Ou notre malheureux Nathan perd tout contôle.
A son grand plaisir...
et pas que le sien..
et pas que le sien..
Philtres et soumission
Fin.
Il m'emmène dans la salle de bain, me fait mettre à genoux devant lui.
— Je suis vraiment serré dans ce morceau de plastique Nathan. Tu crois que c'est vraiment bien pour ma bite, ça ?
— Non
— J'ai envie de la féconder ta meuf. Regarde comme je suis grand, bien bâti, bien pourvu par la nature... Ca t'embêterait qu'il soit de moi, votre môme ?
— Euh...
— Allonge-toi dans la baignoire Nathan !
Je ne sais quoi penser, mais je ne vois pas comment faire autrement qu'obéir. Alors Ahmed pointe son pénis dans ma direction, prend une inspiration, et me pisse dessus. Le jet d'urine sort d'un coup, abondant, odorant, il s'attarde sur mon visage, puis descend sur ma poitrine, et ensuite inonde mon sexe. Pendant qu'il fait ça, je sens mon visage qui devient tout rouge et je le regarde.
C'est alors que la porte s'ouvre et je croise le regard de Tiphanie.
— Viens prendre la dernière goutte à la source Nathan, montre que tu aimes ça.
J'ai conscience des conséquences de ce que je vais faire, mais j'en ai trop envie pour ne pas le faire. Je me redresse dans mes vêtements trempés et puants, et je lèche sur la teub de Ahmed, la dernière goutte de pisse. Sa voix grave :
— Tiphaine, je crois que vous devez parler avec Nathan, je vous laisse.
Et il sort en fermant la porte derrière lui.
— Chérie, je viens de parler avec Ahmed. Il me propose d'être le géniteur de notre fils si nous le voulons. Je pense que c'est une bonne idée, il est grand, bien bâti, bien pourvu par la nature, pas comme moi (je regarde mes vêtements trempés de pisse) , qu'en penses-tu ?
Est-ce le fruit d'une réflexion, le dégoût de me voir comme ça ou plutôt l'envie de retourner dans les bras d'Ahmed mais sa réponse fut rapide :
— Oui, c'est une excellente idée. Je vais lui dire.
Je me déshabille et prend une douche. Bientôt, j'entends les gémissements de jouissance de Tiphaine. Je sais que, cette fois, il n'a pas mis de préservatif. Je suis sûr que depuis le début c'est ce qu'il veut. Depuis qu'il a vu ma jolie Tiphaine avec son joli décolleté, il a eu envie de se la faire.
Il a vu la faille en moi, il a vu cette partie faible de moi. Il l'a utilisée pour me transformer en lope, en chienne soumise à sa queue et, maintenant, il est en train de prendre son plaisir dans le vagin de ma fiancée.
Il est en train d'y faire coulisser sa grosse teub. La vérité, avec moi, Typhanie n'a jamais gémi comme je l'entends gémir en ce moment. Je me sèche et je retourne au salon. Les deux amants ont changé de position, et c'est en levrette qu'Ahmed est en train de démonter la chatte de ma fiancée. Il donne des grands coups jusqu'au fond qui arrachent à ma copine des couinements de bonheur. Ses mouvements de bassin sont amples, il rentre et sort sa grosse queue. Il sort lentement sa teub et la rerentre d'un coup rapidement et jusqu'au fond. Ainsi, il montre qu'il est le mâle.
Typhanie gémit quand il arrive au fond et il aime ça, c'est sûr... Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'oeil sur sa bite pour savoir s'il a mis un préservatif ou pas. Alors il sort sa queue et me la montre, raide, dure, épaisse avec un gros gland gonflé à mort :
— Non, je l'ai pas remis Nathan, je vais la féconder ta fiancée. C'est ce que tu veux ?
— Oui
— Allez, lèche mes bourses, lèche les grosses couilles qui vont te faire un môme.
La vérité, je ne me fais pas prier et j'approche ma langue de ses testicules que je lèche soigneusement. Le goût est fort, mais j'aime ça. Ses couilles sont lourdes et bien détachées, c'est clair qu'il y a suffisamment de semence pour nous faire des triplés...
