Toucher le fond...
Ou les bas-fonds.
Ou les bas-fonds.
La déchéance de Sophie
byMonsieur_E©
Suite : III
Rien n'était plus laissé à l'imagination. Mon siège était bel et bien trempé, mon léger string n'ayant pas pu absorber toute la cyprine que mon sexe malmené avait produit. Me protégeant pudiquement de mes éternels dossiers, je me ruais plus que je ne marchais vers le parking.
Le trajet jusqu'au repère de mon bourreau fût un véritable supplice. Les salves de vibrations se succédaient de plus en plus rapprochées et plus d'une fois je faillis manquer mes virages. Je me garais n'importe comment, devant un arrêt de bus je crois mais je m'en fichais. Dans l'escalier une dernière série manqua me mettre à genoux. Je gémissais et bavais même.
Quand je frappais avec empressement à la porte, j'étais devenue une loque. Il prit son temps bien entendu et moi je tambourinais de plus en plus fort, au point que la porte d'à côté s'ouvrit. Un homme d'une cinquantaine d'années avec un ventre à bières et un marcel constellé de tâches de graisses me regardait l'air de se demander ce que je fabriquais.
J'arrêtais momentanément de cogner sur la porte et détournais les yeux, l'air gêné.
- Entre à quatre pattes, chienne!
L'ordre qui venait de l'autre côté avait été sec et puissant. Nul doute que le voisin l'avait entendu lui aussi. Je rougis comme une écolière mais dans mon urgence me laissais tomber sur le carrelage sale et entrais sous son regard perplexe.
C'est donc en position de suppliante que je parvenais dans le salon. Eric était assis sur le canapé et achevait de se confectionner un sandwich. Il était nu et son sexe pendait entre ses jambes écartées. Devant lui, la table basse était encombrée de victuailles et au mur la télé jouait un air déjà vu ou très ressemblant à ce que j'avais aperçu la dernière fois.
Tout en terminant de préparer son repas il m'indiqua du doigt le sol à ses pieds. Je me positionnais à genoux là où il le voulait et attendit son bon vouloir. Je ne disais rien et le simple fait de réfléchir m'était d'une difficulté extrême.
- Enlève ton haut et ta jupe, garde le reste!"
Alors que je faisais mine de me relever pour me déshabiller, il m'appuya sur l'épaule et me rabaissa au sol.
- Je ne t'ai pas dit de te lever je crois" dit-il
- Pardon Monsieur" Répondis-je instantanément.
J'ôtais tant bien que mal mon chemisier trempé et me déhanchais de manière impudique pour me libérer de ma jupe. Je me réinstallais dorénavant plus vêtue que de mes bas, porte-jarretelles et du chiffon qui était autrefois un string. Incapable de décrocher les yeux de son sexe, je constatais que ma soumission commençait à l'exciter. Et d'une manière inexplicable, moi également.
Il se leva alors et se saisit de son téléphone. A nouveau l'électricité parcourut mon corps à la limite de la rupture et je gémis sans retenu. Mes cuisses s'ouvrirent un peu plus et sa verge aussi raide que dans mes souvenirs, m'hypnotisait à seulement quelques centimètres de mon visage.
Satisfait il déclara :
- On dirait que la journée t'a bien profité, elle n'est plus aussi fière la bourge modèle. Tu as pigé où se trouvait ta place cette fois?"
Il avançait et reculait. Instinctivement j'entrouvrais la bouche, je ne pensais plus qu'à sa longue tige et à jouir, jouir, jouir! Par tous les moyens.
- REPONDS!! ELLE EST OU TA PLACE SALOPE?"
Je balbutiais
- oui...oui.. ma place est à vos pieds Monsieur...je l'ai enfin compris Monsieur..
- T'en as envie de ma queue pas vrai?
- Oui..oui ...oh oui"
J'essayais de la saisir mais il repoussa mes mains, je m'humiliais même à essayer de la prendre dans ma bouche mais n'y parvins pas. C'était son jeu, ses règles. Ma frustration n'avait d'égal que mon excitation.
Il défit mon chignon, me saisit les cheveux et de son autre main promena sa verge sur mon visage. La forte odeur de sexe mâle qui émanait de lui me rendait folle.
- Tu serais prête à faire quoi pour l'avoir?
