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Histoire du net. Auteur inconnu. Jeune homme en fleur....

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Quel garçon n'a pas rêvé d'une telle situation....
Enfin tous, je ne sais pas....

Ma rencontre avec Cléïa
La première fois que j’ai vu Cléïa, je venais de fêter mes 18 ans, et comme tous les garçons de mon âge, je ne pensais qu’aux filles. Un après midi que j’attendais mes amis à notre lieu de rendez vous habituel, je vis s’arrêter vers moi une fille magnifique, dans un superbe cabriolet de sport. La jeune conductrice cherchait une rue du quartier, et tournait en rond depuis un moment, elle avait oublié son GPS. Je connaissais bien cette rue, mais pour lui indiquer le chemin, ce n’était pas très simple. Après plusieurs minutes d’explications, auxquelles elle ne semblait rien comprendre, elle me proposa de monter dans sa voiture pour la guider. L’occasion était trop belle, pour un peu que je voie quelqu’un que je connaisse, j’aurais pu frimer un max devant les copains.
- Je m’appelle Cléïa, me dit-elle.
- Et moi Raoul, bredouillais-je, intimidé.
Arrivé à destination, elle me demanda si je pouvais l’attendre, elle ne resterait que quelques minutes, et qu’elle me ramènerait ensuite à mon point de départ. J’eus à peine le temps de répondre qu’elle avait déjà quitté la voiture. Sur le trajet du retour, j’en appris un peu plus sur elle, Cléïa avait 25 ans, étudiante et photographe à ses heures perdues. A voir sa voiture et sa tenue, très sexy d’ailleurs, je suppose que ses parents devaient être assez aisés pour l’entretenir ainsi. Lorsqu’elle me déposa, plusieurs copains étaient là, à me regarder les yeux ébahis.
- A bientôt Raoul, me dit elle, en m’embrassant, assez tendrement selon moi. A mon âge on se fait vite des illusions.
Les copains me pressèrent de questions sur cette divine inconnue, mais ne voulant garder ce rêve que pour moi, je leur répondis le plus évasivement possible. Son souvenir hanta nombreux songes de mes nuits suivantes, je ne pensais plus qu’à elle.
Quelques jours après, alors que je faisais du stop pour rentrer chez moi, c’est Cléïa qui s’arrêta en me reconnaissant.
- Si tu n’es pas pressé, je t’offre un verre pour te remercier de m’avoir guidé l’autre jour.
J’étais aux anges. Notre halte dura plus d’une heure, et il me sembla que malgré mon plus jeune âge, je ne lui étais pas indifférent. J’osai lui demander :
- J’aimerais beaucoup te revoir.
- Si tu veux, je passerai te chercher samedi après midi chez toi, si tu es libre.
J’aime autant vous dire, que les trois jours que j’avais à l’attendre ont été très longs, trop longs. Le jour dit, j’ai passé le plus bel après midi de ma vie. Nous nous sommes revus plusieurs fois par la suite, avant que je ne lui avoue mon amour pour elle. Je lui demandais alors, si elle acceptait de sortir avec moi.
- Tu sais, je n’ai plus quinze ans, me dit-elle. Je n’aime que la douceur, et ne sors avec un garçon que s’il n’accepte de faire que ce qui me fait plaisir. Ne me dit rien pour l’instant, prends quelques jours pour bien réfléchir, tu me donneras ton avis lors de notre prochaine rencontre.
Lorsque je lui parlais au téléphone le lendemain, ma décision était prise : « Je ferai volontiers tout ce que tu désires. »
- Tu sais que j’aime la douceur, et que je n’aime pas être contrariée ; Tu es sûr de toi ? Tu ne sais pas à quoi tu t’engages. Me demanda-t-elle.
Je lui confirmai ma décision.
- Alors pour prouver ce que tu viens de me dire, et comme j’aime la douceur, je ne veux plus que tu ais un seul poil. Tu as bien compris ce que cela signifie ?
Je m’empressais d’accepter, bien que cette demande me surprenne beaucoup. Jusqu’à présent nos conversations avaient porté sur des choses plus futiles, jamais sur la sexualité.
Lorsque je l’ai revue, elle était plus sexy que jamais dans sa très courte mini jupe, et avec un chemisier largement échancré laissant apparaître une poitrine bien bronzée. De mon côté, j’avais bien évidemment accédé à sa demande, même si j’avais été assez gêné lorsque je l’avais fait.
