Ou le malheureux Lilian
découvre...
Et se découvre...
Et se découvre...
Le cocu, sa femme et son amant
Suite.
Jeudi voici ma tenue. A 9h00 Mme fortin est venue me voir à mon bureau en me disant de la prévenir lorsque je retirerais ma jupe. A 10h30 je retire ma jupe et je l‘accroche à ma porte. Je prends le téléphone interne et je l’appelle
- Mme Fortin, c’est fait
- Pardon ? Qu’est ce qui est fait
- J'ai retiré ma jupe »
- Ah oui, c’est bien, vous restez donc ainsi ½ heure
- Absolument »
Elle raccroche. Je m’attends à ce qu’elle vienne mais à 11h00 elle n’ait pas venu. A 11h10, un peu déçue quand même, je remets ma jupe.
A15h30 je retire ma jupe et je l‘accroche à ma porte. J’appelle Mme Fortin.
- Allo oui ? »
- C’est Sandrine, j’ai retiré ma jupe
- Bien » et elle raccroche.
Je trouve son attitude bizarre. A 15h55, la porte de mon bureau s’ouvre, nouveau sursaut de ma part, c’est elle.
- Levez vous, bien tournez vous, restez debout face à moi»
Me voilà face à elle en string totalement transparent (Raymond m’a obligé à le mettre suite aux révélations d’hier)
- Effectivement vous êtes intégralement épilée, si vos collègues savaient cela, asseyez vous »
Elle me demande des renseignements sur un dossier en cours, nous discutons donc travail comme si de rien n’était.A 16h10, elle me dit de me rhabiller. Je vais donc chercher ma jupe et je la remets devant elle.
Je raconte à Raymond ma journée et lui me fait avouer que j’aime cette situation, mélange de soumission et de honte.
Vendredi voici ma tenue. A 10h30 je retire ma jupe et je l‘accroche à ma porte. Je prends le téléphone pour appeler Mme Fortin
- J’ai enlevé ma jupe
- Bien et pour cette après midi vous devrez l’enlever qu’à 16h00, pas la peine de m’appeler
- D’accord »
Je reste ma ½ heure sans ma jupe, elle ne vient pas me voir.
A 16h00 j’enlève ma jupe et l’accroche au porte-manteau. A16h20 elle rentre dans mon bureau (je sursaute encore, j’y du mal à m’y faire)
- Allez montrez moi votre string »
Je me lève, me retourne et me remets face à elle.
- Toujours aussi transparent. Asseyez vous et montrez moi le dossier Lefort »
Je prends donc le dossier Lefort et nous en discutons. A16h30 je luis dis
- Mee Fortin, je peux remettre ma jupe car mes collègues vont partir et vont venir me dire au revoir
- C’est pas la peine, je vais aller ouvrir votre porte, vous pourrez toujours les saluer et nous allons continuer sur ce dossier »
Elle va ouvrir la porte avec toujours ma jupe accrochée derrière. Mes collègues me voyant avec elle, n’osent pas rentrer dans mon bureau et nous disent bon week-end. J’étais toute rouge d’être en string sur mon fauteuil et de les voir à ma porte.
A 16h40, Mme Fortin me demande de ma rhabiller en me disant vivement lundi.
Voilà ma semaine, elle t’a plu mon petit mari »
- Oh oui »
Comment lui dire autre chose, je bande comme jamais
- Donne moi la capote, je vais te la mettre »
Elle me met la capote et commence à me branler tout doucement. Tout en accélérant, elle me dit
- Tu aimes quand je te dis lorsque je baise avec Raymond, parce que moi je ne voulais pas te le dire mais Raymond a insisté pour que je te le dises
- Oui, cela m’excite, vous pouvez me donner tous les détails que vous voulez…. »
A ce moment là, j’éjacule dans le préservatif, ravagé d’un orgasme. Elle m’embrasse sur le front et me dit
- Je vois bien, allez va t’essuyer et va jeter la capote, fantasme bien cette semaine mais pas de branlette jusqu’à dimanche »
Elle s’en va en souriant rejoindre Raymond dans sa chambre.
oooOOooo
Lundi je me demande où va nous amener cette relation. Je ne vois plus Sandrine nue depuis 3 semaines, j’ai le droit qu’à un orgasme par semaine, Raymond baise Sandrine à ma place, je ne peux plus voir du sexe sur mon ordinateur et m’exciter.
