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Un Dimanche de brèves

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 Ethno-gay....   
En touriste.....

Pakistan
Partie en voyage organisé dans les montagnes du Nord Pakistan, je me suis retrouvé avec deux couples, je suis le plus jeune (18 ans) et le seul célibataire du groupe.
Seul le soir, quand mes compagnons de voyage allaient se coucher, je restais à discuter avec Iles le guide qui m'explique les coutumes du pays, et aussi la difficulté de posséder une femme.
Après plusieurs jours de route magnifique nous avons fais halte dans un village de montagne qui cultive des abricotiers. Rachid notre guide nous propose d'aller visiter des sources d'eau chaude le couples préfère rester se reposer.
A 6 heures je suis devant le 4*4 prêt à partir. Après trois heures de route cahoteuse nous arrivons devant un petit canyon désertique. Rachid m'entraîne dans un sentier qui longe la paroi de la montagne jusqu'à l'entrée étroite d'une grotte.
Nous parcourons a la lumière d'une torche un labyrinthe de galeries pour arriver dans une grande salle ou une fissure au plafond laisse entrer un rai lumière légèrement bleutée qui se reflète dans de grandes vasques de calcaire remplies d'eau fumante, c'est magnifique. Je me mets en tenue pour me baigner, et saute d'une vasque a l'autre, et m'allonge dans la plus chaude.
J'entrevois Rachid qui tourne en rond, je luis demande de me rejoindre, un large sourire éclaire son visage. En quelque seconde il est nu, un long sexe pend entre ces cuisses, j'ai du mal à détacher mon regard de ce sexe. Il le prend dans sa main, qui glisse sur sa hampe le secoue, je me sens rougir et détourne les yeux.
Il vient s'allonger contre moi, prend ma main et la pose sur son sexe, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, surpris je la retire prestement. Il la saisit et la repose sur sa queue d'un geste ferme.
Je me redresse, j'enjambe la margelle de calcaire, je ne sais quelle galerie prendre pour fuir, j'en prends une au hasard, après quelques mètres il fait tellement sombre que je suis obligé de m'arrêter je me sens pris au piège.
Je me retourne, il est là, devant moi furieux, le sexe tendu, il s'approche de moi. D'un geste vif, il déchire mon slip et jette au loin. Il me gifle violemment, et me pousse violemment en travers d'un monticule de calcaire, le contactede la pierre lisse et froide sur mon ventre me fait frissonner.
Ces mains appuient sur mes fesses, les écartent. Sa tige dure et brûlante monte et descend dans ma raie. Affolé, je rue. Je lui demande d'arrêter. De me lâcher. Un fer rouge envahis mes reins, j'ai le souffle coupé, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
J'essaie d'échapper à cette tige d'acier qui déchire, ma rondelle. J'hurle:
- Arrête ! Arrête ! Arrête ! Je n'ai jamais fait ça
Ces mains agrippent mes hanches, par petites bourrades, il enfonce non étroitesse. En affirmant !
- Détends toi ! Et ça ira tout seul !
D'une brusque poussée, il enfonce son tison au fond de mes reins. J'hurle comme une bête:
- Pas ça !
J'ai l'impression de m'ouvrir en deux. De grosses larmes roulent sur mes joues Je lui cris
- Arrête ! Tu va trop profond !
Je ne pense qu'a cette tige chauffée au rouge, plongée dans mes reins. Sans s'occuper de mes plaintes.
Doucement il commence à aller et venir, à chaque aller retour, je ne peux m'empêcher de pousser des HHHHOOOOOOO ! HHHHAAAAAAAA !
Pour son plus grand plaisir.
Il proclamait:
- C'est bon ! Tu la sens bien !
Ses mains appuient sur le bas de mon dos m'obligeant à me cambrer, il quitte mon rectum, et d'un coup s'enfonce jusqu aux couilles.
Brisé, dominé, je le laisse me sodomiser de toute sa longueur, me faisant pousser de longues plaintes. Apres de longues minutes de se traitement, mon rectum n'offre plus de résistance, son pieu coulisse de toute sa longueur, je n'ai plus la force de me lamenter.
Une douce chaleur envahie mes reins, descend dans mes couilles, le plaisir me secoué de spasmes je joui, avec violence mon anus se rétracte sur son pieu.
