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Channel: Chez Andre 112
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Histoires du net. Auteurs inconnus. Tout est possible... Question de prix!

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Des fois un fantasme devient l'élément
déclencheur d'un changement de vie.
Ou de vocation... Ou d'excitation...
Bref! Tu sais pas ce que te réserve ta vie mec..!


Engrenage .
J’ai toujours aimé le sexe mais jusqu’ici je n’ai connu que des relations assez classiques. Mon rêve serait de devenir un objet sexuel entre les mains d’un ou plusieurs mâles. Devenir vénal! Depuis plusieurs années, ce fantasme ronge ma libido et je suis fermement décidé à le vivre.
Je tremble, mon cœur bat la chamade. C’est aujourd’hui que je saute le pas. Je me suis habillé très... pute... T-shirt moulant et déchiré, short très court, bottines et grosses chaussettes... Je vais enfin me vendre, me prostituer...
J’ai bien réfléchi à propos de l’endroit où j’allais «pratiquer» mon art. C’est sur une aire d’autoroute très fréquentée par les routiers que j’ai jeté mon dévolu. Ce n'est pas la première fois que je me gare sur ce parking. J’y suis venu souvent pour m’installer devant les urinoirs et lorgner les queues de mes voisins. J’ai souvent eu envie d’aller plus loin et de m’offrir à certains hommes qui me tâtaient le cul mais... j’ai toujours reculé au dernier moment.
Aujourd’hui, c’est certain, j’irai jusqu'au bout. Je gare ma voiture non loin du bloc des toilettes. La place choisie est idéale, légèrement en retrait mais visible des hommes cherchant une pute. Je respire un bon coup.
Le doute m’assaille... Les doutes même... Vais-je vraiment oser? Y aura-t-il des clients potentiels? Vais-je leur plaire? En fin de compte, je ne dois pas me faire trop de souci. Je suis un beau mec de dix huit ans, très désirable et très vicieux. Je sors de ma voiture et m’expose aux regards des deux ou trois conducteurs installés dans leur voiture. J’ajuste mon short qui rentre dans ma raie chaude et humide. Je dois ressembler à ce que je veux être; une salope prête à tout! J'espère que cette exhibition affiche bien mon statut: pute à louer...
J’essaie de me détendre, de calmer mes battements cardiaques accélérés... Je n’arrête pas de me parler à moi-même:
— Relaxe-toi, imagine ce que tu vas peut-être vivre. Tu vas enfin réaliser ton rêve!
Un nouveau doute! Je le chasse vite en tapotant les poches de mon blouson court. Les préservatifs, j'ai crû que je les avais oubliés! Je sens ma bite qui gonfle et le cockring qui en serre la base. Mon cul palpite.
Je m’appuie contre la portière côté conducteur. Il ne me reste plus qu'à attendre... Les bruits des voitures qui passent à côté de l’aire de repos sont étouffés par la végétation. Il y a un petit massif de buissons derrière moi. Ça doit faire un quart d’heure que je suis là, fébrile et anxieux, et toujours rien.
Je commence à envisager la fuite quand un énorme camion s'approche doucement et passe devant moi. Ma queue sursaute. Putain qu’est-ce que j’ai envie d’une bonne bite! J'aperçois le chauffeur qui se penche pour me regarder. Je prends une pose lascive et j’expose mes avantages à sa vue. Le camion m’a dépassé et je suis déçu. Soudain, le bruit du moteur s’arrête. Mon coeur fait un bon dans ma poitrine.
Le routier sort de son habitacle. Il est massif et assez grand. Il porte une casquette. Il a la quarantaine, un ventre de buveur de bière et il porte un T-shirt kaki d'où sort une masse de poils noirs... Il a une vraie gueule de vicelard. Je serais capable de jouir là sans me toucher tant je suis excité. Ce n’est pas un bel homme mais il colle parfaitement à mon fantasme. Me vendre à un bel homme serait moins excitant...
Il s'approche et s'arrête à deux pas de moi. Ses yeux me dévisagent puis descendent pour se fixer sur la bosse de mon short. Son regard me déshabille sans pudeur... Mon cœur s’emballe à tout rompre.
— Combien?
Ça y est! J’ai ferré mon premier client.
— 80 euros...
— T’es cher... Tu suces et tu te fais baiser pour ce prix là au moins?
— Oui, je fais tout...
— T’es cher mais tu me bottes vraiment! J’aime les putes dans ton genre...