— Allez, met-toi un doigt dans le cul, et branle ta petite teub en regardant comment je baise ta copine.
Et c'est ce que je fais, sous le regard amusé de Tiphaine.
— Remets toi sur le dos Tiph', je veux te prendre comme ça, que le sperme reste bien en toi quand j'aurai giclé, c'est plus favorable pour la fécondation.
Elle se retourne, met ses jambes autour du cou d'Ahmed, et, un doigt dans le cul, j'assiste à une chevauchée fantastique. Ahmed prend le cul de Tiph dans ses mains et d'un double mouvement des mains et du bassin fait faire des aller-retour à sa teub dans son vagin. Cela dure longtemps, ils prennent leur pied tous les deux.
A un moment, il accélère nettement et fortement en allant jusqu'au fond à chaque fois, il va de plus en plus vite et de plus en plus fort, il est en sueur, ses muscles sont tendus, Tiphaine couine comme jamais. Alors il accélère encore et encore et Tiphaine se met à gémir fort et de façon continue et il se plante en elle en poussant un long râle grave. Ils restent comme ça l'un contre l'autre.
Je regarde par terre, ma queue baigne dans une petite flaque de sperme. Je ne peux m'empêcher de penser à la belle quantité de semence qu'Ahmed vient de gicler à l'intérieur de ma copine. J'ai envie de lui laisser choisir le prénom...
Les jours suivants, Tiffany n'est plus du tout intéressée par moi. Ahmed vient quasi tous les soirs, il me salue à peine et ils vont tous les deux dans la chambre. Alors j'entends les cris de jouissance à n'en plus finir de ma copine.
Le jeudi, les choses se passent différemment puisque, après une dizaine de minutes passées dans la chambre avec ma fiancée, Ahmed vient me demander de les rejoindre. Le lit est sens dessus dessous :
Tiffany est sur le lit, les jambes écartées, la vulve grande ouverte, elle me regarde. Je ne veux pas qu'il m'humilie devant elle. Je reste debout devant lui. Alors il prend son gros pénis dans sa main, et il joue avec devant mes yeux. Il le caresse, il le masturbe. Je baisse les yeux pour voir sa teub en rougissant, elle grossit.
Je sens la main d'Ahmed sur ma tête qui appuie pour me faire me baisser et, sans réfléchir, le regard fixé sur sa bite, je plie le genou. Quand j'ai les deux genoux à terre, il sait que je suis mûr :
— Met toi à quatre pattes sur le lit comme tu sais bien faire Nathan !
Je me sens bouillant et j'obéis sans réfléchir.
— Voilà...
Je sens sa main chaude sur mes fesses, son doigt caresse les bords de ma rondelle...
— Tend bien ta croupe maintenant. Très bien ! Fais passer tes mains entre tes pattes, paume sur le dessus. Bien... Bonne chienne Nathan !
Je regarde ma bien-aimée allongée devant moi qui me regarde. J'ai honte... Soudain j'entends un « pan !» et une douleur cuisante me rougit la fesse : Ahmed vient de me fesser comme si j'étais un gamin qu'on corrige, et « pan ! », une deuxième, encore plus forte sur l'autre fesse. Tiph voit mes yeux se remplir de larmes.
— Comme je suis bon, je vais montrer à ta copine comment te donner du plaisir. Viens Tiphaine !
Tiphaine se lève et passe derrière moi.
— Prend ça ma belle et enfonce le dans l'anus de Nathan !
Je sens alors se poser sur mon anus comme un bâton de plastique, je sens l'odeur de l'huile parfumée. Je regarde en arrière, Tiphaine s'apprête à m'enfoncer une matraque en plastique dans le cul. Je me contracte : je ne veux pas de ça ! Pas par ma fiancée ! La voix de Ahmed se fait douce :
— Nathan, cela ne sert à rien de refuser de voir qui tu es. Tu es une lope soumise, tu dois bien t'en rendre compte maintenant...