Je n'hésitais pas une seconde.
- Tout...tout ce que vous voudrez, je ferais tout...je vous sucerais, j'avalerais votre semence...tout ce que vous désirez".
Et à cet instant je pensais mes paroles, je n'avais plus de conscience, je n'étais qu'un objet pétrit de plaisirs douloureux.
Il eut un rire gras et vulgaire.
- Regardez-moi la maman à ses chéris. Quelle salope tu es en réalité, tu ne peux plus nier maintenant". De son ton sadique il ajouta :" Très bien, puisque tu veux tout faire tu vas la mériter cette queue
Il se renfonça dans le canapé, écarta les jambes et les remonta le long de son torse. Ses fesses écartées me faisaient maintenant face.
- Amène toi et lèche bien ou repars comme tu es venue.
Mon esprit en miette mit du temps à m'exposer l'horreur de la situation. Je restais interdite. Au fond de mon ventre les saccades de plus en plus violentes finirent de détruire mes dernières réticences. Je m'avançais et timidement poussait ma langue à l'entrée de sa raie.
A genoux, quasi nue, je léchais le fessier d'un ado qui m'avait soumise. Poussée par l'urgence je me rapprochais de son petit trou jusqu'à ce que d'une poussée sur le crâne il ne me fasse y planter ma langue. Le goût était acre mais pas aussi terrible que je le craignais. Pendant de longues minutes je restais ainsi: ses testicules sur mon nez, le visage enfoncé entre ses globes et lui grognant de plaisir.
C'était fini, je n'avais plus aucune fierté et quand il me tendit son pieu comme on récompense un chien d'une sucrerie, je me jetais dessus et le dévorais en geignant de bonheur. J'étais folle, perdue, mais c'était comme si je n'avais jamais rien goûté d'aussi bon. Cet acte que je pratiquais rarement et sans entrain avec mon époux je le réalisais avec mon tortionnaire en y mettant toute mon âme.
Ma tête montait et descendait le long de son sexe et ma langue jouait avec son gland violacé. Parfois j'avais des hauts le coeur quand je le sentais buter à l'entrée de ma gorge alors même qu'à peine la moitié de sa hampe se trouvait dans ma bouche.
Soudain, il me tira en arrière et me jeta littéralement à quatre pattes. J'étais l'image même de la chienne en chaleur. Ma mouille coulait le long de mes cuisses, ma poitrine était douloureuse tellement elle était gorgée, mon bassin ondulait follement de manière impudique. De la salive s'échappait de ma bouche jusqu'au carrelage.
Lui pendant ce temps s'était emparé du pot de mayonnaise et d'un coup enfonça son sexe dedans. il vint ensuite se positionner derrière moi et d'une manière autoritaire m'écrasa le visage au sol, m'obligeant par la même occasion à me cambrer au maximum.
- Espèce de petite pute! Ne crois pas t'en tirer avec une pipe de débutante. Il y a du travail mais quand j'en aurais fini avec toi tu pourras avaler la queue d'un cheval!"
Je ne réagissais même plus, j'attendais la délivrance que je savais se rapprocher. D'une main ferme il écarta la ficelle de mon string, offrant à sa vue mon oeillet vierge. Seul un fin triangle de tissu protégeait mon antre et quand je sentis son gland se promener le long de ma fente, je crus défaillir.
Il me frappa la croupe et m'intima.
- Dis-moi ce que tu es! Dis-moi ce que tu as envie! Avoue!"
Je poussais mon cul vers lui pour mieux le sentir, le string s'enfonçait même entre mes grandes lèvres. Je lui donnais tout ce qu'il voulait.
- Je vous en prie.. Baisez-moi... Baisez-moi. Je veux votre queue en moi...je suis une salope je l'avoue, une chienne qui veut votre bite...s'il vous plait..."
Je sanglotais, quémandais comme je savais qu'il voulait que je le fasse. Je faisais tout pour le faire fléchir.
- Tu te rappelles ce que je t'avais dit? Que si tu venais tu serais punie?....Tu sais comment je punis les petites allumeuses telle que toi?"
Son sexe remonta de quelques centimètres et je sentis son gland enduit de mayonnaise presser contre mon anneau affolé.
- Noooon je...AaaaAaaaHHHH!"