Je suis Effaré, complètement anéantit. Je l'entends clamer:
- Ca te plais ! Je me doutais que tu aimerais te faire enculer ! Tu as un beau cul.
Il retire sa queue de mes reins, la fait coulisser entre mes fesses, il grogne et sa liqueur brûlante se repend sur mon dos me fesant jouir. Sans un mot il m'entraîne dans la salle ou son nos effets, il lave sa queue,.
Désappointé je le regarde faire. Il se retourne vers moi.
- Va te laver le cul ! Et viens me sucer !
Comme je ne bouge pas donner il me donne un claque sur les fesses. Je saute dans une vasque d'eau tiède qui fait le plus grand bien a ma rondelle, qui a déjà tout oubliée de se mauvais traitement
Il attend que j'ai finis, me voyant hésiter a sortir, il sourit, s'approche de la vasque d'une main il prend ma nuque fermement et de l'autre sa queue qu'il porte a mes lèvres. J'ai des hauts de cours son gland appuie sur mes lèvres, écrasé mes dents. - Ouvre ! et suce !
Malgré ma répugnance, j'ouvre la bouche son gland envahie ma gorge.
Passe ta langue sur le gland et branle moi avec ta main. Tu suces comme un con ! - Applique toi !
Il prend ma tête entre ces mains, il se serre de ma bouche comme il s'est servit de mon cul. Il ne tard pas a jouir et me force à tout avaler.
- Tu as mal au cul ?
- Un peu
- Viens je vais te passer un baume à base d'opium, met toi à quatre pattes et écartent tes fesses avec tes mains que je vois bien ton petit trou.
Il enduit ma rondelle de baume me la masse doucement, la caresse est tres agréable, il introduit son index joue avec l'élasticité de ma rondelle avec son pouce ça me fais bander.
- Ca te plait de faire titiller la rondelle ? Tu gueule plus, au secour ! Au secour ! Au secour !
Mortifié ne pouvant cacher ma bite toute raide je bredouille.
- Mets toi a quatre pattes pour que je t'encule.
Docile je prend la pose, Je sens son gland dur pousser sur ma rondelle qui s'ouvre,il me sodomise longuement avec méthode me faisant jouir plusieurs fois et se répand sur mes reins.
Quand nous remontons à la surface le chauffeur est en colère, il trouve que nous somme resté trop longtemps dans deux heure il va faire nuit et que s'est dangereux de conduire.
Rachid lui parle en arabe, plaque sa main sur mes fesses et introduis son index dans ma raie. Rachid monte à l'arrière. Le chauffeur me sourit ouvre ma porte et au passage enfonce son index juste sur ma rondelle me fesant pousser un petit cris de surprise.
Nous n'avons pas fait dix kilomètres que le chauffeur me prend la main et la pose sur son burnous je sens son sexe dur et chaud. Il le dégage, il est nettement moins long, mais plus épais que celui de Rachid, il me fait signe de le sucer je ne bouge pas bien décider a ne pas me laissé faire.
Il m'attrape pas les cheveux d'une main et pose mes lèvres sur sa bite, je serre les dents, il tire sur mes cheveux fermement jusqu'a ce que j'engloutisse ça bite, a chaque bosse sa bite s'enfonçait au font de ma gorge. Une bosse plus grosse que les autre nous fit faire un écart il lâcha mes cheveux je profitais pour me redresser. Rachid me dit:
- C'est un ami,
- J'aime pas sucer ça m'écoeure.
- Lui aussi na pas de femme.
Le sexe toujours raide le chauffeur se gare sur le bas coté de la piste descend et ouvre ma portière noue son burnous ne laissant aucun doute sur ces intentions, il me pousse le dos sur la longueur de la banquette j'essais de résister il agrippe mon pantalon, un peu aidé par Rachid il parvient le déboutonner et a le tirer a mi cuisse mon slip étant resté j'ai les fesses et le sexe a l'air.
Le dos bien callé contre le siège je me sens en sécurité, je suis surpris quand le chauffeur tire mes jambes les relèvent les poses sur ces épaules et que son gland écrase ma rondelle, ça me fais bander.
Il me sodomise et me branle en même temps je ne tarde pas a jouir, pendant qu'il m'asperge le visage de sa liqueur. Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que Rachid me retourne et me sodomise allant au plus profond de moi son gland bouscule le fond de mes reins.
