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Channel: Chez Andre 112
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Histoires brèves de collègues de boulot....

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Par un été caniculaire,
certains collègues se déchaînent
même au lit.... ou ailleurs..
En fait au taf ou pas ou on peut on baise !


LA PISCINE D'ANNE-SOPHIE 
Samedi dernier, ma copine Sabrina et moi-même rendions visite à une de mes collègues de travail, qui habite en province, dans une grande villa avec piscine. Difficile de ne pas envier les heureux propriétaires de piscines, en cet été caniculaire. Il faisait en effet tellement chaud que j'étais habillé seulement d'un short et d'un t-shirt sans manches, tout autre vêtement devenant rapidement insupportable sous ce soleil de plomb.
Sabrina, aussi incommodée que moi par la chaleur, portait une toute petite robe à bretelles, qui obligeait celle qui la portait à mettre un sous-vêtement si elle ne voulait pas exposer son intimité dès qu'elle s'asseyait.
En arrivant, d'ailleurs, la météo fut le tout premier sujet de conversation. En soupant sur la terrasse, seul le mari d'Anne-Sophie ne bût pas de vin, étant donné qu'à 22 heures, il devrait rejoindre la brigade de police où il travaillait cette nuit-là. Ce n'est pas pour autant que sa part fut perdue, même si cela nous fit boire un peu plus que de raison, ce qui, au fond, était bien agréable par ces chaleurs.
Après son départ, la soirée continua et les verres continuèrent à se remplir et à se vider. Tout en discutant, j'avais déjà remarqué à plusieurs reprises que ma chère et tendre lorgnait dans le décolleté de ma collègue, qui, il est vrai, n'avait rien fait pour cacher l'absence de soutien-gorge sous son débardeur blanc.
L'évidence fut complète lorsque Anne-Sophie renversa maladroitement une carafe d'eau sur elle, dévoilant alors les mamelons roses pointant sous la fraîcheur de l'eau, et bien visibles sous le tissu devenu presque transparent. Elle s'en fut rapidement en cuisine, nous laissant seuls pour quelques instants sur la terrasse.
- Tu dois être contente, dis-je à Sabrina, c'est ce que tu voulais, tu as passé ta soirée à mater son décolleté…
- Tu te fais un film, mon pauvre ami. J'avais remarqué qu'elle ne portait rien dessous, mais ce n'est pas pour autant que je matais, comme tu dis.
- Enfin, tu n'as pas trouvé cela désagréable, c'est bien ce que je veux dire.
- C'est vrai qu'elle est plutôt mignonne, ta collègue.
Revenant vers nous, Anne-Sophie était en sueur, sans doute d'avoir couru se chercher un autre débardeur, et, pour faire oublier ce qu'il s'était passé, changea de conversation :
- C'est incroyable, il fait encore 28 degrés, alors qu'il est 23 heures passées…
- Oui, dit Sabrina, et d'ailleurs ce doit être bien agréable d'avoir une piscine par un temps pareil. Ça nous manque, en ville.
- Je vous comprends. C'est vrai que nous apprécions pas mal le fait de pouvoir se baigner quand nous le voulons. Ceci dit, vous voulez en profiter ?
- Ce serait volontiers, mais... Ajoutai-je, mais immédiatement interrompu par Anne-Sophie.
- Mais vous n'avez pas de maillot... Ce n'est pas grave, de toute façon personne ne peut nous voir, ici. Nos seuls voisins sont en vacances.
Cela nous sembla, à Sabrina ainsi qu'à moi, une proposition très directe et un peu douteuse, mais n'étant pas du genre à s'embarrasser de ce genre de conventions, ma copine accepta la proposition sans sourciller.
Anne-Sophie rentra donc quelques instants et alluma l'éclairage sous-marin, tandis que Sabrina avait déjà enlevé sa robe et se retrouvait en petite culotte à sentir la température de l'eau du bout du pied. De mon côté, j'avais déposé mon t-shirt sur ma chaise, mais hésitais toujours à me défaire de mon short, dernier rempart de ma pudeur.