- Monte vite en voiture, que l’on trouve un petit coin où nous serons tranquille tous les deux.
Je la guidais alors vers une clairière assez isolée, où j’emmenais parfois mes petites amies. A peine arrivés, elle me demanda de me mettre entièrement nu. Surpris par cette demande si abrupte, je m’exécutais tout de même pour ne pas la décevoir. Elle prit son temps pour m’examiner sous toutes les coutures, et vérifier que sa demande était parfaitement exécutée.
Elle prit alors un appareil photo, et pour immortaliser cet instant, me demanda de prendre des poses plus que sexy. Cela tranchait avec l’attitude qu’elle avait eue jusqu’à présent avec moi. Je dus me mettre debout, assis, couché, à genoux, les cuisses écartées, les mains derrière la tête et bien d’autres encore.
- Tourne-toi à présent, je veux te prendre de dos.
Là encore, de nombreuses photos de moi vinrent remplir son appareil. Couché les bras écartés ou encore à quatre pattes, de loin ou en gros plans, je ne pense pas qu’une seule partie de mon corps ne lui ait échappé.
- C’est très bien, je suis fiere de toi, comme tu as été très gentil avec moi, tu as droit à une récompense.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire que pour le faire, elle se mit nue à son tour, et me sauta littéralement dessus.
C’est ainsi que je devins officiellement son chéri, et que je perdis mon pucelage.
Avant de nous quitter, elle m’annonça très sérieusement.
- Tu as maintenant une idée de ce que je veux, et de ce que j’aime. Si tu es prêt à continuer à me satisfaire, tu seras alors le plus heureux des hommes !!!!!
Bien sûr que je voulais lui faire plaisir, je l’avais dans la peau. Et sa promesse d’être le plus heureux des hommes, ne pouvait que me ravir.
Plusieurs fois de suite je l’ai rappelé au téléphone, et chaque fois elle n’était pas libre ou avait du travail pour ses études, me disait elle. Elle me faisait languir.

Un samedi, elle me donna rendez vous chez elle, j’étais excité comme une puce rien qu’à l’idée d’aller chez elle pour la première fois, mais principalement de la revoir. Arrivée chez elle, Cléïa n’était pas seule, une autre fille splendide était avec elle, penchée sur un ordinateur.
- Alors, voilà ton petit puceau. Annonça la nouvelle venue en guise de préambule.
- Je te présente Jeanne, me dit Cléïa, c’est ma meilleure amie, avec laquelle je partage absolument tout. Mais avant d’aller plus loin, je pense que tu n’as pas dû voir le panneau affiché.
Ce disant, elle me montra un tableau encadré, juste à l’entrée de son appartement. Je m’approchai pour le regarder, et lus le texte qui y était inscrit dessus :
« Seuls les hommes entièrement nus ont le droit d’entrer ici. »
Je pensais que c’était une blague, mais les paroles de Cléïa me démontrèrent le contraire.
- Qu’attends-tu pour te déshabiller.
Comme je ne voulais pas passer pour un idiot devant les deux filles, je commençais à me dévêtir doucement. Lorsqu’il ne me resta plus que mon boxer, j’hésitais à continuer.
Cléïa enchaîna :
- Ce n’est pas la peine de faire ton timide devant Jeanne, je t’ai déjà dit que nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre. De plus, je lui ai déjà montré toutes les photos que j’ai prises de toi l’autre jour, et elle veut voir si tu es aussi bien fait en vrai.
Je n’avais plus qu’à m’exécuter, devant les sourires concupiscents des deux amies. Une fois nu, j’essayais de cacher mes attributs du mieux que je pouvais.
- C’est une habitude qu’il te faudra prendre que d’être nu chez moi. De plus, j’ai été magnanime parce que c’était la première fois que tu venais, mais dorénavant tu te déshabilleras entièrement devant la porte avant d’entrer. Et tu resteras intégralement nu tout le temps que tu resteras ici, que je sois seule ou non.
Alors que cette phrase me laissa assez perplexe, elle enchaîna immédiatement :
- Comme tu as beaucoup à apprendre sur les femmes, Jeanne va m’aider à faire ton éducation, et à corriger les quelques petits défauts que tu as. Viens donc ici tout près de nous maintenant, qu’elle me dise ce qu’elle pense de toi.
- Mets toi à genoux sur le lit, les jambes écartées, et ne bouge plus.