Je ne réponds pas mais je ne bouge pas non plus. Il faut dire que, dans ma position, les mains sous le ventre, ce n'est pas facile de bouger. Il est malin Ahmed...
— Allez Tiphaine, appuie à fond sur ce bâton, il va bien finir par rentrer, vas-y, encule-le !
Je ne sais pas de quoi Tiphaine a voulu se venger, mais elle a, j'imagine, pris plaisir à appuyer sur le gourdin. Moi je contractais mon anus le plus possible, et j'ai senti le moment ou mon anus a cédé, alors le gourdin a avancé rapidement dans mon cul, n’empalant et me faisant un mal de chien. Ahmed exulte :
— Ah oui ! J'adore ça ! J'adore te voir enculé par ta meuf Nathan ! Ton cul est tellement ouvert que ça ne sert plus à rien de résister, on fait rentrer tout ce qu'on veut dedans ! Allez, remue la matraque chérie, tu vas voir, ça va le faire jouir, qu'il le veuille ou non !
Alors je sens la matraque bouger dans mon fion en me faisant gémir, de douleur d'abord, puis petit à petit un mélange entre douleur et plaisir, et puis je vois des étoiles, c'est trop bon et je m'entends couiner si fort. Je ne savais pas que j'étais capable de couiner comme ça !
Je sens deux doigts autour de ma mâchoire et j'ouvre la bouche. Alors, tandis que Tiphaine fait faire à la matraque des aller-retour rapides qui me transpercent, je sens la teub de Ahmed s'enfoncer profond dans ma gorge. Je ne maîtrise plus rien.
Mon cul et ma bouche sont en train de se faire mettre, j'ai l'impression d'être un objet pour leur plaisir. Devant, les aller-retour de Ahmed dans ma gorge se font plus rapides, il va de plus en plus loin et tape de plus en plus fort au fond de ma gorge, je sens son gland qui grossit m'arrachant un haut-le-cœur, je sens alors son membre qui gicle au fond de ma gorge me faisant avaler son sperme. Je sens la matraque enfoncée dans mon cul mais elle ne bouge plus.
— Regarde Tiphaine ! Regarde sous le sexe de ton copain ! Tu vois, il a joui son sperme lui-aussi ! Tu as compris comment le faire jouir ?
— Oui, c'est ok ! Je le ferai jouir ainsi de temps en temps.
Le ton assuré de Tiphaine m'étonne, mais j'accepte. C'est ainsi, je suis une lope soumise.
OooOOooo
Tiphaine devait être enceinte de six mois quand Ahmed nous a annoncé que suite à une mutation professionnelle, il était obligé de déménager. Bien sûr, on avait prévu de rester en contact, mais en vérité, maintenant trois ans ont passé et nous n'avons toujours pas sa nouvelle adresse. Notre fils Aziz est un petit garçon curieux, vif et très joueur...
J'imagine que nos amis pensent que nous l'avons adopté car il a vraiment le type arabe ; je vous laisse imaginer comme il est beau ! La petite bouteille d'huile a longtemps traîné sur la table de chevet mais ce matin, j'ai décidé de profiter de cette RTT pour faire du rangement alors je viens de la ranger dans un carton que j'ai fait pour le grenier.
Une idée me vient: si j'en mettais un peu sur mon pénis et sur mes couilles ? Ahmed disait lui-même que ça le rendait plus viril. Le parfum est toujours aussi enivrant et la sensation sur mon sexe est divine. Tout en m'enduisant le zob, je contemple mes abdos naissants. Je dois vous dire que je me suis mis à la musculation.
C'est bon de se sentir un mec ! Je trouve que la voisine me regarde avec insistance ces derniers temps, je suis plus attirant depuis que je marche les épaules en arrière avec ce T-shirt qui moule mes pectoraux. Waouh, j'ai la bite dure comme du roc.
Mais j'entends qu'on sonne à la porte. Le facteur j'imagine... Je mets mon survêt et vais ouvrir.
— Ahmed !