Alors mardi, n’en pouvant plus, je profite du dîner pour leur demander si je peux avoir plus de sexe dans la semaine car je suis frustré. Raymond me dit qu’ils vont en discuter et me donner leur réponse jeudi.
Jeudi soir arrive, et Raymond me dit
- Bon, Sandrine et moi nous avons discuté de ce que tu nous a dit mardi et nous sommes arrivés à un compromis
- Je vous écoute
- Nous comprenons que tu es frustré depuis 3 semaines. Mais certaines choses ne changeront pas, comme ton droit à 1 jouissance par semaine et bien sur interdiction de faire l’amour à Sandrine.
Par contre, nous pouvons assouplir les autres règles comme te donner accès à la pornographie sur ton ordinateur et que Sandrine ne se cache plus de toi à la maison dans ses tenues sexy.
Mais il y aura une contrepartie à cela, outre le fait que tu ne devras pas te branler comme avant sauf le dimanche en notre présence, nous devons être sur que tu ne chercheras pas à tromper Sandrine si tu es trop excité et donc chaque semaine tu devras réaliser une épreuve que nous te ferons subir et qui t’empêcheras d’aller voir ailleurs
- Mais quel type d’épreuve ? »
Sandrine me répond :
- Tu les découvriras au fur et à mesure des semaines »
Raymond complète :
- Attention si tu acceptes, tu ne pourras plus faire machine arrière, alors que décides tu ?
Je suis surpris, je ne m’attendais pas à cela et en plus sans rien connaître des perversions qu’ils vont me faire subir, mais d’un autre coté, je serais moins frustré et je verrais peut être ma femme nue à nouveau à défaut de la toucher.
- J’accepte votre proposition »
Sandrine me sourit :
- Tu verras, tu ne le regretteras pas et en plus comme cela tu participeras à nos délires. Nous commencerons par une épreuve lundi que je t’annoncerais dimanche en même temps que mon récit de ma semaine »
Je suis content, j’ai arrivé à négocier avec eux et j’attends dimanche avec impatience.
Le dimanche soir arrive, et vers 22h00 Sandrine me dit :
- Lilian, va te préparer, j’arrive »
Je file donc dans ma chambre, me mets nu, prends une capote et me couche sur le lit.
Elle arrive avec son ordinateur portable, j’ai déjà une érection. Elle regarde mon sexe et sourit.
- Tout d’abord je dois te dire mon thème de la semaine, je devais montrer ma culotte ou mon string à au moins 10 hommes différents par jour mais de façon fortuite, pas en les aguichant. Mais avant je devais aller voir Mme Fortin (ma chef de service) pour lui donner le thème de la semaine.
A 9h00 je me présente donc à son bureau, elle me dit
- Alors Sandrine que voulez vous me dire ?
- Je suis venue vous dire comme convenu avec mon amant Raymond le thème de ma semaine
- Je vous écoute donc »
Je suis à ce moment là debout devant son bureau et toute rouge et je lui dis
- Je dois chaque jour montrer fortuitement mon slip ou mon string à au moins dix hommes différents
- Et bien dîtes donc vous n’avez peur de rien
- Si cela m’effraie, mais en même temps cela m’excite de le faire pour Raymond. C’est pourquoi il a décidé de m’accompagner et de me montrer comment faire à midi et après le travail aujourd’hui. Demain je vous montrerais ce qu’il m’aura fait faire. Et pour le restant de la semaine, j’écouterais vos suggestions et je les réaliserais
- Cela me convient parfaitement mais je veux que vous continuiez le thème de la semaine dernière, il y a pas de raison d’oublier ce que vous avez appris à faire. Je veux donc que vous retiriez votre jupe pendant ½ heure les matins et les après-midi et que vous me le fassiez savoir. Allez au travail maintenant
Je sors de son bureau soulagée et je peux te dire que cela m’avait un peu excité (je pense que je prends goût à cette obligation de me rabaisser devant ma chef)
Donc à 10h30, j’ai retiré ma jupe, je l’ai accrochée au porte-manteau et j’ai appelé Mme Fortin pour le lui dire. A10h45, elle est rentrée sans frapper et j’ai encore sursauté et elle m’a demandé de me lever pour lui montrer la culotte que j’allais exhiber ce midi. Je me suis donc levée, elle souriait puis elle est ressortie de mon bureau. A 11h00 j’ai remis ma jupe et à 12h00 Raymond m’attendait pour aller déjeuner.