Je criais quand il me pénétra.
- Pitiéééé...s'il vous plaaaait.."
Il marqua une pause.
- Oui ça me plait...pétasse".
- AAAAAAAAAAAA… AAAAAAAAAAAAAAAAAAA … ARRRRG GGGGGGGHHHHHHHHH"
Cette fois je hurlais si fort que tout le quartier devait l'entendre.
D'un coup il s'était enfoncé de toute sa longueur. Sans plus m'accorder de répit il se mit à me pilonner de plus en plus vite, de plus en plus fort, je sentais son membre fouiller mes entrailles. Il m'insultait, me crachait dessus et peu à peu la douleur s'atténua. Stimulée par l'œuf dont les vibrations étaient poussées au maximum, j'allais bientôt au-devant de ses coups de boutoirs, m'empalant entièrement, ses couilles, frappant contre mon vagin que le string ne défendait plus du tout. Je sentais monter en moi une vague phénoménale, je compris que j'allais avoir un orgasme d'une pratique que je n'avais jamais expérimenté et je me mis à lui répondre en hoquetant. Incapable de m'en empêcher je scellais mon destin.
- Oui Monsieur...baisez moi, sodomisez moi...je suis une trainée, une chienne....VOTRE chienne. Je suis à vous, je vous appartiens, je ferais tout pour vousssss!!!!"
Plus de rédemption possible pour moi, j'acceptais mon destin. Alors que je prononçais ces mots, la déferlante m'emporta toute entière. Mon corps tressauta, je criais, pleurais, toutes les frustrations accumulées avaient leur exutoire.
- OOOOHHH JE JOUIIIIIIISSSSSS!!!!!"
Par la puissance de mon plaisir, l'oeuf fut éjecté de mon sexe et involontairement je resserrais mon anneau sur sa verge. Eric cria à son tour et un flot tiède envahit mon fondement décuplant encore mes sensations. Je ne sais combien de temps nous restâmes ainsi et quand il se retira, il inséra vivement le jouet dans mon petit trou béant.
- Tu le garderas en toi toute la nuit comme ça tu dormiras à côté de ton mari avec mon sperme en toi".
- Oui Monsieur
- Plus maintenant"
- ???"
- Tu t'es donnée à moi. C'est oui Maître".
J'acquiesçais. Il était trop tard pour les faux semblants.
- Bien Maître".
Je sentais pourtant qu'il doutait de ma soumission alors sans réfléchir, je m'approchais de lui toujours à quatre pattes, ouvrais ma bouche et sans qu'il me le demande, je lui suçotais le gland. Sa réaction me surpris. Il éclata de rire. M'indiquant l'écran du doigt il annonça :
- Telle mère, telle fille
Je levais les yeux et les écarquillais. Le visage de la jeune fille qui se faisait baiser avec tant de violence était maintenant visible. Un visage que je connaissais depuis sa plus tendre enfance. Ma fille.
J'essayais de me dégager mais il maintint ma tête contre son pénis. Excité par cette révélation, il avait repris de la vigueur et m'obligeait à lui faire une fellation express. Il donnait le rythme, j'avais du mal à suivre, il me violait littéralement la bouche et je manquais m'étouffer.
Ce fût très vite terminé. Il éjacula à l'entrée de ma gorge et docilement j'avalais jusqu'à la dernière goutte. Il me relâcha et je restais inerte.
- J'ai un cadeau pour toi" me dit-il "puisque tu es ma chienne il est normal que tu portes ceci".
Il se pencha et m'accrocha un fin collier de chien en cuir autour du cou.
- Tu le porteras dès que tu quitteras ta maison. Bien sûr, je garde la laisse...
Beaucoup plus tard, quand je commençais à rassembler mes esprits et me rhabillais il mit les choses au point une bonne fois pour toute.
- Maintenant tu m'appelleras Maître en privé comme en public et tu obéiras sans discuter peu importe ce que je te demande de faire et où. C'est clair?
Servilement je répondais.
- Oui Maître
- Et ne parle pas de tout ça à ta fille compris?" il ajouta avec un sourire malsain "elle a été beaucoup moins difficile à convaincre que sa mère".
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J'étais étendue sur le dos dans mon lit et je ne dormais pas. Allongée dans le noir au côté de mon pauvre mari, je songeais encore et encore à ce maelström d'émotions qu'avait été cette journée.