Je le trouve immédiatement plus grand, plus viril avec sa barbe et ses cheveux courts. Il ne dit rien, il me regarde simplement, nous restons comme ça et je commence à me sentir mal à l'aise mais c'est comme si j'étais incapable de parler. Alors je sens sa main sur mes fesses, au niveau de l'anus, et je le laisse faire comme si je n'avais pas le choix. Là, sur le pas de la porte, il me caresse le cul avec insistance. J'ai peur que la voisine nous voit.
Je le regarde et il met son majeur dans sa bouche, il me regarde en rigolant, alors je souris aussi. Je sens sa main chaude rentrer dans mon slip. Je sens son doigt humide, pousser contre mon anus. Je suis serré, il force, ça me fait mal, il force encore plus, ça me brûle et je sens son doigt qui rentre dans mon intimité. La douleur est cuisante mais son doigt est dedans. Je me sens tout drôle, comme s'il venait de prendre possession de moi. Alors, j'entends sa voix grave et heureuse :
— Bien... À poil Nathan !
Je sens son doigt dans mon cul et je sais que je vais lui obéir... Je sens le pourpre me monter au visage, son doigt me fait mal quand il le retire et, comme un automate, je me déshabille devant lui. Je me dis qu'il va voir que je bande et c'est la honte.
— Allonge toi sur la table, je vais m'occuper de toi. C'est finis pour toi de faire le mec.
Je m'allonge sur le dos sur la table dure pendant qu'il ouvre son sac. Il en sort une boîte hexagonale en bois pleine d'une crème noire. Je ne peux plus bouger tandis qu'il me badigeonne la bite avec cet onguent. Il en met aussi sur mes couilles. Quelques secondes plus tard, il me fait mal en me serrant la bite et les couilles très fort. Je le regarde, il est en train de s'essuyer les mains, ce n'est donc pas lui qui me serre.
— La crème commence à agir. Ta bite, elle va devenir encore plus petite, et tes couilles, elles seront comme deux noisettes.
J'essaie de me relever, mais je n'y arrive pas. Le moindre de mes mouvements serre mes couilles encore plus. Je regarde mon pénis, il est toujours dur mais il a maintenant la taille de mon majeur, Ahmed avance sa main pour le toucher et alors une immense vague de plaisir m'envahit. Je ferme les yeux tellement c'est bon.
— Petit mais très sensible... comme le clito d'une femme...
Mais le plaisir est immédiatement remplacé par la douleur, comme si on était en train de me serrer les couilles très très fort. Je garde les yeux fermés et je serre les dents. Ahmed me caresse la main doucement :
— Ne t'inquiète pas, je contrôle tout, la crème de sifflé est en train de te castrer bien comme il faut, il n'y en a pas pour longtemps.
Quelques secondes plus tard la douleur diminue et je rouvre les yeux, la crème noire a été totalement absorbée et ma bite est maintenant de la taille d'un petit doigt et toujours dressée. Je vois qu'il approche lentement sa main de mon sexe en me regardant et j'ai tellement envie qu'il me touche comme tout à l'heure. Il doit le voir dans mon regard. Il me montre une chaussette, blanche mais sale, il l'approche de mon nez, je respire, l'odeur de pied est très forte, alors il touche mon sexe.
— Aaaaaaaah !
Je crie le plaisir qui m'envahit par spasmes.
— Tu vas associer le plaisir à l'odeur et maintenant, tu la rechercheras...
Ma respiration s'emballe, j'halète, je regarde Ahmed, il tire la langue alors je tire la mienne et lèche le tissus crade qu'il me tend. Cette odeur forte de panard me fait bander encore plus dur. Un liquide transparent perle du bout de mon gland et fait un filet qui tombe sur mon ventre.
Ahmed est en train de farfouiller dans son sac, ma respiration ne ralentit pas, comme si je venais de finir une course, un marathon. Il a dans sa main un préservatif usagé. Il en coupe le nœud. Il le tient d'une main tandis que l'autre, après avoir reposé les ciseaux, s'approche, lentement, très lentement de mon sexe. Une goutte sort à ce moment de mon gland, cette toute petite bite fait de petits mouvements et me fait mal tellement elle est dure. Sa main se rapproche encore.
