Laissons la jeunesse s'exprimer....
Séverine
Je venais d'avoir mon BAC et j'avais 3 mois d'été, de vacances avant de recommencer les cours, mais à la fac cette fois-ci ! J'avais donc décidé de travailler durant juillet août et de partir toute seule en septembre. J'étais très excitée à l'idée de partir en Vendée durant 3 semaines, toute seule, et de faire vraiment ce dont j'avais envie.
Mes parents sont plutôt collants et ils n'apprécient pas l'idée de voir leur petite fille fraîchement majeure partir à la grande aventure. Mes pauvres parents, s'ils savaient ce dont leur chère petite Séverine est capable! J'avais donc prospecté plusieurs sociétés et m'étais inscrite dans des agences d'intérim. J'ai eu pas mal de lettres de refus, ils ne voulaient pas d'une débutante, pas assez d'expérience, trop jeune, etc.
J'avoue que je me demandais comment j'allai pouvoir me payer mon petit voyage. Quand un jour de juin, l'agence d'intérim m'appela pour me proposer une mission d'un mois. J'étais très contente. Mon travail ne constituait qu'à prendre des rendez-vous au téléphone pour un médecin, mais c'était sympa, et puis ça me faisait de l'expérience. Cette première mission s'étant bien passée, l'agence me proposa directement une autre mission de 2 semaines renouvelables en tant que standardiste dans une société d'édition. J'étais tellement contente!!!
Jamais je n'aurai pensé être aussi heureuse de travailler.
Mais c'était pour la bonne cause. Je m'imaginais déjà en train de bronzer sur la plage, en train d'écouter une super musique dance dans mon walkman, et regardant les beaux mecs passer. Mais pour que le rêve se réalise, il eut fallu que je gagne des sous. Mon premier jour fut plutôt sympa. Je fus présentée à tout le groupe des commerciaux, au responsable de production et au directeur. En fait, je remplaçais la standardiste habituelle qui était partie en voyage de noces. Mon travail n'était pas très difficile, puisque je n'avais que 4 lignes et que pendant les mois d'été, il n'y avait pas grand monde. Je m'installais chaque matin au bureau de l'entrée et je prenais quelques appels. J'avais parfois quelques devis très simples à taper, et je passais parfois du temps à jouer au démineur.
Je m'ennuyais pas mal en fait. Le midi, je prenais place dans la salle de repos et je dégustais les salades composées que je faisais le matin. J'étais tranquille et puis, les commerciaux (6 au total) étaient souvent en clientèle. Le seul qui était tous les jours au bureau, c'était le directeur de production, et les ouvriers bien sûr.
Les cheveux poivre et sel, il avait par contre des yeux d'un bleu intense. Quand il me regardait, j'avais la sensation d'être transpercée. Il semblait être doux, et il était très gentil avec moi. Les commerciaux se ressemblaient plus ou moins. Ils avaient le même style, devaient avoir entre 25 et 35 ans.
Les ouvriers, je ne les voyais pas beaucoup, et puis ils étaient nombreux, alors connaître leurs noms, c'était inutile. Je venais en scooter au travail, alors assise en jupe sur un scooter, ça le faisait moyen. Je me changeais donc dans les vestiaires tous les matins et tous les soirs. Les vestiaires, c'était en fait une petite pièce avec un lavabo, un miroir, des casiers et une petite lucarne qui donnait sur la cour.
Un soir, en me changeant, j'ai surpris 2 ouvriers qui s'étaient penchés à la lucarne. Ils devaient être bien contents de voir une petite jeune en string et soutien-gorge. En dépit de mon caractère, je n'ai pas protesté. Je trouvais cela presque normal alors que j'étais terriblement gênée. Quelques jours plus tard, en cherchant dans les casiers de la standardiste quelques dossiers, je suis tombée sur un tube de lubrifiant intime. Je n'en avais jamais vu. J'ai ouvert le tube et ça sentait la pomme. C'était agréable.mais je me demandais bien pourquoi un tube de lubrifiant se trouvait sur un lieu de travail. Je n'allais pas tarder à le savoir.
Au bout de 2 semaines, l'attitude des commerciaux a changé. De platitude à presque dédaigneuse, elle est devenue mielleuse et intéressée. Ils me disaient quelques mots à chaque fois qu'ils me voyaient, ils me souriaient, me faisaient des compliments sur mes cheveux ou sur mes jupes moulantes. J'étais flattée, mais suspicieuse. Un jour, l'un des commerciaux m'appela et me demanda de venir le voir dans son bureau, qui était commun avec celui des autres commerciaux.
- Ma chère Séverine, je suis sûr que vous allez pouvoir nous aider.
- Qu'est-ce que je peux faire pour vous? Ai-je demandé naïvement.