Nous sommes allés dans un restaurant et là Raymond m’a expliqué comment je devais procéder.
- Tu dois d’abord ne plus croiser tes jambes et les laisser écarter d’au moins de deux points de main, rester naturelle et faire comme si de rien n’était même si tu vois qu’on regarde ta culotte. Lorsque tu sors d’une table ou si tu te lèves, écartez au maximum tes jambes.
J’ai donc écarté mes jambes et je peux te dire que lorsque le serveur est venu chercher la commande ou lorsqu’il a amené les plats, il a pris son temps. J’avais chaud. De plus je voyais certains regards des autres clients sur mon entrecuisse.
Lorsque nous sommes ressortis du restaurant, j’étais tellement excitée que j’ai demandé à Raymond si nous pouvions faire l’amour avant de retourner à mon travail.
Il n’a pas voulu car il voulait que je continue à être excitée pour après mon travail.
L’après midi ne passait pas vite, j’attendais avec impatience 17h00 (j’ai quand même retiré ma jupe pour Mme fortin à 15h30)
A 17h00, Raymond m’attendait et il m’a annoncé de nouvelles instructions :
- Nous allons faire des courses, tu dois maintenant lorsque tu te baisseras ne plus plier les genoux ou si tu t’abaisses toujours écarter tes jambes »
Arrivés à l’hyper, j’ai mis en pratique les conseils de Raymond (il me conseillait dans le magasin sur mes poses cela a duré presque 2h00). Plus de dix hommes ont été ravis de mes poses et même si certaines femmes m’ont lancé des regards noirs, j’étais excitée comme une folle.
J’ai voulu faire l’amour dans la voiture sur le chemin de retour et cette fois Raymond a exaucé mon désir, j’ai joui comme rarement.
Mardi, j’ai donc raconté à Mme Fortin ma journée d’hier avec Raymond. Elle a voulu que je reproduise devant elle mes poses. Je l’ai donc fait (avec plus de facilité que la veille) sauf que nous ne sommes pas allées au restaurant mais que nous avons mangé un sandwich sur l’esplanade puisqu’il faisait beau . Puis nous sommes allées à l’hyper. Raymond était très excité par mon récit de ma journée et nous avons fait l’amour avant que tu ne rentres de ton travail
Mercredi, Mme Fortin m’a ramenée à midi sur l’esplanade et elle m’a demandée de rester comme sur la photo pendant 1 h00. Les dix hommes qui doivent voir ma culotte chaque jours ont été largement dépassés. Et comme nous devions aller à une réunion à l’extérieur, elle a exigé que nous prenions le métro et elle m’a demandé d’écarter les cuisses. J’ai aimé être sous ses ordres, elle m’a demandée aussi de venir jeudi avec une robe volante. J’étais excitée toute l’après-midi et c’est encore Raymond qui en a profité lorsque je suis rentrée.
Jeudi, comme il y avait beaucoup de vent, Mme Fortin a exigé que je ne touche pas à ma jupe quoiqu’il arrive. Elle m’a fait me promener dans le centre ville pendant ¾ d’heure. Ma jupe se soulevait très souvent mais je n’ai rien fait pour l’en empêcher. Un groupe de jeunes des cités m’a même sifflé, j’étais écarlate par contre Mme Fortin rigolait. Puis comme d’habitude, nous sommes allées déjeuner sur l’esplanade
Cette journée était particulièrement humiliante mais je suis vraiment heureuse de l’avoir fait
Vendredi, à la pose de midi, nous sommes allées de nouveau nous promener au centre ville. Mme Fortin a coincé l’arrière de ma jupe dans ma culotte et elle m’a dit de marcher comme si je ne le savais pas jusqu’à temps que quelqu’un vienne me le dire. Au bout d’1/2 heure une femme est venue me voir pour me dire que ma jupe était coincée. Je l’ai remerciée et j’ai enfin pu la remettre en place. Par contre beaucoup de personnes m’ont dépassées sans rien me dire, ils se sont bien rincés l’œil.
Samedi, Raymond a voulu refaire le coup du métro, puis celui de l’esplanade et enfin à la brasserie même si il y avait beaucoup de monde. Et comme nous étions si excités, nous sommes allés faire l’amour dans les toilettes de la brasserie, c’était divin et terriblement risqué.