Il me fout la main au paquet et me tripote les seins. Je me sens humilié face à son attitude... Il soupèse la marchandise avant de l'acheter. C’est normal, non? Il anticipe sur le plaisir que ses 80 euros vont lui rapporter... C'est ce que je voulais après tout....
— Viens dans ma cabine...
Cette fois, c’est parti! Je ne peux plus reculer maintenant. Je vais y passer... Je vais faire ma première passe. Il me fait passer devant lui et en profite pour me caresser les fesses. Il doit y avoir des mecs qui me regardent de leur voiture et nous jalousent et c’est hyper bandant.
— Allez, monte là-dedans, que je m’occupe de ton petit cul...
Je suis surpris de la taille et du confort de l'habitacle où je vais subir sa loi. Sa loi de mâle! Il ferme la portière et tire les rideaux, nous isolant de l'extérieur. Il s’installe confortablement et baisse son slip sur ses chevilles poilues. Je découvre un beau sexe bien droit et très large.
— Qu’est ce que t'attends? Viens me sucer... pour commencer...
Je m’agenouille sur la banquette et je me penche sur le membre encore mou. Mon cul est bien dressé et ça doit l’exciter.
— Ouais, comme ça... Cambre-toi bien, ma poupée !
Ma main saisit sa bite tandis que ma bouche l’engloutit. Très vite, je la sens grossir entre mes lèvres. L'homme a glissé sa main entre mes cuisses écartées et caresse ma raie veloutée. Le mec gémit et sa bite est maintenant énorme. Sa main fait pression sur ma tête pour que j’avale son sexe plus profondément encore. J’ai du mal à respirer car son gros gland bute contre mon palais... Ses doigts fébriles cherchent l’entrée de mon trou.
— Hé dis donc, ma petite pute, mais tu es toute mouillée... Déjà prête à l’emploi!
Me voilà bien excité par sa réflexion. J’ai très envie de satisfaire mon client. Son index s'introduit dans mon cul. Je gémis comme un chiot.
— Bonne petite pute... T'es chaude toi dis donc... Continue bien à sucer mon sucre d’orge... Plus tu le fais gonfler plus il te donnera du plaisir!
Pour ma «première fois», je suis tombé sur un client qui sait y faire avec les putes de mon genre. Il m’excite terriblement. Soudain, il se penche et étend le bras pour permettre à ses doigts de me fouiller plus profondément... C’est trop bon d’être rempli par les deux bouts. Je pousse un petit cri et il me claque les fesses. Il n'est pas tendre et s'amuse sans tenir compte de mes désirs...
— Bouge ton cul, avale la bien jusqu’aux couilles.
J'obéis et mon cul vient à la rencontre de ses doigts plantés dans mon petit trou... Je m'y empale en grimaçant.
— Bordel que tu pompes bien! Arrête de me sucer, tu vas me faire jouir.
Je me remets à genoux, cambré et fouillé par ses gros doigts velus...
— Oh comme si c 'était ta première passe!
— C’est MA première passe!
— Putain, j’en étais certain. Allez. Fous-toi à poil maintenant... Je vais m'occuper de toi... et bien, crois-moi!
Il allume une clope et me regarde en connaisseur me foutre à poil.
— J’ai senti tout de suite que t’étais une bonne. Allonge-toi sur la couchette derrière et relève tes jambes que je vois bien ta raie... Redresse un peu ton cul... Ouais...voilà...
Je relève les genoux sur mon ventre et les maintiens avec mes mains, puis penche mes reins en arrière afin de bien montrer mon cul, de lui offrir la vue de ma chatte ouverte et luisante de mouille (de gel en fait).
— Je vais te le bouffer, moi, ton petit cul. Tu vas voir, ça va te plaire.
— Ouais, bouffe-moi la chatte!
— Tu aimes qu’on parle de toi comme d’une femelle, hein?
— Ouais. J’en suis une. Un vrai trou à bites.
Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue tourne autour de mon anus. Je ne le vois plus mais je sens ce qu’il me fait. C’est divin. Il commence à me lécher les couilles tandis qu'il me sodomise avec son pouce. Je gémis encore. Sa bouche s’occupe de mon trou et le lubrifie en profondeur.
 Je bande à tout rompre et je suis dans un état second... sa chose quoi ! Mes yeux tombent sur sa queue qui doit avoir triplé de volume. Elle est monstrueuse , mélange de désir et d'angoisse !
— Allez, on passe aux choses sérieuses! Fous-toi à quatre pattes.
Il s’installe derrière moi, à genoux entre mes chevilles. Je me sens mal. Il agrippe mes hanches et je sens son énorme gland forer mon étroit orifice.