Dans mon esprit se disputait l'horreur de la découverte du sort de Sonia et le soulagement que j'avais ressenti quand j'avais cessé de lutter. Car oui, au fond de moi j'étais soulagée de ne plus rien avoir à défendre.
J'avais admis que tout était vain, je m'étais rendue corps et âme et j'y avais pris du plaisir. Je m'étais découverte un désir de soumission que je n'osais m'avouer jusqu'alors, j'avais été forcée de l'assumer et cette expérience avait été une révélation. Tout au moins, mon corps avait rendu les armes. Avec le recul, une partie de mon esprit avait honte et se sentait souillée mais curieusement même ce sentiment m'apportait du plaisir.
Mes pensées dérivèrent vers les heures qui avaient suivi cette séance particulière chez Eric. Ma sortie honteuse sous le regard du voisin qui était resté dans le couloir, mon retour au domicile et la gêne que j'avais éprouvé en voyant ma fille.
Et enfin cet instant présent où sous ma nuisette et en mon corps je conservais les preuves de mon appartenance à mon nouveau Maître. J'étais remplie de lui et jusque dans le lit conjugal, il me possédait.
Longtemps je veillais, écoutant les bruits nocturne et la respiration de mon époux endormi. Le soir, il m'avait annoncé que sur décision de son patron, il serait en déplacement jusqu'à dimanche prochain inclus. Quelque part, égoïstement, cette situation me permettait de mieux gérer ma culpabilité et je lui étais reconnaissante de son absence.
Je dû finalement sombrer dans le sommeil car quand j'ouvrais les yeux le soleil filtrait à travers les persiennes. Ce qui m'avait réveillé n'était pas cette lumière toutefois mais une sensation familière au creux de mes reins. IL avait décidé que je devais me lever et IL activait sa poupée télécommandée pour me le faire comprendre. Quelques minutes plus tard, ses instructions arrivaient sur mon portable.
"Bonjour. J'espère que tu as passé une bonne nuit et que tu n'a pas oublié ta place...aujourd'hui tu es autorisée à prendre un soutien-gorge"
Non, bien sûr je n'avais pas oublié. Je n'avais pas feint. Distraitement je lui répondais d'un "Merci Maître" en songeant que paradoxalement, il me respectait plus depuis que j'étais devenue SA chose.
Je pris ma douche matinale. La maison était encore silencieuse et en moi, l'œuf ronronnait doucement. Je savonnais mes seins et en pinçais les pointes. Ma main descendit le long de mon ventre et caressa un instant mon abricot tout lisse. Puis, l'œuf cessa ses vibrations et la magie de l'instant s'évanouit.
Délicatement je le laissais s'échapper de mon petit trou et en le recueillant, de la semence coula sur ma main. Comme en transe, je portais mes doigts à mon nez pour sentir SON odeur et après avoir brièvement hésité, j'en léchais les extrémités en me traitant de salope.
C'était atroce et dégradant. Un frisson de plaisir me parcourut.
Comme chaque jour dorénavant, je m'habillais succinctement tout en essayant de deviner les épreuves perverses que j'allais devoir affronter dans la journée. La grande différence était que cette appréhension se teintait de plus en plus d'une espèce d'impatience. Comme si pour me punir, je désirais être sans cesse humiliée.
Au petit déjeuner, David me demanda presque gêné s'il pouvait dormir chez un copain ce soir. Sa mère se chargeant de les emmener à l'école et de les récupérer pour l'après-midi le lendemain. Comme j'essayais depuis le week-end de me rapprocher de lui je n'y voyais pas d'objection. J'espérais même que cette escapade le sortirait de son enfermement de plus en plus prononcé.
Finalement, après avoir fait des adieux bien pâles à mon époux je donnais le signal du départ.
Au volant, je regardais disparaître mes enfants dans l'enceinte de l'établissement et prélevais dans mon sac à main, mon nouvel accessoire que je m'attachais avec un frisson. Afin de dissimuler au mieux l'accroche de la laisse, je n'avais pas attaché mes cheveux qui tombaient en cascade sur mes épaules.