Voilà ma semaine, mon petit mari cocu, je vois que tu bandes fort, mon récit t’a donc plu. Avant que je te branle, je dois t’annoncer ton thème de la semaine à venir, tu ne porteras plus que des slips de femme maintenant. Je t’ai préparé un sac de mes anciennes culottes, avant que Raymond ne me renouvelle ma garde robe, pour toi. Tu devras jeter tous tes slips sauf un, le plus moche que tu me remettras au cas où. Es tu toujours d’accord ?
Je bandais à avoir mal et j’étais prêt à tout pour qu’elle me branle et je lui ai répondu par l’affirmative très rapidement. En 1 minute j’éjaculais dans la capote vu comment j’étais excité et vu la vitesse qu’elle avait imprimée à mon sexe.
Elle m’embrassa sur le front et me dit
- Dors bien et n’oublie pas de me remettre le sac de tes slips demain matin, voilà le sac de tes culottes maintenant »
Elle partit en souriant et je me suis dit que demain sera un autre jour mais que j’étais heureux ce soir !!!
oooOOooo
Lundi matin au réveil, je remplace mes slips et caleçons par les culottes de Sandrine dans mon tiroir. J’en prends une pour ma première journée au travail. En la mettant, je commence à bander.
Le soir en rentrant, Sandrine et Raymond sont dans le salon, elle me dit en souriant :
- Alors comment c’est passé cette première journée avec une de mes culottes ?
- Bien, mais c’est assez bizarre », je n’ose pas leurs dire que cela m’avait excité.
- Montre nous celle que tu as prise »
Et là devant eux assis dans le canapé, je descends mon pantalon pour leur montrer ma petite culotte. Je suis tout rouge en les voyant rire mais malgré moi j’ai un début d’érection.
Mma femme rigole :
- Dis donc mon cochon, cela t’excite de t’exhiber devant nous. Allez, remets ton pantalon et prends le sac de tes slips dans ta chambre pour aller les mettre au container de recyclage »
Je m’exécute, je prends le sac et sors pour aller le jeter dans le container.
Mardi et mercredi, le même rituel s’est produit, il a fallu que je leur montre ma petite culotte sous leur sourire sarcastique.
Jeudi soir, je leur demande de pouvoir mettre le slip de secours pour aller au cours de natation. Raymond me répond qu’il n’en est pas question, que je n’ai qu’à prendre une cabine pour me changer. Je lui rétorque que je n’avais pas l’habitude d’en prendre et que cela risque de paraître suspect aux yeux de certains.
Il me répond que ce n’est pas son problème et même me dit en riant que je n’ai qu’à leur montrer ma petite culotte si je veux.
Je suis donc aller à mon cours de natation et j’ai pris une cabine pour me déshabiller au début et m’habiller à la fin du cours. J’avais l’impression que tout le monde savait que je cherchais à cacher quelque chose, même si personne ne m’a fait de réflexion.
Le reste de la semaine s’est passé sans histoire, je m’attendais chaque soir à me déculotter devant eux mais ils ne m’ont rien demandé.
Samedi soir, Sandrine et Raymond me demandent de venir les rejoindre et elle me dit :
- Pour ta deuxième épreuve, nous voulons que tu t’épiles intégralement ton pubis, ton sexe, ton torse, tes aisselles et tes fesses. Tiens voilà de la crème à épiler. Tu vas avoir le temps de le faire car nous sortons en discothèque ce soir. Je vérifierais demain quand je te raconterais ma semaine. Et n’en profite pas pour te masturber. »
Je reste sans voix et elle rajoute
- Dernière chose, maintenant tu devras toujours rester glabre »
Après leur départ, je suis donc allé m’épiler. J’étais encore plus excité quand je me suis vu comme un petit garçon sans mes poils. Il a fallu que je fasse un gros effort pour ne pas jouir ce soir là.
Dimanche soir, Sandrine me dit :
- Allez mon petit cocu de mari, va te préparer que je te raconte ma semaine mais attends moi dans ta petite culotte »
Je pars dans ma chambre, je me déshabille en gardant ma culotte et je l’attends.
10 minutes plus tard elle rentre dans ma chambre avec un appareil photo à ma grande surprise.
- Je vais désormais faire des photos pour immortaliser tes épreuves. Souris Lilian»
Comme un automate, je souris et elle prend 3 photos de moi en petite culotte de femme puis 3 autres après qu’elle m’eut demandé de me mettre nu.
