu aurais mieux fait de le sucer jusqu’à ce qu’il gicle dans ta bouche.
Comme il avait déjà joui une fois il semblait pouvoir jouir encore plus,
- Regarde ta pédale de mari dit Bill à Jane pendant que je commençais à le sucer.
- Oui dit-elle en riant, tu penses qu’il en ferait une bonne ?
Je vais voir, il va avoir l’occasion d’acquérir de l’expérience lui dit Bill, - j’ai des potes qui aime bien les bouches des pédales blanches...
Jane rit à nouveau à cette évocation.
- Tu sais qu’il ne peut plus te baiser ?
Dit Bill à ma femme après avoir rempli ma bouche de sa semence.
- Oui monsieur répondit-elle soumise, je lui ai dit que je le masturberais seulement. ,
- Non rugit Bill, tu ne toucheras pas sa queue du tout, en fait je ne veux pas qu’il joue avec tout le temps, tu lui mettras une cage dès demain.
Après le départ de Bill je pus parler à ma femme.
- Tu as changé lui dis-je, je ne pensais pas que ça allait tourner comme ça, te moquant de moi, et laissant ce type m’humilier. ,
- Oui mais après en avoir parlé avec lui j’ai changé d’avis en ce qui concerne les lavettes, tu es inutile au lit, cela ne touche que le sexe, notre mariage reste le même pour tout le reste.
- Mais la cage dis-je
- Ca te fera du bien la chasteté répliqua-t-elle, de toute manière Bill te laissera éjaculer régulièrement, on ira la chercher demain.
Le lendemain nous nous rendîmes dans un sex-shop. Il était tenu par une femme dans la quarantaine, et Jane demanda la plus petite taille de cage m’humiliant en disant qu’elleserait encore probablement trop grosse pour moi. Elle et la femme rirent de bon coeur à cette plaisanterie.
Je fus horrifié lorsque à leur retour j’entendis Jane demander à la femme si elle voulait bien me la poser. Nous allâmes dans une petite pièce, la femme me demanda de baisser mon pantalon, et le slip. Elle rit très fort lorsqu’elle vit ma petite queue.
- Je vois ce que vous vouliez dire ma chère dit-elle, et vous y arrivez avec ça ?
- Oh j’ai des arrangements sourit Jane,
- Je vois dit la femme en riant, tu es cocu pauvre petit bonhomme ?
Elles se mirent à rire toutes les deux pendant que la femme finissait de poser la cage et donnait la clé à Jane.
Le soir venu Bill vint vérifier que la cage était posée.
- Quand pourrais-je jouir Monsieur demandai-je piteusement.
- Disons un mois répondit-il.
- Tu peux dire trois mois l’interrompit Jane, j’aimerais le frustrer pour une période qui en vaille la peine.
Bill accepta.
- Je ne peux pas rester longtemps dit Bill, juste le temps d’un coup rapide. Mets-toi contre le mur salope, enlève ta culotte, écarte les jambes. Eh lavette, à genoux, fais-là mouiller !
Je m’agenouillai et léchai la chatte de Jane jusqu’à ce qu’elle mouille suffisamment, puis je me retournais et prit la queue de Bill, je devais rester agenouillé pour voir sa queue pénétrer dans la chatte de ma femme. Il l’enfonça d’un coup jusqu’aux couilles, elle cria de douleur et de plaisir,
- Tu aimes ça salope grogna-t-il pendant qu’il allait et venait en elle, t’es une vraie salope pour queues noires maintenant n’est-ce pas ?
- Oui monsieur gémit-elle,
- Et une salope infidèle continua-t-il. Dis à ton mari ce que tu es.
- Je suis une salope pour queues noires, une salope infidèle cria-t-elle, mais je m’en fous, j’aime ça !
- Tu vois ce que j’ai fait de ta femme petite lavette ? une salope, elle ne voudra plus que des queues bien noires maintenant.
- Non plus rien d’autre cria-t-elle, fais moi jouir Bill s’il vous plaît !
C’est ce qu’il fit, et en quelques secondes elle poussa un cri démentiel, Bill nous quitta seulement après que j’ai nettoyé sa queue.
- Nettoie-moi aussi me dit Jane lorsqu’elle redescendit sur terre.
Les deux mois suivants Jane se montra cruelle, elle accentua ma frustration en étant nue dans la maison, invitant ses sœurs, qui paradaient dans leurs sous-vêtements et le pire de tout, en dormant nues tous les deux ensemble lorsqu’elle n’était pas avec Bill. Mais le pire restait à venir.