Une fois en position, Cléïa et Jeanne m’observèrent quelques instants. Puis elles me firent mettre dans toutes les positions, pour terminer à quatre pattes. Elles se tournèrent ensuite vers leurs ordinateurs pour reprendre leur travail, sans plus s’occuper de moi. Cléïa me demanda de garder cette dernière pose sans bouger.
Après de nombreuses longues minutes, pendant lesquelles j’avais essayé de rester le plus immobile possible, Cléïa dit à son amie :
- On pourrait peut être faire une pause ?
Celle-ci acquiesça, et répondit :
- J’ai hâte de revoir ton puceau de plus près.
Comme ma maîtresse l’avait exigé, désormais à chaque fois que je la rencontrerais, je devrais me passer un petit coup de rasoir avant d’aller la voir. Les deux filles s’approchèrent alors de moi, et me firent reprendre une nouvelle fois toutes les poses comme celles de la séance de photos. Elles ne gênèrent pas pour faire des commentaires les plus crus sur mon anatomie.
D’autant plus que cette fois, leurs mains n’hésitaient pas à me palper sans vergogne. Après avoir été observé de partout lors de la séance photo, cette fois c’est à leurs attouchements que toutes les parties de mon corps furent soumises. J’étais bien évidemment, dans tous mes états, gêné au possible de montrer mon excitation à une inconnue.
- Cette petite séance m’a trop excitée, annonça Jeanne. Tu sais ce qui me ferait plaisir, dit-elle à Cléïa.
- Il n’y a pas de problème, répondit ma maîtresse qui connaissait bien son amie, Raoul est ici pour notre plaisir. Mets-toi en position Jeanne.
Cléïa me demanda alors de libérer le lit, et de mettre à genoux par terre à côté. Pendant ce temps, Jeanne se mit entièrement nue et à quatre pattes, présentant son postérieur à quelques centimètres de mon visage.
- Ce que préfère Jeanne, c’est qu’une langue curieuse vienne caresser son petit trou.
Moi qui n’avais jamais encore exploré le minou d’une fille avec ma langue, il était hors de question de m’aventurer de ce côté. Ma maîtresse dut sentir ma réticence, car avant que mon trouble ne se fasse sentir, elle avait déjà enserré mes bourses, et commençait à les presser doucement.
- Rappelle-toi que tu as promis de faire tout ce que je te demanderais, me dit-elle. Resserrant son étreinte, elle ajouta :
- Et puis, je serais désolé de te faire du mal.
N’ayant pas le choix, j’avançai timidement ma langue vers l’orifice qui n’attendait que cela. Je commençai par lécher maladroitement les fesses tendues, en évitant au maximum leur centre. Cléïa me serra davantage, en me suggérant de commencer mes caresses linguales par le minou, puis de remonter doucement. Une nouvelle fois, je n’eus pas d’autres alternatives, et fit ce que me commandait ma maîtresse.
La première approche, que je redoutais un peu, ne s’avéra pas si terrible que ça. Je pensais que cela me rebuterais, mais sentir Jeanne se trémousser, m’incita à continuer. Ma langue remonta alors tout doucement, jusqu’au point névralgique.
- C’est bien, m’encouragea alors Cléïa, à présent tu tournes tout autour, avec des petits mouvements très doux.
Je suivi ses conseils, et constatai que Jeanne était de plus en plus excitée.
- Maintenant tu vas lui faire un énorme bisou, de plus je veux voir ta langue aller et venir, et s’enfoncer le plus possible pour la fouiller profondément, comme elle l’aime tant.
Disant cela elle avait étranglé un peu plus mes bourses. Ne tenant pas à ce qu’elle serre davantage, et malgré mon dégoût, je me mis à l’œuvre. Le nez contre la partie la plus charnue de Jeanne, j’avais peine à respirer. Je m’exécutai tout de même du mieux possible, en essayant de lui faire rapidement plaisir. J’avais hâte de me libérer de cette corvée. Ma langue finit par pénétrer au plus profond de Jeanne, j’étais meurtri au possible.
Je sentis que Jeanne appréciait de plus en plus ce que je lui faisais, jusqu’à ce qu’elle se contracte une ultime fois, en écrasant mon visage entre ses fesses. J’étais à la limite de la suffocation lorsqu’elle jouit, et qu’elle libère enfin son étreinte. Elle resta ensuite sans bouger pendants plusieurs secondes.
Cléïa me caressa les fesses comme à un petit animal domestique, elle semblait contente de moi.