J'attendais le dernier moment, celui où les trottoirs se vident et où le balai des voitures cesse pour oser me montrer à mes juges. Je m'aperçue en m'approchant qu'ils arboraient tous un sourire en coin qui ne me dit rien qui vaille mais il était trop tard pour s'en inquiéter.
- Bonjour Maître
Je m'étais demandé auparavant comment prononcer ces deux mots. Je savais que si je les chuchotais, IL me les ferait répéter jusqu'à ce qu'il soit satisfait mais je ne voulais pas les crier non plus. J'avais donc opté pour un ton neutre suffisamment puissant pour que ces amis soient pris à témoins de ma défaite. Mon succès fut vite balayé par une situation que je n'avais pas anticipée.
Sourd à mes efforts, il fronça les sourcils et me pointa du doigt accusateur.
- Qu'est-ce que c'est que ça??" me dit-il d'un ton sec.
Sans comprendre, je baissais les yeux sur mon chemisier déboutonné.
- Enlève-moi ça!"
Je crue deviner qu'il parlait de mon soutien-gorge et perplexe je balbutiais.
- Mais...je..le message disait..."
Il ne me laissa pas le temps de terminer.
- Tu ne sais pas lire? Il disait que tu pouvais le prendre...je ne t'ai jamais dit que tu pouvais le porter! Vire-le tout de suite!"
Je devins cramoisie. J'étais totalement déstabilisée par cet ordre et, sensation nouvelle pour moi, j'avais honte de l'avoir déçu.
Impassibles, ces acolytes commencèrent à faire cercle autour de moi et je compris qu'ils étaient au courant depuis le début de ce piège.
- Mais...on va me voir...je ne peux pas...
Avec mes talons, j'étais plus grande que la majorité d'entre eux et le risque de se faire surprendre était évident. Bien sûr il avait un coup d'avance et avait prévu la parade à mon objection.
- Pas si tu te mets accroupie".
Plus qu'une suggestion, sa façon de s'exprimer ne laissait pas de place au refus.
Résignée, je m'abaissais donc, et, m'apprêtais à dévoiler une fois de plus mes charmes aux 5 ados. De par ma position et les efforts que je devais déployer pour ôter mes vêtements, ma jupe remontait dangereusement le long de mes cuisses et jusqu'à la limite de mon fessier.
J'en terminais avec mon calvaire. Chemisier envolé, je fis glisser les bretelles de mes épaules et exposais ma large poitrine à la vue de tous. Le soutien-gorge dans la main, je relevais la tête et ce que je vis me figea.
Profitant que j'étais occupée, Eric avait descendu sa braguette et présentait son sexe déjà dur face à mon visage. J'avais accepté bien des choses, je m'étais donné à LUI, je m'étais même exhibée sur son ordre mais ce qu'il exigeait de moi en public était une étape supplémentaire. Stupidement, je restais immobile et sans un mot, Il se saisit de ma crinière et m'attira vers lui.
Surprise, j'entrouvris la bouche par réflexe, laissant de fait, son membre s'enfoncer jusqu'à la gorge.
- HmMmPFfff"
Je suffoquais et il ne tarda guère à tirer avantage de la situation. Autoritairement il me guidait sur sa tige que j'enduisais de salive. Sans défense, je sentis des mains parcourir mon corps et maltraiter mes seins et, preuve que dans mon dos ses compères ne restaient pas inactifs, le vent frais caressa mes globes quand on me remonta totalement ma jupe.
Un garçon plus téméraire que les autres aventura deux doigts le long de mon intimité et joua avec l'entrée de mon vagin. Mortifiée j'entendais les commentaires qui s'abattaient en pluie sur moi.
- Comme elle mouille la salope!"
Et c'était terriblement vrai. La pression sur mon crâne avait cessé et je continuais de moi-même à aspirer sa hampe. Je faisais même tourner ma langue autour de son gland. Son plaisir était le mien. Les ados à ma droite et ma gauche s'emparèrent chacun d'un de mes bras et on força mes mains à se refermer sur deux colonnes de chair qu'instinctivement je me mis à branler lentement puis de plus en plus vite.
Dans ma bouche, je perçus la tension augmenter dans le chibre de mon Maître et j'étouffais un gémissement de plaisir anticipatif. Au moment où, je le savais, il allait éjaculer, il s'échappa de ma bouche avide de son jus.