Après bientôt trois mois, elle rentra avec un grand sourire.
- Tu ne devineras jamais ce qui est arrivé dit-elle, j'ai oublié de prendre ma pilule, et je suis enceinte !
- Quoi ? dis-je paniqué.
- Je sais sourit-elle, cela veut dire que je vais avoir un bébé tout noir, nos familles, nos amis, vont savoir que tu es cocu. Oh et une autre chose, quand tes trois mois seront finis j’ai demandé à Bill de s’assurer que tu continues à porter la cage pendant six mois encore. Tony chéri, rassures-moi tu ne vas pas pleurer dis?...


Transformation
Très tôt je savais que je n'étais pas comme les autres. En particulier j'ai des appétits sexuels démesurés. Je rêvais de femelles soumises, toujours prêtes à satisfaire leurs mâles, toujours prêtes à offrir leur anus dans les positions les plus érotiques, et si possible ligotées.
Oh j'ai cherché: mais toutes les filles que j'ai pu levées se sont enfuies en courant quand j'ai simplement essayé de leur glisser un doigt dans l'anus ou quand j'ai parler de les attacher pour faire l'amour. Je suis pourtant doté d'un petit sexe: 12 cm en érection et à peine 2,.5cm de diamètre. Et puis mes exigences de baiser plusieurs fois par jour leurs pesaient.
J'étais étudiant - mollement en sciences sociales - à l'époque. Mes parents - des gens aisés - se désintéressaient totalement de moi tout en me dotant largement de quoi vivre. Je les avait déçus par ce qu'ils pensaient être de la paresse alors que je ne pensais en fait qu'au sexe.
Aussi ne trouvant personne pour satisfaire mes pulsions sexuelles je me suis tournée vers moi. J'ai un physique un peu féminin, avec des fesses bien rondes et larges, une taille étroite, des bras minces et un visage d'ange. Et je me suis résolue à incarner la parfaite salope esclave sexuelle dont je rêvais.
J'ai d'abord largement travaillé mon anus: je voulais savoir ce que on sentait quand on se faisait sodomiser. Et ohhh que j'ai aimé ça. Malgré la douleur, que j'ai trouvé excitante aussi. Se casser le cul, je sais ce que ça veut dire. Mais assez vite, en travaillant progressivement avec un gode gonflable et des godes de plus en plus gros, j'ai été capable d'engloutir une canette de bière.
Je me suis acheté une tenue complète: perruque, corset très serré à la taille et remontant les seins, porte jarretelle et bas noirs, mini-jupe et chemisier, plusieurs godes et devant ma glace j'incarnais la parfaite salope dont je rêvais en me défonçant profondément le cul. A quatre pattes je m'attachais les chevilles aux montants du lit aussi, pour bien offrir mon anus. Et je fantasmais à mort en me masturbant que des hommes allaient venir me prendre ainsi.
J'étais active sur le net aussi, fréquentant plusieurs forums sexe en me faisant passer pour une femme. Hélas sur msn beaucoup me demandaient la voix ou la webcam et comme je refusais ils laissaient tombés. Jusqu'au jour où...
Je reçu un mail:
"je sais que tu es un homme. Cela peut s'arranger. Contactes moi au 06...."
Aussitôt dit aussitôt fait. Nous discutâmes longuement au téléphone: nous étions d'accord sur tout. Sa voix rauque et autoritaire me subjugua. Il me donna des instructions pour le lendemain.
Aussi le lendemain, un samedi, je m’habillais en femme - lingerie, jupe courte, chemisier, bottine à talon haut - et pour la 1ère fois je sortis comme ça. Je sautais dans ma voiture et je fis 200km pour rejoindre celui qui allait devenir mon Maître.
Un joli pavillon de banlieue. Je sonne à la porte, le cœur battant. Il est grand, la trentaine, le visage buriné. Je fondis littéralement et en tombais éperdument amoureuse.
Dès la porte fermée, il glissa sa main sous ma jupe et me palpa les fesses. Puis je sentis un doigt se glisser dans mon anus que j'avais abondamment lubrifié avant de partir, bientôt rejoint par un autre.
"mmmmhhhhh, ", dit-il, "bien ouverte et prête pour l'enculage. J'aime ça"
Son autre main passa devant et me massa la bosse de mon string. J'étais déjà en pleine érection.
