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Histoire du net. Auteure: Florence22.... Laver son linge sale....

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Certains vont à la laverie pour leur linge.
D'autres....... ?


Farid et les autres
Auteur : Florence 22

Je m’appelle florence, 30ans 1m72 66k blonde yeux gris bleu beaux seins 95c et un cul trop gros a mon gout mais qui a l’air de plaire. Je suis mariée depuis 9ans avec Franck, je l’aime j’aime faire l’amour avec lui, c’est toujours très tendre plein de préliminaires et de respect mais j’aime aussi être baisée. Pour moi l’amour et la baise sont deux choses bien différentes et je n’aime pas faire les deux avec le même homme. C’est pourquoi j’ai besoin d’un mari qui me fait l’amour et d’un amant qui me baise.
Je vais vous raconter mon incroyable aventure. Nous avions 23 ans avec Franck lorsque nous avons emménagé dans ce vieil immeuble à paris. Nos voisins de palier étaient un vieux veuf handicapé et son jeune fils de 19 ans , le père, marocain ne quittait plus son fauteuil mais son fils Farid prenait soin de lui. Nos appartements avaient en commun une grande pièce qui servait de cellier, buanderie et qui communiquait avec nos cuisines.
J’y rencontrais donc souvent Farid , il était très sexy, t shirt moulant, survet blanc ou gris il était sec musclé environ 70kg pour 1m80, les cheveux ras et les yeux très noir. Il était très renfermé, poli mais distant et c’était toujours moi qui engageais la conversation.
On s’était entendu lors d’un apéritif avec mon mari et le père de Farid que je m’occuperais de leur linge et qu’en contrepartie Farid réparerait nos voitures (il travaillait dans un garage auto) et ferait les menu réparations qui sont courantes dans un vieil appart comme le nôtre.
Donc les soirs lorsque Franck était devant le journal tv dans le salon moi j’étais dans la buanderie et faisais tourner les machines, étendais et repassais le linge. Au même moment Farid venait déposer son linge sale, ranger le propre et j’engageais la conversation. Farid me plaisait de plus en plus et j’avais vraiment envie de baiser avec lui, mais il était difficile à décoincer. Je me mettais en chemise de nuit essayais de l’exciter et même si il ne franchissait pas le pas je sentais son regard sur moi.
Franck ne venait jamais dans la buanderie car lorsque je repassais je baissais une planche fixée au mur derrière la porte et cela empêchait quiconque d’entrer et sortir. Un jour je me décidais à passer à l’action. ca faisait déjà presque 6 mois qu’on était là et Farid restait froid et distant. J’étais en train de repasser lorsque Farid entra dans la buanderie. J’étais Vêtue d’une robe de chambre et d’une petite nuisette transparente et volontairement l’échancrure laissait deviner ma nudité.
-salut Farid t’as passe une bonne journée ?
-ouais tranquille
-tu peux m’aider à déplacer la machine à laver ma boucle d’oreille est passée dessous
Et l’un et l’autre de chaque cote on attrape la machine à laver pour la soulever. J’étais suffisamment penchée pour qu’il puisse voir mes seins nus, et il n’avait d’autre choix que de mater le spectacle.
-Farid c’est mes seins que tu mattes ?
- heu, ben non mais bon comme t’es penchée je n’ai pas trop le choix.. (il était visiblement très gêné)
-et ils te plaisent ?
-je sais pas je les ai pas vu en entier
-alors regarde (et j’ouvre la robe de chambre pour qu’il puisse en voir un)
-ben la je vois pas trop avec la chemise de nuit.
J’entrepris de déboutonner le haut de la nuisette et laisse apparaître mes seins
-tu veux toucher ?
Et comme il restait bouche bée, sans savoir ce qu’il devait faire je lui pris la main et la mis sur mon seins.
Et là le Farid timide et réservé se lâcha enfin et me dit
-Putain t’es chaude toi.
Et de ses deux mains il commence à me triturer les nibards et s’avance contre moi. Il m’embrasse en frottant son sexe contre mon ventre, une autre main prend mes fesses et remonte sous la nuisette. Pour lui faire comprendre qu’il pouvait aller plus loin j’entreprends de lui masser le sexe a travers le survêt. Je plonge ma main dans son slip pour en extirper son membre, il est dur comme du bois, long et fin 20cm à peu près et une paire de couilles très fermes. Il me soulève m’assoit sur la machine à laver et sans plus attendre rentre son membre dans ma chatte mouillée.