— Ouvre la bouche pédale !
J'ouvre la bouche et je vois le sperme couler de la capote ouverte, la semence froide tombe sur ma langue au moment précis où sa main empoigne mon sexe.
— Ooooooooooooh ! Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
Je hurle mon plaisir et ma respiration est plus rapide que jamais. Le sperme continue de couler dans ma bouche ; j'avale.
— Ouh !
Il me branle précisément au moment où j'avale alors je regarde la capote qui se vide et j'ai hâte de pouvoir avaler une nouvelle coulée de sperme froid pour ressentir ce plaisir. Voilà, la semence tombe sur ma langue, j'en ai assez pour avaler.
— Ouh !
Le plaisir procuré par la main sur ma petite bite est intense. Je tire la langue pour récupérer du sperme et avaler encore, désespérément car la capote est vide.
— Te voilà formaté et accro au sperme ne t'inquiète pas, je te dirai où en trouver...
Mon cœur bat à toute vitesse, je suis en transe, je suis dans un état où je suis prêt à faire n'importe quoi pour ressentir encore ce plaisir. Sa voix grave :
— Regarde-moi salope !
Je lève les yeux, son regard est sévère, il ouvre la bouche pour me faire signe de faire de même, je m'exécute. Il se racle la gorge, je baisse le regard.
— Putain, regarde-moi connard !
J'obéis, humilié par ce rappel à l'ordre. J'ouvre la bouche bien grand et je le regarde me cracher un mollard direct dans la bouche. Je sens dans ma gorge le goût de morve. Il me branle au moment où j'avale. Le plaisir est intense, mais je ne le quitte pas du regard.
— C'est bien pédale, continue de me regarder.
Il me branle encore et encore, des ondes de plaisir me parcourent, elle semble venir de ses yeux sévères que je fixe intensément. Ses deux yeux occupent tout l'espace, ils aspirent mon âme, je n'ose cligner ne soit-ce qu'une paupière, j'appartiens à ce regard, je suis bien. Alors je sens que je coule, je sens qu'un liquide s'écoule de ma petite bite.
— C'est bien, tu mouilles... Maintenant, tu mouilleras dès que tu croiseras mon regard.
Je regarde mon ventre qui est trempé, pourtant, j'ai toujours envie, j'ai envie, j'ai envie... de son pénis. Alors, sans réfléchir, j'avance une main vers sa braguette.
— Tu en as envie, hein ? Alors montre-moi ton trou !
Alors je ramène mes genoux sur mon ventre, l'envie qu'il mette son pénis en moi est intense. Il m'amène au bord de la table comme si j'étais léger comme une plume. D'un geste sec il fait descendre son survêt. Je regarde son slip gonflé, je me sens femelle qui attend le mâle, sans résistance.
Il rigole. Il sort son gros pénis et de la bave coule de ma bouche. Il essuie cette bave et en met sur sa bite. Il me prend le menton et me regarde droit dans les yeux tandis que je sens son pénis chaud contre mon anus. Je sens son sexe qui pousse, je sens mon trou qui s'ouvre et son zob, lentement, prend sa place en moi.
Ma respiration s'affole, une seule chose compte alors pour moi : les mouvements de ce pénis en moi et bien fixer le regard de Ahmed pour ne pas me faire engueuler. J'écarquille les yeux sous l'effet de sa bite et je vois à son regard qu'il peut constater dans mes yeux l'avancée de son sexe viril dans mon cul.
Je me mords la lèvre quand il arrive tout au fond tellement la sensation est forte, entre douleur et plaisir. Il fait oui de la tête. Alors il la sort et la rentre d'un coup sec et je ne peux retenir un couinement. Il laisse sa bite au fond en me regardant. Je sens mon cul qui serre son membre, puis relâche, puis serre à nouveau, comme s'il prenait la mesure de l'engin. Mon regard est toujours rivé à celui d'Ahmed et ce sont ses yeux qui commandent aux mouvements de mon sphincter.