Lorsque Jeanne quitta le lit, ma maîtresse totalement dévêtue elle aussi à présent, prit immédiatement la place encore chaude en se mettant sur le dos, et en m’annonçant :
- Pour moi, ce sera plus classique.
Et elle ouvrit alors la fourche de ses cuisses, en attirait mon visage sur son minou. Je m’aperçus alors que, comme son amie, Cléïa était totalement dépourvue de poils pubiens.
- Tu as l’air assez doué avec ta langue, montre moi ça.
Ce fut une nouvelle séance de broutage, mais de minou cette fois. Ma maîtresse m’indiquait à chaque fois ce qu’elle voulait, et je m’activais à donner le meilleur de moi-même. Après la séance qu’il m’avait fallu subir avec Jeanne, c’était un vrai plaisir pour moi, que de contenter Cléïa.
Celle-ci me guidait pour alterner douceur et assauts plus fermes, et laissait entendre des petits gémissements lorsque ma langue remplissait correctement son office. Elle s’agitait de plus en plus frénétiquement sous mes caresses, je voyais qu’elle ne résisterait plus très longtemps. Malgré l’inconfort de ma position, j’aurais aimé pouvoir la lécher ainsi pendant des heures, juste pour le plaisir de la voir heureuse grâce à moi.
Comme je l’avais pressenti, son plaisir vint rapidement, et comme son amie, elle me retint contre elle pendant de longues secondes. J’aurais pu moi aussi jouir en même temps qu’elle, pour un peu qu’elle ait laissé vagabonder ses mains sur ma virilité. Malheureusement, cela n’avait pas l’air d’être à son programme.
Elles se remirent au travail en riant effrontément de l’état dans lequel j’étais.
- Tu auras une récompense un peu plus tard, me dit Cléïa. Pour l’instant tu t’assois sur cette chaise le temps de te calmer, et n’oublie pas de garder les cuisses bien écartées. C’est une autre habitude qu’il ne faut pas que tu oublies, ton sexe doit toujours être bien visible pour toutes celles et ceux qui sont autour de toi.
Je pris la chaise qu’elle me montrait, et regardai avec regret ces deux corps nus et splendides, que je n’avais pas de droit de toucher.
Après un long moment, elles prirent à nouveau place sur le lit. Cléïa m’annonça alors :
- C’est le moment de ta récompense pour tout le plaisir que tu nous as donné. Mais comme il a fallu que je te stimule lorsque tu t’es occupé de Jeanne, le seul plaisir que tu auras sera celui de la vue. Profites en bien, mais surtout ne t’avise pas de bouger, ne serait-ce qu’un cil.
Elle n’avait pas tort, car elle avait bien senti lors de ma prestation avec Jeanne, que je n’étais guère enthousiasmé. Je dus me contenter de mater les deux filles dans un superbe show lesbien. Spectacle beaucoup plus excitant que tous ceux que j’avais pu voir en regardant parfois des films pornos avec mes copains.
Les corps remuaient dans tous les sens, les caresses se succédèrent alors aux embrassades, et les râles couvraient avec peine les gémissements. L’apothéose survint après de longues minutes, lorsque les deux filles jouirent simultanément lors d’un 69 explosif.
Il leur fallu encore un long moment avant qu’elles ne reprennent leurs esprits. Et moi j’étais là comme un pauvre malheureux, la queue plus raide que jamais, entre les jambes.
Ma maîtresse me congédia rapidement :
- A partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je t’appellerai bientôt.
Ma maîtresse me congédia rapidement :
- A partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je t’appellerai bientôt.
Elle ne devait pas avoir la même notion du temps que moi, car elle me contacta plus de quinze jours après, me demandant de venir immédiatement chez elle.
Lorsque je suis entré chez Maîtresse, puisque je devais la nommer ainsi, et en ayant pris soin de me dévêtir totalement avant d’entrer, elle m’a annoncé :
- J’ai un cadeau pour toi.
Comme c’était le premier cadeau qu’elle m’offrait, je m’empressai de la remercier, et d’ouvrir le présent. A l’intérieur du paquet, je trouvai un collier tout en chaîne argentée, d’assez petite taille. Devant mon étonnement, elle m’annonça :
- Je vais te montrer comment il se porte, mais ensuite ce sera à toi de te le mettre tout seul. Il n’y a que moi qui pourrai te l’enlever, ne l’oublie pas.