Il m’aura fallu qu’une dizaine de coup de bite pour jouir comme jamais, je lui griffais les fesses les attirant contre moi pour qu’il rentre au plus profond, en lui mordant le coup, dans le même temps je le sens se raidir en moi et décharger sa semence au fond de mon intimité.
Un ‘’saaaalllllooooppppeeee’’ s’échappe de sa bouche entre deux grognements de jouissance.
L’excitation était trop forte pour nous deux, Farid baisait sa voisine, une femme mariée, comme une salope sur la machine a laver, à quelque mètres de son père qui aurait surement succombé de voir cette exhibition bestiale et de l’autre cote le mari cocu devant le journal tv loin de s’imaginer le jeune voisin réservé et timide en train de défoncer a grand coup de boutoir sa douce épouse.
Et moi qui avais enfin un mari aimant pour me faire l’amour et un jeune beur fougueux me bourrant la chatte comme une bête, ne recherchant que son propre plaisir .ce premier adultère était extraordinaire, aussi bref qu’intense.
Farid se retira de moi laissant couler son sperme le long de mes cuisses. Il relève son survêt, me regarde dans les yeux et me dit sans tendresse
-c’est ce que tu voulais hein ? ça fait longtemps que tu me chauffes.
-oui j’en avais envie, c’était super Farid
-écoute Florence faut pas t’imaginer quoi que ce soit, t’as ton mari moi je veux pas de toi. Je peux rien t’offrir de plus que ça. Et je sais pas pourquoi tu le trompe, ça se passe pas bien entre vous ?
-si Farid j’aime mon mari j’aime faire l’amour avec lui, mais j’ai besoin d’être baisée comme tu l’as fait, violement, sans tendresse, juste de la baise. Donc t’inquiète pas je te demanderais rien de plus que quelques étreintes rapides dans cette buanderie...
-ha je vois en fait t’es juste une chienne qui veut de la bite ! Tu me demande de te tirer contre la machine et après tu retournes avec ton mari devant la télé.
-heu pour résumer c’est a peu près ça oui.
(J’étais gêné qu’il me parle de cette manière mais au fond de moi ça me plaisait) et je voyais dans le regard méprisant de Farid que du statut de voisine sympas et serviable je passais a celui méprisable de salope sans fierté qui lui viderais les couilles quand il en aurait envie.
-ben dans ces cas la ya pas de problèmes je vais te démonter ta race tous les jours, si tu veux de la queue je vais t’en donner suffisamment pour que ça te calme. A demain ma petite salope. Et revient sapé comme aujourd’hui sans culotte ça va plus vite pour te niquer.
Ce soir-là, toute a mon bonheur d’avoir réalisé mon fantasme je ne savais pas que j’avais mis le pied dans l’engrenage d’une histoire que j’aurais bien du mal à contrôler et qui allait me faire devenir esclave de mon vice.

Décidée de garder une trace de ses moments volé de pur sexe je commençais mon journal intime qui relatais mes ébats, ca me permet des années plus tard de me remémorer avec délice ses moments de baise.

Mercredi 11.02
Hier soir après ma première aventure avec Farid j’ai évité le regard de Franck, j’avais peur qu’il ne devine quelque chose mais tout s’est bien passé, il m’a fait l’amour j’avais pas trop envie mais je me sentais coupable de lui refuser mon corps alors qu’une heure auparavant je me laissais assaillir par Farid.
J’attends Farid dans la buanderie mais il ne vient pas, quel salop, il à une femme à sa merci prête à lui laisser faire ce qu’il veut et il ose m’ignorer

Jeudi 12.02 20h10
Farid entre dans la buanderie
-bonjour Farid pourquoi t’es pas venu hier ? Je t’ai attendue
-pourquoi j’ai des comptes à te rendre ? Mets toi à genoux.
Le ton est donné il va falloir que je m’habitue a cette manière de me soumettre à un male. C’est humiliant mais dans cette relation je ne cherche pas à être valorisée, aimée. Comme je lui ai fait comprendre je veux juste sa queue et il l’a très bien compris.