- Tiens ton soutif devant toi!
Sans comprendre, j'obéis à son injonction et me rendis compte que j'étais cernée par 5 bites que leurs propriétaires astiquaient violemment. Totalement ahurie je regardais ce spectacle les yeux exorbités quand celui de gauche grogna et envoya de longs jets de sperme dans les bonnets donnant le signal au groupe.
Un à un ils se vidèrent, remplissant mon soutien-gorge de leur crème odorante. Eric fit comme les autres mais me fit nettoyer les dernières traces sur sa verge.
- Maintenant tu peux le porter.
Je le regardais, interdite.
- Et n'en laisse pas échapper une goutte".
Je les dévisageais les uns après les autres, recherchant une lueur de pitié ou de sympathie mais ne lus que de la luxure. Sachant que toute rébellion était inutile, je trempais mes mamelons dans leur jouissance et plaquais mon soutif contre mon buste. La sensation était terrible et mes seins étaient gluants et tièdes. Ce sentiment de totale dégradation se traduisit par une décharge électrique qui atteignit mon clitoris.
Sans attendre que je me rhabille ils se séparèrent de moi, m'obligeant à enfiler mon chemisier précipitamment.
- Tu le garderas toute la journée".
Toujours accroupie et les fesses à l'air, je murmurais un "oui Maître". Puis je me relevais et cette fois sans hâte, regagnais mon véhicule.
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J'arrivais bien sûr en retard au travail. Gérard et André étaient déjà là mais Jessica manquait à l'appel. Un bon moyen pour moi quand elle arriverait de réaffirmer mon autorité. 1h s'écoula dans le cliquetis des claviers et le brouhaha propre aux espaces ouverts. J'essayais de ne pas penser à mes seins tout poisseux et à cette odeur douceâtre qui effleurait mes narines par instants.
J'en étais à me demander comment j'allais faire pour éviter de m'approcher le plus possible de mes collègues quand mon interphone interrompit mes pensées.
- Sophie, vous pouvez monter s'il vous plait" demanda la voix de Richard.
- Tout de suite Richard
Ne me restait qu'à espérer qu'il ne me demande pas de venir près de lui cette fois. Tout en me dirigeant vers son bureau je m'étonnais de cette convocation matinale. En générale Richard me faisait appeler le soir pour "discuter" de la journée. Peut-être que cela avait un rapport avec mon départ précipité de la veille... Quoiqu'il en soit j'allais en avoir très vite le cœur net. Je frappais et sa voix m'invita à entrer.
Je refermais la porte derrière moi, me retournais et marquais un temps d'arrêt. Richard était assis à son bureau et à ses côtés debout se tenait une Jessica rayonnante.
D'un ton neutre, mon supérieur m'éclaira brièvement la situation.
- A Sophie, je voulais voir certains points avec vous. Les résultats de votre équipe sont en baisse ces derniers temps et je vous sens vous-même fragilisée. Peut-être que vous ne vous ménagez pas assez. Quoiqu'il en soit j'ai décidé de manière provisoire.. Pour l'instant, de confier la direction de votre service à Jessica
Je réagis au quart de tour.
- Mais enfin Richard vous n'allez pas...
- Allons, allons, ne vous emballez pas Sophie" me coupa-t-il en levant les bras "prenez plutôt cette nouvelle comme une opportunité pour retrouver sereinement votre efficacité. Je suis certain que vous reprendrez vite les choses en main..."
J'étais soufflée. C'est donc ainsi qu'il avait décidé de se venger de ma résistance à ses avances. J'ouvrais la bouche pour protester quand il me devança.
- Ce sera tout merci. Je crois que votre nouvelle manager a prévu une réunion pour mettre les choses au point" conclu t-il d'un ton sans réplique.
A côté de lui, la petite parvenue faisait semblant de rester impassible mais je sentais qu'elle jubilait. Blême de rage, je refusais de poursuivre un combat truqué perdu d'avance et me retirais. *L'enfoiré!* pensais-je. *Je vais le trainerais au prud'homme pour ça!*
Enervée, je me rassis à mon poste et me renfermais sur moi-même. Le parfum qui s'échappait de mon décolleté devenait de plus en plus entêtant et commençait à me troubler malgré moi.