Ma collègue, semblant ne pas prêter attention à nous, ressortit de la maison en tenue d'Eve, nous dévoilant son corps qui, il faut l'admettre, était très agréable à regarder. Anne-Sophie était mince, sans être maigre et ses seins semblaient tenir comme en apesanteur malgré leur taille, qui paraissait importante par rapport au reste de son corps. En descendant son regard, on pouvait admirer des hanches d'un galbe parfait, au creux desquelles trônait le mont de Vénus dont la fine toison était entretenue avec soin.
Découvrant ma collègue pour la première fois dans le plus simple appareil, je ne pus réprimer une érection naissante qui heureusement était encore dissimulée dans mon short assez ample, mais dont je craignais les conséquences si je la dévoilais. Sabrina, quant à elle, se désinhiba en voyant arriver ma collègue nue, et se débarrassa également de sa culotte.
Me voyant rester en arrière, les deux filles s'approchèrent alors de moi, et sans prononcer un mot, Sabrina m'arracha presque mon short, laissant ainsi se déployer ma queue qui se durcissait petit à petit. Elles m'examinèrent, puis se mirent à rire en voyant l'effet qu'elles avaient sur moi. La meilleure façon de dissimuler mon trouble étant de plonger dans l'eau, je m'y précipitai comme si de rien n'était, et le contact de l'eau fraîche me fit le plus grand bien.
En plongeant, cela apaisa la tension qui me chatouillait la bite, et j'invitai d'un geste les filles à me rejoindre. Bien mal m'en prit, car, toujours aussi hilare, Sabrina plongea et vint directement à ma rencontre. Elle s'accrocha à moi et d'une main, caressa mon chibre sous l'eau. Anne-So, qui nous rejoignait à la nage, était complice, car, une fois à ma hauteur, elle se colla à mon dos, et je la sentis se frotter les seins et la chatte contre ma peau.
Bien évidemment, tout cela attisa le feu qui couvait dans mon bas-ventre, et Sabrina commença à sentir quelque chose de plus en plus dur et long entre ses doigts. Elle fit un signe à sa comparse et à deux, elles m'adossèrent au mur, puis, m'enjoignirent de m'asseoir sur le rebord. Ce faisant, mon érection immense leur apparut et, en réprimant un sourire, ma copine sortit à son tour de l'eau.
Elle commença alors à me masser le dos, tandis que ma collègue, que je n'avais jamais imaginé ainsi, se saisit à son tour de ma bite qu'elle se mit à branler lentement. Je me risquai à lui dire :
Anne-So, si tu continues, une catastrophe va arriver. Je risque de salir l'eau de ta piscine...
Sans arrêter, elle me considéra un instant du regard, puis, s'adressa à Sabrina :
- Sabrina, tu permets ?
- Il est à toi, fais ce que tu veux avec…
Et, sans autre forme de procès, elle mit mon sexe dans sa bouche, me gratifiant d'une turlute d'enfer. Je sentais sa langue jouer avec mon gland, tandis qu'elle me suçait comme sur une glace à l'eau. Je la menaçai d'éjaculer dans sa bouche, mais cela ne sembla pas la gêner le moins du monde.
D'une main, j'en profitai pour explorer le sexe de ma copine, qui, pour m'exprimer sa gratitude, se mit debout, les pieds de chaque côté de mes cuisses, la chatte à hauteur de mon visage. L'invitation criante à y plonger la langue ne me laissa pas longtemps sans réactions.
Sans ambages, je lui saisis les fesses, embrassai son mont de Vénus, puis introduisis ma langue entre ses lèvres, d'où le désir faisait perler de la cyprine. Anne-Sophie, se rendant compte de la situation, nous fit faire une pause puis nous amena sur une chaise longue dont elle descendit le dossier à l'horizontale. Sans attendre, nos activités reprirent de plus belle.