Je m’exécute, il baisse son survêt sort sa queue de l’autre main me tire la tête sans ménagement et à peine la bouche ouverte il m’enfonce sa bite au maximum, surprise je manque vomir. Il s’en fout il continue à me pilonner la bouche. Je voudrais le sucer le lécher mais ce n’est pas ce qu’il veut, il veut juste baiser ma bouche. Ma tête est coincée entre sa queue et la machine à laver, à chaque coup de bite violent ma tête tape contre la tôle de la machine et fait un bruit sourd.
-t’aime ça salope hein ? Regarde-moi dans les yeux quand je te baise la bouche. De sa main agrippé dans mes cheveux il me tire la tête à l’arrière. Et de l’autre il se branle à quelques cm de mon visage.
- Quand je te le dit t’ouvre la bouche ok ?
-non Farid pas ça, je n’aime pas le gout et l’odeur du sperme
-fallait y penser avant salope, si t’es pas contente va te plaindre à ton mari
Je n’ai pas le choix faut que je me plie a ses caprices, après tout c’est moi qui l’ai voulu je peux pas faire marche arrière. Il a le gland dans ma bouche continue de se branler frénétiquement et la dans un grognement animal il déverse un flot de sperme dans ma bouche, puis enfonce sa queue, la retire l’enfonce a nouveaux. J’aurais préféré qu’il jouisse au fond de ma gorge j’aurais avalé sans trop sentir ce gout et cette texture sur mon palais, ma langue. Je suis dégouté par ce sperme dans ma bouche.
Il se fout de ce que j’aime ou pas, il pense qu’a son propre plaisir, me force a déglutir, a lécher sa queue jusqu’à qu’il n’y ai plus de trace de sperme.
Il me laisse là à genoux, me tapote la joue et me dit :
- c’est bien salope a demain.
-hé mais Farid et moi ? Tu penses pas à moi ? Je voulais qu’on baise ? J’ai pas pris mon pied moi.
-vas te faire niquer par ton cocu moi ça me suffit pour aujourd’hui, et il tourne les talons.
Déçue, vexée et frustrée, je m’essuie avec un t shirt trouvé là et je me remets a mon repassage en espérant que demain il me prendra.
Vendredi 13.02
Lorsque j’entre dans la buanderie je remarque la présence de deux miroir accrochés au mur, un derrière la machine a laver et l’autre sur le mur de côté, ces deux morceaux de glace de 50cm sur 1m peuvent paraître inutile dans une buanderie mais je comprends que Farid qui est macho, égoïste est tout a fait le style de personne a se mater dans la glace pendant qu’il baise.
20h05 Farid entre. Avant que je dise quoi que ce soit il me dit
-aujourd’hui c’est vendredi 13, ton jour de chance tu vas avoir le gros lot bb, je t’offre deux miroirs. Penche toi sur la machine tu pourras te regarder te faire mettre par ton beur préféré pendant que ton homme regarde les infos juste à côté.
Quel gougeât, il sait qu’il me met mal à l’aise en parlant de mon mari comme ça, je me sens suffisamment coupable pour qu’il n’ait pas besoin d’en rajouter.
Une foi penchée il relève la robe de chambre sur mon dos il tire un tabouret et se place derrière moi, puis je sens sa langue me lécher le minou, puis s’enfoncer facilement dans ma chatte et il me broute sans ménagement, me mordille les lèvres, aspire mon clito. Ses mains malmènent mes seins il tire dessus comme si il espérait en tirer du lait.
En tournant ma tète je vois son reflet dans le miroir, sa tête qui voudrais rentrer au-dedans de moi, le miroir me renvoi l’image d’une tête dont le visage a disparu entre mes fesses, au comble de l’excitation je jouis en me mordant le bras, si je crie comme j’en ai envie, mon mari risque d’accourir en pensant que je me fais agresser..
Farid se relève et d’un violent coup de bite il s’enfonce en moi, je suis tellement mouillée que je ne sens plus trop sa bite. Il s’en aperçoit et pour que je le sente mieux en moi il me relève la jambe gauche qu’il met sur la machine à laver puis entreprend de me lever aussi la jambe droite, je suis dans une position des plus inconfortables mais me retrouve empalée sur son sexe, si il s’enlève je tombe par terre je ne sais pas ou m’accrocher et suis dépendante de sa bite, ses deux mains sous mes fesses aident sa queue à soutenir mon poids.