- Nous aimerions avoir votre avis sur une question plutôt personnelle, mais qui nous chagrine.
- Je vous écoute.
- Voilà, petite Séverine, nous avions une discussion, tous les 6. Nous nous demandons lequel d'entre nous a la plus grosse bite.
Mes yeux se sont alors révulsés et j'ai eu un geste de recul. J'étais complètement abasourdie par ce qu'ils disaient, et j'en restais scotchée devant le bureau.
- Nous aimerions que vous nous départagiez. M'a-t-il dit en déboutonnant son pantalon.
Les autres firent de même et soudain, je me retrouvais debout dans une pièce avec 6 bites à quelques mètres, bandantes. Tous les regards étaient posés sur moi, et j'avais très peur.
- Alors, Séverine, laquelle est la plus grosse?
- Je ne sais pas, elles sont toutes très grosses. Ai-je répondu d'une voix tremblante et en dirigeant mon regard vers les queues nues.
- La petite Séverine a du mal à se concentrer on dirait. Ricana l'un d'eux.
- Approchez-vous, vous verrez mieux. Me dit un autre.
J'approchai donc un peu plus pour mieux regarder les gros gourdins. Ils étaient bien aussi gros les uns que les autres.
- Je ne sais lequel choisir, ils sont vraiment très gros. Je commençais à avoir des frissons qui me parcouraient le ventre et les seins.
- Prenez ma place me dit le plus âgé. Je me suis donc assise dans le fauteuil de cuir et tous se sont rapprochés un peu plus.
- Il va falloir choisir, maintenant ma petite Séverine. Instinctivement, je leur ai répondu :
- Il faut que je les touche pour mieux m'en rendre compte.
Ils ont souri et moi, je ne savais plus où me mettre. Le plus entreprenant me fit signe de tâter sa bite, ce que je fis. Je branlais doucement une queue quand une autre s'est présentée pour ma main gauche. Automatiquement, je l'ai saisie et je les ai caressées, je les branlais. Les autres hommes délaissés ont commencé à s'astiquer le barreau.
- Mon Dieu, qu'est-ce que je fais ? Me demandai-je intérieurement, sans pouvoir m'empêcher d'aimer ce que je faisais.
Visiblement, ils étaient tout contents de cette situation mais les 4 autres étaient un peu jaloux. Les deux premiers se sont retirés pour laisser place aux suivants. Je les branlais un peu. Tout à coup, je sentais comme un vide dans ma bouche, comme si ma langue avait besoin d'être en contact avec quelque chose. Je me suis alors rendu compte que j'avais très envie de les sucer. Je résistais pour ne pas le faire, parce que je me disais que ça allait finir en partouze, et que je ne voulais pas ça. Je me suis levée et j'ai regagné le bureau de l'accueil.
Je tremblais et je me disais que je ne devais pas valoir grand chose pour aimer branler 6 bites à la suite, et en plus de vouloir les sucer. Le reste de la journée fut difficile mais les commerciaux agissaient comme d'habitude. J'ai alors pensé que c'était oublié et que je n'en entendrai plus parler. Quelle erreur! Moins de 3 jours plus tard, l'un d'eux me demandait de venir le seconder pendant qu'un client visiterait l'imprimerie. J'ai accepté, puisque je me suis dit que je ne serais pas seule avec lui. Mais la situation fut tout autre. J'étais assise au bureau du commercial en train de prendre quelques notes pendant qu'il discutait avec le client.
- J'aimerais acheter vos produits, mais vos concurrents me proposent des prix plus attractifs.
- Mais notre qualité d'édition est bien meilleure.
- Oui, mais il faudrait quelque chose en plus pour que j'accepte, quelque chose qui me ferait automatiquement penser que vous voulez vraiment travailler avec nous.
Le commercial réfléchit quelques secondes et répondu :
- Séverine. Le client le regarda, interloqué.
- Le petit cul de Séverine.je pense que ce petit plus fera pencher la balance.
- Si vous me prenez par les sentiments, je ne peux refuser.
Je me suis tournée vers eux, outrée et scandalisée qu'ils puissent parler de moi à la 3ème personne, devant moi, qu'ils puissent me marchander comme un bout de viande et qu'ils ne m'aient même pas demandée mon avis.
- Aller, Séverine, montrez-nous votre petit cul.
Automatiquement, comme hypnotisée par ce qu'il venait de dire, je me suis levée, j'ai soulevé ma jupe et baissé ma culotte.
- Retourne-toi, ma chérie. Me dit le client.
Je me suis retournée et ils eurent une vue imprenable sur mes fesses rebondies. Le client se leva, s'approcha de moi et dit :
- Je suis sûr que tu ne me feras pas regretter mon choix, ma petite.