Comme annoncé par Richard, Jessica nous appela peu après pour la rejoindre en salle de réunion. Quand j'entrais dans la pièce elle s'était déjà installée en bout de table (ma place jusqu'à présent). Indifférente je m'installais à gauche pendant que mes homologues masculins s'asseyaient à droite en échangeant des coups d'oeil surpris.
- Bien. Je vais faire bref. A partir d'aujourd'hui je suis en charge de notre équipe en lieu et place de Sophie. Notre responsable m'a chargé de faire remonter le chiffre d'affaire qui, suite à certaines lacunes, baisse de manière inquiétante...
S'en suivit 15 mns de monologue où cette sale gamine arriviste ne manqua pas une occasion d'insister sur mon incompétence. Je résistais de mon mieux, je restais de marbre mais quand tout en parlant elle fit le tour de la table et posa une main sur mon épaule pour affirmer sa supériorité je me mis à bouillir intérieurement.
Un instant elle parut chercher ses mots. Je levais la tête et la vis froncer le nez et les sourcils. Je me détournais légèrement, honteuse. A force de baigner dedans je n'avais plus conscience de l'odeur qui émanait de moi mais ça ne faisait aucun doute que celle-ci devait être facilement perceptible.
Elle nous libéra sur une dernière pique à mon endroit et en sortant je découvris la catastrophe! Totalement saturé de liquide, mes balconnets avaient fini par imbiber mon chemisier et deux tâches suspectes se formaient peu à peu à des endroits stratégiques.
Prise de panique, je me précipitais aux lavabos des toilettes pour femmes. Heureusement, l'endroit était désert mais de toute façon je n'avais guère le choix. En grimaçant j'ôtais mon chemisier et j'entrepris de le rincer comme je le pus.
J'avais pratiquement terminé quand la porte s'ouvrit brusquement sur Jessica qui fonça droit sur moi. Le temps s'arrêta un instant pendant qu'elle profiter de mon immobilité soudaine pour m'observer de bas en haut. Il était trop tard pour me cacher. Elle écarquilla les yeux au moment même où je sentis un peu de liquide s'échapper de mon bonnet gauche et couler lentement le long de mon ventre.
Elle se pencha sur moi en reniflant.
- Bon sang! Mais c'est...c'est..."
Elle s'interrompit net dans sa tirade alors que je rougissais furieusement et tentais de disparaître sous terre. Un vilain sourire de triomphe lui déforma les traits et je compris que je venais de lui offrir ma tête sur un plateau.
Sans conviction je tentais de me justifier.
- Jessica je..."
- Ta gueule je réfléchis! D'abord c'est Miss Jessica pour toi
Dans ma position je ne savais comment réagir. Je ne pouvais pas me laisser traiter ainsi par elle mais en même temps ce n'était pas le moment d'engager un rapport de force.
Elle dut prendre mon hésitation comme une acceptation. Elle tendit 2 doigts et récupéra le sperme sur mon corps puis, elle les me les tendit.
- Lèche!
J'en restais sans réaction.
- On va la faire courte. A partir de maintenant soit tu fais tout ce que je dis comme un bon toutou, soit dans les deux minutes toute la boîte est au courant que la grande commerciale se balade tartinée de foutre!
Je soutins quelques secondes son regard avant d'abdiquer sous la contrainte. Je baissais les yeux et poussais une langue timide qui effleura ses doigts. Devant mon acception elle ne se fit pas prier et les enfourna soudain dans ma bouche. 1 puis 2 phalanges qu'elle faisait aller et venir comme deux petites verges miniatures.
- Suce-les comme tu as l'habitude de sucer les queues!" dit-elle.
Servilement je pompais ses doigts et les nettoyais de leur souillure. Quand elle me les enfonça jusqu'à la gorge, je faillis vomir. Finalement Jessica retira ses doigts mais si j'avais cru une seconde qu'elle en resterait là, je me trompais.
- Maintenant, enlève ton soutif!
Je rechignais à cet ordre. Tout en la suppliant du regard j'essayais de lui inspirer pitié.
- S'il vous plait...je ne peux pas faire ça...si quelqu'un entre...
Peine perdue. Sur ce point là, sa cruauté n'avait rien à envier à celle d'Eric.