- Je vois que tu as obéis, cela te va bien sans tous tes poils » et elle se met à rire.
Je bande et je mets donc la capote sur mon sexe
- Bon, voici le thème de la semaine passée. Comme tu le sais, lorsque je te faisais une fellation, je n’aimais pas avaler ton sperme. Et quand pour te faire plaisir, je te laissais éjaculer dans ma bouche, je recrachais tout. C’est pourquoi Raymond a décidé que pendant la semaine, je devrais avaler son sperme 2 fois par jour pour pouvoir apprécier les jeux avec le sperme
Lundi matin avant de partir au travail, j’ai du lui tailler une pipe. Comme tu le vois sur cette photo je n’ai pas trop apprécié qu’il m’en met partout.Mais il m’a dit que j’allais m’habituer. Je pars donc au boulot mais j’étais angoissée car il fallait que je donne le thème de la semaine à Mme Fortin.
A 9h00 je rentre dans son bureau et toute rouge je lui dis comme Raymond me l’avait suggéré :
- Cette semaine je dois avaler 2 fois par jour le sperme de Raymond pour apprécier la semence d’un homme
Elle me répond en riant :
- Alors cette semaine, je ne pourrais pas beaucoup vous aider. Mais cela ne fait rien nous continuerons ensemble à exhiber vos strings comme la semaine dernière à de parfaits inconnus
- Bien sur Mme Fortin, je ferais ce que vous me demandez »
Donc pendant le déjeuner de midi, elle m’a fait prendre la pose et je suis restée comme cela 20 mn. Mme Fortin m’a dit qu’un homme est repassé 5 fois pour profiter du spectacle.
Le soir j’ai fini par une bonne rasade du sperme de Raymond. Il a refusé que je m’essuie et que je me lave les dents. Je me suis donc couchée poisseuse et avec un arrière goût dans la bouche.
Mardi matin avant de partir, nouvelle fellation comme tu vois j’y ai mis de la bonne volonté mais ce n’était pas encore çà. Le midi, nouvelle exhibe avec Mme Fortin sur l’esplanade
Le soir, Raymond s’est vidé sur mon visage, c’était dur et comme lundi soir il n’a pas voulu que je me lave.
Mercredi matin, j’ai fait un effort pour garder son sperme dans ma bouche et j’ai tout avaler.
Le midi, avec Mme fortin nous sommes allées au parc, ½ heure à faire semblant de ne rien voir et pourtant un groupe de 8 étudiants se sont assis sur l’herbe en face de nous et ils n’ont pas arrêté de me reluquer plus ou moins discrètement. Avant de partir Mme Fortin leur a même demandé de nous prendre en photo sur le banc
Le soir, c’est la première fois où j’ai pris plaisir d’avoir la semence de Raymond sur mon visage mais il n’a toujours pas voulu que je m’essuie, j’ai donc du avec mes doigts avaler le surplus de sperme sur mes yeux et mes joues. Il avait raison, je commence à apprécier.
Jeudi matin, comme tu peux le voir sur la photo j’étais heureuse et comblée, cela commence à m’exciter à le faire jouir sur ma figure
Le midi, retour au parc, la journée d’hier avait plu à Mme Fortin, malheureusement le groupe d’étudiants n’était pas là. Mais quelques hommes ont pu tout de même admirer mon string.
Le soir comme d’habitude, ma dose de sperme (quelle santé ce Raymond, excuse moi mais par rapport à lui, tu ne lui arrives pas à la cheville). J’aime bien cette photo , elle montre bien ma progression depuis le début de la semaine. Je suis heureuse, comblée et soumise à la bite de mon homme. Là c’est moi qui n’ai pas voulu me laver avant de me coucher .
Vendredi matin, je suis contente.
Le midi, rien à signaler, Mme Fortin était en déplacement. Par contre le soir avant de partir en week-end, elle est repassée et j’ai du lui montrer les photos que tu viens de voir. Elle m’a dit
- Quelle belle salope vous faites, nous allons nous amuser longtemps ensemble », j’étais rouge comme une pivoine mais elle avait raison quelle salope je suis devenue grâce à Raymond et ce n’est pas fini. Le soir, je lui ai rendu sa bite propre comme jamais.
Samedi matin, c’est moi qui ai prise les initiatives, je voulais ma dose. Je suis devenue accro au sperme en moins d’une semaine.