Il défit alors sa ceinture et son pantalon. Pendant ce temps, le commercial s'alluma une cigarette. Le client sortit sa bite déjà raide et colla son prépuce contre ma fente. Aucun préliminaire, aucune caresse, je n'avais pas eu le temps d'y penser ou de me faire à l'idée. Il guida son engin tout en se branlant. J'avais mon regard pile-poil dans celui du commercial, qui semblait satisfait de m'avoir offerte à un client. Le client écarta mes fesses. J'avais déjà pratiqué la sodomie, mais très peu de fois, et il y avait un moment. Il faisait quelques caresses à mon trou avec son pouce, histoire de me dilater un peu.
Quand il put passer un doigt, puis 2, puis 3, il dirigea sa queue directement dans mon trou ouvert. Je me sentais écartelée. Sa bite m'avait fait mal, mais j'étais terriblement excitée. Mes yeux étaient fixes vers ceux du commercial, qui fumait pénard sa clope pendant que je me faisais bourrer le cul. Il ouvrit la bouche et murmura :
- Tu fais bien ton travail, ma chérie.
Le client s'excitait et mon cul était de plus en plus dilaté, encore plus ouvert.
- Elle aime ça, la garce!
- Je vous avais dit qu'un petit plus ferait la différence.
- Elle a le cul bien profond.
Mon corsage n'était même pas défait, mais je sentais mes seins ballotter dans tous les sens. C'est quand j'ai senti son ramonage devenir plus énergique que je me suis dit qu'il allait bientôt me remplir.
J'étais pressée que l'humiliation cesse, mais j'avais encore envie de me faire prendre comme ça. Sa queue s'est raidie, et il a poussé quelques soupirs plus forts. Il se déchargeait les couilles. Il retira sa queue déjà ramollie, et je me rhabillai pour courir aux toilettes. Mon cul brûlait un peu, mais mon clito avait gonflé.je savais que ça m'avait excitée.
Sur le trône, je poussais un peu pour expulser le jus, et ça me picotait à l'intérieur. Je me félicitais tout de même d'avoir un cul si délicieux et qui avait fait jouir un PDG. Et c'est là que j'ai compris à quoi servait le tube de lubrifiant.je compris également comment cette société obtenait de gros contrats.
Quand je suis sortie des toilettes, il n'y avait plus personne. Les jours qui suivirent, je craignais d'être rappelée dans le bureau. Et ma crainte fut confirmée quand je vis le numéro de poste d'un des commerciaux s'afficher sur mon téléphone.
- Oui?
- Séverine, venez dans le bureau s'il vous plait.
J'entrai dans le bureau et les commerciaux étaient tous présents. Quand je les vis, mes jambes tremblaient mais je savais déjà que j'allais passer à la casserole.
- Nous voulions vous remercier car grâce à vous, nous avons pu signer notre contrat. Je rougis alors, repensant à la façon dont j'avais su convaincre le client.
- Pour vous remercier, nous avons décidé de vous offrir un petit quelque chose.
En entendant cela, connaissant de mieux en mieux leur esprit vicieux, je pensais à un godemiché ou à de la lingerie. Quelle ne fut pas ma surprise quand je les ai vus tous déboutonner leur pantalon !
- Vous allez pouvoir sucer les plus grosses bites de la ville.
Etait-ce vraiment comme ça qu'ils allaient me remercier de leur avoir donné un client de plus ? Allaient-ils réellement me faire sucer leur bite en pensant que c'est moi qui allais être remerciée ? J'étais terriblement en colère, parce que oui, j'allais les sucer, mais ce que je voulais au fin fond de moi, c'était jouir. Ils étaient assis sur le bureau et chacun leur tour, je les ai pompés.
Leurs bites avaient des goûts différents, des tailles et des formes différentes mais elles étaient toutes bonnes. Je les suçais délicatement, en prenant mon temps, doucement. Je pompais en faisant glisser ma langue tout le long de leur dard. J'attrapais leurs couilles et je faisais quelques mouvements de va-et-vient.
Le 1er mit du temps à jouir, mais pas les autres, excités de s'être branlé en me regardant. J'avais du jus de couilles plein la bouche, plein la gorge, sur le visage et qui coulait dans mon cou. Mon corsage était trempé au niveau de mes seins. Pendant une heure, j'ai pompé 6 bites.et oui, j'étais heureuse, j'avais vraiment l'impression d'être sur un nuage, et j'avais beau avoir le visage couvert de sperme, je suçais encore toutes les bites qui venaient à moi.
C'était bon de sentir un homme se décharger, et trembler dans ma bouche. Avant de finir le dernier, qui était très chaud, l'un d'eux avait glissé un doigt dans ma culotte, il avait branlé soigneusement mon clitoris gonflé. J'ai joui tout en dégustant ma dernière queue.
