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Histoire du net. Auteur:Schwarz. Découverte intérieure

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Qui paye ses dettes s'enrichit..!
Un bon petit délire comme je les aime.
Et bien écrit en plus


Ma déchéance.
Auteur : Schwarz

Bonjour à tous. Je m'appelle Antoine, j'ai 21 ans et je vis en région parisienne. Je suis un jeune agent de recouvrement de créances. Je viens de finir ma formation et je ne suis en poste que depuis quelques mois. Voilà la mésaventure qui m'est arrivée il y a peu et qui a changé ma vie.
On m'avait confié la charge d'un dossier épineux. Un mauvais payeur qui avait cessé de verser le montant de ses remboursements de crédit depuis maintenant plusieurs mois. Mon travail était donc de lui faire entendre raison au plus vite. Après plusieurs tentatives infructueuses pour établir un contact par téléphone, je lui avais adressé plusieurs courriers qui étaient restés lettre morte. J'étais donc décidé à me déplacer au domicile de cet individu pour régler le problème une fois pour toutes.
L'individu en question, un certain Kader B., résidait avec sa famille dans une cité assez turbulente de la région parisienne. Un lundi matin, au mois de septembre dernier, je me suis rendu sur place. J'étais un peu anxieux. En premier lieu parce que la majeure partie des cas de litiges que j'avais eu à traiter jusque-là s'étaient arrangés par téléphone, je n'avais donc pas encore eu l'occasion d'être réellement confronté à un débiteur. Ensuite parce que ce coin était réputé assez chaud et je n'étais pas totalement rassuré à l'idée de m'aventurer là bas. Mais je devais me faire une raison. Je savais dans quoi je m'engageais en choisissant ce métier et il n'était plus question d'abandonner. Et puis il n'y avait pas de raison pour que cela se passe mal après tout...
Pour éviter tout problème avec ma voiture, j'avais fait le choix de me déplacer en transports en commun. Arrivé sur place, je me suis rapidement senti mal à l'aise. Je voyais bien que l'on m'observait bizarrement et il est vrai que je ne passais pas franchement inaperçu dans le coin, habillé en costume-cravate et avec mon attaché-case. J'arrivais toutefois sans encombre jusqu'à l'adresse indiquée dans le dossier de mon "client", un immeuble HLM tout à fait banal. Je traversais le hall sous le regard scrutateur et méfiant d'un groupe de jeunes qui ne m'inspiraient pas vraiment confiance.
— Qu'est ce que vous venez faire ici?
— Je viens voir M. Kader B.
— Qu'est-ce que vous lui voulez?
— C'est une affaire privée...
J'ai eu peur qu'ils ne l'entendent pas de cette oreille, mais ils m'ont finalement laissé passer. J'ai pris l'ascenseur et quelques étages plus haut, j'étais arrivé à bon port. Du moins, c'est ce que je croyais alors.
J'ai sonné à la porte et après quelques instants, elle s'est ouverte sur un homme d'une trentaine d'années, d'origine maghrébine.
— M. Kader B.?
— Qui vous êtes?
— Antoine R., agent de recouvrement.
J'ai insisté pour qu'il me laisse entrer afin de pouvoir lui expliquer la raison de ma venue. Il a accepté à contrecœur. Un autre homme était présent dans la pièce. Il me l'a présenté comme son frère, Mohammed. Je leur ai alors expliqué la situation, incitant Kader à me régler la somme qui était due dans les plus brefs délais. Le ton est rapidement monté, à tel point qu'ils se sont mis à proférer des menaces à mon égard. Très inquiet de la tournure des évènements, j'ai tenté de les calmer, en vain. Voyant cela, je leur ai annoncé mon intention de quitter leur domicile et je me suis dirigé vers la sortie. C'est alors que tout a basculé. Mohammed s'est précipité sur moi pour me retenir et Kader en a profité pour boucler la porte à clé.
— T'as du culot toi. Tu viens m'emmerder jusque chez moi pour que je te file du blé. T'as cru quoi?
— Il mérite une bonne correction ce connard.
— Ouais je pense aussi.
J'étais totalement en panique et j'ai commencé à les supplier de me laisser partir. Mohammed m'a alors balancé une claque monumentale et je me suis retrouvé par terre, sur le cul.
— Ferme ta gueule!
— T'es pas chez toi ici, on va t'apprendre les bonnes manières mon petit gars, tu vas voir.
Sous le choc, j'ai commencé à sangloter. Kader m'a traité de "chialeuse" et ils ont éclaté de rire tous les deux.
— Bon allez, on s'est assez marrés. Fous-toi à poil!
Totalement abasourdi, je n'ai pas esquissé un geste. Mohammed m'a alors collé une autre baffe et j'ai dû m'exécuter. J'ai retiré mon costume, mon pantalon et ma chemise, me retrouvant ainsi en sous-vêtements. Mohammed s'est emparé de mes affaires et les a aussitôt mises de côté.
— Allez, le reste!
— Non, je vous en prie...
— M'oblige pas à t'en mettre une autre.
Ma volonté était brisée. J'ai retiré mon caleçon et je me suis retrouvé totalement nu devant ces deux hommes qui me toisaient. Je n'avais encore jamais été autant humilité de ma vie, et pourtant ce n'était que le début.
— Eh, mais regarde Kader, c'est qu'elle s'épile la tapette!
Effectivement, je pratiquais le cyclisme à un bon niveau durant mon temps libre et j'avais pris l'habitude de m'épiler.
— Ouais une vraie petite femelle... on voit à peine son zizi d'ailleurs.
Là encore, je dois avouer qu'il n'avait pas tout à fait tort, la nature ne m'a pas particulièrement bien pourvue de ce côté là et ce n'était hélas pas la première fois que je subissais des moqueries à ce sujet. Après avoir essuyé leurs quolibets un certain temps, ils se sont lassés et m'ont entraîné vers le canapé. J'ai été contraint de me placer à genoux devant eux. Ils ont alors ouvert leurs pantalons et sorti leurs bites. Celle de Mohammed était assez fine, mais devait bien dépasser en taille le double décimètre, celle de Kader était légèrement moins longue, mais d'une épaisseur impressionnante, dans les sept centimètres de diamètre peut-être. Malgré la situation, je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir pendant quelques instants une forme d'excitation à la vue de ces deux grosses queues.
— Allez suce, salope!
— Mais... je ne suis pas pédé!
Kader me montra alors son poing.
— Tu préfères goûter à ça?