Samedi soir, en sortant de la discothèque, Raymond m’a demandé de lui tailler une pipe sur le parking. Là en repartant à la voiture, nous avons croisé 2 filles, en les dépassant l’une d’elle a dit à l’autre en parlant de moi « tu as vu, quelle pute, elle avait du sperme sur le visage ». Cela a fait rire Raymond, moi j’ai eu honte, Raymond m’a alors dit pour me réconforter :
- Oui tu es ma petite pute et je t’aime comme cela »
Du coup je suis rentrée comme cela à la maison, dommage que tu dormais, tu aurais pu le voir aussi.
Dimanche matin, cette photo pour te prouver que maintenant j’aime le sperme.
Dimanche après midi, lors de notre ballade au parc, pendant que tu regardais les mecs jouer au foot, Raymond et moi nous nous sommes éclipsés ½ heure pour aller faire cette photo, cette fois je me suis essuyée avant de revenir te chercher.
Rappelle toi, je t’ai surprise en te demandant de me faire un bisou sur la joue droite, c’est Raymond qui me l’avait demandé. Tu n’as rien senti mais 5 minutes avant j’avais son sperme sur cette joue………
C’est à ce moment que j’ai éjaculé dans la capote, Sandrine venait de faire 3 allers-retours sur mon sexe et j’ai été foudroyé par l’orgasme.
Elle m’a embrassé sur le front en me disant bonne nuit et elle est partie rejoindre Raymond de leur chambre. Je suis de plus en plus soumis à Sandrine et à Raymond et j’ai des orgasmes de plus en plus intenses
Chaque lundi matin en me réveillant, je cogite sur l’évolution de mon couple avec Raymond, sûrement du fait que ma jouissance hebdomadaire du dimanche soir refait tomber ma tension sexuelle de la semaine.
oooOOooo
Je n’ai plus fait l’amour à Sandrine, je ne l’ai plus vu nue depuis 4 semaines, Je dors dans la chambre d’amis, Raymond la dévergonde chaque semaine de plus en plus. Sandrine accepte des choses sexuelles pour Raymond qu’elle me refusait (la fellation complète, l’exhibition…)
Maintenant je ne porte plus que des culottes de femmes, je suis épilé complètement (comme un petit garçon)
Je suis humilié devant Raymond et Sandrine et pourtant mon orgasme de la semaine est de plus en plus fort. Je me rends compte que ces situations m’excitent, je dois être un soumis qui s’ignorait.
Après toutes ses pensées, je me lève, m’habille pour partir au travail avec une petite culotte rose.
Le soir en rentrant, je retrouve Sandrine et Raymond à l’apéritif. Raymond m'ordonne :
- Lilian, montre nous quelle culotte tu as mis aujourd’hui »
Je m’exécute, je baisse mon pantalon et il me dit :
- Qu’elle est mignonne » et ils se mettent à rire.
Rougissant, je souris naïvement en me demandant si il parle de ma culotte ou de moi.
Raymond reprend :
- Reste comme cela, et retire ton pantalon, nous devons parler
Sandrine enchaîne :
- Exceptionnellement aujourd’hui, je vais te donner le thème de ma semaine et celui de ta prochaine semaine » Je la regarde un peu étonné et elle reprend « tu vas comprendre rapidement » et là elle retire son gilet et je vois par transparence ses seins. Et oui, cette semaine je ne porterais pas de soutiens gorges et comme tu l’aurais remarqué rapidement, nous avons préféré te le dire »
Moi, face à elle, je ne peux m’empêcher de bander et bien sur ils s’en aperçoivent.
Raymond me dit :
- Et en ce qui te concerne, à partir de la semaine prochaine tu porteras un soutien gorge dès que tu rentreras de ton travail. Mais comme tu ne peux pas porter ceux de Sandrine, demain soir nous irons tous les 3 à l’hyper t’en acheter pour que tu puisses les mettre dès lundi prochain »
Je reste sans voix, et une humiliation en plus.
Mardi soir, nous voilà parti à l’hyper, Sandrine et Raymond choisissent des modèles alors que moi je suis en retrait. Mais ils me demandent si un tel me plaît ou pas. En rougissant et mal à l’aise, je leur dis qu’ils n’ont qu’à choisir eux même.