— Non, pas maintenant!
— Hein? Comment «pas maintenant»? J'ai payé non? Tu savais à quoi t'attendre... Assume jusqu’au bout, petite salope! T’as peur d’avoir mal... Crache-toi sur la main et lubrifie encore mais maintenant je vais t'enculer. J’ai une capote... Tu risques rien! Si tu es sage et que tu me laisses faire tout ce que je veux, je te donnerai même un supplément... Allez respire et détends-toi..
L’entrée est rapide et brutale... Je hurle et il me fout mon jockstrap en bouche. Une douleur effroyable irradie mon cul... L'homme n'en a rien à foutre et il continue son va-et-vient de mâle en rut. Je m’agite trop à son goût et il me crie dessus.
— Assume, je t’ai dit! Une pute ça morfle sans se plaindre!
Il se retire doucement pour de nouveau me pénétrer profondément... J’essaie de dominer mes cris. C’est épouvantable. La torture n'en finit pas car il prend son temps. Est-ce que je finis par m’habituer... Toujours est-il que la douleur devient acceptable. Les larmes s’arrêtent et je respire mieux. Un dernier coup de reins. Les poils de son pubis collent à mes fesses. Il grogne comme un chien. Je passe dans toutes les positions et nous finissons, moi assis sur lui, empalé sur sa tige droite. Il s’agite à son tour et son visage s’empourpre.
— Je jouiiiiiiiiis! Putain! Sale truie, sale charogne de pute...
Il est sorti de mon cul et la capote est pleine de foutre. Le calme revient. Il me sourit.
— T’as vraiment été à la hauteur, mec!
Je me rhabille. Je suis assez content et fier.
— Tiens!
Il me tend mes 80 euros. Je les regarde, hébété.
— Tu les a bien mérités, je passe ici le jeudi et le samedi vers 20 heures... Si ça te dit...
— Pourquoi pas! C’était très chouette...
Mon cul est moins d’accord avec le «chouette». Il a bien morflé, lui. Je rentre chez moi, partagé entre deux sentiments: la honte et la fierté.
Une bonne douche me détend et puis je me couche pour repenser à ma première passe. Cette fois, je suis vraiment un prostitué


Groom
Ma première expérience gay, celle qui a tout déclenché et qui a donné suite à de nombreuses autres.
C'était l'été et j'étais "groom" dans un palace de la Côte d'Azur. Ce matin de juillet ensoleillé s'annonçait bien, j'étais de bonne humeur et j'étais invité le soir même à une des plus grandes fêtes organisée sur la Côte cet été. Il était 8h45 et je devais apporter le petit déjeuner à un client.
J'arrivais donc devant la porte et je frappai.
— Oui, entrez!
— Bonjour Monsieur.
— Bonjour jeune homme.
— Voici votre petit déjeuner Monsieur.
— Merci, posez-le ici sur la petite table.
— Voilà. Puis-je faire autre chose Monsieur?
— Oui s'il te plaît. Aide-moi à monter cette valise dans l'armoire, elle est très lourde, elle contient de nombreux scénarios de films.
Je l'aide donc à hisser cette valise. Je me rends compte qu'il pose un regard très appuyé sur moi. Mon idée se confirme quand il me dit:
— Eh bien tu es fort en plus d'être un sacré beau gosse!
— Euh, merci Monsieur.
— Ne sois pas gêné. Un beau jeune homme comme toi, tu dois souvent te faire draguer par les clientes et même par les clients.
C'est le fait qu'il dise "clients" et pas seulement clientes qui m'a fait comprendre où il voulait en venir. Je n'avais jamais eu de relation homosexuelle. J'étais hétéro mais depuis longtemps j'avais de plus en plus envie d'essayer quelque chose de nouveau.
— Oui Monsieur ça m'arrive en effet parfois. Il arrive que des femmes de passage, sans leur mari, me fassent des avances mais je suis ici pour le travail.
— Ça te dirait de me faire plaisir et de gagner 50€ aussi?
Je n'étais pas sûr de ce qu'il avait en tête mais je m'en doutais et le fait de me faire payer pour ça m'excitait.
— On a tous besoin d'un peu d'argent. Que dois-je faire?
— Me donner du plaisir et t'en donner aussi bien sûr.
— Que voulez-vous dire?
Et tout devint très clair quand il a ouvert en grand son peignoir. Il ne portait strictement rien dessous. Je me retrouvais pour la première fois dans une telle situation: en compagnie d'un homme d'environ 45 ans totalement nu. J'étais que je le veuille ou non rabaissé au niveau d'une simple pute. J'allais baiser un homme pour de l'argent. Mais en fait l'argent n'était qu'un bonus car je savais que j'en avais envie.