-et la salope tu la sent ? Regarde toi dans le miroir, vois comme t’es en train de te faire démonter la chatte, grosse pute. Il me pilonne maladroitement, la position n’est pas confortable pour lui aussi mais au moins il sent sa bite aller loin au fond de moi, me heurter me blesser et ça l’excite.
Je sens qu’il est en train de prendre son pied, il s’énerve, s’excite sur moi, m’insulte, sa bite maintenant me fait mal, malgré la douleur je jouis une deuxième fois. Puis il me suit dans la jouissance il se contracte et m’insulte de plus belle, je vois dans le miroir son visage qui se crispe, ses lèvres se pinces. Ses muscles bandés, ses abdominaux contractés, il transpire sa sueur tombe de son front sur le bas de mon dos.
- Tient prend ca salope, t’aime te faire niquer ta race chiennasse, dis le que t’aime la bite de beur.
-oui Farid j’aime, vas-y continue, j’aime trop ce que tu me fais.
Son plaisir fini il ressort, me remet debout sans ménagement, j’ai une crampe je reste nue, devant le miroir, appuyée contre cette machine à laver témoin de nos ébats avec des douleurs dans mon corps meurtri. Il s’approche tout près de moi, je crois qu’il veut m’embrasser et temps mes lèvres mais, comble dl’ humiliation, c’était juste pour s’essuyer la bite contre mes hanches, j’ai vraiment l’impression d’être une serpillère.
C’est vraiment le pied, avec mon mari je joui de ses caresses, de son sexe, de sa tendresse de son amour. Avec Farid c’est totalement différent, c’est plus cérébrale, je jouis d’une situation, d’un endroit inapproprié, de ses insultes, de sa brutalité de sa mentalité, je jouis de cette image que me renvoi le miroir d’une femme infidèle qui se fait prendre bestialement par le jeune voisin.
Il y a en moi deux femmes, deux opposés qui se complète, je suis partagé par la honte l’envie de tout arrêter et d’oublier et l’envie d’aller plus loin, d’essayer des truc nouveaux de me faire baiser par des inconnus....
Laquelle des deux va gagner ??


Samedi 14.02
Aujourd’hui c’est la st valentin, je veux être fidèle a mon mari je ne me rends pas dans la buanderie. Je suppose que Farid doit m’attendre mais tant pis pour lui, après tout je ne suis pas à son entière disposition. Je me prépare, ce soir Franck m’emmène au restaurant pour fêter dignement la fête des amoureux, je m’habille d’une jupe noir très sexy et d’un chemisier en satin bleu il est 20h25 on est fin prêt quand quelqu’un sonne.
-Franck va ouvrir s’il te plait je fini de me maquiller.
Il revient 3 minutes plus tard et me dit,
-c’était Farid il était gêné mais demande si tu ne pourrais pas lui repasser sa chemise ce soir il sort avec sa copine.
Je savais très bien que ça n’était qu’un prétexte pour m’attirer dans la buanderie et pour me baiser. Il avait vraiment de l’imagination.
-Ecoute Franck T’avais qu’a lui dire non, on sort ce soir
-ca va chérie on peut attendre c’est pas grave et puis il est sympas, chaque fois que je lui demande un service il me le rend.
Mon pauvre chéri ne se doute pas qu’il vient de jeter sa femme dans la gueule du loup, qu’en fait de repasser une chemise je vais devoir m’agenouiller et faire une pipe au voisin.
-Va lui repasser sa chemise pendant ce temps je vais sortir la voiture du parking et je t’attends en bas dans 15 minutes ok chérie ?
Si je refuse il risque de se douter de quelque chose, j’expliquerais a Farid que pour ce soir faudra qu’il se contente d’une branlette. Je rentre dans la buanderie et Farid les bras croisés debout contre la machine a laver m’attend, et ne cache pas son énervement.
-Salope tu te fous ma gueule ? Depuis une demi-heure je t’attends pour te la mettre.
-Farid aujourd’hui c’est la St Valentin, je sors avec Franck je peux rien faire avec toi.
-ah oui aujourd’hui tu veux être fidèle ? Et ben soit fidèle a ma bite et suce-moi. En plus t’es super bandante j’ai envie de te faire ta fête pendant des heures.
-arrête tu sais bien que c’est pas possible, Franck m’attend dans dix minutes en bas.
-he ben qu’est-ce que t’attend, perds pas de temps et suce moi.
-bon ok juste une pipe mais tu me décoiffe pas.