Enfin ils prennent 6 modèles différents, je me dirige vers les caisses. Mais Raymond m’appelle :
- Hé tu vas aller les essayer, les sous vêtements ne sont ni repris ni échangés ».
Je les regarde franchement étonné
- Non mais il n’en est pas question… »
Sandrine me coupe sèchement :
- Arrête de faire l’enfant, tu vas les essayer point final »
J’ai un moment d’hésitation, c’est notre premier véritable accrochage depuis que Raymond habite avec nous. Je sais que si j’accepte, c’en est fini de ma dignité (j’accepterais toutes leurs humiliations) et en même temps si je refuse, cela signifiera peut-être la fin avec Sandrine.
Finalement, je me décide d’aller vers les cabines d’essayage, j’entends Sandrine dire « voilà qui est raisonnable » J’essaye donc chaque modèle, Raymond et Sandrine donnant leur avis en souriant.
A la caisse, je les paye puis Raymond me dit :
- Allons manger tous les trois au resto pour nous détendre »
La soirée se passe très bien, pas d’allusion à notre situation, je me détends, l’alcool m’aidant un peu. Au café Sandrine me demande si je veux partir avec eux en vacances en août au Cap d’Agde. Je lui réponds bien sur alors elle me dit :
- Réserve tes vacances du 10 au 25 août à ton patron
Nous rentrons, elle vient me faire une bise sur la joue avant d’aller se coucher. Je suis heureux. Le reste de la semaine se passa normalement sans rien de particulier (je me suis quand même épilé samedi le sexe et les aisselles) et si ce n’est le fait que chaque jour je voyais soit les tétons pointés ou les seins de ma femme par transparence.
Le dimanche soir arriva, je m’étais mis en petite culotte dans ma chambre et j’attendais Sandrine essayant de ne pas bander.
Au bout d’1/2 heure, elle arriva avec son ordinateur portable, elle me retira ma culotte et immédiatement j’eus une érection.
Sandrine me dit avec le sourire :
- Mets ta capote maintenant si tu ne veux pas avoir un accident incontrôlé et je te raconterais ma semaine »
Je mis donc ma capote sur mon sexe et elle commença son récit :
- Lundi, pour mon premier jour, Raymond m’a choisi une tenue sage comme tu peux le voir sur cette photo. Il a fallu aller voir Madame Fortin pour lui dire mon thème de la semaine. J’ai toujours un peu honte de le lui dire.
Le soir avec Raymond nous sommes passés laver la voiture avec cette tenue que tu as vu lorsque nous t’avons dit mon thème
Mardi Mme fortin a voulu prendre une photo de moi pendant midi au parc municipal. Elle m’avait demandé de retirer 3 boutons. Cette photo a tellement excité Raymond quand il l’a vu, que j’ai du lui faire une pipe dans la voiture en rentrant du travail. Mardi soir la tenue que je portais avec toi à l’hyper et au resto.
Mercredi, une tenue un peu plus osée comme tu peux le voir. Le soir comme c’est le cours de natation d’adulte que Raymond fait, je lui ai dit que ce soir il allait y avoir une entorse au thème. Il m’a souris et il m’a dit :
- En aucune façon, tu viendras me dire quand je serais à bord du bassin avec les élèves, que tu as oublié le haut de ton maillot de bain
C’est que j’ai fait et il m’a répondu :
- C’est pas grave, tu ne vas pas louper l’entraînement pour ça, mets un tee-shirt » puis prenant les élèves à témoin « cela ne vous gène pas ? » Tu te doutes bien que personne n’a rien dit surtout les hommes. Voici la photo lorsque tout le monde est sorti du bassin.
Jeudi, pas grand-chose : une tenue pour le travail et une autre pour les courses avec Raymond
Vendredi, Raymond m’a choisi une tenue très osée, je ne voulais pas la mettre, déjà qu’au travail mes collègues (surtout les hommes) me reluquent. Mais je l’ai portée et j’étais sûr que mes collègues me proposeraient des cafés pour pouvoir discuter avec moi. Heureusement Madame Fortin a veillé sur moi
Samedi pendant que tu bossais, Raymond et moi sommes allés chez Ikea, il m’a laissé un ¼ d’heure seule sur le parking dans cette tenue. Les gens m’ont sûrement prise pour une pute, tu ne trouves pas ? Le soir nouvelle tenue en discothèque, en plein jour cette tenue est encore sage, mais je ne te dis pas avec les lumières d’une discothèque, c’était archi-transparent »
Dimanche la tenue que je portais avec toi lorsque nous sommes allés au stade et après que tu ais décidé de rentrer, je me suis changée pour Raymond comme tu peux le voir à la sortie du stade
Son récit terminé, Sandrine serre mon sexe qui est tendu à mort, elle commence un va et vient, au troisième j’explose dans la capote. Elle me regarde en souriant, je lui souris aussi et je lui dis :
- Je t’aime ».