"Et bien excitée je vois. C'est pour ça que je préfère les salopes dans ton genre elles sont beaucoup plus cochonnes. Déshabilles toi".
J'obtempérais, me retrouva bientôt en bottines,bas, porte-jarretelle et corset. Il me glissa alors 3 doigts dans l'anus et me guida ainsi dans une autre pièce.
Un grand lit, une armoire avec 3 portes avec des glaces. Il ouvrit l'armoire et en sortit un petit coffret. Il regarda ma petite pine dressée et sortit du coffret un anneau en caoutchouc.
- J'ai horreur des couilles qui pendouillent." dit-il "Nous allons remédier à ça".
Il enfila l'anneau sur mon sexe jusqu’à la base: il s'y ajustait parfaitement. Ensuite, en tirant sur la peau de mes testicules, il fit remonter le scrotum à travers l'anneau: je me retrouvais avec un fanon de peau pendant vide à la base du sexe et mes testicules ainsi refoulées sous la peau du périnée.
Cet anneau qui enserrait la base de mon sexe, l'idée d'être sans couilles m'excitait au plus haut point. Des frissons de plaisir traversaient mon corps. En particulier je pouvais frotter langoureusement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre sans être gênée par mes testicules.
Mon Maître m'observais".
- Oui profites en " me dit il "ça va pas durer."
Il prit dans l'armoire deux sangles de cuir et m'attacha les bras croisés derrière le dos. Une barre fixée à mes chevilles vient compléter l'attirail et m'obligea a garder les jambes écartées d'un mètre.
Il sortit de l'armoire un gros gode de 30cm de long et d'au moins 5 cm de diamètre, doté d'une ventouse à la base.
- D'après ce que tu m'as dit tu es capable d'avaler ça. Voyons ça.".
Il me tendit la ventouse pour que je la lèche et colla le gode au sol.
- Plante toi la dessus".
Je me dandinais juste au dessus du gode et descendit dessus, appliquant le bout arrondi sur ma rondelle et je poussais pour bien ouvrir mon anus. Mon Maître m'aida en écartant mes fesses à 2 mains.
J'adore ça, quand l'anus se distend et s'écarquille autour d'un gros diamètre. Il faut y aller progressivement pour bien profiter de la sensation. Et d'un coup, l'anus s'ouvre et le gode s'enfonce dedans de dix bons centimètre. Je faillis jouir. Je gémis, à la fois de douleur et de plaisir. Je contractai mes muscles pour retenir mon éjaculation. Une goutte de sperme perla au bout de mon gland.
- Hum tu as failli jouir cochonne. C'est bien tu t'es retenue. Tu ne jouiras que quand je t'y autoriserais.
- Bien Maître" je répondis.
- Aller engouffre tout salope" et il pesa sur mes épaules.
J'appréciais le lent coulissement de l'énorme colonne autour de mon anus distendu et l'envahissement progressif de mes boyaux; je failli de nouveau jouir. Je fini avec les fesses à quelques centimètre du sol, ne pouvant pas aller plus bas à cause de mes talons, avec 25 bons centimètres de gode plantés dans mes entrailles.
- Vas-y défonce toi bien" me commanda-t-il.
Je remontais alors sur le gode et m'y laissais redescendre dessus. Le gode était muni de nodosités imitant des veines sur tout son long qui me procuraient de délicieuses sensations à chaque passage. Je me ramonais ainsi l'anus plusieurs fois en gémissant et en m'admirant de temps en temps dans la glace. Je me trouvais vraiment bandante.
Maître aussi d'ailleurs: il ouvrit alors sa braguette et en sortit un sexe de bonne taille bien raide.
- Suce moi bien ça salope" dit-il
Il me présenta sa pine en décalottant son gland. Pour la première fois je pris une bite dans la bouche. Je commença par sucer le gland avec soin, en arrondissant bien mes lèvres autour et en le titillant avec ma langue.
Puis je léchais toute la longueur de la bite, en m'attardant sur les couilles. L'odeur et le goût de sa pine m'excitait au plus au point et me rendais folle. Alors que je reprenais le gland entre mes lèvres, il me pris la tête entre ses mains et enfonça sa bite à moitié dans ma bouche; ça aussi je m'étais entraîné avec des godes.