Comme un enfant a qui l’on venait de passer son caprice il avait l’air satisfait, et sans perdre de temps sort sa bite et me la présente devant la bouche. Je prends son gland en bouche, le lèche l’aspire, je le branle de ma main droite caresse ses couilles de ma main gauche, je veux en finir vite .
- lève-toi et penche toi sur la machine
-non Farid c’était pas le deal, je te suce seulement.
Il me relève violement par le bras et me pousse vers la machine,
-putain mais ferme ta gueule, c’est pas possible ca t’es toujours en train de la ramener, t’es la pour me vider tu fait ce je dis ok ?
C’est pas la peine que j’insiste, plus vite il aura fini plus vite je m’en irais. Je me met en position relève ma jupe et baisse ma culotte. Il me fouille la chatte sans ménagement puis s’aventure vers mon anus encore vierge.
-non Farid pas ça c’est hors de question ?
Pour toute réponse il m’enfonce au plus profond son doigt
- Attend je vais te mettre du gel tu sentiras rien
-non je te dis je ne veux pas, pas comme ça pas aujourd’hui, pas avec toi.
-vas y ferme ta gueule laisse toi faire.
De sa main gauche il me tient les deux bras dans le dos , pliée sur la machine a laver et de l’autre main, enduite de gel il entreprend de me doigter le cul en tournant a l’intérieur, je sens qu’il se met en position, il va rentrer.
-arrête Farid arrête tout de suite, aaahhhrrrgggg nooonn, j’ai mal arrête.
Il sent que ca rentre pas mais il force, il me fait mal. Il se couche sur moi et me dit
- écoute salope de deux choses l’une, soit tu résistes, tu te crispes et tu vas souffrir car je vais quand même te casser le cul de gré ou de force. Soit tu te relaxes tu t’ouvres et tu te laisses faire gentiment et là je te promet que ta douleur va se transformer en plaisir et je prendrais soin de toi.
-bon d’accord mais fait doucement, tu me fait trop mal.
Il ressort sa bite, remet du gel et me doigte, me visite l’anus en profondeur avec ses doigts puis remet son sexe. Il rentre doucement, j’ai mal mais moins que tout a l’heure, je fais comme il me dit , je me détend, essaie de m’ouvrir et le laisse rentrer sortir , rentrer plus profond. Sa cadence s’accélère mais mon anus endolori ne souffre plus. Je ne ressens pas de plaisir sinon celui de satisfaire son instinct bestial.
-tu vois salope ça le fait bien si tu te soumet comme il faut, vas y lève ton cul, donne le bien , je vais te le démonter
Ses coups de boutoirs me soulèvent il va jusqu’au fond, ses couilles tapent sur ma chatte. Maintenant la douleur est complètement parti, juste un engourdissement, comme une anesthésie, j’ai toujours pas de plaisir mais je ne pensais pas que mon anus puisse s’ouvrir et se donner aussi facilement.
Aujourd’hui St Valentin je me fais enculer sur la machine à laver par un arabe alors que mon mari m’attend dans la voiture, d’ailleurs en parlant de St Valentin mon portable sonne, c’est Franck.
- arrête-toi Farid, Franck appel il doit s’impatienter
-et alors t’as qu’a répondre, il nous voit pas. Ca m’excite de te bourrer pendant que tu parles a ton mari.
- Florence, et alors je t’attends en bas dépêche-toi
-oui heuu c’est parce que ma sœur vient d’appeler, j’ai perdu du temps au téléphone
-t’as l’air essoufflée chérie, tout va bien ? (évidement c’est pas facile d’avoir une conversation téléphonique avec son mari pendant que le jeune voisin vous encule comme un sauvage, en plus il profite de ma situation pour y aller encore plus fort, plus rapidement)
-ca va ca va, c’est juste que je me dépêche, j’arrive dans 5 minutes chéri, ne monte pas j’arrive.
L’appel de Franck a été comme un simulateur pour Farid, enculer sa voisine je jour de la St Valentin alors que le mari est au téléphone et attend en bas, ça a accéléré et décuplé sa jouissance, j’ai bien cru qu’il allait m’incruster dans la machine a laver tellement il voulait rentrer dans moi.
-haaa putain, sale chienne, je te démonte ta race haaaaaaaaa ouiiiiiii.
Il se laisse tomber sur la chaise essoufflé, heureux victorieux.