Joignant le geste à la parole, elle prit le collier et me le passa, non pas autour du cou ou du poignet comme je m’y attendais, mais à mon grand étonnement autour du sexe et des bourses. Elle prit ensuite quelques secondes pour l’ajuster assez serré, et me dit :
- Maintenant on va voir Jeanne.
A l’aide d’un mousqueton, elle attacha alors mon collier à un manche en cuir. Celui ci avait une longueur d’environ 80 cm, et un diamètre que j’estimai à 5 cm. Elle se dirigea ensuite vers la porte de son appartement, en me traînant comme un petit chien. Vu la rigidité de l’ensemble, je n’avais guère de marge de manœuvre. Il fallait absolument que je suive son rythme, sinon mon service trois pièces se trouvait davantage garrotté par ce collier étrangleur.
Soucieux et inquiet d’être à la merci de ce gadget spécial, je n’avais pas pris attention qu’elle m’avait promené nu et attaché de la sorte dans tout l’immeuble, des couloirs au sous sol, en passant par l’ascenseur. Heureusement que nous n’avons rencontré personne jusqu’à sa voiture. Arrivé chez Jeanne, elle me promena de nouveau de la même manière. Mais cette fois, nous étions dans une propriété privée, il aurait été étonnant de rencontrer quelqu’un.
Arrivé dans la maison, la première chose que je remarquai, c’était un jeune homme de dos dans un coin de la pièce, penché en avant, ses mains enserrant ses chevilles. Ce qui me marqua le plus ce n’était pas qu’il fut entièrement nu, mais parce que ses fesses étaient marquées de nombreuses zébrures rouges. Jeanne annonça, plus à mon attention qu’à celle de Maîtresse :
- Il n’a pas été obéissant, il a eu ce qu’il méritait.
Maîtresse se tourna vers moi pour m’expliquer :
- Tu vois ce qui arrive lorsque l’on ne nous fait pas plaisir, alors essaie de t’en souvenir.
Jeanne alla ensuite vers son ami, après quelques secondes elle revint vers nous en le tenant par un collier passé autour de son intimité, le même collier que le mien. En fait je découvris qu’elle l’avait attaché par son collier, directement à un piton fixé dans le mur. Je ne sais pas depuis combien de temps il était fixé de la sorte, mais il avait l’air d’avoir souffert de cette entrave. J’avais intérêt à être docile, Maîtresse serait capable de me faire subir le même sort.
Les deux amies nous entraînèrent dans la chambre, puis nous ôtèrent nos colliers. Maîtresse, qui s’était emparé de la cravache de Jeanne, me fit mettre à quatre pattes sur le lit, la tête aux pieds du lit. A petits coups de cravaches, elle me fit bien écarter les cuisses et relever la tête. Puis elle vint s’asseoir à côté de moi, tandis que Jeanne s’empara d’un appareil photo. Max, j’appris que l’ami de Jeanne se nommait ainsi, vint se mettre face à moi.
- Lorsque tu as vu Jeanne la première fois, commença Maîtresse, nous t’avons fait un joli spectacle toutes les deux. Aujourd’hui, toi et Max, vous allez nous faire le même genre de show. Comme lui a déjà pratiqué la chose, tu vas d’abord t’entraîner à la fellation.
- Tu verras, vu sous cet angle c’est très différent, continua t’elle en souriant.
Max, en demi érection, s’approcha davantage de moi jusqu’à exposer son sexe tout près de mon visage. Lorsque Maîtresse pris une de mes mains pour la passer sur les fesses boursouflées de Max, je compris son message : Je n’avais plus qu’à m’exécuter.
- Commence par lui faire des bisous partout. M’indiqua Maîtresse.
J’approchai alors mes lèvres timidement du sexe de Max. Un premier bisou, puis un deuxième, ce ne fut pas si terrible. Dans ma tête, je m’imaginai que j’étais en train d’embrasser le corps de Maîtresse. Quand j’arrivai aux bourses, bien qu’elles furent tondues aussi, l’image du corps de Maîtresse s’évapora et me ramena à la réalité. Je continuai tout de même, n’ayant pas le choix.
Jeanne n’avais pas cessé de me shooter en gros plan avec son appareil photo, et n’avait pas l’air de vouloir stopper de sitôt.
Maîtresse reprit ses directives :
- A présent tu vas le caresser avec ta langue, en commençant le plus bas possible entre ses cuisses, et en remontant lentement.