J'ai donc dû m'exécuter. Je me suis placé entre les jambes de Kader et j'ai pris en bouche son sexe déjà bien dur. Je n'avais jamais fait ça auparavant et je ne savais pas très bien comment m'y prendre, mais il semblait pourtant apprécier. J'alternais alors entre des petits coups de langue le long de la hampe ainsi que sur le gland et un pompage plus énergique. Kader m'a félicité.
— Il suce encore mieux qu'une pute ce pédé, il doit avoir l'habitude.
— Ça m'étonnerait pas.
— Allez suce-moi les boules aussi salope!
Et je lui ai léché les couilles avec application.
— Occupe-toi un peu de Momo maintenant. Je reviens.
J'ai obéi. Kader s'est levé et s'est dirigé vers la cuisine. Il en est revenu une minute plus tard, une botte de carottes encore toutes terreuses à la main. Ils m'ont fait m'installer à quatre pattes, le dos bien cambré et les fesses pointées vers le haut. Je tremblais de peur. Je les suppliais d'arrêter et de me laisser repartir, mais ils m'ignoraient complètement. Mohammed m'a craché un bon mollard sur le trou du cul et a introduit un doigt dans mon fondement. Malgré la salive, les doigts de Mohammed étant assez épais, je n'ai pas pu me retenir de gémir de douleur au moment de cette intromission. Pourtant, après quelques mouvements dans mon rectum, il a visiblement jugé que j'étais apte à recevoir plus. Il a donc retiré son doigt et s'est saisi d'une carotte. Puis, sous les encouragements de Kader, m'écartant les fesses d'une main, tenant la carotte de l'autre, il me l'a enfoncée sans ménagement dans le cul. J'avais mal, mais surtout terriblement honte.
Après avoir effectué quelques va-et-vient, il me l'a retirée du cul. Elle était maculée de terre, mais surtout de matières fécales. Mohammed m'a alors demandé de la nettoyer avec ma bouche. J'ai refusé. Kader, placé derrière moi, m'a balancé un coup de pied dans les parties et je me suis affalé sur le sol en me tordant de douleur. Mohammed m'a forcé à me relever et m'a demandé une nouvelle fois de nettoyer la carotte. Soumis, j'ai commencé à lécher la merde avec des petits coups de langue. Mais ils n'étaient pas encore satisfaits et j'ai dû la prendre en bouche entièrement. Ce n'est qu'une fois toutes les traces d'excréments et de terre disparues qu'ils m'ont laissé arrêter.
Kader m'a alors retourné et a de nouveau introduit un doigt entre mes fesses. Rapidement il s'est interrompu, m'a saisi par les cheveux et m'a traîné jusqu'à une pièce que j'ai découvert être la salle de bain.
— T'as le fion tout merdeux, pédé. Mais on va arranger ça. Ça tombe bien, j'ai justement envie de pisser.
Il m'a alors fait placer à genoux dans la baignoire, le cul tourné vers lui, et il s'est mis à me pisser dessus. Il dirigeait son jet essentiellement sur mon trou de balle, mais il ne s'est pas privé pour viser également mon dos et mes cuisses. J'en ai même reçu dans les cheveux. Au final, je me suis retrouvé trempé d'urine sur tout le corps. Il m'a ensuite fait signe d'approcher pour prendre son sexe en bouche et ainsi avaler les dernières gouttes qui perlaient de son méat.
Tout consacré que j'étais à ma tâche, je n'avais pas remarqué Mohammed qui nous avait rejoints avec un appareil photo et qui avait profité de ces derniers instants pour me mitrailler avec le sexe de Kader en bouche.
— Ça nous fera des souvenirs, ah ah!
Je n'étais pas vraiment en situation de m'y opposer alors je n'ai rien dit. Ils m'ont ensuite laissé m'essuyer avec une vieille serpillière crasseuse qui traînait dans un coin de la pièce, afin de ne pas tout saloper d'après eux, puis ils m'ont ramené dans le séjour.
Kader m'a forcé à me pencher en avant sur la table à manger et il a recommencé à me doigter la rosette, y introduisant d'abord un doigt puis deux. Heureusement, mes sphincters avaient été bien assouplis au préalable par le passage de la carotte.
Pendant ce temps, Mohammed s'est de nouveau dirigé vers la cuisine et en a rapporté un pot de margarine. Avec un couteau, il en a pris une bonne portion et a commencé à m'en tartiner le pourtour anal. J'ai alors compris que mon cul n'allait plus rester vierge très longtemps.
— Tu vas voir, tu vas aimer.
J'ai senti quelque chose de dur se poser sur mon anus. Mohammed m'a saisi par les hanches et d'un violent coup de reins, il s'est enfoncé en moi. J'ai hurlé de douleur.
— Voilà, tu es un vrai enculé maintenant.
Il s'est immobilisé quelques instants puis il a commencé à me pilonner le cul. J'avais l'impression d'être déchiré en deux, je souffrais terriblement. Je me suis mis à pleurer.
— Ah, ah! Tu chiales salope. Continue, ça m'excite.
Et il a accéléré ses mouvements. Je le sentais s'enfoncer en moi jusqu'à la garde, son ventre butant contre mes fesses en un claquement, puis ressortir son sexe de mon cul pour n'y laisser que le gland, avant de se renfoncer entièrement à nouveau. Kader, de son côté, prenait des photos et faisait des commentaires, me traitant de pute et de vide-couilles.
Au bout de quelques minutes de labourage, la douleur s'est estompée et j'ai commencé à ressentir une sensation nouvelle et assez étrange. Le plaisir se mêlait à la souffrance. Mon sexe, frottant contre la table sous l'effet des coups de boutoir de Mohammed, s'est mis à gonfler. Rapidement Kader s'en est aperçu et n'a pas manqué de le signaler et de bien prendre en photo mon érection naissante. Après cela, il a posé son appareil et a réclamé sa part. Mohammed a retiré sa queue d'entre mes fesses et s'est positionné de l'autre côté de la table, face à moi, pour que je le suce. Kader lui s'est approché de mon cul encore béant.
— Eh ben, c'est plus un cul qu'il a, c'est une bouche de métro.
— Après que tu y sois passé, ce sera carrément un boulevard, ah ah!
Mon anus avait beau avoir été bien dilaté par la bite de Mohammed, j'appréhendais tout de même beaucoup ce qui allait suivre. Le sexe de Kader était énorme, et j'avais peur de souffrir encore plus que lors de ma première pénétration.