J'entends clairement dans ma tête Serre! puis Relâche! puis Serre! et je sens vraiment la forme de son pénis en moi. Puis Relâche! puis Serre à fond! Serre à fond! Et là, le pénis bien serré, Ahmed entame de longs mouvements dans mon cul et le bonheur se lit sur son visage, il prend un plaisir évident à m'enculer ainsi et, moi, je me sens totalement à sa merci, espérant et redoutant à la fois chaque mouvement de son sexe.
Je suis là, à la disposition de ce mec qui prend son plaisir dans mon anus, qui m'utilise pour jouir. Il n'en finit pas de m'enculer et moi je sens mon anus qui se distend de plus en plus. Je sens petit à petit, ses mouvements qui s'accélèrent, deviennent plus rapides, je sens son pénis qui grossit en moi, j'entends le souffle d'Ahmed devenir plus fort, son envie de jouir est palpable. Il va éjaculer et je sais que je ne peux plus l'empêcher. Il accélère encore, il bute fort au fond de mon cul et je ferme les yeux tellement ça m'emporte, il cogne un grand coup très fort et...
— Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
Il hurle sa jouissance dans un grand rauque grave, il vient d'éjaculer son sperme en moi. Alors il laisse mes jambes remontées et il me regarde. Je sens alors une sensation dans mon ventre, je ne sais si c'est plaisir ou douleur mais ma respiration s'affole encore, la sensation se fait plus forte, je ferme les yeux et mon corps et parcouru de spasmes, je sens que du liquide s'écoule de mon sexe.
— Avec le traitement que je t'ai fait, le sperme des mecs, ça te fera cet effet-là, une jouissance que tu passeras tes journées à rechercher...
La voix d'Ahmed au-dessus de moi :
— Tu vois son zizi il a bien rapetissé, mais les couilles elles sont restées grosses...
et celle d'un inconnu :
— Oui, ça arrive souvent
Je me réveille, je suis toujours sur cette table, je garde les yeux fermés le temps de comprendre. L'inconnu encore :
— C'est la peau du scrotum qui a empêché la crème de sifflé de bien agir. Avec cette seringue, je vais l'injecter sous la peau et nous n'aurons plus qu'à la faire pénétrer par massage dans les testicules. D'ici une heure, ton gars sera castré bien comme il faut. Il ne tardera pas à développer une mentalité de femelle soumise. Il fera ton ménage, te léchera les pieds pendant que tu baiseras sa copine. Le pied !
— C'est le cas de le dire !
Et ils partent dans de grands rires. Puis c'est le silence. Je sens deux doigts qui pincent la peau de mes bourses, puis la légère douleur d'une piqûre. J'ouvre les yeux. Un grand black, torse nu sous une blouse blanche, est en train de vider une seringue pleine de crème noire sous la peau de mes couilles. Ahmed pose sa main chaude sur la mienne.
— Ça va te serrer comme hier, mais ne t'inquiète pas, avec mon pote Koumess on va te branler en même temps !
La douleur est arrivée d'un coup. Exactement comme si l'un des gars avait pris mes couilles dans son poing et les serrait de toutes ses forces. J'implore Ahmed du regard, il sourit. Il fiche alors ses yeux dans les miens et je sens que je ne peux détourner la tête maintenant.
Il se racle la gorge, me montre le mollard au bout de sa langue et me le crache sur la gueule. Le crachat me coule dans l'œil et étrangement, je sens alors une sensation parcourir mon sexe, je le sens durcir comme par réflexe. Mais c'est le black qui prend la parole.
— Tu l'as déjà bien formaté, cool ! Cela va être plus facile de faire pénétrer la crème dans les couilles s'il bande.
Je sens sa main qui masse mes testicules et ça me serre encore plus, la douleur est à la limite du supportable, j'ai l'impression que mes couilles vont exploser. D'un coup, la douleur est remplacée par le plaisir lorsqu'il frotte ma petite bite avec un doigt.
— Maintenant, il faut le vidanger de tout ce qui lui reste de sperme.
