Vivement la retraite.
Le repos forcé remet en forme...
Alors que nous...
Le retraité.
La réunion s’étant terminée plus tôt que prévu, je décidai d’avancer mon retour et d’en faire la surprise à mon épouse, Anne-Laure, que j’ai laissée seule une fois de plus. Mon travail exige de fréquents déplacements, quelquefois de plusieurs jours, et je culpabilise toujours un peu en la quittant. Nous habitons un petit bourg, pas toujours très animé, surtout l’hiver, et j’ai souvent peur qu’elle s’ennuie.
À bientôt quarante-cinq ans, Anne-Laure a conservé une silhouette alléchante qu’elle entretient par une pratique régulière de la natation. Brune, de taille moyenne mais bien proportionnée, ses formes avantageuses attirent souvent le regard des hommes, ce qui n’est pas toujours pour me déplaire. Après avoir élevé nos enfants, elle occupe désormais ses journées entre des visites à quelques amies et du bénévolat dans une association caritative.
Je me fais une joie, ce soir, de l’emmener au restaurant, de passer une soirée en amoureux, les enfants ne rentrant pas avant le week-end prochain. Après vingt ans de vie commune, il est important de se ménager de temps en temps des petits plaisirs
Arrivé près de la maison, je me gare à distance pour qu’elle ne m’entende pas, bien décidé à lui faire la surprise. Tout est calme, le salon est éclairé ; elle doit sûrement s’y trouver. Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le salon, sans éclairer. La porte est entrebâillée. Je m’apprête à entrer quand je perçois des éclats de voix, ou plutôt des cris qui viennent de la pièce.
Je risque un œil dans la pièce, et découvre un spectacle qui m’immobilise sur place. Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le dos, un inconnu, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, appuyé contre le mur, totalement abasourdi par l’incroyable scène. J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à me donner le tournis. Peu à peu, je retrouve ma respiration. Un sentiment de colère m’envahit. Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil dans la pièce, en repoussant légèrement la porte. Tapi dans l’obscurité du couloir, ils ne peuvent pas me voir.
L’homme, que je ne connais pas, doit avoir soixante, soixante-cinq ans, peut-être plus. De taille moyenne, plutôt mince, les cheveux blancs coupés courts, son visage ridé et les membres dégarnis évoquent clairement un âge avancé. Agenouillé devant mon épouse, il lui tient les jambes relevées et écartées et la pénètre avec une belle vigueur, en poussant des « han » de satisfaction.
Je suis sous le choc, n’arrivant pas à croire ce que je vois. Un curieux sentiment s’empare de moi mêlant la colère, la jalousie et l’envie. La scène est totalement surréaliste, et étrangement, me captive. Je regarde Anne-Laure, la tête sur le bord du canapé, les yeux mi-clos, sa chevelure brune rejetée vers l’arrière. Sa poitrine généreuse se soulève en cadence, secouée par les assauts énergiques de l’inconnu.
Mais qui est-il, bon sang, d’où sort-il ? Les questions se bousculent.
Comment mon épouse a-t-elle pu trouver du charme à ce vieux, et répondre ainsi à ses avances ? Quels atouts a-t-il pu mettre en avant pour la séduire, et réussir à gagner ses faveurs ?
A-t-il de l’humour, est-il doux et gentil, intelligent ?
Anne-Laure partage ma vie depuis plus de vingt ans, elle a été une mère de famille dévouée et a toujours rempli son devoir conjugal sans rechigner, mais sans plus, le sexe n’étant pas sa priorité. J’ai bien tenté quelques fois de pimenter nos ébats, mais sans succès.
Ce que je découvre là me laisse pantois. Elle semble prendre son pied la garce ! Sacré surprise !
- Ouiii… ouiii… Antoine ! Vas-y plus fort, l’encourage-t-elle.
- Tu me sens bien, ma belle ? Tu aimes, hein ?
- Ohhh… Antoine… oui…
Ce nom d’Antoine me dit quelque chose… Bien sûr ! C’est un retraité qui travaille aussi comme bénévole dans la même association que ma femme. Il lui téléphone effectivement de temps en temps à la maison et il l’a emmenée quelquefois à des manifestations. Elle m’a déjà parlé de lui, le présentant comme un homme sympathique et convivial.
Je me demande soudain si leur liaison dure depuis longtemps. Alors que je culpabilise à chacun de mes déplacements, peut-être en profite-t-elle pour se faire sauter par ce vieux. La colère gronde en moi à la pensée qu’il l’a peut-être déjà baisée ici, pendant mes absences, ou dans les locaux de leur association. Tétanisé, je continue d’observer passivement la scène.
L’homme se retire, en invitant Anne-Laure à se relever.
- Viens goûter notre petit ami, lui dit-il, il est chaud bouillant.