Mais Kader n'en avait cure et, comme son frère, il s'est introduit en moi sans ménagement. Les premiers instants furent difficiles. J'avais l'impression d'avoir le cul transpercé par une lame. Mais, à ma grande surprise, le plaisir a rapidement pris le pas sur la douleur. J'étais horrifié par ma déchéance.
Non seulement, moi, jeune hétéro de 21 ans, je me faisais violer dans une cité par deux Arabes, contraints de leur tailler une pipe tout en me faisant sodomiser pour la première fois, mais en plus j'y prenais du plaisir. S'apercevant bien de mon trouble, ils se faisaient de plus en plus moqueurs.
— Alors, tu vois que tu apprécies pédé!
—...
— Dis-le que tu aimes!
— Oui j'aime ça.
— Quoi?
— J'aime me faire sodomiser et lécher vos belles queues d'Arabes.
— Ah ah!
Le répit fut bref et Mohammed reprit aussitôt possession de ma bouche avec sa queue. Vu sa taille, j'avais d'ailleurs beaucoup de mal à l'avaler entièrement et à chaque mouvement, je sentais son gland buter contre ma glotte. Je manquais d'ailleurs de m'étouffer à de nombreuses reprises mais il continuait à me baiser la bouche sans s'en soucier, à chaque fois le plus profondément possible. De temps en temps, il me bouchait le nez et s'immobilisait, me tenait fermement la tête pour m'empêcher de me retirer et me laissant en apnée sur sa queue, comme je l'avais parfois vu faire par des actrices dans les films pornos.
Pendant ce temps, derrière moi, Kader continuait à s'activer et à me bourrer le fion en cadence. Je prenais de plus en plus de plaisir à sentir sa queue me remplir et frotter contre ma prostate, si bien que je me suis surpris plusieurs fois à effectuer des mouvements de bassin en arrière pour aller au-devant de ses coups de bite.
Après une vingtaine de minutes de ce traitement, Kader accéléra le rythme. Il se déchaînait littéralement dans mon cul. Au bout d'un moment, il s'est immobilisé et j'ai senti un flot de liquide chaud m'inonder les intestins. Il venait de m'ensemencer pour la première fois. Quasiment dans le même temps Mohammed s'est raidi dans ma bouche et il s'est retiré pour me balancer la purée au visage. Kader s'est retiré également de mon cul dans un bruit de pet obscène. Je ne pouvais plus bouger et je suis resté affalé sur la table, sentant le sperme couler entre mes fesses et le long de mes cuisses.
— Eh ben, qui aurait cru que tu serais une aussi bonne pute...
—...
— Tu es vraiment fait pour ça on dirait.
—...
— Bon faut pas que tu traînes ici maintenant. Mais on en a pas fini avec toi. On garde tes affaires et tes papiers. Si tu veux les récupérer et qu'on règle cette affaire, tu reviens demain à la même heure. On compte sur toi. Oublie pas qu'on a de jolies photos de toi. Je crois pas que tu aimerais que ton patron, tes collègues et ta famille reçoivent prochainement un paquet avec ces clichés, n'est-ce pas?
Et ils m'ont foutu à la porte toujours complètement à poil. Dans leur générosité, ils m'ont tout de même balancé un vieux survêt et un t-shirt troué et maculé de tâches que j'ai dû enfiler sur le palier. Heureusement, personne n'est passé à ce moment-là. Je me suis rapidement essuyé le visage pour enlever le sperme qui avait commencé à sécher puis je me suis mis en marche pour rentrer chez moi.
Sur le trajet, dans les transports en commun, j'avais l'impression que tout le monde pouvait voir que je venais de me faire baiser. À un moment j'ai même eu l'impression qu'un groupe de filles me désignaient du doigt et se moquaient de moi mais j'essayais de me convaincre que je devais être parano et que personne ne pouvait savoir ce qui venait de m'arriver.

OooOOooo

Il était 13h quand je suis enfin rentré chez moi. J'avais donc passé toute la matinée chez ces malades à me faire baiser. J'étais traumatisé par ce qui venait de m'arriver. Je me dirigeai aussitôt vers la salle de bains pour prendre une bonne douche et me débarrasser des effluves de pisse et de sperme qui me collaient à la peau ainsi que des odeurs corporelles de mes deux violeurs. En me déshabillant, je remarquais que du sperme avait continué à couler de mon cul et que j'avais une énorme tache à cet endroit du survêtement.
Tout le monde sur le trajet de retour avait donc pu constater que je venais de me faire enculer et ensemencer. C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase et je me suis effondré en pleurs.
J'ai finalement réussi à me calmer et après une très longue douche, j'ai appelé mon patron pour le prévenir que j'étais malade et que je n'allais pas pouvoir venir travailler cet après-midi-là. J'ai passé le reste de la journée à traîner chez moi en ressassant ce qui s'était passé, puis je me suis couché.
J'ai passé une très mauvaise nuit, trouvant à peine le sommeil. Mon cul me faisait un peu souffrir mais la douleur physique n'était rien comparé à la souffrance morale que je ressentais alors. Le plus terrible était de savoir qu'il allait falloir que j'y retourne.
Effectivement, ils avaient toujours mes affaires et le litige n'était pas réglé. Et surtout, il y avait les photos. Il était impératif que je les récupère, ma réputation était en jeu.
Je me suis donc représenté le lendemain matin chez Kader, la peur au ventre, ne sachant pas encore à quelle sauce j'allais être mangé. Il était tout seul et m'attendait. Mohammed n'était pas là, Kader m'a alors prévenu qu'il était sorti, mais qu'il allait bientôt revenir.
— Je vois que tu es raisonnable, tu as bien fait de revenir.
— Rendez-moi mes affaires et les photos. Je vous jure que je ne parlerai de tout cela à personne.
— C'est hors de question pour le moment. On n’en a pas fini avec toi.
— Mais qu'est-ce que vous voulez?
— Eh bien pour commencer, ce crédit...
— Oui!?
— Tu vas faire en sorte que ce soit réglé et qu'on n’ait rien à rembourser.
— Mais c'est impossible!
— Débrouille-toi... ou paye-le de ta poche.
— Je viens de débuter, c'est mon premier emploi, je n'ai pas les moyens...
— Il va falloir que tu y mettes un peu du tien.
—...
— Il y a peut-être une solution...
— Laquelle?
C'est alors que son téléphone a sonné. C'était Mohammed. Ils se sont parlés brièvement puis Kader a raccroché.
— Bon voila, on a tout arrangé avec Momo. Viens avec moi et tu pourras rattraper une partie de ta dette.