Tandis que je m'occupais de faire jouir Sabrina avec ma bouche, je sentis mon sexe libéré de l'emprise de ma lubrique collègue. Cette libération ne fut que de courte durée car je sentis un sexe féminin se frotter à ma jambe gauche, puis une main saisit ma bite et la guida vers la fente mouillée de sa propriétaire.
Alors que Sabrina prenait un plaisir de plus en plus ostensible, Anne-Sophie s'empala petit à petit sur ma queue jusqu'à ce que je sente ses douces fesses s'appuyer sur moi. Elle resta quelques instants en position, et appela ma copine à se retourner. Sans se faire prier, celle-ci s'exécuta et, présentant à nouveau son sexe à ma langue, elle caressa les seins de sa complice tout en l'embrassant, tandis que de mon côté, ma langue avait pris pour cible son clitoris gonflé. Anne-So quant à elle, se faisait limer sur ma bite, imprimant elle-même un mouvement de bas en haut pour notre plus grand plaisir à tous.
Après quelques minutes, les deux femelles en chaleur échangèrent leur positions respectives. Toujours immobilisé sur le transatlantique en teck, je repris mon travail minutieux sur le sexe trempé d'excitation que ma collègue m'offrait, la croupe bien ouverte afin que ma langue accède à sa chaude et humide intimité.
Étant donné l'excitation générale qui régnait au bord de l'eau, les deux orgasmes féminins furent pour ainsi dire simultanés et les deux amantes se relevèrent, puis s'embrassèrent, leurs chattes encore trempées de l'excitation qui les avait fait crier leur plaisir.
Enfin, désireuses de m'être agréables, elles se mirent à genoux sur la pelouse et, tandis qu'Anne-Sophie m'achevait dans une pipe magistrale, Sabrina me titilla l'anus jusqu'à ce que de longs jets chauds de sperme se répandent sur les corps nus des deux femelles en chaleur qui m'avaient offert ce superbe moment de luxure.


Géraldine
Allongée sur le dos, Géraldine se laissait aller à la houle qui l'emportait. Son amant, le titulaire, était venu à l'improviste et aussi sec, ou presque, l'avait embrochée sur son membre épais.
Les yeux mi clos elle matait son entrecuisse, au centre duquel un corps d'homme était en train de faire de rapides va et viens…A la jonction des sexes elle voyait, par moment, un pieu de belle taille dont elle sentait, en même temps, la pénétration dans sa vulve de belle petite salope en chaleur.
Quel salaud ce JP…et encore il avait téléphoné avant…heureusement…car elle aurait très bien pu se trouver en train de se faire sauter par un intérimaire ; un de ceux qui lui tournaient autour depuis des semaines, depuis qu'elle était devenue une femme libre.
Pour l'instant, elle se donnait complètement à sa joie de se faire tirer. Il y avait plusieurs jours que sa sexualité, devenue débridée, lui travaillait le ventre, lui faisant sentir, par moment, des envies de se faire baiser n'importe où, par des queues dures et grosses…
Si on lui avait dit, l'an dernier, qu'elle deviendrait comme ça elle aurait ri au nez de l'impudent.
Là, elle bandait pour de bon. Quand son amant était arrivé elle avait commencé à se coller contre lui, dans sa petite robe rouge fendue…puis, pendant qu'il commençait à lui tripoter les seins elle avait descendu sa main dans le survêt à l'intérieur duquel il était nu. Ca, elle s'en doutait direct du producteur à la consommatrice…Un slip ? Pourquoi faire ? Ça gêne les érections quand on a devant soi une femme en chaleur, une qui veut de la queue, une qui est en manque et qui est prête à se faire tirer sans fioriture…
Aussitôt elle avait senti cette masse de chair se mettre à gonfler sous ses doigts, puis à se déplier pour venir durcir dans sa paume. Elle l'avait sortie pour commencer à la branler et là elle savait qu'elle était salope, limite pute elle savait que ce salaud était un cérébral, qui bandait, aussi, en sachant ce qu'elle avait déjà fait avec un autre mec qui avait joui, en se faisant secouer la pine pendant qu'en même temps il lui rentrait ses doigts dans la chatte.