Le chauffeur profite de la situation pour enfoncer et faire aller et venir sa bite dans ma bouche, je sens sur ma langue une liqueur acre envahir ma bouche, le gland se gonfle et s'enfonce au fon de gorge me forçant a tout avaler.
La bouche pleine de se goût acre, les lèvres écartelées, les profondeurs de mon rectum martelé par cette long queue je joui une nouvelle fois.
Je suis au bord de l'évanouissement quand Rachid me fais pivoté et enfonce ça queue on fond de ma bouche passe ma huette son gland décharge sa semence et me force a déglutir jusqu'à la dernière goûte.
Nous somme rentrés tres tard dans la nuit.
Le voyage ne viens que de commencer cela est une autre histoire.
Apres cette journée aux sources d'eau chaude, je suis plus tout à fait le même je regarde toujours les filles, mais je ne peu m'empêcher de regarder le bas du ventre de certains hommes.
Je remarque dans les rues le regard de certains hommes, pendants la visite des souks des mains me caressent les fesses, dans les endroits bloqués par la foule des doigts s'insinuent dans ma raie, certain en profitaient pour presser leur sexe entre mes fesses ou contre ma cuisse.
J'avais peur que les personnes avec qui je voyage remarquent quelque chose.
Tous ces attouchements me troublaient, parfois me faisaient bander, partagé par un sentiment de honte et un plaisir d'être sollicité, de faire naître du désir.
De retour a Islamabad Rachid nous dit qu'il y a un Hamann a l'hôtel mais que s'est mieux d'aller a ceux qui sont en ville. Il va chez des amis qui habite près d'un Hamann pour manger, qu'il peut emmener et ramener tous les homme qu'ils veulent y aller, qu'il part vers 19heures.
Je suis le seul vouloir y aller, Rachid me dépose devant l'entrée et me donne rendez vous à 22 heures à la fermeture.
Le hamam est très beau, les murs sont recouverts de mosaïques, Je suis accueilli par un homme qui me tend une serviette et me montre une cabine quand je sorts la serviette nouée autour de la taille, il prend mes affaires les posent dans un casier et me temps un élastique avec un numéro et me montre comment le mettre autour de mon poigner et me désigne un escalier.
En bas il fait très sombre l'ambiance est feutré, la douche est collective un homme nu se lave, embarrassé j'ôte ma serviette et je me douche.
L'homme me regarde étonné sans de voire un touriste. Il se passe de l'huile sur le corps, surtout sur ces très gros testicules, sur son sexe long et épais me provoquant d'un clin d'oil.
Embarrassé je me dépêche et me dirige dans un couloir qui me conduit dans une salle entourée de bancs en marbre, au milieu il y une table aussi en marbre ou un homme en masse un autre avec un gant de crin.
Je continue l'air est plus humide je passe devant une porte vitrée ou on aperçoit des ombres noyées dans la vapeur. Je continu et j'arrive dans une salle avec des banquettes remplies de coussins un home allongé sirote un thé. A l'évidence je suis le seul touriste ce qui me crispe un peu.
Je retourne au haman et m'installe dans une alcôve on ne voit que des ombres, il y a un feulement qui me fait tourner la tête, une main puissante empoigne mon poignet, mes doigts entrent en contact avec une bite dur et tendue, je me dégage et sort.
Se n'est pas la première fois qu'un me prenait la main et la posait sur son sexe, ce qui ne laisse aucun doute sur ces intentions, j'ai fais une tentative décevante, le type m'à enculé a joui rapidement et il est parti. Je n'ai rien ressenti et pris aucun plaisir, je ne voulais pas recommencer.
J'arrive à escalier, l'homme de la douche me barre le passage je ne comprends pas ce qu'il dit, son corps huilé fait ressortir ces muscles. Dominateur il dénoue sa serviette dévoilant deux énormes couilles, surmontées d'une bite raide et noueuse avec un gland qui trône nettement au dessus de son nombril.
Ahuri, je regarde effrayer ce sexe complètement rasé, dressée comme un i. Il profite de ma stupeur, pour me plaquer fermement contre le mur, sa jambe glisse entre mes cuisses les écartent, son index s'enfonce brutalement dans mon anus. Sa main remonte m'obligeant à me hissé sur la pointe des pieds, il arrache ma serviette, me pousse en grondant jusqu'à la table de massages déserte.