— Quoi? Mais aller où ça?
— Suis-moi.
J'étais complètement perdu et sous l'emprise de Kader, alors je l'ai suivi. Nous avons pris l'ascenseur et je lui ai redemandé des explications.
— C'est simple, tu vas faire la pute pour nous et tu pourras regagner la somme que tu nous dois.
— Mais vous êtes fous!
— Ah mais excuse-moi, je croyais que tu voulais récupérer tes photos? Je vois que ce n'est pas le cas alors tu ferais mieux de partir, j'ai quelques paquets à poster aujourd'hui...
— Non...
Sur ces entrefaites, nous étions arrivés au sous-sol de l'immeuble.
— Alors, tu te décides?
—...
— Tu as le choix.
— C'est d'accord...
— Je savais que tu étais un garçon intelligent.
Kader m'a souri avec un air ironique puis il m'a attiré dans les couloirs jusqu'à une cave privative dont il avait la clé. Là se trouvaient quelques cartons entreposés dans un coin, un canapé, et un matelas qui trônait au milieu de la pièce.
— Bon voilà, on va faire ça ici. Mohammed ne devrait plus tarder à arriver avec tes premiers clients.
—...
— Mets-toi à poil en attendant.
Je savais qu'il ne servait plus à rien de résister maintenant et je me suis déshabillé entièrement. Kader s'est assis sur le canapé et m'a attiré vers lui. Il a placé ma main sur son paquet et je l'ai caressé quelques instants au travers de son pantalon. Puis il a ouvert sa braguette et a sorti sa bite. Sans qu'il ait besoin de me le demander, j'ai commencé à le pomper.
— Eh ben, tu fais ta mijaurée mais tu en avais quand même bien envie de ma queue.
La porte s'est alors ouverte, livrant le passage à Mohammed accompagné de trois individus. L'un était également d'origine maghrébine, les deux autres étaient noirs.
— Ah salut les gars, je profitais un peu de la marchandise en vous attendant.
— On voit ça.
— C'est une sacrée chienne, vous allez vous régaler!
Un des deux noirs s'est alors placé derrière moi et a commencé à me flatter la croupe.
— Hum... ça a l'air prometteur effectivement.
Puis il a humidifié un doigt avec de la salive et me l'a introduit dans le cul. J'ai poussé un gémissement de douleur et de plaisir entremêlés.
— Étroit comme je les aime.
— Il a eu son baptême du cul hier seulement.
— Parfait, on va se charger de bien l'élargir.
— Me l’abîmez pas trop quand même, il faut qu'il serve pas mal celui-là.
— Je te promets rien, mais on va essayer.
— Bon bah on vous le laisse, on vient le récupérer dans une heure.
— OK, ça marche.
Kader et Mohammed sont alors partis, me laissant seul avec ces trois types.
— Allez t'as entendu, on a qu'une heure alors vient me sucer.
Je me suis approché du Maghrébin puisque c'est lui qui m'avait ainsi interpellé et j'ai sorti sa queue de son pantalon, reprenant ainsi là où j'avais été interrompu quelques minutes plus tôt. Pendant ce temps, le noir qui m'avait introduit un doigt pour tâter de l'étroitesse de mon boyau continuait à me malaxer les fesses. Il m'a ensuite attiré sur le matelas et m'a installé à quatre pattes dessus. Sans plus de préliminaires, il a remplacé dans mon cul son doigt par sa bite. À l'intromission, je suffoquais mais bien vite, je commençais à prendre mon pied. Son gros boudin noir me défonçait l'anus et une seule chose me retenait alors de hurler mon plaisir: la bite d'arabe qui était plantée dans mon gosier et que je suçais goulûment.
Je dois avouer que j'avais très vite pris goût à me taper ces belles grosses queues d'arabes et de noirs et l'humiliation et le dégoût que je ressentais il y a encore quelques minutes s'étaient envolés. Je me déchaînais maintenant dessus comme eux se décharnaient dans ma bouche et dans mon cul.
Le troisième larron de la bande, se sentant un peu seul sans trou à défoncer, m'a demandé de le branler pour patienter. Je me suis exécuté. Rapidement toutefois ils ont échangé les rôles et le gros noir qui s'occupait jusque-là de mon cul m'a présenté sa queue à sucer pendant que l'autre prenait le relais en me ramonant le fion.
La bite que j'avais en bouche présentait comme hier quelques légères traces de merde mais cette fois, sous l'excitation du moment, je ne m'en souciais guère et la léchais avec avidité. Dans le même temps, celui qui s'occupait de mon cul me baisait à un rythme soutenu, m'adressant au passage quelques claques sur les fesses et en me traitant régulièrement de salope et de grosse pute.
Ils ont ainsi changé de position à de multiples reprises au cours de cette heure de baise, se relayant pour bien remplir mes deux orifices. À un moment, le maghrébin, qui avait alors pris possession de mon cul, s'est retiré et s'est allongé sur le matelas, me demandant de venir m'empaler tout seul sur sa queue. Je me suis donc placé au-dessus de lui, sa bite dressée contre ma rosette, et je me suis assis dessus, l'avalant jusqu'aux couilles.
— Allez pédé, remue ton petit cul!
Je me suis ainsi baisé un long moment sur sa bite, la pompant énergiquement avec mon rectum. Tout en m'activant sur cette queue, je continuais alors à sucer avec avidité celles qui se présentaient à ma bouche. Hélas, le temps qui leur avait été octroyé par Kader était presque écoulé.
Le maghrébin qui était dans mon cul a donc décidé de reprendre le contrôle des opérations. Il m'a allongé sur le dos, les jambes relevées en l'air et appuyées contre ses épaules, et il s'est brutalement renfoncé en moi. Il m'a baisé à couilles rabattues pendant que les deux noirs se branlaient au dessus de mon visage. Ils étaient bien synchronisés et quelques instants plus tard ils ont giclé simultanément, les uns inondant mon visage, l'autre me remplissant le cul de crème bien chaude.
Je mentirais si je disais que je n'avais pas apprécié de me faire baiser ainsi par ces trois mecs bien membrés. J'avais encore du mal à l'assumer mais j'étais devenu en seulement deux jours une vraie salope affamée de queues.
C'est à ce moment précis que Kader et Mohammed ont effectué leur retour dans la cave.
— Eh ben merci Kader. C'était un morceau de choix cette chienne-là.
— Ouais, elle est sacrément chaude du cul.