Donc elle branlait, en faisant bien coulisser la peau sur la verge dure et grosse qui continuait à enfler sous sa caresse experte.
Pendant ce temps son amant lui avait passé les mains sous la robe pour faire descendre le boxer. Puis, sans perdre de temps un doigt puissant lui avait ouvert la chatte pour commencer à coulisser rapidement. Trempée, elle était trempée, coulante, haletante. Le doigt était ressorti pour caresser les lèvres de son sexe qu'elle sentait gonfler et se dilater comme un fruit mûr. Puis la main avait attrapé sa motte bombée pour se mettre à la pétrir comme pour en tirer du jus. Gé se sentit défaillir…sa main sur un gros braquemart, des doigts qui lui travaillaient la chatte…hummmmmmmm, que c'était bon !!!
Toujours rapidement, son amant avait défait la robe, pour exhiber ses copieux nibards qui, depuis quelque temps, devenaient lourds et ronds avec de belles pointes saillantes, toujours visibles sous les vêtements. Sa bouche vorace en avait gobé une pour la mordre et l'aspirer…aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh, là elle se sentait partir. Si les mecs savaient qu'une fois prise aux nichons elle était à leur merci ils se dépêcheraient de les lui bouffer avant toute autre chose.
Sa croupe commençait à bouger pour mimer le coït. Elle voulait se faire pénétrer, elle voulait sentir les lèvres de son sexe se faire forcer par le mandrin qu'elle était toujours en train de secouer contre sa cuisse, il fallait que ça lui rentre dans le ventre, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ooooooooooohhhhhhhhh ouiiiiiiiiiii, elle voulait, elle voulait de toutes ses forces se faire mettre, se faire défoncer par ce pieux de chair, sentir sa vulve remplie, pilonnée, écrasée…aaaaaaaahhhh, ça y est, il la poussait vers la chambre, la faisant asseoir sur le bord du lit.
D'un coup, sa bouche aux lèvres charnues, sa bouche de suceuse, fut à hauteur de la queue du salaud crapuleux…elle l'engouffra aussitôt, en bonne pompeuse de bite qu'elle était devenue…experte même, avec ses aspirations, ses coruscations, ses mordillements, ses soupirs. Elle laissait ses lèvres courir le long du sexe humide, puis revenant vers le gland elle suçait comme une glace. Sauf que là c'était chaud et pas froid. Les mains de JP lui tenaient la tête pour la faire aller et venir, comme si sa bouche était un sexe…elle se sentait d'ailleurs comme un sexe…elle n'était qu'un sexe de haut en bas. Tout en elle voulait du sexe, de la queue, de la bite, du membre…du gros pieu, raide et lourd qui viendrait lui ramoner le ventre. Il tenait ses cheveux comme des poignées et donnait la cadence à la fourette buccale, comme un obsédé qu'il était.
Puis, n'en pouvant plus, elle se laissa aller en arrière, ouvrant largement ses cuisses rondes et charnues. Son amant lui monta dessus instantanément et positionna son membre lourd à l'entrée de sa chatte, tout en cramponnant sa belle croupe de salope pour faire avancer le bassin à la bonne position. Les genoux repliés Géraldine se laissait posséder par cette queue énorme…
Enorme par la forme du gland, qui était vultueux, lourd, par le cylindre de chair qui la remplissait totalement, par la force de la pénétration qui se faisait d'une seule poussée longue et puissante, par cette sensation de plénitude à sentir ses chairs s'ouvrir à mesure que le mandrin s'enfonçait…Aaaaaaaaaaaaaaaaaah, ouiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
La bite venait de taper au fond de l'utérus et commençait à se retirer, remontant doucement. La sensation était bizarre car en même temps que le sexe se retirait la cyprine remplissait l'espace pour favoriser la prochaine poussée. A peine remontée la grosse pine redescendait dans ce vagin, chaud, juteux, jouissif ! Les mains cramponnées à sa croupe venaient de se déplacer pour lui empoigner les nibards, commençant à en triturer les pointes, les faisant rouler, gonfler…puis la bouche était venue sucer et aspirer la masse de cette belle paire pour en extraire un maximum de plaisir.