Il accélère le mouvement sur ma bite et je suis comme stupéfié, tous mes muscles se contractent tellement le plaisir est fort. Je ne sais pas si je veux qu'il arrête ou qu'il continue, c'est à ce moment que mes couilles me refont mal.
— Regarde, tu vois comme ses couilles rétrécissent ?
— Koumess, tu es un vrai Sorcier !
— Quand il va éjaculer, elles vont se contracter définitivement.
Il accélère encore son mouvement de frottage sur mon gland et je ressens en même temps le plaisir intense sur ma bite et la douleur insupportable sur mes couilles.
— Voilà, regarde bien, ça y est...
La douleur dans mes boules est fulgurante, je veux me lever tellement ça fait mal, je vois un liquide qui coule de ma bite, les mecs ont un regard satisfait. Le black commente :
— La castration a commencé : il mouille comme une femelle. Il veut la queue.
Il ouvre alors sa braguette et en sort une bite énorme et dure et dit, hilare :
— Passe-moi l'huile Ahmed, on va taper sur la prostate pour accélérer le processus.
Je le regarde enduire son membre, puis je le sens, tout chaud contre mon anus et puis ça me brûle, ça me déchire, je serre les dents, il me regarde et sa voix se fait douce :
— Ne bouge pas et moi, je vais rentrer le reste super lentement, que l'huile ait le temps d'agir et de bien ouvrir ton cul.
— Ça va ?
Je me rends compte alors que j'ai envie d'une seule chose : qu'il m'ouvre le cul. Totalement. Alors j'écarte davantage mes jambes pour lui faciliter le passage...
— Voilà, je sais que tu en as envie, je vais avancer un peu plus profond. Tu sens ma bite qui t'encule ?
Je sens de nouveau mon anus qui se déchire et fait oui avec la tête. Il attend un peu, la douleur s'amenuise.
— Bien, prépare-toi, je vais enfoncer tout le reste d'un coup, après ça, tu vas avoir un joli trou du cul tout rond. Attention... J'y vais !
Alors que la douleur de la pénétration me scie en deux, je vois sur son visage un contentement infini et ça me fait drôle de me rendre compte que l'intérieur de mon cul peut donner un tel plaisir à un mec. Sa voix grave :
— Waouh ! Comment c'est bon ! Attention...
Et il tape d'un grand coup au fond et c'est tellement bon et ça coule de ma bite
— Voilà, c'est exactement ce qui doit se passer
Il tape au fond de mon cul plusieurs fois des grands coups et s'amuse à voir que ça me fait couler et couiner à chaque fois. Ses coups de bite m'envoient au 7ème ciel alors je supporte la douleur de mes couilles qui serrent de plus en plus. Je sens le plaisir qui monte en moi à chaque fois qu'il tape, alors que mes couilles sont comme dans un étau vissé à fond. Je geins sans savoir si c'est de douleur ou de plaisir. Il accélère le mouvement.
— On y va...
Il accélère encore, le plaisir m'emporte, je sens mon dernier sperme qui gicle sur mon ventre tandis qu'il se plante en moi. À son râle, je sais qu'il est en train de me remplir de sa semence. J'ai l'impression de partir loin, loin...
Quand je reprends connaissance, je sens mon anus humide, j'ai peur de ce qui s'est passé, j'ai peur d'avoir perdu ma virilité, et, comme s'il lisait dans mes pensées :
— Voilà, tu n'es plus un mec, tu n'as plus vraiment de bite, tu n'as plus de couilles, tu es une femelle avec une chatte accueillante ! Vérifie par toi-même !
Il prend ma main pour que je sente mes couilles, petites comme des noisettes :
— Voilà, tu es castré, ce qui coulera de ta bite sera toujours transparent maintenant.
Il prend ensuite mon doigt et fait avec le tour de mon anus béant et dégoulinant de sperme :
— Tu es ouvert, ainsi tu ne pourras plus te refuser au mâle. Tu rechercheras en permanence à être remplie. Nous avons fait de toi une chienne en chaleur...