— Pas de problème les gars. Si vous avez encore envie de vous la faire un de ces jours, prévenez-moi, on arrange ça.
— OK mec.
Et ils se sont rhabillés et nous ont laissés tous les trois. J'étais encore en train de reprendre mes esprits, allongé sur le matelas, le visage maculé de sperme et l'anus bien graissé. Ils m'ont regardé en riant.
— C'est toujours pareil avec toi, tu fais le difficile au début mais après tu en redemandes, hein?
—...
— Tu as aimé qu'ils te bourrent le cul?
— Oui...
— Dis-le.
— J'ai aimé qu'ils me bourrent le cul avec leurs belles grosses queues.
— Bien salope.
—...
— Tu as bien bossé tu peux te tirer, on te recontactera très bientôt.
— Mais... mes affaires... et les photos...
— Tu croyais pas que ça allait suffire quand même. On t'a vendu à 10E la passe par personne. Tu vaux pas mieux. À ce rythme-là, il va falloir que toute la cité te passe dessus pour qu'on soit quitte. Allez dégage, minable.
Et je suis rentré chez moi, partagé entre deux sentiments. Le plaisir d'avoir été bien baisé et la honte d'être devenu un vide-couilles pour immigrés de banlieue.
OooOOooo

Je suis retourné à mon travail le mercredi. Mes pensées étaient encore tournées vers les événements des deux jours précédents mais je ne pouvais pas me faire porter pâle indéfiniment. La journée s'est toutefois déroulée normalement jusqu'à ce que je reçoive un appel téléphonique de Kader en début d'après-midi.
— Allo salope ?
— Pardon ?
— C'est Kader.
— Ce n'est pas vraiment le moment, je suis occupé... Est-ce que vous pourr...
— Ta gueule. Prends de quoi noter et écoute-moi bien.
— ...
— C'est bon ?
— Oui.
— Bien. Alors ce soir à minuit, je veux que tu viennes me rejoindre sur l'aire de repos de B*****.
Il m'a alors donné plusieurs indications pour m'y rendre.
— C'est noté ?
— Oui mais écoutez, ce n'est pas possible. Le lendemain je travaille tôt et puis...
— T'as intérêt de te pointer à l'heure sinon je balance les photos à tout ton agenda. Je crois que ton patron et tes collègues apprécieront d'apprendre que tu te tapes des queues pendant tes heures de boulot, héhé.
Puis il a raccroché. Cet appel m'avait mis sur les nerfs mais j'ai fini tant bien que mal ma journée et je suis rentré chez moi. J'ai pu alors réfléchir à la situation. Je savais que je n'étais pas en mesure de refuser quoi que ce soit à Kader. Si je voulais éviter qu'il remette ces photos à toutes mes connaissances et que ma réputation soit définitivement ternie, il fallait que je me rende à ce rendez-vous. Je me suis donc préparé et vers 23h j'ai pris ma voiture et je me suis mis en route, la peur au ventre.
Je suis arrivé sur place peu avant minuit. Je me suis garé sur le parking qui jouxtait les toilettes, comme Kader me l'avait indiqué par téléphone, et j'ai attendu. Il n'y avait pas d'autre voiture dans les environs, par contre je remarquais la présence de plusieurs poids-lourds qui étaient garés un peu plus loin, sur l'emplacement qui leur est réservé. Quelques minutes plus tard, une autre voiture est arrivée et s'est rangée à proximité de la mienne. Le conducteur en est alors descendu. C'était Kader. Il s'est approché lentement, a ouvert la portière côté passager et il est monté dans mon véhicule.
— Tu es là, c'est parfait.
— Oui...
— Allez, perdons pas de temps, fous toi à poil.
— Quoi ? Ici ?
— Oui ici. Pourquoi pas ? Allez obéis.
Et, comme j'en avais pris l'habitude ces derniers jours, j'ai fait ce qu'il me demandait. Tant bien que mal au vu de l’exiguïté de l'habitacle. Il a alors ouvert sa braguette et sorti sa bite.
— Viens par là maintenant. À mes pieds sale chienne. Et suce-moi.
Je me suis placé entre ses jambes et j'ai pris son sexe en bouche. Pendant que je le pompais, il s'est allumé une cigarette et a baissé la vitre de la portière. Au bout de quelques minutes son portable s'est mis a sonner. Il a jeté sa clope par la fenêtre et a répondu.
— Oui... Ok c'est bon. On arrive tout de suite.
Puis il a raccroché.
— Bon, faut qu'on active.
Il m'a alors saisi la tête entre ses mains et a commencé à me baiser la bouche à toute allure. À chaque mouvement, il enfonçait sa queue au fond de ma gorge, de telle sorte que j'avais ses couilles au bord des lèvres. C'était assez pénible et j'avais l'impression que j'allais m'étouffer, mais rapidement il a ralenti le rythme, Puis je l'ai senti se raidir et il m'a gavé de sa semence. C'était la première fois que je pouvais vraiment en déguster et j'ai tout de suite bien apprécié le goût. Je n'ai toutefois pas eu le temps de savourer bien longtemps puisque Kader, qui venait déjà de se réajuster, me rappelait à l'ordre.
— Allez faut qu'on se dépêche. Suis-moi.
— Mais je suis à poil.
— Et alors ? On n'a pas long à marcher, rassure-toi.
Et j'ai dû sortir complètement nu de la voiture et le suivre ainsi jusqu'au bloc sanitaire, situé à seulement quelques mètres de là, il est vrai. Heureusement, le parking était quasiment désert et personne n'a semblé remarquer notre manège. Nous nous sommes alors dirigés vers l'un des cabinets du fond. Sur place nous attendaient deux routiers d'une quarantaine d'années, massivement charpentés et copieusement tatoués, André et Gérard.
— Voilà c'est la pute en question. Ça vous convient ?
— Hum... c'est bon, marché conclu.
L'un des routiers a alors glissé quelques billets à Kader.
— On va plutôt aller dans la cabine, on sera plus à l'aise qu'ici.
— Ok, amusez-vous bien avec lui.
Kader est reparti en direction du véhicule et m'a laissé avec eux. Ils m'ont alors traîné vers le parking poids-lourds et m'ont fait monter à bord de leur camion. La cabine à l'intérieur était assez vaste et un matelas y était disposé sur le sol. Ils se sont tout de suite déshabillés et André m'a saisi par le bras.
— Allez, viens me sucer, p'tite bite !