Ces petites salopes souriantes avec plein de sperme sur le visage.j'en faisais partie et j'en étais très contente. En allant aux toilettes, j'ai entraperçu la standardiste qui revenait de son voyage de noce. Elle disait bonjour aux gars de l'usine et je l'enviais en pensant à toutes ces bonnes pines qu'elle allait pouvoir éponger.
J'étais alors déjà en manque de bites!
Laissons la jeunesse s'exprimer....
Sur certaines expériences douloureuses
Tu sais que tu vas être cocu lorsque…..
J’avais 19 ans, et comme n’importe quel autre mâle de 19 ans je voulais sauter n’importe quoi
qui portait une jupe. Mais ce jeune homme de 19 ans voulait sauter particulièrement une porteuse de jupe : c’était Déborah, j’avais eu le coup de foudre et une érection…..
En regardant en arrière, j’étais fou d’elle. Je passais beaucoup de temps à la regarder, en essayant de voir ses sous-vêtements, à admirer ce cul somptueux, faisant de mon mieux pour lui cacher mon érection lorsqu’elle était en bikini. Pour ma défense Deborah était habituée à ce genre d’attitude de la part des garçons, et je pense que j’étais plus discret à ce sujet que la plupart d’entre eux. En fait je me souviens d’elle me racontant que lorsqu’elle avait 13 ans, son frère aîné et un copain à lui de 18 ou 19 ans avaient pris pour habitude de l’insulter.
Lorsque j’ai vu des photos d’elle à cet âge j’ai compris pourquoi – elle était vraiment bandante.
Le temps passant Déborah n’a jamais été intéresse par moi autrement que comme un ami. Je lui déclarai secrètement ma flamme ce qui se traduisait également par d’intenses séances de masturbation, elle en retour m’utilisait selon son bon vouloir tout en téléphonant à un autre
garçon devant moi pour prendre rendez-vous avec lui.
Je me souviens du jour où elle m’a dit qu’elle n’était plus vierge. Elle avait eu rendez-vous avec ce Johnny Quelquechose (Lester ? quelque chose comme ça…), et il avait réussi à être le premier à mettre la main dans sa culotte. Elle avait 17 ans, pulpeuse, et elle lui avait donné sa chatte à l’arrière du camping car de son père.
Lorsque Déborah a décidé que sa chatte était maintenant ouverte, elle n’a pas perdu de temps, et a pris de nombreux rendez-vous avec des garçons, et rapidement développé la réputation d’être exactement le genre de fille que les hommes espèrent qu’elle est, construite pour baiser et heureuse de le faire.
Et chaque fois qu’un garçon s’ajoutait à sa liste, mon fantasme de devenir l’un d’entre eux grandit jusqu’à l’obsession. J’ai gaspillé des litres de sperme en me branlant en pensant à ce que ça serait de baiser la douce chatte de Déborah. Les choses auraient probablement pu continuer ainsi si au début de ma deuxième année de collège il ne s’était produit quelque chose.
Mais je dois d’abord vous parler de mon meilleur ami, Aaron.
Aaron est également un très beau garçon. Par conséquent il a du succès auprès des filles. Aaron a été dépucelé à 15 ans avec une fille deux ans plus vieille que lui. A 19 ans sa queue avait connu autant de chattes que moi à 36 ans.
Je craquais donc sur l’une des filles les plus chaudes que j’ai jamais connu, meilleur ami d’un mec auquel les filles ne pouvaient pas résister, certain que la seule chose que je ne supporterai pas serait que mon meilleur ami s’envoie la fille de mes rêves humides. J’ai donc évité soigneusement qu’ils se rencontrent.
Aaron m’avait pourtant promis de ne rien faire vis-à-vis de Déborah connaissant les sentiments que j’éprouvai. Mais ce qui devait arriver se produisit lors de notre deuxième année de collège, ils baisèrent ensemble. C’était inévitable, je le savais.
Mes deux amis les plus proches, étaient également les plus chauds. J’en aimais un, et j’étais jaloux de l’autre. Forcément ils devaient finir au lit tous les deux. Cela se produisit à la Noël 1987.
Ils sortaient avec d’autres personnes à l’époque, et cela ne les arrêta pas. Ils baisèrent donc le 22 Janvier 1988, je le sais parce que je les ai vus.
Déborah avait l’habitude de se servir de moi comme d’un pseudo petit ami lorsqu’elle sortait
avec un mec. Au début de janvier 88 elle était seule. J’avais ce sentiment particulier à l’estomac mélange de possessivité et de jalousie. Nous ne parlions pas de Aaron. Ils se connaissaient. Nous avons été tous les trois dans la même école, nous allions dans le même collège, ils se connaissaient également sur ce que je leur racontais d’eux.