- Alors tu devrais te dépêcher pendant qu'il n'y a personne. Fait moi encore attendre et tu finiras à poil dans le couloir
Je sursautais et rapidement je passais les mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Lentement, en essayant de ne rien renverser, je le fis basculer et lui présentais mes mamelles maculées de traces blanchâtres.
Devant ce spectacle pitoyable elle se mit à ricaner de manière hystérique. Je crois qu'elle n'aurait jamais imaginé dans ses rêves avoir autant de pouvoir sur moi et que cette chance la rendait folle. Grisée par cette sensation elle poussa son avantage jusqu'au bout.
- C'est gentil d'avoir apporté deux bols mais je te laisse ma part
De sa main elle me désigna les bonnets où au fond s'accumulaient deux petites flaques de semence.
- Avale grosse salope!
Ce fut la goutte d'eau. Depuis une semaine mes nerfs qui avaient été mis à rude épreuve lâchèrent. La terrible réalité dans laquelle ma vie avait basculé me heurta en pleine face et des larmes silencieuses coulèrent sur mes joues. Comme hypnotisée par l'odeur écœurante qui maintenant emplissait toute la pièce, j'enfouissais mon visage dans mon soutien-gorge et me mis à aspirer goulument le liquide visqueux.
Le bruit de succion, le goût infâme, l'avilissement dans lequel je me vautrais torturait mon esprit autant que mon corps qui s'échauffait par ces actes. Irrémédiablement je mouillais.
Je me redressais enfin, le visage barbouillé de foutre gras, fixais mes yeux dilatés sur ma tortionnaire et sans que celle-ci m'en donne l'ordre, j'ouvrais ma bouche remplie et d'un coup avalais la liqueur. Je la sentais couler dans ma gorge et j'en eus la chair de poule.
A ce plaisir sale s'ajouta cette petite joie d'apercevoir un instant une lueur de dégoût illuminer le regard de Jessica. Sans un mot elle me tourna le dos et sortit, me laissant plantée dans les toilettes à moitié nue.
Seule à nouveau, le besoin d'aller au bout de ma honte se fit impérieux et les jambes écartées face aux lavabos ma main chercha mon mont lisse et s'y appuya avec force. Quelques instants suffirent à cette violente masturbation pour me faire exploser. Ce n'est qu'une fois satisfaite que je repris conscience de mon environnement. Je lavais mon visage et ma poitrine aussitôt souillée à nouveau par le soutien-gorge et regagnais mon poste de travail.
Au moins, plus rien ne risquait de s'écouler maintenant me consolais-je. Je ne fus plus dérangée ni par Richard ni par ma nouvelle chef, bien qu'elle m'observait à la dérobée et que mon collier de chienne semblât l'intriguer au plus haut point. Je n'avais pas de message non plus d'Eric et l'un dans l'autre j'appréciais le répit offert par cet après-midi tranquille.
A l'heure habituelle, je m'apprêtais à quitter les lieux et m'attendais à être convoquée quelque part mais ce ne fut pas le cas. Cela me parut si étonnant que je le pris comme un cadeau et décidais d'en profiter pour me promener un peu en ville.
Je flânais sans but, errant devant les vitrines. J'étais tellement habituée maintenant à ne plus porter de sous-vêtements et aux hauts-talons que je n'y prêtais même plus attention. Parfois je m'attirais des regards réprobateurs des femmes qui contrastaient furieusement avec ceux d'envie et de désirs de la plupart des hommes que je croisais.
Moi qui avais toujours été complexée et pudique, j'étais aujourd'hui excitée par la lubricité que je provoquais chez ces mâles en rut. Contente de m'être donnée en spectacle, je décidais au bout d'une heure de rentrer chez moi et de passer la soirée en famille. Je n'imaginais pas à cet instant que le destin allait cruellement m'exaucer.
Le soleil se couchait quand j'engageais la voiture dans l'allée de notre pavillon. Mon mari en voyage et mon fils absent je n'avais pas de contrainte de cuisine et c'est donc d'un pas nonchalant que je récupérais le courrier dans la boîte au lettre et tout en le triant, ouvrais ma porte. Ce moment resterait gravé dans ma mémoire jusqu'à la fin de mes jours. Moi qui croyais avoir touché le fond, je compris en un éclair que ma vie venant de s'enfoncer plus profondément encore dans la boue.
A suivre...