Je me suis exécuté et j'ai pris en bouche le sexe d'André, le pompant comme j'avais appris à le faire ces derniers jours. Gérard de son côté n'a pas perdu de temps et s'est tout de suite positionné derrière moi. Après m'avoir vigoureusement claqué les fesses, il a placé son gland sur mon trou de balle et, sans plus de cérémonie, a forcé le passage.
— C'est bien meilleur à sec !
Pour lui peut-être, mais pour moi c'était surtout très douloureux. Pendant que je souffrais en silence, bâillonné par la bite d'André toujours enfoncée dans mon gosier, ils se sont mis à échanger leurs impressions.
— Alors il est comment ?
— Son cul est bien serré pour une pute, c'est parfait. Et toi ?
— Ça va, il suce plutôt bien ce pédé.
Ils m'ont ainsi baisé pendant un long moment, s'échangeant parfois les places entre ma bouche et mon cul et variant les positions. Ainsi, après m'avoir pris en levrette, André s'est allongé sur le matelas et m'a demandé de m'empaler sur sa queue, ce que j'ai fait docilement. Pourtant je commençais à fatiguer, j'avais la mâchoire en feu à force de pomper leurs queues et mon cul n'était pas dans un meilleur état. J'ai donc été soulagé au moment où Gérard s'est retiré de ma bouche, pensant qu'il souhaitait peut-être faire une pause ou qu'il était proche de jouir.
Ma surprise a été de taille quand j'ai remarqué qu'il se plaçait derrière moi, et plus encore quand j'ai senti ses mains se poser sur mes fesses. J'ai alors compris qu'ils voulaient me prendre en même temps.
— Arrêtez ! Non !
— Ta gueule !
— Ça ne rentrera jamais, vous allez me déchirer le cul !
— Mais non, tu vas voir.
Je me suis débattu pour tenter de me dégager mais André me tenait fermement. Gérard a alors placé sa bite sur ma rosette, contre celle de son collègue, et il a commencé à pousser. Mais mon cul n'était pas encore assez ouvert pour accueillir aussi facilement deux queues de belle dimension et en plus j'étais assez tendu.
Cette première tentative s'est donc conclue par un échec. Mais Gérard a persévéré. Je devrais plutôt dire : il s'est acharné, m'écartant les fesses au maximum et poussant de toutes ses forces sur ma corolle. Si bien que mes sphincters ont fini par céder et le gland est passé. Le plus dur était fait et très vite il a pu s'introduire entièrement dans mon cul.
Ils ont alors commencé à me baiser en cadence. Je n'avais jamais imaginé que quelque chose de ce genre puisse m'arriver mais j'étais en train de subit un double enculage par deux routiers sur une aire d'autoroute dans leur camion.
Au début la douleur était très pénible. Je me suis mis à hurler. Ça ne leur a pas plu et André s'est saisi d'une de leurs chaussettes sales qui traînait par terre et me l'a enfoncée dans la bouche. Je commençais à pleurer. Mais ça ne calmait pas leurs ardeurs et en voyant cela, ils redoublèrent même d'énergie pour me défoncer le cul.
Finalement, après quelques minutes de ce traitement brutal, la douleur s'est un peu estompée et le plaisir a commencé à me gagner. Je n'ai toutefois pas pu en profiter longtemps puisque je les ai sentis très vite prêts à jouir et ils ont giclé pratiquement dans le même temps entre mes fesses.
Quand ils se sont retirés, j'ai porté la main à mon cul pour évaluer les dégâts et j'ai constaté que mon trou défoncé restait totalement béant. Je n'ai pas pu m'empêcher d'en profiter pour récupérer un peu de sperme avec mes doigts et les porter à ma bouche pour goûter la bonne crème avec laquelle ils venaient de me fourrer.
Pendant ce temps, André et Gérard s'étaient rhabillés. Ils m'ont demandé de les suivre et nous sommes sortis du camion pour nous diriger de nouveau vers les sanitaires de l'autoroute. Pendant que nous marchions, je sentais mon cul dégorger et laisser s'échapper plusieurs filets de sperme qui me coulaient le long des cuisses. Par contre je ne prêtais plus du tout attention au fait de déambuler complètement nu, à la vue de n'importe qui, sur une aire d'autoroute. Je n'étais plus à ça près.
Nous sommes rentrés dans une des cabines comme tout à l'heure et ils ont fermé la porte au verrou derrière nous. André a retiré de nouveau son pantalon et m'a demandé de me placer contre le mur du fond, juste au dessus des WC à la turque, puis de me pencher légèrement en avant. Il s'est alors approché de moi et s'est introduit dans mon cul. Je pensais qu'il voulait me baiser encore un coup mais il est resté immobile. Après quelques instants, un torrent de liquide chaud a commencé à m'inonder les boyaux. Il était en train d'uriner. Il utilisait mon anus comme une pissotière. Ils se sont mis à rire. Après que André ait fini de se vider en moi, Gérard s'est approché à son tour.
— Bonne idée. J'ai besoin de me soulager moi aussi.
Mais il préférait se vider dans un autre trou. Il m'a forcé à me mettre à genoux. Mes jambes baignaient dans l'urine qui stagnait à la surface des toilettes. Il m'a alors introduit son pénis dans la bouche, me maintenant la tête de force entre ses mains, et il s'est mis à uriner à son tour. Le flux semblait ne jamais vouloir se tarir et cela a duré une bonne trentaine de secondes pendant lesquelles je m'étouffais avec sa pisse.
À la fin, j'en avais plein le visage mais également sur tout le corps. Mon cul refoulait un mélange d'urine et de sperme en abondance. Je me sentais terriblement sale et humilié.
— T'es vraiment une sacrée pute toi !
— Ouais, tu pourras dire à Kader qu'on refera sans doute de nouveau appel à toi pour se vider les couilles un de ces quatre. Avec le cul que t'as, ce serait dommage de s'en priver.
Puis ils me congédièrent et je quittais les toilettes pour retourner à mon véhicule. Quand je suis arrivé sur place je n'ai pas compris : Kader m'attendait mais mon véhicule n'était plus là.
— Ah te voilà !
— Mais... Où est ma voiture ?
— Oh t'inquiète pas, elle est à l'abri.
— Comment ça ?
— Avec tout ce que tu nous doit j'ai décidé de la garder comme caution.
— Mais c'est du vol !
— Mais non tu pourras la récupérer une fois qu'on en aura fini avec cette affaire.
— C'est impossible, j'en ai besoin pour mon travail.
— Tu te démerdes, je m'en fous.
— ...