— J'accepte votre proposition. Par où voulez vous que je commence?
— Je savais que tu accepterais. J'ai envie de toi! J'ai envie de sentir mon sexe dans ta belle bouche. Suce-moi, mais d'abord va fermer la porte à clé et retire vite tes vêtements. Je veux te voir à poil. Je veux savourer la beauté de ton corps. Je suis sûr que t'as une belle queue à me présenter. Elle te plaît la mienne?
— Oh oui! C'est avec un grand plaisir que je vais vous sucer.
En effet il avait une belle bite. Je le regaRdai sous tous les angles pendant que je me déshabillais. Je prenais vraiment du plaisir à me dévêtir et à exhiber ma nudité à cet homme mature qui avait plus d'une vingtaine d'années de plus que moi. Je me retrouvais d'un coup totalement impudique.
J'avais envie de toucher à ce corps nu, je voulais qu'il me touche, qu'il me caresse. J'avais jamais ressenti cette sensation un peu bizzare auparavant. Le côté un peu interdit du sexe homo pour moi qui avait toujours été hétéro renforçait mon excitation. Je suis maintenant tout nu face à cet homme qui vient de s'asseoir dans le sofa et qui a écarté ses cuisses pour que je le suce. Je m'approche alors de lui, me mets à genoux et le regarde en souriant.
— Vous avez une bite extra, je vais la déguster.
— J'aime les petits minets comme toi. Tais-toi et suce!
Je saisis son sexe à pleine main et approche ma bouche. Il est bandé comme un taureau, c'est un vrai morceau de bois de 18 cm de longueur pour 5 cm de diamètre. Je commence à lui lécher son gland, il est gros et rouge. Je le suce bien, en faisant le tour avec ma langue. Je bave sur cette belle verge tendue tellement j'en ai envie. Je ne tarde pas à prendre sa bite à pleine bouche. Il est très excité, il bouge son cul sur le sofa et me caresse de ses mains moites. J'applique un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide sur sa bite.
C'est merveilleux, je la sens aller et venir dans ma bouche, elle coulisse, elle glisse. Je suce, j'aspire. Je le branle de ma main.
— Oh oui, que c'est bon. Tu as du faire ça des centaines de fois mon petit salaud. T'es vraiment doué avec ta bouche. Oh oh, je sens que je vais jouir. Retire-toi si tu veux pas que je t'éjacule dans la bouche.
J'ai sorti sa bite de ma bouche mais pas pour ne pas recevoir son sperme. J'étais excité comme une chienne. Je voulais voir son sperme sortir et gicler sur mon corps.
— Allez-y, videz-vous les couilles sur moi je veux tout recevoir. Je veux en être recouvert.
Je l'ai branlé avec une telle force que sa sauce a jailli d'un coup sans que je puisse me mettre en position. Une épaisse giclée s'est étalée sur mon visage. C'était chaud et bon. J'avais jamais goûté à du sperme mais j'en avais sur toute la face, ça me coulait dans la bouche. Je continuais à le branler toujours aussi rapidement et je sentais ses nombreuses saccades de sperme chaud et gluant se répendre sur tout mon corps en sueur. J'avais du sperme qui me coulait dans la bouche, dans le cou, sur mes tétons, ça continuait encore à sortir de sa queue toute rouge. Quand il fût vidé, je l'ai encore sucé pour recueillir ce qui restait et lui coulait le long de la verge.
J'étais en extase. Je me suis allongé par terre, savourant ce moment en sentant tout ce sperme chaud étalé sur mon corps.
— Ouahh, j'en reviens pas d'avoir joui comme ça. Tu as été extra. Tu m'as pompé comme une pute professionnelle.
Il est venu s'assoir à côté de moi qui était allongé par terre. Il m'a caressé les couilles puis le sexe avant de porter ses caresses sur mes pectoraux. Il prenait plaisir à m'étaler son sperme dessus. Il s'est penché sur moi et m'a embrassé à pleine bouche, goûtant du même coup à son propre sperme qui tapissait ma bouche.
— Lève-toi et va prendre une douche. Il faut que tu partes maintenant sinon la direction de l'hôtel va se demander où tu es passé. Viens ici demain à la même heure. On va encore bien s'amuser tous les deux et un autre billet de 50€ t'attendra.
Je suis allé me doucher, j'ai pris les 50€  et je suis parti en lui promettant de revenir le lendemain...

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