Le changement de position me permet de découvrir son anatomie, que sa position me cachait jusque là. Son corps n’est pas celui d’un Apollon, loin s’en faut, il paraît même bien fatigué par les années, à en juger par les plis de sa peau. Mais au milieu de la toison pubienne, d’un blanc immaculé, se dresse une verge de belle taille, longue et épaisse, terminée par un gros gland lisse.
Un sentiment de jalousie m’envahit un instant car la comparaison n’est pas flatteuse pour moi. Je comprends mieux maintenant l’intérêt de ma femme, car il est effectivement bien membré et démontre une belle vitalité.
Anne-Laure s’agenouille devant le sexagénaire.
Consterné, je la vois saisir le membre érigé à pleine main, refermant ses lèvres sur le gland turgescent. Elle le suce délicatement, faisant tourner sa langue autour du bourrelet, puis se met à le pomper activement, les lèvres glissant sur la tige de chair, l’avalant presque totalement, faisant gémir son amant de plaisir.
- Oohhh, c’est bon… souffle-t-il. Ouiiii… Vas-y, suce-moi bien !
Bien sûr que c’est bon, car elle sait y faire, avec sa petite langue qui vous chatouille le gland. De nature réservée, bridée par une éducation rigoureuse, elle avait accepté tardivement la fellation dans nos relations, puis y avait pris goût, montrant rapidement de réelles dispositions.
Il y a longtemps qu’Anne-Laure ne m’a pas sucé de cette façon, avec un aussi vif plaisir. Je suis stupéfait par la gloutonnerie qu’elle montre à avaler le sexe de cet homme, le visage collé à son bas-ventre, tandis qu’il lui caresse les cheveux. La bite disparaît presque complètement dans la bouche affamée.
Complètement hypnotisé, je regarde ma femme lécher le sexe du retraité, avec une rare gourmandise, passant et repassant sa langue le long de la verge, lui prenant les bourses dans sa bouche et suçant les testicules tandis que ses mains courent sur les fesses et les cuisses nues de son amant.
- Tu es bien dur, mon chéri, dit-elle, en le branlant vigoureusement. Tu aimes ?
- Oh oui, c’est bon, continue comme ça !
L’homme grimace de plaisir en regardant ma femme, déchaînée, s’activer sur sa bite qui se dresse fièrement. Je découvre une facette de ma femme que je ne connaissais pas, et bizarrement cela m’excite beaucoup. Tout autre mari, à ma place, aurait fait irruption et bouté le malfaisant hors de la maison, avec pertes et fracas. Mais la vision de mon épouse engloutissant le sexe d’un autre homme m’excite et je n’ai pas envie de l’interrompre. Serais-je un pervers qui s’ignore ?
- J’ai envie de toi ! dit Antoine en se dégageant de la bouche affamée de mon épouse.
Et il l’aide à changer de position. Anne-Laure me tourne maintenant le dos, agenouillée sur le canapé, les bras posés sur l’accoudoir, les jambes écartées. Je la regarde avec envie, admiratif de sa quarantaine épanouie, de ses courbes généreuses qui damneraient un saint. Antoine s’est approché et pose ses mains noueuses sur les fesses rebondies, pressant la chair tendre et souple, puis les écarte, dégageant largement la vulve bombée.
- Tu as vraiment un beau cul, tu sais ! s’exclame-t-il en la caressant.
Le salaud ! J’aurais payé cher pour être à sa place à cet instant, mais ce n’est pas moi qui profiterai cette fois-ci de ce cul superbe. Je me contente de savourer la vue sur cette croupe généreusement offerte. L’effet de surprise passé, la colère a disparu, cédant à la place à une excitation grandissante ainsi qu’en témoigne le durcissement de mon sexe. Ils ne sont qu’à quelques mètres de moi, j’entends et je vois parfaitement tout ce qu’ils font.
Il s’agenouille, et du plat de sa langue lèche voluptueusement les lèvres roses, brillantes et humides qu’il tient écartées de ses doigts.
- Hum… ça sent bon ! dit-il entre deux passages.
Sa langue fouille activement la chatte offerte, s’introduisant dans l’orifice trempé.
- Qu’est ce que tu mouilles, dis-donc ! J’adore les femmes qui mouillent comme ça.
C’est vrai qu’Anne-Laure mouille beaucoup, surtout quand on lui lèche longuement le clitoris, lequel grossit alors dans des proportions assez incroyables. L’homme a dû d’ailleurs le trouver car il s’exclame à nouveau :
- Waouh… quel clito ! Hum… hum… c’est bon !
La tête en arrière, ma femme se cambre de plaisir sous les titillements de la langue qui fouille allègrement son intimité, lui agaçant son petit bouton nacré. Elle gémit doucement quand Antoine lui pince le clitoris entre ses lèvres, et le branle délicatement.