— Écoute, c'est simple. Tu fais ce qu'on te dis et tu la récupères. Tu désobéis et on la garde. Et si tu préviens quelqu'un, tu auras de sérieux ennuis. Crois-moi, je plaisante pas.
— Bien, bien. OK.
— Tu devrais déjà me remercier de t'avoir attendu pour te ramener chez toi.
Je l'ai remercié, totalement désabusé. Je n'étais pas vraiment en position de négocier, d'autant plus que j'étais toujours entièrement nu. Alors que je lui demandais de me rendre mes vêtements, il m'a répondu qu'il les avait probablement oublié à bord de ma voiture et qu'il allait falloir que je reste à poil. Ultime vexation, alors que je m'apprêtais à monter à bord de son véhicule côté passager il m'a retenu par le bras.
— Tu fais quoi là ?
— Bah, je monte dans la voiture, vous n'allez me laisser là quand même ?
— Tu pues et tu es trempé de pisse. Tu crois pas que je vais te laisser niquer ma bagnole.
Il a alors installé une bâche dans son coffre et m'a déclaré que si je voulais qu'il me raccompagne, c'est là que je devais embarquer. Je n'avais pas d'autre choix et j'ai dû me plier à ses exigences. J'ai grimpé dans le coffre et je me suis roulé en boule à l'intérieur. J'ai passé tout le trajet ainsi, recroquevillé sur moi-même, trempé d'urine et mort de froid. Après un moment qui m'a semblé durer une éternité, il s'est garé. Je l'ai entendu descendre du véhicule et quelques instants après, il a ouvert le coffre et m'a jeté un trousseau de clés.
— Tiens, les clés de ton domicile. Maintenant dégage. Je te recontacterais bientôt.
Sadique, il s'était volontairement garé à une cinquantaine de mètres de l'entrée de mon immeuble. J'ai parcouru cette distance en courant, toujours à poil, et je me suis précipité à l'intérieur. Heureusement, il n'y avait pas grand monde à cette heure-là dans la rue mais il m'a bien semblé que j'avais tout de même été aperçu par un groupe de jeunes qui passaient à proximité. Tant pis. Après tout, je venais quand même de me faire baiser et pisser dessus sur une aire d'autoroute par deux routiers...
oooOOooo

Après cette soirée où je m'étais fait baiser sur une aire d'autoroute par deux routiers, je n'ai plus eu de nouvelles de Kader pendant plusieurs jours. Je vivais quasiment en permanence dans l'appréhension, craignant à tout moment de recevoir un appel de sa part ou pire, de le voir débarquer à mon domicile. Aussi, j'ai vécu presque comme une libération le coup de téléphone que j'ai reçu de sa part le lundi matin suivant. J'étais alors sur mon lieu de travail, installé à mon bureau, et l'heure de la pause approchait.
— Allô pédé. C'est moi, Kader. Je t'ai pas trop manqué ?
— A vrai dire...
— Voilà, je t'appelle parce que je t'ai trouvé un nouveau client. Il devrait être là vers 13h.
— Pardon ?
— Oui, je lui ai donné l'adresse de ton bureau et il est en route.
— Non ! Je vous en prie...
— Ta gueule ! Tu vas faire ce que je te dis ou sinon tu vas avoir des problèmes, compris ?
— ...
— C'est compris ?
— Oui...
— Bon. Donc à 13h tu vas te rendre dans les toilettes. Tu l'attends dans la cabine du fond et il frappera à la porte pour te rejoindre. Là tu auras plus qu'à t'occuper de lui comme tu sais si bien le faire.
— C'est trop risqué, je ne peux pas faire ça. Si quelqu'un nous surprend...
— Tu n'as pas vraiment le choix en fait. Je lui ai confié quelques photos, tu sais celles où on te voit la queue dressée en train de te faire sodomiser.
— ...
— Si tu es sage, il te les rendra. Sinon...
— C'est bon, j'ai compris. Je ferai ce que vous voulez.
— Bien. Au fait, il veut que tu l'attendes à poil.
— D'accord...
— Je savais que je pouvais compter sur toi. Fais-moi du bon boulot petit.
Et il a raccroché. J'étais désemparé mais encore une fois, je savais qu'il avait raison, je n'avais pas le choix. Il fallait que je lui obéisse. À midi, je suis allé déjeuner avec mes collègues à notre cantine habituelle, comme si de rien n'était. J'ai tenté de paraître le plus naturel possible mais plusieurs d'entre eux m'ont trouvé le teint assez pâle.
Peu avant 13h, j'en ai profité pour prétexter un malaise et je me suis éclipsé. Au lieu de retourner à mon bureau, je me suis rendu discrètement dans les toilettes de mon lieu de travail, situées à l'étage inférieur. Je me suis enfermé dans la cabine du fond comme Kader me l'avait indiqué et j'ai retiré tous mes vêtements.
Une fois totalement nu, comme il me restait un peu de temps avant l'arrivée de mon mystérieux visiteur, j'ai décidé de me préparer pour ne pas avoir à souffrir comme les fois précédentes quand il me pénétrerait. J'ai donc déposé un peu de salive sur mes doigts et je m'en suis étalé sur l'anus, puis je me suis introduit l'index dans le cul, faisant quelques mouvements pour me détendre.
La sensation était très agréable et je m'apprêtais à m'introduire un autre doigt lorsque que j'ai entendu du bruit. La porte des toilettes s'est ouverte et un individu au pas lourd s'est dirigé vers ma cabine. Il a frappé à la porte. Comprenant que cela devait probablement être le client que m'envoyait Kader j'ai retiré le loquet et entrouvert le montant. Il m'a alors bousculé et s'est introduit à l'intérieur, refermant la porte derrière lui.
— C'est vous... ?
— Oui c'est moi qui vient pour te baiser.
C'était un homme d'origine africaine et à la peau noire comme de l'ébène. Il paraissait avoir une trentaine d'années. Il m'a tout de suite fait forte impression. Effectivement, il était d'une corpulence très massive et il devait mesurer près d'un mètre 90. Quand il a ouvert son pantalon et m'a présenté son sexe, j'ai pu constater que tout était taillé sur mesure chez lui. Son pénis, pourtant seulement en semi-érection, était déjà bien plus gros que le mien au meilleur de sa forme et ses bourses me paraissaient énormes et bien pleines.
— Commence par me sucer un peu.
— Bien Monsieur.
Je me suis accroupi à genoux devant lui et j'ai pris son sexe en bouche comme il me l'avait demandé. Je l'ai vite senti se durcir et grossir encore sous l'effet de mes caresses buccales. À tel point que l'exercice en est rapidement devenu pénible pour mes mâchoires. Cela n'a toutefois pas duré longtemps avant qu'il me fasse signe d'arrêter.