-c’était trop kiffant de te niquer comme ca avec ton cocu au téléphone, faudra qu’on le refasse.
-Farid j’ai le cul en compote, tu me parleras de tes kiffs une autre fois, en tout cas si toi t’as pris ton pied c’est pas mon cas.
Franck m’a pas trouvé très en forme ce soir, au restaurant je me suis levée plusieurs fois pour aller aux toilettes, mon cul n’arrêtait pas de couler, le gel le sperme. Ce soir je m’en veux d’être aussi soumise à ce rebeu. Arrivés à la maison on a fait l’amour tendrement, c’était tellement bon de se sentir aimée, la brutalité de Farid me fait aimer la tendresse de Franck (et vice versa), j’ai pris un pied énorme. Et me suis endormis dans les bras de Franck en pensant a ce que Farid va me faire demain. Hummmmm

Lundi 16 juin
Du temps a passé depuis cette st valentin ou Farid m’a enculé sauvagement. Il me baise toujours au moins 4 fois par semaine dans la buanderie, je prends toujours mon pied mais ça devient routinier.
Avec lui le dialogue est difficile, il ne me parle pas, me considère vraiment comme son vide couille et ses conversations se limitent a : suce salope, avale grosse chienne, écarte les cuisses putain de ta race, donne ton cul, t’aime ca hein ?
Ça m’excite mais j’aimerais un minimum de partage. Depuis février qu’a commencé notre histoire je ne compte plus toutes les pipes que je lui ai faites, la quantité de sperme qu’il m’a fait avaler, les sodomies, les orgasmes.
Ce qui l’excite c’est que je téléphone à mon mari pendant qu’il me baise, c’est difficile pour moi d’essayer d’être naturelle alors qu’il me bourre comme un sauvage.
Il voulait aussi me faire baiser par un de ses potes, j’ai refusé net et il a pas insisté.
Mais aujourd’hui dans la buanderie je me retrouve face à lui et un autre mec
-tu vois Rachid c’est elle que je bourre tous les soirs
-elle est pas mal, bonjour beauté, je suis Rachid le frère de Farid.
-bonjour, il ne m’avait jamais parlé de vous (ni de rien d’autre d’ailleurs, de Farid je ne connais que sa queue) qu’est-ce que vous faites la ?
-Farid et mon père vont partir la semaine prochaine au bled pour l’été et c’est moi qui doit m’occuper de l’appart, et comme il m’a dit que la chatte de la voisine était a disposition je viens l’essayer.
-dites vous êtes gonflé, faudrait peut-être me demander mon avis, je ne suis pas un objet.
-je vois pas ou est le problème, puisque t’aime la bite d’arabe je suis là pour t’en donner, que ce soit mon frère qui te tire ou moi, le résultat sera le même pour toi. Et moi je me vide les couilles gratuit comme ça tout le monde est content.
-heee attendez, doucement. Je ferais ce que je veux si je veux
-tu vois frérot pourquoi j’la calcule pas, elle a toujours quelque chose à dire, donc faut pas lui demander son avis, faut la niquer et c’est tout.
-Farid, je veux bien être gentille mais ya des limites, tu fais le malin parce qu’il y a ton frère
-ta gueule, suce moi, et joignant le geste à la parole il prend ma main la met sur son survêt et me roule une pelle
-vas y touche moi l’zob fait moi bander.
En même temps je regarde Rachid, finalement ça me change de la routine, Rachid est très grand, 1m85 a peu près, 25ans baraqué un peu de ventre, si sa queue est proportionnelle à son corps ça me promet des cris de jouissance, il est brun , mal rasé, je vois une touffe de poil sortir de sa chemise, il donne l’image d’un mec qui aime la vie, la bouffe, la baise.il n’est pas très beau mais dégage quelque chose d’excitant, de sensuel.
Farid se frotte contre moi, puis Rachid sans rien demander passe derrière et commence lui aussi à se frotter contre mes fesses, il est tellement grand que sa bite arrive plutôt au niveau de mon dos, ses mains entourent mes seins qu’il est en train de juger, soupeser malaxer, puis il me pince les tétons a travers le tissus fin de ma nuisette.
-alors chérie, comme ça on trompe son mari ? On préfère la bite circoncise ? T’as envie de consommer halal bébé ? T’inquiète on va te satisfaire.

La suite demain....

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