- Qu’est ce que j’aime ta chatte, ma chérie !…
- Oohhh… Antoine… Oui… Continue, c’est bon !
La tête enfouie entre les fesses, il la lèche longuement, glissant doucement le long de la raie, titillant de la pointe de la langue la petite rosace brune et plissée. Anne-Laure, très sensible à ces caresses, répond en ondulant voluptueusement du bassin.
Le retraité se relève, pose un genou sur le divan, caresse la croupe nue et rebondie, puis guidant d’une main son sexe bien raide, il pénètre mon épouse, s’enfonçant lentement jusqu’à la garde. J’imagine aisément ce qu’il doit ressentir en glissant dans ma femme. Anne-Laure a gémi pendant la plongée du membre durci dans ses chairs, tandis que je sens naître en moi un sentiment de jalousie et d’envie mêlées.
- Qu’est ce que t’es bonne… souffla-t-il. Humm… tu es douce !
À petits coups de rein, l’homme fouille le ventre chaud et accueillant de sa partenaire. Cela doit être efficace à en juger les cris de plaisirs qui fusent au rythme de la verge. Les mains accrochées aux hanches de mon épouse, il enchaîne des va-et-vient réguliers, plongeant sa bite gonflée dans l’étui douillet que je connais si bien.
- Ohhh… Ohhh… oui… Tu es dur ! Je te sens bien ! s’exclama mon épouse.
- J’ai envie de toi, dit-il… je veux te prendre.
- Ahhh, ahhh… Oui… Vas-y mon chéri ! Ahhh… prends-moi bien fort !
- Ohhh… Je veux te baiser !… Je te baise !
Je suis fasciné par le spectacle de ce vieil homme qui baise ma femme chez moi, à une cadence soutenue, lui tirant des cris de plaisir qui résonnent à mes oreilles comme autant d’aiguillons. Le claquement des cuisses contre les fesses nues rythme les soubresauts de son corps secoué. D’une main, il tient Anne-Laure par la hanche, et de l’autre il lui caresse la poitrine, passant d’un sein à l’autre, pressant les globes lourds et fermes.
- Tu as de sacrés melons… Ça c’est du nichon !
Je me rends compte que j’ai à mon tour une superbe érection. Je dégage ma verge du pantalon et commence à me masturber doucement.
Les seins généreux d’Anne-Laure ballottent sous les coups de boutoir du retraité, lequel alterne les rythmes rapides et lents, fouillant profondément l’intimité abandonnée à son désir.
- Ouiii ! Antoine !… Je te sens bien !
- Qu’est-ce que tu es bonne, nom d’un chien !
- Ahhh ! Oui, viens, prends-moi fort ! Baise-moi !
- Oohhh… J’aime te baiser ! J’aime ta chatte, elle est douce !
- Aouhhh !… Oui… Baise-moi bien !
Je n’en crois pas mes oreilles. Jamais Anne-Laure ne s’exprime comme cela pendant nos rapports. Je découvre une autre personne, au langage cru, presque grossier, qui la rend terriblement excitante.
Mon regard ne peut se détacher de ce sexe qui défonce ma femme en la faisant crier de plaisir. Le membre plonge en elle complètement, disparaissant de ma vue, et je l’imagine fouillant l’intérieur des chairs délicates.
- Ahhh… Oouh… Tu es une sacré salope ! s’écria Antoine
- Ouiii… J’aime quand tu me baises, Antoine !
- Et ton mari, il ne te baise pas ?
- Si, mais c’est pas pareil. Ça fait longtemps maintenant, on est habitué. Cela ne me fait plus grand chose !
- Ah… Ta chatte est bonne, nom d’un chien ! répétait-il. J’aime ta chatte… Je vais te bourrer petite salope !
- Oui… Baise-moi ! Bourre-moi bien fort, Antoine !
Je suis vraiment étonné de sa résistance, et de l’énergie qu’il déploie à la tringler. Par moment il sort son sexe complètement du vagin avant de replonger à nouveau, très lentement. Sa verge paraît avoir encore gonflé, et quand le gland, énorme et rouge, force la vulve, Anne-Laure pousse des cris de contentement. Tout en la pilonnant avec régularité, il lui caresse doucement l’anus avec son index, après y avoir déposé un long filet de salive.
Consterné, envieux, je comprends qu’il va bientôt profiter du « petit trésor » comme elle dit, qu’elle m’a toujours refusé, malgré mes nombreuses demandes. Lentement il enfonce son doigt dans le petit orifice, tandis qu’Anne-Laure se cambre légèrement. Il le fait aller et venir, assouplissant ainsi la petite rosette. C’est bientôt deux puis trois doigts qu’il introduit dans son intimité, la fouillant fiévreusement. Celle-ci gémit de plus en plus, totalement abandonnée aux caresses de son amant.