Après que j’eus sillonné plusieurs fois le parcours jusqu’au sommet de son érection, elle reprit :
- Tu vas maintenant prendre ses bourses dans ta bouche, et les dorloter avec ta langue.
J’eus un peu de peine à les gober, tant elles étaient volumineuses. J’essayai ensuite de faire ce qu’elle m’avait demandé, mais mes caresses ne devaient pas être très efficaces, car ma langue n’avait que trop peu de place pour évoluer.
Maîtresse m’interrompit soudain :
- Je ne t’ai pas vu l’embrasser au bout de son sexe.
Je délaissai sans regrets les bourses de Max, pour approcher mes lèvres de l’extrémité que me présentait Maîtresse. Une fois mes lèvres en place, Maîtresse appuya fortement sur ma tête, et me précisa :
- Un baiser se donne également avec la langue.
Je dus lui lécher également le bout du sexe, tant que Maîtresse me maintenait.
- J’aimerais à présent voir uniquement ta langue, et qu’elle flatte l’extrémité, comme si elle voulait y pénétrer.
Malgré mon dégoût, je me mis à faire, une fois de plus, ce qu’elle exigeait de moi.
Maîtresse me prit ensuite la tête par les cheveux, et me força à avaler le sexe de Max. Elle me tira en arrière, puis me replongea en avant, et ainsi de suite. Au bout d’un petit moment, je m’aperçus que Maîtresse m’avait lâché, et que je pompais Max tout seul.
- C’est bien, tu as fait le plus difficile. Me dit alors Jeanne, qui reprit les directives :
- Lorsque tu sentiras que Max se lâche, tu ouvriras bien la bouche, et tu tireras la langue le plus possible pour ne pas en avoir plein le visage. Ensuite tu attendras que j’aie fait quelques photos, avant d’avaler.
Elles exigeaient toutes les deux de moi, que je m’avilisse le plus possible.
Pendant que je continuais de m’activer, je vis une des mains de Maîtresse passer entre les cuisses de Max et câliner ses bourses. L’autre main vint s’emparer de sa virilité, et commencer une masturbation frénétique, mon calvaire allait bientôt prendre fin.
Max se libéra inévitablement très vite au fond de ma gorge.
Jeanne, après avoir pris de nombreux clichés, reprit ses consignes :
- Lèche bien la dernière goutte, et ensuite tourne toi vers moi la bouche grande ouverte.
Lorsque j’eus fait ce qu’elle me demandait, et qu’elle ait pris encore de nombreuses photos de la sève de Max dans ma bouche, elle enchaîna :
- C’est bien, avale maintenant, je n’ai pas envie qu’il y en ait plein le lit.
Contraint et forcé, j’obtempérai avec un haut le cœur, que Jeanne remarqua. Elle apostropha alors Maîtresse :
- Il faudra qu’on le fasse sucer plus souvent, qu’il prenne l’habitude.
Pour une fois Maîtresse me défendit :
- Pour sa première pipe, ce n’était pas si mal. La prochaine fois, il fera mieux.
Puis enchaînant :
- C’est dommage que l’on doive déjà partir, la prochaine fois, vous nous ferez un magnifique 69.
Avant de quitter Jeanne et son ami, Maîtresse me demanda de remettre mon collier. Lorsque je l’eus installé, Maîtresse y plaça un petit cadenas, j’étais véritablement prisonnier de son cadeau empoisonné.
Moi qui adorait les fellations, jamais je n’aurais pensé qu’un jour ce serait moi qui devrais en faire une.
Mais le pire était à venir, je le découvris le lendemain seulement.
Comme chaque fois, au moindre coup de téléphone de Maîtresse, j’accourais comme un petit chien bien dressé, j’étais devenu sa chose, son objet.
Une fois nu dans son appartement, elle attacha le collier que je portais toujours à présent, au manche en cuir qui lui servait à me promener. Elle me fit enfiler une grande veste qui cachait ma nudité, et me dit seulement :
- Je t’ai réservé une surprise.
Qu’avait elle encore bien inventé pour cette soirée.
Au lieu de nous diriger vers sa voiture au sous sol, elle partit directement vers la sortie, toujours sans un mot. Nous nous rendions certainement chez une autre de ses amies, qui n’habitait pas très loin. Heureusement qu’il faisait nuit, quoique les quelques personnes que nous avions rencontrées, ont bien du se demander à quoi servait le manche tendu à travers ma veste, vers mon intimité.