Je résiste, mes mains glissent sur son corps huilé
Il me prend fermement mes couilles et les serrent pose ma main sur sa bite, mes doigts instinctivement se referme sur ca hampe. Cela le fait sourire. Des que mes doigts quittent sa bite, il m'écrase les couilles et serre jusqu'à ce que mes doigts entourent de nouveaux ca bite.
Il me regarde droit dans les yeux et enfonce son pouce, me titille l'anus, me faisant comprendre ces intentions
Je lui fais « Non » de la tète, effrayé par ce sexe énorme.
Il est arrogant et vindicatif, il me plaque sur la table, paniqué je me débats son corps huilé rend la lute inégal ces mains écrasent mes reins, écartent mes fesses ca bite remonte dans ma raie son gland pousse sur ma pastille et glisse dans ma raie.
- J'hurle non ! Non ! No ! No ! Non ! Tu es trop gros ! Non !... Tu me fais mal ! Arrête ! Arrête ! Haaaaiiiiiiiieee ! haaaaiiieee ! »
Il recommence plusieurs fois. Devant ma résistance, il me lâche soulagé, je me redresse. Il se précipite sur moi fou de rage, me bloque contre le mur en rugissant, relève mes cuisses je sens le gland sur ma rondelle.
Je le griffe, tambourine de mes poings son torse. Je lui cris:
- T'est trop gros ! Not ! Not ! »
Ca l'excite. Il fait « oui »avec ca tête, relâche légèrement mes cuisses, ma rondelle sous la pression s'élargit à l'extrême, se rompt, son gland introduit, dans mes reins.
J'hurle, Je m'accroche à son cou, glisse sur se corps huilé, millimètre, par millimètre je m'empale sur son mandrin jusqu'aux couilles. J'ai le souffle coupé, des larmes coulent sur mes joues. J'ai l'impression que mes fesses vont se séparer.
Il parait satisfait, sourit
Il soulève mes fesses et me fait coulisser sur son pieu de chair avec vigueur.
Mes bras brassent l'air Sans s'occuper de mes cris Il me trimbale jusqu'à la table, mon dos entre en contact avec le marbre froid, il relève mes jambes les posent sur ces épaules tout en me sodomisant de plus belle.
Je n'ai plus la force de lutter, de crier, je sui pris d'un plaisir masochiste je bande honteux, de ne pouvoir cacher le plaisir qui monte en moi.
Ca le fait sourire sa bite quitte mes reins il me retourne, me place en travers de la table. Dompté je laisse ses mains écarter mes fesses, ma pastille n'offrant plus de résistance il m'encule toute sa longueur à grand coup de butoir bousculant tout sur son passage au plus profond de moi. Tout mon cul se ramollit, s'ouvre à ce pieu qui me pistonne les reins le plaisir monte en moi et je joui en longues saccades.
Satisfait il quitte mes reins me laissant le cul ouvert, et sans force, il fait le tour de la table prend ma tête dans ces mains enfonce ca bite entre mes lèvres, son gland empli toute ma bouche me faisant mal aux jointures.
Un jet puissant et abondant envahie ma bouche surpris j'éructe du sperme sort de mes narines, et aux jointures des mes lèvres distendues, il enfonce son gland au-delà de ma glotte m'obligeant à déglutir ca liqueur jusqu'à la dernière goutte.
Il bredouille des mots incompréhensibles, je ne peu m'empêcher de toucher ma rondelle brulante et débridée, il claque mes fesses le sourire aux lèvres et disparaît.
Je reste un long moment engourdi, le cul éclaté, fataliste je me dirige vers la sortie ou Rachid m'attend.
- Il me regarde en souriant, ca ta plus ? Tu as fait la connaissance de mon cousin
Je comprends qu'il tout organisé.
Le voyage n'est pas fini.

  Ethno-gay....  
En touriste... Ou en famille



LE PERE DE FADILA
Je vis avec une Africaine.
Sa famille habite en France depuis plus de trente ans. Fadila (c'est son nom), travaille dans une usine de conditionnement et moi dans un magasin de lunettes. Un jour où je rendis visite à ses parents, la mère me dit qu'elle avait un problème avec son mari.
Il était dans la chambre. Elle me prit par la main et me conduisit jusqu'à lui.
La pièce était sombre mais je pouvais le voir, nu, au pied du lit.