Cela m’a semblé bizarre que soudain Déborah semble totalement désinteressée à son sujet. Trop désintéressée si vous voyez ce que je veux dire. Comme si elle était délibérément évasive à son sujet. J’ai su qu’il se passait quelque chose entre eux un ou deux jours avant que cela se produise.
Le 22 janvier on était supposé Déborah et moi aller au cinéma. Nous en avions parlé la nuit précédente, et elle avait dit qu’elle m’appellerait pour décider du film, et que je puisse venir la chercher. Elle vivait loin de la ville, et elle vivait seule, sa famille étant en déplacement pendant 6 mois.
A 6 heures je n’avais pas nouvelles. A 7 toujours pas d’appels. J’attendais désespérément cet appel, ma colère montait à chaque minute qui passait. J’ai songé qu’elle avait encontré un nouveau mec, et avait changé ses plans sans penser à me prévenir. Et d’un coup j’ai su qui était le nouveau mec ! Aaron !
Ce devait être lui, alors j’ai fait ce qu’aurait tout mec normal de 19 ans. J’ai appelé chez Aaron, pas de réponse. Puis j’ai pris la voiture pour aller voir Déborah. Cela me semble drôle maintenant, mais à l’époque j’ai eu un choc, une secousse cérébrale lorsque j’ai vu la voiture de Aaron gérée devant la maison de Déborah. Je veux dire qu’une partie de moi savait ce qui se passait, une autre partie espérait désespérément que je me trompais.
C’était, cette voiture, la preuve tangible de la justesse de mon accusation, j’avais en tête des choses diaboliques en restant assis dans ma voiture à attendre, en me demandant quoi faire. Allais-je rentrer à la maison et ne plus jamais leur adresser la parole ? Allais-je frapper à la porte et demander une explication ?
Allais-je panser mes plaies tout seul chez moi et faire comme si rien ne s’était passé ?
Je ne sais pas combien de temps je suis resté là, assis, regardant la voiture de Aaron, sans savoir ce que je devais faire. Peut-être des heures, c’est ce qu’il me semble, mais ça a dû être quelques minutes en réalité. Jusqu’à ce que je me dise que la chose la plus stupide à faire était de rester là à attendre, et qu’ils me trouvent ici.
J’ai déplacé la voiture un peu plus loin, jusqu’à un endroit ou je pouvais voir sa voiture sans être visible de la maison de Déborah. Puis sans réfléchir, je me suis dirigé vers sa maison. Etait-ce voulu, j’en doute, mais je portais des vêtements sombres (dans ces années-là tout le monde était en noir…) ce qui m’avantageait. Pas de réverbères, pas de voisins, rien de plus qu’un clair de lune !
J’ai bien pris soin de ne faire aucun bruit en m’approchant sur l’allée gravillonnée jusqu’aux fenêtres illuminées de la maison.
Je me souviens nettement de ce qui est arrivé ensuite, même si ma mémoire l’a un peu effacé, et que mon journal personnel a noté les évènements au hasard plusieurs jours de suite. J’ai peut-être effacé les aspects physiques avec les années, mais ma mémoire reflète encore ce qui s’est réellement passé.
Ils étaient sur un canapé dans le salon. Je n’ai pas saisi tout de suite la chance que j’ai eu, mais en y pensant aujourd’hui je me dis que s’ils avaient été dans une autre pièce je n’aurais probablement pas eu cette expérience, et je n’aurais pas commencé à apprendre ce que je sais aujourd’hui sur moi-même, et je dois à ce jour beaucoup, beaucoup de choses.
De ma position j’avais raisonnablement la certitude que je pouvais voir sans être vu. Je n’y avais jamais pensé avant ça. Je m’étais assis dans le même salon à regarder la télé avec Déborah des centaines de fois, et je savais par expérience que la vitre renvoyait trop de reflets à l’intérieur pour permettre de voir dehors.
Aaron et Déborah était sur le canapé, de ma position je ne voyais qu’Aaron, son corps cachait Déborah, mais je la devinais à demi-assise ses bras autour du cou d’Aaron alors qu’il se penchait vers elle pour l’embrasser. Je voyais aussi la main d’Aaron sous la jupe de Déborah qui avait les jambes écartées, et des mouvements me laissant penser qu’il était en train de faire quelque chose entre ses jambes qui plaisait beaucoup à Déborah.