Arrivés sur place, Maîtresse embrassa tendrement son amie, à laquelle elle ne daigna même pas me présenter.
- Alors voilà ton petit chéri, il a l’air bien fait.
Maîtresse se tourna vers moi, m’enleva le collier, et me montra le lit qui trônait au milieu de la pièce dans laquelle nous nous tenions. Elle n’eu pas besoin de dire un seul mot je pris immédiatement la position qu’elle attendait de moi : bien droit sur mes genoux, les mains derrière la tête, et surtout les cuisses écartées.
Son amie s’approcha alors de moi, et commença à me palper délicatement les bourses, mon sexe commença naturellement à prendre du volume. Ensuite, elle me masturba distraitement tout en continuant de deviser avec Maîtresse. Semblant de nouveau s’intéresser à moi, elle interrogea Maîtresse :
- Il est aussi bien fait de partout ?
Le seul fait de me dire « Raoul. » suffit pour que je comprenne ce qu’elle désirait :
Sans perdre une seule seconde, je me mis alors à 4 pattes les fesses tournées vers elles, comme Maîtresse aimait que je me présente aussi. Les 2 femmes restèrent un moment à me regarder dans cette position.
Cette exposition ne parut par satisfaire pleinement l’amie, car elle appuya fortement sur mes reins, afin de me faire prendre appui sur mes coudes, et faire ressortir ma croupe. Puis elle me força à écarter davantage les cuisses.
Je sentis ensuite les mains de Maîtresse se positionner sur mes fesses. Elle prit alors bien son temps pour me les écarter longuement, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant. J’étais rouge de honte devant Maîtresse et cette inconnue, qui me regardait avec concupiscence.
L’amie reprit ses caresses, je sentis alors un doigt inquisiteur courir autour de mes bourses, et remonter ensuite vers mon petit trou. Ce petit manège dura plusieurs minutes, et à chaque fois son doigt appuyait plus fortement sur mon intimité.
Maîtresse proposa alors :
- Si tu lui montrais la surprise que tu lui as réservée ?
- Il a juste à tourner la tête, et il la découvrira tout seul.
Je m’empressai alors de regarder alentour, quelle pouvait bien être cette surprise. Je découvris avec embarras, trois vibromasseurs posés sur un plateau, à même pas un mètre de moi.
Non, pensai-je, elles ne vont tout de même pas m’enfiler ça. D’après leurs ricanements, je compris avec stupéfaction que j’avais vu juste.
Ils étaient tous trois semblables en forme et en couleur, seules leurs tailles les différenciaient. L’amie s’empara alors du premier, le plus petit, d’un diamètre environ de celui d’un rouge à lèvre mais bien plus long, en déclarant.
- Celui là ne devrait pas poser de problème.
Après avoir entendu le ronronnement caractéristique, je perçu les fines vibrations sur mes bourses. L’amie avait repris le manège précédent comme avec son doigt, mais avec le petit vibro à présent.
Maîtresse, quant à elle, me tenait toujours les fesses écartées. Ce ne fut seulement après plusieurs minutes, et que l’amie eut déclaré : « Tu vois je te l’avais dit. », que je compris que l’engin avait pénétré malgré moi dans mon intimité.
Les premiers doigts entrés auparavant avaient déjà fait le chemin. A présent, je sentais un peu plus nettement les va et vient entre mes fesses. Leur petit jeu dura encore quelques secondes avant que je ne voie l’amie réapparaître devant moi.
- Maintenant tu vas goûter au deuxième, m’annonça t’elle, il est un peu plus gros. Aussi, je te conseille de bien le lubrifier, si tu ne veux pas trop le sentir.
Disant cela, elle approcha l’engin de ma bouche, en me conseillant de commencer par bien le lécher tout autour. Lorsqu’elle l’eut tourné et retourné dans tous les sens, et que ma langue l’eut bien humecté, elle me l’enfonça dans la bouche. Elle fit de nombreux va et vient en l’enfonçant chaque fois un peu plus.
- Ca devrait suffire comme cela. Dit elle.
Puis elle rejoignit Maîtresse. Le petit jeu des attouchements reprit comme avant, le premier vibro quitta sa place. Cette fois, les pressions autour de ma rondelle durèrent un peu plus longtemps, toujours en tournant au bord, puis en s’enfonçant à chaque fois de plus belle. Maîtresse me tenait à nouveau les fesses bien disjointes.