Géraldine ne se sentait plus de joie. Sa chatte pleine d'une queue fabuleuse qui la faisait jouir à chaque poussée, ses nichons bouffés par une bouche gourmande, pétris, malaxés, tirés. Son ventre était devenu une fontaine dont la jouissance aurait coulé en continu.
Salope…oui, salope de sexe, avide de queue…il lui fallait, maintenant, se faire prendre souvent, par une bonne grosse bite, afin de jouir encore et toujours. La vie avait changé depuis quelques mois. Elle jouissait, elle prenait son pied, elle suçait, (et bien), elle branlait des bites en y prenant plaisir en sachant que c'était salaud.

Une main était passée sous les cuisses de Géraldine pour revenir sur sa croupe et avait doucement commencé à effleurer son anus, puis, prenant du jus de sa chatte un doigt avait commencé à pousser à l'intérieur…Gé avait avancé ses fesses pour que le doigt rentre encore plus. Elle voulait sentir, à l'intérieur d'elle, se rejoindre la bite et le doigt, comme si elle était en train de se faire prendre par deux queutards qui auraient senti qu'une femelle comme ça il lui fallait de la queue, de la queue, de la queue.

Salope, ouiiiiiiiiiiiiiii, salope et fière de l'être même que, par moment, en pleine crapulerie, elle suçait un doigt de son amant pour faire comme si elle aurait eu une bite dans la chatte tout en suçant un autre mec.
Le doigt allait et venait, glissant tout seul dans l'anus qui devenait de plus en plus souple au fil des semaines ; puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Géraldine se sentait partir…elle donnait des coups de reins, gémissait, soufflait, couinait, disait qu'elle jouissait…et plus elle oralisait sa joie, plus la queue dans son ventre grossissait, prenait du volume, de la raideur…plus la cadence des coups de bite allait crescendo et plus elle manifestait son plaisir en devenant salace, en disant qu'elle pensait à des choses salopes…Elle se sentait salope, surtout quand elle disait à son amant ce qu'elle faisait parfois sans lui…tout en sachant qu'elle allait en profiter, s'en prendre plein le ventre.
Elle aimait ce moment où elle sentait son amant se raidir de la tête aux pieds, ses mains se crispant sur son superbe cul de baiseuse, pour jouir dans un râle de bête, en envoyant dans son ventre des giclées de sperme…Gé aimait le sperme…dans son ventre, elle en sentait les effets bénéfiques sur sa peau, ses hormones, sa libido. Plus elle en prenait, plus elle en voulait.
Son amant venait d'accélérer la cadence, en lui disant à l'oreille qu'elle devenait de plus en plus salope, de plus en plus accro à la bite, qu'elle aimait branler des queues, qu'elle était bonne à bourrer, qu'il était bien dans son ventre, à donner des coups de rein pour s'enfoncer encore plus profond, qu'elle était faite pour baiser, pour sucer, qu'elle l'excitait comme un salaud quand elle le branlait…Gé s'excitait aussi à s'entendre dire ces choses qui lui auraient parues impossible il y a quelques mois…(d'ailleurs certaines étaient devenues des réalités bien tangibles et bien dures qui loin de lui déplaire la faisaient jouir).
Il était salaud de chez salaud, ce type qui lui bourrait la chatte, à grands coups de mandrin, la défonçant, la prenant de plus en plus profondément, lui murmurant ces obscénités érotico salaces, qui, à la fin, lui manquaient quand il ne les disait pas…elle se sentit partir pour la énième fois et se mit à crier dans les oreilles de son amant le bonheur qui était le sien à jouir comme une petite pute en rut. JP, ne pouvant plus se retenir se mit à gicler à longs traits lourds et épais, serrant encore plus fort le cul somptueux de la belle Géraldine, pour bien abuter son gros sexe au fond de cette chatte fabuleuse qui lui donnait l'impression de le traire pour le vider.

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