Elle me réponds
- Moi aussi je t’aime bien » et elle s’en va rejoindre Raymond
oooOOooo
Et voilà une nouvelle semaine qui commence, et une nouvelle humiliation de plus pour moi aussi. Après l’obligation de me raser le sexe, de porter des slips de femmes, je vais devoir mettre un soutien gorge lorsque je vais rentrer à l’appartement après mon travail.
Je suis sur que Raymond s’en amuse. Par moment je le déteste : il m’a fait cocu avec Sandrine, il l’a convaincu de ne plus baiser avec moi et même de se montrer nue devant moi, et il la rend de plus en plus salope. Et elle aime cela, comme quoi je la connaissais mal.
Que faire d’autre sinon de subir cet état de chose, je pourrais la quitter et divorcer, mais en même temps je jouis de la situation chaque semaine alors je vais continuer à jouer le voyeur de ma propre femme aux ordres d’un autre homme.
Lundi soir en rentrant du boulot Sandrine et Raymond étaient déjà là, j’ai eu à peine le temps de poser mes affaires qu’il m’a dit :
- Va mettre ton soutif et viens nous le montrer, tu nous montreras aussi ta petite culotte »
Me voilà en petite culotte et soutif devant eux, j’ai honte. Raymond me dit :
- Tu devras porter un soutif tout le temps sauf lorsque tu travailleras, c’est compris
- Mais je ne pourrais pas sortir dehors
- Mais si tu t’y habitueras et sous tes vêtements cela ne se verra pas, allez va te rhabiller »
Pourquoi discuter, il a toujours le dernier mot.
Mardi, je reste à l’appart, je ne veux pas sortir.
Mercredi, dès que je me suis changé, Sandrine me dit :
- Ce soir nous t’invitons au restaurant
J’aurais dû m’en douter, ils vont m’obliger à sortir.
Elle rajoute :
- Mais avant nous irons faire des courses à l’hypermarché
Toute la soirée me fut désagréable, à l’hyper comme j’avais mon blouson sur moi, cela ne me préoccupait qu’un petit peu mais au restaurant il a fallu que je l’enlève, j’avais l’impression que tout le resto savait que je portais un soutif. J’étais content de rentrer à l’appart.
Le reste de la semaine se passa mieux, c’était toujours bizarre de sortir en soutif mais je m’y habituais. Raymond avait encore raison.
Dimanche soir arriva, j’avais hâte de connaître la semaine de Sandrine. J’avais remarqué qu’elle ne portait toujours pas de soutif cette semaine, comme la semaine précédente.
Je m’installais, nu sur mon lit, la capote dans la main et je l’attendais.
Elle arriva 45 minutes après avec son ordi portable, elle faisait durer le suspens. Je me mis aussitôt à bander, et j’en profitais pour me mettre le préservatif.
- Tu vas avoir de la chance, grâce à cette semaine que tu pourras voir mes seins en photos » et elle se mit à rire.
Et oui le thème de ma semaine était de montrer mes seins par inadvertance à un maximum de gens. Tu vas te rendre compte que j’ai pas mal réussi.
Comme chaque lundi matin, je suis allé voir Mme Fortin pour lui donner le thème. Elle m’a dit que cela lui plaisait et que nous allions bien nous amuser.
J’étais habillé pour ce premier jour assez classique comme tu peux le voir sur cette prise dans le parc par Mme Fortin. Malgré tout j’ai vu des hommes passés et repassés devant moi, pour pouvoir me mater.
Mardi la tenue était plus dure à porter, laisser les boutons de mon chemisier ouvert et faire comme si de rien n’était, n’était pas très évident. Heureusement que Mme Fortin est là pour m’obliger à obéir à Raymond. Voici la photo au resto du midi. Mme Fortin a bien ri car nous avons eu 4 serveurs différents à notre table, ils avaient du se donner le mot pour venir voir mes seins. Ils n’étaient pas pressés de quitter notre table.
A suivre...