Combien de temps cela a duré ? Aucune idée, ma notion du temps était abolie, mais ils cessèrent leur baiser, et Déborah dit quelque chose que je ne pouvais entendre qui fit rire Aaron. Il acquiesça, et répondit, Aaron s’étendit sur le canapé en se débarrassant de son jeans. Déborah qui s’était rajustée et qui avait vérifiée qu’elle était présentable, et Dieu sait qu’elle me paraissait désirable à cet instant, monta à genoux sur le canapé face à Aaron.
La rumeur disait qu’Aaron était très bien monté, et même qu’il n’en finissait jamais au lit, selon les filles du lycée qui avaient voulu lui offrir leur chatte, mais qui en définitive n’avait pu accueillir cette énorme queue.
Etait-ce vrai, je n’en savais rien, mais lorsque Déborah fut entre les cuisses de Aaron et libéra sa dure longueur, j’ai su que c’était vrai, oui il était très bien doté dans ce domaine, un fait qui impressionna Déborah considérablement, et qui me laissa penser que cette nuit-là fut la première ou ils aient baisé.
Déborah appréciait visiblement de sucer sa queue. Ou bien elle appréciait de sucer la queue de Aaron, je ne sais pas. De toute manière elle montrait qu’elle prenait plaisir à donner du plaisir à Aaron en prenant sa longueur avec ses lèvres, et sa bouche, en retour l’expression d’Aaron ne laissait guère de doute sur l’appréciation qu’il avait des efforts de Déborah.
Je m’interromps un moment pour vous parler de ce que le héros (moi en l’occurrence) ressentait dehors dans le noir.
En m’approchant de la maison j’étais renversé, et je me demande encore pourquoi je ne criais pas de la trahison, et de la blessure que j’éprouvais. J’avais bien pleuré sur la route, alors je ne peux que penser que j’étais en état de choc pendant que j’étais dehors à regarder. Une partie de moi était visiblement dans un état comateux.
En relisant mon journal concernant cette expérience, c’était comme si j’étais enrhumé, j’avais
froid, je voulais me coucher, je me sentais faible, avec une forte température. Et puis j’avais une érection incroyablement douloureuse aussi. Ce qui me fait dire qu’il ne s’agissait pas d’un symptôme de rhume, pas du tout…
Je me souviens d’une chose maintenant, que je veux partager avec vous, qui met un peu en lumière ces évènements… Deux ans avant cette nuit devant la maison de Déborah, je sortais avec une fille, Tara. Nous faisions tout ce qui est normal entre un gars de 17ans et une fille de 16 plutôt jolie, en passant tout mon temps à essayer de lui mettre la main à la culotte, et elle passait son temps à me convaincre que les caresses suffisaient.
Je m’étais amélioré en caresses, je pouvais faire jouir Tara à travers deux couches de vêtements juste avec mes doigts, et l’un de mes plus doux souvenirs de garçon de 17 ans c’est celui de Tara murmurant à mon oreille que mes doigts l’emmenaient au paradis. Mais ce printemps-là nous avons décidé avec un groupe de copains de faire un séjour camping. L’un de nos copains disposaient d’une grande propriété pas très loin de la ville, nous irions là-bas camper quelques jours. Honnêtement les parents sont dingues parfois. Je me demande combien de grossesses sont dues à ce séjour.
Le jour précédent j’ai eu une grosse fièvre, et j’étais au tapis, j’avais un rhume. Alors je n’ai pas pu y aller, mais Tara voulait y aller, elle. J’étais enragé d’apprendre que Tara voulait y aller sans moi – son devoir de petite amie était de souffrir autant que moi, et de se priver de cette sortie si je devais m’en priver – mais j’ai accepté finalement.
En fait selon mon journal ce qui est arrivé c’est que nous avons eu à ce sujet une énorme engueulade. Elle tempêta, je l’ai rappelé, me vilipendant, m’excusant d’être aussi stupide, elle me pardonna et me dit qu’elle m’aimait. J’ai écrit exactement cette phrase dans mon journal au sujet de coup de fil : « Bien, je suis en train de crever et tu m’aimes, ça m’aide Tara, j’espère que tu vas
t’emmerder. », j’étais un garçon sympa, n’est-ce pas ? J’ai même souligné « j’espère que tu
vas t’emmerder » au moins six fois.
Les deux jours suivant je les ai passés seul dans mon lit, à m’ennuyer à mourir et à penser que tout le monde était là-bas. J’ai eu un rétablissement spectaculaire juste à temps pour retourner à l’école. Mais le jour de mon retour, il y avait une drôle d’atmosphère. Ceux qui ne faisaient jamais attention à moi d’habitude redoublait d’attentions à mon égard, et dans les groupes qui s’étaient formés ça et là, j’entendais des chuchotements lorsque je passais devant eux.