Comme si elles avaient fait ça toute leur vie, mes mains prennent la place des siennes pour tenir mes pieds et garder ainsi mes cuisses ouvertes. Je me rends compte que, alors même que je viens de jouir, j'aurais envie qu'on éjacule encore en moi.
— Regarde Ahmed, il vient tout juste d'être enculé et dosé et il a encore envie de bite. On est en train d'en faire une bonne petite pute insatiable.
C'est alors que je vois Ahmed changer de place, il tient son pénis raide dans sa main et se positionne entre mes jambes, il a cet air heureux du mec qui sait qu'il va tirer son coup. Je sens son pénis qui rentre en moi, une fois au fond, il le laisse ainsi, me fixant du regard. Je ne peux quitter ses yeux et je sens un filet de bave qui sort de ma bouche, il sourit.
Koumess avance alors sa main et me pince violemment le téton. Je sens alors mon cul qui se contracte violemment dans un spasme. La douleur est insupportable, comme une crampe, je serre les dents, ça fait tellement mal que j'en transpire. J'entends un soupir d'aise et cela me distrait de ma douleur et je vois Ahmed qui sourit, visiblement aux anges. Je sens la crampe qui passe petit à petit. Ahmed à Koumess :
— Tu vas pas me croire son cul vient de me masser la bite comme j'ai jamais vu ! Je bougeais pas et c'est comme si un étui tout chaud et tout doux me caressait la verge. Tellement délicieux ! Il faut qu'il recommence !
Je fais non avec ma tête de toutes mes forces, mais il ne me voit pas je pense, il retire un peu sa queue et la réenfonce d'un coup jusqu'au fond, tandis que Koumess me pince à nouveau la poitrine. La douleur revient alors brutalement, mon corps se spasme totalement, je ferme les yeux tellement j'ai mal.
J'entends les râles graves de contentement de mon bourreau. Je suis en sueur, je serre les dents. J'essaye de me détendre, de respirer. Ca finit par passer. Je rouvre les yeux. Je vois le visage de Ahmed passer de la jouissance à l'agacement :
— Continue salope !
Et il me redonne un violent coup de bite au fond du cul. Koumess se met alors à pincer fort puis relâcher mon téton alternativement. Mon cul se spasme alors en cadence. Je lâche à chaque fois un cri de douleur. C'est comme si mon corps tout entier se contractait puis se relâchait autour de ce pénis en moi. La voix grave d'Ahmed :
— Je vais jouir putain ! Oh oui ! Oh oui !
Koumess accélère le rythme, mon corps est un poing qui se serre puis se desserre, j'ai chaud, je transpire, Je ne sais plus si j'ai mal. Je suis une trayeuse. Je repère bien la cadence qui se répète: Koumess pince, mon corps se contracte, Ahmed râle de plaisir et je sens son pénis en moi, mon corps se desserre, et ça recommence encore et encore, je ne maîtrise rien.
Soudain Koumess pince à mort, la douleur est vive, je sens que je pars et puis... une immense jouissance, comme une vague qui part du Pénis en moi et diffuse dans mon ventre, mon torse et remplit mon cerveau, je me sens partir, c'est trop bon.
Ahmed gueule tellement il jouit. Je sens mon cul, qui coule. Je rouvre les yeux, je les regarde tous les deux plein de reconnaissance. Ce plaisir, si intense... mais trop bref. J'ai trop envie de jouir, que ça recommence. Je baisse mon regard vers leurs pénis, dégonflés et cela me désole totalement. Ils se sont déjà rhabillés quand je descends de la table. Je ne trouve pas de serviette alors je renfile mes affaires malgré le sperme qui coule de mon cul sur mes cuisses. De fait, j'essuie avec mon jean en l'enfilant, cela ne me fait plus rien. Koumess :
— Comme je le vois, il va pas pouvoir s'empêcher de trouver d'autres mâles à satisfaire. Il est accro au plaisir que lui donne son cul maintenant qu'il n'a plus de couilles. Tu reviens après Nathan, on a une surprise pour toi et ta copine ce soir !
Et ils rient de bon coeur...
A ma connaissance c'est la fin de l'histoire.