C'est pas facile il faut déglutir pour que l'objet franchisse la luette et pénètre dans la gorge. Au début cela donne envie de vomir mais avec de l'entraînement on apprend à dominer les réflexes de son corps. Aussi je déglutis et son sexe s'enfonça jusqu'à la garde. Il ressorti aussitôt, ne laissant que le gland entre mes lèvres et me permettant de respirer, et se renfonça de nouveau à fond. Il me baisa ainsi par la bouche et la gorge plusieurs fois.
- Bien tu ne m'as pas menti tu es une bonne pipeuse" dit-il.
J'étais aux anges.
- J'ai presque envie de te juter dans la bouche mais je préfère me garder pour ton cul. Vas sur le lit maintenant".
Il se déshabilla.
Je me relevais et faillit jouir de nouveau au déculage du gode. C'est très jouissif quand l'anus béant peut de nouveau se contracter. Je me mis a genoux sur le lit, le torse appuyé sur le matelas, les bras toujours liés dans le dos, et la croupe bien relevée et offerte.
Je sentis son gland en contact avec mon anus. Je poussais pour bien m'ouvrir et il m'encula d'un coup jusqu'à la garde. Je poussais un gémissement de plaisir. Sa bite était beaucoup moins grosse que le gode mais rien ne vaut une vrai bite chaude et vibrante.
Il m'encula alors à grands coups rapides et puissants. Je m'appliquais à resserrer mon anus quand il reculait, pour lui offrir alors un canal étroit qui enserrait son sexe, et à le relâcher pour qu'il puisse s'enfoncer à fond d'un coup. De temps en temps, il déculait complètement pour la renfoncer brutalement en suivant, ou il me donnait une violente claque sur les fesses.
- hmmmmmmmm tu es bonne. Mais pour moi tu n'es qu'un trou du cul pour vider mes couilles, un sac à sperme. Ne l'oublie jamais! Je vais te remplir le cul salope".
Et il resta planté à fond. Je sentis alors sa bite agitée de contractions. Il me jouissait dans le cul, me remplissant de son jus, et je faillis partir à mon tour.
Il décula et se releva, et je le vis farfouiller dans l'armoire. Il revins avec un collier muni de plusieurs anneaux qu'il me cadenassa autour du cou.
- Voilà je te prend comme esclave. Tu vivras ici désormais. J'espère que tu mesures l'honneur que je te fais".
Il attacha une laisse au collier et me libéra les bras. Il me releva en tirant sur la laisse et me força à m'accroupir devant lui.
- Nettoie moi bien la pine" commanda-t-il.
Je m’acquittais, lui léchant soigneusement le gland et la bite, aspirant goulûment les dernières gouttes de sperme.
- Ouvre grand la bouche et ne bouge pas" me dit-il.
Je savais ce qui m'attendais, cela avait été convenu par téléphone. Je basculais la tête en arrière et ouvris à fond la bouche à 10 cm de la pine à moitié débandée qu'il tenait entre son pouce et son index. La pisse jaillit et je l'avalais goulûment et longuement.
- Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi. Rejettes maintenant mon jus et lèche le.".
Je poussais très fort dans mon ventre, rejetant par terre le sperme et me mis à 4 pattes pour le lécher avec délectation. Maître me glissa alors 3 doigts dans l'anus qu'il écarta en éventail et de l'autre main me pris la pine. "Jouis maintenant" dit-il et il me masturba. Quelques aller-retours suffirent et je me répandis en longs jets par terre.
Bien sur je dus avec ma langue nettoyer mon propre sperme et lécher la main de mon Maître en disant: "Merci Maître".
- Bien salope" dit-il.
Il me délia les mains et les pieds et attrapa un gros plug dans l'armoire: il faisait pour la partie la plus large au moins 5 cm de diamètre. Il le lubrifia et me dit "Tends tes fesses". Il me l'enfonça à fond dans l'anus.

- Voilà, tu le garderas tout le temps en toi, nuit et jour. Si tu le perd, je t'en donnerais un plus gros. Tu l'enlèves uniquement pour nettoyer ton trou à pine et te faire prendre. Tu sais que ton trou doit toujours être propre. Si j'y trouve de la merde, tu devras me nettoyer la pine pareil et tu seras punie en plus."
Ensuite il sortit de l'armoire sur un cintre un uniforme de soubrette et dit:
- Habilles toi maintenant. Tu sais que tu dois faire toutes les taches ménagères."
Voici ma première rencontre avec mon Maître. Je vous raconterais la suite plus tard.

Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644