Cela m’a pris jusqu’à la fin de la matinée pour savoir ce qui se passait – une rumeur courait dans toute l’école que Tara était « sortie » avec quelqu’un pendant le camping. Pire, Tara m’évitait, et ce n’est que dans l’après-midi, que j’ai pu lui parler. Tara était une chic fille, et je l’aime beaucoup. J’étais un merdeux à 17 ans, mais beaucoup de mâles de cet âge sont des merdeux.
Tara était une fille vivante, adorable, avec beaucoup à donner, mais elle ne savait pas mentir.
Elle paraissait si coupable lorsqu’elle vint me parler dehors, devant l’entrée de la maison de ses parents. Nous avons eu cette conversation amère à voix sourde, voix sourde pour que personne n’entende.
Je lui demandais des réponses, elle m’en donna quelques-unes mais pas tant que cela. Oui, elle m’a dit que quelque chose était arrivé avec quelqu’un d’autre au camping, mais sans me dire qui, et sans me dire exactement ce qui était arrivé. La rumeur qu’elle avait couché avec quelqu’un, elle ne confirmait pas ce détail, mais elle réagit tout comme si lorsque je lui en fis part. Je suis certain à 100% qu’elle avait sucé la queue d’un mec. J’étais enragé, parce que nous n’étions pas allés aussi loin ensemble. Elle m’avait masturbé un certain nombre de fois, mais c’était tout.
Je lu ai dit qu’elle était une putain, une salope, et tout un tas d’autres choses. Elle m’a dit qu’elle était désolée, que ce n’était qu’une chose qui était arrivée et ainsi de suite, mais je n’écoutais pas, et quand je suis parti, elle était assise sous le porche d’entrée, sa tête dans ses mains en train de pleurer doucement. Je n’en suis pas certain, mais je pense qu’elle prenait soin de moi, et qu’elle était vraiment désolée jusqu’à un certain point, mais cela m’était égal pendant que je rentrais à la maison.
C’est la dernière fois que je lui ai parlé. J’ai passé le reste de l’année à l’éviter, et jusqu’à prétendre que je ne la connaissais pas. Elle a essayé de me parler plusieurs fois, elle m’a envoyé une longue lettre disant qu’elle était désolée que ce se soit passé de cette manière (mais moi je voyais dans la lettre qu’elle ne regrettait pas du tout que ce soit arrivé, juste désolée de la manière dont ça s’était produit…). J’ai fini par m’enfermer dans un état de refus.
Mais ce n’est pas la fin de l’histoire.
Pendant que je feuilletais mon journal recherchant des détails sur Déborah et Aaron je suis tombé sur une note que j’ai écrite juste après le collège. Je connaissais un gars, Brian Paulsen, et nous avons discuté. Il m’a tout raconté sur Tara et la rumeur, j’ai refusé d’entendre lui disant que je ne savais rien de tout cela.
Il fut surpris, et me dit que c’était vraiment arrivé. Il était au campement, et le mec et Tara ne
faisaient pas mystère qu’ils couchaient ensemble.
- En fait me dit-il ma tente était à droite de la leur. Je l’ai entendu la faire hurler de plaisir.
Il sourit et ajouta :
- C’était vraiment très chaud.
Puis il me dit de qui il s’agissait. Je suis sûr que vous avez deviné. C’était Aaron. Mon meilleur ami.
Tara était vierge avant d’arriver au camp. Ou plus exactement elle me l’avait dit un paquet de fois (tellement de fois que ça me rendait malade de l’entendre, je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire les mecs) et je n’avais aucune raison de ne pas la croire.
La chose la plus drôle étant que je doute sérieusement du fait que Tara était le type de fille de Aaron, et à ce que j’en sais il n’ y a plus rien eu entre eux après ce séjour. Je pense que je l’aurais su s’ils avaient continué leur petit jeu après. Mais Tara tombait dans les goûts d’Aaron pour trois raisons elle était chaude, elle mouillait, et elle en voulait.
On dirait la pire chose au monde – ma petite amie me trompant avec un autre mec. Comment
a-t-elle pu offrir sa chatte à quelqu’un d’autre ? Avec le temps j’ai eu d’autres détails par Brian qui m’a appris un peu plus qui j’étais, et ce qui m’excitait. Cette nuit-là, après cette conversation avec Brian, lorsque je me suis couché, je me suis caressé le sexe lentement et j’ai eu une jouissance incroyablement douce, couvrant ma poitrine et mon ventre d’épaisses tranches de foutre.
Et pendant que je me masturbais j’imaginais ce que c’était pour Aaron de prendre la chatte de ma petite amie, et j’aurais parié ma chemise qu’il a très énormément apprécié le fait de profiter de son humidité intime pour se décharger de la sienne.