Il fallait bien que cela arrive, le gadget s’insinua finalement au plus profond de mon intérieur intime. Contrairement à ce que je redoutais, la douleur ne fut pas si forte que je ne l’aurais pensé. L’amie lui fit prendre le va et vient habituel pendant quelques minutes, puis passa la main à Maîtresse, en expliquant :
- Tu vas voir que cela va lui plaire. J’apporte le dernier.
« Me plaire » il fallait le dire vite, en fait, je subissais plus je n’avais le choix. Mais c’est vrai que ce n’était pas atroce, voire très supportable.
Une fois le dernier modèle en main, l’amie le présenta devant moi sans rien me dire. J’avais bien retenu la leçon, je léchai et suçai l’olisbos comme si c’était un geste naturel pour moi. Puis jugeant que j’avais bien fait mon travail, elle repartit derrière moi l’objet en main.
Cette fois, plus de préparation, elle retira le dernier en place, et m’enficha directement celui là sans préambule. La douleur se fit sentir plus intensément cette fois. Instinctivement, je serrai les fesses, une claque sonore me ramena à la réalité de mon supplice, et fit accessoirement rougir ma croupe.
Rapidement les mouvements d’aller et retour se firent à nouveau sentir, cependant que je sentis une main me caresser le sexe.
Au fur et à mesure des mouvements, tant sur mon sexe que ceux du vibro, je perçus l’excitation me gagner. Les filles s’en aperçurent rapidement.
- Tu vois, Cléïa, je te l’avais bien dit, qu’il aimerait ça. Annonça l’amie.
- On va lui faire goûter maintenant un produit plus naturel. Ajouta t’elle.
Qu’avaient elles encore imaginé ? Je n’eus pas le temps de réfléchir à la question que j’entendis l’amie crier: « Jack ! »
L’instant d’après, un jeune homme entra nu dans la pièce, présentant un début d’érection. Sans que l’une des filles ne lui parle, il exhiba son sexe à quelques centimètres de mon visage.
- Tu vas faire comme avec les vibromasseurs, bien le lubrifier. Intima Cléïa.
Puis elle prit le sexe du garçon en main, et l’approcha de ma bouche en disant :
- Ta langue.
Pendant ce temps, et pour ne pas me laisser d’autre choix, son amie appliqua une méthode qui faisait recette à chaque fois : prendre mes « affaires » en main, et commencer à les serrer progressivement. Elle ne cessa pas pour autant les allées et venues du dernier vibro dans mon fondement.
Comme je l’avais fait auparavant, je m’appliquai à passer ma langue partout, pour ne pas décevoir Maîtresse. Le sexe de Jack grossissait à vue d’œil, semblant ne jamais vouloir s’arrêter d’enfler. Maîtresse me fit comprendre à présent qu’il fallait que je le prenne en bouche, et que je continue ma lubrification.
Heureusement, la taille de l’engin qui obstruait ma bouche avait cessé sa croissance. Il était maintenant à peine plus gros que le vibro qui fouraillait dans mes entrailles.
Maîtresse fit signe à Jack qu’il pouvait maintenant officier à son tour. Après qu’il se fut placé derrière moi, l’amie retira son vibro. Le sexe de Jack s’empara immédiatement de la place laissée libre, et reprit tranquillement la cadence.
L’amie délaissa mes bourses pour prendre le plus grand soin de ma virilité, qu’elle entretint savamment par une douce masturbation. Le contact des bourses de Jack qui venaient régulièrement heurter les miennes, me fit un drôle d’effet. Je commençais à prendre goût à cette caresse particulière. L’amie dut s’en rendre compte, car elle accéléra progressivement les mouvements de son poignet.
Jack se libéra rapidement en m’inondant l’intérieur de sa sève. Les caresses de l’amie eurent tôt fait de ma résistance, et à mon tour je me lâchai sur le lit.
Après m’avoir fait lécher ma liqueur, les deux amies applaudirent conjointement au spectacle que je leur avais offert, bien malgré moi.
- Il faudra recommencer plus souvent, qu’il prenne l’habitude. Annonça l’amie qui, je l’appris à ce moment là, se prénommait Claire.
J’avais déjà entendu cette phrase la veille, décidément les 3 femmes avaient fermement l’intention de s’occuper de mon cas.
C’est ainsi qu’à cause, ou grâce à Cléïa, je perdis un autre pucelage.

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