- Il veut que je le suce... dit-elle, les yeux baignés de larmes.
Elle m'avait pris par les épaules et m'avait poussé vers lui.
- Je suis fatiguée, je n'en peux plus... Larmoya-t-elle, en pesant doucement sur mes épaules.
Une fois à genoux, un sinistre "Merci" me fit ouvrir la bouche. Le père, empoignant sa grosse bite noire, la glissa entre mes lèvres.
La mère s'agenouilla derrière moi et ses doigts dégrafèrent la ceinture de mon pantalon. Elle le baissa, et fit de même avec mon slip. Puis, soulevant mes genoux, un par un, elle me débarrassa de ces vêtements.
La bite noire sortit de ma bouche et la mère, saisissant mes épaules, me fit faire un demi-tour. Appuyant de nouveau sur mes épaules, elle me fit mettre à quatre pattes. Le père s'agenouilla derrière moi et posa une main chaude sur mon cul et me caressa longuement, s'insinuant entre mes cuisses, soupesant mes couilles et prenant ma bite à pleine main. Il promena un doigt, puis sa bite le long de ma raie, poussant un peu pour que le gland s'introduise entre les fesses.
Avec deux doigts, il les écarta et posa le gland sur mon trou. Il me demanda de cracher dans sa main et me badigeonna l'anus avec ma salive. Il poussa très doucement sa bite dans mon cul, millimètre par millimètre. Je la sentais qui entrait inexorablement et il me semblait qu'elle était longue, longue...
Exaspéré par la lenteur de la sodomie, d'un violent coup de reins vers l'arrière, je m'empalais sur le gros membre du père de Fadila…
Après que le gland eut passé l'anneau serré de mon cul, le père de Fadila enfonça sa bite d'un violent coup de reins. J'ai hurlé de douleur. Il s'est accroché à mes hanches et je voyais ses grosses mains noires et puissantes qui attiraient mon bassin vers son pubis avec une force inouïe.
Sa bite déchirait mon anus et mes fesses heurtaient ses cuisses bruyamment. Plus ses coups de boutoir s'accéléraient, plus sa bite grandissait. Il me semblait qu'elle s'enfonçait toujours plus loin. A un moment, j'ai même cru qu'elle avait heurté le fond de mon cul.
Quand il a éjaculé, il s'est enfoncé avec plus de force encore. A tel point que j'ai cru que ses couilles aussi allaient rentrer. Puis, le sperme a coulé. Abondant, chaud, épais. Ca ne s'arrêtait plus. Mon cul était rempli de sperme. Il se retira enfin, lentement. On aurait dit un tuyau qu'on m'avait enfoncé dans le cul, puis ressorti.
- Le Mercredi, je sais que Fadila va à l'école des enfants. Maintenant c'est moi qui viendrais chez vous. J'arriverai à 15 heures pile. J'aurai la clé et toi, tu seras à poil, à genoux au bord du lit, les bras en croix sur la couette. Je sortirai ma bite et je t'enculerai.
Dans la nuit du Mardi précédant la visite de mon beau-père, j'ai baisé ma femme comme jamais. Elle était en folie. Après son départ pour l'école, j'avais toujours la trique. Je me suis mis à poil et j'ai déambulé comme ça jusqu'à l'heure du rendez-vous.
J'étais en position depuis une demi-heure quand j'ai entendu la clé dans la porte. Je me relevai pour lui dire bonjour quand mon beau-père dit :
- Ne te retourne pas ! La prochaine fois, tu porteras ça, dit-il en me lançant un masque noir. Un de ces masques qu'on vous donne dans les avions pour dormir.
- Il est possible que je prête la clé à des amis......... J'ai apporté ça aussi pour toi ! C'était un coussin de cuir gonflable. Il me fit lever, le posa devant moi et le gonfla. Il me pencha dessus et ajusta le gonflage. Mon cul était maintenant à hauteur de sa bite.
- Ecarte tes fesses avec tes mains ! Ordonna-t-il.
De nouveau, il me fit cracher dans sa main. De nouveau, il se lubrifia la bite avec ma salive et de nouveau, il s'enfonça dans mon cul.
- Tu seras obéissant avec mes invités quand ils viendront, sinon je te baiserai devant ma fille.
Et c'est comme ça que des tas de bites noires pénètrent mon cul le Mercredi.


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