Quelle salope !
- Oohhh… Antoine… Ouuhh ! C’est bon ! souffle-t-elle.
- Dis-donc, ton petit trou est bien souple ! On doit y passer souvent, non ?
Elle ne répond pas, se contentant de hocher la tête en signe de dénégation.
- Ah bon… dit-il étonné. Pourtant j’aurais juré le contraire !
Consciencieusement il lui doigte l’anus, avec des petits mouvements de moulinet.
- Aouhh… Ouiii… Ahhh, Antoine !
Les doigts accélèrent, sous les cris d’Anne-Laure qui ondule sa croupe de plus en plus, les reins cambrés, la tête en arrière.
- Ouiii… Ouiii… Ouuhh Antoine !
- Voyons cela de plus près ! dit-il en dégageant son sexe du vagin et en le mouillant de salive.
Puis il l’appuie sur la rosette plissée, et je vois le gland presser les chairs, et lentement disparaître dans l’orifice, tandis que ma femme pousse un cri de douleur et de plaisir mêlés. Le sexe d’Antoine est d’un bon diamètre, et la pression pour Anne-Laure doit être très importante. Il s’arrête, la laissant s’adapter, puis reprend sa lente plongée dans les profondeurs les plus intimes de mon épouse.
- Ahhh… Nom d’un chien, quel cul ! s’exclama-t-il après l’avoir pénétrée totalement. Qu’est-ce que c’est bon !
Il se retire lentement puis la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul coup, qui fit de nouveau hurler Anne-Laure.
- Aaaahh… Oooouhhh ! crie-t-elle, tandis que la verge du retraité s’enfouit en elle, plongeant vers les trésors cachés.
- Ohhh… quel cul ma belle, c’est pas croyable ! crie-t-il en la bourrant maintenant avec vigueur. Qu’est-ce qu’il est doux !
Pendant de longues minutes le sexagénaire la sodomise, n’hésitant pas à lui claquer les fesses, ce qui a l’air de lui plaire.
- Et dire que tu n’as pas laissé ton mari te baiser le cul,… Un cul comme celui-là !
- Ohhh… Ouiii… Ouiii ! Ohhh… Antoine !
- Oui, jouis ma belle, vas-y ! Jouis !
- Ouhhh… ouhhh, c’est bon… Baise-moi, Antoine, baise-moi… !
Les cris de jouissance de mon épouse résonnent dans ma tête, et je la contemple, fasciné par le membre long et épais qui va-et-vient entre ses fesses rebondies. L’excitation du retraité est à son comble et il lui martèle le cul avec une vigueur incroyable.
- Allez, jouis… ! crie-t-il. Vas-y, jouis de ma bite !
Tout cela me paraît complètement irréel. Le claquement de ses cuisses contre les fesses de ma femme à chaque pénétration résonne à mes oreilles, et m’excite encore plus.
- Tu aimes que je te prenne par le cul, hein ? Tu aimes ?
- Oui Antoine, j’aime ça… C’est trop bon !
Ma queue est dure comme elle ne l’a plus été depuis longtemps.
Un grand cri résonne soudain dans le salon, et je comprends que le retraité vient de jouir, profondément planté dans le cul de ma femme.
- Putain, que c’est bon !
Il s’est cambré, les yeux fermés, et la pilonne violemment, en la tenant fermement par les hanches. J’imagine la semence qui fuse en jets saccadés, inondant l’intimité douillette qui l’a accueillie. Dans la foulée Anne-Laure a crié également, son corps secoué de soubresauts, témoin d’un orgasme particulièrement intense.
Leur jouissance provoque la mienne et j’éjacule en silence dans le couloir obscur, maculant le mur de mon sperme brûlant. Mon orgasme a été particulièrement fort, et je reprends mon souffle peu à peu, le front mouillé de sueur.
Après s’être longuement vidé les couilles au fond de son rectum, le retraité s’est affalé sur le dos d’Anne-Laure, son sexe toujours planté entre ses fesses, en la caressant de ses mains noueuses.
- Ohhh Antoine, dit-elle, c’était bon, tu sais !
- Oui ma chérie, c’était bon… j’aime te baiser, tu es vraiment bonne !
- Antoine…
La tension retombe lentement.
Sans bruit, je fais demi-tour et sors par le garage, laissant les deux amants à leur soirée qui n’est sans doute pas finie.
J’ai du mal à réaliser ce dont je viens d’être témoin. Ce n’est pourtant pas un rêve, et je vais devoir m’y faire. Je réalise que je suis vraiment cocu, mais un cocu content, content que sa femme soit bien baisée.
J’arriverai demain, comme prévu, des idées plein la tête, bien décidé à redécouvrir mon épouse, à profiter de ses nouvelles dispositions.