— Allez ça suffit. Je vais t'enculer maintenant. Mets-toi en position contre le mur.
Sans discuter, je me suis placé face au mur, les jambes écartées, prenant appui sur la cuvette des toilettes et tendant mes fesses vers lui. Avec sa main gauche il a fait pression sur mon dos, me forçant à me cambrer davantage, tandis que de l'autre il guidait son sexe vers mon anus qui palpitait d'impatience.
D'une poussée lente mais inexorable, son gland s'est frayé un passage entre mes fesses. Il a continué ainsi sa progression jusqu'à m'avoir introduit une grande partie de sa colonne de chair dans le cul. Après m'avoir laissé quelques instants pour m'habituer à la taille de son sexe, il a commencé à s'activer en moi. Chacun de ses coups de bite était puissant, ample, déterminé, à son image.
Il me baisait tellement bien que j'en ressentais beaucoup de plaisir et au bout d'un moment, n'y tenant plus, je me suis risqué à me caresser le sexe pour profiter encore plus de cette pénétration. Voyant que je semblais apprécier ce qu'il me faisait subir, il s'est immobilisé.
— Alors, tu aimes ça dis-moi ?
— Oui.
— Tu es sur que tu ne préfères pas que j'arrête ?
— Non, je vous en prie. Continuez de me baiser, c'est si bon.
— Ahah.
Et il a recommencé à m'enculer, encore plus fort et plus profondément. À chaque mouvement, je le sentais s'enfoncer en moi jusqu'à la garde. La sensation était telle que je devais serrer les dents pour ne pas crier de plaisir. Effectivement, je n'oubliais pas que nous étions sur mon lieu de travail et je ne tenais pas vraiment à alerter mes collègues par mes cris.
Hélas, c'est alors que je prenais pleinement mon pied que la sonnerie de mon téléphone portable, qui était dans la poche de mon pantalon posé à terre juste à côté de moi, a retenti. J'avais oublié de le couper. Malgré la situation, je décidais de regarder qui pouvait bien m'appeler à un moment aussi inopportun. Malheureusement c'était mon patron, qui devait sans doute se demander pourquoi je n'étais pas encore revenu à mon poste. Il fallait que je réponde.
— A-Allo ?
— Allo, où êtes vous passé encore ?
— Excusez-moi... je-je ne me sentais pas très bien.
— Qu'est-ce qu'il vous arrive encore ? Je dois vous parler au plus vite d'un dossier très urgent.
Je me suis alors retourné vers mon baiseur inconnu, qui ne s'était pas interrompu durant cette conversation et qui continuait à me sodomiser comme si de rien n'était. Il m'a alors adressé un petit signe de tête et j'en ai déduis qu'il ne serait plus très long à jouir. J'ai repris ma respiration et, m'efforçant de ne pas gémir aux oreilles de mon patron, j'ai essayé de lui répondre le plus calmement possible.
— Bien... Je me sens déjà mieux. J'arrive tout de suite.
J'ai raccroché et dans le même temps j'ai senti les coups de boutoir s'accélérer encore dans mon cul. Peu après, mon étalon noir déchargeait en moi un vrai torrent de sperme chaud. Une fois entièrement vidé, il s'est retiré de mon cul. Je me suis alors agenouillé spontanément devant lui pour nettoyer sa queue avec ma bouche. C'était devenu maintenant un vrai plaisir pour moi de faire reluire à grands coups de langue cette bite qui se trouvait encore quelques instants plus tôt dans mon fondement.
Une fois ma tâche accomplie, mon client, visiblement satisfait de mon application, m'a adressé une petite tape sur la joue. Puis il a remonté son pantalon et a retiré le loquet de la cabine et, laissant la porte ouverte en grand, il est parti, me laissant seul sans plus d'explications. Et surtout sans me donner les précieuses photos que j'espérais tant recevoir en récompense.
Malgré cela, je n'ai pas perdu un instant pour commencer à me rhabiller, conscient que j'étais attendu au bureau. Mais j'avais à peine réenfilé mon pantalon que la porte du couloir s'est ouverte à nouveau. J'ai refermé précipitamment celle de ma cabine, essayant de me rendre présentable au plus vite.
J'ai alors entendu la personne qui était entrée dans la pièce et dont je n'étais séparé que par la maigre cloison des WC faire fonctionner le robinet d'eau puis le sèche-mains. Quelques bruits de pas ont alors retenti puis plus rien, un silence presque complet. J'ai patienté pendant encore une minute mais l'individu qui se trouvait là ne semblait pas disposé à s'en aller.
Enfin j'ai entendu de nouveau du bruit et j'ai rapidement compris que l'inconnu en question se dirigeait dans ma direction. Quelques instants après il frappait à ma cabine.
— Oui ?
— Sors, Antoine, je sais que c'est toi.
J'ai alors reconnu la voix de Paul, un de mes collègues de bureau. Je ne comprenais pas comment il avait pu deviner que c'était moi ni ce qu'il voulait mais je n'avais pas d'autre choix que celui de sortir. J'ai ouvert la porte et il se tenait devant moi, un sourire en coin et deux photos à la main.
— Je crois que c'est à toi.
— Euh... Non, non.
— Mais si. J'ai eu un peu de mal à te reconnaître au début avec cette bite dans la bouche, mais c'est bien toi sur ces clichés.
Il m'a alors montré une des photos, sans la lâcher pour autant, et j'ai été obligé d'admettre que le doute n'était pas permis. Bien que légèrement de profil, on pouvait clairement distinguer mon visage alors que j'étais en train de sucer la grosse queue de Kader.
— Je dois dire que je préfère encore l'autre. Qu'est-ce que tu te prends dans le cul sur celle-là dis donc. Et tu as l'air d'aimer ça en plus.
— Rends-moi ces photos Paul.
— Je ne sais pas encore.
— S'il te plaît.
— Nous en rediscuterons plus tard. J'ai entendu dire que le boss te cherchait partout. Mais je constate que tu avais beaucoup mieux à faire ici...
— Bon, mais je t'en prie, ne montre ces clichés à personne.
— Ne t'en fais pas. Pour le moment je vais les garder bien précieusement. Allez, va.
Et je suis retourné travailler la peur au ventre, me demandant quelles aventures il allait encore m'arriver, et le sperme de mon baiseur noir plein le cul.

Pas de suite

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