Me voilà encore en érection en pensant à tout ça. Ma femme et ma fille sont endormies, la maison est calme, je peux me laisser aller à penser aux 16 ans de Tara, et aux 17 de mon meilleur ami pendant que j’étais au lit cloué par le rhume, sans penser qu’Aaron s’introduisait dans la douce chatte de ma petite amie. Quels souvenirs….
Je ne savais pas ce que c’était qu’un cocu à ce moment-là, et je n’avais la moindre idée non
plus d’en être un. Oui deux ans avant j’ai connu l’expérience de ma petite amie, Tara, perdant sa virginité avec un autre mec. Oui, je me suis masturbé, et j’ai eu de belles jouissances en fantasmant sur elle en train d’offrir sa charmante petite chatte à une autre queue. En toute honnêteté, ces fantasmes m’ont culpabilisé ce qui explique certainement la colère que je ressens parfois.
J’ai encore beaucoup à apprendre sur moi, et cette nuit, devant la maison de Déborah est
devenue une part importante de mon processus d’apprentissage.
Aaron avait une main sur la nuque de Déborah, il guidait sa bouche sur sa queue. Je me souviens de son regard pendant qu’elle le suçait doucement, délicieusement, j’entends encore Aaron gémir, toujours le même mot, encore et encore « merde…. Merde…. Merde…. » et encore, et encore.
Je me souviendrai toujours, de Déborah mettant ses lèvres sur la queue d’Aaron, qui par ses gestes, ses gémissements, lui montrait combien il appréciait de se faire sucer. Durant ces années je me suis fait sucer par des femmes très talentueuses. Parmi toutes, Becky, ma femme, est sans aucun doute la gagnante par ses talents et son enthousiasme, et sans vouloir détourner l’attention, je dois dire que les hommes qui ont eu la chance de pouvoir se glisser dans sa bouche m’approuveraient certainement.
Mais à l’époque, je pensais que Déborah avait tout pour être une star du porno. Elle arrivait sans difficulté à avaler la queue massive d’Aaron, et elle aimait visiblement l’exciter, avec les sensations qu’il pouvait ressentir.
Puis elle abandonna sa queue pour murmurer quelque chose à l’oreille d’Aaron, je n’ai pas entendu exactement, mais Aaron je l’ai entendu clairement et distinctement :
- On baise oui !
Ce qui rendait extrêmement clair ce que Déborah lui avait suggéré.
Déborah se déshabillait, Aaron s’était levé sa queue énorme raidie, pour finir de se déshabiller. Déborah, prit un coussin sur le canapé, et se coucha au milieu du salon, elle s’étendit sur le dos et écarta les jambes, souriant à Aaron qui n’arrivait pas à se défaire définitivement de son jeans.
Faisons une pause.
Ce fut la première et la dernière fois que je vis Déborah nue. C’est un moment sacré pour moi. Un souvenir émouvant de sa nudité, jambes grandes ouvertes, genoux levés, avec sa jolie chatte offerte à Aaron. Sérieusement je devrais construire un mémorial pour cela, et sacrifier les films pornos.
Aaron m’a surpris. Je m’attendais à ce qu’il saute sur elle, enfonce sa queue dans sa chatte, et la baise comme s’il n’allait pas y avoir de lendemain. Peut-être parce que j’étais si désespéré de pouvoir un jour introduire ma queue j’imaginais que dans cette même situation je n’aurais pas été capable de faire mieux.
Mais au lieu de cela, Aaron prit son temps pour exciter Déborah, ce qui je pense l’a conduit à désirer encore plus qu’il s’enfonce en elle. Aaron jouait avec sa queue, il se penchait sur elle, placé entre les cuisses de Déborah, son poids reposant sur les paumes de ses mains, pendant qu’avec le bout de sa queue il caressait les lèvres de la chatte de Déborah. Elle fermait les yeux, gémissait de plaisir, avec un beau sourire sur ses lèvres.
Aaron a dit quelque chose que je n’ai pas entendu en continuant d’exciter le clitoris et la chatte de Déborah avec sa queue, Déborah rougit, rigola, tout en acquiesçant. Aaron se lécha les babines, et poussa sa queue en avant, centimètre par centimètre il entrait en Déborah, ils gémissaient tous les deux de plaisir.
Je n’ai pas de souvenir particulier de mon état d’esprit à cet instant-là, le moment ou Aaron allait connaître quelque chose que je ne connaîtrais jamais.
Je n’ai pas le sentiment d’avoir existé à ce moment-là. Je n’étais pas là, c’était juste moins qu’un être humain, une ombre, un zombie, capable seulement d’émotions basiques et primitives, se tenant dans l’obscurité. Pendant qu’à l’intérieur mon meilleur ami commençait à baiser la plus jolie fille que j’ai jamais connue…